Contribution anonyme

Allez, une fois n’est pas coutume, je copie colle un texte qui n’est pas de moi sur le blog. Merci à ce contributeur qui reste anonyme !

Pour la bonne forme et parce que je reste persuadée que c’est une activité respectable et un deal correct je mets un lien vers un joli site de sexcam :

Y a t’il un homme qui n’ait jamais fantasmé sur cette femme à l’allure stricte, que l’on imagine prude et gênée face aux tentations de la chair ? Celle ci, qui éventuellement, sent ses joues rosir à la moindre idée inconvenante. Est t’il simplement concevable que cette femme, sur un coup de folie décide de briser les barrières rassurantes de sa routine conjugale ?

Cilia, je l’ai rencontré sur un site bien peu recommandé pour les femmes convenues (copine de sexe).

Pourtant respectée et respectable en temps que directrice à son travail, une envie irrésistible d’exhiber son corps la tiraillait dans son intimité. Sous couvert d’anonymat elle offrait des images et fragments de son anatomie tout en savourant le désir immédiat suscité chez la gente masculine.

Nous échangions fantasmes et clichés, de plus en plus fiévreux. Il est vrai que Cilia était une belle femme, la trentaine passée, sportive et aux courbes généreuses. La blondeur de son carré mi-long parfaitement accordée à ses tailleurs ainsi qu’à une lingerie très élégante.

Car la belle avait l’esprit malicieux et essayait régulièrement d’insuffler une touche de folie dans son couple sans beaucoup de réussite. Elle restait un amour sacré et presque vénéré au regard de son homme.

Les pensées adultères de la belle épouse s’articulaient sur la sensation de transgression et sur l’envie de découvrir un plaisir nouveau et intense, presque violent.

La rencontre se fit lors d’un déplacement pour formation. Pour calmer son angoisse elle m’avoua avoir préalablement commandé un whisky au bar. Mme la directrice, dans son tailleur noir, le teint empourpré dès lors qu’elle sentait mon regard glisser sur elle. Sa fragilité était touchante.

Je lui proposais d’esquiver les regards indiscrets, ce qu’elle accepta soulagée.

Dans l’ascenseur je me rapprochais enfin d’elle, la main sur sa taille, je la sentais presque trembler.

Nous rentrions dans la suite après quelques pas bien silencieux dans le couloir.

Je la débarrassais de son manteau pour la voir les mains jointes, un peu crispée mais arborant un sourire timide. Après m’être avancé je posais ma main sur sa taille et la guidais à reculons vers le mur. Une fois acculée, je me saisis de ses mains et les plaquais contre le mur. Je voyais sa poitrine s’élever alors que sa respiration s’accélérait, je savais d’avance ce désir chez ma partenaire de s’abandonner.

Je plongeais ma tête dans son cou pour y déposer quelques baisers et chuchoter quelques mots à son oreille : « tu es à moi pour cette nuit », avec pour réponse un simple soupir de consentement.

Alors que je rendais leur liberté à ses mains, elles virent parcourir mon dos et appliquer une pression pour m’attirer à elle.

Mon sexe gonflé exerçait une pression de plus en plus importante sur son ventre. Ma mains gauche caressait doucement le sein droit à travers le chemisier alors que ma main libre se glissait vers la précieuse culotte de Cilia. Je souris en sentant une petite auréole humide.

Quant à elle, Cilia n’était pas en reste, ses mains migraient agréablement vers mes fesses avant de se poser sur ma bosse comme pour répondre à mes attouchements. Je fis glisser sa veste ainsi que son pantalon au sol et déposais un chaste baiser sur ses lèvres.

L’excitation apportée par ces agréables caresses avait emportée toute appréhension.

Je poussais la belle vers le lit, admirant ces jambes dorées sublimées par une culotte de dentelle blanche. Elle se laissa tomber à reculons en pouffant de rire. Je lui ordonnais d’ouvrir les boutons de son chemisier puis m’avançais en retirant veste et pantalon.

Une fois au pied du lit je retirait doucement la dentelle qui couvrait son intimité et passait mes doigts entre ses lèvres pour en constater l’humidité. Un fin duvet blond couvrait son mont de vénus, je ne pouvais résister à l’envie de goûter et de parcourir sa fente du bout de la langue. Mon désir était impérieux, je dégageait ma queue de mon boxer et enfilais silencieusement une protection.

Minaudant qu’elle avait presque froid, je m’affalais sur l’ingénue, profitant de son souffle coupé je guidait mon gland entre ses nymphes et m’enfonçais lourdement. Cilia poussa un cri de surprise et moi un râle de délivrance. Son corps délicat se tordait, sa respiration anarchique s’entrecoupait de gémissements.

Les bras enserrant sa nuque et son dos je ne me retenais pas. Sa tête rejetée en arrière Cilia vibrait sous mon assaut, des soupirs de plaisir franchissaient ses lèvres. Avec un plaisir vicieux je lui demandais ce qu’elle ressentait en trompant son mari, quelques instant plus tard son corps répondit pour elle en se crispant, ses ongles laissant leurs marques sur ma peau. Cette douleur et la satisfaction de voir ses hoquets de plaisir suffirent à me faire perdre le contrôle, après quelques vas et viens je râlais de plaisir et la rejoignais dans son orgasme.

PS :

J’ai un peu romancé tout cela.. je pense pas être très doué dans ce domaine. Ça ne s’en est pas tout à fait arrêté là.

Première sodomie depuis longtemps

Première sodomie, la rencontre

Laissez moi vous compter ma première sodomie depuis bien longtemps. A vrai dire, cela fait tellement de temps que je n’ai pas été prise par derrière que j’ai l’impression d’être à nouveau vierge de l’anus ! J’avais donc été on ne peut plus explicite dans la rédaction de mon profil sur copine de sexe : « Coucou les mecs, je suis une jeune femme mariée mais encore vierge du cul. Je fantasme depuis toujours sur la sodomie mais n’ose pas en parler à mon mari qui est un peu vieux jeu. Problème : je l’aime et ne veux pas le quitter, ni même vraiment le tromper. Je voudrais juste, une fois, assumer mon fantasme d’une première sodomie pour pouvoir enfin penser à autre chose. Est-ce que cela intéresse quelqu’un sur ce site une vraie pucelle de l’anus qui recherche désespérément celui qui lui fera connaitre sa première sodomie près de Clermont Ferrand ? »

Bon, ok, vraie pucelle de l’anus et première sodomie sans préciser « depuis trois mois » était un mensonge. Mais un pieux mensonge, presque une demie vérité tant j’étais prête à me mettre dans la peau d’une vraie débutante.

Inutile de vous dire que mon annonce « première sodomie » eut un succès immédiat auprès de la gent masculine. Et pas uniquement d’ailleurs, une fille ayant répondu pour me proposer un plan à 3 avec son compagnon. Mon choix se portait vite sur René-Pierre, bel homme, la cinquantaine à peine, de la prestance et ce petit plus d’assurance que confère le viagra aux hommes de sa génération.

Pour l’occasion je m’étais confectionné un look de jeune bourgeoise traditionnelle à la Bree Van de Kamp dans Desperate Housewifes. Nous nous donnions rendez vous au restaurant de mon hôtel à Issoire, Puy-de-Dôme (63) en région d’Auvergne. Lors de nos échanges j’avais soufflé le chaud et le froid, feignant de n’être pas encore vraiment sure de moi. Je lui disais que je ne voulais pas lui faire perdre son temps, que j’acceptais un dîner mais que je n’étais vraiment pas certaine d’être capable d’aller au bout de mon fantasme. Je m’excusais par avance si au dernier moment je me refusais et je promettais, en échange, de payer le restaurant. Il m’avait bien sûr répondu qu’il était surpris, que j’avais pourtant l’air décidée dans mon annonce. Et là, je lui disais que, oui, j’en avais très envie. Et que la photo de son sexe en érection qu’il m’avait envoyée m’excitait (alors que franchement, c’est pas vraiment mon truc les selfies de vos teubs…). Mais que, comme c’était la première fois pour moi je ne pouvais garantir « honnêtement » que j’irai jusqu’au bout. Dans le même temps je lui envoyais une mini vidéo de mon index écartant mon string de dentelle blanche pour s’introduire dans mon anus.

Nous nous retrouvions donc au restaurant du Pariou, un hôtel que j’affectionne à Issoire et dont la cuisine est très correcte à mon goût. Assez peu attentif au menu c’est plutôt mes seins gonflant mon pull en cachemire que René-Pierre dévorait des yeux. La serveuse était un garçon et lui aussi semblait troublé par la contradiction entre ma tenue plutôt sage, mon serre tête en velours bordeaux et les regards mutins que je lui lançais à chaque fois qu’il regardait dans ma direction, c’est à dire très souvent… Mon rendez vous cherchait courageusement à meubler la conversation.

-« Donc, Laëtitia (c’était le prénom que je m’étais choisi pour l’occasion), vous, enfin tu habites la région ? »

-« Oui, enfin pas vraiment, à trois quart d’heure environ. Mais j’aime autant ne pas dire où. Si ça ne vous dérange pas. »

-« Ah non, pas du tout, je comprends, avec moi tu peux être tranquille question discrétion. Mais tu peux me tutoyer, vu qu’on va, je l’espère, être bientôt…disons…intimes. »

Je décidais de prolonger le suspense.

-« D’accord pour vous, enfin te, tutoyer alors. Quand à notre intimité prochaine cela reste à voir. Commandons d’abord notre dîner et une bonne bouteille, je sens que j’ai besoin de boire un peu pour me décider. »

Je m’emparais de la carte des vins et commandais la bouteille la plus chère. Un vin rouge à 33 euros dont je suis bien incapable de me souvenir le nom, encore moins le millésime nulle en œnologie que je suis. Pour bien lui signifier qu’il allait devoir patienter avant de me faire passer à la casserole je choisissais le menu à le plus complets avec cocktail, amuse bouche, entrée, plat, trilogie de fromages et dessert ! Comme j’avais annoncé que c’était moi qui invitait il ne pouvait que faire de même et prendre son mal en patience. Le dîner était pour moi délicieusement long. J’aime faire durer quand je sais la partie gagnée…De manière très prévisible mon invité me faisait du pied sous la table. Je ne retirais pas mon pied mais n’allais pas à son devant non plus. Malgré tout la conversation n’avait rien de laborieux. René-Pierre savait se montrer spirituel et faisait de son mieux pour faire semblant de s’intéresser à la vie de jeune bourgeoise catholique traditionnelle que je m’improvisais. Je me présentais comme timide, inexpérimentée mais en même temps pleine de fantasmes depuis que j’avais découvert sur internet des vidéos de sodomie qui me fascinaient bien malgré moi.

Première sodomie, le râteau…ou pas…

-« Enfin, quand même, j’ai un peu de mal à te comprendre. Tu es attachée au symbole du mariage, tu ne veux pas tromper ton mari mais en même temps tu mattes des vidéos porno de dépucelage anal et du t’inscrit sur un site de rencontre à plan cul pour découvrir les joies de la sodomie. Ta première sodomie tu dis ? Soit tu me prends pour un débile, soit tu es complètement dérangée. »

-« Bin oui, je sais que c’est assez difficile à croire. D’ailleurs, pour tout t’avouer je ne sais plus trop où j’en suis. Mais je ne te prends vraiment pas pour un débile. Je suis juste un peu perdue. Excuse moi si finalement je me dégonfle. J’espère que tu ne m’en veux pas. En tous cas j’aurais passé une merveilleuse soirée ».

Quelle joie perverse de voir sa mine toute déconfite au moment où je demandais l’addition. Pourtant en vrai gentleman il ne me fit pas de scène. Il me proposais même de payer sa part. Ce que je refusais catégoriquement, notant mon numéro de chambre et signant la note. Je le raccompagnais à sa voiture sur le parking juste derrière la salle de restaurant.

-« Bon, au revoir alors Laëtitia. Je ne te comprends pas mais je respecte ton… »

Je le plaquais contre la portière de son Audi Q3 et l’embrassais à pleine bouche. « Et puis zut ! j’en ai trop envie. Allez, on le fait, attends quelques minutes et rejoins moi chambre 206. »

Je me sauvais en courant vers le bâtiment de l’autre côté du parking où était ma chambre.

Pas facile quand on est une dingue de cul comme moi de faire la jeune bourgeoise inexpérimentée un peu timide. Une fois dans ma chambre je cherchais un moyen de lui laisser prendre la direction des opérations. Je décidais de m’étendre toute habillée sur le ventre, les deux coussins du lit sous mon ventre. J’attendais de l’entendre ouvrir la porte pour relever maladroitement ma jupe découvrant mes belles fesses que couvrait toujours mes collants noirs.

Je gardais les yeux fermés, entendais la porte se refermer et ses pas se diriger vers le lit où je restais immobile, les jambes serrées mais les fesses relevées par les coussins sous mon ventre. Après des semaines d’abstinence complète la sensation de sa main remontant le long de mon mollet était incroyable. Il n’en était pas encore à la cuisse, juste derrière le genou que je frissonnais déjà. Frisson qu’il dut mal interpréter car au lieux de continuer à remonter sa main il redescendait sa main effleurant à peine le nylon sur mon mollet.

Je décidai de l’encourager quand même un peu : -« S’il te plait, ne dis rien…Mais continue. »

Deux mains cette fois sur chacune de mes chevilles. Il enlève mes souliers vernis qu’il laisse tomber au sol. Des baisers légèrement déposés sur mes talons et ses main qui remontent par l’intérieur des mollets. Il prend son temps, embrasse à pleine bouche à travers le nylon, d’abord mes chevilles puis un peu plus haut. Ses mains sont à nouveaux à la pliure des genoux. Il les écarte mais je résiste gardant mes cuisses serrées. Je veux le plus possible retarder le moment où il s’apercevra que je mouille comme en réalité comme une grosse cochonne en chaleur. Heureusement, il est encore un peu timide et ne se presse pas. Je sens ses doigts qui progressent le long de mes cuisses. Il les fait marcher comme deux petits soldats montant bravement à l’assaut de mon cul. Je tremble un peu à force de serrer les cuisses luttant contre mon désir naturel d’au contraire les écarter pour le laisser accéder à mon clitoris. Ca y est, il est juste là où la cuisse rejoint la fesse. Il s’y attarde caressant du bout des ongles mes fesses fermes et rebondies. Je me laisse un peu aller écartant imperceptiblement les cuisses lorsque je sens ses lèvres se poser mon cul à travers le fin nylon de mes collants. Je ne peux m’empêcher diriger mes mains vers l’endroit où je devine que se trouve sa tête. J’aimerais lui plaquer la tête contre mon cul afin qu’il me bouffe enfin mais je résiste et m’accroche à mon personnage de bourgeoise salope mais encore timide, me contentant de lui caresser maladroitement les cheveux. Comme j’ai légèrement écarté les cuisses je sens sa main qui remonte jusqu’à mon clito. Il caresse et presse à travers mon collant. Je me cambre imperceptiblement et lâche un petit gémissement. Deux doigts pressent un peu plus, écartant ma fente à travers le tissus. Je sens que je mouille et je suis certaines qu’il ne peut plus l’ignorer même avec le collant. Il me le confirme d’ailleurs : »Dis donc petite bourgeoise, ça m’a l’air tout bien humide là dedans… »

-« Humm, oui, t’arrête pas… »

Il continue à me caresser à travers le tissus. Je n’en peux plus et aussi il faut avouer que le contact du nylon m’irrite un peu. Je lâche sa tête pour venir déchirer des deux mains mon collant au niveau de ma chatte. Aussitôt je sens deux doigts pénétrer mon sexe brulant. Je me cambre pour aller à sa rencontre. Il élargi assez franchement maintenant le trou dans mon collant. Le bruit du nylon qui se déchire m’excite au plus haut point. Tout en continuant à me masturber je sens qu’il essaie de joindre sa langue à ses doigts. Je devine que de l’autre main il défait son pantalon. Enfin je l’espère tout du moins !

A ce stade je pourrais me retourner et me laisser aller à l’embrasser pour le sucer comme j’aime tant le faire d’habitude. Mais je n’en fais rien. Je décide d’être jusqu’au bout la petite bourgeoise salope mais un tantinet passive que j’ai décider d’être pour ma fausse première sodomie. Je me contente de timides gémissements de plaisirs comme si j’avais honte de ce qui m’arrive. J’ondule consciencieusement à chaque va et vient des ses doigts. Pourtant il retire sa main et s’écarte un peu de moi. Qu’ai-je fait de mal ? Je ne sens plus son contact et n’ose pas me retourner.

-« T’inquiète ma jolie. Surtout tu ne bouge pas, il faut que j’enfile vite un truc si tu vois ce que je veux dire… »

Ouf, ça c’est une fort bonne nouvelle ! D’habitude c’est moi qui aborde le sujet mais là, dans mon personnage de bourgeoise timide candidate à sa première sodomie je ne savais pas trop comment placer la demande de préservatif sans rompre le charme.

Mais là, le charme n’est pas du tout rompu. Il revient presque aussitôt pour plonger son sexe dans ma chatte. Quand la queue est longue la levrette est bien ma position favorite. Et, pour une fois, je suis gâtée. Non seulement il l’a longue mais il sait merveilleusement s’en servir en de longs allers retours juste lents comme j’aime. La vache c’est tellement bon que j’en oublierais presque ce pour quoi je lui ai donné rendez vous. Heureusement tout est dans le presque. Entre deux gémissements je parviens à lui dire : »S’il te plait, t’oublie pas l’autre trou hein ? ».

-« Sois pas pressée, jolie poupée, tout vient à point à qui sait attendre ».

Immanquablement « jolie poupée » me fait penser à ce chanteur ringard de mon enfance. Allez, on se -concentre ! Je chasse Bernard Menez de ma tête et je serre les muscles secrets de ma chatte comme je m’entraine à le faire en secret depuis presque un an maintenant. L’effet de surprise est immédiat chez mon partenaire : »Han, mais t’es pas si inexpérimentée que ça ma cochonne ! »

Moi : »Heu, en fait je m’entraine en secret. Mais c’est ma première fois avec un vrai heu…sexe. »

Il continue sa levrette de professionnel mais maintenant en restant plus enfoncé en moi. Ce que je lui fais avec mon vagin semble lui plaise au plus haut point. Je sens une gelée froide sur la raie de mon cul et je devine qu’il a fort à propos pensé au lubrifiant. D’ailleurs, si sa pine est toujours à la même place je sens un doigt dans mon cul qui prépare délicieusement le terrain.

Il prend son temps mais moi je jouis déjà à répétition comme une folle : » Han haaaan, c’est bon, s’il te plait oublie pas mon cul, oublie pas mon cul, je t’en supplie ! »

Mais il fait durer, claque mes fesses, change de doigt. J’ai l’impression qu’il se fout de moi en me mettant au supplice ainsi sans me donner ce que je suis venu chercher.

Quand sa bite pénètre enfin mon anus distendu la douleur inévitable est comme une délivrance pour moi. Je hurle. C’est assez indescriptible. J’ai l’impression que mon corps se réduit à mon anus rempli par son sexe et à mon cul pilonné par ses abdominaux. Il est sur moi, me tire par les cheveux en même temps qu’il me prend violement. J’ai un main dans ma chatte pour me caresser en même temps et l’autre qui s’accroche au bord du martelât. Je hurle dans les aigus à réveiller tout l’hôtel mais je n’en ai rien à foutre, pourvu qu’il continue, lui, à me foutre sauvagement.

Quand il jouit et se retire je ne sens plus mon anus. Par contre j’ai un peu mal aux cheveux qu’il a tiré comme un fou furieux. Je fais semblant de sangloter en espérant être suffisamment bonne actrice lorsque je lui demande de partir et de ne plus jamais me recontacter.

Je ne sais pas s’il a cru à mon histoire mais il s’est vite rhabillé et a docilement quitté la chambre.

Si vous avez aimé lire ce récit de ma fausse première sodomie jusqu’au bout alors vous apprécierez peut être de voir une jolie salope jouir pas le cul rien que pour vous dans ce qui n’est sans doute pas sa première sodomie. Je connais un peu « Olalafox », pour l’avoir interviewvé pour un article à venir. Recherchez la sur PureLive, je ne pense pas que vous soyez déçus. L’inscription est gratuite et, comme je l’écris souvent, au moins en liveshow il n’y a pas l’arnaque des sites de rencontres truffés de faux profils et plein de promesses non tenues. Fêtes vous plaisir, c’est encore un peu noël, achetez quelques jetons même pourquoi pas. Soyez un peu fous !

olalafox n'en est peut être pas à sa première sodomie mais elle est fraiche !
première sodomie cette bourgeoise ?

Ma bouche pour sucer

Touchée par le nombre de commentaires et de likes sur ce que je vous ai écrit sur mon petit cul j’ai décidé de récidiver avec ma bouche qui ne suce pas que des glaçons.

Ainsi donc j’imagine tout ce que je peux faire pour toi avec ma belle bouche à pipe. Enfin, si je peux te tutoyer. Je peux ? super, tu es un amour ! Tout d’abord tu dois savoir que je prends un soin particulier de ma bouche. En premier lieu mes lèvres sont pour toi toujours soulignées d’un rouge brillant qui les rend pulpeuses à souhait. J’ai des seins plutôt bien proportionnés. Ils tiennent tout seuls malgré un bon bonnet C, presque D et si je veux que tu lèves un peu les yeux sur mon visage il faut bien que je prenne soin de l’apparence de cette bouche qui elle aussi sera toute à toi. Derrière mes lèvres il y a deux rangées de petites dents nacrées. j’aime à penser qu’elle font un très joli collier autour de ta bite.

Si tu me sors dans un restaurant chic saches que je saurai me pendre à ton épaule pour déposer, légèrement indécente, un baiser mouillé sur ton cou. J’aime alors presser mes lèvres et les ouvrir légèrement pour passer, ni vue ni connue, le bout de ma langue et gouter ta peau. J’aime suçoter un tas de choses lorsque je suis avec toi en public. Cela peut être, distraitement une branche de mes lunettes pendant que tu me parles. J’aime aussi mordre ma lèvre inférieure pour montrer que j’aime le contact de ton pied sur mon mollet sous la table. Chaque fois que mes lèvres se ferment sur un aliment je prends soin à ce que tu puisse imaginer que bientôt je vais te sucer comme tu l’as rarement été. A cet instant tu ne sais pas encore ce dont je suis capable avec mes lèvres et ma langue mais tu as déjà compris que je suis une fille qui suce. Je te l’ai chuchoté juste assez fort pour que nos voisins de table l’entendent aussi : »J’ai très envie de ne pas prendre de dessert pour pouvoir monter dans la chambre. J’ai trop envie de te sucer ! »

Par dessus la table je peux prendre ta main et porter ton pouce à ma bouche. Je serre bien fort, aspire et tourne ma langue autour du doigt en te regardant droit dans les yeux. Demande vite l’addition que l’on passe aux choses sérieuses ! Cette fois pas d’ascenseur, ma chambre est au ré de Chaussée, du restaurant il n’y a qu’un grand couloir à traverser. Avant de nous retrouver seuls j’aimerais que tu me plaques contre la porte de la chambre pour me rouler un énorme patin. Je veux te dévorer les lèvres, embrasser à pleine bouche tendis que tu passes la main sous ma jupe pour remonter à ma culotte où t’attend ma chatte gonflée de désir. Je continue à embrasser, humide en haut comme en bas. J’aime tes doigts experts qui écartent le tissus pour s’introduire et me fouiller aussi habillement que je tourne ma langue dans ta bouche.

Mais comme du monde arrive dans le couloir et que tu es moins impudique que moi tu ouvre la porte et me pousse à l’intérieur. Tu t’assois sur le canapé de notre grande chambre et me laisse faire. A genoux par terre je déboucle ta ceinture et m’attaque à la fermeture éclair de ton pantalon. Je dégage vite ta queue pour la prendre directement en bouche. J’ai sucer ainsi, toute habillée, concentrée uniquement sur ta queue entre mes lèvres, Je lève les yeux vers toi, reconnaissante et soumise. Je fais ma bonne pute gratuite et, franchement, j’aime ça. J’aime aussi tes encouragements et ta main, ferme mais pas brusque sur ma nuque. Tu me dis que je suis belle, que tu n’attendais que moi, tu me dis que je suis celle, juste faite pour tes bras. Ah non, merde, ça c’est du Patricia Kaas, rien à voir. Bon allez, pardon, je me concentre, je m’applique et je suce. Toi tu m’encourages : »Bien, tu es une bonne petite chienne, continues comme ça, suce bien…Allez, plus profond ma salope, fait bien ta pute. Tu l’aime hein ma queue. »

Ca oui, je l’aime. Mais maintenant je la veux déjà dans ma chatte. Tout en continuant à sucer je défais à tâtons tes lacets et enlève tes chaussures. C’est moins facile que ça en à l’air de faire cela sans lâcher ton sexe turgescent de ma bouche. Je dois bien serrer les lèvres et aspirer. Tu te débarrasses de ta chemise et je baisse ma jupe sans m’arrêter de sucer. Parviendra-t-on à nous mettre nus sans que ta bite ne sorte de ma bouche ? Tu le sauras peut être demain, si je n’ai pas trop la flemme de t’en écrire plus.

si j’ai compris comment ça marche la nana ci dessous est connectée, il suffit de cliquer…

Fellation, ma première vraie fois

fellation
entrainement à la fellation

Sur la photo ce n’est pas moi. Mais ça aurait pu, à cette époque. C’est Reylene sur live18ans !

 

 

Coincée à la maison sans espoir de plan cul à court terme il me reste mes doigts, et l’évocation des jours meilleurs. Ainsi je me souvient de ma première vraie fellation. J’entend par vraie fellation la première fois où j’y ai pris plaisir, où j’y ai mis tout mon cœur, cherchant à faire jouir mon amant avec ma bouche et à lui donner le plus de plaisir possible. Cette fois où je me suis promis de devenir la meilleure suceuse de bite possible. Promesse que la routine du mariage et, avouons le, pour un temps l’amour, m’ont fait oublier quelques années.

J’avais dix neuf ans, presque vingt, c’était l’hivers. Je m’en souviens car mon école de commerce avait organisé une semaine de ski à Superbagnères, près de Luchon. A cette époque je sortais avec Frank, un camarade de promo que je considérais comme un Sex Friend mais qui s’attachait un peu trop à mon goût. Bon, avec le recul je pense qu’il était même complètement amoureux. Il s’était arrangé pour qu’il soit admis dans la promo que nous étions ensemble et nous faisions donc chambre commune pour ce séjour. Cela à sa grande satisfaction. Moi j’étais un peu contrariée mais décidais de faire contre mauvaise fortune bon cœur. Je le laissais me baiser les trois premières nuits. Ce n’était pas désagréable, il semblait redécouvrir mon corps à chaque fois. Frank s’appliquait et fourrait sa langue partout. Dans ma chatte bien sûr mais aussi mes oreilles, entre mes doigts de pieds et jusque sous mes bras. Las, cette débauche de préliminaires labiaux était surtout là pour compenser un sexe de modeste taille et une éjaculation à la limite du précoce. Aussi je faisais de mon mieux pour jouir de sa langue experte en pressant son visage contre mon con, enserrant sa tête entre mes cuisses fermes et longilignes d’étudiante dégingandée. Un après midi pourtant, je le trompais. Enfin, le considérant depuis le début comme un Sex Friend je n’avais pas le sentiment de commettre un adultère. Bref, dans l’auberge où nous étions le cuisinier avait notre âge mais, forcément, était d’un autre milieu social que la plupart des petits cons de mon école. J’ai vite vu que l’afflux de jeunes étudiantes dans l’établissement provoquait un autre afflux au niveau de son entrejambe. Même entr’aperçu au moment des repas, le soir, j’avais l’impression qu’il était bien mieux monté que mon Frank et dans les bras de l’un, je fantasmais sur l’autre.

 

Première vraie fellation

Il fut d’une facilité déconcertante de rester un après midi seule à l’auberge et d’amener le jeune homme dans ma chambre. Il m’embrassait, glissant un main calleuse sous mon pull pour masser mes gros seins. Pas violent mais ferme, me plaquant contre la porte de la chambre à peine celle ci refermée. A travers le pantalon de toile je sentais son machin contre ma cuisse. Je voulais moi aussi le caresser mais il tenait mes poignets en l’air au dessus de ma tête en même temps qu’il dévorait ma bouche. C’est lui qui a défait son pantalon pour en sortir le braquemard. Je ne m’étais pas trompée, joliment monté l’animal. Faible de mon expérience avec Frank je m’attendais à ce qu’il perde contrôle et éjacule à tout instant. Mais surtout, j’avais envie comme jamais d’avaler cette fabuleuse colonne de chair et d’en savourer chaque centimètre, chaque veine pour m’en souvenir à tout jamais le mot fellation prenait dans mon esprit enfin tout son sens. J’enlevais mon pull, j’avais prévu le coup et n’avais rien mis dessous bien sûr. Je m’agenouillais défaisais vite ses lacets enlevais chaussures et chaussettes pour le débarrasser vite de son falzar. Je le voulais nu, au moins de la taille aux doigts de pieds. Enfin je prenais sa grosse queue dans mes mains. Je ne savais trop comment la tenir et étais totalement fascinée. J’avais envie de bien faire, d’exceller. Lui, déboutonnait sa chemise sans hâte pour se mettre complètement nu. Singeant maladroitement les scènes de fellation que j’avais vu sur des vidéos porno, je léchais ses couilles en commençant à le branler.

-« Attend, cocotte, viens, on va se mettre à l’aise. »

Cocotte, on ne m’avait jamais appelée ainsi ! Mais je me laissais entrainer sur le lit. Lui sur le dos, les bras derrière la nuque heureux comme un enfant allongé dans l’herbe, le sexe dressé, mât d’un improbable voilier. Moi à genoux, à côté de lui, posant enfin mes lèvres sur son gland décalotté. J’avais toujours ma jupe, un string blanc, et des socquettes mais cela ne semblait pas le gêner. Je sentais sa main ferme et adroite écarter le string pour enfoncer un doigt fort bienvenu. Comme je l’ai dit, j’avais déjà sucé quelques fois. Mais cela avait été rapide, juste pour la forme. Là je goutais le vrai plaisir d’un sexe gonflé entre mes lèvres pour une vraie fellation. Je gardais les deux mains en prolongement en avançant ma bouche. Plus son sexe progressait dans ma bouche plus je me sentais bien, juste heureuse. Maladroitement sans doute mais avec l’enthousiasme et la bonne volonté d’une débutante j’essayais un peu toutes les façons que je pouvais imaginer de le sucer. Par le coté en le branlant avec ma bouche, le léchant ensuite comme un esquimau. Je marquais le haut de ses cuisses de gros suçons et prenais ses couilles en aspirant délicatement. Je tentais une branlette espagnole avec mes seins mais la position ne semblait pas se prêter à la cravate de notaire et j’étais encore trop débutante ou timide pour lui demander de se relever un peu. J’avais pleinement conscience qu’il fouillait toujours ma chatte trempée sous mon string mais cela m’importait peu, j’avais tellement envie de le garder ainsi en bouche que j’en oubliait mon plaisir et ne me souciais aucunement d’avoir un orgasme. Je ne sais pas combien de temps cette fellation a duré. Avec le recul je pense même que ce n’était finalement pas très long. Mais qu’importe, cet après midi là j’avais l’impression d’être la reine des suceuses. Championne du monde, que dis-je, de l’univers ! Prix Nobel de fellation, au moins !

Trop d’hommes me repoussent quand la fellation dure trop longtemps ils ont peur d’éjaculer et comme il veulent absolument montrer qu’ils peuvent me ramoner la chatte ou m’enculer ils oublient de juste profiter d’une bonne pipe sans se poser de question. Mais, heureusement, ce n’était pas son cas. Il recoiffait mes cheveux sur le côté pour mieux voir mon visage en train d’aspirer sa queue, il me laissait aller au rythme que je voulais tout en accompagnant mon va et vient d’une main ferme juste comme il faut sur ma nuque. Surtout il a déchargé son foutre sans prévenir ! Pressant ma nuque un peu plus fort pour éjaculer dans ma bouche. Le goût, légèrement salé ne m’a pas surprise. J’étais juste aux anges, en paix et si contente et reconnaissante qu’il n’ait pas cherché à me baiser la première fois. J’ai continué à sucer lentement jusqu’à ce qu’il débande complètement. Il gardait un doigt dans ma chatte mais ne le bougeait plus. C’était encore le début d’après midi, je me suis blottie contre lui pour une petite sieste. Quand le chahut des autres rentrant de ski nous a réveillé il s’est vite rhabillé sans que j’ai à le lui demander.

J’ai alors pris mon courage à deux mains pour lui parler : »Dis, est-ce que je peux te demander quelque chose ? »

-« Tu ne veux pas que ton petit ami le sache hein ? t’inquiète ! »

-« Ah, non, ça j’en ai rien à fiche. C’est juste… Je voulais te demander si je peux dormir chez toi jusqu’à la fin de la semaine ? »

Ce fut le meilleur séjour de ski que j’ai jamais vécu, même si j’ai plus progressé en fellation qu’en glisse !

Lisez aussi : conseils fellation, un plan cul avec fellation, un fantasme de fellation

La gifle avant la fessée, rentrée sexy mais hard

La gifle est partie sans prévenir, vous étiez assis derrière votre bureau la minute d’avant, j’écoutais distraite le ronronnement monotone de votre voix de directeur de Lycée.

-« Cela vous apprendra à ne pas m’écouter ! Convenez que vous ne l’avez pas volée cette gifle Mademoiselle Bayeul ! »

J’ai la joue en feu. Autant la fessée m’excite, autant être prise ainsi à la volée est surprenant et douloureux. Je m’attends au pire pour le sale quart d’heure à venir et pourtant je mouille déjà comme une folle.

Pour cette rentrée j’ai sorti mon plus beau costume de lycéenne sexy. Je m’attendais à être mieux traitée même pour un cours très particulier. Ma jupe est de tweed à carreaux. Ma chemise blanche déboutonnée, juste nouée en bas dévoile mes beaux seins (85C) qui débordent presque d’un bustier trop étroit. Mes chaussettes sont montantes jusqu’aux genoux et mes souliers vernis noirs ont d’épais talons qui me font paraitre encore plus grande que je ne suis déjà. J’ai deux belles tresses qui, tout comme moi, ne demandent qu’à être tirées. Une culotte de coton immaculée qu’il ne tient qu’à vous de baisser, ou mieux, d’écarter sur le côté. Cette année vous m’avez convoquée le tout premier jour pour bien mettre les choses au clair. Je vais devoir être bien sage et très gentille avec vous si je ne veux pas tripler ma terminale. Je suis debout, les mains derrière le dos et vous écoute l’air contrit.

-« Qu’est-ce que je viens de dire mademoiselle Bayeul ! »

Hein ?! En fait je n’écoutais pas du tout. Je m’appliquais jute à faire ma mine contrite. Votre blabla sur le travail, la discipline et le comportement exemplaire attendu de moi me passait complètement par dessus la tête.

-« Heu…Vous disiez que je devais apprendre mes leçons ? »

Et c’est là qu’a surgit la gifle. Violente et inattendue, faisant tomber mes fines lunettes de vue sur le parquet usé sous votre bureau.

-« Voilà, exactement ce que je dis, vous n’écoutez rien à ce que l’on vous dit. Je le vois bien à votre regard vide, Mademoiselle Bayeul… »

Je baisse les yeux.

-« Pas de ce petit jeu avec moi mademoiselle ! Regardez moi ! »

Je relève les yeux où perlent de vraie larmes.

-« Pas la peine de me faire vos yeux de Bambi, cela ne prend pas avec moi. Vous avez le regard vide d’une vache ! Et ramassez moi donc vos lunettes grande maladroite ! »

Le temps que je m’agenouille pour chercher à tâtons ma paire de lunette qui a glissé sous votre bureau vous en avez rapidement fait le tour tout en déboutonnant votre pantalon sans fausse pudeur. Lorsque je relève la tête c’est une autre paire que j’ai sous les yeux. Surmontée d’un appendice qui tient plus de la trompe que du nez. Vous commencez tout juste à bander et si la taille est impressionnante la légère courbe et la mollesse que je devine laisse imaginer qu’il reste encore un beau potentiel à votre engin.

-« Tu vois idiote, tu te crois jolie mais tu es encore loin de m’exciter comme tu devrais ! Bon, tu as le regard vide, autant que tu te remplisses un peu la bouche… »

Je remets mes lunettes sur mes yeux rouges. Je retiens mes larmes et ma voix tremble.

-« Non, s’il vous plait. Je promets d’être bonne élève cette année. S’il vous plait non. » Je recule ma tête mais n’ose pas me relever.

-« Hein !? Comment ça non ? Tu t’habilles comme une pute et tu ne veux pas sucer ! »

-« Mais c’est l’uniforme du lycée, c’est vous qui m’avez dit de m’habiller ainsi. »

-« Encore mieux, voilà qu’elle me répond ! On aura tout entendu ! »

Vous me prenez sans ménagement par les cheveux pour me relever et me plaquez sur le bureau.

-« Je peux t’assurer qu’avec ce que tu vas prendre tu vas regretter de ne pas m’avoir sucer tout de suite ! »

C’est maintenant sur mes fesses que pleuvent les gifles. J’essaie, par réflexe de me relever mais votre main ferme entre mes omoplates m’en empêchent.

-« Pour le moment ce n’est que ma main, je te conseille de te tenir tranquille si tu ne veux pas que je change d’instrument. Regarde un peu sous le bureau de là où tu es pour voir ce que je veux dire. »

Et là, je n’ai d’un coup plus du tout envie de jouer. La collection de martinets et autres planches cloutée accrochée sous votre bureau me glace le sang d’un coup. Tétanisée je n’ose plus faire un geste.

-« Je vois que mademoiselle est décidée à être raisonnable. C’est bien, tu es une bonne fille, tu comprends vite. »

Vous avez relevé ma culotte, baissé ma culotte au milieu de mes cuisses et me fessez copieusement. Je me retiens de crier à chaque coup mais me force à ne pas essayer d’échapper à vos coups tant j’ai peur que le jeu auquel j’étais initialement consentante ne vire à un mauvais plan.

-« Tu as lu cinquante nuances de gris ? »

La question, incongrue, me prend complètement de court.

-« Heu…non. »

-« Moi non plus et j’en ai rien à foutre ! Mais en tous cas cinquante c’est bien le nombre de fessées que tu as gagné en refusant de sucer ma bite petite conne ! Et c’est toi qui va les compter. A rebours. Et te retiens pas, je veux t’entendre crier un peu. »

Votre main s’abat à plat sur le haut de mes cuisses, juste sous les fesses.

-« Aie ! cinquante »

-« Plus fort connasse, pas très convaincant ce aie »

La fessée suivante fait plus que frôler me fesses par le côté.

-« Han ! Quarante neuf »

Retour sur la même fesse

-« Han ! Quarante huit »

Soit plus convaincante quand tu gueules sinon je vais être obligé de changer d’ustensile. Si tu vois ce que je veux dire. »

-« Han, non, pitié, han, aah, quarante sept, quarante six, quarante cinq. »

La série suivante vient à plat, sans aucun ménagement. Je continue à crier et à tenir le décompte de ma punition. On a passé la moitié, à vingt je sens votre main remonter entre mes cuisses meurtries jusqu’à ma chatte.

-« Mais c’est que tu mouilles quand même comme une grosse salope ma cochonne ! »

-« Je ne devrais pas mais je suis trop gentil. Allez, fini la fessée, on va s’occuper de te consoler un peu ! »

La pine que je sens entrer en moi comme dans du beure est un réel soulagement. Je me cambre et tend mon sexe vers cette levrette salvatrice. Vous y allez sans ménagement mais après la fessée déculottée que je viens de prendre votre longue queue emplissant mon vagin me fait l’effet d’un grand soulagement. Après les cris de douleur viennent les gémissement de plaisir : »Ouiiiii, hummmmm ! » Et pourtant je pleure encore, peut être de honte et d’humiliation d’avoir tant envie de votre queue malgré ce que vous m’avez fait subir.

En même temps que vous me ramonez en levrette sur le bureau vous enfoncez un pouce dans mon anus qui commence à se distendre. Mes fesses ne sont plus qu’une immense zone de douleur au moment où votre chibre force mon anus je ne me contracte pas pour l’empêcher d’entrer. Je ne m’étais pas trompé, une fois bien dure elle je sens bien qu’elle est de taille. Chaque coup de butoir endolori mes fesses un peu plus. Je pleure toujours mais j’aime en même temps sentir votre vigueur en moi. Ma chatte frotte contre le bois du bureau. Je mets ma main autant pour me protéger que pour me caresser en même temps.

-« C’est mieux, je crois qu’on va bien s’entendre tous les deux cette année. Faudra revenir me voir souvent Mademoiselle Lucie. Hein ? »

-« Oui, monsieur, quand vous voudrez han han, monsieur le directeur ».

-« Bien sûr, quand je veux ! mais je compte aussi sur vous pour me surprendre et que je n’ai pas besoin de vous convoquer pour que vous veniez à mon bureau régulièrement. Très régulièrement ! »

-« Oui, promis, han han d’accord, c’est promis, juré, haaaan ! ».

-« Allez, c’est bon pour cette fois, vous pouvez disposer. »

Vous sortez de mon cul aussi vite que vous y êtes entré, remettez en place ma culotte et ma jupe.

Je me relève du bureau. C’est étrange de vous voir me donner ainsi congé le pantalon toujours baissé, le sexe encore bien au garde à vous. Interloquée je me dirige vers la porte de votre bureau. Je constate, surprise, qu’elle est restée entr’ouverte tout le long de ma convocation.

-« Mademoiselle Bayeul ! »

Aie, je me disais bien…Je me retourne :-« Oui monsieur le directeur ? »

-« Dites donc, vous êtes sure que vous n’oubliez rien ? »

Je reviens sur mes pas, m’agenouille docile et avale votre queue.

-« C’est bien, j’aime mieux ça, regardez moi bien en même temps… »

Je suce avec application, les yeux levés vers vous derrière mes lunettes. Vous êtes adossé au bureau, tenant mes deux tresses dans un poing, l’autre main derrière ma nuque. Je vous suce et vous masturbe en même temps. J’aspire à fond, presse de la langue, je serre les lèvre, mon va et vient n’est ni trop lent ni trop rapide. Lorsque vous écartez ma tête c’est pour éjaculer sur les verres de mes lunettes.

-« Maintenant vous pouvez y aller. Ne touchez à rien, vous nettoierez vos lunettes en dehors de mon bureau. »

Je sais que si je sors les lunette ainsi souillée je risque de croiser des camarades de classe dans le couloir. Mais je n’ose pas désobéir, aussi je sors m’efforçant de garder la tête haute…Du moins jusqu’à la prochaine fois.

Frisson X et plan Q du vendredi

C’est vendredi. Il faut être chez la nounou avant 18h00 et le week-end s’annonce long et dur. Adjectifs qui, pour une fois, ne sont pas synonymes de frisson x pour mon petit cul mais bien d’un profond ennui avec monsieur mon mari.

En finissant vers seize heures trente je peux donner rendez vous à mon plan cul trouvé sur hard Messenger à quelques rues du bureau. Je monte dans ta voiture. Je me suis assurée à l’avance qu’elle est de marque, intérieur cuir. Cela me fait toujours de l’effet. Nous n’avons qu’une petite demi heure mais c’est exactement ce qui me convient pour ce frisson rapide de fin de semaine. A peine as tu démarré que je prends ta main pour la glisser sous ma jupe. L’été fini j’ai remis les collants, mais sans culotte bien sûr ! Tu conduits, concentré sur le trafic de cette fin de vendredi. Je presse ta main sur le nylon et tu sens ma chatte gonflée de désir à travers ce collant qui te fait obstacle. J’aime cela, je serre les cuisses pour emprisonner ta main, mes ongles s’enfoncent sur ton avant bras. Tu bouges les doigts et presses comme tu peux mais mes cuisses sont serrées et le nylon te fait toujours obstacle. Pourtant ma mouille commence à monter et tu peux sentir la chaleur humide autour de ta main, deviner que tes doigts s’humidifient. C’est bon, j’aimerais faire durer mais nous n’avons que peu de temps. Je relève ma jupe, décroise les jambes et déchire moi même l’entrejambes de mes collants. Ta main sera mon gode. Dieu que c’est bon ! Ton doigt s’enfonce, caresse et fouille. Je mords ma lèvre, m’accroche à ton bras.

Je me penche à ton oreille : »Sors vite ta bite, je veux sucer. »

Dans la ligne droite tu calles le volant avec ton genou, défais ta ceinture de la main libre et libère une queue droite et longue. Je me contorsionne pour me pencher en gardant ta main prisonnière de mes cuisses à nouveau serrées. La manœuvre est osée mais le route est droite et le régulateur de vitesse callé à 96. Voilà, là je te prends en bouche. Tu n’imagines pas comme j’aime sucer. Ta colonne de chair qui empli ma bouche est pour moi le plus délicieux des gouters. Je bouge le bassin pour accompagner ta main experte. Depuis quelques mois je m’entraine en cachette à contrôler les muscles de mon vagin. C’est encore balbutiant mais j’arrive à accentuer un peu ou relâcher la pression autour des deux doigts bien enfoncés. Je vais et viens en même temps avec ma bouche. Je suce, j’aspire, je presse mes lèvres, tourne la langue. J’expulse ton chibre un instant pour te parler : »T’arrête pas, branle ma chatte, fais moi jouir, mets y trois doigts, continues ! ». Je suces tes couilles et reprends ta queue à fond en bouche. Tout s’accélère, je te prends en gorge profonde jusqu’à la garde, te recraches, te reprends, de plus en plus vite. Je serre encore les cuisses contre ta main. Je voudrais crier mais ma bouche est pleine. Putain, ça y est, je joui, j’ai reculé ma tête pour crier : « haaaaaannnn ! la vache, la vache, putain, putain encore, c’est bon, tu me fait jouiiir ! ». Je reprends ta queue à pleine bouche juste avant que tu n’éjacules abondamment. Ma bouche est pleine de ta queue encore ferme et de ton foutre qui gonfle mes joues. J’avale et je suce encore. Je presse bien les lèvres et la langue pour recueillir jusqu’à la dernière goute. C’était si bon ! Mais il faut que tu me ramènes, dans 15 minutes je dois être chez la nounou. Le long week-end peut, hélas, commencer. Merci pour ce frisson du vendredi, je peux aller retrouver mon mari.

Mon ebook gratuit !

Je sais que la grande majorité d’entre vous, j’ai même envie de dire d’entre nous car je fais pareil, ne sortira jamais sa carte de crédit ni son téléphone portable pour acheter un ebook pornographique aussi bandant fut-il. Bien sûr vous êtes quelques dizaines par mois à me faire l’honneur d’envoyer ce SMS surtaxé qui vous ouvre le Sésame vers mon bouquin. Mais j’aimerais être plus lue et connue car je suis égocentrique et vénale en plus d’assumer d’être une grosse cochonne de MILF infidèle !

Je viens donc d’avoir une idée pour satisfaire ceux qui ont envie de mon ebook mais sont contre le principe de payer pour.

Tout d’abord mémorisez ce dicton qui vous sera forcément utile : « Quand c’est gratuit c’est toi le produit… »

Poursuivez cette lecture uniquement si vous êtes prêt à un peu de travail en échange de mon ebook. Sinon cliquez ailleurs pour lire un autre article plus bandant car vous allez vous faire un peu chier ici !

Les cinq premières pages de l’ebook sont gratuites téléchargeables ici.

Pour recevoir les 30 premières pages de mon e_book gratuitement en pdf par e_mail il suffit d’accepter de me faire un peu de publicité. Pour cela vous devez vous inscrire sur 2 forums de discussion et laisser un commentaire (pertinent) avec le lien vers un de mes articles. Puis de m’envoyer par mail (ou en commentaire dans le blog) les 2 liens vers vos commentaires (une fois que le modérateur les aura accepté).

Quelques forums où il est facile d’avoir des commentaires avec liens acceptés :

  • Doctissimo. Chercher une discussion récente qui traite de fellation ,de sodomie ou de rencontres et postez un commentaire du genre : Même si je suis d’accord avec cet article en particulier sur le point du consentement mutuel j’aimerais plus de conseils pratiques sur la façon de s’y prendre. J’ai lu un article un peu olé olé sur le sujet sur un blog : http://www.planculvoyage.fr/2015/08/07/5-conseil-sodomie/

ATTENTION, C’EST JUSTE UN EXEMPLE, NE PAS COPIER COLLER, TROUVEZ DES MOTS A VOUS (Sinon je ne validerai pas…C’est trop facile !)

  • Melty Campus – Assez facile d’avoir des commentaires acceptés.

 

  • Le Monde (pour les abonnés)
  • Le Figaro
  • L’express

Vous pouvez par exemple commenter des articles récents traitant de l’arnaque Ashley Madison en mettant un lien vers mon article sur les faux profils http://www.planculvoyage.fr/2015/03/05/faux-profils/

 

  • N’importe quel autre qui vous semble intéressant !

Ca c’est pour les 30 premières pages. Pour les 70 suivantes je les offrirai volontiers aux plus prolixes d’entre vous. Ou je trouverai une autre idée en fonction du succès de cette opération.

 

Bon, allez, parce que vous m’avez lue jusqu’au bout je vous livre le début de ma prochaine aventure :

C’est la rentrée, je ressors mon costume de lycéenne sexy pour prendre un cours très particulier. Ma jupe est de tweed à carreaux et ma chemise blanche déboutonnée, juste nouée en bas dévoile mes beaux seins tenu par un bustier minuscule. Mes chaussettes sont montantes jusqu’aux genoux et mes souliers vernis noirs ont d’épais talons qui me font paraître encore plus grande que je ne suis déjà. J’ai deux belles tresses qui, tout comme moi, ne demandent qu’à être tirées. Une culotte de coton immaculée qu’il ne tient qu’à vous de baisser. Cette année vous m’avez convoquée le tout premier jour pour bien mettre les choses au clair. Je vais devoir être bien sage et très gentille avec vous si je ne veux pas tripler ma terminale. Je suis debout, les mains derrière le dos et vous écoute l’air contrit.

-« Qu’est-ce que je viens de dire mademoiselle Bayeul ! »

La gifle est venue sans prévenir, vous étiez assis derrière votre bureau la minute d’avant, j’écoutais distraite le ronronnement monotone de votre voix de directeur de Lycée.

-« Cela vous apprendra à ne pas m’écouter ! tendez l’autre joue pour une seconde gifle Mademoiselle Bayeul ! »

J’ai la joue en feu et sans doute rouge. Autant la fessée m’excite, autant être prise ainsi à la volée est surprenant et douloureux. Je m’attends au pire pour le sale quart d’heure à venir et pourtant je mouille déjà comme une folle.

 

 

Taille du sexe, est-ce que ça compte pour moi ?

 

Mon compte twitter c’est ici ==> Lucie sur Twitter

Avant de parler taille du sexe : Mon compte Facebook est encore bloqué ! Je ne comprends pas que DominiqueTamère, Tagrosse Cochonne et Lucien le Coquin ne soient jamais repérés alors que moi avec mon pseudo passe partout je suis identifiée comme fausse identité par Facebook !

Mais revenons à nos moutons.

Alors voilà, la question peut paraître un peu conne mais elle m’est souvent posée. Je pourrais m’en moquer, railler ceux qui m’envoient une photo de leur grand pénis légendée photo de ma belle teub pour le cas où je n’aurais pas identifié cette partie de leur anatomie. Il serait bien facile de plaisanter à leur dépend et, j’avoue qu’il m’arrive de le faire ! Mais au final cette question de la taille du sexe est une vraie question et si elle est souvent posée c’est bien qu’il y a une réponse intéressante (enfin j’espère) à y apporter.

Tout d’abord on va arrêter de faire des chichi panpan et éviter les réponses politiquement correctes lues et relues du genre : »Mais bien sûr que non, la taille du sexe n’a pas d’importance pour la femme. Ce qui compte c’est le comportement de l’amant, son attention apportée au plaisir de sa partenaire et gnagnagna et gnagnagna. » Je ne vis pas au pays magique des Bisounours et vous non plus j’imagine.

La taille du sexe compte pour moi !

Bien sûr que oui, la taille du sexe cela compte ! Demandez à un type qui aime les gros seins s’il préfère Jane Birkin ou Samantha Fox ! Désolée pour ces références un peu ringardes, les plus jeunes n’ont qu’à chercher sur google pour voir de qui je parle.

Donc oui, en tous cas pour moi, la taille du sexe c’est quelque chose que je regarde avec intérêt et grande attention. La taille du sexe compte pour moi mais, paradoxalement, pas au sens que vous pourriez croire. Pour être plus précise je dirais que je peux avoir autant de plaisir à me faire ravager la chatte par un étalon bien membré et performant qu’à faire ma chienne pour faire jouir un gras du bide, à petit pénis bande mou. Pour peu qu’il soit jovial et bon vivant je dirais même que je préfère passer une soirée avec ce profil qu’avec un grand musclé à deux neurones. Mais alors me direz vous c’est donc que cela n’a pas d’importance pour elle, on n’y comprends plus rien, elle nous embrouille. Bin en fait non, je tiens juste compte de la taille du sexe de mon partenaire et de sa vigueur pour adapter mon fantasme et le délire de mon plan cul. Je ne vais pas vous le cacher, j’aime me faire défoncer par une grande bite bien dure comme une bonne grosse salope. Pas de problème, je n’en conçois nulle honte. Mais je dis que cela peut être encore plus excitant de me retrouver soumise à un homme qui n’a pas cet avantage et se montre plus commun dans la taille et même dans la dureté de son pénis. Prendre le temps de sucer une bite un peu molle dans l’espoir de la faire durcir est largement aussi gratifiant que de voir bondir un pénis au garde à vous d’un caleçon que l’on n’a même pas encore baissé. Souvent un homme moins bien membré ou peu endurant va développer des trésors d’ingéniosité pour faire durer le plaisir. Les meilleurs baiseurs ne sont pas forcément les meilleurs fesseurs. Une fois j’ai été magistralement fessée par un homme très moyen par ailleurs. J’en garde un souvenir ému quoique fort douloureux. N’allez pas cependant croire que je ne vénère que les extrêmes. Tout est bon dans le cochon ! Il est cependant vrai que ce qui m’attire c’est plutôt les hommes originaux ou qui correspondent à mon fantasme du moment. Je pense aimer la bite autant que vous aimez un petit cul (ou un gros). J’accorde de l’intérêt à la taille du sexe mais sans avoir de préférence établie…Je m’adapte !

Cela étant écrit sachez quand même qu’il existe des programmes d’élargissement de pénis. J’ai d’abord cru à une grossière arnaque. Et au final je dois confirmer que c’est une grosse arnaque !! J’en ai discuté avec un ami médecin qui m’a confirmé l’exagération mensongère de ce type de programmes. 6 centimètres en 4 semaines c’est juste du grand n’importe quoi ! Il existe bien des façons mécaniques via ce type de programme d’allonger son pénis mais le gain à en attendre est plutôt de l’ordre de 2 centimètres grand maximum me confirme mon ami médecin. Le jeu en vaut-il la chandelle (si je puis m’exprimer ainsi ) ? Je n’en sais rien et vous êtes assez grands pour en décider par vous même. Je mets le lien quand même ici, au moins vous rigolerez bien en lisant ce qu’ils promettent.

En tous cas je suis avide de vos commentaires sur la taille du sexe et son importance, que vous soyez propriétaire du sexe en question ou juste utilisatrice !

Yahtzee sexy pour la conversation amoureuse

laissons nou guider par le hasard
laissons nous guider par le hasard

 

Une des choses qui me rend complètement dingue au lit, sur le carrelage de la salle de bain ou la table de la cuisine c’est quand le mec me balance des mots très crus. Mais voilà, j’ai pu constater, à ma grande déception, que la plupart des hommes sont timides ou sans grande imagination lorsqu’il s’agit de m’humilier autrement qu’avec leur bite. Alors, à toutes fins utiles, j’ai décidé de créer une petite boite à outils pour renouveler et varier un peu les répliques que vous pouvez utiliser lorsque vous êtes avec moi. Ou avec toute autre grosse cochonne lubrique ou simplement femme ce qui est souvent un peu pareil passé un certain niveau d’intimité.

Les ingrédients qui nous font (presque) toutes craquer

En général je trouve qu’il faut que ce soit bien cru. Un langage un peu ordurier me plait. Peut être parce qu’inconsciemment j’associe cela à une des premières transgressions de l’enfance. Dire des gros mots est un des premiers interdits que l’on apprend à transgresser lorsque l’on est enfant. Au risque de faire de la psychologie de comptoir je pense que c’est quand même bien là que des choses de notre identité sexuelle se construisent.

Ensuite il faut, si possible, que cela soit légèrement, voire carrément humiliant. Pour moi s’il y a un moment ou un mec doit s’assumer en tant que mâle c’est bien quand il me baise !

Enfin, je craque quand c’est imagé, original, jamais entendu ailleurs. Que j’ai l’impression de me retrouver dans un porno dont les dialogues ont été écrits par Michel Audiar et je suis prête à me déchainer pour vous ! C’est peut être difficile, mais ça vaut vraiment le coup de faire un effort !

Notez que je suis consciente que ce n’est pas toujours simple. Dans le feu de l’action, certains d’entre vous peuvent avoir tendance à manquer d’à propos. Moi même il m’arrive d’être « sèche » bien que trempée par ailleurs !

J’ai donc eu l’idée d’un petit outil simple d’emplois pour vous aider à préparer quelques répliques qui peuvent s’avérer utiles.

Le Yahtzee sexy de la conversation amoureuse

C’est un Yahtzee amélioré puisqu’il se joue avec sept dés à six faces. Vous pouvez utiliser le tableau suivant pour générer 279936 combinaisons différentes qui fonctionnent assez bien.

Adjectif Nom Adjectif Verbe Adjectif Anatomie Adjectif
1 petite Chienne Bourgeoise Ramoner P’tit Cul Serré
2 grosse Cochonne Soumise Baiser Gros Chatte Mouillé
3 jolie Salope Vilaine Défoncer Joli Bouche Humide
4 belle Pute Gratuite Fourrer Belle Seins Profond
5 Grande Femelle Lubrique Niquer Sale Anus en feu
6 Bonne Truie chaudasse Bouffer Mignon petit Fesses Offert

 

Par exemple au yahtzee sexy 1,3,2,3,3,2,5 peut donner quelque chose du genre :

Toi, ma petite salope soumise, je vais te défoncer ta jolie chatte en feu !

Bien sûr vous pouvez aussi jouer une peu sur l’ordre 1,1,1,1,1,1,1 peut aussi donner

Je vais te ramoner ton p’tit cul serré de petite chienne bourgeoise.

Attention, il ne s’agit que d’une aide. Il ne faut bien évidemment pas hésiter à enrichir un peu vos propos.

J’utilise moi aussi ce yahtzee pour préparer ce que je chuchote à l’oreille de celui qui m’invite au restaurant quand je suis en déplacement. 4,3,5,1,6,1,4 peut ainsi donner dans ma bouche : « Pour le dessert je vais faire ma belle salope lubrique pour que tu viennes me ramoner bien profond mon mignon petit cul. »

Faites des essais, écrivez moi en commentaire ce que vous avez obtenu. N’hésitez pas à sortir des sentiers battus.

Le mieux restant bien sûr de pouvoir joindre le geste la parole ! Sur infidèle messenger vous devriez trouver quelques candidates sur lesquelles vous essayer à ce petit jeu de yahtzee.

Ou, si vous êtes un peu bizarre vous pouvez jouer le troll sur un site de sexcam avec ces filles qui, pour certaines, ont du répondant : PureLive.

étudiante salope, mes petits jeux pervers

Ce que je m’apprête à écrire ici sur mon passé d’étudiante salope, je ne l’ai encore raconté à personne. Pas même à ma meilleure amie et confidente qui sait l’existence de mon blog et partage ma passion pour les plans cul adultères. Certains, peut être, qui appréciaient ma franchise et ma sincérité seront déçus en lisant ces lignes. J’en prends le risque, le besoin d’écrire étant trop fort en ces vacances d’été où je tourne en rond comme une lionne en cage sous la surveillance de mon mari en longs congés d’été.

étudiante salope petit jeu pervers n°1

Lorsque j’étais étudiante, donc, je n’étais pas ce que l’on pourrait appeler une étudiante salope qui multipliait les plans culs. Il faut dire qu’il y a dix ans les sites de rencontre n’étaient pas ce qu’ils sont aujourd’hui. Mais je me souviens que j’avais de petits jeux légèrement pervers qui me permettent aujourd’hui de dire que, oui, j’ai été une grande étudiante salope. Grande et longiligne je crois pouvoir dire, sans vantardise, que j’étais parmi le filles les plus désirées du campus. Pendant les premières années après le bac je ne m’habillais pourtant pas de manière outrageusement sexy. J’évitais les jupes trop courtes et leur préférais des robes légères à imprimé fleuri. Elles me tombaient toujours bien près du corps. Je m’arrangeais dès le printemps pour que les mecs aient tous envie de me prendre par la taille. Je boudais les strings que je trouvais vulgaires et remplaçais par des culotes blanches à motifs ou à dentelles que l’on pouvait facilement deviner à travers l’étoffe toujours légère mais jamais trop transparente. Je me maquillais peu mais mettais en valeur mes seins déjà pleins d’une envie de vivre que je faisais mine de dissimuler derrière une attitude sage et studieuse. Certains profs me couvaient d’un regard qui n’était pas que bienveillant. Je m’arrangeais pour être souvent la dernière à sortir du cour. Et parfois je m’amusais à rester pour poser une dernière question ou demander une aide dont je n’avais en rien besoin. Je n’ai jamais eu envie de coucher avec aucun de ces universitaires que je considérais comme des loosers fauchés. En bonne étudiante salope égoïste, insouciante et avec la conscience politique d’une huitre blonde la seule chose qui m’amusait dans ce petit jeu était de les allumer. Je prenais un malin plaisir à jouer ainsi au chat et à la souris avec ces hommes plus âgés que moi mais qui me semblaient au combien plus faibles. Le soir, dans ma chambre de Rangueil, je me caressais longuement en pensant qu’ils se branlaient peut-être, surement même, au souvenir de ma main sur leur bras pour les remercier de leur patience et de leur aide « si précieuse ». A me voir ainsi étendue sur le petit lit de ma chambre d’étudiante à me mordre la lèvre, la main allant et venant dans ma culote, on aurait pu croire que je rêvais d’un merveilleux amant en midinette innocente. En réalité je n’étais qu’une étudiante salope qui se délectait d’avoir allumé de pauvres types. Je serrais les cuisses fort pour emprisonner ma main tout en continuant à fouiller ma chatte jusqu’à l’orgasme.