Plan a 3, j’ai testé deux filles et un mec

plan a 3, mon ilustration un peu cracra
Me suis pas foulée pour l’image…je suis certaine que vous savez trouver mieux que moi des images de plan a 3 sur le net !

Très franchement je ne pense pas être bi. Chers amis hommes et ce que vous avez entre les jambes, je vous aime trop pour avoir envie d’une fille. Mais bon, à force de recevoir des commentaires sur le blog qui me demandent si un plan a 3 (je sais, il faut un accent sur le a à plan a 3. Mais Google préfère sans…Pardon donc aux puristes de la langue pour cette faute volontaire) me tenterait, à force de voir des profils de fille bi hyper chaudes je vous confesse que mes fesses se sont, à mon corps défendant, laissées tenter. En cette fin de mois d’aout qui, vacances familiales obligent, a été tout sauf torride, me voilà donc en quête d’un plan a 3. A peine mon profil réactualisé sur Yes Messenger je recevais trois demandes de couples en Bretagne pour un plan a 3, ma destination de cette semaine de rentrée. Deux me semblaient trop âgés à mon goût et surtout la femme ne me plaisait pas du tout. C’est marrant, quand je regarde un homme le physique ne m’importe pas tant que cela et j’arrive toujours à trouver quelque chose de sexy et attirant. Par contre pour que j’ai ne serait-ce qu’un début d’intérêt pour une fille il faut qu’elle soit vraiment très « bandante », si je puis m’exprimer ainsi en tant que nana. J’écartais aussi finalement le troisième couple dont la femme, jeune et blonde, était pourtant un vrai canon. Je me sentais mal à l’aise pour cette première expérience de plan a 3 d’être la pièce rapportée dans un couple complice. Je me suis alors aperçue que j’aime être celle qui organise le plan cul, à deux comme à trois.

A la recherche du plan a 3

Pour le mec ce fut facile, je décidais, une fois n’est pas coutume, de recontacter un ancien plan cul de Brest qui m’avait littéralement épuisée. Cela me semblait une bonne idée de ne pas laisser trop de place au hasard et je me disais que si nous étions deux nanas sur un mec il en fallait quand même un qui assure.

Michel semblait aussi surpris que ravi que je réapparaisse dans sa vie mais il m’avouait n’avoir pas de copine à qui proposer l’expérience. Enfin, il allait voir ce qu’il pouvait faire mais ne voulait surtout pas que cela empêche freine nos retrouvailles, même uniquement à deux. Bon, cela m’arrangeait pas du tout. Déjà que je ne revois jamais un ancien plan cul, je n’avais pas envie que cette exception à ma sacrosainte règle du « un coup, un soir et basta, ciao baby » soit faite en vain.

Je gardais mon Michel sous le coude et me mettais donc moi même en quête d’une troisième larone sur Asiat Messenger. J’ai toujours eu un petit fantasme Geisha. Et là, grosse galère ! Je me doutais que trouver une fille coquine sur internet n’était pas aussi facile que veulent le faire croire les sites de rencontre à plan cul a 3 ou simplement à 2. Mais je n’en avais jamais réellement fait l’expérience. Je trouvais des filles bien coquines en Bretagne qui me semblaient correspondre mais peu répondaient et je soupçonnais des faux profils. Celles qui me répondaient voulaient soit une relation strictement homosexuelle, soit me prenaient pour un mec. Surtout dès qu’une fille actualisait son profil il y avait trois mecs qui lui tombaient dessus et la choppaient avant moi. Sans parler de toutes celles qui recherchaient un plan sexe contre cadeau…Genre pute qui ne s’assume pas. Je n’ai rien contre. Chacune et chacun fait ce qu’il peut. Mais ce n’était pas ce dont j’avais envie. Cependant, ma persévérance et, hélas, quelques dizaines d’euros d’inscription premium finirent par payer. Amandine, vingt quatre ans, finissait un job d’été de serveuse maquillé en stage pour valider son année d’échange universitaire Franco-Chinois. Elle m’écrivait avoir découvert le cul en arrivant en France trois ans plus tôt et disait vouloir profiter à fond avant de repartir chez elle. Je soupçonnais un gros bobard mais, faute de plan plus sérieux lui donnait rendez vous, ainsi qu’à Michel, au bar de mon hôtel pour le mardi suivant. Je proposais vingt deux heures et recommandait à chacun de prendre des sucres lents car la nuit s’annonçait sportive !

Mise en place du plan a 3

Amandine arrivait la première. Je la reconnu tout de suite à son entrée dans le bar. Encore plus sexy que sur son selfy de profil. Petite malgré les talons aiguilles sur lesquels elle était perchée, Amandine est toute mince avec un visage de poupée chinoise et un brushing impeccable. Sa bouche est juste pulpeuse comme il faut et, n’eut été des seins très petit, on aurait pu la prendre pour un sosie de l’actrice porno Kobé Thaï dans sa robe courte et moulante. Très naturelle elle vient directement vers moi et me claque un smack sans que me laisser le temps de dire un mot. Je reste surprise. Ce n’est pas désagréable mais pas franchement excitant non plus pour moi. Décidément je crois que je suis définitivement hétérosexuelle. C’est elle qui entame la conversation : « Alors c’est ton premier plan a 3 il parait ? »

-« He oui, et te vexe pas car tu es vraiment sexy mais je ne suis même pas certaine d’en avoir vraiment envie. »

-« Ah ?! Eh bien on verra. En tous cas tu es très jolie. J’espère que Michel est comme sur les photos. »

-« Oui, je le connais et je peux te dire que tu ne seras pas déçue si tu aimes les étalons endurants ! »

-« Hum, miam, bon mais sinon on boit quoi ? »

-« Mojito ? »

-« Ok, alors va pour deux Mojitos ! »

Je fais signe au Barman et commande deux Mojitos en précisant bien tassés car j’ai le sentiment que je vais avoir cette fois besoin d’un peu d’alcool pour me désinhiber. Nous discutons de tout et de rien, elle n’arrête pas de me complimenter sur mes seins, ma tenue que je trouve pourtant banale et elle ne manque pas une occasion de me toucher la main ou d’effleurer mon mollet de la pointe de son escarpin.

Heureusement Michel arrive avant que ma gêne ne devienne trop flagrante.

-« Wahou, les filles, vous êtes ravissantes ! »

Plus que le compliment c’est son regard appréciateur et concupiscant qui me remontaient instantanément la libido. Je remarquais tout de suite qu’il matait nos jambes et que l’escarpin à talon haut d’Amandine frôlant mes bas nylon ne lui avait pas échappé. Du coup ce contact qui m’effrayait quelques secondes avant prenait un intérêt nouveau et je sentais ma température monter instantanément.

-« Michel, je te présente Amandine, Amandine, Michel. »

-« Enchantée vous connaître » lâchait Amandine avec soudain cette faute de Français et un accent asiatique qu’elle n’avait pas trente secondes auparavant. En même temps elle pressait son escarpin sur mon mollet et me lançait un bref regard complice.

-« Mais tout le plaisir est pour moi…Enfin si je puis dire » répondait Michel du tac au tac.

-« Lucie est une vraie coquine, je pensais qu’elle ne me recontacterai jamais et voilà qu’elle me donne rendez vous accompagnée d’une pure beauté Asiatique pour un plan a 3 ! »

Nous échangions quelques bises comme des amis qui se retrouvent. L’occasion pour Michel d’attarder sa main sur nos hanches et pour moi de sortir la pointe de ma langue au moment de lui baiser la joue.

-« Tu prends un Mojito ? Ce soir c’est moi qui régale ! » Proposais-je.

-« Oui mais seulement si vous en reprenez un. Et puis vite fait car j’ai bien envie qu’on se retrouve vite juste tous les trois pour faire connaissance de manière plus approfondie ! »

C’est cela que j’aime chez Michel, toujours direct sans être grossier. Et une vraie bonne humeur communicative. J’étais ravie de l’avoir choisi pour mon premier plan a 3 et j’avais soudain hâte qu’arrive la seconde et dernière tournée de Mojitii (j’aime croire que c’est un pluriel Italien) pour enfin passer aux choses sérieuses.

Apparemment mes deux Acolytes alcooliques étaient du même avis que moi. A peine les grands verres arrivés le « slurp » que faisaient nos pailles indiquait que nos verres étaient vides.

Je notais le numéro de ma chambre sur la note et signais. Amandine et moi quittions le bar encadrant Michel bras dessus bras dessous sous les regards Ahuris d’un groupe de trois types deux tables basses plus loin. J’avais repéré du coin de l’œil leur mines déconfites à l’arrivée de Michel ! Je glissais à l’oreille de Michel : »Tu crois qu’eux aussi ils vont se faire un plan a 3 ? »

Il me répondait goguenard : »Wouai, un plan a 3 à la Broke back Mountain ! »

Comme je suis une petite salope vénale je vous annonce que la suite de mon plan a 3 est déjà écrite sur mon e_book.
Mais que ceux d’entre vous qui sont un peu pingres ou désargentés se rassurent, ce qui s’est passé en chambre pour ce plan a 3 sera publiée quand cet article aura atteint les 50 partages (ou like) sur FaceBook !

Autostoppeuse sexy, mes conseils

Mon expérience d’autostoppeuse sexy.

Il ne faut pas croire que je sois uniquement une Geek abonnée aux plans culs sur internet comme je le raconte dans d’autres articles. Bien-sûr, comme beaucoup de femmes mariées, j’apprécie la facilité d’une rencontre adultère sans risque et sans lendemain sur internet. Mais je sais aussi me débrouiller avec un plan cul old school sans aucune aide numérique. Une des techniques de drague que je commence à bien maitriser est ce que j’appellerais le plan autostoppeuse sexy. Je n’ai pas la prétention de dire que c’est moi qui ai inventé cette technique de l’autostoppeuse sexy mais je pense être la première à avoir théorisé un peu cela tant pour l’autostoppeuse sexy (qui veut se faire enculer sur la banquette arrière) que pour le chauffeur (qui aimerait se faire sucer en conduisant). Tout d’abord, lorsque je suis loin de chez moi en semaine, je repère une zone de bureaux un peu excentrée ou un site industriel, si possible High-tech. L’idée est de me faire prendre en autostop par un cadre en fin de journée et de voir si j’arrive à l’allumer avant d’arriver à destination. La destination est toujours la gare d’une grande ville proche ou un aéroport s’il y en a un. Cela permet à l’autostoppeuse sexy que je joue de justifier d’une destination plus lointaine ensuite mais surtout de chopper un taxi pour récupérer ma voiture que j’ai laissée à mon point de départ. Car bien sûr je suis une fausse autostoppeuse sexy ! Mais revenons en au commencement. Le cliché de l’autostoppeuse sexy voudrait que j’ai une mini jupe ras la touffe. Mais faire de l’autostop en mini jupe est surtout le meilleur moyen de se faire prendre pour une prostituée en racolage et de rameuter la marée chaussée. Très peu pour moi ! J’étais donc ce jour là sagement vêtue d’un tailleur gris perle un peu strict mais près du corps. Une veste assortie sur un chemisier crème, les cheveux coiffés en chignon, une paire de lunettes à la monture aussi fine que les talons aiguille enfilés sur une paire de vrais bas couture made in France faisaient de moi la parfaite assistante de direction un peu perdue au bord de la route. Pour tout bagage mon petit sac à main et un porte documents en cuir noir dans lequel je pouvais mettre le nez à l’approche d’une voiture trop minable ou occupée par une femme. Mais je n’en eu pas besoin ce jour là car la première caisse qui sortait du rond point était la bonne : une BMW série 5 grise qui semblait neuve conduite par un homme seul. Le manque d’entrain à accélérer en sortie de rond point m’indiquait qu’il m’avait repérée devait chercher à voir si j’étais aussi bandante qu’il se l’était imaginé de loin. Je m’arrange en général pour me placer une cinquantaine de mètres après un rond point ou une sortie d’usine pour pouvoir observer les véhicules avant de décider si je lève le pouce ou si je laisse passer. En général il y a un arrêt de bus idéalement placé qui permet de laisser croire que je ne suis pas une autostoppeuse sexy mais juste une fille qui attend un transport en commun quand je ne lève pas le pouce. Cela permet aussi au conducteur de mieux évaluer ma silhouette. La bonne technique est de ne pas lever le pouce trop tôt mais plutôt d’attendre le dernier moment. Ainsi, quasi immanquablement, la surprise déclenche un réflexe de prédateur chez le conducteur qui ne manque pas de s’arrêter pour l’autostoppeuse sexy inespérée qui s’offre à lui. Tendre le pouce trop tôt, comme je le faisais les premières fois, a deux inconvénients. Tout d’abord vous ne pouvez prendre le temps de vérifier que le conducteur n’est pas une conductrice. Ensuite cela laisse plus de temps pour réfléchir à votre proie et diminue vos chances d’un arrêt réflexe.

Cette fois donc, la BMW pilait juste comme je l’espérais. J’imaginais instantanément l’effet accélérateur que cela devait avoir sur le rythme cardiaque de l’heureux conducteur. Je trottinais une dizaine de mètres en talons aiguille jusqu’à la fenêtre passager déjà ouverte. Je m’y penchais suffisamment pour laisser regretter que le dernier bouton de mon chemisier soit fermé : « Bonjour, vous allez sur Blagnac ? ou à défaut Toulouse ? je dois rejoindre l’aéroport. »

-« Je vais à Ramonville mais je cela vous approche déjà bien et le métro est assez direct vers l’aéroport ensuite il me semble. »

Cela m’approchait d’une bonne dizaine de kilomètres en effet mais surprise que le type ne me réponde pas direct que c’était, comme par hasard, sa destination, je mettais quelques secondes avant de répondre. Son regard qui semblait chercher à percer le tissu de mon chemisier me laissait penser que j’avais cependant tiré le bon numéro. Je pense que si j’avais eu des dons de télépathie j’aurais pu entendre sa prière muette : »putain, faites qu’elle monte, mon dieu faite que l’autostoppeuse sexy monte ! »

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

A peine installée je décidais de laisser un peu monter le suspense et posais à plat le porte documents sur mes genoux en regardant bien droit devant moi. Ma technique est de laisser au conducteur l’initiative des premiers mots. Ces derniers ne tardèrent d’ailleurs pas à arriver : »Vous travaillez dans le coin ? »

« Pas vraiment, j’accompagnais mon boss aujourd’hui et il devait finalement rester un jour de plus. Moi je dois prendre un avion ce soir si possible pour rentrer sur Lyon. »

« Et il ne vous a pas appelé un taxi ? »

« Heu, c’est pas vraiment son genre d’avoir ce type d’attentions et je suis encore en période d’essais. Je ne me le sens pas de présenter une notes de taxi à trois chiffres… »

« Enfin, quand même, il n’est pas très gentleman je trouve. »

« Heureusement que je suis tombée sur vous en tous cas ! » Là je lui touchais le bras.

J’ai pu constater qu’il ne fallait pas trop laisser passer l’occasion d’un premier contact physique rapide. Mais je retirais prestement ma main car je ne voulais pas non plus qu’il me prenne pour une pute. Même pour moi, le jeu est moins évident qu’il n’y parait. Je me fais peu de doute sur le fait que le conducteur ait envie de moi. Cela est en général acquis. Mais ça ne veut pas dire qu’il va sauter le pas. Il peut être marié, fidèle, ou tout simplement méfiant et sceptique devant la chance qui s’offre à lui. Amener certaines personnes à comprendre qu’elles viennent juste d’avoir un coup de chance et qu’il se présente à eux une occasion rare n’est pas si simple. Ce n’est pas comme pour un plan cul internet où tout est joué d’avance. Et c’est tout l’intérêt de la chose. Là il faut jouer le plus fin possible. Encourager les initiatives de l’autre sans pour autant éveiller des soupçons qui, même s’ils sont infondés, peuvent juste casser l’ambiance.

« Au fait, je m’appelle Lucie. »

« Sebastien. »

« Enchantée, Sébastien. Merci encore de vous être arrêté pour moi. Même si vous n’allez pas jusqu’à Blagnac cela m’aide déjà bien. »

Là il ne répond pas. Il faut à tout prix éviter de trop laisser la gêne et le silence s’installer. Sinon c’est fichu aussi surement que si je tente une approche trop directe.

« Ce serait vraiment bien si j’arrivais à Lyon pas trop tard, sinon cela risque de me couter une fortune en baby-sitter ! »

« Ah, vous avez des enfants ? »

« Juste une petite Lydia de 4 ans. Et le Papa est parti vers d’autres aventures depuis huit mois ! »

« Votre mari travaille off shore ou à l’étranger ? »

Bon, c’est bien ma veine, je suis tombée sur un lent de la comprenette !

« Bin non, il m’a quittée pour une pouffe qui devait mieux su…Heu, oups, pardon…pour une autre. Mais vous pouvez me dire tu sinon ! »

« D’accord, si tu arrêtes de me vouvoyer aussi, je vais avoir l’impression d’être un ancêtre sinon ! »

« Ah, ok, excuse moi, je ne voulais pas suggérer que vous, enfin tu, étais plus…heu… enfin, disons plus mûr. Franchement, je vous, enfin je te trouve, char…heu, qu’est-ce que je dis, enfin je veux dire bien. Heu, enfin, très bien même. Enfin heu…je crois…Enfin bon, en tout bien tout honneur je veux dire…Heu Pardon, je ne sais plus ce que je dis. »

« Ne t’excuse pas, pas de souci ! » m’interrompait-il en riant.

Bon, là je sentais qu’il fallait passer à la vitesse supérieure, sinon le trajet allait se transformer en une aimable promenade en voiture sans plus d’intérêt qu’une conversation légère où il me demanderait peut être mon 06 en fin de parcours. Absolument le type de loose que je voulais éviter. Je prenais un air inquiet et lui demandais : »Combien de temps il faut d’après toi pour rallier l’aéroport depuis la station de métro de Ramonville ? »

« Je ne sais pas, en voiture je sais que ça va vite mais en métro je n’en sais rien. Je n’ai jamais essayé. »

« Ah… » Je poussais un soupir qu’il pouvait interpréter comme de la déception ou un effet de la chaleur et je défaisais le bouton du haut de mon chemisier. Je croisais et décroisais mes jambes sous le porte documents en cuir noir.

Il restait silencieux mais je voyais les regards furtifs qu’il lançais vers mes jambes à chaque fois que je les déplaçais légèrement. Il faut dire que les vrai bas nylon couture ça crisse un peu…Je pinçais les lèvres et m’efforçais de prendre un air préoccupé derrière mes lunettes.

« Tu as l’air inquiète. Allez, je suis sûr qu’avec un peu de chance tu auras un métro tout de suite. Il est à quelle heure ton vol ? »

« 19h00. C’est dans une heure. Je suis sûre que je vais le rater…Merde ! Enfin heu pardon, zut ! » Je pose le porte documents à mes pieds pour lui libérer la vue sur mes longues jambes.

« Aie, c’est vrai qu’en Métro ça risque d’être un peu juste. C’est sûr en voiture tu y serais même avec de l’avance… »

Yes ! il ne propose pas spontanément de me dépanner. Il a flairé le bon coup dont il pouvait peut être profiter, c’est presque sûr !

Moi : »Je vais le rater, je vais le rater, c’est sûr. » Surtout ne pas y aller trop vite, ne pas dire tout de suite à quoi je suis prête pour qu’il m’amène en voiture. Juste recroiser et décroiser les jambes.

Lui : »Mais non, allez, je suis sûr que tu es une chanceuse. Souvent le vol a du retard aussi. »

Voilà, là retenter un contact physique un peu plus prolongé de ma main sur son bras : » Tu es sympa, c’est gentil d’essayer de me rassurer mais je suis sûre que je vais le rater. En plus mon billet n’est pas modifiable. Qu’est-ce que je donnerais pas pour avoir mon vol ! »

Bon, sans doute un peu tôt mais il fallait tenter.

Lui, fine mouche : »Ah oui, en fait qu’est ce que tu ne donnerais pas pour y être en voiture ? »

Regard appuyé sur mes jambes. C’est presque trop facile. Incroyable comme un gentleman peut se transformer en rustre de la pire espèce en quelques minutes. Mais après tout la situation m’excitait et j’étais à fond dans mon personnage.

Il ajoute sadique : »Courage, la prochaine sortie c’est Ramonville, en te dépêchant tu as peut être encore une chance. » Et là c’est lui qui pose une main timide sur ma cuisse. Qu’il retire presque aussitôt en ajoutant : »Enfin, c’est sûr qu’en voiture ça serait plus rapide… »

Je reprends sa main pour la reposer sur ma cuisse : »S’il te plait, tu peux m’amener à l’aéroport ? »

« Bin, heu, c’est sûr j’aimerais passer un peu plus de temps avec toi (il presse un peu plus sa main sur ma cuisse). Mais je ne sais pas. Ca me fait quand même un gros gros détour… »

Moi : »Faut vraiment que j’ai mon vol. S’il te plait, allez, soit sympa. Je suis vraiment prête à tout pour l’avoir. » J’écarte légèrement les jambes et défait le second bouton de mon chemisier.

Lui soupire comme s’il consentait un effort surhumain : »Bon, ok, ok, si tu es gentille je veux bien te dépanner. Mais faut être très gentille… » sa main droite reste sur ma cuisse et de la gauche il déboutonne son pantalon en tenant le cap avec d’un genoux habillement coincé sous le volant.

Je fais celle qui ne comprends pas. Je continue à regarder droit devant moi mais le laisse juste remonter mon tailleur pour constater que je porte bien des bas et pas des collants.

Comme on arrive à la sortie Ramonville il clignote pour prendre la bretelle d’accès.

Moi, feignant la panique : »Mais tu viens de me dire que tu m’emmenais à l’aéroport, non !? »

Lui : » J’ai dit si tu es TRES gentille… » Il me désigne son entrejambe du regard et commence à s’engager à droite.

Moi : » Ok, ok, tu as gagné ! » Je me penche enfin sur lui.

Son sexe jaillit quasiment dès que je baisse le caleçon. Je m’applique à être un peu maladroite, reculant un peu la tête en arrière comme si cela me dégoutait un peu.

Lui : »Bon, c’est déjà bien, je reste sur la rocade. Applique toi si tu ne veux pas que je te laisse trop loin de la dépose minute… »

Je me mets donc à l’ouvrage, en essayant de m’y prendre timidement d’abord. Comme si cela me dégoutait un peu alors qu’en réalité je suis déjà aux anges. Il a sa main sur ma nuque et presse pour que je m’active un peu plus.

« C’est bien, continue à être gentille comme ça, tu vas l’avoir ton vol ma jolie. »

J’ai gardé ma veste mais il la remonte et tire sur mon chemisier pour dénuder mon dos.

« Mets toi plus à l’aise, t’es pas confortable là. Allez, agenouille toi sur le siège, tu vas voir, tu seras bien mieux pour sucer. »

Je m’exécute.

« A quelle heure déjà ton vol ? 19h tu as dit ? »

Moi, la bouche pleine : »Ou…i, c’est…humff…ça. »

Je ne sais comment il accède à ma chatte si vite mais le fait est que je sens un doigt s’introduire dans ma fente.

« Mais c’est que tu mouilles vraiment ma jolie ! » Là sa surprise est totale.

« Si je m’attendais tu es vraiment une garce ! »

Je continue à sucer cette fois avec plus de conviction.

La suite du trajet se passe dans cette position. Il me fouraille la chatte et je suce du mieux que je peux. Comme la voiture ralentis parfois sur la rocade je me demande ce que l’on peut voir depuis les voitures à côté. Si j’étais restée assise et que je l’avais juste sucé j’aurais dit sans doute rien. Mais là agenouillée sur le siège passager avec sa main sur mon petit cul je n’en étais vraiment pas certaine du tout.

J’accélérais le rythme en me disant qu’il fallait que je le finisse avant d’arriver à la dépose minute pour avoir quand même le temps de me refroquer. Mais je n’avais aucune idée de son endurance et sa queue bien dure me laissait craindre le pire. Heureusement (ou malheureusement finalement) il déchargeait sans prévenir (mais en hurlant) une bonne giclée de sperme au fond de ma gorge. Je prenais soin de le garder en bouche pour bien tout avaler. Je pressais de lèvre en reculant ma bouche pour faire sortir jusqu’à la dernière goute. Nous venions de prendre la sortie vers l’aéroport. J’avais tout juste le temps de me rhabiller avant qu’il me laisse sur la ligne « kiss and fly ».

Je le quittais d’un : »bon bin merci. » un peu piteux. Lui me répondais dans un grand sourire : » Mais avec plaisir ! ».

 

Conseils aux filles comme moi qui veulent jouer les autostoppeuses sexy

Conseil n°1 pour autostoppeuse sexy : Arrêtez de psychoter !

Lorsque l’on veut tenter l’expérience de l’autostop et que l’on est une fille on fantasme forcément sur le type pervers et violent qui va nous laisser égorgée dans un caniveau après nous séquestré des mois dans sa cave pour nous transformer en esclave sexuelle. Bon, ok il faut être prudente. Mais il faut aussi arrêter de psychoter. Les tueurs en série sont tout de même bien plus rares que les types normaux ! Les (mal)chances de tomber sur un Jack l’éventreur ou un Francis Heaulme en faisant de l’autostop sont aussi grandes que de se faire attaquer par un requin en se baignant dans les calanques de Marseille. Statistiquement pas impossible mais fort improbable tout de même. Alors si l’envie vous prend de vous rejouer les putes de l’autoroute, l’auto-stoppeuse a 18 ans ou l’auto-stoppeuse n’avait pas de culotte, abandonnez un peu vos peurs et lancez vous dans l’aventure.

Conseil n°2 pour autostoppeuse sexy : Trouver le bon spot

A l’instar du surfeur qui sait attendre le bon créneau météo et connait les meilleurs spots à vague, l’autostoppeuse sexy doit trouver le bon spot et savoir quand l’exploiter pour maximiser ses chances de choper un chauffeur sur la même longueur d’onde qu’elle. Si j’ai dit qu’il ne fallait pas plus avoir peur de croiser Francis Heaulme qu’un requin blanc cela ne veut pas dire qu’il faille non plus aller nager seule exactement dans la passe aux requins blancs à la tombée du soir. Donc on évite de se poster dans les endroits louches en mini short, surtout de nuit bien sûr ! D’autant plus que le but n’est ni de se faire embarquer par les keufs pour racolage ni de se faire tabasser par le mac de votre voisine de trottoir !

Conseil n°3 pour autostoppeuse sexy : Choisir la tenue adaptée au spot

En général on surfe les vagues géantes de Hawaï avec une petite planche maniable alors que la longboard genre standup paddle est parfaite pour la petite houle. Pensez donc contexte et adaptez votre tenue au spot choisi.

Quelques exemples :

– Tailleur strict et porte document par exemple pour un cinq à sept en sortie de zone de bureaux.

– Bikini sous un Paréo en bord de mer

– Short en Jean, T-shirt, Sac à dos sur la nationale 6

 

Conseils aux chauffeurs en quête d’autostoppeuse sexy

Conseil n°1 pour trouver une autostoppeuse sexy : Le spot

Faites un peu marcher votre ciboulot. Essayez de penser 50% avec votre bite (pour la motivation) et 50% avec votre cerveau (pour trouver le bon spot). En fonction de la saison et de là où vous vous trouvez une myriade de bon spots existent : Les plages en fin de journée l’été, Les sorties de campus en fin de semaine (à partir du jeudi) , les entrées d’autoroute pendant les vacances ou aux veilles de grands WE. Partez en repérage, notez les spots où vous voyez des autostoppeurs. Repérez les parkings à proximité avec visuel sur l’endroit où les stoppeurs se placent. C’est certain que c’est bien plus long et aléatoire qu’un site de rencontres, il ne faut pas non plus se le cacher. Mais le jeu en vaut la chandelle. Soyez aux aguets, persévérez, la chance finira forcément par vous sourire.

Conseil n°2 pour draguer l’autostoppeuse sexy : Ne pas laisser le silence s’installer trop longtemps. Ni la camaraderie.

Je le suggère dans mon aventure sexy. Le silence ou la camaraderie superficielle sont deux ennemis à combattre. Relancer la conversation si le silence s’installe mais surtout orientez celle ci vers des sujets intimes forts et originaux. Discuter de la pluie et du beau temps n’a jamais permis de conclure sexuellement à ma connaissance !

Conseil n°3 pour conclure avec l’autostoppeuse sexy : Etablir le contact physique dès que possible.

Une astuce pour éviter que le trajet ne se transforme en une longue discussion amicale est d’établir un contact physique dès que l’occasion se présente. soyez attentif, il y a un tas de moment dans une conversation ou un mot peut être appuyé par un geste amical, chaleureux ou plus.

Conseil n°4 pour l’autostoppeuse sexy : Halte au viol !

Soyons clairs, il ne s’agit pas non plus d’un appel au viol. Vous avez trouvé une autostoppeue sexy. Si elle est sexy et qu’elle fait du stop seule c’est qu’à la base il y a une ouverture. Mais si malgré mes conseils la belle se dérobe il ne s’agit pas non plus que cela tourne au viol ! Laissez tomber. Si elle ne veut pas n’aller pas vous merdre dans la merde et vous faire ramasser par les flics le lendemain parce qu’elle aura porté plainte. Faite contre mauvaise fortune bon cœur, comportez vous en gentleman, essayez de chopper son numéro de portable pour une autre fois et retentez votre chance un autre jour avec une autre autostoppeuse sexy. Ou retournez sur votre bon vieux site de rencontres à plan cul.

Tout ça sans la pub avec en plus des inédits : l’e_book.

Sodomie, 5 conseils que vous ne trouverez nulle part ailleurs !

anuspoupe

Je ne sais pas si je peux me dire experte en la matière. Et après tout je m’en tamponne la chatte, j’écris ces conseils sodomie pour passer le temps agréablement en votre compagnie virtuelle. J’ai pu remarquer, au fil des messages perso que je reçois sur le site, de mes discussions avec mes amies ou de mes rencontres plus que coquines, que pas mal d’homme ne savent pas trop comment s’y prendre pour faire accepter la sodomie à leur partenaire ni même parfois comment la pratiquer lorsque la dite partenaire de jeu est open. Comme je n’aime pas les banalités ni les redites je vais donc essayer de vous trouver quelques conseils sodomie originaux que vous n’auriez trouvé nulle part ailleurs. Je le fais car j’aime me sentir unique pour vous. J’aime vous retenir le plus longtemps possible sur mon blog tout comme je m’efforce toujours de tenir en érection votre pine le plus longtemps possible dans tous mes orifices.

Et si vous voulez la liste de mes autres délires sexuels c’est ici

Conseil sodomie n°1 : On aime toute ça !

Je l’ai déjà écrit dans mon autre article sur l’enculade mais je le redis car trop d’hommes (et de femmes) pensent le contraire. Si vous lisez les articles du sexo-web politiquement correctes bienpensant à la aufeminin.com sur la question vous tomberez forcément sur des articles où l’on vous explique que toutes les femmes n’aiment pas la sodomie. On vous parlera de filles plutôt vaginales, d’autres plutôt clitoridiennes et d’une minorité d’anales. Bullshit ! comme dirait un sex friend américain. Permettez moi de penser et d’écrire que c’est de la grosse connerie. Pour en discuter régulièrement avec mes amies je peux vous dire qu’on aime toutes cela. Que même celles qui ne pratiquent pas la sodomie fantasment d’essayer et qu’à partir du moment où une femme aime un peu le cul (ce qui je pense est le cas de 99% d’entre nous) alors elle peut et veut prendre son plaisir aussi par le cul. Attention, je ne dis pas que la sodomie ne fait pas peur. Mais pensez à cette peur de l’enculade plutôt comme à un sentiment qui accroit notre fantasme et peut décupler le plaisir que nous prendrons. On est toutes prêtes à se faire enculer bien profond par Georges Clooney ! Voilà, c’est dit. Ce n’est pas la sodomie qui nous rebute, c’est juste parfois le mec qui veut nous la mettre bien profond !

Conseil sodomie n°2 : En parler ?

Vous lirez peut être à droite, à gauche que l’important dans un couple c’est la CO-MMU-NI-CA-TION. Il faudrait communiquer, tout passerait par le dialogue pour éviter les malentendus et les quiproquos. Et blablabla et blablabla. A en croire certains la sexualité ne serait qu’un des aspects de la vie de couple. Il faudrait échanger sur un pied d’égalité, dans le respect et la compréhension de l’autre. Franchement, à part si vous êtes en couple avec une licorne magique du pays de l’arc en ciel (ce qui est votre droit, je ne juge pas !) oubliez l’idée de traiter le sujet avec votre partenaire comme s’il s’agissait de la répartition des tâches ménagères. Par contre rien ne vous empêche d’amener le sujet directement au lit lorsque vous ramonez madame ou mademoiselle. Bien installé en levrette par exemple vous pouvez en profiter pour glisser à son oreille une phrase du genre : »La prochaine fois je te la mettrai dans le cul aussi. »

Il est peu probable qu’elle proteste à ce moment là, surtout si vous savez bien vous y prendre avec sa chatte. Ainsi elle se fera à l’idée, fantasmera sur la partie de baise suivante et vous pourrez sans crainte mettre la douce menace à exécution.

Conseil sodomie n°3 : Associez à la fessée

La fessée est à la sodomie ce que la sauce Roquefort est à l’entrecôte. Pas franchement indispensable mais tellement meilleur quand il y a les deux ! Une bonne fessée peut s’avérer un très bon prélude à une sodomie en règle. Si vous pensez la donzelle réticente essayez donc une petite claque sur le fesses. Savourez la surprise que vous créez ainsi. Récidivez un peu plus fort. Puis caressez pour créer du contraste. Remontez lentement le long des cuisses et tapez à nouveau. Caressez à nouveau l’intérieur de la cuisse, avancez deux doigts sur la fente humide. Appuyez le pouce contre l’anus…et…fessez là à nouveau. Croyez moi, un petit cul qui se laisse copieusement fesser est forcément disposé à accueillir la sodomie comme une suite toute logique de la séance !

Conseil sodomie n°4 : Kinésithérapeute tu te feras

L’entrecôte sauce Roquefort c’est bon. Mais il y a bien d’autres sauces qui peuvent fonctionner. J’aime le goût puissant du Roquefort mais parfois la saveur plus suave et délicate d’une sauce au vin peut me convenir avec une viande rouge.

Ainsi, le massage peut être une très bonne alternative à la fessée. Si vous massez, massez vraiment. Au contraire de la fessée qui a pour objet d’assoir votre domination et de présenter l’enculade comme une récompense pour un cul que vous avez allègrement martyrisé, le massage est une préparation plus longue et délicate. L’objectif est de détendre la belle. Elle est sur le ventre, vous massez d’abord les épaules et le cou sans vous presser. Il ‘agit bien de masser, pas de caresser, appuyez, malaxez chaque muscle. Si vous êtes avec moi avancez un genou entre mes cuisses, sous ma chatte que je puisse me frotter langoureusement à votre rotule. Massez le dos, bien symétriquement. Appuyez un peu plus là où vous sentez les muscles raides. Pour l’anus qui vous intéresse cela peut aider d’avoir une huile de massage. Mais ce n’est pas indispensable. A défaut, prélevez un peu de mouille de ma chatte. Je n’aime pas trop qu’on me crache à la raie mais j’ai une amie qui ne jure que par cela. Donc, à vous de voir. Soyez patient, un bon massage c’est au moins vingt minutes. Le risque étant que vous débandiez et ne soyez plus prêt le moment venu. Pitié, si c’est le cas n’attendez pas et prenez moi en levrette. La sodomie sera pour une prochaine fois ou juste ensuite si vous avez un regain de vigueur.

Conseil sodomie n°5 : Entrainez vous avant

Eh oui, cela peut vous paraitre étrange comme conseil mais, croyez en quelques expériences ratées et fiascos que j’ai eu avec des hommes qui pensaient pouvoir y arriver et ont du renoncer. La sodomie cela s’apprend. Et pas uniquement pour la femme dont l’anus doit être détendu. Si vous en avez envie et que vous n’êtes pas certain d’y arriver une fois le moment venu cela peut être fort contrariant. Alors, une seule solution : s’entrainer. Soit avec une sex friend déjà experte si vous en avez une (mais c’est plutôt rare), soit avec une fille rencontrée sur un site à plan cul du genre rencontres hard.

Si vous êtes plutôt du genre fidèle à votre compagne, ce qui est fort respectable, alors il est aussi possible de s’entrainer avec une poupée gonflable. Des modèles à moins de 100 € ont un anus assez réaliste. Voilà, ce dernier conseil ne vous paraitra sans doute pas très glamour mais je suis assez certaine que vous ne trouverez pas ailleurs ces cinq petit conseils pour bien enculer mon petit cul ou celui d’une autre qui vous résiste encore.








Yahtzee sexy pour la conversation amoureuse

laissons nou guider par le hasard
laissons nous guider par le hasard

 

Une des choses qui me rend complètement dingue au lit, sur le carrelage de la salle de bain ou la table de la cuisine c’est quand le mec me balance des mots très crus. Mais voilà, j’ai pu constater, à ma grande déception, que la plupart des hommes sont timides ou sans grande imagination lorsqu’il s’agit de m’humilier autrement qu’avec leur bite. Alors, à toutes fins utiles, j’ai décidé de créer une petite boite à outils pour renouveler et varier un peu les répliques que vous pouvez utiliser lorsque vous êtes avec moi. Ou avec toute autre grosse cochonne lubrique ou simplement femme ce qui est souvent un peu pareil passé un certain niveau d’intimité.

Les ingrédients qui nous font (presque) toutes craquer

En général je trouve qu’il faut que ce soit bien cru. Un langage un peu ordurier me plait. Peut être parce qu’inconsciemment j’associe cela à une des premières transgressions de l’enfance. Dire des gros mots est un des premiers interdits que l’on apprend à transgresser lorsque l’on est enfant. Au risque de faire de la psychologie de comptoir je pense que c’est quand même bien là que des choses de notre identité sexuelle se construisent.

Ensuite il faut, si possible, que cela soit légèrement, voire carrément humiliant. Pour moi s’il y a un moment ou un mec doit s’assumer en tant que mâle c’est bien quand il me baise !

Enfin, je craque quand c’est imagé, original, jamais entendu ailleurs. Que j’ai l’impression de me retrouver dans un porno dont les dialogues ont été écrits par Michel Audiar et je suis prête à me déchainer pour vous ! C’est peut être difficile, mais ça vaut vraiment le coup de faire un effort !

Notez que je suis consciente que ce n’est pas toujours simple. Dans le feu de l’action, certains d’entre vous peuvent avoir tendance à manquer d’à propos. Moi même il m’arrive d’être « sèche » bien que trempée par ailleurs !

J’ai donc eu l’idée d’un petit outil simple d’emplois pour vous aider à préparer quelques répliques qui peuvent s’avérer utiles.

Le Yahtzee sexy de la conversation amoureuse

C’est un Yahtzee amélioré puisqu’il se joue avec sept dés à six faces. Vous pouvez utiliser le tableau suivant pour générer 279936 combinaisons différentes qui fonctionnent assez bien.

Adjectif Nom Adjectif Verbe Adjectif Anatomie Adjectif
1 petite Chienne Bourgeoise Ramoner P’tit Cul Serré
2 grosse Cochonne Soumise Baiser Gros Chatte Mouillé
3 jolie Salope Vilaine Défoncer Joli Bouche Humide
4 belle Pute Gratuite Fourrer Belle Seins Profond
5 Grande Femelle Lubrique Niquer Sale Anus en feu
6 Bonne Truie chaudasse Bouffer Mignon petit Fesses Offert

 

Par exemple au yahtzee sexy 1,3,2,3,3,2,5 peut donner quelque chose du genre :

Toi, ma petite salope soumise, je vais te défoncer ta jolie chatte en feu !

Bien sûr vous pouvez aussi jouer une peu sur l’ordre 1,1,1,1,1,1,1 peut aussi donner

Je vais te ramoner ton p’tit cul serré de petite chienne bourgeoise.

Attention, il ne s’agit que d’une aide. Il ne faut bien évidemment pas hésiter à enrichir un peu vos propos.

J’utilise moi aussi ce yahtzee pour préparer ce que je chuchote à l’oreille de celui qui m’invite au restaurant quand je suis en déplacement. 4,3,5,1,6,1,4 peut ainsi donner dans ma bouche : « Pour le dessert je vais faire ma belle salope lubrique pour que tu viennes me ramoner bien profond mon mignon petit cul. »

Faites des essais, écrivez moi en commentaire ce que vous avez obtenu. N’hésitez pas à sortir des sentiers battus.

Le mieux restant bien sûr de pouvoir joindre le geste la parole ! Sur infidèle messenger vous devriez trouver quelques candidates sur lesquelles vous essayer à ce petit jeu de yahtzee.

Ou, si vous êtes un peu bizarre vous pouvez jouer le troll sur un site de sexcam avec ces filles qui, pour certaines, ont du répondant : PureLive.

étudiante salope, mes petits jeux pervers

Ce que je m’apprête à écrire ici sur mon passé d’étudiante salope, je ne l’ai encore raconté à personne. Pas même à ma meilleure amie et confidente qui sait l’existence de mon blog et partage ma passion pour les plans cul adultères. Certains, peut être, qui appréciaient ma franchise et ma sincérité seront déçus en lisant ces lignes. J’en prends le risque, le besoin d’écrire étant trop fort en ces vacances d’été où je tourne en rond comme une lionne en cage sous la surveillance de mon mari en longs congés d’été.

étudiante salope petit jeu pervers n°1

Lorsque j’étais étudiante, donc, je n’étais pas ce que l’on pourrait appeler une étudiante salope qui multipliait les plans culs. Il faut dire qu’il y a dix ans les sites de rencontre n’étaient pas ce qu’ils sont aujourd’hui. Mais je me souviens que j’avais de petits jeux légèrement pervers qui me permettent aujourd’hui de dire que, oui, j’ai été une grande étudiante salope. Grande et longiligne je crois pouvoir dire, sans vantardise, que j’étais parmi le filles les plus désirées du campus. Pendant les premières années après le bac je ne m’habillais pourtant pas de manière outrageusement sexy. J’évitais les jupes trop courtes et leur préférais des robes légères à imprimé fleuri. Elles me tombaient toujours bien près du corps. Je m’arrangeais dès le printemps pour que les mecs aient tous envie de me prendre par la taille. Je boudais les strings que je trouvais vulgaires et remplaçais par des culotes blanches à motifs ou à dentelles que l’on pouvait facilement deviner à travers l’étoffe toujours légère mais jamais trop transparente. Je me maquillais peu mais mettais en valeur mes seins déjà pleins d’une envie de vivre que je faisais mine de dissimuler derrière une attitude sage et studieuse. Certains profs me couvaient d’un regard qui n’était pas que bienveillant. Je m’arrangeais pour être souvent la dernière à sortir du cour. Et parfois je m’amusais à rester pour poser une dernière question ou demander une aide dont je n’avais en rien besoin. Je n’ai jamais eu envie de coucher avec aucun de ces universitaires que je considérais comme des loosers fauchés. En bonne étudiante salope égoïste, insouciante et avec la conscience politique d’une huitre blonde la seule chose qui m’amusait dans ce petit jeu était de les allumer. Je prenais un malin plaisir à jouer ainsi au chat et à la souris avec ces hommes plus âgés que moi mais qui me semblaient au combien plus faibles. Le soir, dans ma chambre de Rangueil, je me caressais longuement en pensant qu’ils se branlaient peut-être, surement même, au souvenir de ma main sur leur bras pour les remercier de leur patience et de leur aide « si précieuse ». A me voir ainsi étendue sur le petit lit de ma chambre d’étudiante à me mordre la lèvre, la main allant et venant dans ma culote, on aurait pu croire que je rêvais d’un merveilleux amant en midinette innocente. En réalité je n’étais qu’une étudiante salope qui se délectait d’avoir allumé de pauvres types. Je serrais les cuisses fort pour emprisonner ma main tout en continuant à fouiller ma chatte jusqu’à l’orgasme.

Conseils pour vaincre sa timidité

Timide
Les vacances sont souvent l’occasion de rencontres familiales. On revoit des cousins plus ou moins éloignés qui ont grandi ou vieilli, et il arrive que de vraies amitiés se créent ainsi. La longue discussion que j’ai eu la semaine dernière avec mon jeune cousin de dix neuf ans, toujours puceau et souffrant d’une timidité quasi maladive m’a ému au plus haut point. Voilà comment je l’ai aidé à vaincre sa timidité avec les filles.

Alors mes excuses à ceux d’entre vous qui attendez de moi l’écriture d’un nouveau plan cul j’ai décidé, pour une fois, de m’essayer à un article un peu plus sérieux pour aider les plus timides d’entre vous avec les filles.

La timidité peut faire rester puceau !

Ainsi donc Merlin le Timide (j’ai changé le nom bien sûr !) mon cousin issu de Germain pourtant beau comme un ange est toujours puceau à dix neuf ans. Il m’a avoué avoir de gros problèmes de timidité. Le temps passant sa virginité devient un sujet d’angoisse qui semble le paralyser totalement. J’ai tout d’abord été surprise et incrédule qu’un jeune homme beau et intelligent puisse se retrouver dans cette situation à l’époque de Tinder, AdopteUnMec et autres YesMessenger. Mais il m’a vite avoué s’être inscrit et ne pas être parvenu à passer le stade des premiers échanges. En plus sa peur de ne pas savoir s’y prendre ni quoi dire l’ont paralysé les rares fois où il a poussé le « courage » jusqu’à se rendre au premier rendez-vous.

Bon, on se calme ! c’est mon cousin et plus de dix ans nous séparent. Ne vous attendez pas à ce que je vous raconte comment je l’ai guéri de sa timidité en employant ma langue experte sur son torse juvénile ou mes seins autour de sa queue toute fraiche, jeune et vigoureuse pour une cravate de notaire mémorable ! Dire que je n’y ai pas pensé serait mentir. Ecrire que je ne me suis pas caressée en m’imaginant le déniaisant ne serait pas sincère.
Mais voilà, je sais me tenir et surtout j’ai trop peur du scandale…Bien que belle salope, je suis assez lâche au fond ! Alors j’ai juste cherché sur internet en tapant « sexe, vaincre sa timidité ».
Me voilà alors effarée par la quantité de faux sites de conseils de pseudo psycho drague délivrant des banalités à pleurer ainsi qu’aucune autre aide que des liens vers des sites d’affiliation ou la vente scandaleuse de DVD de recette magique pour niquer des filles aussi superbes que fictives.

Vaincre sa timidité, mon idée

Autant dire que je n’ai pas de recette pour vaincre sa timidité avec les filles. Autant vous avouer que je n’ai aucune notion de psycho et que le mal-être des jeunes hommes puceaux m’est assez étranger. Mais, j’ai eu une idée qui ne me semble pas mauvaise du tout et que j’ai livrée à mon cousin il y a maintenant un peu plus de 10 jours.

Pourquoi ne pas s’entrainer à vaincre sa timidité avec des filles en show privé sur SexCam. Oh bien sûr il faut acheter quelques jetons avec son téléphone portable. Bien évidemment les filles sont faciles car payée pour cela. Mais finalement, quand on veut s’entrainer il faut bien commencer par quelque chose d’abordable et de facile non ? Chater ou parler par webcam interposée avec une fille en show privé me semble un excellent moyen de faire des essais avec une bonne garantie d’anonymat et sans risque. Les filles qui sont de l’autre côté de la caméra ne sont pas de pauvres prostituées appartenant à un réseau glauque mais juste des jeunes filles disposant d’une webcam et cherchant, comme tout le monde, un moyen de gagner un peu d’argent.

Bref, j’ai proposé à mon Cousin d’essayer cela. Je ne vais pas vous mentir en vous affirmant que Merlin est devenu un Don Juan en dix jours. Il est toujours Puceau aux dernières nouvelles. Mais je le vois chaque jour prendre un peu plus d’assurance et je ne serais pas surprise que d’ici la rentrée universitaire il ait vaincu sa timidité et que sa virginité soit enfin derrière lui !

Alors pour ceux qui veulent essayer ne vous privez pas. En plus l’inscription est gratuite ! Mais bon, je ne vous prends pas pour des lapins de six semaines. Pour que cela soit intéressant il va falloir acheter des jetons…

Petit cul, 10 choses à faire avec le mien

MonPetitCul

C’est les vacances. Mon petit cul s’ennuie à mourir. Pour moi et mon petit cul, qui dit vacances dit famille et pas de travail. Du coup aucun déplacement et mon mari qui me colle sans pour autant s’occuper de mon petit cul comme je voudrais. En attendant j’ai donc décidé d’écrire ce petit texte avec les 10 choses que je voudrais que l’on fasse à mon petit cul. A retenir pour la rentrée…J’espère qu’il vous plaira, n’hésitez pas à me laisser un commentaire bien coquin ou lubrique pour me changer les idées !

Petit cul, envie numéro 1

Déjà je voudrais que vous le matiez attentivement. Je ne me tape pas une quinzaine de kilomètres de running par semaine en plus des séances d’abdos fessiers pour que mon petit cul passe inaperçu ! Regardez le rouler légèrement à chaque pas sous la toile tendue de mon shorty. Délectez vous de la couleur ambrée qu’il prend lorsque viennent les mois de soleil. Si vous montez les escaliers derrière moi et que je suis en mini prenez plaisir à entrapercevoir ma chatte qui sera bientôt elle aussi pour vous.

Petit cul, souhait numéro 2

Vous l’avez bien maté. Il vous plait j’imagine. Alors j’aimerais qu’en public vous marchiez avec moi la main bien contre mon petit cul. Je veux à chaque pas sentir votre main dans la poche de mon short. Je veux que les passants se retournent sur nous et qu’à ce moment vous me caressiez négligemment ou passiez un doigt sur ma raie. J’aime que mon petit cul de belle salope fasse envie au plus de gens possible et que les rombières coincées au cul serré qu’on n’y passerait pas une allumette en soient choquées.

Petit cul, désir numéro 3

Sur la plage passez y la crème à bronzer. Si je suis sur la plage avec mon mari et que je lui demande de me passer la crème à bronzer. Il me fait cela à la va vite. Comme pour se débarrasser d’une corvée. Je sais que mon petit cul ne le laisse pas indifférent mais il est d’un convenu et d’une timidité qui m’exaspèrent. Parce qu’il y a des gens autour il ne s’attarde pas comme vous le feriez, j’en suis sûre ! Commencez par mes épaules, puis mon dos, puis mes reins, là attardez vous un peu, étalez mais massez en même temps. Enfin descendez vers mon petit cul. J’ai un monokini mais faites le descendre un peu pour me passer la crème. Badigeonnez moi aussi les cuisses et remontez en massant vers mon petit cul qui n’attend que vos mains expertes. Osez passer la main carrément sous mon maillot pour huiler mon petit cul juste vers l’anus. Frôlez même ma chate pourquoi pas.

Petit cul, aspiration numéro 4

Il est tant de nous retirer dans cet appartement de location rikiki mais désert en milieu d’après midi. Je vous sucerai peut être plus tard mais à je veux qu’il n’y en ait que pour mon petit cul. Vous l’avez choyé tout à l’heure dehors maintenant il est temps de passer aux choses un peu plus sérieuses. Prenez moi sur vos genoux comme une étudiante indisciplinée qu’il faudrait un peu corriger. Mon T-shirt relevé pour que la peau nue de mon ventre soit au contact de vos cuisses que j’imagine musclées. Vous baissez mon shorty et ma culote mais ne me fessez pas tout de suite. D’une main vous pincez en tordant comme lorsqu’enfants nous tirions un trèfle au pouilleux massacreur. De l’autre vous me maintenez avec autorité plaquée ainsi contre vos cuisses. Mon petit cul commence à être aux anges !

Petit cul, action numéro 5

C’est un peu rouge là où vous avez pincé. Je suis prête pour la fessée. Allez y franchement, variez un peu les angles. J’aime particulièrement de bas en haut, votre main partant de la hauteur de mes cuisses pour frapper mes fesses juste en remontant. Chatiez mon petit cul jusqu’à le faire rougir un peu. Vous sentez mes ongles crispés sur vos mollets à chaque coup sur mon petit cul maintenant brulant de désir autant que de douleur ? J’ai été bien vilaine, et je le mérite mais il va être temps de passer à la phase n°6.

Petit cul, phase numéro 6

Allongez moi maintenant sur le ventre en travers du lit. Mon petit cul a besoin de réconfort. Il est temps d’embrasse, de souffler tendrement là où vous l’avez meurtri. Léchez l’intérieur de mes cuisses. Bouffez moi un peu la chatte. Mais pas trop. J’avoue aimer plus la queue de bœuf que la langue.

Petit cul levrette en numéro 7

Vous passez les mains sous mon ventre et me relevez pour que je sois à genoux. Mon petit cul se tend maintenant vers vous. Il est plus que temps de me prendre en levrette. C’est ma position préférée. D’abord les jambes légèrement écartée pour vous faciliter l’accès. Prenez le temps de presser de vos mains mon petit cul en même temps que vous me baisez comme une chienne. Petit retirez vous, je serre maintenant les jambes. Voyez ma chatte est toujours accessible et la levrette se fait plus étroite. Vous pouvez y aller plus fort, préparant mon anus de votre pouce pour l’étape suivante.

Petit cul enfin la sodomie pour l’étape 8

Le pouce rentre sans difficulté. A ce stade je couine déjà comme une truie en général. Vous pouvez m’enculer sans crainte. Mon petit cul n’attend plus que ça pour être comblé. Défoncez moi comme il vous plait, l’heure n’est plus à la timidité. Penchez vous sur moi lorsque vous êtes bien au fond de mon petit cul. Restez un peu ainsi, engagez vos doigts dans ma cramouille trempée et essayez de sentir votre queue de l’autre côté. Je me tortille de plaisir et je ne sais sans doute plus où j’habite.

Petit cul étalez bien le sperme en 9

Si vous jouissez enfin, s’il vous plait faite le à l’extérieur, En plein sur mes fesses. Etalez votre foutre sur mon petit cul comme vous le faisiez plus tôt avec la crème solaire.

Petit cul, partez et laissez moi rêver à 10

Maintenant partez, que je ne vous revois plus jamais. Laissez moi savourer le souvenir de cette journée consacrée rien qu’à mon petit cul. Que je puisse m’en remémorer chaque instant et le garder comme un précieux secret qui n’appartient rien qu’à moi. Ne laissez pas de numéro de portable griffonné au dos d’un ticket de parking. Je ne vous appellerai pas.

Si vous avez aimé et voulez mieux me connaître lisez mon e_book

Baise en voiture 3 sur 3

Jaguar

 

-« C’est nous ! » lançait Christophe à la cantonade en entrant dans leur beau duplex.

L’entrée donnait sur un couloir d’où l’on pouvait voir leur grand salon. La femme de Christophe se levait du canapé pour venir vers nous. Je m’attendais à ce qu’elle me tende la main mais, malgré la bonne quinzaine d’années qui devait nous séparer elle me claquait trois bises familière comme si j’était une copine de lycée. A ma grande honte je ne me souvient plus du tout son nom. Christophe a fait vite les présentation : »Lucie, la collègue dont je t’ai parlé, Machine, ma femme. » Bon, bien sûr il n’a pas dit Machine mais comme je ne me souvient plus le nom disons que j’aurais l’impression paradoxale de la trahir un peu plus si je l’affublait d’un nom qui n’était pas le sien. Va donc pour Machine.

Machine était aussi blonde que je suis brune. Mais la comparaison s’arrête là. Petite et en léger surpoids j’imagine à son visage qu’elle avait du être jolie entre 15 et 30 ans. Mais les années sont parfois cruelles et à sans doute plus de 45 elle me semblait effectivement manquer de tout ce qui peut émouvoir un homme aussi fringant et distingué que mon tout nouveau collègue.

-« Dis donc, grand cachotier, tu ne m’avais pas dit que ta collègue (là elle mimait de guillemets avec ses doigts) était une bombe atomique » Lança-t-elle en m’adressant un clin d’œil appuyé tout en partant vers la cuisine chercher ce que je devinais être une bouteille de Prosecco puisque l’Aperol était déjà sur la table basse avec de grandes flutes à champagne vides.

-« Vous, enfin Tu, si tu permets que je te tutoie, connais le Spritz ? » me demandait Machine.

-« Bien sûr et j’adore ! » répondis-je spontanément en tendant l’une des coupes dont je venais de me saisir.

C’était étrange, d’ailleurs toute cette soirée a été étrange, Machine me faisait l’effet d’une vieille tante que j’aurais toujours connue. Elle était enjouée sans me sembler futile. Elle semblait sincèrement s’intéresser à moi. Avais-je des enfants ? Elle voyait à mon alliance que je garde presque toujours que j’étais mariée. Comme je trouvais son mari dans le travail ? Quels étaient mes auteurs préférés ?

Habilement, l’air de rien, sans jamais paraitre insistante ou lourde, elle menait sa petite enquête. Loin de me bombarder de questions elle semblait savoir toujours placer une anecdote sur elle ou son mari pour amener le sujet sur lequel elle souhaitait me poser une question. Christophe, lui, me semblait s’effacer petit à petit. Ce n’est sans doute pas exactement ce qui se passait mais c’est en tous cas le souvenir étrange que je garde de cette soirée passée dans leur appartement. De fait c’est bien Christophe qui faisait les aller retour entre le salon et la cuisine pour aller chercher les assiettes de tapas et amener les couverts pour mettre la table. Lorsque je me proposais pour aider Machine me posait la main sur l’avant bras pour me dire de laisser SON Christophe faire.

-« Laisse, il est adorable mais il n’a pas beaucoup de conversation, ça l’occupe de mettre la table ! » A nouveau un clin d’œil appuyé que j’était bien incapable d’interpréter.

Plus la soirée avançait et plus je me sentais complice et proche de Machine dont j’ai vraiment honte d’avoir zappé le prénom. Christophe, à l’opposé me semblait de plus en plus terne. Insignifiant et, pour tout dire, un peu ridicule à placer au millimètre près fourchettes, couteaux et cuillères autour des assiettes en porcelaine de limoge. La soupe de lentilles était simplement délicieuse avec une fine tranche de Pata Negra rendue croustillante par un bref passage au four. Mais quand Machine m’apprit très fière de son époux qu’il avait tout préparé lui même et qu’il avait très à cœur de toujours cuisiner pour ses invités je m’étonnais d’en être légèrement déçue. Pourtant, en y réfléchissant à deux fois, cela cadrait bien avec le Christophe maniaque de sa belle voiture anglaise. Tout me semblait totalement surréaliste à ce moment là. Après la soupe de lentilles vint une petite boule de glace à la poire avec un alcool du même fruit. Puis des ris de veaux au morilles. Des ris de veau ! quel mec cuisine des ris de veau en semaine ? Personnellement je n’en avais jamais vu ailleurs qu’au restaurant. Nous n’étions pas si loin de Bordeaux et pourtant le vin était un Nuit Saint George qui me paraissait très bon. Mais j’avoue être assez inculte en la matière. Christophe faisait le service tandis que Machine et moi bavardions comme deux vieilles amies de longue date. Surréaliste vous dis-je !

Bon, l’avantage de tout cela c’est que je ne risquais vraiment plus de mouiller ma culotte. Enfin mon Jeans puisque la culotte était roulée en boule au fond de mon sac à main. La douce complicité de cette femme entre deux âges qui me parlait maintenant littérature et l’attitude effacée de mon soit disant collègue qui tenait plus du maître d’hôtel que de l’amant audacieux m’avait ôté toute envie de baiser.

Le dessert était lui aussi mémorable. Des poires au vin servies très fraiches avec une pointe de piment de Cayenne en remplacement de la traditionnelle cannelle.

Un peu avant minuit Christophe proposait de me reconduire à mon hôtel. J’hésitais à décliner et à dire que je pouvais appeler un Taxi. Mais une petite voix en moi me disait que tout n’était peut être pas perdu.

Sur le seuil de l’ascenseur Machine plaisantait en nous recommandant d’être bien sages. A peine les portes de l’ascenseurs étaient-elles refermée que sans que je comprenne pourquoi je me retrouvais instantanément brulante de désir pour cet homme qui me paraissait totalement insignifiant quelques secondes plus tôt. Je vais vous paraitre complètement timbrée après le récit que je viens de faire de cette soirée et la confession de ma perte d’intérêt pour l’homme qui partageait avec moi maintenant les trois mètres carrés de l’ascenseur. D’ailleurs je pense que je ne suis pas très normale moi même. Mais je me retrouvais collée à lui comme s’il ne s’était rien passé du tout entre notre précédente étreinte quelques heures plus tôt dans le même ascenseur. Je l’embrassais à pleine bouche et cette fois c’est moi qui mettait la main dans son pantalon pour sortir sa queue merveilleuse et le branler en continuant à tourner ma langue dans sa bouche. Lui me pressait cette fois sans retenue les seins et prenait à pleine main mes cheveux pour les tirer en pressant ma tête contre la sienne pour continuer notre baiser. Je me décollais de sa bouche pour lui dire à l’oreille que je comptais sur lui pour me prendre par tous les trous comme une chienne. Je voulais être sa pute gratuite et personnelle, il pouvait m’humilier et baiser ma bouche à fond. Je voulais sa queue toute entière dans mon cul de grosse salope. Arrivés au parking il me tirait par les cheveux jusqu’à sa voiture et ouvrait la porte arrière.

-« Installe toi grosse salope, tu vas bien en prendre plein le cul, t’inquiète pas ma jolie ! »

J’avais complètement oublié Machine et son attitude de mari effacé à ce moment là, je peux vous l’assurer. Il me poussait sans ménagement sur la banquette arrière et je me retrouvais à genoux. Les menottes étaient toujours sur la banquette arrière mais nous étions trop pressés l’une comme l’autre pour songer à en faire usage. Comme il entrait dans la voiture derrière moi et fermait la portière il me commandait : »Vire moi ce Jean de pute que je vois enfin ton cul de bonne grosse salope ! » Je m’exécutais tendis qu’il se dessapait lui aussi. Il n’était plus question de préliminaires mais heureusement je constatais qu’il enfilait un préservatif. Je me demandais s’il l’avait depuis le début dans sa poche ou s’il venait de le prendre dans le bac de la portière de la jaguar. C’est quand même marrant le genre de questions qui me viennent dans ces moments là ! Il me prit direct en levrette et comme sa bitte était bien longue je ne pu retenir un long cris de plaisir. Autant à l’aller j’avais pris mon temps à le sucer lentement et il me semblait lui aussi délicat et patient, autant là il y allait avec une délicieuse brutalité et me ramonant à fond, claquant mes fesses avec son ventre mais aussi du plat de la main. La banquette arrière de la jag ne couinait pas du tout mais les amortisseurs et l’assise accompagnaient avantageusement ses va et viens sauvages.

-« T’aime ça hein grosse salope ? »

-« Oui c’est bon ? »

-« Bin dit le alors que tu es une grosse salope qui aime la bitte. »

-« Oui, j’aime la bitte, mais c’est surtout la tienne que j’adore ! Elle est trop bonne, vas-y, encore, met la moi toute ! T’arrête pas ! »

C’était juste parfait, il me défonçait la chatte en me claquant les fesses et en me tirant la tête en arrière pour me dire exactement le genre d’insanités qui me rend totalement dingue.

-« Bon, c’est pas que je m’ennuie mais il est tant de changer un peu de trou hein ma cochonne. T’en penses quoi ? »

-« Fais ce que tu veux de moi, je suis ta petite pute gratuite. Vas-y, prends mon petit cul. »

Il ne fallait pas lui dire deux fois. Sans hésitation il plaquait sa queue sur mon anus et s’introduisait sans effort. Il faut dire que trempée comme j’étais sa queue devait être bien lubrifiée et j’en avais tellement envie que je n’opposais aucune résistance. J’aurais voulu continuer à lui dire des trucs cochons mais la vérité c’est que je n’étais à ce moment plus qu’un cul et une chatte qui gueulait son plaisir. Il me défonçait le cul avec toujours autant d’entrain mais imperceptiblement je le sentais ralentir la cadence. Pourtant c’était loin d’être fini. Il me déplaçait pour que je sois sur lui face à face. J’aime moins cela que la levrette mais cette fois c’était exquis de prendre un peu le contrôle et de me retrouver sur lui avec à nouveau sa longue verge dans ma cramouille et son visage pressé dans mes seins. Pendant que j’allais et venait il écartait mes fesses pour me pénétrer l’anus avec un deux doigts. Les amortisseurs de la caisse faisaient merveille, amplifiant chacune de mes allées et venues. Je jouissais en hurlant carrément.

-« Attends, c’est pas fini petite chienne, je veux que tu me finisses à la bouche comme une bonne grosse salope ! »

Il enlevait son préservatif et pressait son sexe toujours aussi turgescent sur ma bouche. Je le prenais de bon cœur. D’abord en pressant les lèvres puis, petit à petit de plus en plus loin au fond de ma gorge en tentant d’aller jusqu’à la garde. Ce que je ne parvins pas à faire cette fois. Après avoir pressé sur ma nuque pour littéralement me baiser la gorge il se retira pour venir entre mes seins. Je pressais mes melons des deux mains pour une bonne branlette espagnole. A genoux sur moi, les mains sous mes bras il continuait à me baiser entre les seins exactement comme s’il me prenait en levrette. En courbant la tête je pouvais avoir le bout de son gland sur mes lèvres à chaque coup de butoir. Son jet me surpris en pleine figure. Je pense qu’il avait du se retenir pendant des jours tellement il y avait de foutre. Il me pressait la tête contre son ventre pour m’essuyer sur lui. Je me délectais de ses derniers instants. Croyez moi, c’est pas si souvent que c’est aussi bon, loin de là hélas !

Il m’a ensuite ramené à mon hôtel sans que nous échangions un mot, ni même un regard. Et c’était, en tous cas pour moi, parfait ainsi !

Seule enfin dans ma chambre d’hôtel je me dis que j’ai vraiment eu un coup de cul inouï. Je suis une chanceuse ! Un monstre plan cul pour ma première fois en voiture et en plus une soirée délicieuse avec Machine et son mari cuisinier hors pair ! En en plus il y a du Toblerone et une cannette de RedBull dans le frigo du mini-bar !

Je garde la RedBul pour dans quelques heures car je risque d’en avoir besoin et je dévore le Toblerone. Il faut absolument que je dorme un peu si je ne veux pas être complètement fracassée le lendemain pour ma vente. Mais rien n’y fait, je laisse la chambre allumée et j’ai les yeux grands ouverts qui fixent le plafond.

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Baise en voiture 2 sur 3

Et oui, finalement je le fais en trois épisodes ! D’ailleurs j’en profite pour annoncer que l’e_book sera fini avant mercredi. Croix de bois, croix de fer, si je ments je vais en enfer et vous pourrez m’y attacher et m’y baiser !

Une des très rares photos de mon site...
Baise en voiture, une des rares photos de mon site

Le second épisode donc de ce plan cul mémorable :

Le parking était au sous sol d’un immeuble d’une dizaine d’étages desservis par un ascenseur qui allait du -2 où nous étions garés au +9 qui était justement le bouton sur lequel Christophe venait d’appuyer. La séance dans la voiture m’avait chauffée à mort et vous vous doutez bien qu’être maintenant seule avec lui dans l’ascenseur avait de quoi me rendre folle. A peine la porte se refermait-elle sur nous que je me collais à lui.

-« Tu m’as trempé la culotte, je vais pas pouvoir tenir tout le dîner, je te préviens. » Je prenais sa main pour la porter à ma bouche et sucer ses doigts.

-« Tss Tss Tss, pourtant il va bien falloir, moi j’ai faim et ça m’excite bien de t’exhiber incognito devant ma bourgeoise. » Il déboutonnais quand même le haut de mon jean pour plonger sa main dans ma culotte et vérifier mes dires. Je sentais ses doigts rentrer tout seuls dans ma chatte presque déjà dégoulinante. Je serrais son poigné de toutes mes forces en y plantant mes ongles french manucurés et collais ma bouche à la sienne comme une salope affamée que j’étais en train de devenir. Onze niveaux c’est long et en même temps beaucoup trop court. Quand je ressentis l’à-coup de l’ascenseur arrivé à destination j’avais l’impression qu’il ne s’était vraiment pas assez passé de temps. Les portes s’ouvraient mais Christophe faisait mine de ne pas s’en apercevoir. Un gémissement de joie m’échappait lorsqu’il appuyait à nouveau sur le bouton -2 !

Il me plaquait contre le fond de l’ascenseur, ses doigt fouillant toujours sans vergogne ma chatte brulante et son autre main remontant sous mon T-shirt pour masser mes seins plus durs que jamais. J’aspirais sa langue le plus fort possible et m’accrochais à son poignet pour l’empêcher de se retirer de ma cramouille maintenant carrément détrempée.

Retour à la case départ, la porte de l’ascenseur s’ouvrait à nouveau sur le parking. Je le sentais s’écarter de moi à regret : « Ecoute ma jolie, ça ne va pas le faire si on ne se calme pas un peu. Je te propose se remettre un peu d’ordre dans ta tenue et que nous remontions sagement cette fois. Et, heu, je ne sais pas comment te dire mais j’ai l’impression que ta culotte est un peu, disons, humide. »

Effectivement, c’était un peu la honte, si je remontais mon jean et le reboutonnais ainsi nul doute qu’il serait difficile de cacher l’état d’excitation dans lequel je m’était trouvée. Ravalant ma fierté je sortais un paquet de kleenex de mon sac à main pour bien m’essuyer, je déchaussais mes Converses, enlevais mon jean et ma culotte pour remettre le Jeans Levis cette fois sans culotte mais sur une chatte parfaitement imberbe et sèche.

-« Bon, on arrête les bêtises, cher collègue, maintenant c’est sans filet ! ». C’est moi qui appuyais résolument sur le bouton 9 pour notre remontée vers le domicile conjugal de mon futur amant. J’écris futur car pour moi tant que je n’ai pas eu sa queue dans ma cramouille j’estime que, techniquement il n’y a pas adultère. Ce n’est pas Bill Clinton qui me contredira !

Nous remontions donc sans nous toucher, essayant tant bien que mal de nous mettre dans la peau de nos personnages : Deux collègues de travail s’entendant bien mais sans plus.

-« C’est nous ! » lançait Christophe à la cantonade en entrant dans leur beau duplex.

Si vous avez raté l’épisode précédant : C’est ici !

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Un peu de pub désolée…

 

Cam sexy, une page de commande

« Madame, nous trouvons votre blog très bien écrit et son positionnement dans les moteurs de recherche laisse imaginer un lectorat important et de qualité. Accepteriez vous de consacrer une page à la promotion des show en cam sexy en ligne de nos hôtesses. Vous auriez carte blanche quant-à la présentation de ces spectacles vivants et interactifs. Bien sûr une rémunération fonction du chiffre d’affaire généré vous serait reversée. Sincèrement et en espérant une réponse positive de votre part. » Voilà, pour cette page tout a donc commencé comme cela. Cher lecteur, sache donc que cette page est une commande. J’ai longuement hésité à l’écrire car j’ai un peu peur qu’elle ne s’écarte de l’objet « thérapeutique » principal de ce blog qui est d’exhiber mes aventures extraconjugale et d’avoir un prétexte pour me caresser en assouvissant ma passion pour l’écriture. Mais après réflexion je me dis que même s’il s’agit de sexe virtuel et tarifé la pratique n’a rien de honteux à mes yeux et peut s’avérer carrément plus excitante que de regarder passivement des vidéos. Et puis, avouons le, si je gratte quelques centimes au passage je ne vais pas non plus dire non ! Donc allez y, cliquez sur les images des hôtesses, faites l’essais gratuit. C’est ensuite à vous de décider si ça vous plait au final. Laissez en commentaire le nom de votre cam sexy préférée sur le site si vous voulez aussi. Avec une description c’est encore mieux. N’hésitez pas, cette page est la votre, ajoutez vos commentaire et le pseudo de votre hôtesse, je m’occupe du lien ! Pour rendre l’exercice original et amusant pour moi j’ai décidé de passer du temps avec quelques hôtesses et à écrire un petit texte comme si j’étais chacune d’elle et que je me présentais. Revenez souvent sur cette page, car je l’enrichirai en fonction de son succès et des filles qui auront accepté de passer un peu de temps à me parler d’elles et de leur vision de la sexcam rémunérée. Bonne lecture et plus si affinité !

Cravate de notaire, Afrodita adore

ce n’est pas parce que je le fais pour l’argent que je n’aime pas cela ! Mon plus grand plaisir après baiser comme une chienne avec mon mec (eh oui, je suis fidèle !), c’est de m’exiber en sexcam. J’adore faire des cravates de notaire ou des branlettes espagnoles avec mes seins et des bons gros godes ou des légumes. Je suis enjouée, sans tabous et contrairement à d’autres je ne joue pas la montre quand je suis en show privé. Mon but est que vous m’aimiez et que vous reveniez me voir souvent !

Trois choses que j’aime :La cravate de notaire – Les jupes très courtes – Mes seins avec les mains de mon mec dessus. La Tunisie. Ah mince ça fait 4 !

Mon rêve : Devenir actrice. J’y travaille !

 

Lynax, cam sexy sans tabou du 03 juillet 2015


Je pourrais vous dire comme je sais être sexy et entreprenante même en cam sexy. Je pourrais décrire ma collection personnelle de godemichets que vous pourrez me guider à essayer. Mais cela je suis certaine que d’autres filles le promettent aussi bien que moi. Alors laissez moi juste vous dire que j’aime vraiment le cul. J’ai décidé de profiter de la vie et de ne pas la laisser filler. Tout ce que je fais face (ou fesse) caméra n’est qu’un préliminaire à ce qui pourra sans doute suivre une sortie en boite entre copines. Si vous savez guider mon doigt jusqu’à l’orgasme alors je vous dirais peut être où je compte sortir danser samedi soir.

Trois choses que j’aime : – Un plan à trois avec une copine et un inconnu. – Les touristes célibataires et pas prise de tête. – La lingerie Française.

Mon rêve : – Aucun, je préfère vivre à rêver !

Addie, belle hotesse cam sexy du 29 juin 2015

Bien sûr que je le fais pour la tune ! Evidement que souvent mes orgasmes sont feints ! Mais cela ne veut pas dire que je ne mets pas autan de cœur à l’ouvrage qu’un artisan boulanger ou un maçon qui aimerait sincèrement son boulo. Hôtesse de sexcam c’est pour moi l’occasion d’un jeu de séduction très particulier et personnalisé. Souvent les hommes avec qui je passe du temps ont été gavés de vidéos porno et veulent passer à quelque chose de plus interactif, de réellement personnalisé. J’aime sincèrement ces moments d’intimité et de partage. J’essaie de faire en sorte que mes spectateurs deviennent le plus possible acteurs d’une bonne séance de baise. Beaucoup aimeraient me rencontrer en vrai, me demandent où j’habite et si je suis aussi sur des sites de rencontre. Je sais que pas mal de filles le font. Mais pas moi. Avec moi tout est à travers la webcam, l’écran ET le micro. Très important le micro !

Trois choses que j’aime : – Les costumes sexy et différents chaque jour – Sucer des bananes ou des concombres – Lécher mes seins (ou me les faire lécher bien sûr !).

Mon rêve : Tomber amoureuse d’un spectateur qui reviendrait régulièrement ! Non, j’déconne, n’écris pas ça ! (ndlr : trop tard…)

Cam sexy de Xsena, 30 juin 2015

Hotesse cam sexy Xsena
Une superbe hôtesse cam sexy de purelive. Et en plus elle est sympa. Pour la trouver cherchez juste Xsena.

Ok j’ai un accent d’un pays de l’est un peu prononcé. Mais j’espère que cela me rend plus charmante. En tous cas m’exhiber et faire la cam sexy avec des Français m’aide à progresser dans la langue de Baudelaire. Avec quelque jetons un mec peut obtenir de moi ce qu’il veut, tout ce qu’il veut ;o). J’aime la lingerie sexy et sophistiquée, mais aussi les accessoires et les sextoys. Si j’ai un amoureux à moi ? Cela c’est mon petit secret ! En tous cas ce que je fais avec les hommes en sexcam ne regarde que moi !

Trois choses que j’aime : – écarter mon string sur le côté pour glisser un doigt dans mon minou – le faire aller et venir quand je suis bien mouillée – une copine qui me lèche.

Mon rêve : Un voyage à Paris, voir la Tour Eiffel et les Champs Elysées.

 

Pensez à indiquer celle que vous préférez bien sûr.