Plug anal, j’ai testé au Mans

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Site de rencontre plan cul, une sélection

Le plug anal, je dois avouer que si un mec ne m’en avait pas mis un par surprise lors d’un plan cul un peu improvisé au Mans je n’aurais jamais eu l’idée d’utiliser un plug anal. Tout d’abord, il faut savoir que je suis plutôt nature et que, de ce fait, j’adore une vraie bite bien dure que ce soit en bouche, dans mon minou ou (si c’est bien fait) par derrière.

Je m’y étais prise un peu à l’arrache cette fois car le déplacement m’était tombé dessus de manière impromptue et il fallait que je sois au laboratoire Gambetta du Mans avant la fin de la semaine si je voulais avoir une chance de conclure avec ce client. Ma seule possibilité était de prendre rendez vous le samedi matin. Je déteste cela car le WE s’en trouve écorné mais comme j’ai une grosse part de salaire variable il faut parfois savoir faire des concessions. Et puis je me disais que, pour une fois, cela serait une occasion de sortir en célibataire un vendredi soir. Une fois n’est pas coutume, je décidais de renoncer à la facilité d’une rencontre via infidèle messenger pour essayer de me faire draguer en direct « in situ ». Je repérais sur Google Map le Soukala, un night club à deux pas de mon rendez vous et de l’hôtel Ibis où je prenais donc une chambre.

Le problème avec les déplacements professionnels c’est que l’on peut vite s’ennuyer le soir. Je ne voulais pas arriver trop tôt à la boite car je sais d’expérience qu’avant minuit ça ne bouge pas vraiment dans ce type de boite africaine. Je mangeais donc un peu seule place de la république puis remontais à ma chambre d’hôtel. Pour ne pas tourner en rond comme une lionne en cage je décidais de voir l’effet que ferait ma tenue du soir sur des mecs en chat et SexCam. C’est une habitude que j’ai prise. Cela me permet de bien me chauffer et, si j’arrive à brancher vite un mec sur un plan Sexcam juste avec une tenue un peu provocante, alors je me dis que cela me portera chance pour la vraie soirée. Je plaçais donc la GoPro en mode WebCam avec une vue bien cadrée sur le lit et réglais l’ensemble pour que l’on puisse me mâter en train de m’habiller.

Ecrivez moi si je me trompe mais j’ai remarqué que les mecs semblent prendre autant de plaisir à voir une belle fille s’habiller que se dessaper. Une fois sortie de la douche j’enroulais mes long cheveux dans une serviette tout en surveillant du coin de l’œil le Macbook et le compteur des voyeurs connectés à ma webcam. Déjà quatre, c’était plutôt bon signe. Je décidais de mettre juste un porte jarretelles et une paire de bas noir sans culotte ni string. J’aime dérouler lentement les bas le long de mes jambes puis accrocher au porte-jarretelles. Sur le macbook ça commençait à crépiter avec les mecs qui me demandaient si je pouvais rester comme ça et me caresser un peu. Mais je décidais pour le moment de les ignorer pour passer une robe moulante en laine noire. Sans soutif l’effet me semblait parfait laissant deviner de petits tétons dardant sous la maille fine. Je posais un petit miroir à côté de la GoPro pour me mettre un rouge à lèvres exactement coordonné avec les semelles des vraies Louboutin que je chéris plus que tout en ce moment. Je faisais tout cela en prenant mon temps, sachant fort bien l’effet que cela devait avoir sur les mecs connectés qui me mâtaient sans que je prenne la peine de leur répondre pour le moment. Je me faisais une queue de cheval toute simple et ajoutais à mes oreilles une paire de grandes boucles créoles dorées. Il était à peine onze heures aussi je tuais le temps à chatter avec quelques plans potentiels autour de Montpelier où je dois passer du temps avant juillet. Il y a en particulier un homme qui me semble très cultivé et suffisamment autoritaire pour me promettre une séance de fessée sur laquelle je commence à énormément fantasmer. Mais cela est une autre histoire. un peu avant minuit je complétais ma tenue d’un manteau en vraie fourrure de loup pour enfin partir à la découverte de cette boite à Zouk du Mans en me faisant tout un film sur un beau black qui saurait s’occuper de moi comme j’aime.

Plug dans le cul, la bonne surprise !

Cela s’avéra encore plus facile que je ne le pensais. A l’exception de quelques beaufs au bar et de deux nanas plutôt banales j’étais la seule blanche de la soirée. Après quelques punchs bien tassés tous offerts par des mecs qui semblaient morts de rire sans que je sache vraiment pourquoi je me retrouvais à zouker collée serrée avec un beau black entre trente cinq et quarante ans, grand et très bien bâti. Il devait être habitué du club car il m’entraina assez vite dans une petite salle isolée qui ressemblait à une loge de théâtre. J’étais déjà bien alcoolisée et je dois dire qu’il embrassait très bien. Pour le moment je ne regrettais vraiment pas du tout d’avoir prolongée ainsi ma semaine de taff !

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

Je profitais donc que nous soyons dans une loge pour sortir mon tube de rouge à lèvres et m’en remettre un peu car je sais que c’est un geste qui peut être excitant. Comme il relevait ma robe pour découvrir mes fesses nues je m’attendais à ce qu’il me baise par derrière. J’avais un peu d’appréhension car même si j’étais passablement excitée je sais d’expérience que ce type de position peut tourner au fiasco si le mec n’assure pas. Mais ce n’était finalement pas son intention.

-« Attends, j’ai un cadeau pour bien te préparer ma jolie »

Il sortit une bouteille de rhum agricole de je ne sais où et rempli à ras bord un verre à cocktail contenant un plug anal lui aussi en verre. Tout étant parfaitement transparent le plug anal en devint presque invisible. Il prit le plug tout mouillé d’alcool pour l’appuyer entre mes fesses tout en me portant le verre aux lèvres. Je buvais cul sec alors qu’il enfonçait le plug dans mon cul qui ne l’était plus, sec. L’alcool me brulait l’anus mais j’était de toutes façons déjà chaude comme une baraque à frittes. Je pensais qu’on allait baiser là et je n’étais vraiment pas contre, surtout que j’avais très envie de vérifier si sa queue était à la mesure de mes fantasmes. Mais il rabaissa ma robe et me pris par la main pour retourner danser.

Vers 2 heures du mat c’était moi qui était obligée de lui demander s’il pouvait me raccompagner à mon hôtel avant que je meure d’une overdose de zouk.

-« En plus je dois me lever pour un rendez vous à 9h et j’ai l’impression qu’on n’est pas encore couchés » ajoutais-je en appuyant ma main sur la bosse que faisait son sexe à travers la toile de son costar en satin.

Il ne fallait pas le lui dire deux fois. Quelques secondes plus tard j’avais récupéré ma peau de louve toute prête à faire ma chienne. Nous marchions à grands pas, courant presque dans la rue déserte vers mon hôtel. Après avoir dansé avec un plug anal dans le cul, autant vous dire que marcher avec un plug anal n’était pas difficile. Surtout j’étais tellement excitée que je ne me souviens pas avoir trouvé cela difficile. Aussi j’étais déjà passablement essoufflée quand il fit passer ma robe par dessus ma tête avant de pousser sur le lit en bas et porte-jaretelles.

« Toi, pas bouger et surtout pas dormir, je reviens très vite » me dit-il avant de disparaitre dans la salle de bain, pour je suppose assouvir un besoin fort naturel. C’est à ce moment que j’en ai profité pour faire une chose que vous découvrirez à la fin du post…

Quand il est sorti de la salle de bain il était enfin nu et plus que sa bite longue et belle c’est surtout sa musculature parfaite qui m’a impressionnée. Le mec, en plus d’avoir la peau très noire était tout en muscles sans pour autant paraitre sur gonflé comme certains culturistes. J’étais assise sur le bord du lit et il m’a d’abord prise fermement mais sans brutalité excessive par ma queue de cheval pour me faire comprendre que j’allais commencer par sucer la sienne et qu’il verrait ensuite ce qu’il ferait de moi. Encore un peu saoule je m’appliquais de mon mieux. Il l’avait vraiment bien longue et même en y allant à fond il n’était pas possible que je le suce jusqu’à la garde comme je le fais parfois. J’essayais de me rattraper en lui léchant bien les couilles et en l’avalant tout de même le plus loin possible. Heureusement il semblait apprécier et m’aidait en appuyant ma tête avec juste ce qu’il faut de force pour gagner un ou deux centimètres sans pour autant me faire trop mal.

Après s’être laissé faire comme cela debout assez longtemps (je n’ai pas mesuré mais ça m’a paru une des plus longues fellations que de mon histoire) il m’a prise par la taille et m’a soulevée comme si je ne pesais pas plus qu’une poupée de chiffons. C’est là que j’ai compris que le type était vraiment fort. Il était toujours debout, j’avais la tête en bas et il roulait un patin à ma chatte alors que j’essayais maladroitement de continuer à le sucer ainsi à l’envers. En même temps que le cunnilingus il faisait entrer et sortir le plug anal de mon cul. A chaque fois c’était un peu douloureux mais très excitant. Je pense que cette position eu pour effet de faire remonter un peu de sang à mon cerveau et même si je commençais à avoir un peu mal au crâne je sentais que je dessaoulais et que la nuit était loin d’être terminée. En me déposant enfin sur le lit il m’a complimentée sur ma chatte intégralement rasée et bizarrement je me suis sentie bien plus flattée que s’il m’avait parlé de ma coupe de cheveux où même de ma silhouette. J’avais toujours le plug dans l’anus et quand il m’a pénétrée j’ai compris avec délice tout l’intérêt de la chose. Il me ramonait la chatte et en même temps je sentais de l’autre côté le plug qui faisait pression contre son sexe sur la paroi de l’autre côté. J’en hurlais littéralement de plaisir. Je ne suis pas timide et d’habitude je n’ai pas à me forcer pour gémir ou couiner. Mais là c’était carrément des cris qu’il obtenait de moi. Et du coup, lui y allait aussi de plus en plus fort en me gueulant dessus de continuer à crier pendant qu’il « m’éclatait ».

-« Je vais t’éclater ma belle, tu vas plus pouvoir marcher, j’vais te péter les jambes. »

J’avoue que là, en même temps que je jouissais j’étais un peu inquiète car le type en était physiquement tout à fait capable. Avec ses grandes mains me tenant les genoux je me sentais aussi fragile qu’une cagette pour démarrer le feu de cheminée.

Comme il ne semblait pas fatiguer je finissais, moi, par lui crier d’arrêter, de me laisser reprendre mon souffle. Mais il ne m’écoutait plus et continuait à me défoncer la chatte. Difficile de me souvenir de tout car j’étais alors dans un état second. Je me souviens qu’il ma retournée tout aussi facilement pour enlever le plug anal et le remplacer par sa queue. C’est rentré vraiment tout seul sans problème et franchement c’est plus la pression de tout son corps sur moi et ses assauts violents qui me faisaient mal que mon cul lui même que je ne sentais plus trop mais que je sais maintenant capable d’encaisser pire. Quand il a finalement joui j’étais de mon côté au bout du rouleau mais j’avais quand même la force de lui demander si ça ne l’embêtait pas de me laisser dormir seule. Il m’a paru un peu surpris mais, heureusement, n’a pas insisté pour rester.

En me levant à la sonnerie de l’iphone à 9h j’éteignais la GoPro et le MacBook. Je ne sais pas pourquoi mais cela m’avait paru sur le moment une bonne idée de rallumer quand il était dans la salle de bains. Par contre ce qui est stupide c’est que je ne saurai jamais si nous avons eu des spectateurs vu que le système ne garde pas en mémoire qui s’est connecté !

 

Plug anal offert au Soukala
Cela parait kitch et, ça l’est ! Mais j’y ai trouvé un plan cul aussi mémorable qu’anal !

Post scriptum : Depuis mon dépucelage anal au château c’est pour le moment de loin ma meilleure fois par derrière et surtout ma première avec un plug anal. Autant vous dire que je suis désormais un grande fan du fameux plug anal ! C’est assez rare pour être souligné…

Soubrette soumise, ou pas !

soubrette
lien vers de belles vidéos de soubrettes qui m’ont donné l’inspiration.

 

« Homme 47a, bien de sa personne, cherche jeune femme pour ménage, heures de repassage et plus si affinités. »

L’annonce passée de surcroit sur Yes! Messenger ne manquait pas d’un certain culot et cela faisait quelques temps déjà que je fantasmais sur des costumes de soubrette soumise sexy sans craquer ni sortir la CB de peur de ne jamais vraiment trouver d’occasion de les enfiler pour me faire…enfiler.

Petite fille j’adorais les déguisements. Vous l’avez sans doute deviné, je suis assez maniaque du détail et j’aime que tout soit le plus parfait possible. Aussi j’évitais le costume tout fait bon marché sur un site internet douteux et je glanais un par un les éléments de ma tenue sur différents sites avec le plus grand soin. J’essayais de reproduire une tenue digne d’un film à budget de Marc Dorcel. Merci au passage à Anissa Kate et Ariel Rebel qui m’ont bien aidé dans Soubrettes Services ! Tout avait été récupéré en catimini et en plusieurs livraisons à mon point relais favori et secret, un fleuriste qui entasse dans sons arrière boutique des colis siglés amazon, la fnac ou ventes privées. Je me demande parfois si ce business ne le dessert pas plus qu’autre chose dans son commerce principal. En tous cas je pense beaucoup lui plaire et me laisserai peut être tenter un jour…

Mon dernier rendez vous de boulo s’était terminé tôt et j’avais devant moi toute la fin de l’après midi et le début de la soirée pour m’apprêter comme il se doit dans ma très belle chambre d’hôtel. Tout d’abord, avant même de penser fringues il convenait de donner à ma peau toute la douceur et l’odeur qu’un maître de maison est en droit d’attendre de son personnel féminin. Je voulais que toute ma peau sente la vanille pour nous mettre dans une ambiance coloniale dans un style que j’aurais situé juste après guerre, quand l’Indochine d’où vient ma grand mère était encore Française.

Après un long bain relaxant je me passais sur tout le corps le lait parfumé Vanille Noire d’Yves Rocher essayant d’imaginer que mes mains étaient celles de mon amant à venir. J’aime ainsi verser le lait corporel généreusement sur le haut de mes seins et étaler jusqu’à ce que la peau soit douce et parfumée jusqu’au bout de mes tétons dardés. Le flacon cylindrique a juste la taille et la forme qui va entre mes seins pressés et devant le grand miroir de la salle de bain je m’amusais à le coincer en imaginant la belle cravate de notaire que je pourrai faire ce soir là.

Quand mes yeux se sont posés sur mon pubis impeccablement taillé en ticket de métro cela m’a paru alors bêtement incongru et pas très raccord avec l’ambiance après guerre que je voulais donner à cette soirée. Impossible de m’imaginer que cette « coupe » puisse avoir été en vogue dans ces années là. C’est étrange comme un détail pourtant sans importance peut me pourrir l’esprit. Nue sur le grand lit avec le MacBook j’avais beau fouiller le net, aucun moyen de savoir comment les femmes présentaient leur pubis au milieu du siècle dernier ! Comme quoi on ne trouve pas tout sur internet ! Comme je me voyais mal mettre un postiche pour ressembler à l’origine de monde de Gustave Courbet et que je ne pouvais plus supporter ce ticket de métro ridicule j’optais pour la seule solution qui me semblait vraisemblable : un rasage intégral. Je ne l’avait jamais fait mais j’étais sûre que l’idée n’était pas nouvelle. Mon mari serait sans doute surpris le week-end suivant mais qu’importe. D’abord la mousse puis l’opération délicate du rasage allumaient déjà en moi un feu que j’aurai du mal à contenir jusqu’à l’arrivée deux heures plus tard de celui que j’appelais déjà mon maitre de maison. Une fois impeccablement rasée je caressais ma peau à cet endroit découvert pour la première fois depuis l’enfance. Et, bien sur je ne pouvais résister à la tentation de me caresser et d’introduire un doigt en ne m’imaginant plus seule quelques heures plus tard. Je devais me faire violence pour m’interrompre et me réserver pour plus tard.

Pour mes fesses j’abandonnais, dans un même souci d’être dans l’époque visée, l’idée du string et choisissait une culotte en soie très fine et incroyablement douce. J’enfilais sur mes jambes la paire de vrai bas couture noirs made in France qui m’a juste couté une blinde. J’ajustais un très beau porte jarretelles à dentelle noire assorti à un soutient gorge parfait pour mon 85C.

La tenue de soubrette que j’avais choisie comportait une robe corset noire à lacets et je devais me contorsionner pour parvenir à la serrer convenablement. Je coiffais mes long cheveux en un chignon bien sage et nouait sur mon front un bandeau en dentelle blanche le plus joliment possible. Je complétais avec un collier aussi en dentelle ras de coup, une paire de gants assortis et bien sûr un plumeau en vraies plumes.

Prête une bonne demi heure avant l’arrivée prévue de mon rendez vous j’étais vraiment très excitée et j’avais une furieuse envie de me masturber tout en devant me retenir car je ne voulais pas froisser ma tenue en me touchant allongée sur le lit. C’était ridicule car dans cette tenue il n’était pas question de sortir de ma chambre et je n’avais pas grand chose d’autre à faire qu’attendre. J’essayais bien de tuer le temps en zappant sur l’écran plat immense de cette belle chambre. Mais la seule chose qui m’aurait intéressé aurait été une chaine pour adultes et je ne voulais pas que cela apparaisse sur ma note d’hôtel bien sûr. J’aurais pu mâter un film sur mon mac mais je n’avais pas envie de m’exciter plus que je ne l’étais déjà. N’y tenant plus j’envoyais un SMS à mon rendez vous pour lui dire que s’il était un peu en avance ça m’allait…Pas de réponse. Je tournais donc en rond dans la chambre d’hôtel que je trouvais finalement petite malgré ces bons 30 m2 en comptant la grande salle de bain. Impossible de sortir dans cette tenue bien sûr ! Pour me mettre dans l’ambiance j’essayais le plumeau sur tous les meubles en me baissant pour voir dans un miroir l’effet que cela faisait et si la robe bustier était assez courte mais cela ne parvenait pas vraiment à m’occuper l’esprit et j’étais chargée comme une pile électrique lorsqu’arrivait l’heure tant attendue. Enfin d’ailleurs mon téléphone vibrait (je laisse toujours en mode silence) m’indiquant l’arrivée d’un SMS : « EMPECHEMENT FAMILLIAL, DESOLE DE DEVOIR FAIRE FAUX BON, UNE AUTRE FOIS J’ESPERE »

Aaaaaarrrrghhh ! J’en ai presque pleuré de déception et de frustration. Je me retrouvais comme une conne en début de soirée seule et costumée dans la tenue de Soubrette qui m’a juste couté une blinde. J’avais bien la possibilité de chercher en catastrophe un plan de remplacement sur Yes! Messenger mais j’étais tout à coup très découragée et je n’avais pas envie de prendre le risque d’un plan foireux organisé à la va vite. J’ai déjà testé cela et les deux fois où je m’y suis prise trop vite cela a été décevant.

Ma grand mère disait toujours : »Faute de grives, on mange des merles ! »

Il me restait quand même l’ersatz possible d’un plan cul virtuel par webcam. Comme en plus j’avais toujours mon compte PureLive opérationnel je décidais, de faire contre mauvaise fortune bon cœur et de mettre à profit ma tenue sexy et toute cette frustration pour une séance d’exhib désinhibée comme je n’en avait jamais fait. Ce soir là les types qui se sont connectés à mon profil en ont vraiment eu pour leur crédits. Ils ont pu littéralement téléguider mon plumeau qui n’a pas servi à astiquer que les meubles de la chambre. Il y en a même un homme de Valencienne qui est finalement parvenu à me faire jouir à distance en m’ordonnant de lustrer mes souliers vernis avec ma chatte humide. Je lui ai laissé mon mail et compte bien le rencontrer en vrai quand je passerai par Valencienne. S’il se reconnaît ici qu’il n’hésite pas à m’écrire en commentaire ou en MP…

 

Si vous m’avez aimée en soubrette soumise vous m’aimerez peut être en écolière fessée

 

Site de rencontres comment choisir ?

 

Bon, comme vous avez été plusieurs à me poser la même question du choix d’un site de rencontres je vais essayer de rédiger un petit billet sur ce sujet. Enfin, quand j’écris plusieurs, pour être tout à fait honnête c’est 3, 2 mec + 1 fille ! Mais, au vu de la relative confidentialité de mon blog c’est déjà beaucoup…

Tout d’abord une mise au point. Je n’ai PAS testé à fond tous les sites du marché ! Je ne vais PAS vous dire lequel est le meilleur (ou le moins pire…) et il est possible qu’à la fin de la lecture de ce post vous ayez le sentiment d’avoir perdu votre temps. Je m’en excuse très humblement par avance. Je me mets à genoux et suce docilement par la pensée les hommes qui se sentiraient floués par ce post en guise de compensation.

Si vous vous êtes déjà posé cette question alors vous avez sans doute pris la peine de saisir « comparatif sites de rencontres » dans Google et lu avec intérêt la prose plus ou moins objective des « comparateurs » de sites. Et là, déception, le même site obtient des avis très différents d’un « comparateur » à l’autre. Pire, tel site qui ici vous promet des rencontres faciles et rapides près de chez vous est qualifié de grosse arnaque quelques liens plus loin par un utilisateur amer et très déçu. Même l’incontournable Gleeden qui pourtant fait tout pour paraître irréprochable est descendu en flèche par un utilisateur qui a trop fait chauffer la CB pour aucune rencontre concluante.

Mais d’où vient donc une telle disparité d’avis ?

Je pense que la réponse est fort simple : personne n’est totalement altruiste sur internet. Tenir un blog est très chronophage (j’en sais quelque chose) alors un comparateur de sites ou un site de coaching de drague je pense que c’est encore pire. Personnellement je le fais en grande partie pour le frisson et par exhibitionnisme. Mais je ne vous prend pas non plus pour des lapins de six semaines. J’ai espoir de faire un peu de tune avec mon blog et donc je mets des liens vers des sites de rencontres qui me reversent un pourcentage. Pourcentage que j’espère un jour réinvestir en chaussures hors de prix (mais très belles avec leur semelle rouge) ou en accessoires plus inavouables (mais dont j’aime à décrire l’usage que je fait…). Donc, s’il était besoin, vous voilà prévenus. TOUS les comparateurs de sites vont établir un classement en fonction de ce que cela leur rapporte quand vous cliquez sur les liens qu’ils ont judicieusement placé dans leurs articles. Le premier qui me trouve un comparateur de sites de rencontres sans lien d’affiliation gagne une pipe ! Mais il risque d’être frappé d’andropause avant de venir me demander son dû…

Je suis une commerciale et je vois bien que le problème de tous les sites de rencontres coquins est qu’ils sur-promettent pour finalement sous-réaliser. Aucun site ne prend le risque d’écrire au mec prêt à sortir la CB qu’il va galérer pour trouver une fille sexy et disponible près de chez lui ! Et je peux comprendre cela !

Les sites de rencontres ont indéniablement un côté miroir aux alouettes. Une fois que vous vous serez fait à l’idée qu’ils travestissent la réalité pour attirer les membres payants et qu’ils cherchent TOUS à maximiser ce que vous dépenserez chez eux vous aurez fait un grand pas. Vous savez maintenant que vous allez galérer et qu’il faudra de toutes façons passer par la case paiement si vous voulez une chance de vraie rencontre torride.

Mais rassurez vous, de nombreux plans culs se concrétisent quand même grâce à ces méchants sites de rencontres. En tous cas moi j’en suis à une petite vingtaine en 14 mois et je ne suis forcément pas un cas isolé. Mais je persiste à dire que le VRAI ratio est bien de une fille pour dix mecs sur les sites à rencontres éphémères.

Va où ton cœur te porte

Ou ta libido ou ta queue. Autrement dit je dirais que pour choisir un site de rencontres le mieux reste d’opter pour le site qui, au moins sur le papier, correspond à ce que vous recherchez réellement. Vous n’échapperez pas aux faux profils mais par contre les vraies filles que vous y croiserez correspondront bien à ce que vous recherchez. Une petite liste pour vous aider :

Relation stable et sérieuse

Vous cherchez une relation stable et/ou une belle histoire d’amour ? Démerdez vous ! je ne vais quand même pas faire de la pub pour Meetic ! Ah, trop tard, j’ai lâché le nom d’un site qui ne me reverse rien.

Une amante régulière

Vous cherchez un maitresse compréhensives pour un plan cul régulier avec la même personne mariée de préférence pour éviter trop d’attachement et la galère quand vous voudrez « rompre ». Vous voulez aussi passer du temps à parler et à écouter la dite femme candidate à l’adultère ? Allez sur Gleeden. Attention toutefois, surveillez votre budget, le système des packs à acheter pousse à la consommation. Attendez vous à être assez déçus au début car il semble y avoir bien plus d’hommes inscrits que de femmes. En tous cas c’est l’impression que j’ai eu au vu des messages que j’ai reçu une fois inscrite. Je ne mets pas de lien car je n’y suis plus. Et puis ils m’ont refusée comme affiliée car il ciblent un registre moins « cru » que le mien. Ce qui est tout à leur honneur il faut dire !

Uniquement un plan cul

Si vous cherchez uniquement un plan cul rapide, si possible débridé et de proximité le mieux est de choisir un site qui propose uniquement cela pour être sûr que vous ne perdrez pas votre temps avec les personnes que vous contacterez. Ne vous attendez pas à une grande éthique de la part des webmasters de ces sites particuliers. Tout est bon pour maximiser leur profit. Apprenez à y reconnaître les faux profils des vrais filles chaudes et ne perdez pas trop de temps ni d’énergie si vous avez un doute. Pour le moment je reste fidèle à infidèle Messenger. Mais pour ratisser plus large vous pouvez essayer Yes! Messenger.

C’est facile à dire pour moi car en tant que nana je ne paye pas. Mais j’aurai tendance à conseiller choisir une formule par abonnement car vous savez ce que vous payez à l’avance et bénéficiez d’un usage illimité sur la période choisie. A la longue cela semble plus réglo que les achats de packs de N messages dont vous gaspillez une partie sur des plans foireux. Mais encore une fois, attendez vous à quand même galérer et à devoir passer du temps sur le site avant de trouver.

Si vous fantasmez sur la serveuse du Sushi bar à côté de chez vous elle sera peut être sur Asiat Messenger mais j’en doute un peu quand même…

Ne perdez pas trop de temps à choisir un site

Si vous avez pris le temps de lire ce long post c’est déjà beaucoup ! Vous avez peut être l’impression que des centaines de sites existent pour un plan cul. Et du coup vous vous dites que c’est dommage car les profils doivent être éparpillés sur tous ces sites. Rassurez vous, en réalité il n’y a pas tant de sociétés que cela derrière ces sites. Plusieurs dizaines de sites sont en réalité des emballages différents de la même communauté de personnes cherchant à faire des rencontres. On appelle cela les marques blanches. J’écrirai peut être plus un jour sur le sujet mais tout cela manque sérieusement de sexitute comme dirait Ségolène.

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Sites de rencontres utilisant Messenger.

Bien sûr commentez si vous avez des remarques, des expériences mauvaises ou bonnes sur des sites de rencontre. J’aime autant vous lire que vous écrire !

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Il voulait que je sois sa pute gratuite

Ma première expérience de pute gratuite, autant dire que c’est frai dans mon esprit comme si c’était hier. Depuis j’ai eu tellement d’autres aventures extra-conjugales… Je venais de comprendre que mon mari me trompait lorsque j’étais en déplacement et c’est cela qui m’a décidé, de mon côté à faire de même.
Mais ne vous y trompez pas, il ne s’agit nullement d’un arrangement entre nous. J’ai décidé taire ce que je sais de ses pratiques adultères et surtout de garder secrets mes ébats extraconjugaux en déplacements professionnels. J’aime ma vie telle qu’elle est, et j’aime la respectabilité bourgeoise dont je jouis là où j’habite. On ne me voit pas à l’église tous les dimanches mais je donne volontiers un coup de main à la paroisse et je confectionne des gâteaux qui sont vendus sur le stand du sou des écoles de mon village. Sur ma tombe on lira peut être un jour l’épitaphe : »ci gît Lucie, bonne mère, bonne épouse. »
Aussi lorsque je m’inscrivait sur Infidèle Messenger pour la première fois et que je donnais rendez vous devant la pharmacie de Baraqueville à Bertrand, mon tout premier amant, je me sentais honteuse et coupable. Surtout je passais avec angoisse en revue dans ma tête tous les indices que j’avais sans doute laissés derrière moi et qui allaient immanquablement me trahir. Et en même temps nous avions passé tellement d’heures en webcam à nous allumer mutuellement que j’étais excitée comme une débutante le jour de son premier bal. Deux semaines durant nous avions tellement multiplié les séances de SexCam que j’en avais les nerfs à fleur de peau. Il m’arrivait même de me lever en cachette la nuit pour le retrouver depuis le canapé du salon en coupant le son du macbook. Nous nous écrivions avec une ardoise Velléda car lui aussi me contactait de chez lui.
La veille avait été le point culminant de nos séances de SexCam. J’étais à l’hôtel et lui avait, je ne sais comment, trouvé un moyen de s’isoler. Il m’avait littéralement téléguidée, choisissant pour moi les dessous que je devais porter, me forçant à me lécher les seins en gardant les yeux fixés sur la webcam du Macbook. Je devais me masturber au rythme qu’il m’indiquait, m’interrompre à son commandement même si j’étais sur le point de jouir. Bref, j’étais chaude bouillante pour LA vraie rencontre. Le plan était de se retrouver en début de soirée devant la pharmacie, d’aller manger dans un restau sympa sur Rodez puis de revenir à mon hôtel. Autant dire que le resto a été un calvaire. Nous n’avions rien à nous dire, lui essayait poliment de s’intéresser à moi, à ma vie. Moi j’essayais d’en dire le moins possible pour être sûre qu’il ne puisse pas me retrouver s’il lui en prenait l’envie. J’avais déchaussé un pied sous la table et j’essayais de lui caresser le mollet mais je m’y prenais assez maladroitement et je retirais mon pied dès qu’un voisin de tablée tournait la tête vers nous. J’étais tellement excitée que je le suçais littéralement des yeux et j’avais peur qu’il ne fuit en me prenant pour une folle. quand le garçon nous demandait si nous prenions un dessert nous répondîmes à l’unisson : »Non merci, pas de dessert » ce qui nous fît sourire et détendit un peu l’atmosphère. Nous avions chacun notre voiture et le retour vers l’hôtel me parut durer une éternité. Il me suivait et je regardais constamment dans mon rétro pour vérifier que c’était bien sa voiture qui me collait au cul. Dans la nuit ce n’est pas évident mais je peux vous dire que depuis je reconnais les phares de l’Audi A3 du premier coup d’œil !
Je me jetais sur lui à peine la porte de la chambre refermée. Je le collais contre la porte et déboutonnais sa chemise pour lécher son torse en essayant d’accéder à sa queue avec les mains.

Je suis sa pute gratuite

Après cinq années de mariage cela faisait bien trois ans que je ne suçais plus mon mari et j’avais oublié cette sensation délicieuse d’une colonne de chair turgescente dans ma bouche. Les mecs hétéros ne peuvent pas comprendre cela mais pour nous les filles c’est véritablement un truc de malade d’avoir votre queue entre les lèvres. Ca vit, on peut presser la langue, serrer les lèvres en aspirant. Surtout de voir comme ça peut vous rendre dingue nous excite encore plus. Bref j’avais le cœur qui battait à 200.
Je pense que lui par contre n’en était pas à son coup d’essais car il faisait montre de plus de contrôle que moi. Après s’être copieusement laissé sucer il m’a délicatement tirée par les cheveux pour m’amener vers le lit et me déshabiller entièrement. Une fois que j’étais totalement nue il s’est reculé d’un pas et m’a demandé de le dévêtir à mon tour. Il m’encourageait et me demandait de lécher chaque centimètre carré de sa peau que je dénudais. Mais surtout il me parlait, ce que n’avait jamais fait mon mari.
-« C’est très bien, lèche moi encore, tu es ma petite pute gratuite. Tu en avais envie hein ? »
-« Oui… » m’entendais-je répondre laconiquement.
Comme il se mettait sur le dos dans un instant de lucidité j’attrapais un préservatif que j’avais laissé en prévision sur la table de nuit (Travaillant dans le monde de la santé j’ai une peur bleue des MST).
-« Mais tu es une vraie pute organisée ma belle, vas y, enfile la moi qu’on puisse passer aux choses sérieuses. »
Je lui déroulais le préservatif sur sa bite tout en lui léchant les couilles puis, n’en pouvant plus je m’allongeais sur lui et guidais sa verge dans ma chatte toute glissante. Le plaisir ne venait pas pour moi que de mon sexe. Je collais mon ventre contre le sien et ce frottement me plaisait presqu’autant que se qui se passait dans mon vagin.
Lui : « Vas y, c’est bon, fais toi plaisir ma belle pute, prend bien ton temps j’ai de l’endurance. Tu es ma petite pute gratuite hein ? »
Moi : « Oui… »
Lui, me serrant les fesses des mains : »Et bien alors dis le que tu es ma pute gratuite. Continue à bouger et à faire ta salope mais je veux aussi t’entendre me dire ce que tu es. »
Moi: « Oui, je suis ta petite pute. » ça je dois avouer que c’était nouveau pour moi et vraiment bon.
Lui, me claquant une fesse : « Ma petite pute comment ? Hein, dis moi, tu es ma pute comment ? »
Moi : « Gratuite, je suis ta pute gratuite, toute à toi. »

Lui :  » Répète encore, tu es ma petite pute gratuite ! »

Moi : « Oui, je suis ta petite pute gratuite.

– Encore, dis le encore !

– Je suis ta pute gratuite, toute pour toi !

– Encore ! T’arrête pas répète pute GRATUITE !

– Je suis ta pute, ta pute gratuite. J’aime être ta pute.
Lui : « C’est bien, continue…vas-y, t’inquiète on a le temps on n’est pas prêt d’en avoir fini ».
Je me déchainais en couinant
Lui encore : »Dis donc, tu sais la différence entre une pute payante et une pute gratuite ? »
Moi : »Non, mais en tous cas je suis ta salope de pute gratuite. »
Lui : »La vraie pute payante n’embrasse pas sur la bouche. Mais toi t’es une pute gratuite hein ? »

Moi : »Oui, une pute gratuite pour toi. »
Il mis sa main derrière ma tête pour me plaquer la bouche contre la sienne. J’y allais à pleine bouche enroulant ma langue dans tous les sens comme une folle, nous nous mordions les lèvres au sang et je sentais sa bite toujours plus dure en moi.
C’était juste incroyable, nous n’avons fait que cette position où j’étais sur lui mais ça a duré largement plus d’une heure. Dès que je ne l’embrassais plus je répétais en boucle comme un mantra que j’étais sa pute gratuite. C’était comme une obsession pour lui et je ne m’en plaignais pas, au contraire. Je suis pourtant endurante et je coure entre dix et vingt kilomètres chaque weekend. Mais là j’étais en nage et mon cœur battait largement au delà des 180 pulsations minute. Je n’arrêtais pas de jouir et ils me demandait de répéter inlassablement que j’étais sa pute gratuite personnelle. Ce que je criais carrément. Quand il a enfin joui et déchargé dans un cri je me suis effondrée à côté de lui.
Et là c’était terrible, une putain d’envie de fumer et bien sûr pas une cloppe ! J’avais totalement arrêté de fumer lorsque je suis tombée enceinte en 2010 et jamais je n’avais autant eu envie de tirer sur une Marlboro light. Lui s’était tourné de son côté du lit après m’avoir assuré que c’était vraiment bien et que j’étais une « super pute gratuite ». Et moi je me retrouvais là, essoufflée mais avec aucune envie de dormir et cette putain d’envie d’une cigarette. Je regardais les minutes défiler sur la veilleuse du téléviseur accroché au mur. Cela allait à une lenteur d’escargot. 23h57 Je fermais les yeux pour essayer de dormir mais quand je les rouvrais il n’était que 2h05. Lui dormait. Heureusement il ne ronflait pas. A 3h30, n’en pouvant plus je me levais, prenais une douche rapide, me rhabillais et récupérais mes affaires. Lui n’avait pas bougé, dormant toujours comme un gentil mari dans le confort de son domicile conjugal. Je réglais l’hôtel au veilleur de nuit et disais que mon « ami » libèrerait la chambre plus tard.
Il n’était pas quatre heure lorsque je filais en voiture vers Rodez priant pour trouver un tabac ouvert la nuit…

Si vous voulez mieux me connaître et lire mes aventures inédites de pute gratuite sans publicité téléchargez mon e_book.

 

Pour changer si vous voulez lisez aussi mon article sur les sexcam.

Faux profils de sites de rencontres, les reconnaître ?

Bon, un billet un peu moins sexy que d’habitude aujourd’hui mais qui, j’espère, va vous intéresser. Aujourd’hui je n’écris pas pour éveiller votre désir et vous faire grandir la queue afin de mieux me l’imaginer dure contre mes fesses à vous offertes. Non, aujourd’hui j’ai décidé d’essayer de vous aider à reconnaitre les faux profils de filles cochonnes qui peuvent échapper aux modérateurs des sites de rencontres du genre de celui ci dessous.

faux profils, pourquoi il y en a tant

Vous l’avez peut être constaté, messieurs, les sites de rencontres coquines n’abritent pas que de vraies gourgandines disposées à vous ouvrir leurs cuisses et plus si affinité passées quelques minutes de chat en ligne. Peut être avez vous déjà essayé un site à plan cul près de chez vous pour y dénicher cette voisine coquine, libre et ultra sexy que vous n’aviez pourtant jamais croisée dans votre quartier ! Au risque de vous décevoir je dois vous dire que la donzelle est sans doute aussi appétissante que fictive.

Comment je sais cela ? C’est assez simple. Passionnée d’écriture presque autant que de galipettes dévêtues, il m’arrive de rédiger sur commande des faux profils de filles frivoles pour des sites de rencontres. Cela se passe via des plateformes d’achat de textes et je ne sais pas en général sur quels sites finiront mes « œuvres ». Souvent je dispose de quelques photos, sans doute achetées dans un pays de l’Est, pour m’aider à trouver l’inspiration. Mais surtout j’ai des mot clefs à placer avec une certaine fréquence pour les moteurs de recherche. Je n’en suis pas certaines et ne sais l’ampleur du phénomène mais je pense que les sites sont contraints d’avoir recours à cette pratique pour avoir un meilleur équilibre entre les profils féminins et masculins car je ne vois jamais passer de commande pour de faux profils d’hommes.

Franchement messieurs, vous vous inscririez sur un site de dating qui affiche un ratio de 8 poilus pour 2 chattes épilées et dociles ? La gratuité pour les filles n’y fait pas grand chose, dans notre société bien pensante et sexiste, nous, femelles libertines, restons très minoritaires.

Faut-il pour autant fuir les sites de rencontres lorsque l’on est un homme « sérieusement » volage ? Bien sûr que non ! Car, même si nous sommes moins nombreuses que vous nous existons. Et j’aime avoir plusieurs fers au feu ainsi qu’un large choix extra conjugal…Sachez juste que le site qui affiche 57% de femmes n’est peuplé que d’un vraie coquine pour au moins quatre avatars sexy bidons. Et ne croyez pas échapper aux faux profils en vous rabattant sur les sites dit « sérieux ». Ils sont aussi impactés (quoique sans doute un peu moins) mais surtout vous risquez à l’inverse de tomber sur une vraie chieuse qui recherche sérieusement l’homme de sa vie ou des sortie sympa entre amis, kikou lol (sic).

Une fois le constat posé voyons comment trier le bon grain de peau de l’ivraie fausse fille. Apprenons à reconnaitre les faux profils.

La photo de profil :

Un bon moyen de reconnaitre un faux profil peut consister à s’intéresser à la photo de profil. Une photo de qualité professionnelle n’est pas nécessairement le fait d’un faux profil. Mais lorsque c’est le cas cela peut vous faciliter la tâche. Si cette photo est un faux profil alors il est probable que vous le découvriez en la passant au crible de google image. Pour ceux qui ne connaissent pas cette fonction sachez que dans google image il est possible de faire une recherche non pas par mot clef mais directement avec une image récupérée sur le net. Ainsi vous trouverez peut être la photo de la belle reproduite à l’identique sur un site de maillots de bains (ou pire). Bien sûr dans ce cas vous avez affaire à un faux profil !

A l’inverse, avec un peu de chance c’est aussi la photo de profil utilisée par la personne pour son compte FaceBook ou LinkedIn. Vous avez dans ce cas de bonnes chances d’avoir à faire à une vraie fille sérieusement en quête d’un plan cul !

Le texte de l’annonce :

La règle n°1 est de se méfier des profils qui semblent spécialement écrits pour les moteurs de recherche et se contentent de placer des mots clefs. Avec un peu d’entrainement vous devriez facilement les reconnaitre. Si vous lisez : »Je suis une grosse cochonne bien coquine qui s’est inscrite sur ce site de rencontre adultère pour trouver un plan cul près de Toulouse, Haute-Garonne (31) pour sodomie et fellation. » ne perdez pas trop de temps, le texte est là pour les robots de google, pas pour vous ! Cela est bien sûr une caricature mais à peine…

Les faux profils sont achetés par les webmasters en général très peu cher. Pour des raisons de coût il s’agit souvent de rédacteurs vivant dans des pays en voie de développement Francophones. Trop de fautes d’orthographe ou des tournures de phrase qui vous semblent étranges doivent vous mettre la puce à l’oreille. L’oubli du pluriel sur des mots clefs est aussi un bon indicateur car le rédacteur peut avoir pour consigne de placer 2 fois l’expression « plan cul » dans son texte. Le texte est automatiquement refusé s’il ne se conforme pas à la consigne. Ainsi la phrase « je cherche des plans culs » devient « je cherche des plan cul » ou même « je recherche plan cul » quand l’expression clef visée et « recherche plan cul ».

La date de dernière modification d’un profil est, je pense, aussi un indicateur intéressant. Personnellement je change mon profil quasiment toutes les semaines. Tout d’abord parce que je ne trompe mon mari qu’en déplacement loin de la maison mais aussi parce que j’aime varier les situations et les types de rencontre. Si vous êtes fidèle à un site de rencontre et que vous y voyez la même annonce qui ne bouge pas depuis des semaines, voire des mois alors méfiance. Mais pour cela il faut rester suffisamment longtemps sur le même site et y revenir régulièrement.

Comme la mode est aux applications de rencontre géo localisées vous lirez peut être de plus en plus d’annonces contenant pèle mêle une ville, un département, le numéro du département et la région. Parfois même pour faire plus réaliste vous lirez « près de la rue Saint Jacques ». Franchement je n’imagine pas une vraie polissonne se transformer en GPS ambulant dans la description de son profil !

Bon, allez, je pense que j’ai été assez rasoir et donneuse de leçons comme cela sur ce post. Promis, dans mon prochain post vous pourrez virtuellement me punir d’avoir été si méchante et chaste aujourd’hui ! Si le sujet vous intéresse vous pouvez aussi lire mon autre article qui cherche à répondre à la question : « Comment choisir son site de rencontres ? »

En attendant si vous voulez quelques travaux pratiques pour mettre en application ces conseils vous pouvez essayer sur le site que j’utilise ci dessous. On doit y trouver, je pense, de vraies filles qui ont sans honte envie de se faire plaisir mais aussi, hélas, d’autres qui sont là pour faire vitrine…Et n’hésitez pas à me laisser vos commentaires !

Fessée, comment la faire aimer à une femme ?

Il m’avait fait déboutonner mon chemisier blanc et baisser ma jupe. Assis sur une chaise il me commandait de me mettre en position sur ses genoux pour la fessée. Une foi en place c’est à moi qu’il revenait de baisser ma culotte en coton. Il exigeait que j’ai ensuite les mains croisées sur la nuque ce qui accentuait mon inconfort et son plaisir.

Je vous épargne, pour cette fois, la mise en place de mon plan cul de la semaine dernière à Pau (merci au passage à Infidèle Messenger) car je voudrais profiter de l’occasion pour vous parler d’une des pratique qui me plait le plus ces derniers mois : la fessée.

En règle générale je n’aime pas spécialement avoir mal. Et je ne pense pas qu’il s’agisse vraiment dans la fessée de plaisir masochiste. Non, ce que j’aime c’est être punie. La main du maître qui s’abat avec violence sur mes fesses déclenche en moi une excitation folle qui peut même aller jusqu’à l’orgasme sans qu’il n’y ait de pénétration. Comme il est probable qu’à terme certains de mes lecteurs deviennent mes plans cul autant donner ici ce qui constitue, selon moi, la recette pour une bonne fessée. Pour en avoir pas mal discuté avec mes copines je peux affirmer qu’il ne s’agit pas uniquement de mon propre goût et que la recette que je vous livre ici sera certainement assez universellement appréciée !

Conseil fessée n°1 : soignez le scénario

Pour moi en tous cas une fessée doit être méritée. La fessée est là pour punir et c’est en grande partie cela qui est excitant. C’est pourquoi je choisi souvent des costumes et des situations qui se prêtent particulièrement bien à ce tendre châtiment. En écolière qui n’a pas bien appris sa leçon ou en soubrette maladroite qu’il faut corriger je suis vraiment dans la peau du personnage pour peu que mon partenaire lui aussi joue le jeu du maître insatisfait qui doit me punir « pour mon bien ». Donc avant la fessée n’hésitez pas à m’expliquer pourquoi je dois être punie, si je suis soubrette demandez moi d’exécuter une tâche dans laquelle je risque d’échouer ou de mal m’y prendre. En étudiante posez moi des questions auxquelles je risque de ne pas avoir la réponse par exemple ou surprenez moi en train de me masturber alors que je devrais sagement étudier.

Une copine à moi m’a voué adorer que son mari la corrige quand elle rentre d’une séance de shopping. Il lui dit qu’elle a trop dépensé et que c’est pour le bien du foyer qu’il doit la fesser.

Creusez vous le tête, les occasions de nous punir ne manquent vraiment pas, je puis vous l’assurer !

Conseil fessée n°2 : Sachez doser mais ne retenez pas vos coups !

Du point de vue de l’intensité et de la douleur je dois dire que chacune a ses propres limites et qu’il ne s’agit pas bien sûr de meurtrir pour le plaisir de faire mal (en tous cas en ce qui me concerne). Cependant une règle que nous sommes toutes d’accord pour donner est qu’il ne faut pas non plus retenir vos coûts. Il n’est rien de plus efficace pour tuer le désir qu’un amant qui au moment de la fessée devient timoré et gauche. Personnellement j’aime que la douleur reste présente plusieurs heures après mon plan cul. Je mouille de m’assoir le lendemain sur mes fesses endolories qui me rappellent la punition de la veille. Mais je ne veux pas que mon mari le remarque quand je si à nouveau à la maison le surlendemain. Vous pouvez donc y aller de bon cœur sur mon petit cul de chipie !

Conseil fessée n°3 : Après la fessée

Moi j’apprécie que le mec me passe une crème du genre Nivéa ensuite. S’il me garde sur ses genoux pour me fouiller la chatte et préparer mon anus pour une bonne sodomie alors c’est le pied.

Conseil fessée n°4 : Les accessoires

Pour le moment ce n’est pas trop mon truc. Mais j’ai mon amis Lydie ne jure que par les menottes, la barre d’écartement et la cravache ou le martinet. Donc j’imagine que l’on peut accessoiriser à l’envie une séance de fessée. Une fois j’ai fait l’écolière et j’avais acheté une grande règle plate jaune en bois. Mais mon partenaire n’a pas osé s’en servir :o(.

Il y a quand même un accessoire qui m’excite énormément en cas de fessée. Ce sont de fins gants en cuir de mouton noirs ou marrons que le maître garde pour me claquer les fesses.

De la fessée à la sodomie il n’y a qu’un pas qu’il ne faut pas hésiter à franchir…Pour cela vous pouvez lire aussi 10 conseils sodomie.

Si vous m’avez lue jusque là bravo, vous êtes un chou ! Mais si vous en avez mare de lire et voulez un peu d’interaction je vous conseille vraiment d’essayer du live show en webcam. Cela peut vous paraître un peu virtuel mais en tous cas je vous assure que moi je m’amuse vraiment beaucoup quand j’en fait.

Et disons le honnêtement je touche un petit quelque chose qui m’aide à maintenir le site si vous cliquez !

 

Post Script hummm : Pratiquez vous la fessée ? En avez vous envie mais sans oser le proposer à votre partenaire ? Avez vous des suggestions à me proposer pour pimenter encore davantage mes séances de fessée ? Je suis avide de lire vos commentaires…

Gleeden, l’adultère et les catho

Liste articles

La guerre des associations catholiques contre Gleeden m’a permis de me souvenir de ma toute première expérience de l’adultère. Je n’écris pas cela pour défendre l’équipe de Gleeden qui, au passage, doit être bien heureuse du coup de projecteur ainsi mis sur eux gratuitement ! Mais parce que cela me fait comme une bouffée de nostalgie. L’histoire que je m’apprête à vous narrer date de bien dix ans. Il y a prescription mais je garde quand même les lieux et noms secrets…

J’avais donc dix neuf ans à peine et mes parents habitaient un de ses petits villages de montagne encore pourvu d’une église qui donne une messe dominicale. Je partageais ma vie entre ma première année de Fac de droit en semaine(un désastre monumental) et la maison familiale les week-ends. Je connaissais Marc de Morin (prénom et particule sont réels, pas le nom bien sûr !) depuis mes quinze ans et mes premières séances de baby sitting chez eux. Ils avaient débarqué, à la fin du millénaire précédant, jeune couple avec leur fils unique au village et se trouvaient en 2005 à la tête d’une ribambelle de cinq enfants s’étageant de 9 ans à 3 mois et demi. De vrais catholiques opposés à la contraception très impliqués dans la vie paroissiale. On les aurait cru tout droit débarqués de la Vendée du Sieur De Villier.

Marc avait mis des années à se déclarer et, avec le recul, je ne peux pas lui en vouloir tant je sais que je pouvais m’habiller de manière provocante malgré ma candeur adolescente. En tous cas il a eu la décence d’attendre ma majorité. Même si dès mes dix sept ans je voyais bien que ses bises d’au revoir se faisaient de plus en plus appuyées et que sa main, avait discrètement migré de mon épaule à ma hanche. Cela ne me gênait pas car je le trouvais très beau sous ses allures un peu austères. C’est d’ailleurs moi qui fit le pas du premier baiser dans le Land Rover sept places avec lequel il me ramenait un soir d’hivers 2004 chez mes parents. Je ne sais pas s’il en a été surpris mais en tous cas il n’a décollé sa bouche de la mienne que quand la lumière de l’entrée de la maison de mes parent s’est allumée !

Ce petit jeu a bien duré deux mois. Chaque vendredi soir il me raccompagnait en 4×4 et nous nous embrassions langoureusement arrivés devant chez mes parents. A la trois ou quatrième fois il a commencé à mettre sa main sur ma cuisse pendant tout le trajet du retour. Bien sûr à dix neuf ans je n’étais plus une perdrix de l’année mais j’étais quand même encore assez timide. En tous cas bien plus que maintenant ! Je le laissais passivement faire alors que je trempais littéralement ma culotte. J’ai vite troqué mon éternel Lévis 501 contre une jupe et lui est passé de ma cuisse à ma chatte. La première fois il m’a uniquement caressée à travers le tissus et déjà j’en ai presque joui tellement j’étais excitée. Ensuite il faisait le petit kilomètre qui séparait leur chalet de notre maison en roulant quasiment au pas avec un ou deux doigts dans mon minou tout trempé. Moi je tenais son avant bras avec mes deux mains en y enfonçant mes ongles tellement c’était bon. Je me mordais la lèvre inférieure presque au sang en retenant mes gémissements.

Jusqu’à ce stade on ne peut pas vraiment dire que « techniquement » il y avait adultère de sa part. Les choses sont devenues plus sérieuses quand sa femme a réussi à se décoller un peu de leur cinquième enfant et à vouloir retourner à l’office du dimanche matin. En difficultés financière ou peut être un peu radins, je ne l’ai jamais vraiment su, ils ne voulaient plus payer de baby sitting et Marc devait donc rester à la maison garder le nourrisson pendant que Constance allait donc à la messe avec les quatre plus grands…Et moi, je débarquais en catimini chez eux dès que je les voyais tourner le virage au bout du chemin qui menait à leur chalet. La première fois il a passé tout le temps que nous avions disponible (presque deux heures) le visage entre mes cuisses à me bouffer de toutes les manières possibles et imaginables. J’étais d’abord debout, adossé à leur porte d’entrée et il est tombé à genoux et a engouffré sa tête sous ma jupe. C’était la première fois qu’un homme me faisait cela et j’en vais les jambes qui tremblaient de plaisir. Je me retrouvais vite allongée à même le parquet sans qu’il ne cesse de me fouiller avec sa langue, un doigt enfoncé dans mon anus et le pouce accompagnant sa langue démoniaque. J’en criais de plaisir sans retenue sachant la maison isolée et vide (si l’on excepte leur nourrisson qui ne présentait pas un grand danger). Il avait réglé la sonnerie d’un vieux réveil en fer un bon quart d’heure avant le retour prévu de sa femme et cela sonnait pour lui la fin immédiate de nos ébats. Je devais partir suffisamment à l’avance pour être sûre de ne pas croiser Madame et les moufflets sur le chemin du retour.

Le dimanche suivant j’arrivais un peu mieux préparée et en glissant à terre je m’arrangeais pour être en position de le sucer moi aussi. C’était mon premier soixante neuf et seulement le deuxième mec que je suçais. Mais il me rendait tellement dingue avec sa langue et ses doigts que je me souviens que j’y allais goulûment dans une sorte de transe quasi frénétique. Il a joui sur mon visage heureusement un peu avant la sonnerie fatidique ce qui m’a laissé le temps de me débarbouiller à l’évier de leur cuisine ouverte sur le salon.

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

Le troisième dimanche il me payait pour garder leur petit dernier et allait en famille à la messe. Il n’y eu vite plus que quelques baisers volés sur la route du retour. Un jour il m’a annoncé, penaud, qu’ils prenaient la fille d’un voisin comme nouvelle Baby-sitter car elle était disponible en semaine et encore au lycée. Je ne cherchais pas à savoir si elle allait vivre la même expérience que moi et passais vite à autre chose. Après tout je venais d’entrer à la Fac et j’avais dix neuf ans.

Alors aujourd’hui quand je vois l’histoire entre Gleeden et les Catho je rigole doucement en me disant que de nombreux « bons pères bons époux » n’ont pas attendu Gleeden pour goûte aux joies de l’extra conjugalité.

Un vrai livre. Ne vous fiez pas à la couverture un peu ringarde !
L’ancêtre de Gleeden

Si vous aimez les descriptions de premières fois vous pouvez lire aussi dépucelage anal au château

Esthétichienne en chaleur cherche casting télé

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Ce qu’il y a de bien en plan cul anonyme c’est que l’on n’est pas obligé de garder sa propre identité. En général je ne cache ni mon prénom ni ma situation de jeune femme mariée infidèle. C’est plus clair et je sais que pas mal d’hommes sont rassurés de savoir qu’ils baisent une femme qui ne cherchera pas à leur coller aux basques par la suite. C’est d’ailleurs en partie pour la même raison que je préfère aussi rencontrer des hommes mariés.

Mais parfois c’est bien de changer, de vivre autre chose sous une autre identité. En novembre dernier j’avais une série de déplacements à Lyon qui tombaient en même temps que le salon « Beauté sélection », un salon professionnel de la coiffure et de l’esthétique. Franchement je ne m’en serais pas aperçu si la réception de l’hôtel où j’ai mes habitudes ne m’avait mis sur liste d’attente en me promettant de me rappeler si une chambre se libérait. Une armée de coiffeuses, manucures et autres stylistes d’ongles semblait avoir envahi les hôtels autour du parc Eurexpo. Je décidais, pour cette fois, de ne plus être Lucie, commerciale mariée en quête d’adultère. Non, ce lundi dix sept novembre je serai Jade, apprentie esthétichienne en chaleur. Pour l’occasion je me brossais un profil assez sage sur mon site de rencontre du genre : »Jade esthéticienne en formation cherche à faire une rencontre sympa à Lyon en marge du salon Beauté sélection, bisous… » Je me rajeunissais aussi de 5 ans. En étant moins cash que d’habitude j’espérais bien jouer les ingénues et me faire un peu draguer. Vous allez voir que je n’ai pas été déçue. Après avoir pas mal chatté avec un tas de prétendants je jetais mon dévolu sur un beau trentenaire qui prétendait travailler pour une boite de casting. Cela sentait le bobard à plein nez mais jouer les naïves prête à payer de son corps dans l’espoir d’un rôle dans un feuilleton télé m’amusait bien.

Pour l’occasion je choisissais un grand pull en laine crème sur une longue jupe d’hivers. Pour une fois pas de bas mais des collants chair que j’enfilais sans culotte. Et une paire de ballerines noires sans talons. Bref j’essayais d’avoir l’air sage pour faire penser à mon rendez vous qu’il allait devoir jouer fin pour m’amener jusqu’au lit.

Rendez vous était donc donné en fin de journée au bar de l’hôtel Golden Tulip. Mec au physique assez passe partout, pas mou mais pas l’air vraiment sportif non plus, m’avait dit 34 en chat mais sur pièce je dirais plutôt 40 ans. Costume neuf et bien taillé mais je reconnaissais instantanément le deux pièces Zara que mon mari avait aussi choisi le mois dernier…Mais bon, je n’allais pas faire la difficile. J’avais moi même abondamment mythoné mon profil pour cette fois ! Il commande une bière, moi « une coupe de champagne » avec un léger accent de Bandol. Je fais assez bien les accents c’est un de mes autres talents. La cagolle de Bandol ça marche en général plutôt bien.

-« Pas d’ici j’ai l’impression. Marseillaise ? »

Je fais une mine un peu déconfite : -« Ah ? ça s’entend tant que ça ? Je suis de Bandol mais j’essaye de pas trop avoir l’accent. »

-« Cela s’entend un peu mais c’est charmant, je te rassure. »

-« C’est quand même embêtant (la vraie Lucie aurait dit fâcheux, mais ça ne collait pas avec le personnage…). Je prends des cours de théâtre pour faire de la télé et je pense que ça peut être mal vu. »

-« Bien, ça dépend, je viens de faire le casting de la prochaine saison de plus belle la vie, on cherchait justement des filles avec un peu d’accent. »

Avec le recul je me dit que le mec était quand même assez fort. Croyez en une mytho professionnelle, pas facile de sortir un gros bobard comme ça sur le vif !

-« C’est vrai, plus belle la vie ? Et c’est fini ? J’aurai trop aimé faire ce casting ! »

-« Oui, hélas, on a fini les auditions mais je m’occupe de la commission de choix. Si tu es gentille je peux glisser ton dossier sans passer par la case audition… »

Bah voyons ! Un peu lourdingue mais après tout j’ai sans doute l’air sotte et il m’a levée sur Yes Messenger.

-« Ah, ça gentille je sais faire c’est sûr ! »

-« T’as une chambre ici, excuse ma curiosité mais c’est plutôt classe pour une étudiante esthéticienne. »

Aie, vite, un truc pour l’endormir.

-« D’abord je suis pas étudiante mais apprentie et surtout c’est le père d’un copain d’enfance qui gère l’hôtel. » Je suis trop nulle, c’est naze comme raison.

-« Ah…ok…tu me montrerais ta chambre, j’aimerais bien voir si c’est aussi classe que le bar. Et si tu es aussi gentille que tu le prétends… »

-« Ca t’embête pas de payer les boissons ? J’ai la chambre gratuite mais je ne voudrais pas non plus abuser de mon ami. »

Il paie et nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Il doit être vingt heure, j’ai un peu faim mais vu comme c’est parti aucune chance qu’il me propose le restau avant la case plumard. D’ailleurs à peine la porte de l’ascenseur refermée il se colle à moi pour m’embrasser. Je le repousse faiblement des bras tout en sortant la langue pour le mettre un peu dans la confusion. Comme il continue de se presser contre moi je descends finalement une main vers son pantalon pour constater qu’il bande déjà comme un âne. Je m’active de la langue et le laisse me peloter le cul. Il remontais déjà sa main vers ma chatte quand on arrivait au 4ème et que la porte s’ouvrait. J’aimerais vous écrire que nous avons été alors surpris par un couple de vieux mais en réalité c’était désert. Bizarrement il ne semblait pas désireux de sortir de l’ascenseur et me maintenait fermement entre lui et le mur du fond de l’ascenseur. Après quelques secondes les portes se refermaient et il s’aventurait sous mon pull. Je pensais qu’on allait baiser dans l’ascenseur mais dès que l’ascenseur s’est remis en mouvement sans doute pour récupérer d’autres clients il s’est décollé de moi. Arrivés aux rez-de-chaussée la porte coulissait à nouveau sur deux hommes, la trentaine, qui devaient être en déplacement professionnel aussi. Franck fit signe que nous remontions tandis que les deux types entraient dans la cabine. A quatre on était un peu serrés mais ça allait. Je comprenais mieux pourquoi on était redescendu en sentant la main de Franck me peloter les fesses sans vergogne. Il était impossible que cela échappe aux deux autres passagers et les voir faire comme si de rien n’était et détourner le regard devait bien exciter mon compagnon. Je dois avouer que l’idée me plaisait aussi. Je lui chuchotais l’oreille d’attendre au moins qu’on soit dans la chambre, juste assez fort pour que les autres puissent entendre.

-« J’ai bien hâte que tu me suces à fond » me répondait-il au creux de l’oreille pas assez bas pour que cela passe inaperçu.

Les mecs s’arrêtaient un étage avant nous et Franck les saluait d’un « bonne soirée messieurs » assez sadique je dois dire.

Une fois arrivés dans la chambre il m’a tout de suite appuyé sur la tête pour que je me mette à genoux.

-« Si tu veux décrocher un rôle ma belle il va falloir être une très gentille ethétichienne. »

Comme je déboutonnais son pantalon il me donna une tape sur les doigts pour se charger lui même de se déboutonner.

-« Tss tss, les esthétichiennes n’ont pas de mains, débrouille toi avec la bouche seulement ma jolie. »

Je ne l’avais jamais fait ainsi mais c’était assez facile avec les dents de baisser son caleçon. Sa queue bandait bien droit et je l’avait vite dans la bouche. Je m’appliquais à le regarder d’en bas en même temps que je le suçais gouluement. Il m’encouragait en disant que pour une chienne je m’en sortais bien, que j’aurai peut être droit à un peu plus qu’un rôle de figurante.

Il s’était mis genoux et moi je le suçais à quatre pattes effectivement comme une gentille esthétichienne. Par deux fois j’ai voulu me masturber mais à chaque fois il m’a giflé (heureusement pas très fort) en me disant que je n’avais pas le droit de faire ça, qu’il s’occuperait lui même après de ma chatte si j’étais bien gentille.

C’est d’ailleurs ce qu’il a fait à ma troisième tentative. Il s’est retiré de ma bouche, m’a guidée pour que je me mette à genoux au pied du lit et il a relevé ma longue robe sans me l’enlever.

-« C’est marrant, je t’aurais plutôt vue avec des bas chiennasse. »

Il remontait ses mains le long de mes cuisses pour arriver à ma chatte qu’il caressait à travers le nylon de mes collants. J’étais rassurée car en même temps qu’il prenait son temps à me masser la chatte à travers les collants je sentais qu’il se mettait une capote. J’étais bien trempée quand il a déchiré mon collant pour me prendre directement en levrette. C’était vraiment bon et je couinais autant de plaisir que pour l’encourager à continuer à me faire jouir. Car je jouissais quasi instantanément quand il m’enfilait avec sa bitte. Il m’a ramonée ainsi bien longtemps et j’étais prête pour une sodomie mais étrangement je n’osais pas lui demander. Il a déchargé un peu trop tôt cependant à mon goût sans m’avoir enculé comme j’aurais aimé.

-« Tu es vraiment bonne, je ne regrette pas de te pistonner pour un rôle. Je t’invite au resto maintenant ? »

A peu près rassasiée de cul je n’avais pas vraiment envie de dîner avec lui et je prétextais un début de gastro et la fatigue pour le laisser partir sans moi. Il se crut obligé de me demander si j’étais sûre et de me dire qu’il ne voulais pas passer pour un gougeât. Je mourrais d’envie de lui dire que la vraie gougeaterie serait de s’imposer maintenant alors que j’avais envie d’être bien tranquille avec un plateau repas et mon MacBook dans le lit pour surfer et écrire le compte rendu de ma soirée tant que c’était encore frais dans mon esprit. Mais je me contentais de dire qu’il ne s’inquiète pas, que de toutes façons nous avions nos mails et qu’on se recontacterait pour plus belle la vie et que je comptais VRAIMENT sur lui pour ce coup là.

Je doute qu’il ait essayé de m’écrire mais comme j’ai effacé le compte gmail de Jade2Bandol@gmail.com le soir même je ne le saurai jamais. Et c’est tant mieux !

Voilà, j’espère que la cette lecture vous a excité autant que j’ai mouillé en me rappelant par écrit cette aventure. Si vous en avez mare de lire et voulez un peu d’interaction je vous conseille vraiment d’essayer du live show en webcam. Cela peut vous paraître un peu virtuel mais en tous cas je vous assure que moi je m’amuse vraiment beaucoup quand j’en fait.

bien sûr je touche un petit quelque chose si vous y allez, autant être honnête là dessus.

Plan cul adultère, comment je choisis ?

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Bon, je pense qu’une petite mise au point est nécessaire car depuis que j’ai ouvert mon compte FB la semaine dernière je croule littéralement sous les demandes du type : « Tu passes quand pour un plan cul adultère à Cahors ? contacte moi stp ! »

Tout d’abord il faut que vous sachiez, messieurs, que je ne suis pas une dingue de cul qui me tape un ou plusieurs mecs par jour. Je suis juste une jeune maman mariée qui aime la BONNE baise et reste curieuse de tout en matière d’expériences sexuelles. Le rythme qui me convient c’est une à trois rencontres adultères par mois lorsque je suis en déplacement professionnel loin de mon domicile dont je tiens le lieu très secret. Autrement dit je privilégie la qualité sur la quantité. Mais je reste une midinette toujours très flattée et excitée par l’intérêt que me porte la gent masculine ! Bref, je suis une jeune MILF et je l’assume assez bien.

Planifier un plan cul adultère

Je passe beaucoup de temps à préparer chaque plan cul adultère. Commander des accessoires sur internet, choisir de la lingerie ou des costumes sexy me fait vraiment mouiller. Souvent je fais cela en fin de journée à la maison. J’ai organisé mon petit bureau dans un coin du salon de façon à ce que l’écran ne soit pas visible. Je dis à mon mari que je bosse sur un truc de boulot en retard. Des fois je suis tellement excitée que je serre les cuisses l’une contre l’autre le plus fort possible pour essayer de me masturber sans en avoir l’air. Pour éviter de me faire choper je me fais livrer en point relais (mais pas le plus près de chez moi !) et, si c’est un mec qui est à l’accueil, je prends un malin plaisir à ouvrir les paquets sur place pour vérifier la marchandise. Je ne sais pas si cela fonctionne pareil pour les hommes mais en tous cas, pour moi, la préparation fait entièrement partie du plan cul lui même. Je choisi aussi avec grand soin les hôtels dans lesquels je descends car j’ai la chance que mon boss me laisse une grande liberté dans ce domaine tant que mes ventes sont bonnes. Et c’est le cas. Mais je ne me fais pas d’illusions sur mes qualités de commerciale. C’est clair que mes seins qui pointent sous le chemisier font une grosse partie du travail à ma place auprès des pharmaciens ou des responsables de clinique.

Mais je m’égare, je disais donc, une tenue qui raconte une histoire différente à chaque fois, quelques accessoires parfois (mais pas toujours), et un cadre bien choisi sont pour moi les ingrédients essentiels à un délicieux plan cul adultère. Ah oui, j’en oublierais presque le plus important. Il faut aussi trouver un partenaire de jeu à la hauteur ! Pour cela j’utilise quasi exclusivement des sites de rencontre spécialisés dans le plan cul adultère. Je sais que ce n’est pas top car ces sites sont aussi pleins de faux profils de filles (j’ai d’ailleurs un post en préparation pour dénoncer cela et vous aider à les repérer) et car c’est payant pour les hommes. Mais j’y vois quand même beaucoup d’avantages. Le premier étant qu’un homme marié qui a accepté de payer quelques euros symboliques son inscription sur le site est en général un candidat sérieux et ne me fera pas perdre mon temps. Et puis j’aime l’anonymat de ces sites qui me semble mieux garanti que sur FB surtout pour le chat et la petite séance de webcam qui me permet de vérifier que ça va le faire niveau physique et motivation. Comme je change régulièrement de ville de destination et de scénario pour mon plan cul adultère je prends aussi soin de changer à chaque fois mon pseudo et mon profil. Ce n’est pas très fair play mais tempi, c’est tellement rigolo d’être une fille différente à chaque rencontre que je me permets ces petits arrangements avec la réalité et les conditions d’utilisation des sites de rencontre que je fréquente. Pour me trouver je vous donne ici quelques indices : j’utilise en général (mais pas toujours) mon prénom dans mon pseudo sur le site, la photo est presque toujours un selfie, je décris assez précisément le scénario que j’envisage pour éviter de perdre mon temps avec un homme à qui cela ne conviendrait pas.

Ensuite, les quatre cinq jours avant le rendez vous je boude mon mari et je fait tout mon possible pour ne pas me masturber du tout. Je me mets en situation de manque d’une manière presque insoutenable. Je lis des romans pour adulte (j’aime bien les SAS de Gérard de Villiers) en me forçant à garder les deux mains sur le livre et je m’invente tout un tas d’épreuves excitantes tout en m’interdisant de me toucher la chatte. Ecrire sur ce blog fait partie bien sûr de mon processus de préparation !

Voilà, vous savez tout. Enfin presque tout… En ce moment le site que j’utilise c’est infidele messenger mais je change souvent…

 

ma langue...très utilisée en plan cul adultère
photo de profil que j’utilise parfois. C’est bien moi !

Post Rectum : Si vous voulez que je vous réponde sans pour autant me contacter sur un site de rencontre de plan cul adultère sachez que je réponds à tous les commentaires publics sur mon blog. Mon compte FB a été fermé par FB. Pour trouver un plan cul adultère je suis soit sur cinqasept, soit sur copinedesexe, soit je drague dans la vraie vie sans le filtre d’internet…

Ce que j’aime entendre, mots cochons

Mes autres articles

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Dans la vie j’aime que l’on s’adresse à moi avec respect. Les blagues salaces au bureaux et les mots cochons me font horreur dans le cadre professionnel ou même en société. Une pointe de componction ou de déférence n’est même pas pour me déplaire. Qu’un bel homme, distingué me vouvoie et s’adresse à moi dans un champ lexical légèrement suranné et je fonds littéralement. Je pense que pour que j’ai envie de briser la glace il faut qu’il y ait de la glace à briser. Un prétendant qui sait, par sa façon de s’adresser à moi, maintenir une certaines distance tout en laissant trahir son intérêt par son langage corporel peut être certain que sous le tailleur sage que j’arbore souvent il y a une vraie belle salope qui mouille sa culotte. Chez moi les préliminaires commencent bien avant les premières caresses. J’aime être mise au supplice de ne pas savoir ce que me réserve la rencontre qui commence et c’est un peu mon seul regret avec les sites de rencontre adultère que je fréquente : Le manque de suspense. Mais je pense qu’il ne faut pas être trop exigeante. On ne peut pas tout avoir. L’assurance d’un plan cul rapide pour être sûre de ne pas perdre mon temps s’accommode mal du plaisir d’une séduction subtile et réglée au millimètre. Mais, bon, s’il vous plait messieurs, au moins jouez le jeu avec moi et vous ne serez pas déçus de ma « profonde » reconnaissance…

Je disais donc qu’avant la chambre d’hôtel vous me mettrez d’autant plus la flaque que vous vous adresserez à moi de manière polie et cultivée et bannirez tous mots cochons de votre vocabulaire amoureux. Cela, surtout si nous sommes en public car je suis aussi terriblement excitée à l’idée du regard des autres personnes sur moi. Les regards en coin des hommes en couple ainsi que la jalousie évidente de leur femmes de me voir ainsi traitée avec respect constituent pour moi un excellent lubrifiant.

Mais, une fois l’affichette « do not disturb » accrochée à la poignée de la porte de ma chambre d’hôtel c’est, messieurs, une toute autre histoire. Autant j’aime que vous cultiviez une certaine distance en public autant, une fois seuls, vous pouvez tomber les masques et la veste pour disposer de moi comme vous l’entendez. Je ne vous dirai pas quoi faire car cela perdrait de sa spontanéité et me maintiendrait dans le rôle de celle qui commande alors qu’en réalité j’aime parfois être soumise, voire humiliée. Mais, de grâce, révisez vos classiques, lisez ou relisez Sade. S’il vous vient l’idée de me traiter de chienne alors forcez moi à marcher à quatre pattes, si je suis votre petite salope insolente alors fessez moi, si je dois être votre esclave soumise dites moi comment vous servir au mieux et si vous me voulez prisonnière de vos désirs attachez moi ! Abreuvez la truie que je suis de mots cochons. Et si vous savez vous y prendre pour la sodomie alors enculez moi bruyamment.

Que ce soit moi qui vous ai dragué en ville ou que vous m’ayez levée sur copinedesexe sachez qu’une fois seul avec moi tout vous est permis ! Et même si ce n’est que virtuellement j’aime que vous me parliez dans les commentaires de ce blog plein de mots cochons.

Concours de mots cochons

Post rectum : Allez, je lance un mini concours, écrivez moi en commentaire comment vous me traiteriez une fois seul avec moi. Quels mots cochons sortiraient de votre bouche ? Quels mots cochons voudriez vous m’entendre gémir ? Les meilleurs d’entre vous seront ajoutés à ma liste des favoris à contacter en priorité quand je passerais près de chez vous.