Mes belles fesses offertes

 

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De belle fesses à claquer et plus si affinités

Il en a après mes fesses…

-« Agenouille toi au pied du lit » me dit-il comme on demanderait le sel à table.

J’obéis, bien sûr.

-« Relève ta jupe »

-« Non ! recommence, plus doucement. »

Je le refais, lentement cette fois. Il s’approche, me claque la fesse mais remet ma robe en place. Du pied il pousse mes chevilles pour qu’elles se croisent.

-« Ecarte les genoux et remonte ta jupe »

Nouvelle fessée, plus forte cette fois.

-« Non ! je t’ai déjà dit plus doucement, recommence ! »

Je refais le geste en remontant le plus lentement possible le long de mes cuisses ma jupe. Je garde les chevilles croisées et les genoux bien écartés. Ma jupe est retroussée sur mon dos nu. Mes fesses sont offertes à la fessée. Le plat de sa main s’y abat quatre fois. Mes fesses doivent rougir car je les sens chaudes.

-« C’était trop lent cette fois, recommence, applique toi ! »

C’est exactement le genre de situation qui m’excite et il le sait. Il m’a laissé mon soutient gorge et je voudrais l’enlever mais je n’ose pas bouger sans son accord. Alors je rabaisse ma jupe de lycéenne sexy et m’apprête me remettre à l’ouvrage. Ni trop vite, ni trop lentement.

Nouvelle fessée : »C’est mieux mais cambre toi plus. » Il appuie sa main sur mes reins. Je rabaisse ma jupe et la remonte pour la. je ne sais déjà plus combientième fois. Le plat de sa main s’abat à nouveau sur mon postérieur.

-« Allez, encore, caresse bien tes cuisses de salope en remontant jusqu’aux fesses. » J’obéis.

-« Encore, jusqu’en haut retrousse bien ta jupe. »

-« Attends petite salope, je suis sympa, je t’aide. »

Il passe sa main le long de l’intérieur de mes cuisses, remonte jusqu’à mon con puis sur mes fesses. Il retourne ma jupe sur mon dos et coince l’étoffe sous les bretelles de mon soutif. Il claque mes fesses. Bien fort cette fois. Un cri m’échappe.

-« Baisse ta culotte ! » Je m’exécute. Nouvelle claque sur mes fesses.

-« Non, tu ne comprends vraiment rien salope stupide, c’est beaucoup trop vite. Recommence ! »

Je remonte ma culotte sur mes fesses endolories. Puis je la rebaisse…lentement.

-« Stop ! Juste à moitié, pas plus connasse. »

Il caresse mon con à travers le tissu. Après les claques sur mes fesses cette caresse inattendue me fait l’effet d’un délice. Je me cambre. C’est bon, divinement bon.

-« Bien, tu gardes les mains comme ça, sur ta culotte de petite salope. Je m’occupe de tes fesses et de ton con. »

Il caresse mon con juste comme j’aime. Ni trop doux ni trop brutal. Il est contre moi maintenant. Son autre main dans mes cheveux et son soufle chaud dans mon cou. Il me parle à l’oreille tout en me caressant à travers le coton trempé de ma culotte. Il me dit que je suis une bonne fille. Je gémis. Il chuchote que je suis sa pute gratuite, que je vais bien faire ma salope que si je suis bien gentille je ne regretterai pas de lui avoir dit oui sur internet. Je craque, j’écarte ma culotte pour qu’il puisse accéder à mon con tout trempé. J’ai peur qu’il me punisse pour cette initiative mais il n’en fait rien. Il mets deux doigts dans ma bouche. Je les suce comme si c’était sa bite. Il me branle avec dextérité et presse son pouce contre mon anus. Je suis sa chienne soumise et toute trempée. Je me contorsionne et suce ses doigts dans l’espoir de lui donner envie de m’offrir sa bite. Je serais prête à tout maintenant pour avoir sa bite dans ma chatte, ma bouche ou mon cul. Cela m’obsède, il me la faut.

Mais il retire ses doigts et s’écarte de mes fesses. C’est à peine s’il me regarde maintenant.

-« Rhabille toi ! »

Je ne comprends pas, je le regarde bêtement. J’ai envie de pleurer.

-« J’ai dit rhabille toi ! »

C’est plus fort que moi, les larmes me montent aux yeux. Mais je remonte ma culotte, rabaisse ma jupe. Je ne mouille plus du tout. Je m’apprête à remettre mon pull.

-« Non, tu restes en soutif. Sers moi un verre ! » coup de menton m’indiquant le minibar de la chambre d’hôtel.

Dans la porte du mini-bar il y a quelques mignonettes et des grands verres carrés. Je l’interroge du regard.

-« Whisky…sec… » Il traine sur le sec. Je pense : comme enculée à sec. Je suis certaine que lui aussi y pense. Mais il s’installe sur le petit canapé deux places. Je remplis un verre. J’ose me servir aussi une vodka. Il ne dit rien. Je m’approche du canapé avec un verre dans chaque main.

Il me prends les deux verres des mains. Il pose son whisky sur la tablette à portée de main et me fait signe d’approcher mon visage. C’est lui qui porte le verre de vodka à ma bouche. Il verse un belle gorgée et m’embrasse avant que j’ai le temps d’avaler. Il tapote la pace à côté de lui et m’invite comme il le ferait à un animal domestique.

Il déboutonne son pantalon, sort enfin sa belle queue. Je m’installe pour le sucer enfin. Je suis heureuse. Déjà sa main sur mes fesses remonte ma jupe. Je ferme les yeux et savoure sa queue et cet instant.

Comment draguer en boite où dans un bar

Mon compte twitter c’est ici ==> Lucie sur Twitter

Bon, tout d’abord sachez que je ne veux pas faire comme tous ces blogs bidons de pseudo coaching de drague qui vous refilent des conseils lus et relus sur comment draguer, l’importance de faire rire, l’attitude ouverte mais pas lourde et tout et tout. J’imagine que si vous tombez sur cet article c’est soit parce que vous êtes un fidèle lecteur et que vous aimez ce que j’écris par ailleurs, soit que vous avez réellement besoin d’un petit coup de pouce pour lever cette nana qui n’est pour le moment que le support masturbatoire de vos nuits solitaires. Deux ingrédients donc à ce petit article :

– Du sexe un peu torride et explicite comme nous aimons vous et moi

– Un conseil ultra-pratique qui peut vous aider

Commençons donc par le sexe, histoire de bien vous motiver à suivre ma recette « comment draguer ». Sachez que lorsqu’une fille sort seule ou avec des copines en boite ou dans un bar ce n’est pas juste pour s’amuser et discuter entre copines. Les filles qui sortent seules et qui en plus s’habillent de manière sexy ont systématiquement envie d’être draguée et sont, par définition, disponibles. Donc, on arrête de se faire des nœuds au cerveau et on fonce ! Mais attention, pas n’importe comment non plus. Si vous voulez ramener la belle chez vous pour gouter sa chatte humide ou vous faire bien sucer par cette grosse cochonne que vous avez repéré et qui ne vous accorde pas un regard il va quand même falloir faire quelques efforts. Tout d’abord inutile de rêver, elle n’est pas sur Tinder et si elle y est, peu de chances qu’elle vous sélectionne.

Et là je vais sans doute vous décevoir, je n’ai pas la méthode infaillible pour rendre folle de désirs toutes les femmes. Pour cela mieux vaut vous diriger vers un site de type www.comment-draguer-pour-les-gogos-naïfs-qui-donnent-facilement-leur-numero-de-CB.com il suffit de taper les mots clefs sur internet et vous tomberez immanquablement sur un tas de sites où des mecs super sympas sont prêt à partager avec vous leurs secrets de tombeurs et vous expliquent comment draguer et surtout comment acheter leur guide vidéo « comment draguer ». Car ils sont hyper cools et altruistes ! Bah voyons, bien sûr, prenez nous pour des lapins de six semaines aussi !

Donc désolée, mais la seule recette « comment draguer » que je peux partager avec vous est celle que j’utilisais avec mon grand Frère quand j’étais étudiante. C’est juste une combine simple mais qui marchait quasi à tous les coups les deux années où nous l’avons pratiquée.

Comment draguer en boite, ma recette

Je sortais avec mon Frère et nous faisions semblant d’être ensemble. Mon frère repérait une fille seule ou avec des copines qui lui plaisait et nous nous arrangions pour nous placer dans son champ de vision. Mais en réalité n’importe quelle table ou place au bar marchait car, comme nous en faisions des tonnes, les regards étaient assez vite braqués sur nous. Surtout que je m’habillait toujours très sexy pour nos sorties et que j’étais (et j’espère reste) plutôt bien foutue.

Bref nous faisions semblant d’être un parfait petit couple en sortie vespérale (ça veut dire du soir pour les moins cultivés qui ont aussi droit de me lire !!). Mon Frère néanmoins jetait en permanence des regards vers la fille choisie. Immanquablement elle finissait par croiser son regard et alors là il détournait les yeux l’air gêné. Nous poursuivions ce manège un bonne demi heure, parfois une heure suivant l’ambiance dans le bar ou la boite.

Enfin lorsque nous étions bien certains d’avoir attiré l’attention de la fille (et de quasi tous les autres clients) je me levais, balançais mon verre à la figure de mon frangin et partais furieuse en le plantant là.

Lui s’essuyait le visage, restait seul l’air piteux quelques minutes puis allait voir la fille pour lui dire : »Tu sais je viens de me faire larguer par ma copine parce que je te regardais trop. Cela va peut être te paraitre un peu osé mais est-ce que je peux te payer un verre du coup maintenant ? »

Deux fois sur trois elle finissait dans son lit le soir même. La troisième fois il récupérait au moins son numéro de téléphone. Il ne s’est pris aucun râteau direct avec cette méthode !

Donc, voilà, il ne vous reste plus qu’à trouver une copine que cela amuse de jouer le jeu. C’est très facile et je vous assure que j’y ai pris un grand plaisir moi aussi !

Autostoppeuse sexy, mes conseils

Mon expérience d’autostoppeuse sexy.

Il ne faut pas croire que je sois uniquement une Geek abonnée aux plans culs sur internet comme je le raconte dans d’autres articles. Bien-sûr, comme beaucoup de femmes mariées, j’apprécie la facilité d’une rencontre adultère sans risque et sans lendemain sur internet. Mais je sais aussi me débrouiller avec un plan cul old school sans aucune aide numérique. Une des techniques de drague que je commence à bien maitriser est ce que j’appellerais le plan autostoppeuse sexy. Je n’ai pas la prétention de dire que c’est moi qui ai inventé cette technique de l’autostoppeuse sexy mais je pense être la première à avoir théorisé un peu cela tant pour l’autostoppeuse sexy (qui veut se faire enculer sur la banquette arrière) que pour le chauffeur (qui aimerait se faire sucer en conduisant). Tout d’abord, lorsque je suis loin de chez moi en semaine, je repère une zone de bureaux un peu excentrée ou un site industriel, si possible High-tech. L’idée est de me faire prendre en autostop par un cadre en fin de journée et de voir si j’arrive à l’allumer avant d’arriver à destination. La destination est toujours la gare d’une grande ville proche ou un aéroport s’il y en a un. Cela permet à l’autostoppeuse sexy que je joue de justifier d’une destination plus lointaine ensuite mais surtout de chopper un taxi pour récupérer ma voiture que j’ai laissée à mon point de départ. Car bien sûr je suis une fausse autostoppeuse sexy ! Mais revenons en au commencement. Le cliché de l’autostoppeuse sexy voudrait que j’ai une mini jupe ras la touffe. Mais faire de l’autostop en mini jupe est surtout le meilleur moyen de se faire prendre pour une prostituée en racolage et de rameuter la marée chaussée. Très peu pour moi ! J’étais donc ce jour là sagement vêtue d’un tailleur gris perle un peu strict mais près du corps. Une veste assortie sur un chemisier crème, les cheveux coiffés en chignon, une paire de lunettes à la monture aussi fine que les talons aiguille enfilés sur une paire de vrais bas couture made in France faisaient de moi la parfaite assistante de direction un peu perdue au bord de la route. Pour tout bagage mon petit sac à main et un porte documents en cuir noir dans lequel je pouvais mettre le nez à l’approche d’une voiture trop minable ou occupée par une femme. Mais je n’en eu pas besoin ce jour là car la première caisse qui sortait du rond point était la bonne : une BMW série 5 grise qui semblait neuve conduite par un homme seul. Le manque d’entrain à accélérer en sortie de rond point m’indiquait qu’il m’avait repérée devait chercher à voir si j’étais aussi bandante qu’il se l’était imaginé de loin. Je m’arrange en général pour me placer une cinquantaine de mètres après un rond point ou une sortie d’usine pour pouvoir observer les véhicules avant de décider si je lève le pouce ou si je laisse passer. En général il y a un arrêt de bus idéalement placé qui permet de laisser croire que je ne suis pas une autostoppeuse sexy mais juste une fille qui attend un transport en commun quand je ne lève pas le pouce. Cela permet aussi au conducteur de mieux évaluer ma silhouette. La bonne technique est de ne pas lever le pouce trop tôt mais plutôt d’attendre le dernier moment. Ainsi, quasi immanquablement, la surprise déclenche un réflexe de prédateur chez le conducteur qui ne manque pas de s’arrêter pour l’autostoppeuse sexy inespérée qui s’offre à lui. Tendre le pouce trop tôt, comme je le faisais les premières fois, a deux inconvénients. Tout d’abord vous ne pouvez prendre le temps de vérifier que le conducteur n’est pas une conductrice. Ensuite cela laisse plus de temps pour réfléchir à votre proie et diminue vos chances d’un arrêt réflexe.

Cette fois donc, la BMW pilait juste comme je l’espérais. J’imaginais instantanément l’effet accélérateur que cela devait avoir sur le rythme cardiaque de l’heureux conducteur. Je trottinais une dizaine de mètres en talons aiguille jusqu’à la fenêtre passager déjà ouverte. Je m’y penchais suffisamment pour laisser regretter que le dernier bouton de mon chemisier soit fermé : « Bonjour, vous allez sur Blagnac ? ou à défaut Toulouse ? je dois rejoindre l’aéroport. »

-« Je vais à Ramonville mais je cela vous approche déjà bien et le métro est assez direct vers l’aéroport ensuite il me semble. »

Cela m’approchait d’une bonne dizaine de kilomètres en effet mais surprise que le type ne me réponde pas direct que c’était, comme par hasard, sa destination, je mettais quelques secondes avant de répondre. Son regard qui semblait chercher à percer le tissu de mon chemisier me laissait penser que j’avais cependant tiré le bon numéro. Je pense que si j’avais eu des dons de télépathie j’aurais pu entendre sa prière muette : »putain, faites qu’elle monte, mon dieu faite que l’autostoppeuse sexy monte ! »

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

A peine installée je décidais de laisser un peu monter le suspense et posais à plat le porte documents sur mes genoux en regardant bien droit devant moi. Ma technique est de laisser au conducteur l’initiative des premiers mots. Ces derniers ne tardèrent d’ailleurs pas à arriver : »Vous travaillez dans le coin ? »

« Pas vraiment, j’accompagnais mon boss aujourd’hui et il devait finalement rester un jour de plus. Moi je dois prendre un avion ce soir si possible pour rentrer sur Lyon. »

« Et il ne vous a pas appelé un taxi ? »

« Heu, c’est pas vraiment son genre d’avoir ce type d’attentions et je suis encore en période d’essais. Je ne me le sens pas de présenter une notes de taxi à trois chiffres… »

« Enfin, quand même, il n’est pas très gentleman je trouve. »

« Heureusement que je suis tombée sur vous en tous cas ! » Là je lui touchais le bras.

J’ai pu constater qu’il ne fallait pas trop laisser passer l’occasion d’un premier contact physique rapide. Mais je retirais prestement ma main car je ne voulais pas non plus qu’il me prenne pour une pute. Même pour moi, le jeu est moins évident qu’il n’y parait. Je me fais peu de doute sur le fait que le conducteur ait envie de moi. Cela est en général acquis. Mais ça ne veut pas dire qu’il va sauter le pas. Il peut être marié, fidèle, ou tout simplement méfiant et sceptique devant la chance qui s’offre à lui. Amener certaines personnes à comprendre qu’elles viennent juste d’avoir un coup de chance et qu’il se présente à eux une occasion rare n’est pas si simple. Ce n’est pas comme pour un plan cul internet où tout est joué d’avance. Et c’est tout l’intérêt de la chose. Là il faut jouer le plus fin possible. Encourager les initiatives de l’autre sans pour autant éveiller des soupçons qui, même s’ils sont infondés, peuvent juste casser l’ambiance.

« Au fait, je m’appelle Lucie. »

« Sebastien. »

« Enchantée, Sébastien. Merci encore de vous être arrêté pour moi. Même si vous n’allez pas jusqu’à Blagnac cela m’aide déjà bien. »

Là il ne répond pas. Il faut à tout prix éviter de trop laisser la gêne et le silence s’installer. Sinon c’est fichu aussi surement que si je tente une approche trop directe.

« Ce serait vraiment bien si j’arrivais à Lyon pas trop tard, sinon cela risque de me couter une fortune en baby-sitter ! »

« Ah, vous avez des enfants ? »

« Juste une petite Lydia de 4 ans. Et le Papa est parti vers d’autres aventures depuis huit mois ! »

« Votre mari travaille off shore ou à l’étranger ? »

Bon, c’est bien ma veine, je suis tombée sur un lent de la comprenette !

« Bin non, il m’a quittée pour une pouffe qui devait mieux su…Heu, oups, pardon…pour une autre. Mais vous pouvez me dire tu sinon ! »

« D’accord, si tu arrêtes de me vouvoyer aussi, je vais avoir l’impression d’être un ancêtre sinon ! »

« Ah, ok, excuse moi, je ne voulais pas suggérer que vous, enfin tu, étais plus…heu… enfin, disons plus mûr. Franchement, je vous, enfin je te trouve, char…heu, qu’est-ce que je dis, enfin je veux dire bien. Heu, enfin, très bien même. Enfin heu…je crois…Enfin bon, en tout bien tout honneur je veux dire…Heu Pardon, je ne sais plus ce que je dis. »

« Ne t’excuse pas, pas de souci ! » m’interrompait-il en riant.

Bon, là je sentais qu’il fallait passer à la vitesse supérieure, sinon le trajet allait se transformer en une aimable promenade en voiture sans plus d’intérêt qu’une conversation légère où il me demanderait peut être mon 06 en fin de parcours. Absolument le type de loose que je voulais éviter. Je prenais un air inquiet et lui demandais : »Combien de temps il faut d’après toi pour rallier l’aéroport depuis la station de métro de Ramonville ? »

« Je ne sais pas, en voiture je sais que ça va vite mais en métro je n’en sais rien. Je n’ai jamais essayé. »

« Ah… » Je poussais un soupir qu’il pouvait interpréter comme de la déception ou un effet de la chaleur et je défaisais le bouton du haut de mon chemisier. Je croisais et décroisais mes jambes sous le porte documents en cuir noir.

Il restait silencieux mais je voyais les regards furtifs qu’il lançais vers mes jambes à chaque fois que je les déplaçais légèrement. Il faut dire que les vrai bas nylon couture ça crisse un peu…Je pinçais les lèvres et m’efforçais de prendre un air préoccupé derrière mes lunettes.

« Tu as l’air inquiète. Allez, je suis sûr qu’avec un peu de chance tu auras un métro tout de suite. Il est à quelle heure ton vol ? »

« 19h00. C’est dans une heure. Je suis sûre que je vais le rater…Merde ! Enfin heu pardon, zut ! » Je pose le porte documents à mes pieds pour lui libérer la vue sur mes longues jambes.

« Aie, c’est vrai qu’en Métro ça risque d’être un peu juste. C’est sûr en voiture tu y serais même avec de l’avance… »

Yes ! il ne propose pas spontanément de me dépanner. Il a flairé le bon coup dont il pouvait peut être profiter, c’est presque sûr !

Moi : »Je vais le rater, je vais le rater, c’est sûr. » Surtout ne pas y aller trop vite, ne pas dire tout de suite à quoi je suis prête pour qu’il m’amène en voiture. Juste recroiser et décroiser les jambes.

Lui : »Mais non, allez, je suis sûr que tu es une chanceuse. Souvent le vol a du retard aussi. »

Voilà, là retenter un contact physique un peu plus prolongé de ma main sur son bras : » Tu es sympa, c’est gentil d’essayer de me rassurer mais je suis sûre que je vais le rater. En plus mon billet n’est pas modifiable. Qu’est-ce que je donnerais pas pour avoir mon vol ! »

Bon, sans doute un peu tôt mais il fallait tenter.

Lui, fine mouche : »Ah oui, en fait qu’est ce que tu ne donnerais pas pour y être en voiture ? »

Regard appuyé sur mes jambes. C’est presque trop facile. Incroyable comme un gentleman peut se transformer en rustre de la pire espèce en quelques minutes. Mais après tout la situation m’excitait et j’étais à fond dans mon personnage.

Il ajoute sadique : »Courage, la prochaine sortie c’est Ramonville, en te dépêchant tu as peut être encore une chance. » Et là c’est lui qui pose une main timide sur ma cuisse. Qu’il retire presque aussitôt en ajoutant : »Enfin, c’est sûr qu’en voiture ça serait plus rapide… »

Je reprends sa main pour la reposer sur ma cuisse : »S’il te plait, tu peux m’amener à l’aéroport ? »

« Bin, heu, c’est sûr j’aimerais passer un peu plus de temps avec toi (il presse un peu plus sa main sur ma cuisse). Mais je ne sais pas. Ca me fait quand même un gros gros détour… »

Moi : »Faut vraiment que j’ai mon vol. S’il te plait, allez, soit sympa. Je suis vraiment prête à tout pour l’avoir. » J’écarte légèrement les jambes et défait le second bouton de mon chemisier.

Lui soupire comme s’il consentait un effort surhumain : »Bon, ok, ok, si tu es gentille je veux bien te dépanner. Mais faut être très gentille… » sa main droite reste sur ma cuisse et de la gauche il déboutonne son pantalon en tenant le cap avec d’un genoux habillement coincé sous le volant.

Je fais celle qui ne comprends pas. Je continue à regarder droit devant moi mais le laisse juste remonter mon tailleur pour constater que je porte bien des bas et pas des collants.

Comme on arrive à la sortie Ramonville il clignote pour prendre la bretelle d’accès.

Moi, feignant la panique : »Mais tu viens de me dire que tu m’emmenais à l’aéroport, non !? »

Lui : » J’ai dit si tu es TRES gentille… » Il me désigne son entrejambe du regard et commence à s’engager à droite.

Moi : » Ok, ok, tu as gagné ! » Je me penche enfin sur lui.

Son sexe jaillit quasiment dès que je baisse le caleçon. Je m’applique à être un peu maladroite, reculant un peu la tête en arrière comme si cela me dégoutait un peu.

Lui : »Bon, c’est déjà bien, je reste sur la rocade. Applique toi si tu ne veux pas que je te laisse trop loin de la dépose minute… »

Je me mets donc à l’ouvrage, en essayant de m’y prendre timidement d’abord. Comme si cela me dégoutait un peu alors qu’en réalité je suis déjà aux anges. Il a sa main sur ma nuque et presse pour que je m’active un peu plus.

« C’est bien, continue à être gentille comme ça, tu vas l’avoir ton vol ma jolie. »

J’ai gardé ma veste mais il la remonte et tire sur mon chemisier pour dénuder mon dos.

« Mets toi plus à l’aise, t’es pas confortable là. Allez, agenouille toi sur le siège, tu vas voir, tu seras bien mieux pour sucer. »

Je m’exécute.

« A quelle heure déjà ton vol ? 19h tu as dit ? »

Moi, la bouche pleine : »Ou…i, c’est…humff…ça. »

Je ne sais comment il accède à ma chatte si vite mais le fait est que je sens un doigt s’introduire dans ma fente.

« Mais c’est que tu mouilles vraiment ma jolie ! » Là sa surprise est totale.

« Si je m’attendais tu es vraiment une garce ! »

Je continue à sucer cette fois avec plus de conviction.

La suite du trajet se passe dans cette position. Il me fouraille la chatte et je suce du mieux que je peux. Comme la voiture ralentis parfois sur la rocade je me demande ce que l’on peut voir depuis les voitures à côté. Si j’étais restée assise et que je l’avais juste sucé j’aurais dit sans doute rien. Mais là agenouillée sur le siège passager avec sa main sur mon petit cul je n’en étais vraiment pas certaine du tout.

J’accélérais le rythme en me disant qu’il fallait que je le finisse avant d’arriver à la dépose minute pour avoir quand même le temps de me refroquer. Mais je n’avais aucune idée de son endurance et sa queue bien dure me laissait craindre le pire. Heureusement (ou malheureusement finalement) il déchargeait sans prévenir (mais en hurlant) une bonne giclée de sperme au fond de ma gorge. Je prenais soin de le garder en bouche pour bien tout avaler. Je pressais de lèvre en reculant ma bouche pour faire sortir jusqu’à la dernière goute. Nous venions de prendre la sortie vers l’aéroport. J’avais tout juste le temps de me rhabiller avant qu’il me laisse sur la ligne « kiss and fly ».

Je le quittais d’un : »bon bin merci. » un peu piteux. Lui me répondais dans un grand sourire : » Mais avec plaisir ! ».

 

Conseils aux filles comme moi qui veulent jouer les autostoppeuses sexy

Conseil n°1 pour autostoppeuse sexy : Arrêtez de psychoter !

Lorsque l’on veut tenter l’expérience de l’autostop et que l’on est une fille on fantasme forcément sur le type pervers et violent qui va nous laisser égorgée dans un caniveau après nous séquestré des mois dans sa cave pour nous transformer en esclave sexuelle. Bon, ok il faut être prudente. Mais il faut aussi arrêter de psychoter. Les tueurs en série sont tout de même bien plus rares que les types normaux ! Les (mal)chances de tomber sur un Jack l’éventreur ou un Francis Heaulme en faisant de l’autostop sont aussi grandes que de se faire attaquer par un requin en se baignant dans les calanques de Marseille. Statistiquement pas impossible mais fort improbable tout de même. Alors si l’envie vous prend de vous rejouer les putes de l’autoroute, l’auto-stoppeuse a 18 ans ou l’auto-stoppeuse n’avait pas de culotte, abandonnez un peu vos peurs et lancez vous dans l’aventure.

Conseil n°2 pour autostoppeuse sexy : Trouver le bon spot

A l’instar du surfeur qui sait attendre le bon créneau météo et connait les meilleurs spots à vague, l’autostoppeuse sexy doit trouver le bon spot et savoir quand l’exploiter pour maximiser ses chances de choper un chauffeur sur la même longueur d’onde qu’elle. Si j’ai dit qu’il ne fallait pas plus avoir peur de croiser Francis Heaulme qu’un requin blanc cela ne veut pas dire qu’il faille non plus aller nager seule exactement dans la passe aux requins blancs à la tombée du soir. Donc on évite de se poster dans les endroits louches en mini short, surtout de nuit bien sûr ! D’autant plus que le but n’est ni de se faire embarquer par les keufs pour racolage ni de se faire tabasser par le mac de votre voisine de trottoir !

Conseil n°3 pour autostoppeuse sexy : Choisir la tenue adaptée au spot

En général on surfe les vagues géantes de Hawaï avec une petite planche maniable alors que la longboard genre standup paddle est parfaite pour la petite houle. Pensez donc contexte et adaptez votre tenue au spot choisi.

Quelques exemples :

– Tailleur strict et porte document par exemple pour un cinq à sept en sortie de zone de bureaux.

– Bikini sous un Paréo en bord de mer

– Short en Jean, T-shirt, Sac à dos sur la nationale 6

 

Conseils aux chauffeurs en quête d’autostoppeuse sexy

Conseil n°1 pour trouver une autostoppeuse sexy : Le spot

Faites un peu marcher votre ciboulot. Essayez de penser 50% avec votre bite (pour la motivation) et 50% avec votre cerveau (pour trouver le bon spot). En fonction de la saison et de là où vous vous trouvez une myriade de bon spots existent : Les plages en fin de journée l’été, Les sorties de campus en fin de semaine (à partir du jeudi) , les entrées d’autoroute pendant les vacances ou aux veilles de grands WE. Partez en repérage, notez les spots où vous voyez des autostoppeurs. Repérez les parkings à proximité avec visuel sur l’endroit où les stoppeurs se placent. C’est certain que c’est bien plus long et aléatoire qu’un site de rencontres, il ne faut pas non plus se le cacher. Mais le jeu en vaut la chandelle. Soyez aux aguets, persévérez, la chance finira forcément par vous sourire.

Conseil n°2 pour draguer l’autostoppeuse sexy : Ne pas laisser le silence s’installer trop longtemps. Ni la camaraderie.

Je le suggère dans mon aventure sexy. Le silence ou la camaraderie superficielle sont deux ennemis à combattre. Relancer la conversation si le silence s’installe mais surtout orientez celle ci vers des sujets intimes forts et originaux. Discuter de la pluie et du beau temps n’a jamais permis de conclure sexuellement à ma connaissance !

Conseil n°3 pour conclure avec l’autostoppeuse sexy : Etablir le contact physique dès que possible.

Une astuce pour éviter que le trajet ne se transforme en une longue discussion amicale est d’établir un contact physique dès que l’occasion se présente. soyez attentif, il y a un tas de moment dans une conversation ou un mot peut être appuyé par un geste amical, chaleureux ou plus.

Conseil n°4 pour l’autostoppeuse sexy : Halte au viol !

Soyons clairs, il ne s’agit pas non plus d’un appel au viol. Vous avez trouvé une autostoppeue sexy. Si elle est sexy et qu’elle fait du stop seule c’est qu’à la base il y a une ouverture. Mais si malgré mes conseils la belle se dérobe il ne s’agit pas non plus que cela tourne au viol ! Laissez tomber. Si elle ne veut pas n’aller pas vous merdre dans la merde et vous faire ramasser par les flics le lendemain parce qu’elle aura porté plainte. Faite contre mauvaise fortune bon cœur, comportez vous en gentleman, essayez de chopper son numéro de portable pour une autre fois et retentez votre chance un autre jour avec une autre autostoppeuse sexy. Ou retournez sur votre bon vieux site de rencontres à plan cul.

Tout ça sans la pub avec en plus des inédits : l’e_book.

Sodomie, 5 conseils que vous ne trouverez nulle part ailleurs !

anuspoupe

Je ne sais pas si je peux me dire experte en la matière. Et après tout je m’en tamponne la chatte, j’écris ces conseils sodomie pour passer le temps agréablement en votre compagnie virtuelle. J’ai pu remarquer, au fil des messages perso que je reçois sur le site, de mes discussions avec mes amies ou de mes rencontres plus que coquines, que pas mal d’homme ne savent pas trop comment s’y prendre pour faire accepter la sodomie à leur partenaire ni même parfois comment la pratiquer lorsque la dite partenaire de jeu est open. Comme je n’aime pas les banalités ni les redites je vais donc essayer de vous trouver quelques conseils sodomie originaux que vous n’auriez trouvé nulle part ailleurs. Je le fais car j’aime me sentir unique pour vous. J’aime vous retenir le plus longtemps possible sur mon blog tout comme je m’efforce toujours de tenir en érection votre pine le plus longtemps possible dans tous mes orifices.

Et si vous voulez la liste de mes autres délires sexuels c’est ici

Conseil sodomie n°1 : On aime toute ça !

Je l’ai déjà écrit dans mon autre article sur l’enculade mais je le redis car trop d’hommes (et de femmes) pensent le contraire. Si vous lisez les articles du sexo-web politiquement correctes bienpensant à la aufeminin.com sur la question vous tomberez forcément sur des articles où l’on vous explique que toutes les femmes n’aiment pas la sodomie. On vous parlera de filles plutôt vaginales, d’autres plutôt clitoridiennes et d’une minorité d’anales. Bullshit ! comme dirait un sex friend américain. Permettez moi de penser et d’écrire que c’est de la grosse connerie. Pour en discuter régulièrement avec mes amies je peux vous dire qu’on aime toutes cela. Que même celles qui ne pratiquent pas la sodomie fantasment d’essayer et qu’à partir du moment où une femme aime un peu le cul (ce qui je pense est le cas de 99% d’entre nous) alors elle peut et veut prendre son plaisir aussi par le cul. Attention, je ne dis pas que la sodomie ne fait pas peur. Mais pensez à cette peur de l’enculade plutôt comme à un sentiment qui accroit notre fantasme et peut décupler le plaisir que nous prendrons. On est toutes prêtes à se faire enculer bien profond par Georges Clooney ! Voilà, c’est dit. Ce n’est pas la sodomie qui nous rebute, c’est juste parfois le mec qui veut nous la mettre bien profond !

Conseil sodomie n°2 : En parler ?

Vous lirez peut être à droite, à gauche que l’important dans un couple c’est la CO-MMU-NI-CA-TION. Il faudrait communiquer, tout passerait par le dialogue pour éviter les malentendus et les quiproquos. Et blablabla et blablabla. A en croire certains la sexualité ne serait qu’un des aspects de la vie de couple. Il faudrait échanger sur un pied d’égalité, dans le respect et la compréhension de l’autre. Franchement, à part si vous êtes en couple avec une licorne magique du pays de l’arc en ciel (ce qui est votre droit, je ne juge pas !) oubliez l’idée de traiter le sujet avec votre partenaire comme s’il s’agissait de la répartition des tâches ménagères. Par contre rien ne vous empêche d’amener le sujet directement au lit lorsque vous ramonez madame ou mademoiselle. Bien installé en levrette par exemple vous pouvez en profiter pour glisser à son oreille une phrase du genre : »La prochaine fois je te la mettrai dans le cul aussi. »

Il est peu probable qu’elle proteste à ce moment là, surtout si vous savez bien vous y prendre avec sa chatte. Ainsi elle se fera à l’idée, fantasmera sur la partie de baise suivante et vous pourrez sans crainte mettre la douce menace à exécution.

Conseil sodomie n°3 : Associez à la fessée

La fessée est à la sodomie ce que la sauce Roquefort est à l’entrecôte. Pas franchement indispensable mais tellement meilleur quand il y a les deux ! Une bonne fessée peut s’avérer un très bon prélude à une sodomie en règle. Si vous pensez la donzelle réticente essayez donc une petite claque sur le fesses. Savourez la surprise que vous créez ainsi. Récidivez un peu plus fort. Puis caressez pour créer du contraste. Remontez lentement le long des cuisses et tapez à nouveau. Caressez à nouveau l’intérieur de la cuisse, avancez deux doigts sur la fente humide. Appuyez le pouce contre l’anus…et…fessez là à nouveau. Croyez moi, un petit cul qui se laisse copieusement fesser est forcément disposé à accueillir la sodomie comme une suite toute logique de la séance !

Conseil sodomie n°4 : Kinésithérapeute tu te feras

L’entrecôte sauce Roquefort c’est bon. Mais il y a bien d’autres sauces qui peuvent fonctionner. J’aime le goût puissant du Roquefort mais parfois la saveur plus suave et délicate d’une sauce au vin peut me convenir avec une viande rouge.

Ainsi, le massage peut être une très bonne alternative à la fessée. Si vous massez, massez vraiment. Au contraire de la fessée qui a pour objet d’assoir votre domination et de présenter l’enculade comme une récompense pour un cul que vous avez allègrement martyrisé, le massage est une préparation plus longue et délicate. L’objectif est de détendre la belle. Elle est sur le ventre, vous massez d’abord les épaules et le cou sans vous presser. Il ‘agit bien de masser, pas de caresser, appuyez, malaxez chaque muscle. Si vous êtes avec moi avancez un genou entre mes cuisses, sous ma chatte que je puisse me frotter langoureusement à votre rotule. Massez le dos, bien symétriquement. Appuyez un peu plus là où vous sentez les muscles raides. Pour l’anus qui vous intéresse cela peut aider d’avoir une huile de massage. Mais ce n’est pas indispensable. A défaut, prélevez un peu de mouille de ma chatte. Je n’aime pas trop qu’on me crache à la raie mais j’ai une amie qui ne jure que par cela. Donc, à vous de voir. Soyez patient, un bon massage c’est au moins vingt minutes. Le risque étant que vous débandiez et ne soyez plus prêt le moment venu. Pitié, si c’est le cas n’attendez pas et prenez moi en levrette. La sodomie sera pour une prochaine fois ou juste ensuite si vous avez un regain de vigueur.

Conseil sodomie n°5 : Entrainez vous avant

Eh oui, cela peut vous paraitre étrange comme conseil mais, croyez en quelques expériences ratées et fiascos que j’ai eu avec des hommes qui pensaient pouvoir y arriver et ont du renoncer. La sodomie cela s’apprend. Et pas uniquement pour la femme dont l’anus doit être détendu. Si vous en avez envie et que vous n’êtes pas certain d’y arriver une fois le moment venu cela peut être fort contrariant. Alors, une seule solution : s’entrainer. Soit avec une sex friend déjà experte si vous en avez une (mais c’est plutôt rare), soit avec une fille rencontrée sur un site à plan cul du genre rencontres hard.

Si vous êtes plutôt du genre fidèle à votre compagne, ce qui est fort respectable, alors il est aussi possible de s’entrainer avec une poupée gonflable. Des modèles à moins de 100 € ont un anus assez réaliste. Voilà, ce dernier conseil ne vous paraitra sans doute pas très glamour mais je suis assez certaine que vous ne trouverez pas ailleurs ces cinq petit conseils pour bien enculer mon petit cul ou celui d’une autre qui vous résiste encore.








Fessée, comment la faire aimer à une femme ?

Il m’avait fait déboutonner mon chemisier blanc et baisser ma jupe. Assis sur une chaise il me commandait de me mettre en position sur ses genoux pour la fessée. Une foi en place c’est à moi qu’il revenait de baisser ma culotte en coton. Il exigeait que j’ai ensuite les mains croisées sur la nuque ce qui accentuait mon inconfort et son plaisir.

Je vous épargne, pour cette fois, la mise en place de mon plan cul de la semaine dernière à Pau (merci au passage à Infidèle Messenger) car je voudrais profiter de l’occasion pour vous parler d’une des pratique qui me plait le plus ces derniers mois : la fessée.

En règle générale je n’aime pas spécialement avoir mal. Et je ne pense pas qu’il s’agisse vraiment dans la fessée de plaisir masochiste. Non, ce que j’aime c’est être punie. La main du maître qui s’abat avec violence sur mes fesses déclenche en moi une excitation folle qui peut même aller jusqu’à l’orgasme sans qu’il n’y ait de pénétration. Comme il est probable qu’à terme certains de mes lecteurs deviennent mes plans cul autant donner ici ce qui constitue, selon moi, la recette pour une bonne fessée. Pour en avoir pas mal discuté avec mes copines je peux affirmer qu’il ne s’agit pas uniquement de mon propre goût et que la recette que je vous livre ici sera certainement assez universellement appréciée !

Conseil fessée n°1 : soignez le scénario

Pour moi en tous cas une fessée doit être méritée. La fessée est là pour punir et c’est en grande partie cela qui est excitant. C’est pourquoi je choisi souvent des costumes et des situations qui se prêtent particulièrement bien à ce tendre châtiment. En écolière qui n’a pas bien appris sa leçon ou en soubrette maladroite qu’il faut corriger je suis vraiment dans la peau du personnage pour peu que mon partenaire lui aussi joue le jeu du maître insatisfait qui doit me punir « pour mon bien ». Donc avant la fessée n’hésitez pas à m’expliquer pourquoi je dois être punie, si je suis soubrette demandez moi d’exécuter une tâche dans laquelle je risque d’échouer ou de mal m’y prendre. En étudiante posez moi des questions auxquelles je risque de ne pas avoir la réponse par exemple ou surprenez moi en train de me masturber alors que je devrais sagement étudier.

Une copine à moi m’a voué adorer que son mari la corrige quand elle rentre d’une séance de shopping. Il lui dit qu’elle a trop dépensé et que c’est pour le bien du foyer qu’il doit la fesser.

Creusez vous le tête, les occasions de nous punir ne manquent vraiment pas, je puis vous l’assurer !

Conseil fessée n°2 : Sachez doser mais ne retenez pas vos coups !

Du point de vue de l’intensité et de la douleur je dois dire que chacune a ses propres limites et qu’il ne s’agit pas bien sûr de meurtrir pour le plaisir de faire mal (en tous cas en ce qui me concerne). Cependant une règle que nous sommes toutes d’accord pour donner est qu’il ne faut pas non plus retenir vos coûts. Il n’est rien de plus efficace pour tuer le désir qu’un amant qui au moment de la fessée devient timoré et gauche. Personnellement j’aime que la douleur reste présente plusieurs heures après mon plan cul. Je mouille de m’assoir le lendemain sur mes fesses endolories qui me rappellent la punition de la veille. Mais je ne veux pas que mon mari le remarque quand je si à nouveau à la maison le surlendemain. Vous pouvez donc y aller de bon cœur sur mon petit cul de chipie !

Conseil fessée n°3 : Après la fessée

Moi j’apprécie que le mec me passe une crème du genre Nivéa ensuite. S’il me garde sur ses genoux pour me fouiller la chatte et préparer mon anus pour une bonne sodomie alors c’est le pied.

Conseil fessée n°4 : Les accessoires

Pour le moment ce n’est pas trop mon truc. Mais j’ai mon amis Lydie ne jure que par les menottes, la barre d’écartement et la cravache ou le martinet. Donc j’imagine que l’on peut accessoiriser à l’envie une séance de fessée. Une fois j’ai fait l’écolière et j’avais acheté une grande règle plate jaune en bois. Mais mon partenaire n’a pas osé s’en servir :o(.

Il y a quand même un accessoire qui m’excite énormément en cas de fessée. Ce sont de fins gants en cuir de mouton noirs ou marrons que le maître garde pour me claquer les fesses.

De la fessée à la sodomie il n’y a qu’un pas qu’il ne faut pas hésiter à franchir…Pour cela vous pouvez lire aussi 10 conseils sodomie.

Si vous m’avez lue jusque là bravo, vous êtes un chou ! Mais si vous en avez mare de lire et voulez un peu d’interaction je vous conseille vraiment d’essayer du live show en webcam. Cela peut vous paraître un peu virtuel mais en tous cas je vous assure que moi je m’amuse vraiment beaucoup quand j’en fait.

Et disons le honnêtement je touche un petit quelque chose qui m’aide à maintenir le site si vous cliquez !

 

Post Script hummm : Pratiquez vous la fessée ? En avez vous envie mais sans oser le proposer à votre partenaire ? Avez vous des suggestions à me proposer pour pimenter encore davantage mes séances de fessée ? Je suis avide de lire vos commentaires…

Pau, une fessée bien méritée

la fessée à travers les âges
J’ai aimé ce livre

L’année dernière, début mars, je me trouvais à Pau en même temps que le salon professionnel SAPHIR des métiers de bouche. Mon déplacement à Pau n’avais rien à voir avec ce salon et, fort heureusement, je m’y étais prise à l’avance pour réserver une chambre à l’hôtel Roncevaux. J’aime beaucoup ce bel hôtel du centre historique de Pau qui, en plus d’être cossu propose des chambres très bien insonorisées. Non pas que le bruit des autres me dérange mais j’ai tendance, parfois, à être plutôt démonstrative quand je suis en mode plan cul à Pau (ou ailleurs)…

La semaine précédant mon déplacement j’avais beaucoup trainé sur internet, alternant les séances de SexCam et surf au hasard de mon désœuvrement. J’avais été très excitée quelques jours avant par une vidéo porno un peu vintage où l’on voyait Julia Channel punie se faire corriger par son prof. Aussi j’avais décidé que mon prochain plan cul serait sur le thème écolière fessée et punie par son professeur. Ne reculant devant aucun sacrifice je m’achetais un déguisement d’écolière japonaise ultra sexy que je rangeais dans ma valise en cachette de mon mari pour mon déplacement à Pau.

Rendez vous était donné à mon plan cul directement à l’hôtel et je l’avais bien sûr mis au courant du thème que j’avais choisi pour qu’il puisse lui aussi se préparer comme il se doit. Mon costume d’écolière était composé d’une jupe bleu marine avec un mince liseré blanc, d’une chemise blanche très échancrée et d’une large cravate dans le même tissu que celui de la jupe qui m’arrivait juste au dessus du genou. J’avais complété d’une paire de baskets Converses bleu marine et de chaussettes montantes blanches. Bien sûr, une culotte blanche de marque petit bateau. Je ne suis pas myope mais j’avais jugé plutôt sexy de porter des lunettes à large monture en écaille de tortue ce soir là.

Dans cette tenue que je jugeais plutôt sexy, j’attendais donc avec un peu d’appréhension mon prof qui devait me rejoindre dans la chambre vers 20h.

Pile à l’heure il ne frappait pas (à la porte…) et entrait directement me surprenant alors que je regardais par la fenêtre la rue Louis Barthou. Il était vêtu d’un costume sombre, la quarantaine, mince, l’air plutôt bien fait mais s’aidant d’une canne de marche. Sous le bras il avait un grand porte documents en cuir fauve.

« Je vois que vous rêvassiez jeune fille. Pffft, comme d’habitude ! » me dit-il en posant sa canne à plat par terre et en ouvrant sa serviette pour en sortir une copie couverte d’annotations en rouge.

« Oui monsieur, pardon monsieur. »

« J’ai votre copie de géographie sur le Béarn et la ville de Pau. C’est nul, 2 sur 20 et encore je suis indulgent. Vous connaissez le tarif pour un travail aussi médiocre j’imagine. »

« Non monsieur…Mais je m’en doute un peu. » Répondais-je sur la défensive.

Il s’assit sur le bord du lit et me fit signe se me mettre en position pour une bonne fessée. Je m’exécutais trop contente de la tournure que prenait la soirée. Il a immédiatement relevé ma jupe, baissé ma culotte petit bateau et m’a administré une fessée magistrale, frappant, certes, du plat de la main mais vraiment sans ménagement pour mes fesses qui devaient sans doute bien rougir sous ses coups. Je criais pour l’encourager en m’efforçant de ne pas rire pour rester bien dans le personnage. Ce n’était pas simple car en réalité cela était plus excitant que douloureux.

« Ne crois pas que tu vas t’en tirer à si bon compte. Cela était juste un préliminaire parce que tu rêvassais à la fenêtre. Pour la copie de géographie tu n’as pas encore payé. Maintenant à genoux, mains sur la tête ! »

Il me désignait sa canne posée par terre et je compris que je devais me mettre à genoux avec la canne juste sous les rotules. Apparemment nous avions les même références filmographiques…Pour le coup, après même pas trente seconde cela était vraiment douloureux et de vraies larmes me montaient aux yeux. D’autant plus qu’il prenait son temps, tournant calmement autour de moi en boitant légèrement. Il sortit sa belle bite de son pantalon et se planta devant moi. Alors que je prenais sa queue dans les mains pour le sucer il me frappa à nouveau sur le dos de la main cette fois.

« Tss Tss, on garde sagement les mains sur la tête, mauvaise élève, je veux juste te baiser la tête. On fera au moins rentrer quelque chose dans cette cervelle de moineau ! »

Me pressant sans ménagement derrière la tête il s’enfonçait au plus profond de ma gorge. Avec sa canne toujours sous mes genoux j’endurais un véritable supplice et je pleurais presque autant que je mouillais. Après quelques minutes de va et vient dans ma bouche il m’a fait poser les mains par terre pour me mettre à quatre pattes en prenant soin que je garde bien les genoux sur sa putain de canne. Il avait amené un martinet et, après avoir relevé ma jupe d’écolière, il me fouetta le bas des reins et les fesses. Mais la douleur était presque un soulagement car elle me faisait oublier mes genoux qui me faisaient souffrir le martyr.

J’allais me relever et mettre un terme à ce jeu douloureux quand les coups cessèrent d’eux mêmes.

-« Bon, je pense que tu en as assez pris, tu as bien compris la leçon. On peut commencer le travail de révision. »

Il me désigna un coussin qu’il avait jeté à terre à côté du lit.

-« Tiens, tu peux reposer un peu tes genoux de souillon si tu veux. »

Je prenais vite place craignant qu’il ne change d’avis. Le coussin n’était pas très grand et je devais serrer les jambes pour avoir mes deux rotules meurtries enfin soulagées. Les coudes sur le sommier du grand lit mon confort s’était largement amélioré.

Il ouvrit devant moi un livre ancien sur l’histoire de la ville de Pau et du Béarn afin que je puisse le lire à voix haute.

Je m’exécutais pendant qu’il me prenait en levrette très tendrement. En tous cas je trouvais cela tendre en comparaison de ce qu’il m’avait fait subir juste avant.

« Pau devient Capitale du Béarn au quinzième siècle…hummm…grâce à Gaston IV de Foix-Béarn qui transfère sa capitale d’Ortez à Pau après…hummm oui c’est bon….avoir convolé en justes noces avec l’infante de Navarre…Humm. »

Pour le coup c’était vraiment bon. J’aurais aimé qu’il s’occupe aussi de mon anus et me sodomise mais je pense que j’avais, à cette époque, le trou trop serré et il ne fit qu’un essais infructueux juste avant de revenir jouir dans ma chatte.

Autant dire que je garde de Pau un excellent, quoique douloureux, souvenir et que j’ai hâte d’y retourner en mars prochain !

Ma chambre d'écolière à l'hôtel Ronceveau à Pau
Ma chambre d’écolière à l’hôtel Ronceveau
4profilsa
Profils à clicker et à croquer de filles libres qui aiment peut être la fessée.