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Gleeden, l’adultère et les catho

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La guerre des associations catholiques contre Gleeden m’a permis de me souvenir de ma toute première expérience de l’adultère. Je n’écris pas cela pour défendre l’équipe de Gleeden qui, au passage, doit être bien heureuse du coup de projecteur ainsi mis sur eux gratuitement ! Mais parce que cela me fait comme une bouffée de nostalgie. L’histoire que je m’apprête à vous narrer date de bien dix ans. Il y a prescription mais je garde quand même les lieux et noms secrets…

J’avais donc dix neuf ans à peine et mes parents habitaient un de ses petits villages de montagne encore pourvu d’une église qui donne une messe dominicale. Je partageais ma vie entre ma première année de Fac de droit en semaine(un désastre monumental) et la maison familiale les week-ends. Je connaissais Marc de Morin (prénom et particule sont réels, pas le nom bien sûr !) depuis mes quinze ans et mes premières séances de baby sitting chez eux. Ils avaient débarqué, à la fin du millénaire précédant, jeune couple avec leur fils unique au village et se trouvaient en 2005 à la tête d’une ribambelle de cinq enfants s’étageant de 9 ans à 3 mois et demi. De vrais catholiques opposés à la contraception très impliqués dans la vie paroissiale. On les aurait cru tout droit débarqués de la Vendée du Sieur De Villier.

Marc avait mis des années à se déclarer et, avec le recul, je ne peux pas lui en vouloir tant je sais que je pouvais m’habiller de manière provocante malgré ma candeur adolescente. En tous cas il a eu la décence d’attendre ma majorité. Même si dès mes dix sept ans je voyais bien que ses bises d’au revoir se faisaient de plus en plus appuyées et que sa main, avait discrètement migré de mon épaule à ma hanche. Cela ne me gênait pas car je le trouvais très beau sous ses allures un peu austères. C’est d’ailleurs moi qui fit le pas du premier baiser dans le Land Rover sept places avec lequel il me ramenait un soir d’hivers 2004 chez mes parents. Je ne sais pas s’il en a été surpris mais en tous cas il n’a décollé sa bouche de la mienne que quand la lumière de l’entrée de la maison de mes parent s’est allumée !

Ce petit jeu a bien duré deux mois. Chaque vendredi soir il me raccompagnait en 4×4 et nous nous embrassions langoureusement arrivés devant chez mes parents. A la trois ou quatrième fois il a commencé à mettre sa main sur ma cuisse pendant tout le trajet du retour. Bien sûr à dix neuf ans je n’étais plus une perdrix de l’année mais j’étais quand même encore assez timide. En tous cas bien plus que maintenant ! Je le laissais passivement faire alors que je trempais littéralement ma culotte. J’ai vite troqué mon éternel Lévis 501 contre une jupe et lui est passé de ma cuisse à ma chatte. La première fois il m’a uniquement caressée à travers le tissus et déjà j’en ai presque joui tellement j’étais excitée. Ensuite il faisait le petit kilomètre qui séparait leur chalet de notre maison en roulant quasiment au pas avec un ou deux doigts dans mon minou tout trempé. Moi je tenais son avant bras avec mes deux mains en y enfonçant mes ongles tellement c’était bon. Je me mordais la lèvre inférieure presque au sang en retenant mes gémissements.

Jusqu’à ce stade on ne peut pas vraiment dire que « techniquement » il y avait adultère de sa part. Les choses sont devenues plus sérieuses quand sa femme a réussi à se décoller un peu de leur cinquième enfant et à vouloir retourner à l’office du dimanche matin. En difficultés financière ou peut être un peu radins, je ne l’ai jamais vraiment su, ils ne voulaient plus payer de baby sitting et Marc devait donc rester à la maison garder le nourrisson pendant que Constance allait donc à la messe avec les quatre plus grands…Et moi, je débarquais en catimini chez eux dès que je les voyais tourner le virage au bout du chemin qui menait à leur chalet. La première fois il a passé tout le temps que nous avions disponible (presque deux heures) le visage entre mes cuisses à me bouffer de toutes les manières possibles et imaginables. J’étais d’abord debout, adossé à leur porte d’entrée et il est tombé à genoux et a engouffré sa tête sous ma jupe. C’était la première fois qu’un homme me faisait cela et j’en vais les jambes qui tremblaient de plaisir. Je me retrouvais vite allongée à même le parquet sans qu’il ne cesse de me fouiller avec sa langue, un doigt enfoncé dans mon anus et le pouce accompagnant sa langue démoniaque. J’en criais de plaisir sans retenue sachant la maison isolée et vide (si l’on excepte leur nourrisson qui ne présentait pas un grand danger). Il avait réglé la sonnerie d’un vieux réveil en fer un bon quart d’heure avant le retour prévu de sa femme et cela sonnait pour lui la fin immédiate de nos ébats. Je devais partir suffisamment à l’avance pour être sûre de ne pas croiser Madame et les moufflets sur le chemin du retour.

Le dimanche suivant j’arrivais un peu mieux préparée et en glissant à terre je m’arrangeais pour être en position de le sucer moi aussi. C’était mon premier soixante neuf et seulement le deuxième mec que je suçais. Mais il me rendait tellement dingue avec sa langue et ses doigts que je me souviens que j’y allais goulûment dans une sorte de transe quasi frénétique. Il a joui sur mon visage heureusement un peu avant la sonnerie fatidique ce qui m’a laissé le temps de me débarbouiller à l’évier de leur cuisine ouverte sur le salon.

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

Le troisième dimanche il me payait pour garder leur petit dernier et allait en famille à la messe. Il n’y eu vite plus que quelques baisers volés sur la route du retour. Un jour il m’a annoncé, penaud, qu’ils prenaient la fille d’un voisin comme nouvelle Baby-sitter car elle était disponible en semaine et encore au lycée. Je ne cherchais pas à savoir si elle allait vivre la même expérience que moi et passais vite à autre chose. Après tout je venais d’entrer à la Fac et j’avais dix neuf ans.

Alors aujourd’hui quand je vois l’histoire entre Gleeden et les Catho je rigole doucement en me disant que de nombreux « bons pères bons époux » n’ont pas attendu Gleeden pour goûte aux joies de l’extra conjugalité.

Un vrai livre. Ne vous fiez pas à la couverture un peu ringarde !
L’ancêtre de Gleeden

Si vous aimez les descriptions de premières fois vous pouvez lire aussi dépucelage anal au château

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

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