Fantasme féminin 2019 à réaliser

Fantasme féminin pour 2019

Une liste de mes fantasmes féminins pour 2019 que je compte bien réaliser dans les 12 mois qui viennent. Voilà l’idée qui m’est venue aujourd’hui plutôt que de faire une nouvelle liste de bonnes résolutions que je ne tiendrai sûrement pas.

saurez vous me reconnaître sur ce site ? Petit indice mon pseudo est une contrepèterie coquine

Fantasme féminin numéro 1

Un plan cul SM dans lequel, pour une fois, c’est moi qui domine. Tenir un homme en laisse et lui faire lécher les gros seins. Lui faire le bouffer la chatte jusqu’à l’étouffement. L’attacher sur le lit et m’empaller le cul sur sa queue.

Fantasme féminin numéro 2

Un plan cul avec un jeune et beau puceau tout juste entré dans l’âge adulte. Si possible un catho un peu coincé dragué à l’église ou dans une manif contre la procréation assistée (il y en aura forcément une dans l’année). Je lui ferai découvrir les joies de la fellation. Si éjaculation précosse ce n’est pas grave, j’avalerai et donnerai la petite pilulle magique pour qu’il rebande vite.

Fantasme féminin numéro 3

Rendez vous dans un bar de province après la fermeture. Le mec me coince contre un vieux flipper et me viole. Je suis habillée comme une petite salope de province du genre fille fan de tunning. Mini jupe et crop top. Je résiste juste assez pour l’exciter. Il commence par devant, je le frappe mais sans force, comme une gamine impuissante. Il me retourne et me défonce le cul.

Fantasme féminin numéro 4

Chasse à la biche dans la forêt. Je suis lâchée dans la forêt avec d’autres filles qui partagent mon fantasme. On est en 👠 et en sous vêtements sexy. Genre body en dentelle de salope amuseuse. Des mecs. Nous pourchassent pour nous attraper et nous baiser.

Fantasme féminin numéro 5

Avec une autre femme. Elle met un gode ceinture pour me sodomiser. Son mari est là aussi. Je dois le sucer pendant que sa femme me prend par le cul. On inverse les rôles je dois faire un cunilingus à sa femme pendant qu’il m’encule.

voila, si je réalise deux ou trois de ces cinq fantasmes féminins dans l’année je m’estimerai heureuse !

Et vous c’est quoi vos fantasmes pour 2019 ? Écrivez les moi en commentaire s’il vous plait !

Convaincre sa copine d’accepter un plan à trois

Lui faire accepter un plan à 3

Convaincre sa copine d’accepter un plan à trois vous semble impossible, j’en suis presque sûre ! Pourtant un plan à trois ça peut être juste magique. Alors voilà quelques trucs et astuces qui vous aideront, je l’espère à convaincre votre copine d’accepter un plan à trois…qui sait avec sa meilleure amie sur laquelle vous flashez.

La liste de mes autres articles est dispo ici.

Conseil numéro 1 : Ne pas brûler les étapes

J’en suis consciente, le plan à trois avec sa femme ou sa copine c’est un peu le graal de pas mal de mecs. Pour l’espérer il faut quand même déjà que votre nana ne soit pas trop coincée. Si votre nana est trop coincée je vous conseille de lire d’abord : comment transformer sa femme en salope lubrique

Le sexe, si on le pratique avec une certaine fréquence, c’est exactement comme la course à pied. On se met à toujours vouloir aller plus loin. Donc sachez que si vous parvenez à entraîner votre femme (ou votre copine) dans la spirale du sexe alors naturellement elle voudra essayer de nouvelles expérience sur sexuelles et forcément le plan à trois deviendra une option non seulement acceptée mais désirée !

Faire accepter un plan à 3 à sa femme second conseil

Voilà, vous êtes parvenu à convaincre votre copine d’accepter un plan à 3. Idéalement elle a une amie qui sera ravie de faire la troisième. Mais si vous ne vivez pas dans un monde idéal il reste à trouver la troisième. Pour cela vous pouvez lire : comment trouver une salope sur internet. Vous y trouverez quelques trucs et astuces.

Il est aussi possible que vous tombiez d’accord vous et votre femme sur une troisième qui serait idéale pour le plan à trois que vous envisagez. Si vous cherchez une troisième qui ne fait pas partie de votre cercle d’amis ou de vos connaissances alors un petit tour sur un site de rencontre du genre copinedesexe devrait bien fonctionner. Attention, ce type de site est pas mal trollé par des prostituées occasionnelles (appelons une chatte un chatte). Mais cela ne signifie pas qu’il s’agisse d’une mauvaise option !

Convaincre la troisième pour un plan à trois

Il y a ici deux écoles. L’école de celles et ceux qui pensent qu’il faut en parler en amont. Et celle de eux qui pensent qu’il ne faut rien dire et laisser les choses arriver. Perso je n’ai jamais, hélas, eu la chance de tester la seconde option. Mais je ne désespère pas et c’est un de mes grands fantasmes : un plan à trois improvisé qui n’était pas prévu avec une jolie jeunette que nous dévergonderions ensemble alors qu’elle n’avait pas prévu cela.

Si vous en parlez avant le mieux est sans doute que ce soit votre opine ou votre femme qui aborde le sujet avec son amie. Entre filles on se dit vraiment beaucoup de choses et très franchement l’évocation de nos fantasmes sexuels n’est pas un sujet tabou. Elle trouvera forcément les mots pour proposer ce plan à trois.

Petite astuce que m’a donnée une amie de Carcassonne : si vous n’osez pas en parler vous pouvez utiliser la duperie du SMS avec erreur de destinataire. Votre femme vous écrit un message du type : »tu la trouves comment ma copine Nadine ? » vous répondez « Elle est très attirante, si je vous avais toutes les deux dans le lit je ne suis pas certain que je ne gouterais pas vos deux chattes… » ou un truc dans le genre. Mais « malencontreusement » vous répondez avec la copine en question en copie. Puis votre femme écrit à son amie que vous êtes un gros con et que vous ne savez pas vous servir d’un téléphone portable.

Perso je trouve le plan un peu tiré par les cheveux mais ça a  très bien marché pour mon amie !

Rendez-vous coquin à Roubaix

Rendez-vous après demain samedi 29 décembre 2018 à Roubaix. J’aurai trois grandes heures libres pendant lesquelles je peux échapper à ma belle famille. J’ai pris en secret un charmant Airbnb et j’ai envie de laisser, pour une fois, faire le hasard. Je serai donc seule à une table de la grande Brasserie de l’imperatrice Eugénie. Il faudra me reconnaître mais des grandes brunes sexy seules un samedi à 14h ça ne doit pas courir les rues à Roubaix fin décembre. Puis il faudra oser m’aborder, être le premier et aussi me plaire. Mais n’ayez pas trop de crainte, c’est davantage votre audace que votre physique qui m’intéresse pour notre rendez-vous impromptu.

Notre premier rendez-vous comme je l’imagine

Nous profiterons de ce moment délicat de la première rencontre. Sans doute que les tables proches écouteront, comme nous le faisons toutes et tous souvent, notre conversation. Ils devinerons vite qu’il s’agit d’un premier rendez-vous. Certains se demanderont sur quel site nous nous sommes trouvés. Sommes nous un rendez-vous Tinder, Ashley Madison, Meetic, CinqaSept ? Pourtant, cette fois, rien de tout cela dans notre rendez-vous. Juste le hasard de ce jours où vous êtes tombé sur mon blog et avez découvert que je passais par chez vous. C’est ainsi que je vais trouver mes nouveaux plan cul en 2019. Enfin si les premiers essais donnent de bon rendez-vous !

Soucieux de rester performant vous commanderez peut être une San Pelegrino. Je prendrai un Bloody Mary pour la couleur et le nom que je trouve terriblement sexy. Le serveur sera étonné peut-être ne connaitra-t-il pas la recette. Je demanderai du sel de céleris et une touillette pour mélanger mais surtout pour la porter à la bouche de façon très suggestive. Je vous ferai du pied sous la table au vu et au su de tous. Et vous jouirez de la jalousie des autres hommes qui n’auront pas osé m’aborder.

Pour vous j’aurai mis mes plus beaux dessous et un plug anal. Je mise beaucoup d’espoir sur ce nouveau type de rendez-vous que je veux essayer pour clore 2018 et qui sera, qui sait, mon nouveau mode opératoire de recherche de plan cul en 2019. Alors à demain ?

en attendant mes autres articles sont ici

Le culte du corps de parfaite salope

Un corps parfait ça compte !

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Les vacances d’été sont pour mon corps et moi un moment de grande introspection. Scotchée à mon enfant avec un mari jamais bien loin mon corps n’a que très peu de liberté. Je tourne comme une lionne en cage, le corps prisonnier et l’esprit qui peine à s’évader. Seules des heures de natation, footing et autres séances de Yoga Pilate, Zumba, Bidule fessier training m’aident un peu à me vider l’esprit et à oublier (enfin pas tout à fait) que j’ai une furieuse envie de me faire baiser par un, si possible, bel inconnu. Croyez moi, être une femme adultère qui, faute de l’assumer publiquement, accepte sa nymphomanie n’est pas de tout repos. Tout comme les samouraïs qui cherchaient la perfection dans l’art de la guerre et sur combat au sabre, toute mon attention est en secret portée sur l’art de devenir une parfaite salope, experte en baise dotée d’un corps désirable au delà du raisonnable. La plupart de femmes qui deviennent droguées au sport commencent par embellir puis, la passion du sport prenant le dessus sur l’objectif esthétique initial, elles deviennent laides avec des muscles qui font peur ou une maigreur de squelette ambulant. Obsédées par leur corps elles oublient qu’il faut aussi plaire et ne savent plus s’habiller ni se maquiller. Leur conversation tourne en rond sur l’activité sportive qu’elles se sont choisies. Et elle en oublient d’être sexy dans leur propos et dans leur attitude. En vraie nymphomane je fonctionne différemment. Chaque atome de mon corps, chaque neurone de mon esprit, est tendu vers un seul objectif : plaire, donner envie aux hommes de me sauter, satisfaire mes amants et les rendre accro au delà du raisonnable. Comme en plus je suis mariée cela s’accompagne d’une véritable schizophrénie. En présence de mon entourage familial, social ou professionnel je fais tout pour paraitre belle mais pas aguicheuse et sociable mais légèrement fade dans mes conversations. Dès que je suis loin, en déplacement professionnel dans une ville inconnue, je me mets en chasse et me transforme en véritable salope capable de faire tomber le mari le plus fidèle ou de satisfaire l’homme le plus exigeant. Je sélectionne mes activités sportive mais aussi ma façon de m’alimenter pour obtenir un corps de vraie salope le plus désirable possible. Certains diront que c’est une attitude vaine car tous les goûts sont dans la nature et on ne peut pas plaire à tout le monde etc… Mouai, je ne suis pas trop d’accord. Un beau cul de salope genre Bubble butt de brésilienne je sais que ça excite 99% des mecs. Des seins fermes dans lesquels vous pouvez vous branler façon cravate de notaire ne me dite pas que cela ne vous excite pas ! Une taille mince et un corps souple d’adolescente aussi sont des valeur sure de séductrice. Le bras ni trop potelé ni trop maigre, le cou juste comme il faut pour accueillir vos baisers baveux. Tout cela, croyez moi, est bien plus une question d’auto-modelage que d’un don de mère nature. Voilà, certaines sont fan de cuisine, d’autre de déco. Pour d’autres c’est le bodybuilding ou les arts martiaux. Moi c’est devenir la femme la plus désirable possible, être le meilleur coup du monde, baiser comme une vraie salope et rendre fou chaque homme que je décide de prendre comme plan cul d’un soir.

Si vous avez envie de me faire plaisir, à défaut de me faire jouir, laissez un commentaire sur le blog. Même court, même si c’est juste pour dire : « je te baiserais bien un de ces quatre »

Les commentaires me font toujours plaisir ! Et je réponds souvent…

Bouche à pipe et bouffeuse de queues

La bouche à pipe, ça ne trompe pas !

Sucer une bonne queue est un des plus grands plaisirs de ma vie de salope avaleuse de sperme ! Je n’ai pas honte de l’écrire. Certains hommes pensent que la fellation est juste un préliminaire. Un moyen de vous tenir bien durs avant de vous avoir dans la chatte ou dans le cul. Aussi quand ils voient une fille avec une bonne bouche à pipe ils ne tiennent pas forcément compte de ce que cela veut dire et abordent le plan cul comme ils le feraient avec une fille qui n’aurait pas spécialement une 👄 bouche à pipe.

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Une bouche à pipe VEUT sucer

Sachez le messieurs, se mettre du rouge à lèvre pour se faire une vraie bouche à pipe n’est pas facile. Cela se travaille, c’est un maquillage 💄 à faire consciencieusement. Qu’elle soit discrète et distinguée ou volontairement vulgaire genre grosse cochonne avaleuse de bite, la bouche à pipe se travaille. Surtout la plupart des femmes sont pleinement conscientes du style de leur bouche et de l’effet produit sur la gent masculine.

Pensez vous vraiment que nous sommes des saintes nitouches qui ne pensons pas fellation lorsque nous sortons le rouge à lèvres des grands soirs qui donne cette si pulpeuse bouche à pipe ?

Souvenez vous en lors de votre prochain rencard. Dans 90% des cas rouge à lèvres et bouche à pipe égale : « j’ai envie de te sucer ! »

Si en plus je vous laisse voir mes dents blanches lorsque je ri alors vous pouvez être certain que j’ai pour projet de mordre delicatement l’interieur charnu de votre cuisse avant fellation. Nous les bouches à pipe aimons sucer sans condition, la fellation gratuite, avec cravate de notaire généreuse et jeux de langue jusqu’a éjaculation abondante. Car une bonne suceuse est souvent une suceuse qui avale et sait attendre le second round d’un plan cul pour être pénétrée par d’autres orifices.

Mes autres articles coquins

Prémonition, il y a quelques années

Le soleil de fin de journée est déjà bas et ses rayons lèchent mes jambes et mon cul mouillés de surfeuse. Allongée sur le ventre je rame vers cette zone mystérieuse juste avant le break où la vague est sensée enfler en prenant l’exacte forme qui permettra un bon take off. Dans l’intimité de mon esprit lubrique j’appelle cet endroit le point G de l’onde. Mais tout bouge, le courant de la marée descendante, l’écume soulevée par la brise du soir qui souffle de la terre me désorientent et je peine à trouver mon point G. Dans mon rêve je suis en même temps la surfeuse et le champ de vagues. Je fouille chaque repli de la surface comme s’il s’agissait de ma chair tiède et glissante. La houle est telle que la plage n’est en vue que de brefs instants lorsque je suis tout en haut, sur la crête. Puis l’eau se dérobe sous moi, bref moment d’apesanteur avant de glisser plus profond dans mon sexe humide. La planche est lisse et brillante comme mes ongles manucurés. Je ne cherche plus le point G et son take-off, je veux juste rester là, errer en me caressant dans la langueur du soir, sentir le sel sur mes lèvres, écarter et resserrer les cuisses comme se rapprochent ou s’éloignent les vagues successive au hasard des désirs intimes et fantaisistes de mon océan. Puis la nuit tombe, la mer se calme et devient plate et immobile sous la lune. Les lumières de la ville sont loin, très loin et mes poignets sont liés par une paire de menotte à fourrure rose tout à fait incongrues. Ainsi entravée je ne peux ramer pour rejoindre le bord et l’embarcation s’éloigne avec moi vers le large. Sous moi je sens la planche changer de texture. La résine se plisse et devient douce et ferme à la fois comme de beaux abdos musclés de bodybuilder. À califourchon sur ce qui ressemble de plus en plus à un ventre je sens mes seins et mon désir enfler. Mon haut de bikini jaune citron laisse déborder mes gros seins improbables d’héroïne Manga. Je m’attends à voir apparaître un visage à la proue de mon surf mais c’est mon iPhone que je trouve incrusté à la place. Sauvée ! Je vais pouvoir appeler les secours en mer. Je me penche pour composer le numéro… aucun service… zéro barre… enfin sauf une… que je sens pousser juste contre mon con à travers le maillot. La planche est un bas relief vivant d’homme avec tout ce qu’il faut là où il faut. Un homme sans visage mais loin d’être muet. Des textos s’affichent en blanc sur fond vert : ton mari te trompe. Suit une sextape où mon cher et tendre époux est derrière une blonde à quatre pattes aussi nue que lui. La sodomie est brutale mais loin de se débattre elle hurle qu’elle en veut encore. Elle crie avec cette voix aiguë d’américaine de série B au bord de l’hystérie. Je me sens doublement trompée car je suis, moi, pucelle du cul. À ce moment je me sens triste et humiliée. Plus la pute blonde jouit plus je pleure. Elle se fait défoncer le cul par mon mari et je suis en pleine mer, impuissante et perdue. J’en oublie mes seins d’héroïne et le chibre qui durcit sous mon ventre. Des tentacules arrivent de sous la planche et se ventousent sur mes fesses pour les écarter. Sur l’écran  de l’iPhone mon mari vient d’éjaculer sur les reins de sa blondasse. Il étale son foutre avec satisfaction rentrant bien profond deux doigts dans le cul encore ouvert de sa pute qui couine de plaisir. Elle se tourne vers lui, pour lui demander : « alors, j’avais pas raison ? Je suis pas mille fois meilleure que ta femme ? »

Il répond faussement surpris : « qui ça ? » et la retourne pour lui rouler un énorme patin tout en mettant deux doigts dans sa chatte trempée. Il rebande déjà. Puis l’iPhone se transforme en masque vénitien. Derrière le masque des yeux verts et une bouche d’homme sensuelle : Venge toi me dit le surf de chair. Vis, baise et jouis tant que tu veux. Les menottes se défont et partent au fond de l’eau en un miroitement chromé. J’ai les mains libres, je pourrais ramer jusqu’à la rive mais mon réflexe est d’écarter mon string et de prendre la queue sous moi pour la guider dans mon sexe brûlant. Mais juste à ce moment la vague casse, le surf se retourne je tombe me réveille au pied du lit. Je suis seule. Je me souviens que Mon mari m’a averti qu’il rentrerait certainement très tard, qu’il dormirait même peut être exceptionnellement au cabinet ce soir car il prépare une plaidoirie compliquée. Je suis une rationnelle, je ne crois pas aux rêves prémonitoires. Pourtant, ce jeudi à trois heures du matin, incapable de me rendormir, je tente tous les mots de passe qui me viennent à l’esprit pour essayer d’ouvrir la boîte gmail de mon mari.

 

Comment Baiser les yeux bandés

Pierre de Nantes m’écrit ce scenario coquin dans lequel j’ai les yeux bandés. C’est terriblement excitant, beau et prometteur. Cela méritait un vrai article plutôt qu’un commentaire qui ne serait pas lu. Merci du fond du cul ! J’ai hâte de lire la suite. Si d’autres écrivains légèrement pervers se sentent en verve je suis preneuse ! J’ai lu ton texte plusieurs fois, la main dans ma culotte, tu t’en doutes ! Tout cela au bureau. Obligée d’aller aux toilettes me masturber quand je n’en pouvais plus.

Rien que pour vos yeux Je me touche au bureau
Je me touche au bureau

Mes autres articles méritent aussi un coup d’œil.

Voici donc ce que mes yeux ont eu le bonheur de lire :

Les yeux bandés

Bonsoir Lucie,
Je viens de découvrir ton nouvel article et j’ai bien envie de te faire mouiller avec mes mots, dans un premier temps… Voici mon récit :
Je frappe à la porte de ta chambre d’hôtel, 3 coups espacés de 2 secondes, c’est le code que nous avions convenu pour te signaler ma présence. J’ouvre la porte que tu as laissé déverrouillée et rentre dans la chambre de ce somptueux hôtel de Nantes (Le Mercure situé dans le centre ville) : elle est très jolie et spacieuse, le décor est sobre et soigné. C’est l’écrin parfait pour le scénario que j’ai concocté, et surtout pour la femme que je découvre à 4 pattes sur le lit, les yeux bandés, les jambes légèrement écartées, la tête penchée vers le bord du lit. Tu es vêtue comme convenu d’un body string seins nus (le modèle Belle de Jour de chez Maison Close) avec les bas assortis et des escarpins vernis. Tu es sublime, parfaite, comme dans mon imagination. Je m’approche à côté du lit, tu peux m’entendre malgré l’aspect feutré de la moquette, et tu peux aussi sentir mon parfum, aux notes sophistiquées et sensuelles.
Je pose d’abords une main sur l’un de tes mollets, tu sursautes à peine, je remonte doucement vers l’arrière de ta cuisse en frôlant mes doigts sur ce bas soyeux, je glisse ensuite un doigt sous une jarretelle qui me guide vers tes fesses que je caresse à pleines mains. Je continue ma remontée en plongeant mon majeur dans la raie de ton cul avant de poursuivre sur ta colonne vertébrale … tu sembles apprécier ! Je me mets ensuite face à toi et pose mon index sous ton menton pour relever ta tête et découvrir ton visage … souriant. Je pose mon pouce sur tes lèvres pour les caresser, une petite pression dessus et tu les écartes pour gober mon doigt dans ta bouche, l’enroulant de ta langue et l’enduisant de ta salive … tout ceci est prometteur.
Je retire mon doigt et m’écarte de toi pour préparer la suite de ta dégustation, tu peux seulement m’entendre préparer quelque chose, poser des accessoires à côté de toi, avec application. Je suis curieux de savoir ce que tu peux imaginer en ce moment …
Subitement, deux ronds de skaï froid se pose et comprime tes oreilles … c’est un casque audio qui vient de te retirer un deuxième sens, et qui ne tarde pas à te diffuser une première musique, un titre de Madonna, Justify my love. Tu ne peux maintenant sentir que mon odeur ou ressentir que mes caresses, et te concentrer sur les paroles sensuelles de la chanson. Tu ne peux pas savoir comment est l’homme en face de toi … d’ailleurs est-ce bien un homme ? … et n’y a-t-il pas d’autres personnes autour de toi ? … quel va bien pouvoir être le menu de ce soir ? … C’est justement cette sensation que je voulais te faire ressentir, la peur de l’inconnu mélangée à l’excitation de la surprise …
Une matière froide et dure se pose alors sur ta lèvre inférieure que j’intime à descendre pour ouvrir ta bouche et y verser le contenu liquide et pétillant que tu avales d’une gorgée … assurément du Champagne, le mmmh qui sors de ta bouche me fait comprendre que tu aimes ce nectar, et la langue que tu passes sur tes lèvres appelle à une deuxième gorgée.
C’est ensuite une autre matière lisse, ronde et moelleuse qui se pose entre tes lèvres, je l’enfonce entre tes dents, tu la croques sans hésiter et l’avales … un raisin, sucré et délicieux. Maintenant c’est la grappe entière qui caresse ton visage, tu relèves la tête et ouvre la bouche pour gober quelques autres grains.
C’est encore une autre matière lisse, dure et froide qui se pose sur tes lèvres, c’est un objet assez gros, lourd, pointu à son extrémité sans être tranchant, je le glisse dans ta bouche tout en le maintenant par l’autre extrémité, tu ne mets pas longtemps à reconnaitre cet objet qui va bientôt te remplir … un rosebud ! Je devine ta satisfaction par ton sourire, tu lèches goulument l’objet pour le lubrifier car tu as deviné mon intention : je le retire alors de ta bouche et m’écarte pour me mettre à côté de toi. Tu sens alors mes doigts dans la raie de tes fesses, écartant sur le côté la fine bande de tissu du body string que je constate déjà toute mouillée, et faisant découvrir ta vulve gonflée et humide, et ton petit trou plissé et imberbe qui se contracte légèrement quand j’y pose la pointe du bijou. J’appuie très lentement dessus pour que tu ressentes chaque millimètre s’enfoncer en toi. Tu n’as finalement aucun mal à engloutir cet objet qui est aspiré rapidement après avoir passé le diamètre le plus large, laissant échapper un « aaaah » de plaisir dans tes lèvres.
C’est maintenant Donna Summer, Love To Love You Baby, qui se diffuse dans tes oreilles.

Plusieurs secondes se passent pendant que rien ne se passe pour toi, tu attends toujours sagement à 4 pattes sans te fatiguer. Tu ne peux pas entendre où je suis, ce que je fais, ce que je prépares, si je suis toujours seul ou accompagné, si je suis toujours à côté de toi, … beaucoup de choses doivent te traverser l’esprit en ce moment, des pensées guidées par les paroles orgasmiques de Donna Summer.
Moi j’en profite pour te regarder et jouer avec ta patience, tu es vraiment superbe et tu n’as pas menti dans tes descriptions sur ton blog. Tu as un cul splendide, une croupe de rêve, tes seins ronds comme des pamplemousses tombent parfaitement, le body string a été taillé pour ton corps, je ne suis pas prêt de débander.
L’attente est longue mais prometteuse et délicieuse avec la chanson Ma Benz de Brigitte qui envoute tes oreilles. Deux mains se posent enfin sur chacune de tes fesses pour les caresser, les malaxer, les écarter, ouvrir ta fente et faire étinceler ton trou de diamant. Ta vulve brille, tes lèvres dégoulinent de plaisir, je passe ma main dessus pour enduire ta raie de ton jus poisseux. Tu bouges ton cul pour me faire comprendre de continuer cette caresse lubrifiante, je sens que tu pourrais ne pas mettre longtemps à jouir, mais ce n’est pas ce que j’ai prévu … pour le moment ! Tes fesses sont maintenant luisantes, je n’en ai pas perdu une goutte.
Je me déplace car je suis maintenant attiré par autre chose : en face de toi, je prends tes cheveux par la queue de cheval que tu as fais (comme convenu) et le tire la tête en arrière. Ma main droite se pose sur ta joue gauche que je caresse, je rentre mon pouce dans ta bouche pour te donner quelque chose à sucer. Doucement, je descends ma main dans ton cou puis vers ta poitrine pour prendre à pleine main ton sein gauche, laissé libre grâce au body seins nus que tu portes. Il est lourd, gros mais ferme, je taquine ton téton avec deux doigt et il ne met pas longtemps à durcir. Je relâche ta crinière de ma main gauche pour en faire de même avec ton sein droit, je tiens maintenant tes deux obus dans chaque main, je les caresse, les malaxe et joue avec la pointe. Toi tu as la tête contre mon ventre, dans ma chemise, tu humes mon odeur et essayes de descendre plus bas vers mon entrejambe … coquine ! Je m’écarte et pose un doigt sur ta bouche pour te faire signe d’être patiente.
Alors que Sexy Sushi te récites son Sex Appeal provocant dans les oreilles, c’est un gros goulot de bouteille frais qui se pose à l’entrée de ta bouche, tu comprends vite d’ouvrir tes lèvres pour recevoir une nouvelle gorgée de Champagne au fond du gosier. Il y en a tellement que tu ne peux tout avaler d’un coup, ta bouche se referme et le liquide doré ruisselle à chaque jonction de tes 2 lèvres, dégoulinant sur tes joues puis sur le lit. Un mot sort de ta bouche : « encore ! »

Pas le temps d’en écrire plus pour le moment, soit patiente !
Bises.

Du plaisir de sucer un belle bite

Sucer un belle queue. J’en ai déjà abondamment parlé dans mes autres articles. Tant d’un point de vue technique à travers mes tuto gorge profonde ou tutoriel cravate de notaire ou branlette espagnole. J’ai maintes fois évoqué comment j’en venais tout naturellement à sucer mon plan cul à chaque fois, que ce soit en voiture, à genoux forcée en mode soumise ou confortablement sur un canapé en mode grosse salope. Mais je me rends compte que j’ai souvent présenté la fellation comme un cadeau fait à mes amants et pas comme un vrai grand plaisir pour moi. J’espère ici réparer cet oubli et, par la même occasion donner envie à plus de femmes de sucer leur mec.

L’envie de sucer

En bonne vrai salope quand j’ai commencé à prendre goût à la fellation cet acte est devenu une envie et une fin en soit indépendante du mec en question. Lorsque je suis seule je m’imagine un bonne belle bite dans la bouche. Elle est mole ou bien dure mais elle m’emplit la bouche. J’en rêve la douceur veloutée car la peau de vos sexes, messieurs, est l’une des partie du corps la plus douce. Je peux ne penser qu’à cette queue sans me soucier de savoir si son propriétaire est gros, mince, musclé ou flasque, chauve ou chevelu, jeune ou vieux. J’aime la déloger moi même d’un slip ou d’un caleçon pour l’avoir en main et commencer à la lécher par le côté. Sucer peut alors devenir un cérémonial complexe et délicieux un peu comme l’art de servir le thé des Geishas.

Je suis une salope à gros seins. Si mes gros seins sont un vrai handicap quand je fais mon footing matinal, ils deviennent un super avantage le soir venu lorsqu’il s’agit de vous sucer. J’aime prendre le temps de me caresser les tétons avec votre queue. Vous qui pensiez bander déjà fort en devenez encore plus fermes et les tétons turgescents pointent joliment. Plus tard viendra la cravate de notaire mais pour l’heure je me caresse les seins et le cou. Parfois vous osez une bifle. Je sais alors que la fessée déculottée sera au programme des réjouissances.

Pas besoin de se déshabiller ou d’avoir de la place pour une bonne fellation. La fellation peut être le plaisir éphémère et rapide d’un plan cul improvisé dans des toilettes publics, une cabine d’essayage ou un ascenseur.

Mais c’est aussi, pendant les longues nuits de baise dans de belles chambres d’hotel ou AirBnB, les nombreuses fellations que je prodigue patiemment sur vos bites moles après l’ejaculation qui le permettent de vous réveiller pour une nouvelle chevauchée sauvage. La pipe et la chimie aussi parfois je dois l’avouer.

Si vous m’avez lue jusqu’ici j’aimerais que vous le disiez en commentaire comment vous voudriez que je vous suce. Décrivez moi où nous sommes, comment je suis habillée, sommes nous seuls ou en plan à 3 ? Bref, lâchez vous, faite moi mouiller comme une grosse salope. Promis je répondrai à chaque commentaire !

Comment draguer au Mac Do

Le Mac Do, tout ce que je déteste.  J’aime les restaurants huppés et je me sens tellement à l’aise de jouer les salopes allumeuses pour choquer la bonne bourgeoisie de province. Mais l’envie de vérifier que je suis capable de pécho un jeune Papa pour un mercredi après-midi coquin est là plus forte ce jour là pas loin de Grenoble. Je m’installe dans l’aquarium parents célibataires avec enfants. Le bruit est à la limite du supportable. Une quinzaine de mômes jouent les hamsters dans les jeux prévus pour que les parents puissent avoir un peu de répit et « savourer » leur Big Mac, salade César ou Nugets de feu par 6 ou 9. L’homme à côté de qui je choisi de m’installer doit avoir 35 ou 40 ans. J’avais repéré qu’il matait mon petit cul d’allumeuse dans la queue pour commander. Son gosse doit avoir 5 ou 6 ans. Le père est à l’image du fils, ou l’inverse. Allure décontractée basket et jeans de marque, propres et souriants. Oeuillades, échange de sourires, c’est lui qui engage la conversation : « vous en avez combien ? » il pointé du menton les jeux bondés d’enfants bondissants.

mes autres articles

J’opte pour la franchise :

-« une seule mais elle est chez son père ! »

il me regarde interloqué.

-« En fait je suis nymphomane et je viens ici pour draguer… »

il ri, croyant une plaisanterie de ma part.

Je pose une main sur sa cuisse -« non non, je vous assure, c’est la vérité vraie. J’ai très envie de me faire prendre dans les toilettes du Mac Do ! Ça vous dit ? »

Il ne me croit toujours pas, cherche la caméra cachée.

je n’ai pas de temps à perdre, je sais que je lui plaît. -« écoutez, vous faites comme vous voulez. Je vais demander le code des toilette. Cela vous laisse le temps de dire à votre fils que vous vous absentez un peu et qu’il peut jouer en vous attendant. Si vous ne le faites pas je suis sure que vous allez le regretter. »

Sur ce je file demander le code des toilettes à la caisse. Je remarque qu’il fait signe à son gamin de venir le voir. Yes ! C’est gagné !

Fellation Mac Do

Baisée dans les toilettes du Mac Do

Nous voici dans les toilettes du Mac Do. Ambiance aseptisée et promiscuité. Qu’importe, je suis en mode grosse salope pour une baise rapide. Sans prendre la peine de verrouiller la porte je colle ma bouche contre la tienne. Nos langues s’emmêlent instantanément. J’aime embrasser goulument, toute en salive et en succion. Un avant goût de la grosse fellation à laquelle tu vas avoir droit dans par longtemps. Je plante mes yeux de salope lubrique dans les tiens et mes mains sont sur ta peau sous ton T-shirt. Sous mon pull en Cachemire tu tâtes mes gros seins tièdes et moelleux à souhait. Je presse mon entrejambe contre toi pour que tu sentes, s’il en était besoin mon désir. Ma main vérifie. Oui, tu bandes déjà à en craquer ton jean. Je prends ta main pour la mettre sous ma jupe plissée juste dans ma culotte. Tu la sens ma mouille ? Putain, j’ai trop envie, je défais les boutons de ton jean. Je te glisse à l’oreille : »Trop envie de sucer là… »

Mais je descends doucement pour embrasser ton cou, presser ma chatte contre ta cuisse en plaçant mes mains sur tes belle fesses musclées. Je suis accroupie et je te regarde par en dessous. Experte j’ai sortie ta belle queue et baissé ton jean. Je peux passer ma langue tout le long de ton sexe dressé. Qui a dit qu’on ne mangeait pas de saucisse au Mac Do ?

Que ce soit sur les draps de satin d’un hôtel de luxe ou dans les chiotes du Mac Do une bonne pipe c’est tout un art. Une affaire de savant dosage entre douceur et sauvagerie. Faire la salope juste ce qu’il faut, se montrer faussement intimidée au début par la queue que l’on ne sait comment avaler puis être de plus en plus gourmande, goulue. Finir en gorge profonde à la limite de l’étouffement. Mais tu as peur de jouir trop tôt et me tire par les cheveux pour que je me relève avant que tu ne puisses plus te retenir. J’ai compris, je lève une jambe et prend ta bite dure dans ma main pour la guider dans ma chatte. Plaisir indescriptible de la pénétration. Ça glisse tout seul tellement je mouille. Tu me plaques contre le mur de carrelage blanc. C’est froid contre mes fesse et brûlant dans ma chatte. Je t’embrasse sur la bouche en même temps que je jouis. Quelques coups de butoir qui me defoncent delicieusement . Et tu jouis sans pouvoir retenir un râle de plaisir. Je me rhabille plus vite que toi et fuis sans demander ni mon reste ni ton 06.  Fin de notre histoire de cul. Je me sens un peu mieux, rassasiée pour quelques jours au moins. Je ne mentirai pas, notre idylle dans les toilettes du Mac Do a duré 5 minutes grand Max. Mais quand on est un nympho comme moi on sait prendre le ma olim de plaisir sans chercher la performance de star du porno. Un bonne baise n’est pas nécessairement une baise qui dure des heures. Il faut savoir varier. Grâce au plaisir que tu m’as donné je peux rentrer chez moi sans avoir envie de tuer la terre entière. Ce soir je serai gentille avec mon mari, patiente avec notre fille et c’est aussi cela qui compte. Merci monsieur Mac Do Nald

Défoncée par la chatte et le cul mais heureuse

Défoncée par un nouvel amant? Juste dans mes rêves, il a fallu attendre. J’ai fait, en bonne mère, bonne epouse, la rentrée des classes hier. J’étais maman pomponnée à l’entrée de l’école primaire avec ma fille. Très loin du cliché de la MILF de vidéo porno défoncée par tous les trous c’était plutôt bises aux autres Mamans, sourires gentils aux Papas qui étaient là aussi.

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Plan cul de chienne défoncée

Heureusement, aujourd’hui c’est ma rentrée plan cul et me voici dans une jolie chambre d’hôtel alors qu’il n’est pas quinze heures. Ca n’a pas traîné, rendez-vous galant dans le café en bas de la rue, un diabolo menthe, je déchausse un escarpin, lui caresse le mollet sous la table et vide mon verre d’un trait pour montrer que je suis pressée de me faire défoncer le cul. Lui ne fini même pas sa bière, laisse une billet de 10€, je le prend par la main et l’entraîne vers mon hôtel à dix mètres. J’aime aussi quand c’est simple, sans préliminaires,  brutal. À peine la porte de la chambre fermée je le plaque contre le mur et l’embrasse à pleine bouche. « J’ai envie de me faire défoncer comme une bonne petite salope. Tu penses que tu peux faire ca pour moi ? Tu vas pouvoir me laisser inconsciente sur le lit, la chatte tellement défoncée que je n’aurai plus envie de baiser avec plusieurs jours ? »

« Faut voir, je suis pas contre une petite salope défoncée, comme tu dis. Mais faut que tu y mettes un peu du tiens. Je veux bien te défoncer la chatte mais montre moi une peu ce que tu sais faire avant. Un bon coup de queue ça se mérite ! » Bon, j’exagère, il n’a pas dit tout ça. Mais sa pression sur ma tête pour que je m’accroupisse devant lui voulait dire ça. Et ça me suffisait. Après quasi deux mois d’abstinence j’avais très envie de sucer une bonne bite. J’aime ce moment où je la sort du pantalon. Je la découvre déjà bandante et dure. Je commence avec la langue, par dessous, puis par le côté et, enfin, je la prend toute entière dans ma bouche pour sucer lentement. Lentement mais de plus en plus profondément. Il tient ma nuque, sans brutalité mais fermement quand même. Juste comme j’aime. Je sens qu’il pourrait me laisser avec la gorge défoncée à la limite de l’étouffement mais il se maitrise. Contrairement à la plupart des mecs lui sait se faire sucer. C’est tout un art de bien se faire sucer. Loin d’être passif il bouge le bassin pour pénétrer un peu plus loin. Il le fait sans brutalité mais sans non plus trop se retenir. Je baisse son pantalon et plante mes ongles dans ses belles fesses. J’arrive assez vite en gorge profonde. C’est un peu suffoquant, malgré ma bouche plus que pleine je gémis en levant des yeux de biche effrayée vers lui. J’enfonce mes ongles plus profondément dans sa chair pour lui faire comprendre qu’il faut quand même me ménager un peu. Message reçu, il tire ma tête en arrière par les cheveux et me relève à son niveau pour me parler à l’oreille en me tenant toujours par les cheveux : »Dis donc, tu m’as lacéré les fesses, ma salope ! Ca peut pas rester impuni un tel comportement…Tu veux te faire défoncer un c’est ça ? »

Défoncée par une bonne fessée après la pipe

Il s’assoit sur le lit, pantalon sur les chevilles et me fait signe de le rejoindre. Je m’agenouille devant lui pour le sucer encore mais il me tire à lui par les cheveux : »Non, suffit la sucette ! met toi là ! »

Il m’installe à plat ventre sur ses cuisses. Je sais qu’il va me fesser et cela m’excite autant que ça m’inquiète. Il remonte ma jupe en prenant bien soin de caresser mes cuisses tout du long. Je suis en collants mais sans culotte et la première claque me prend par surprise. Il a frappé du plat de la main assez fort pour qu’un cri de surprise m’échappe. Les coups pleuvent, du plat de la main. Entre chaque claque il remonte la main le long de mes cuisses. Ne sachant trop quoi faire de mes mains je tiens ses chevilles. A deux mains il déchire mes collants au niveau des fesses. Mes fesses apparaissent sans doute rougies. Les claques ont cessé et il caresse ma chatte mouillée par derrière. Je sens sa verge dure contre mon ventre. Je fini de déchirer moi même mes collants pour lui offrir les jambes nues. J’ai l’impression que se mains sont partout à la fois. Il prend ma main et la conduit vers mon sexe : « je veux que tu te masturbe comme une salope ! »

J’obeïs alors qu’il écarte mes fesses. Et mêle ses doigts aux miens. Il se dégage de sous moi et je me retrouve sur le lit, à plat ventre, une main sous moi continuant à me masturber. Il se couche sur moi, sa bouche contre mon oreille. Il m’ordone De continuer à bien faire ma grosse salope. Je suis une grosse bonnasse qui va en prendre plein le cul. Il pèse lourd sur moi et j’avoue terriblement aimer ça. Gémissements, supplications qu’il me prenne pas le cul, je me tortille pour venir à la rencontre de ses doigts comme par hasard toujours à un millimètre de mon clitoris sans pour autant s’y poser. Il pèse sur moi de tout son poids mais parvient quand même peu à peu à me débarrasser de mes vêtements. Mon chemisier est ruiné, mon soutif arraché et sa bouche baveuse sur chaque surface de peau dénudée.

Puis ça vient d’un coup dans ma chatte. Sa queue dont je n’avais pas anticipé qu’elle serait aussi grosse me pénètre violement et m’arrache un cri de surprise mêlé de plaisir. Il m’a tirée en arrière à plat ventre au bord du lit. Il est debout et me tient fermement les cuisse. Il y va fort, de tout le bassin. Son bas ventre claque à chaque fois contre mes fesses déjà meurtries. Je crie en continuant à me branler le clito. Je tends les jambes pour qu’il me tienne comme si j’étais une brouette. Je hurle car je jouis violement. Sans prévenir il se retire et plaque le bout de sa queue contre mon anus. Je le supplie d’attendre, je ne suis pas prête a être défoncée ainsi. Mais il s’en fout et force le passage. Là je ne jouis plus, douleur à la limite du supportable. Je cris tellement fort que j’ai peur d’alerter la sécurité de l’hôtel. Il plaque se penche sur moi et plaque sa main sur ma tête pour étouffer mes cris dans la couette moelleuse du lit. J’attrape le traversin du bout d’une main libre (l’autre est coincé sous moi encore à moitié dans ma chatte défoncée). Je le mord pour ne pas crier mais aussi pour avoir les narines à l’air libre et pouvoir respirer. Il replace ses mains sur l’avant de mes cuisses et reprend un va et vient démentiel et brutal. A chaque fois qu’il arrive à la garde il cogne contre mes fesse manquant de me déboiter le bassin. Je me fais défoncer comme cela faisait longtemps que ça ne m’étais pas arrivé. L’enculé fait durer. Je n’ai plus la force de crier. J’ai mal mais c’est arrivé à un point au delà de ce qui fait crier. Je m’applique à rester inerte pour ne pas avoir encore plus mal. D’un coup c’est lui qui hurle et se retire pour enlever son préservatif et éjaculer abondamment sur mon dos. Il s’écroule à côté de moi apparemment épuisé. Je reste sans oser bouger les yeux fermés. J’ai mal partout sous la taille mais je suis heureuse comme cela faisait longtemps que je ne l’avais pas été.