baise voiture, épisode 1 sur 2

Autant l’écrire honnêtement la semaine dernière j’ai choisi Christophe, alias monsieur Baise Voiture sur un critère bien particulier et presque vénal : Sa voiture. Cela faisait quelques temps, suite à un commentaire sur mon blog, que j’avais très envie d’un plan cul dans une voiture (baise voiture). Aussi étonnant que cela puisse paraitre, à part une fellation il y a des années quand j’étais baby-sitter je n’avait jamais baisé dans une voiture avant la semaine dernière. Sur infidèle messenger je triais donc les nombreuses sollicitations d’hommes en quête d’un bon plan cul en Pays de Loire non pas en fonction du physique, ni même de ce qu’ils proposaient mais de leur bagnole ! Mon cahier des charges était assez précis. Je voulais un intérieur cuir, si possible d’une grosse familiale allemande ou, mieux, anglaise. Après pas mal de propositions de jeunots en BMW qui fleuraient bon la banlieue et le survêtement Tacchini (pas trop mon genre…) je tombais enfin sur celui qui me semblait le candidat idéal : Christophe, alias Baise voiture, 49 ans, marié, Jaguar XJ12 1993, 314 chevaux, intérieur cuir crème. Je donne tous ces détails car le type, une fois branché sur le sujet de sa caisse était intarissable. A certaines ce type de mec peut sembler pathétique mais pas pour moi. J’aime les hommes passionnés, cela quasiment quelque soit leur passion. Pour mon monsieur Baise Voiture c’était les belles anglaises et la lingerie sexy façon bourgeoise cochonne. Soit ! Franchement j’aurais pu tomber plus mal cela me convenait parfaitement. Cerise sur le gâteau, mon plan cul me proposait une soirée « all inclusive« . Monsieur Baise Voiture passerait donc me chercher vers 18h après mon rendez vous commercial pour m’inviter à dîner chez lui « en famille » et me reconduirait le soir à mon hôtel. Comme il travaillait dans un grand groupe industriel je serai ce soir là une collègue de l’usine de Marseille en déplacement à Nantes. Je salivait d’avance à l’évocation d’un plan aussi sophistiqué avec la joie perverse de me faire servir le dîner par la femme de mon amant.

Le choix de ma tenue me posait cette fois quelques difficultés. Il fallait que cela soit excitant mais qu’en même temps, à l’occasion du dîner, je puisse passer pour la parfaite collègue de Provence ingénieur en méthodes industrielles. C’est un sujet que je ne maitrise que très vaguement mais je me disais que sa bourgeoise ne devait pas non plus être une experte en la matière.

Mais ça se fringue comment une responsable méthodes dans l’industrie agro-alimentaire ? Malgré un mois de juin déjà avancé le temps était lourd et changeant. Je choisissais une robe tailleur bleue et un chemisier blanc sans fioritures. J’ajoutais des lunettes en écaille et un chignon. Mais une fois devant la glace je me faisais l’effet d’une caricature d’actrice porno dans un film des années 90 mettant en scène des secrétaires. Limite on aurait pu m’appeler Katsumi ! Cela n’allait pas du tout. J’abandonnais les lunettes ridicules, dénouais mes cheveux que je lissais simplement et je troquais le tailleur pour un Jeans Levis 501 qui soulignait mon cul sans non plus être outrageusement moulant. Christophe, mon Monsieur Baise Voiture, serait peut être un peu déçu de l’absence des bas résille, porte jarretelles et talons aiguilles dont nous avions parlé mais je jugeais cela plus prudent et je comptais bien me rattraper avec d’autres surprises que je dissimulais dans mon sac à main…

Effectivement, son bonjour un peu guindé quand il me vit arriver à hauteur de son anglaise garée en double file devant l’hôtel confirmait qu’il était un peu déçu de me trouver en jeans et baskets plutôt qu’en jupe talons et bas résilles. Comme nous nous faisions la bise j’appuyais consciencieusement mes lèvres sur sa joue et sortais un bout de langue pour le rassurer. Sa main sur ma hanche m’indiquait que nous étions sur la même longueur d’onde et je commençais déjà à sentir les petits picotements en haut de mes cuisses. Mes seins aussi réagissaient instantanément, malgré moi comme souvent.

En véritable gentleman il m’ouvrit la porte passager tout en laissant son bras gauche contre ma taille. J’attrapais sa main avant d’entrer dans la jaguar pour en porter l’index à ma bouche. Du coin de l’œil je pouvais distinguer la bosse de son pantalon. Bingo ! Le suçotage de doigt ça marche toujours !

Quand on me demande : »quelle est la première chose que tu regardes chez un homme ? » je réponds sans hésitation : »Ses souliers ! »

Ce n’est pas du fétichisme. Je sais que pour certaines tel détail physique est important, que le cul, les épaules ou la silhouette comptent énormément. Mais pour une fille qui aime le cul ce qui compte c’est bien la façon dont un homme va s’occuper d’elle et la faire jouir. J’ai pu remarquer qu’un homme qui prend soin de ses souliers, qui, quand il peut, y met le prix, est rarement décevant au lit, sur la table de la cuisine ou tout autre meuble où il me baise. J’ai tendance à penser qu’il en va de même pour l’intérieur de sa voiture.

Là, tout me semblait parfait. Le cuir odorant et propre sans paraître neuf, les boiseries du tableau de bord, le chrome parfait du levier de vitesses de la boite auto, jusqu’à la moquette sous mes pieds, tout me paraissait un appel à la volupté.

Quand Christophe Baise Voiture pris place côté conducteur et me demanda où je voulais aller avant le repas je lui répondais : »On s’en fiche, roule, je m’occupe du reste. »

Joignant le geste à la parole je me penchais pour un baiser langoureux dans son cou. J’embrassais goulument juste sous le menton, je suçais en prenant soin de ne pas y aller trop fort, salivant pour me faire humide mais sans risquer de lui laisser un suçon qui pourrait le compromettre une fois chez lui. Quand il mit le contact le douze cylindre se mit à ronronner doucement. Je n’avais pas bouclé ma ceinture et m’attendais vaguement à ce qu’une sonnerie désagréable me rappelle à l’ordre comme c’est maintenant le cas dans à peu près toutes les voitures. Mais il semble que cette fonction n’existait pas en 1993. Sans détacher mes lèvres de sa peau je posais une main sur son genou et le sentais lever le pied de la pédale de freins. La jag démarrait quasiment sans à-coup et Christophe Baise Voiture conduisait comme si je n’existais pas. J’aurais voulu qu’il mette la main sur ma cuisse ou dans mes cheveux mais rien de tout cela. Il regardait fixement devant lui, me laissant lécher son cou, prendre le lobe de son oreille entre mes lèvres maquillées d’un rouge très vif. La toile de son pantalon noir était légère et douce. Je remontais lentement le long de l’intérieur de sa cuisse. Il tendait la main, non pas vers moi mais pour allumer l’autoradio préréglé sur une chaîne d’infos en continu !

N’eut été la bosse que faisait son pantalon à l’entrejambe j’aurais pu croire que je ne lui faisais aucun effet. Mais l’objet de ma convoitise était bien là, tendant la toile pour laisser deviner un calibre plutôt au dessus de la moyenne. En en constatant le volume dans ma main je ne pouvais retenir un « oh! » de surprise ravie. Qui, enfin, lui arrachait un sourire faisant naître une fossette charmante au coin de ses lèvres.

-« Il m’a l’air sacrément bien monté le petit mari volage ! » glissais-je à son oreille.

-« Tu trouves ? pas déçue alors ? »

-« Ah, ça va dépendre de la suite, mais tout cela commence fort bien à mon goût. On peut en voir plus ? »

-« Je t’en prie, fais toi plaisir, mets toi à l’aise. »

Cela il ne fallait pas me le dire deux fois. Je déboutonnais deux boutons du haut de mon Levis pour lui laisser voir mon string de dentelle blanche. J’avais déjà furieusement envie de le sucer mais je jugeais préférable d’attendre pour voir s’il craquerait avant moi et abandonnerait un peu son attitude distante. Je faisais mine de me désintéresser de lui pour farfouiller dans mon sac à main à la recherche de mon tube de rouge à lèvres Chanel. Mais avant de sortir le tube de rouge je posais sur l’accoudoir central les deux paires de menottes que j’avais décidé d’emmener cette fois avec moi. Puis je baissais le pare soleil pour utiliser le miroir de courtoisie et me repassais habilement un coup de rouge à lèvres en lâchant désinvolte : »Promis je ferai bien attention à ne pas tâcher le pantalon de monsieur. »

Lui, essayant de paraitre tout aussi désinvolte tripotait la chaînette d’une paire de menottes et me demandais finalement si j’avais en tête de l’attacher.

-« Bin, pour tout dire c’est un cadeau, à toi d’en faire l’usage qui te semble le plus approprié…Lui répondis-je en les déposant sur la banquette arrière. Mais pour le moment je crois que j’ai très envie d’un petit en cas ». Je me penchais par dessus l’accoudoir central ne pouvant plus trop résister à la bosse qui semblait m’appeler. Je déboutonnais son pantalon, tirais sa chemise et commençais à embrasser son ventre très légèrement replet tout en tâtant l’objet de mon désir à travers le tissus de son caleçon.

Je ne sais pas si c’était juste l’ambiance ou moi qui prenait plus mon temps que d’habitude mais sa queue me semblait juste parfaite. Il ne faut pas croire que j’ai eu des milliers, ni même des centaines d’amants. En réalité quelque dizaines tout au plus. Et là j’avais sous la main une queue dure et surtout longue juste comme il faut. Elle me semblait plus large que la moyenne mais pas au point de m’effrayer. Je la dégageais du caleçon et commençais à la prendre entre mes lèvres non pas par le bout mais plutôt de côté. Si ma bouche ne me trompais pas sa pine était effectivement sensiblement plus épaisse que la moyenne et plutôt longue.

Monsieur Baise voiture continuait à conduire tranquillement mais enfin semblait s’intéresser à moi. Je sentais sa main posée sur mon cou.

-« Alors elle te plait ma queue j’ai l’impression. »

-« Un peu mon neveu ! » A-t-on jamais fait réponse plus ringarde et tarte que celle là ? Je n’en sais rien mais c’est la première qui me venait à l’esprit et de toutes façons pour une fois je n’avais pas très envie de parler. Je voulais juste continuer à savourer cette merveilleuse colonne de chair qui s’offrait à moi.

Nous étions encore en ville et à chaque fois que la jaguar s’arrêtait, j’imagine à un feu, je me demandais si l’on pouvait nous voir. Je pense qu’à moins de nous trouver à côté d’un poids lourd je restais invisible à nos voisins de files. Du moins je l’imaginais, sans vraiment en être certaine. Il me semblait que nous avions trouvé notre rythme de croisière. je suçais lentement, ma joue et mon oreille appuyant contre son ventre nu à chaque fois que la voiture redémarrait. Comme il restait bien raide mais ne semblait pas s’agiter j’avais le sentiment que cela pouvait durer ainsi des heures. Ce qui n’était vraiment pas pour me déplaire. Je n’essayais d’ailleurs pas d’accélérer le rythme ou de sucer plus fort ou plus à fond. Il me caressait la nuque et les cheveux tandis que je continuais à aller et venir par le côté le long de cette baguette magique de tout premier choix. Après une dizaine d’arrêts redémarrages je sentais que la voiture accélérait puis semblait stabiliser sa vitesse comme si nous étions sur une autoroute ou une voie rapide. Sa main passait de ma nuque à mon dos, tirant sur mon chemisier pour le sortir de mon jean desserré. Je ne voulais pas qu’il nous envoie dans le décor et en même temps je ne souhaitais pas non plus qu’il arrête la voiture. En tous cas pas tout de suite. C’était trop bon d’être là à le sucer sachant que nous roulions. La grande berline avait un toit ouvrant. Quand il l’ouvrit l’air entra dans le véhicule. C’était un peu bruyant mais rafraichissant. J’ôtais mes baskets et m’agenouillais sur le siège passager pour être en meilleure position pour continuer à sucer et surtout pour lui donner plus facilement accès à mon cul. Quel bonheur de sentir alors sa main progresser le long de mon dos pour glisser les doigts sous ma culotte. Je baissais mon jean, nous étions décidément sur la même longueur d’onde. Le problème de la Jaguar XJ12, par rapport à ma fiat 500, c’est que son empattement ainsi que le gros accoudoir central ne favorisent pas vraiment le rapprochement entre le conducteur et sa passagère. Si l’accoudoir contre mon ventre maintenant à nu ne me gênait pas trop mon cul restait encore un peu trop loin à mon goût de ses doigts. Ne pouvant me caresser directement il tirait et relâchait mon string pour que le tissu me rentre dans la foufoune qui commençait à être bien lubrifiée. C’était bon mais j’avais de plus envie de sentir ses doigts me fouiller. Et pour cela il fallait que je gagne dix à vingt bon centimètres. Impossible sans arrêter de le sucer. Je continuais donc ainsi encore quelques kilomètres. Lui ne semblait pas accélérer le mouvement, il continuait tranquillement à me branler avec mon propre string et si sa belle bite ne mollissait pas rien ne laissait indiquer qu’il était au bord de l’orgasme. Je constatais avec émerveillement que nous avions encore sans doute pas mal de marge. Je décidais cependant de prendre la quinzaine de centimètres qui me manquait et faisais passer sa queue de ma bouche à mes seins pour une branlette espagnole. Enfin sa main se retrouvait au niveau de ma cramouille et j’éprouvais le délice d’un doigt s’insinuant exactement là où ça fait du bien. Il me caressait avec toujours la même lenteur appliquée, son pouce contre mon anus. Du pouce il pressais mais juste assez doucement pour ne pas forcer le passage. A chaque mouvement que je faisais pour le branler avec mes seins j’appuyais mon cul pour absorber son pouce mais il se dérobait me laissant légèrement frustrée de ce point de vue.

-« Tss tss, t’inquiète, tu vas en prendre aussi dans le cul mais je veux que ce soit directement avec ma queue. Tu as l’air de l’aimer dis donc ma queue hein ? »

-« Je l’adore, hummm, une des plus belle que j’ai jamais eue, je t’assure. »

Il me donne une claque sur les fesses.

-« Comment ça une des ? T’en as eu de meilleures ? »

-« En fait j’en ai vu quelques unes mais c’est effectivement la plus belle. » Et c’était pour le coup sincère.

Il me caresse à nouveau satisfait, je pense, de ma réponse.

Comme nous doublions un camion je constatais qu’il ralentissait exprès. Cela ne manqua pas, nous étions récompensais par un coup de klaxon retentissant.

Je pense que nous devions être sur le périphérique quand je sentais la voiture prendre une sortie. Nous alternions à nouveau les arrêts et redémarrage ainsi que les virages à 90 degrés. Je ne sais pas s’il avait allongé le bras ou si j’avais trouvé une position un peu différente mais je pouvais à nouveau le sucer en gardant le contact de ses doigts fouillant mon intimité.

Un trottoir, une pente descendante, l’obscurité. Nous étions dans un parking sous-terrain.

Lui : « Rhabille toi, on est arrivés. Prête pour le dîner ? »

Moi : « Heu ?! on passe pas sur la banquette arrière ? »

Lui : « T’inquiètes, c’est pas fini, je veux garder le meilleur pour le dessert. En plus on est déjà un pas mal en retard et ma femme est assez…disons… suspicieuse… »

C’est ça, suspicieuse ! On le serait à moins. Déçue et en même temps terriblement excitée de découvrir comment se déroulerait la suite de la soirée je reboutonnais mon jean et mon chemisier.

La suite au prochain épisode…Mais en attendant si la queue vous en dis vous pouvez lire (ou relire) esthétichienne en chaleur.

Grosse salope, 7 conseils pour la réveiller

Grosse salope, conseil numéro 1 :

La grosse salope que je suis adore !
pour réveiller la grosse salope qui est en nous

 

Après cet article vous pourrez aussi lire d’autres conseils sur comment transformer sa femme en salope lubrique. Pour les femmes qui me lisent et qui veulent des conseils pour devenir la bonne salope dont rêve leurs hommes vous pouvez aller en fin d’article, quelques paragraphes sont là rien que pour vous qui avez parfois envie de vous comporter en grosse salope bien cochonne !

 

 

La chimie, ça marche pour réveiller la grosse salope

Faire de sa femme une salope n’est pas chose simple. En tous cas d’après les hommes mariés à qui j’ai pu parler qui ont une femme un peu coincée. J’ai en gestation un article plus complet sur le sujet. Mais je pense qu’une première chose qui peut vraiment améliorer les choses c’est de faire confiance à la chimie et d’utiliser un aphrodisiaque féminin. Travaillant dans le domaine de la santé (représentante pour un géant du médicament) je sais l’efficacité indéniable de la chimie sur la santé mais aussi sur l’esprit et le comportement. Bien sûr ça ne marche pas à tous les coups. Mais je peux vous dire que quand même les résultats sont étonnant. Je peux aussi dire que pour avoir essayé certains produits sur moi même ça fait carrément monter mes désirs lubriques. Même si je n’en ai pas forcément besoin je peux témoigner les poppers me rendent complètement folle instantanément par exemple.

Je prends mes aphrodisiaques et autres aides chimiques à la boutique du lien ci après (boutique plaisir) parce que c’est raisonnable en prix, irréprochable en qualité et surtout livré sous plis discret…Après, c’est quand même aujourd’hui facile de trouver un peu partout sur internet ou en sex chops ces produits.

 

Les grosses salopes sont partout mais vous ne les voyez peut être pas

Beaucoup d’hommes se demandent où trouver une grosse salope. Avouez le, vous bavez littéralement devant les profils de grosses salopes sur les sites de rencontre en vous demandant où les trouver et si elles sont réelles. Mon premier réflexe serait de vous dire que les profils de type grosse salope sur internet sont, pour la plupart, bidons. Mais à y regarder de plus près je pense qu’il y en a de vrais. Les grosses salopes sont un peu comme les aliens dans V ou dans les envahisseur avec David Vincent. Nous sommes là, parmi vous, mais vous ne soupçonnez pas notre existence. Le problème est qu’il ne suffit pas de regarder notre auriculaire tordu pour nous repérer. Mais faites moi confiance, il y a forcément une grosse salope pas loin de vous. Il y en a même plusieurs. Certaine sont conscientes d’être des grosse salope qui aiment le cul. Mais d’autres sont des grosses salopes qui s’ignorent. A vous de percer à jour les premières et de révéler le potentiel des secondes.

 

Grosse salope, conseil numéro 2 :

En toute femme un grosse salope sommeille

Entendons nous bien, toutes les femmes ne sont pas prête à sucer le premier venu comme des chiennes ni à s’écarter les fesses en couinant pour que votre bite puisse les enculer bien profond. La plupart sont timides, difficile d’accès ou simplement fidèles. Pourtant une chose est certaine, quand nous sommes entre filles et que nous discutons entre nous, nous sommes TOUTES crues, nous fantasmons toutes sur d’autres hommes que notre conjoint (quand nous en avons un) et nous aimerions toutes sucer le voisin jusqu’à le faire crier et lui offrir notre cul pour une baise sauvage. Je ne connais pas de fille parmi mes copines qui fasse exception à la règle quand on se met à parler sincèrement et que l’on fait tomber les masques. Donc sachez le, qu’il s’agisse de votre copine que vous trouvez trop réservée au lit ou d’une amie avez qui vous n’arrivez pas à passer le stade de l’amitié homme femme (sortir de la friend zone) vous avez à porté de main une grosse salope bien cochonne. Pas la peine de chercher plus loin.

Grosse salope, conseil numéro 3 :

Une seule cible à la fois

Ce postula posé, il reste la difficulté de réveiller cette grosse salope. Comment transformer votre amie et confidente en grosse cochonne pour une nuit ou pour la vie ? Si c’était facile cela se saurait. Donc pas de mystère, pas de recette magique. Attendez vous à ce que cela soit laborieux et demande de vous quelques efforts. Mais souvenez vous qu’à vaincre sans péril on triomphe sans gloire. Mon conseil serait donc de ne pas vous disperser. N’écoutez pas tous les vendeurs de rêve qui vous disent de multiplier les cibles pour maximiser vos chances. Faites donc l’essais cet été sur la plage, abordez toutes les nanas en leur demandant si ça leur dirait de venir tirer un coup avec vous. Vous pourrez en aborder un millier sans que rien ne se passe. Sauf si vous tombez sur une prostituée en vacances et que vous souhaitez une relation tarifée. Croyez moi, suivez cette règles d’or : ne courrez pas plusieurs lèvres à la fois.

La seule exception que je vois serait les sites de rencontres plans cul comme Yes Messenger où évidement vous pouvez multiplier les contacts. Et encore, sachez que cette technique vaut surtout pour trier et éliminer les faux profils. Ensuite, si vous voulez un vrai plan cul de folie avec une grosse salope, autant vous concentrer sur une seule qui vous aura plu (et répondu). En tous cas moi j’apprécie qu’une homme, même rencontré sur Messenger, me donne l’impression qu’il n’y a que moi…au moins jusqu’au lendemain ! Et croyez moi, je sais parfaitement détecter quand je suis ciblée parmi vingt autres. C’est pour cela d’ailleurs que je donne peu suite à la majeure partie des demandes qui me sont faites. Par ailleurs, quand je drague un homme, même pour juste un plan cul de quelques heures, il n’y a que lui. Il m’a toute entière à lui. Mon corps mais aussi mon esprit, mes fantasmes. S’il est gros je ne ferme pas les yeux en imaginant un Apollon, je me délecte de son ventre et des ses poignées d’amour. S’il bande mou je n’imagine pas un chibre dur comme du marbre, je suce avec application pour le faire jouir dans mes joues en me caressant.

Bref, choisissez et donnez vous à fond pour réveiller la grosse salope et l’avoir entièrement pour vous !

Grosse salope, conseil numéro 4 :

Désinhibez la pucelle pour réveiller la grosse salope

-« C’est bien beau tout cela mais comment je fais ? Elle me voit juste comme un copain ! »

ou

-« J’entends ce que tu me dis mais ma copine dit que sucer la dégoute ou qu’elle n’aime pas la sodomie. »

Voilà deux phrases que deux amis proches m’ont confié il y a peu. Eh oui, j’ai des amis hommes avec qui je ne baise pas !

Pour la copine qui ne voit en vous qu’un ami je pense que la solution est assez simple. Si elle reste avec vous en tant qu’ami c’est que c’est possible. Mais encore faut-il qu’elle comprenne qu’elle est la seule que vous voulez baiser. En tous cas cela marche comme cela pour moi et pour la plupart de mes copines avec qui j’en parle. J’ai bien sûr quelques amis confidents qui me baiseraient bien. Mais quand je gratte un peu le verni je vois bien qu’il ne sont pas totalement concentrés. Que même pour un plan cul ils ne sont pas prêt à s’investir corps et âme ne serait-ce que quelques heures. D’ailleurs ils finissent toujours par me parler d’une telle ou d’autre telle de mes amies qui est bien aussi.

Mais il reste un moyen assez radical de faire céder une fille un peu coincée et de réveiller la grosse salope cachée dans sa culote blanche. Il faut user de tout ce qui peut la désinhiber. Ne nous le cachons pas, l’alcool joue ce rôle très bien. Je ne peux pas m’étendre sur le sujet car cela serait illégal, même sur un blog perso. Mais je suis sûre que nous nous comprenons.

Concernant votre copine qui refuse la sodomie je vous renvoie un article précédant qui vous aidera peut être. Mais sachez qu’il faut essayer et que c’est toujours plus facile si vous commencer par déjà bien la défoncer en levrette. Juste au moment de jouir nous sommes normalement suffisamment détendues pour que ça rentre tout seul…

Grosse salope, conseil numéro 5 :

Parlez et faite parler la grosse salope

Une fois que votre cible a accepté la relation sexuelle cela n’est pas gagné. Rappelez vous que ce que vous voulez c’est une grosse salope qui fait la chienne. Il s’agit de baiser à couilles rabattues, pas d’un gros câlin de bisounours (qui peut être aussi bien mais ce n’est pas le sujet de ce billet). Donc, garez en tête mes premiers conseils. En chacune de nous il y a une grosse salope qui veut se faire baiser comme une chienne. C’est naturel. Ne soyez pas timide, dite nous que vous allez nous défoncer, insultez nous, bouffez nous la chatte à fond et enfoncez vos doigts partout. Demandez, plutôt exigez, tout ce que vous désirez. Mais un bon moyen aussi de nous rendre folle est de nous faire parler. Demandez nous ce que nous voulons, demandez nous de vous dire comme on aime votre bite, comme on la veut dans tous nos orifices, demandez nous de vous dire où nous voulons être baisée la prochaine fois. Vous serez agréablement surpris…

Grosse salope, conseil numéro 6 :

Faites jouer la concurrence

Vous concentrer exclusivement sur nous peut paraitre contradictoire avec ce conseil. Mais il n’en est rien. Raconter que vous avez connu une autre nana complètement dingue de cul qui bougeait son cul comme personne d’autre ne veut pas dire que vous n’êtes pas totalement concentré sur nous. C’est un moyen, souvent efficace, de réveiller notre fierté et notre sens de la compétition. Pour en avoir longuement discuté avec mes amies femmes on veut toute baiser mieux que la voisine. N’hésitez pas à en jouer. Cela est d’autant plus vrai si vous draguez ou couchez déjà avec une fille rencontrée sur un site de plan cul. Là la grosse salope est bien réveillée et il faut la pousser jusqu’au bout !

Grosse salope, conseil numéro 7 :

Profitez à fond, on ne vit qu’une fois

Bin oui ! Je l’ai déjà écrit, on est toutes des grosses salopes au fond de nous mais ce n’est pas si facile de nous chopper. Donc quand ça marche allez y à fond ! Profitez, ayez le moins de limite possible. Faite nous crier, démontez nous le cul et jouissez de nous le plus possible. On ne vit qu’une fois et surtout c’est souvent des rencontres furtives qui ne se reproduiront pas nécessairement. Alors profitez !

Les grosses salopes ci après sont en live show. Vous ne les toucherez peut être pas dans la vie mais elle seront virtuellement rien qu’à vous pour de vrai !

Devenez un vraie salope pour votre homme

Chères amies féminines qui êtes 31% de mon lectorat. Cette section est pour vous. Quelques conseils qui, je l’espère, vous seront utiles pour rendre votre homme totalement accro au sexe avec vous. Je dis votre homme mais cela peut aussi être votre amant secret ou juste les hommes en général si, comme moi, vous aimez la découverte et la surprise de nouvelles rencontres coquines fréquentes. Bref si, en plus d’être une vraie salope lubrique vous voulez vous comporter en fille facile. Bon, si vous êtes là c’est que, déjà vous êtes une sacrée petite coquine et qu’une partie du travail de conviction est fait : Vous voulez devenir un vraie grosse salope et rendre votre partenaire dingue. Voici donc, sans fioritures quelques conseils pour y parvenir

S’habiller comme une vraie salope

S’il est vrai que l’on peut faire sa salope en étant habiller très sagement en apparence il n’en reste pas moins que, parfois, forcer le trait en s’habillant de manière provoquante peut vraiment plaire aux hommes. Si vous avez de belle jambes et un beau cul alors sachez que cela peut flatter votre homme que vous mettiez cela en valeur, même en public. Osez la jupe ultra courte ou la robe très moulante. S’il vous sort au restaurant tentez le coup d’une tenue très suggestive. Voir le désir des autres hommes pour vous alors que c’est avec lui que vous êtes lui plaira sans doute. Et aussi, cela peut être un avantage pour vous s’il sent qu’il y a de la concurrence et que vous plaisez à d’autres. Etre une vraie salope c’est aussi être un peu sadique envers votre homme. Même si au final vous adorerez faire votre chienne soumise pour son plus grand plaisir et le votre.

Bien sûr les bas résilles sont une valeur sûre de la bonne grosse salope à laquelle peu d’homme, si ce n’est aucun, sont insensibles. Mais plus encore que cet accessoire sommes toutes classique que l’on peut trouver chez toutes les marques de lingerie, il faut savoir oser la vraie lingerie sexy type films porno ou escort girl. Pour cela forcément c’est direction le sex shop ou la boutique en ligne. Simplement parce que ce genre de lingerie est pensée pour les plans cul. Mais cela ne veut pas dire qu’il faille rechercher du chip bas de gamme. Un collant ouvert sera d’autant plus excitant qu’il sera de bonne qualité. Le conseil que je donnerais serait de ne pas avoir peur d’en faire trop. Croyez moi, on n’en fait jamais trop et un homme qui si vous êtes décidée à vous comporter en bonne salope pour votre homme alors vous ne serez jamais ridicule même tout de cuir vêtue avec un serre tête à oreilles de chatte ou de lapine.

Cravate de notaire, pensons y !

4Sites
Site de rencontre plan cul, une sélection

Mon plan coquin de la semaine dernière n’était certes pas à mettre sur le podium de mes meilleures expériences mais il m’a permis de redécouvrir une pratique à laquelle je ne pensais plus depuis mes années étudiantes. Il s’agit de la cravate de notaire ou branlette espagnole. Mon plan du jour n’était pas notaire mais avocat et il m’avait donné rendez vous à son cabinet pour un cinq à sept chronométré qui m’allait bien car ma dernière pharmacie à visiter était en début d’après midi et j’avais prévu de faire les 2 heures de voiture qui me séparent de chez moi dans la soirée. J’avais un tailleur beige assez sage et un chemisier blanc dont je laissais suffisamment de boutons ouverts pour que l’on puisse se demander si je portais où non un soutien gorge. Je n’en avais pas car mes seins, quoique généreux tiennent très bien tout seul, merci !

Mes autres articles

Une cravate de notaire en cadeau d’accueil

A peine m’eut-il ouvert la porte que je décidais de ne pas perdre de temps et de faire comme si nous nous connaissions depuis toujours. Je me plaquais à lui pour l’embrasser à pleine bouche en repoussant la porte du talon derrière moi. J’aime surprendre à peu près autant qu’être surprise. Sentir le soyeux de son costume et son parfum subtil n’était pas pour me déplaire. A en juger par son baiser tout en réserve et surtout par ses mains qui se posaient sagement sur mes hanches je concluais être tombée sur un timide qui en était peut être à une de ses premières fois en terme de rencontre adultérine sur internet. Je poussais donc l’avantage en le plaquant contre le premier mur venu tout en continuant à tourner ma langue dans sa bouche. Je défaisais un à un les boutons de nacre de sa chemise pour arriver à la boucle de sa fine ceinture de cuir. Décollant ma bouche de la sienne je lui murmurais à l’oreille : « Vous n’avez pas de cravate, maître, que diriez vous de remédier à cela ? »

Sans attendre sa réponse, qui d’ailleurs tardait à venir, je défaisais les bouton de son pantalon soyeux pour le constater déjà au garde à vous dans son caleçon de soie bleue. Je descendais lentement pour me laisser le temps d’embrasser son torse imberbe puis son ventre plat tout en libérant mes seins de mon chemisier. C’était attendrissant de voir comme il osait à peine bouger, le pantalon et le caleçon sur les chevilles. Tout en prenant sa bite entre mes seins je l’aidais à se débarrasser du pantalon en gardant ses souliers vernis et ses socquettes en fil d’écosse (J’ai le chic pour noter ce type de détail en pleine action !). Cela faisait longtemps que je n’avais pas pris le temps d’une cravate de notaire et c’était délicieux de le faire tranquillement aller et venir entre mes seins. A chaque mouvement je prenais son gland entre mes lèvres. J’aurais voulu griffer ses fesses si blanches mais cela m’aurait contraint à lâcher la pression sur mes seins. Que n’ai-je pas quatre mains ! Je trouvais la solution en prenant ses mains dont il ne savait que faire pour les placer sur mes seins pour que ce soit lui qui presse l’ensemble pendant que je pouvais enfin m’occuper de ses fesses. Incroyable, le type était totalement imberbe avec une peau de bébé. Je n’avais jamais vu cela. Cette peau de si juvénile contrastait tellement avec sa quarantaine bien tapée que j’en oubliais mon envie première de le griffer. Je n’avais pas envie de marque cette peau si pure. Je préférais m’allonger par terre en l’attirant sur moi pour qu’il continue à me baisser les seins. Il ne disais pas un mot et cela m’énervais un peu car j’aime qu’on me parle pendant l’acte. Mais j’avoue que je en savais pas non plus quoi dire tellement j’étais surprise par sa peau si douce, à l’opposé de ce à quoi je m’attendais. Après l’avoir sucé au mieux dans cette position je le guidais pour qu’il se retourne et remette sa queue entre mes seins mais cette fois assis sur ma bouche pour que je puisse lui lécher l’anus. Là pareil, même impression étrange de propreté. Ce n’est pas possible, ce type doit se faire épiler régulièrement le sillon inter fessier. Du coup j’y allais sans dégout avec la langue et les doigts pendant qu’il s’activait enfin un peu plus vite entre mes seins. Il se décidait enfin à faire glisser ma jupe de tailleur pour un soixante neuf délicieux. C’est rare que mes amants me lèchent ainsi car, soumise par goût, je ne les incite jamais à cela. Mais là cette position semblait naturelle et j’aimais la façon dont il me fouillait de sa langue et de ses doigts. Je le suçais aussi copieusement.

Il n’était pas dix huit heures quand il déchargeait abondamment dans ma bouche. J’avalais reconnaissante qu’il continue à me lécher même après son plaisir et je gardais sa queue mollissante entre mes lèvres. Comme il n’était pas bien lourd ce n’était pas inconfortable de rester ainsi sous lui quelques dizaines de minutes à le laisser continuer à me lécher. J’espérais qu’il se remette à bander mais cela ne vint pas et je le repoussais gentiment sur le côté pour me lever et remonter ma jupe

Pile poil 18h30, si tout allait bien je serai à la maison pour voir Dirty Dancing sur TMC à 20h50 ! « Best…Time of my li-i-ife… »

Cravate de notaire, point dans ce film...
Si vous en avez mare des films sans interaction !

Bon, sinon, pour voir de belles branlettes espagnoles ou cravates de notaire je vous conseille de contacter les filles de mon autre article. Ce n’est pas de la rencontre mais les interviewer m’a étrangement touché.

Bourgeoise cochonne, profil site de rencontre

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Site de rencontre plan cul, une sélection

Je ne peux résister au plaisir exhib de recopier ici mon dernier profil de bourgeoise cochonne sur mon Messenger.

Bourgeoise cochonne

Je vais de ville en ville à votre recherche, improbable amant qui saurez remonter votre main sous ma jupe fendue le long de mes longues jambes lentement jusqu’à ma fente. Je suis une vrai bourgeoise cochonne. Prude et distinguée à première vue mais à première vue seulement… J’aime qu’avec vous, tout commence debout dans une ruelle à deux pas d’un restaurant bourgeois et fréquenté. Avec vous je veux redécouvrir le plaisir de porter des collants plutôt que des bas. Je les mettrai sans culote ni string dessous pour éprouver le plaisir du nylon qui frotte entre ma chatte et vos doigts. J’aimerais que vous ayez l’audace de commencer à m’allumer ainsi faisant détourner de nous les regards des clients de ce restaurant où nous serons tous deux un peu plus tard. Verront-ils en moi une jeune bourgeoise cochonne ou une pute de luxe, je ne le sais pas. Mais soyez assuré, Monsieur, que dans l’intimité de ma chambre d’hôtel je vous serai soumise et reconnaissante sinon éternellement, au moins jusqu’au petit matin. Sous la table je déchausserai un escarpin pour venir caresser de vos souliers puis votre mollet et peut être plus haut. Au vu et au su de toutes et de tous car cela m’excite, j’espère, autant que vous qu’ils sachent que je suis toute à vous. Je fais le vœu que vous me rejoignez aux toilettes pour presser votre bouche contre mon sexe, m’aspirant à travers le nylon et poussant un doigt jusqu’à mon cul toujours protégé par ce si maigre tissus. Pour moi, nul besoin d’un homme qui me fouille la chatte de la langue car mon plaisir s’épanoui dans la soumission à votre poigne toute autoritaire et assumée. J’avoue cependant souhaiter qu’ensuite vous m’embrassiez encore juste pour sentir sur vos lèvres le goût de ma mouille. Soyez patient car vous aurez tout de moi. Mes seins autour de votre chibre, ma chatte brulante sur votre ventre et contre vos cuisses, mes lèvre aspirant chacun de vos doigts, et mouillant chaque centimètre carré de votre corps. Vous aurez mon cul aussi, j’y veux votre sexe mais aussi un pouce pressant l’index et le majeur qui de l’autre côté me fouraille la chatte. Vous m’entendrez crier ou gémir en mordant l’édredon à le déchirer si vous préférez. N’ayez crainte, tout cela vous l’aurez et bien plus encore au grès de votre imagination et de vos exigences. Mais avant tout je veux que chaque client de chaque table sache que vous aurez cela de moi. Je veux être sûre que d’autres hommes vous jalouseront à en crever et que leur femme réalisent que ce n’est qu’à moi qu’elles doivent la vigueur brièvement retrouvée de leur mari ce soir. Tout cela restera secret pour mon époux légitime et pour celles et ceux qui me connaissent loin de cette ville. Avec vous je serais aussi anonyme que différente de celle que je m’efforce d’être en société.

Bel amant, un petit effort car je le vaux bien. Ecrivez moi une longue lettre et sachez me convaincre que c’est avec vous je rendrai verte de jalousie tout Limoge, Bourg-en-Bresse ou Digne-les-Bains.

Voilà, ce profil s’est avéré assez efficace c’est un peu grâce à lui que j’ai eu mon dernier plan « grosse cochonne »

Si vous voulez me lire confortablement en sans pub vous pouvez acheter mon e_book.

Comment faire une gorge profonde, 7 conseils

Gorge profonde
Tout vient finalement de là même si celles qui disent sur copine de sexe pratiquer la gorge profonde n’en sont pas toujours conscientes…

 

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boutique où je prends mes costumes de suceuse et surtout mes aphrodisiaques de coquine :








 

Comment faire une gorge profonde ?

Après mes conseils tutoriel sodomie  ou comment bien défoncer un petit cul de salope puis mon petit tuto coquin pour la fessée j’ai décidé cette fois de m’attaquer à une pratique qui, je pense, mériterait d’être davantage mise en avant lorsque l’on parle de bien faire l’amour : La gorge profonde. On pourrait se demander pourquoi (et de quel droit) je fais ma donneuse de leçons en matière de pratiques sexuelles. D’abord j’adore partager et raconter mes expériences sexuelles. Ensuite j’aime à imaginer qu’humblement, avec mes conseils et tutoriels, certains et certaines trouveront de nouvelles sources de plaisir, des idées pour mieux baiser et auront plus d’orgasmes et de meilleure qualité. Et ceux qui m’ont trouvée sur infidèle peuvent témoigner que je suis une spécialiste en la matière !

N’hésitez pas à commenter cet article sur comment faire une gorge profonde. Je réponds à TOUS les commentaires sur ce tuto gorge profonde ! Car je je, suis libertine, je suis une catin !

Avant de découvrir avec délice le plaisir unique d’une fellation en gorge profonde je pensais naïvement être une très bonne suceuse juste parce que je savais serrer les lèvres et jouer de ma langue pour obtenir des gémissements de plaisir ou des appréciations flatteuses de mon partenaire et que j’avalais le sperme avec délectation. Je pensais, petite sotte que j’étais, qu’avaler ou me prendre une éjaculation faciale était le summum de ce qui pouvait s’offrir en matière de sexe oral. Dans ma tête j’était la reine des tailleuses de pipe puisque je savais être une bonne videuse de couille. Mais ça, c’était avant… Avant de maitriser la gorge profonde.

entrainement gorge profonde
entrainement gorge profonde

Comment faire une gorge profonde, conseil n°1 : Attention, danger, toutes les femmes de sont pas prêtes.

Contrairement à la sodomie ou la levrette qui sont sans réel danger et dont nous avons quasiment toute plus ou moins envie, la gorge profonde est une pratique qui demande de l’entrainement et qui n’est pas sans risque. Avaler un sexe en érection jusqu’à la garde implique que la trachée soit, pendant l’acte, obstruée. Cela bloque la respiration (même par le nez) !!! Donc le danger d’étouffement est réel. Même si cela est un des grands intérêts de cette pratique (voir plus loin) il faut en être conscient. Messieurs, tenez nous la tête si vous le voulez, cela est excitant d’être ainsi dominée. Mais dosez et sachez vous retirer à tant bien sûr ! Petit conseil pour les hommes, la meuf blonde ou brunette qui pratique la gorge profonde aime aussi le sexe anal. Gardez des forces, ce serait con d’avoir votre orgasme avant d’avoir pu profiter de notre gros cul…

Conseil gorge profonde n°2 : Bien s’entraîner.

Avant l’étouffement, qui, nous allons le voir peut décupler le plaisir de la femme, il y a hélas un réflexe naturel d’envie de vomir lorsque la queue désirée arrive au niveau de la glotte. Il faut savoir contrer et maitriser cela. Mesdames, c’est possible, mais il faut s’entrainer. Personnellement quand j’ai décidé que je voulais savoir faire une gorge profonde je me suis d’abord entrainée avec un concombre… Mais, bien évidement, un gode fait aussi l’affaire ou, s’il est patient et collaboratif, votre partenaire sexuel. Comme on n’y arrive pas du premier coup ce n’est pas un truc à réserver à votre plan cul d’un soir. Si vous avez la chance d’avoir un sex friend sur la même longueur d’onde que vous c’est l’idéal.

Conseil gorge profonde n°3 : Persévérez, le jeu en vaut vraiment la chandelle.

Sucer comme une star du X n’est pas donné à toutes les femmes. Si vous maitrisez la technique de la gorge profonde aussi bien qu’une actrice porno je peux vous assurer que cela ne laissera pas votre partenaire indifférent qui aura véritablement le sentiment d’avoir en vous une vraie chienne au lit. Ce qui accroit l’excitation et le plaisir de monsieur est tout bénef pour vous madame. Sucé à fond d’une manière qu’il n’osait espérer il saura vous combler en retour soyez en certaine !

Comment faire une gorge profonde astuce n°4 : Flirtez avec les limites de la suffocation.

Bien sûr, encore une fois, attention, cela est réellement dangereux. Même si les accidents sont, je pense rares, ils existent peuvent être dramatiques. Mais croyez moi aussi, la jouissance sexuelle est décuplée par le manque d’oxygène. Vous êtes majeures et vaccinées, c’est à vous de choisir mais en connaissance de cause. Si vous décidez, comme moi, de vous engager dans cette voie, je vous conseille de vous entrainer à l’apnée. Faites des longueurs de piscine sous l’eau, si vous êtes parisienne retenez votre respiration entre deux stations de métro. vous verrez qu’en quelques semaines d’entrainement secret et quotidien votre temps d’apnée ira en s’améliorant. Le rythme cardiaque souvent accéléré pendant les ébats sexuels a bien sûr un effet négatif sur votre apnée. Donc, essayez de vous détendre et de vous calmer. Messieurs, à vous de jouer pour aider en ce sens…Personnellement quand je suce j’aime que l’homme me caresse la chatte ou mette sans violence un doigt dans mon cul. Cela m’aide à me détendre et je peux y aller plus à fond.

Conseil gorge profonde n°5 : N’en faites pas une fixation

Ne misez quand même pas tout sur la fellation en gorge profonde ! Il n’est rien de pire pour une femme qu’un amant qui crois qu’en nous faisant un cunnilingus prolongé et talentueux cela suffira à nous combler. C’est très décevant de jouir sous la langue d’un amant pour au final ne gouter que quelques maigres minutes à sa bite peu endurante. Je suis loin d’être experte en désir masculin mais j’imagine que c’est pareil pour les hommes. Une très bonne suceuse qui manque ensuite d’entrain et d’imagination pour la baise doit être plutôt décevante. Mon conseil est donc de ne pas vous concentrer uniquement sur la fellation. griffez les fesses de l’homme en même temps, frottez votre chatte à sa jambe, masturbez vous. Et n’allez pas systématiquement jusqu’au bout en le laissant éjaculer dans votre gorge. Sachez considérer cela comme un super préliminaire. Laissez lui des forces pour votre cul par exemple.

Conseil gorge profonde n°6 : Soignez le look !

C’est un conseil « vestimentaire ». Je trouve que cette façon extrême de sucer va très bien avec un collier ras de cou qui suggère une bonne soumission et accroit le sentiment de puissance de votre partenaire. Ou alors, si vous êtes, comme moi, sophistiquée un collier perles pour faire bien bourgeoise peut être très approprié. Voire même, je viens d’y penser, un serre tête en velours ! Ca je le garde en tête et je vais essayer prochainement, je vous raconterai. Comme pour toute pipe, le plaisir des yeux de monsieur est primordial. Mettez vos nichons en valeur, que vous ayez des seins naturels ou superbement siliconés faites tout pour qu’ils participent. La gorge profonde peut avantageusement être précédée d’une cravate de notaire ou branlette espagnole.

Comment faire une gorge profonde truc n°7 : Position gagnante.

Enfin, une dernière astuce qui peut vraiment vous aider concerne la position. Lorsque vous êtes en gorge profonde la queue est dans le prolongement de la trachée. Surtout quand l’homme l’a bien longue cela peut être difficile à genoux ou dans une position de fellation classique. Surtout quand on manque d’entrainement. Un position que je trouve alors idéale et d’être allongée sur le dos avec la tête en arrière dépassant du rebord du lit. Dans cette position mon amant peut me tenir la tête et m’enfoncer la bite au plus profond. Quand je veux respirer je suis aussi bien placée avec mes mains pour le repousser le temps de reprendre quelques goulée d’air.

Voilà, j’espère que cela sera utile à certains et certaines. Messieurs, partagez ce post. Dites vous que plus de femmes le liront, plus vous aurez de chance que cette pratique se répande et ne reste pas cantonnée aux scènes de films pornographiques. Cela serait dommage, avouez le !

Comment faire une gorge profonde, conseil n°8 : cherchez une petite bite !

Cela peut paraître con mais je vous assure que ça marche ! Pour s’entrainer à pratiquer la gorge profonde il vaut mieux ne pas avoir un partenaire qui a un trop gros sexe ! Et oui, c’est une évidence mais qu’il est bon de rappeler : Un petit pénis passe mieux qu’une grosse bite !

Donc, si, comme moi, vous êtes sur cinq à sept ou sur copine de sexe autant demander en chatcam à voir la queue de votre plan cul avant d’aller plus loin ! Pour une fois que la petite taille est un avantage !

Quelques pornstars qui maîtrisent à merveille la gorge profonde

Avant d’être une MILF j’étais une adolescente sexy qui rêvait en secret d’un amant pervers comme ceux des vieux films porno des années 90. Une actrice asiatique me faisait rêver et je m’identifiais à elle : Tabata Cash. Orgies anales, partouzes avec gangbang et doubles pénétrations me laissaient un peu dubitative car j’étais débutante. Mais les scènes de fellation où elle avalait jusqu’à la garde le mettaient en émoi.

Trucs et astuces pour devenir la reine de la turlutte

Faire un bon pompier ne s’improvise pas. Vous l’avez compris. Que vous soyez une jeune beurette débutante, une femme mature ou une cougar expérimentée, sachez que l’on peut et l’on doit toujours s’améliorer. Les chiennes comme les pouliches ont besoin d’entraînement et de dressage. Donc entraînez vous. Rappelez vous que la fellation n’est pas forcément un préliminaire. Cela peut être une petite gâterie gratuite et appréciée. Ne perdez pas une occasion de sucer. Ne soyez pas obsédée par la pénétration. L’homme est un voyeur bien souvent. S’il peut mâter votre gros cul dans le miroir d’une cabine d’essayage pendant qu’à genoux vous prenez sa belle queue entre vos doigts manucurés pour le branler avant de le lécher puis de l’avaler toute entière croyez moi il sera heureux.

Gorge profonde, n’en faites pas une fixette non plus !

Bon, tout cela est bien beau et sucer en Gorge profonde est effectivement très gratifiant quand on y parvient et je sais que pour le mec c’est juste génial. Mais n’en faites pas non plus un obsession. C’est une pratique difficile, qui demande de l’entrainement et de la patience. Pour bien sucer il n’est pas obligé de savoir faire une gorge profonde. Bien lécher les couilles, maitriser la branlette espagnole entre vos petits seins ou vos gros nichons c’est déjà mieux que 80% des femmes respectables qui aimeraient être plus coquines, croyez en l’amatrice de grosse queue que je suis. Si j’en ai le courage alors j’écrirai bientôt un autre article sur comment bien sucer. En attendant je suis preneuse de vos conseils, questions et remarques sur la gorge profonde ou la fellation en général.

Et si vous avez du mal à trouver une partenaire enthousiaste pour cette pratique vous pouvez tenter votre chance avec le moteur de recherche si dessous…Il est probable que vous y trouviez une petite salope rousse à la Chatte rasée toujours partante pour une bonne baise. En tous cas moi j’y suis et avec mes gros seins on aime sucer et se faire enculer.


C’est sans garanties mais ça ne coute rien d’essayer !

Grosse cochonne, j’ai testé à Macon

Grosse cochonne
lien vers un site où je fais la grosse cochonne

D’ordinaire j’affectionne plutôt les plans distingués, voire luxueux. Vous l’aurez compris si vous me lisez depuis quelques temps, je suis une femme qui aime les belles choses, les beaux hôtels et, même si j’ai une pratique sexuelle assez débridée, j’aime que cela soit fait dans un environnement agréable et je prends soin des moindres détails. Bref, je veux bien être une poule mais de luxe s’il vous plait ! A première vue tout le contraire d’une grosse cochonne vulgaire.

Pourtant un soir, dans un beau restaurant de Biarritz avec mon mari, je pensais (à juste titre !) être la femme la plus désirable de la salle. C’était sans compter sur l’arrivée d’une pouffe à gros seins en mini jupe ras la touffe, T-shirt à paillettes et rire aussi idiot que haut perché. Elle était au bras d’un homme en costume qui aurait pu être son père mais ne l’était sans doute pas… En général dans ce type de situation, aux différentes tables, les commentaires moqueurs sont la règle. Je voyais bien, moi, que derrière les quolibets, presque les insultes, chaque homme dans le restaurant brulait d’un désir aussi évident qu’inavoué. Et peu de femmes étaient dupes de la situation. Les « je suis sure que c’est une pute » proférés par les femmes respectables cachaient, j’en suis certaine, une gène et une jalousie pour l’effet que produisait la donzelle sur leurs petits maris. Eux tentaient de piquer le nez dans leur assiette. C’était peine perdue tant leurs regards étaient irrésistiblement attirés vers la table à côté de la fenêtre attribuée aux nouveaux arrivants. Je riais intérieurement de constater que ceux que le hasard avait placé dos à la grosse cochonne étaient pris d’une irrésistible envie de se lever pour aller aux toilettes.

Ce soir là mon mari, qui d’habitude se contente d’un minium syndical de samedi soir, s’est révélé presque à la hauteur, trouvant même le chemin de mon cul pour une sodomie qu’il n’avait jamais osé pratiquer avec moi. Bon, pas de miracle non plus, il reste mon mari. Sage et plan plan jusque dans notre lit conjugal. Je le soupçonne d’être bien plus fun avec ses maitresses levées sur internet. J’imagine qu’elle ne se gênent pas pour faire la grosse cochonne avec lui.

Je me suis souvenu d’un oncle qui disait toujours : « On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre ! » et j’ai d’un coup eu envie, pour une nuit, d’être cette grosse cochonne qui fait saliver les hommes et enrager les bourgeoises de province.

Je me créais donc un profil temporaire et spécial sur Rencontres hard. J’abandonnais la photo de profil suggestive avec mon visage et la remplaçais par une bien salace de grosse cochonne sans équivoque. Puis me concentrais sur les quelques lignes d’accroche :

« Trouverais-je un homme qui osera me sortir et m’exhiber en public habillée en grosse cochonne salope et sexy ? Pour cet homme qui n’aura peur ni des regards pleins de reproche des bourgeoises de Macon ni de la morgue jalouse de leurs époux je me ferai chienne en chaleur et sans tabous. »

Je signais d’un Tagrosse Cochonne comme pseudo.

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

Bien sûr, comme d’habitude, à peine mon profil posté les demandes pleuvaient sur le site. Je crois vraiment être dans le vrai quand je dis que ces sites de rencontre sont quand même mieux pour les filles comme moi qui ont le choix que pour les hommes comme vous qui devez vous faire concurrence pour convaincre un plan cul de votre ville que c’est avec vous qu’elle prendra son pied. Enfin, je ne vais pas m’en plaindre. Cette fois je choisissais différemment de d’habitude, non pas en fonction du physique qui me plaisait le plus mais justement en imaginant de l’effet que ferait notre couple sur les personnes que nous croiserions. Il me fallait un homme plutôt banal, si possible un peu enveloppé entre deux âges. Philippe, la cinquantaine bedonnante mais l’air plutôt enjoué et bon vivant, me plut immédiatement. En SexCam je reprenais tout naturellement mon accent de cagolle niçoise un peu simplette et j’insistais pour qu’il me sorte dans un beau restaurant aux alentours de Mâcon. Il me proposais l’O des vignes dans le charmant village Fuissé. Une fois n’est pas coutume, j’acceptais qu’il passe me « prendre » en bas de mon hôtel à Macon. Ce qu’il fit, tout fier de sa BMW 535 plus très neuve mais impeccablement entretenue et au cuir brun juste patiné comme j’aime. Je décidais de jouer les pipelettes intarissables tout le long de la route pour tester un peu sa patience. Je sautais du coq à l’âne, parlant indifféremment de ma passion pour les belles voitures, d’un ami d’enfance imaginaire qui tenais un restaurant en Provence, de son invitation à sortir de Macon que je trouvais « trop chou » et que j’étais toute émoustillée de rencontrer quelqu’un comme lui, bon vivant qui savait vivre et ne serai pas déçu avec moi. J’en faisais des tonnes et, beau joueur, lui souriait et me trouvait « vraiment fraiche et charmante » alors que je suis certaine qu’il se réjouissait d’avoir levé une grosse cochonne naïve à souhait.

J’avais donc décidé, niveau look, de me la jouer grosse cochonne ultra provocante. Jupe rose fluo très courte qui m’arrivait au ras des fesse avec une large ceinture en sky rouge, chaussures à talons aiguille rouges elles aussi et T-shirt ultra moulant blanc sans rien en dessous. J’avais hésité entre les bas et les collants. Les bas c’est sexy et les hommes adorent, mais avec la jupe vraiment très courte cela n’allait pas. J’avais donc une paire de collants rayés multicolores. Les rayures horizontales mettaient outrageusement en valeur le galbe de mes cuisses. Autant dire que notre entrée dans le restaurant ne passa pas inaperçue… Exactement comme je le rêvais, quatre tables avec des couples et une table de six personnes sur trois générations constituaient l’assistance. Tout sentait impeccablement la bonne bourgeoisie de province et, exactement comme à Biarritz trois semaines plus tôt aucun homme ne pouvait s’empêcher de jeter des regards furtifs. Sauf que cette fois c’était vers ma table que se portait leur attention ! Philippe semblait ravi, la serveuse (qui était aussi la patronne du lieu) semblait passablement contrariée à en juger par l’air pincé avec lequel elle prit notre commande. En bonne salope je demandais si l’on pouvait d’abord boire un apéritif avant de choisir le repas. Je voyais bien que la patronne avait envie d’expédier cela le plus vite possible et moi j’étais prête à tout pour faire durer et savourer ce moment rien qu’à moi. Triple kir royal, une bouteille de rouge à deux dont je sifflais plus des deux tiers pour accompagner le dîner qui était vraiment presque parfait ! J’ai souvenir d’un homard servi en deux fois vraiment très bien. Je continuais en mode pipelette, parlant et riant assez fort. Mon compagnon semblait s’amuser et faisait même semblant de s’intéresser à ma conversation sans queue ni tête. Moi je commençais à être bien éméchée au moment du dessert. Philippe, en vrai gentleman, demanda si je voulais un digestif. Normalement c’est la patronne qui doit offrir cela d’elle même mais, allez savoir pourquoi, elle ne le fit pas pour nous… Je choisi une poire et lui un calva qu’il me laissa boire se souvenant opportunément qu’il devait nous reconduire à mon hôtel. sur le chemin du retour j’avoue que je me suis endormie comme une loque sur son épaule et qu’il a du me réveiller une fois garé dans le parking de l’hôtel. Je me secouais un peu, m’excusais piteusement d’avoir dormi tout le trajet en lui assurant que c’était pour être bien en forme pour la suite. Il ne put réprimer un ouf de soulagement que je trouvais fort attendrissant.

Coup de chance, un autre client montait en même temps que nous dans l’ascenseur. Je me collais à Philippe de la manière la plus provocante possible. J’étais passablement alcoolisée et j’en rajoutais juste par perversité : »Dis, si je te suce pas assez bien tu vas me donner une fessée méritée ? Hein que tu vas t’occuper de mon petit cul de grosse cochonne mon chéri ? » je me collais encore plus et l’embrassais dans le cou. Je bois rarement autant car je n’ai pas besoin de cela pour me désinhiber. Mais là c’était diablement bon d’être limite saoule. Je tenais tout juste debout et devais m’accrocher à mon partenaire. Le grand type avec nous dans l’ascenseur était vert de jalousie. Exactement ce qu’il fallait pour m’exciter encore davantage. Mon Philippe n’osait pas trop bouger, mais je pense qu’il était bien content de la situation. En tous cas ma main dans la poche de son pantalon me laissait présager un bon moment sous peu !

Arrivés à notre étage nous sommes tous les trois sortis de l’ascenseur et Philipe me soutenais par la taille en m’entraînant vers ma chambre. Je lui avais laissé les clefs et lui étais réellement reconnaissant de quasiment me porter jusqu’à la porte. Du coin de l’œil je constatais ravie que l’autre trainait à ouvrir sa porte juste un numéro avant nous. Nous allions avoir un mur mitoyen et il n’allait pas être déçu !

A peine entrés dans la chambre j’enlaçais mon Philippe pour l’embrasser goulument. Il me pressais les fesses mais, gêné par le collant il ne savait pas trop où mettre les doigts.

-« T’inquiètes, tu auras accès à tout mon chéri. » le rassurais-je en déboutonnant sa chemise. Je parlais fort, espérant bien sur que notre voisin de chambre entendait. J’enlevais mon T-shirt pour coller ma peau contre la sienne. J’étais déchainée, sans doute aidée par l’alcool. Il fallait absolument que je le suce ! Je le poussais sur le lit et me mettais en position de 69 pour le sucer à fond, pressant ma chatte contre son visage.

-« Vas-y, déchire mes collants et bouffe moi ! » Je criais presque saoule comme une grosse cochonne.

Il ne se fit pas prier et je me souviens distinctement du son que fit le tissu en se déchirant. Je le suçais copieusement et lui me fouillait avec ses doigts et sa langue. J’avais les seins pressés sur sa bedaine et je ne sais pas lequel des deux suait le plus ! D’habitude j’aime les hommes bien faits mais là cela m’était égal. J’étais sa grosse cochonne en chaleur et rien d’autre que cela ne comptait à cet instant.

-« T’as promis que t’allais m’enculer hein ?! Tu prendras un peu ma petite chatte en levrette avant hein ! ». C’était trop bon de tout décrire, certaine que le voisin, seul comme un con, entendait.

Philippe avait bien moins bu que moi et il fini de ravager mes collants pour me prendre par derrière d’abord en levrette, me tirant pas les cheveux. Enfin il se lâchait aussi verbalement : « T’es une bonne grosse cochonne, j’adore ta chatte, vas-y, bouge comme une truie, couine un peu pour voir, t’aime ça hein ma salope. T’es ma grosse cochonne hein ? Ma bonne grosse cochonne rien qu’à moi ! Couine le moi, te gêne pas ! »

« Oh oui, je suis ta grosse cochonne, tu peu m’enculer comme une chienne, vas y prends mon cul, fais toi plaisir ! ».

Il ne fallait pas le lui dire deux fois. Il du presser un peu pour rentrer mais bourrée comme j’étais ça ne fut pas trop difficile de me détendre. Je couinais et continuais à faire ma grosse cochonne pour l’encourager. J’ai connu bien plus violent mais c’était tout de même très bien. En tous cas il ne semblait pas se fatiguer et nous priment un rythme bien régulier. J’avais le front juste contre le mur et le cognait à chaque fois qu’il s’enfonçait en moi. Je jubilais de penser à ce que le pauvre voisin devait endurer.

On a baisé comme ça assez longtemps puis dormi, puis rebaisé, puis redormi puis rebaisé avant de nous doucher pour descendre au petit déjeuner.

L’autre était là, la mine mauvaise. D’autres clients aussi tournaient autour du buffet des croissants, bacon et œufs brouillés. Leurs regards noirs prolongeaient mon plaisir sadique. J’étais pour encore quelques minutes une grosse cochonne comblée !

Post scrotum : N’hésitez pas à commenter et à partager, car tout est bon dans la grosse cochonne !

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Une fois n’est pas coutume, je fais cadeau de cette page à une copine qui veut se faire une peu de publicité. Mes excuses par avances aux lecteurs qui attendent une de mes nouvelles aventures…

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ma photo de profil sur Asiat Messenger

 

Sawadi à toi qui arrives sur cette page. Tout d’abord un grand merci à ma copine Lucie qui accepte gentiment de me prêter un espace pour parler un peu de moi et me faire un peu de publicité.

Mon nom est Lamoon, ce qui veut dire douceur sans fin en Thaï. Je suis stripteaseuse professionnelle depuis maintenant 3 ans. Deux soirs par semaine je me produit dans une boite à Pole dance de Lyon. J’aime cela et je n’en ai pas honte mais je trouve que c’est injuste que 90% de ce que dépensent les clients aillent dans la poche du propriétaire du bar alors que nous, les danseuses, ne devons compter que sur nos pourboires pour nous en sortir. Il ne faut pas croire que toutes les danseuses sexy sont des prostituées. Oh, bien sûr j’ai des copine qui partent avec les clients et se font payer pour des prestations disons moins sages. Mais c’est loin d’être la règle. Moi j’ai besoin pour aller plus loin qu’une danse de savoir à qui j’ai à faire, de parler longuement, de plaisanter, éventuellement de construire une mini relation sur plusieurs fois. C’est pour cela que, au final, je préfère la SexCam avec chat de chez moi aux prestations en live dans une boite à striptease. En plus, même si pour le client (que je préfère appeler partenaire) c’est bien moins cher, je touche pratiquement autant car il n’y a pas le patron de la boite qui se sert au passage !

En SexCam j’aime danser, écarter mon string délicatement pour glisser un doigt dans mon minou tout étroit tout en chattant avec mon partenaire. J’aime suivre ses instructions, rentrer un second doigt exactement quand il me le demande et caresser juste sur le bord sur ses ordres. J’adore quand le spectateur m’impose de rester juste au bord alors que j’ai envie de me faire jouir. C’est maxi excitant d’être comme téléguidée par un spectateur qui sait me diriger comme un metteur en scène. Si j’ai eu un bon feeling alors il arrive que je donne mon pseudo sur Asiat Messenger pour aller plus loin et nous rencontrer pour de vrai et cette fois juste pour mon propre plaisir avec l’homme que j’ai librement choisi. Car, on a beau dire rien ne remplace le contact de la peau, la vraie chaleur d’un sexe d’homme entre mes seins, entre mes lèvres ou frappant sur mon petit cul rebondi. Alors, si le garçon est vraiment bienveillant, s’il sait se comporter en gentleman et suit par exemple les conseils que j’ai pu lire sur ce blog en matière de sodomie, il est possible que je place mes mains sur mes fesses pour les écarter et ouvrir le passage là où je n’accepte que très très peu d’amis…Voilà, je crois que tout est dit. Je veux être sincère en écrivant que c’est quand même rare que j’accepte de rencontrer en vrai mes partenaires SexCam. Mais quand un homme a réussi, rien qu’en me guidant à distance, à me faire jouir alors il a vraiment toutes ses chances !

 

Note de Lucie : Je mets ci dessous un lien dynamique vers deux sexcameuses en ligne actuellement sur ton site de webcam sexy – histoire de rentabiliser un peu ;o) –

 

Site de rencontre plan cul pourquoi je les aime ?

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Site de rencontre plan cul, une sélection

 

Souvent des copines me demandent pourquoi je suis accro à mon site de rencontre plan cul alors qu’elles pensent que si j’ai vraiment envie de tromper mon mari je n’ai qu’à lever le petit doigt pour avoir à peu près n’importe quel homme normalement constitué dans mon lit. Là j’ai envie de leur répondre que c’est plutôt dans ma bouche ou dans mon cul que j’ai envie d’avoir un homme mais comme certaines restent un peu prudes je préfère ne pas choquer…

Voici donc sept bonnes raisons pour lesquelles je préfère un site de rencontre plan cul aux autres modes de drague plus « traditionnels ». J’ai choisi sept mais je pourrais en donner davantage. C’est juste parce que ce chiffre me fait penser aux sept péchés capitaux.

Numéro 1 : Les règles du jeu sont claires

Avec un site de rencontre plan cul les règles du jeu me semblent infiniment plus claires que dans les autres lieux de drague. Un mec même levé en boite peut vite devenir lourd et collant. Ce n’est pas parce que j’ai ouvert mes cuisses longilignes à la main qui remonte vers ma culotte lors d’un roulage de patin en boite que cela veut dire que j’ai envie de me promener au marché du dimanche matin suivant main dans la main. Un homme branché sur un site de rencontre plan cul aura un comportement bien plus simple et réglo vis à vis des à côté de notre partie de jambes en l’air. C’est en tous cas ce que j’ai pu constater en presque deux ans de pratique.

Numéro 2 : Moins de faux plans que sur FB ou Tinder

Un site de rencontre plan cul est en général payant pour les hommes qui y sont inscrit. En tous cas passé l’offre d’essais gratuite. Cela permet de faire le tri entre les jeunots pas sérieux qui veulent juste s’amuser à distance et donnent des rencards auxquels ils ne se présentent jamais ou ne sont intéressés que par une relation épistolaire à la FB. En répondant uniquement aux hommes du site de rencontre qui y sont inscrits depuis un certain temps je suis certaine d’avoir à faire à un candidat sérieux. Pareil pour Tinder, j’ai essayé (comme tout le monde) et je me suis vite rendu compte que l’application est victime de sa popularité et abrite trop de curieux qui n’iront pas jusqu’au bout. En plus j’aime planifier précisément mon plan cul. Si j’ai envie d’une fessée déculottée autant l’indiquer dans mon profil plutôt que de juste mettre une jolie photo pour plaire à un minet qui ne saura pas s’y prendre avec moi.

Numéro 3 : Site de rencontre plan cul, un vrai gain de temps

Il ne faut pas croire, je ne suis pas une affamée de cul qui se fait culbuter par cinq mecs différents par semaine. Mon rythme idéal c’est plutôt un ou deux, voire trois plans cul adultères bien préparés par mois à l’occasion de mes déplacements professionnels. Pour cela un site de rencontre plan cul est très pratique. Je « drague » tranquillement à distance les jours précédant mon déplacement et mon amant choisi avec soin et chauffé à blanc par sexcam me rejoint le soir à mon hôtel. Avec le taff que j’ai je me vois mal sortir dans un bar ou en boite pour draguer après mes rendez vous commerciaux pour au final ramener un mec alcoolisé dans ma chambre à deux heures du matin. Souvent je dois me lever tôt et être en forme pour mon boulo.

Numéro 4 : L’écrit, la distance et l’anonymat désinhibent

Ce n’est plus un mystère, j’aime écrire. Et j’adore qu’un mec me chauffe en m’envoyant des sextos. J’ai pu remarquer que la distance et l’anonymat que garanti un site de rencontre plan cul désinhibe beaucoup les hommes et qu’ils se lâchent bien plus ainsi en me proposant des plans bien hard et très inventifs. Nous parlons accessoires et costumes, ce que je me vois mal faire dans un bar avec un parfait inconnu même si je le sucerai plus tard.

Numéro 5 : Sexcam et site de rencontre plan cul

Celle ou celui qui n’a pas essayé sérieusement la sexcam ne peut pas comprendre. Dire que ce n’est pas du sexe et qu’il ne s’agit que d’un Ersatz de relation sexuelle n’a rien compris. Le site que j’utilise offre bien sûr la possibilité de faire de la sexcam de manière sécurisée et anonyme. C’est ultra excitant et cela permet d’utiliser des objets insolites pour le plus grand plaisir des deux côtés de la webcam. En plus une fille peut s’inscrire sur un site de show payant et faire quelques sous en s’exhibant, que demande le peuple ?

Numéro 6 : La géolocalisation, atout majeur du site de rencontre plan cul

Pas la peine de vous faire un dessin, avec mes déplacements aux quatre coins de l’hexagone c’est une fonctionnalité primordiale d’un site de rencontre plan cul pour moi.

Numéro 7 : Plus facile de dire non

Sur un site de rencontre plan cul on peut toujours dire non ou ignorer les demandes qui ne nous intéressent pas. Chacun est là pour faire des rencontres et personne ne va perdre son temps à vous harceler pour avoir un rendez vous ou pour échanger. C’est bien différent de FB où les pop-up messages n’arrêtent pas dès que vous mettez une photo un peu sexy ou que vous manifestez de l’intérêt pour le sexe. Ne pas répondre sur FB est considéré comme impoli alors que sur un site de rencontre plan cul cela n’a pas de conséquence et chacun passe vite à autre chose.

Voilà, bien sûr ce que je dis dans mes autres articles reste vrai et hélas pour vous messieurs, il y a bien moins de femmes que d’hommes sur ces sites de rencontre hard et on y croise beaucoup de faux profils. Mais sachez que je suis assez intarissable sur la question dès que nous buvons quelques verres entre copines et que j’ai déjà réussi à convaincre trois de mes amies d’essayer. Voyez je ne suis pas ingrate et je travaille pour vous afin que plus de filles sautent le pas comme moi ! Si vous vous demandez quel site choisir ou même pourquoi vous inscrire sur un site vous pouvez aussi lire cet articles sur le sujet : Comment choisir un site de rencontre plan cul choisir

Bonne ou mauvaise n’hésitez pas à partager dans les commentaires vos expériences de sites de rencontre.

Sodomisée sur une chaise pour la première fois

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Site de rencontre plan cul, une sélection

Mes autres articles

Par derrière sur une chaise

Cette fois j’ai bien soigné mon profil sur infidèle Messenger pour un plan explicitement SM dans lequel je promets d’être bien soumise et docile. Jusqu’à présent je n’osais pas trop, me contentant d’allusions coquines mais sommes toutes assez sages. Et puis il y a quelque jours je me suis dis que finalement si c’est de cela dont j’ai envie pourquoi me réfréner et le cacher. Je me souvient de Sylvia Saint sodomisée sur une chaise dans le Labyrinthe et en pensant à elle mon profil devient donc, pour mes deux jours à Clermont Ferrand le suivant :

« J’ai bien peur d’avoir été très vilaine, j’ai eu des pensées impures et infidèles en regardant le frère de mon mari. Comme il est hors de question que je m’engage dans une aventure familiale dangereuse il me faudrait un homme qui accepte de me punir pour cela et de me faire passer l’envie de coucher avec mon beau frère.

Post scrotum : Très envie d’être attachée et sodomisée sur une chaise »

Je reconnais que c’est un peu tiré par les cheveux mais il y a pas mal de vrai derrière cela et justement, tirée par les cheveux ça pourrait me plaire…Pour plus de sureté j’ajoute la photo de profil qui va bien (Merci Marco pour la photo !)

ma photo de profil sur asiat messenger et infidèle messenger
ma photo de profil sur asiat Messenger et infidèle Messenger

 

Et me voilà submergée de demandes pour ma soirée Clermontoise ! Je choisi sans trop hésiter celui qui m’a l’air le plus sérieux. Quarante ans, bien habillé athlétique et très blond.

A peine entrés dans la chambre d’hôtel il m’ordonne de me dévêtir entièrement. Il a un léger accent nordique que je trouve très sexy. Je me retrouve agenouillée sur une chaise et il m’attache les mains dans le dos avec l’un de mes bas. Etre ainsi attachée est une première pour moi et je dois dire que c’est aussi inquiétant qu’excitant.

Il déboucle sa large ceinture de cuir et je prends peur en me disant qu’il va me fouetter avec. C’est sûr que c’est exactement le type de situation que je désirais mais, d’un autre côté, je n’ai pas vraiment envie de me retrouver avec des marques trop importantes sur les fesses qu’il faudrait « expliquer » à mon époux légitime dans trois jours. Mais c’est un peu tard maintenant pour reculer et je ne veux pas passer pour une poule mouillée. Même si, à bien y réfléchir, je suis une poule et je mouille carrément !

Je pense qu’il a saisi à mon regard l’angoisse qui me prend car il souri d’un air que je juge assez sadique en me contournant. Il fait d’abord glisser la sangle sur mes fesse lentement sur toute la longueur. Je m’attends au pire mais n’ose pas bouger, encore moins protester. Il serre la ceinture contre mes deux fesses et fait descendre lentement le long de mes cuisses jusqu’au dessus des genoux. Là il s’arrête finalement et fait passer la bande de cuir dans la boucle pour finalement serrer le tout fermement. Apparemment ce n’est pas de l’improvisation car il y a bien un trou supplémentaire à la ceinture qui permet de serrer mes cuisses l’une contre l’autre. Ne pouvant plus écarter les cuisses je commence à comprendre que ma chatte et mon anus vont se trouver bien plus étroits maintenant. Mais je ne soupçonne pas encore que c’est loin d’être le seul « avantage » de la situation pour mon amant. Déjà le revoilà face à moi, cette fois sans pantalon et apparemment très en forme ! J’avance ma tête autant que le permet ma position passablement entravée car j’ai vraiment de lui montrer ce que sais faire avec ma bouche. Et puis sucer attachée sur une chaise serait une première pour moi. Il me revient une image d’enfance où une tortue que nous avions essayais d’avancer sa tête vers une feuille de laitue. Mais il prend un malin plaisir à se tenir juste à une distance qui ne me permet de sucer uniquement de gland bien décalotté. ça me rend folle, je tire la langue le plus possible pour essayer de lécher mais sans beaucoup de succès. A tel point que la chaise bascule en avant. Un cri m’échappe alors car j’ai peur de me fracasser la tête en tombant mais heureusement il retient la chaise au dernier moment et moi je me mets à pleurer comme une conne tellement j’ai eu subitement peur. Il se fait cette fois plus tendre et me caresse les cheveux en acceptant enfin d’approcher à portée. Je suce goulument. Mes larmes coulent toujours mais c’est de soulagement et de plaisir car ses mains sur ma tête ne sont pas brutale mais juste encourageantes et caressantes comme il faut. C’est bon, incroyablement bon, je voudrais me caresser en même temps mais j’ai toujours les mains attachées dans le dos. Alors j’essaie quand même d’atteindre ma chatte par derrière avec mes doigts mais je ne parviens qu’à atteindre mon anus.

-« Attends, si tu veux t’occuper les mains j’ai quelque chose pour toi. »

Il prend une bouteille jaune d’huile de tournesol (le modèle 1 litre), l’ouvre et me la met dans les mains toujours liées dans mon dos. Je sens l’huile couler le long de ma raie et sur mes cuisses serrées.

-« T’inquiète, ça coule lentement, tu as le temps, bouge un peu, j’en veux aussi sur ton dos et surtout sur tes fesses ma belle. Mais surtout t’arrête pas de sucer, ça tu le fais très bien. »

Pour joindre le geste à la parole il prend mon menton dans sa main qu’il a plutôt grande et presse mes joues. Je fais de mon mieux pour continuer à sucer bien goulument en me concentrant aussi sur la bouteille que j’essaie tant bien que mal de promener sur mes fesses et le bas de mes reins.

Lorsque la bouteille est enfin vide il passe derrière moi et je sens sa bite remonter entre mes cuisses toujours maintenues serrées par sa ceinture. La sensation est assez étrange et frustrante avec l’huile. Pour lui j’imagine que c’est bien car sa queue glisse tout en étant serrée mais moi je meurs d’envie de l’avoir dans ma chate ou dans mon cul. Mais il continue à me baiser les cuisses serrées en prenant plaisir à ma frustration. Heureusement, petit à petit je sens qu’il remonte et maintenant à chaque va et vient sa queue frôle ma chatte. A chaque passage j’essaie d’aller à sa rencontre mais il se dérobe au dernier moment. Quand il m’encule enfin c’est comme une délivrance. Mes jambe toujours serrées par sa ceinture et l’huile qui m’a bien lubrifié l’anus font merveille. J’ai l’impression de sentir parfaitement chaque veine de sa bite dans mon cul. Au lieu de me défoncer comme ça m’est déjà arrivé il prend au contraire tout son temps avec un va et vient délicieusement lent dans mon cul. Je crie quand il jouit hélas un peu trop tôt à mon goût tellement j’aurais aimé que cela ne s’arrête jamais. En vrai gentleman il me détache après s’être rhabillé. Autant vous dire qu’après un plan comme ça je n’ai plus du tout envie de coucher avec mon beau frère. Je préfère de loin continuer à faire des rencontres d’un soir sur internet. Enfin, si elles pouvaient toute être comme celle ci !

 

Plug anal, j’ai testé au Mans

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Site de rencontre plan cul, une sélection

Le plug anal, je dois avouer que si un mec ne m’en avait pas mis un par surprise lors d’un plan cul un peu improvisé au Mans je n’aurais jamais eu l’idée d’utiliser un plug anal. Tout d’abord, il faut savoir que je suis plutôt nature et que, de ce fait, j’adore une vraie bite bien dure que ce soit en bouche, dans mon minou ou (si c’est bien fait) par derrière.

Je m’y étais prise un peu à l’arrache cette fois car le déplacement m’était tombé dessus de manière impromptue et il fallait que je sois au laboratoire Gambetta du Mans avant la fin de la semaine si je voulais avoir une chance de conclure avec ce client. Ma seule possibilité était de prendre rendez vous le samedi matin. Je déteste cela car le WE s’en trouve écorné mais comme j’ai une grosse part de salaire variable il faut parfois savoir faire des concessions. Et puis je me disais que, pour une fois, cela serait une occasion de sortir en célibataire un vendredi soir. Une fois n’est pas coutume, je décidais de renoncer à la facilité d’une rencontre via infidèle messenger pour essayer de me faire draguer en direct « in situ ». Je repérais sur Google Map le Soukala, un night club à deux pas de mon rendez vous et de l’hôtel Ibis où je prenais donc une chambre.

Le problème avec les déplacements professionnels c’est que l’on peut vite s’ennuyer le soir. Je ne voulais pas arriver trop tôt à la boite car je sais d’expérience qu’avant minuit ça ne bouge pas vraiment dans ce type de boite africaine. Je mangeais donc un peu seule place de la république puis remontais à ma chambre d’hôtel. Pour ne pas tourner en rond comme une lionne en cage je décidais de voir l’effet que ferait ma tenue du soir sur des mecs en chat et SexCam. C’est une habitude que j’ai prise. Cela me permet de bien me chauffer et, si j’arrive à brancher vite un mec sur un plan Sexcam juste avec une tenue un peu provocante, alors je me dis que cela me portera chance pour la vraie soirée. Je plaçais donc la GoPro en mode WebCam avec une vue bien cadrée sur le lit et réglais l’ensemble pour que l’on puisse me mâter en train de m’habiller.

Ecrivez moi si je me trompe mais j’ai remarqué que les mecs semblent prendre autant de plaisir à voir une belle fille s’habiller que se dessaper. Une fois sortie de la douche j’enroulais mes long cheveux dans une serviette tout en surveillant du coin de l’œil le Macbook et le compteur des voyeurs connectés à ma webcam. Déjà quatre, c’était plutôt bon signe. Je décidais de mettre juste un porte jarretelles et une paire de bas noir sans culotte ni string. J’aime dérouler lentement les bas le long de mes jambes puis accrocher au porte-jarretelles. Sur le macbook ça commençait à crépiter avec les mecs qui me demandaient si je pouvais rester comme ça et me caresser un peu. Mais je décidais pour le moment de les ignorer pour passer une robe moulante en laine noire. Sans soutif l’effet me semblait parfait laissant deviner de petits tétons dardant sous la maille fine. Je posais un petit miroir à côté de la GoPro pour me mettre un rouge à lèvres exactement coordonné avec les semelles des vraies Louboutin que je chéris plus que tout en ce moment. Je faisais tout cela en prenant mon temps, sachant fort bien l’effet que cela devait avoir sur les mecs connectés qui me mâtaient sans que je prenne la peine de leur répondre pour le moment. Je me faisais une queue de cheval toute simple et ajoutais à mes oreilles une paire de grandes boucles créoles dorées. Il était à peine onze heures aussi je tuais le temps à chatter avec quelques plans potentiels autour de Montpelier où je dois passer du temps avant juillet. Il y a en particulier un homme qui me semble très cultivé et suffisamment autoritaire pour me promettre une séance de fessée sur laquelle je commence à énormément fantasmer. Mais cela est une autre histoire. un peu avant minuit je complétais ma tenue d’un manteau en vraie fourrure de loup pour enfin partir à la découverte de cette boite à Zouk du Mans en me faisant tout un film sur un beau black qui saurait s’occuper de moi comme j’aime.

Plug dans le cul, la bonne surprise !

Cela s’avéra encore plus facile que je ne le pensais. A l’exception de quelques beaufs au bar et de deux nanas plutôt banales j’étais la seule blanche de la soirée. Après quelques punchs bien tassés tous offerts par des mecs qui semblaient morts de rire sans que je sache vraiment pourquoi je me retrouvais à zouker collée serrée avec un beau black entre trente cinq et quarante ans, grand et très bien bâti. Il devait être habitué du club car il m’entraina assez vite dans une petite salle isolée qui ressemblait à une loge de théâtre. J’étais déjà bien alcoolisée et je dois dire qu’il embrassait très bien. Pour le moment je ne regrettais vraiment pas du tout d’avoir prolongée ainsi ma semaine de taff !

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

Je profitais donc que nous soyons dans une loge pour sortir mon tube de rouge à lèvres et m’en remettre un peu car je sais que c’est un geste qui peut être excitant. Comme il relevait ma robe pour découvrir mes fesses nues je m’attendais à ce qu’il me baise par derrière. J’avais un peu d’appréhension car même si j’étais passablement excitée je sais d’expérience que ce type de position peut tourner au fiasco si le mec n’assure pas. Mais ce n’était finalement pas son intention.

-« Attends, j’ai un cadeau pour bien te préparer ma jolie »

Il sortit une bouteille de rhum agricole de je ne sais où et rempli à ras bord un verre à cocktail contenant un plug anal lui aussi en verre. Tout étant parfaitement transparent le plug anal en devint presque invisible. Il prit le plug tout mouillé d’alcool pour l’appuyer entre mes fesses tout en me portant le verre aux lèvres. Je buvais cul sec alors qu’il enfonçait le plug dans mon cul qui ne l’était plus, sec. L’alcool me brulait l’anus mais j’était de toutes façons déjà chaude comme une baraque à frittes. Je pensais qu’on allait baiser là et je n’étais vraiment pas contre, surtout que j’avais très envie de vérifier si sa queue était à la mesure de mes fantasmes. Mais il rabaissa ma robe et me pris par la main pour retourner danser.

Vers 2 heures du mat c’était moi qui était obligée de lui demander s’il pouvait me raccompagner à mon hôtel avant que je meure d’une overdose de zouk.

-« En plus je dois me lever pour un rendez vous à 9h et j’ai l’impression qu’on n’est pas encore couchés » ajoutais-je en appuyant ma main sur la bosse que faisait son sexe à travers la toile de son costar en satin.

Il ne fallait pas le lui dire deux fois. Quelques secondes plus tard j’avais récupéré ma peau de louve toute prête à faire ma chienne. Nous marchions à grands pas, courant presque dans la rue déserte vers mon hôtel. Après avoir dansé avec un plug anal dans le cul, autant vous dire que marcher avec un plug anal n’était pas difficile. Surtout j’étais tellement excitée que je ne me souviens pas avoir trouvé cela difficile. Aussi j’étais déjà passablement essoufflée quand il fit passer ma robe par dessus ma tête avant de pousser sur le lit en bas et porte-jaretelles.

« Toi, pas bouger et surtout pas dormir, je reviens très vite » me dit-il avant de disparaitre dans la salle de bain, pour je suppose assouvir un besoin fort naturel. C’est à ce moment que j’en ai profité pour faire une chose que vous découvrirez à la fin du post…

Quand il est sorti de la salle de bain il était enfin nu et plus que sa bite longue et belle c’est surtout sa musculature parfaite qui m’a impressionnée. Le mec, en plus d’avoir la peau très noire était tout en muscles sans pour autant paraitre sur gonflé comme certains culturistes. J’étais assise sur le bord du lit et il m’a d’abord prise fermement mais sans brutalité excessive par ma queue de cheval pour me faire comprendre que j’allais commencer par sucer la sienne et qu’il verrait ensuite ce qu’il ferait de moi. Encore un peu saoule je m’appliquais de mon mieux. Il l’avait vraiment bien longue et même en y allant à fond il n’était pas possible que je le suce jusqu’à la garde comme je le fais parfois. J’essayais de me rattraper en lui léchant bien les couilles et en l’avalant tout de même le plus loin possible. Heureusement il semblait apprécier et m’aidait en appuyant ma tête avec juste ce qu’il faut de force pour gagner un ou deux centimètres sans pour autant me faire trop mal.

Après s’être laissé faire comme cela debout assez longtemps (je n’ai pas mesuré mais ça m’a paru une des plus longues fellations que de mon histoire) il m’a prise par la taille et m’a soulevée comme si je ne pesais pas plus qu’une poupée de chiffons. C’est là que j’ai compris que le type était vraiment fort. Il était toujours debout, j’avais la tête en bas et il roulait un patin à ma chatte alors que j’essayais maladroitement de continuer à le sucer ainsi à l’envers. En même temps que le cunnilingus il faisait entrer et sortir le plug anal de mon cul. A chaque fois c’était un peu douloureux mais très excitant. Je pense que cette position eu pour effet de faire remonter un peu de sang à mon cerveau et même si je commençais à avoir un peu mal au crâne je sentais que je dessaoulais et que la nuit était loin d’être terminée. En me déposant enfin sur le lit il m’a complimentée sur ma chatte intégralement rasée et bizarrement je me suis sentie bien plus flattée que s’il m’avait parlé de ma coupe de cheveux où même de ma silhouette. J’avais toujours le plug dans l’anus et quand il m’a pénétrée j’ai compris avec délice tout l’intérêt de la chose. Il me ramonait la chatte et en même temps je sentais de l’autre côté le plug qui faisait pression contre son sexe sur la paroi de l’autre côté. J’en hurlais littéralement de plaisir. Je ne suis pas timide et d’habitude je n’ai pas à me forcer pour gémir ou couiner. Mais là c’était carrément des cris qu’il obtenait de moi. Et du coup, lui y allait aussi de plus en plus fort en me gueulant dessus de continuer à crier pendant qu’il « m’éclatait ».

-« Je vais t’éclater ma belle, tu vas plus pouvoir marcher, j’vais te péter les jambes. »

J’avoue que là, en même temps que je jouissais j’étais un peu inquiète car le type en était physiquement tout à fait capable. Avec ses grandes mains me tenant les genoux je me sentais aussi fragile qu’une cagette pour démarrer le feu de cheminée.

Comme il ne semblait pas fatiguer je finissais, moi, par lui crier d’arrêter, de me laisser reprendre mon souffle. Mais il ne m’écoutait plus et continuait à me défoncer la chatte. Difficile de me souvenir de tout car j’étais alors dans un état second. Je me souviens qu’il ma retournée tout aussi facilement pour enlever le plug anal et le remplacer par sa queue. C’est rentré vraiment tout seul sans problème et franchement c’est plus la pression de tout son corps sur moi et ses assauts violents qui me faisaient mal que mon cul lui même que je ne sentais plus trop mais que je sais maintenant capable d’encaisser pire. Quand il a finalement joui j’étais de mon côté au bout du rouleau mais j’avais quand même la force de lui demander si ça ne l’embêtait pas de me laisser dormir seule. Il m’a paru un peu surpris mais, heureusement, n’a pas insisté pour rester.

En me levant à la sonnerie de l’iphone à 9h j’éteignais la GoPro et le MacBook. Je ne sais pas pourquoi mais cela m’avait paru sur le moment une bonne idée de rallumer quand il était dans la salle de bains. Par contre ce qui est stupide c’est que je ne saurai jamais si nous avons eu des spectateurs vu que le système ne garde pas en mémoire qui s’est connecté !

 

Plug anal offert au Soukala
Cela parait kitch et, ça l’est ! Mais j’y ai trouvé un plan cul aussi mémorable qu’anal !

Post scriptum : Depuis mon dépucelage anal au château c’est pour le moment de loin ma meilleure fois par derrière et surtout ma première avec un plug anal. Autant vous dire que je suis désormais un grande fan du fameux plug anal ! C’est assez rare pour être souligné…