Bouche à pipe et bouffeuse de queues

La bouche à pipe, ça ne trompe pas !

Sucer une bonne queue est un des plus grands plaisirs de ma vie de salope avaleuse de sperme ! Je n’ai pas honte de l’écrire. Certains hommes pensent que la fellation est juste un préliminaire. Un moyen de vous tenir bien durs avant de vous avoir dans la chatte ou dans le cul. Aussi quand ils voient une fille avec une bonne bouche à pipe ils ne tiennent pas forcément compte de ce que cela veut dire et abordent le plan cul comme ils le feraient avec une fille qui n’aurait pas spécialement une 👄 bouche à pipe.

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Une bouche à pipe VEUT sucer

Sachez le messieurs, se mettre du rouge à lèvre pour se faire une vraie bouche à pipe n’est pas facile. Cela se travaille, c’est un maquillage 💄 à faire consciencieusement. Qu’elle soit discrète et distinguée ou volontairement vulgaire genre grosse cochonne avaleuse de bite, la bouche à pipe se travaille. Surtout la plupart des femmes sont pleinement conscientes du style de leur bouche et de l’effet produit sur la gent masculine.

Pensez vous vraiment que nous sommes des saintes nitouches qui ne pensons pas fellation lorsque nous sortons le rouge à lèvres des grands soirs qui donne cette si pulpeuse bouche à pipe ?

Souvenez vous en lors de votre prochain rencard. Dans 90% des cas rouge à lèvres et bouche à pipe égale : « j’ai envie de te sucer ! »

Si en plus je vous laisse voir mes dents blanches lorsque je ri alors vous pouvez être certain que j’ai pour projet de mordre delicatement l’interieur charnu de votre cuisse avant fellation. Nous les bouches à pipe aimons sucer sans condition, la fellation gratuite, avec cravate de notaire généreuse et jeux de langue jusqu’a éjaculation abondante. Car une bonne suceuse est souvent une suceuse qui avale et sait attendre le second round d’un plan cul pour être pénétrée par d’autres orifices.

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Prémonition, il y a quelques années

Le soleil de fin de journée est déjà bas et ses rayons lèchent mes jambes et mon cul mouillés de surfeuse. Allongée sur le ventre je rame vers cette zone mystérieuse juste avant le break où la vague est sensée enfler en prenant l’exacte forme qui permettra un bon take off. Dans l’intimité de mon esprit lubrique j’appelle cet endroit le point G de l’onde. Mais tout bouge, le courant de la marée descendante, l’écume soulevée par la brise du soir qui souffle de la terre me désorientent et je peine à trouver mon point G. Dans mon rêve je suis en même temps la surfeuse et le champ de vagues. Je fouille chaque repli de la surface comme s’il s’agissait de ma chair tiède et glissante. La houle est telle que la plage n’est en vue que de brefs instants lorsque je suis tout en haut, sur la crête. Puis l’eau se dérobe sous moi, bref moment d’apesanteur avant de glisser plus profond dans mon sexe humide. La planche est lisse et brillante comme mes ongles manucurés. Je ne cherche plus le point G et son take-off, je veux juste rester là, errer en me caressant dans la langueur du soir, sentir le sel sur mes lèvres, écarter et resserrer les cuisses comme se rapprochent ou s’éloignent les vagues successive au hasard des désirs intimes et fantaisistes de mon océan. Puis la nuit tombe, la mer se calme et devient plate et immobile sous la lune. Les lumières de la ville sont loin, très loin et mes poignets sont liés par une paire de menotte à fourrure rose tout à fait incongrues. Ainsi entravée je ne peux ramer pour rejoindre le bord et l’embarcation s’éloigne avec moi vers le large. Sous moi je sens la planche changer de texture. La résine se plisse et devient douce et ferme à la fois comme de beaux abdos musclés de bodybuilder. À califourchon sur ce qui ressemble de plus en plus à un ventre je sens mes seins et mon désir enfler. Mon haut de bikini jaune citron laisse déborder mes gros seins improbables d’héroïne Manga. Je m’attends à voir apparaître un visage à la proue de mon surf mais c’est mon iPhone que je trouve incrusté à la place. Sauvée ! Je vais pouvoir appeler les secours en mer. Je me penche pour composer le numéro… aucun service… zéro barre… enfin sauf une… que je sens pousser juste contre mon con à travers le maillot. La planche est un bas relief vivant d’homme avec tout ce qu’il faut là où il faut. Un homme sans visage mais loin d’être muet. Des textos s’affichent en blanc sur fond vert : ton mari te trompe. Suit une sextape où mon cher et tendre époux est derrière une blonde à quatre pattes aussi nue que lui. La sodomie est brutale mais loin de se débattre elle hurle qu’elle en veut encore. Elle crie avec cette voix aiguë d’américaine de série B au bord de l’hystérie. Je me sens doublement trompée car je suis, moi, pucelle du cul. À ce moment je me sens triste et humiliée. Plus la pute blonde jouit plus je pleure. Elle se fait défoncer le cul par mon mari et je suis en pleine mer, impuissante et perdue. J’en oublie mes seins d’héroïne et le chibre qui durcit sous mon ventre. Des tentacules arrivent de sous la planche et se ventousent sur mes fesses pour les écarter. Sur l’écran  de l’iPhone mon mari vient d’éjaculer sur les reins de sa blondasse. Il étale son foutre avec satisfaction rentrant bien profond deux doigts dans le cul encore ouvert de sa pute qui couine de plaisir. Elle se tourne vers lui, pour lui demander : « alors, j’avais pas raison ? Je suis pas mille fois meilleure que ta femme ? »

Il répond faussement surpris : « qui ça ? » et la retourne pour lui rouler un énorme patin tout en mettant deux doigts dans sa chatte trempée. Il rebande déjà. Puis l’iPhone se transforme en masque vénitien. Derrière le masque des yeux verts et une bouche d’homme sensuelle : Venge toi me dit le surf de chair. Vis, baise et jouis tant que tu veux. Les menottes se défont et partent au fond de l’eau en un miroitement chromé. J’ai les mains libres, je pourrais ramer jusqu’à la rive mais mon réflexe est d’écarter mon string et de prendre la queue sous moi pour la guider dans mon sexe brûlant. Mais juste à ce moment la vague casse, le surf se retourne je tombe me réveille au pied du lit. Je suis seule. Je me souviens que Mon mari m’a averti qu’il rentrerait certainement très tard, qu’il dormirait même peut être exceptionnellement au cabinet ce soir car il prépare une plaidoirie compliquée. Je suis une rationnelle, je ne crois pas aux rêves prémonitoires. Pourtant, ce jeudi à trois heures du matin, incapable de me rendormir, je tente tous les mots de passe qui me viennent à l’esprit pour essayer d’ouvrir la boîte gmail de mon mari.

 

Comment Baiser les yeux bandés

Pierre de Nantes m’écrit ce scenario coquin dans lequel j’ai les yeux bandés. C’est terriblement excitant, beau et prometteur. Cela méritait un vrai article plutôt qu’un commentaire qui ne serait pas lu. Merci du fond du cul ! J’ai hâte de lire la suite. Si d’autres écrivains légèrement pervers se sentent en verve je suis preneuse ! J’ai lu ton texte plusieurs fois, la main dans ma culotte, tu t’en doutes ! Tout cela au bureau. Obligée d’aller aux toilettes me masturber quand je n’en pouvais plus.

Rien que pour vos yeux Je me touche au bureau
Je me touche au bureau

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Voici donc ce que mes yeux ont eu le bonheur de lire :

Les yeux bandés

Bonsoir Lucie,
Je viens de découvrir ton nouvel article et j’ai bien envie de te faire mouiller avec mes mots, dans un premier temps… Voici mon récit :
Je frappe à la porte de ta chambre d’hôtel, 3 coups espacés de 2 secondes, c’est le code que nous avions convenu pour te signaler ma présence. J’ouvre la porte que tu as laissé déverrouillée et rentre dans la chambre de ce somptueux hôtel de Nantes (Le Mercure situé dans le centre ville) : elle est très jolie et spacieuse, le décor est sobre et soigné. C’est l’écrin parfait pour le scénario que j’ai concocté, et surtout pour la femme que je découvre à 4 pattes sur le lit, les yeux bandés, les jambes légèrement écartées, la tête penchée vers le bord du lit. Tu es vêtue comme convenu d’un body string seins nus (le modèle Belle de Jour de chez Maison Close) avec les bas assortis et des escarpins vernis. Tu es sublime, parfaite, comme dans mon imagination. Je m’approche à côté du lit, tu peux m’entendre malgré l’aspect feutré de la moquette, et tu peux aussi sentir mon parfum, aux notes sophistiquées et sensuelles.
Je pose d’abords une main sur l’un de tes mollets, tu sursautes à peine, je remonte doucement vers l’arrière de ta cuisse en frôlant mes doigts sur ce bas soyeux, je glisse ensuite un doigt sous une jarretelle qui me guide vers tes fesses que je caresse à pleines mains. Je continue ma remontée en plongeant mon majeur dans la raie de ton cul avant de poursuivre sur ta colonne vertébrale … tu sembles apprécier ! Je me mets ensuite face à toi et pose mon index sous ton menton pour relever ta tête et découvrir ton visage … souriant. Je pose mon pouce sur tes lèvres pour les caresser, une petite pression dessus et tu les écartes pour gober mon doigt dans ta bouche, l’enroulant de ta langue et l’enduisant de ta salive … tout ceci est prometteur.
Je retire mon doigt et m’écarte de toi pour préparer la suite de ta dégustation, tu peux seulement m’entendre préparer quelque chose, poser des accessoires à côté de toi, avec application. Je suis curieux de savoir ce que tu peux imaginer en ce moment …
Subitement, deux ronds de skaï froid se pose et comprime tes oreilles … c’est un casque audio qui vient de te retirer un deuxième sens, et qui ne tarde pas à te diffuser une première musique, un titre de Madonna, Justify my love. Tu ne peux maintenant sentir que mon odeur ou ressentir que mes caresses, et te concentrer sur les paroles sensuelles de la chanson. Tu ne peux pas savoir comment est l’homme en face de toi … d’ailleurs est-ce bien un homme ? … et n’y a-t-il pas d’autres personnes autour de toi ? … quel va bien pouvoir être le menu de ce soir ? … C’est justement cette sensation que je voulais te faire ressentir, la peur de l’inconnu mélangée à l’excitation de la surprise …
Une matière froide et dure se pose alors sur ta lèvre inférieure que j’intime à descendre pour ouvrir ta bouche et y verser le contenu liquide et pétillant que tu avales d’une gorgée … assurément du Champagne, le mmmh qui sors de ta bouche me fait comprendre que tu aimes ce nectar, et la langue que tu passes sur tes lèvres appelle à une deuxième gorgée.
C’est ensuite une autre matière lisse, ronde et moelleuse qui se pose entre tes lèvres, je l’enfonce entre tes dents, tu la croques sans hésiter et l’avales … un raisin, sucré et délicieux. Maintenant c’est la grappe entière qui caresse ton visage, tu relèves la tête et ouvre la bouche pour gober quelques autres grains.
C’est encore une autre matière lisse, dure et froide qui se pose sur tes lèvres, c’est un objet assez gros, lourd, pointu à son extrémité sans être tranchant, je le glisse dans ta bouche tout en le maintenant par l’autre extrémité, tu ne mets pas longtemps à reconnaitre cet objet qui va bientôt te remplir … un rosebud ! Je devine ta satisfaction par ton sourire, tu lèches goulument l’objet pour le lubrifier car tu as deviné mon intention : je le retire alors de ta bouche et m’écarte pour me mettre à côté de toi. Tu sens alors mes doigts dans la raie de tes fesses, écartant sur le côté la fine bande de tissu du body string que je constate déjà toute mouillée, et faisant découvrir ta vulve gonflée et humide, et ton petit trou plissé et imberbe qui se contracte légèrement quand j’y pose la pointe du bijou. J’appuie très lentement dessus pour que tu ressentes chaque millimètre s’enfoncer en toi. Tu n’as finalement aucun mal à engloutir cet objet qui est aspiré rapidement après avoir passé le diamètre le plus large, laissant échapper un « aaaah » de plaisir dans tes lèvres.
C’est maintenant Donna Summer, Love To Love You Baby, qui se diffuse dans tes oreilles.

Plusieurs secondes se passent pendant que rien ne se passe pour toi, tu attends toujours sagement à 4 pattes sans te fatiguer. Tu ne peux pas entendre où je suis, ce que je fais, ce que je prépares, si je suis toujours seul ou accompagné, si je suis toujours à côté de toi, … beaucoup de choses doivent te traverser l’esprit en ce moment, des pensées guidées par les paroles orgasmiques de Donna Summer.
Moi j’en profite pour te regarder et jouer avec ta patience, tu es vraiment superbe et tu n’as pas menti dans tes descriptions sur ton blog. Tu as un cul splendide, une croupe de rêve, tes seins ronds comme des pamplemousses tombent parfaitement, le body string a été taillé pour ton corps, je ne suis pas prêt de débander.
L’attente est longue mais prometteuse et délicieuse avec la chanson Ma Benz de Brigitte qui envoute tes oreilles. Deux mains se posent enfin sur chacune de tes fesses pour les caresser, les malaxer, les écarter, ouvrir ta fente et faire étinceler ton trou de diamant. Ta vulve brille, tes lèvres dégoulinent de plaisir, je passe ma main dessus pour enduire ta raie de ton jus poisseux. Tu bouges ton cul pour me faire comprendre de continuer cette caresse lubrifiante, je sens que tu pourrais ne pas mettre longtemps à jouir, mais ce n’est pas ce que j’ai prévu … pour le moment ! Tes fesses sont maintenant luisantes, je n’en ai pas perdu une goutte.
Je me déplace car je suis maintenant attiré par autre chose : en face de toi, je prends tes cheveux par la queue de cheval que tu as fais (comme convenu) et le tire la tête en arrière. Ma main droite se pose sur ta joue gauche que je caresse, je rentre mon pouce dans ta bouche pour te donner quelque chose à sucer. Doucement, je descends ma main dans ton cou puis vers ta poitrine pour prendre à pleine main ton sein gauche, laissé libre grâce au body seins nus que tu portes. Il est lourd, gros mais ferme, je taquine ton téton avec deux doigt et il ne met pas longtemps à durcir. Je relâche ta crinière de ma main gauche pour en faire de même avec ton sein droit, je tiens maintenant tes deux obus dans chaque main, je les caresse, les malaxe et joue avec la pointe. Toi tu as la tête contre mon ventre, dans ma chemise, tu humes mon odeur et essayes de descendre plus bas vers mon entrejambe … coquine ! Je m’écarte et pose un doigt sur ta bouche pour te faire signe d’être patiente.
Alors que Sexy Sushi te récites son Sex Appeal provocant dans les oreilles, c’est un gros goulot de bouteille frais qui se pose à l’entrée de ta bouche, tu comprends vite d’ouvrir tes lèvres pour recevoir une nouvelle gorgée de Champagne au fond du gosier. Il y en a tellement que tu ne peux tout avaler d’un coup, ta bouche se referme et le liquide doré ruisselle à chaque jonction de tes 2 lèvres, dégoulinant sur tes joues puis sur le lit. Un mot sort de ta bouche : « encore ! »

Pas le temps d’en écrire plus pour le moment, soit patiente !
Bises.

Du plaisir de sucer un belle bite

Sucer un belle queue. J’en ai déjà abondamment parlé dans mes autres articles. Tant d’un point de vue technique à travers mes tuto gorge profonde ou tutoriel cravate de notaire ou branlette espagnole. J’ai maintes fois évoqué comment j’en venais tout naturellement à sucer mon plan cul à chaque fois, que ce soit en voiture, à genoux forcée en mode soumise ou confortablement sur un canapé en mode grosse salope. Mais je me rends compte que j’ai souvent présenté la fellation comme un cadeau fait à mes amants et pas comme un vrai grand plaisir pour moi. J’espère ici réparer cet oubli et, par la même occasion donner envie à plus de femmes de sucer leur mec.

L’envie de sucer

En bonne vrai salope quand j’ai commencé à prendre goût à la fellation cet acte est devenu une envie et une fin en soit indépendante du mec en question. Lorsque je suis seule je m’imagine un bonne belle bite dans la bouche. Elle est mole ou bien dure mais elle m’emplit la bouche. J’en rêve la douceur veloutée car la peau de vos sexes, messieurs, est l’une des partie du corps la plus douce. Je peux ne penser qu’à cette queue sans me soucier de savoir si son propriétaire est gros, mince, musclé ou flasque, chauve ou chevelu, jeune ou vieux. J’aime la déloger moi même d’un slip ou d’un caleçon pour l’avoir en main et commencer à la lécher par le côté. Sucer peut alors devenir un cérémonial complexe et délicieux un peu comme l’art de servir le thé des Geishas.

Je suis une salope à gros seins. Si mes gros seins sont un vrai handicap quand je fais mon footing matinal, ils deviennent un super avantage le soir venu lorsqu’il s’agit de vous sucer. J’aime prendre le temps de me caresser les tétons avec votre queue. Vous qui pensiez bander déjà fort en devenez encore plus fermes et les tétons turgescents pointent joliment. Plus tard viendra la cravate de notaire mais pour l’heure je me caresse les seins et le cou. Parfois vous osez une bifle. Je sais alors que la fessée déculottée sera au programme des réjouissances.

Pas besoin de se déshabiller ou d’avoir de la place pour une bonne fellation. La fellation peut être le plaisir éphémère et rapide d’un plan cul improvisé dans des toilettes publics, une cabine d’essayage ou un ascenseur.

Mais c’est aussi, pendant les longues nuits de baise dans de belles chambres d’hotel ou AirBnB, les nombreuses fellations que je prodigue patiemment sur vos bites moles après l’ejaculation qui le permettent de vous réveiller pour une nouvelle chevauchée sauvage. La pipe et la chimie aussi parfois je dois l’avouer.

Si vous m’avez lue jusqu’ici j’aimerais que vous le disiez en commentaire comment vous voudriez que je vous suce. Décrivez moi où nous sommes, comment je suis habillée, sommes nous seuls ou en plan à 3 ? Bref, lâchez vous, faite moi mouiller comme une grosse salope. Promis je répondrai à chaque commentaire !

Comment draguer au Mac Do

Le Mac Do, tout ce que je déteste.  J’aime les restaurants huppés et je me sens tellement à l’aise de jouer les salopes allumeuses pour choquer la bonne bourgeoisie de province. Mais l’envie de vérifier que je suis capable de pécho un jeune Papa pour un mercredi après-midi coquin est là plus forte ce jour là pas loin de Grenoble. Je m’installe dans l’aquarium parents célibataires avec enfants. Le bruit est à la limite du supportable. Une quinzaine de mômes jouent les hamsters dans les jeux prévus pour que les parents puissent avoir un peu de répit et « savourer » leur Big Mac, salade César ou Nugets de feu par 6 ou 9. L’homme à côté de qui je choisi de m’installer doit avoir 35 ou 40 ans. J’avais repéré qu’il matait mon petit cul d’allumeuse dans la queue pour commander. Son gosse doit avoir 5 ou 6 ans. Le père est à l’image du fils, ou l’inverse. Allure décontractée basket et jeans de marque, propres et souriants. Oeuillades, échange de sourires, c’est lui qui engage la conversation : « vous en avez combien ? » il pointé du menton les jeux bondés d’enfants bondissants.

mes autres articles

J’opte pour la franchise :

-« une seule mais elle est chez son père ! »

il me regarde interloqué.

-« En fait je suis nymphomane et je viens ici pour draguer… »

il ri, croyant une plaisanterie de ma part.

Je pose une main sur sa cuisse -« non non, je vous assure, c’est la vérité vraie. J’ai très envie de me faire prendre dans les toilettes du Mac Do ! Ça vous dit ? »

Il ne me croit toujours pas, cherche la caméra cachée.

je n’ai pas de temps à perdre, je sais que je lui plaît. -« écoutez, vous faites comme vous voulez. Je vais demander le code des toilette. Cela vous laisse le temps de dire à votre fils que vous vous absentez un peu et qu’il peut jouer en vous attendant. Si vous ne le faites pas je suis sure que vous allez le regretter. »

Sur ce je file demander le code des toilettes à la caisse. Je remarque qu’il fait signe à son gamin de venir le voir. Yes ! C’est gagné !

Fellation Mac Do

Baisée dans les toilettes du Mac Do

Nous voici dans les toilettes du Mac Do. Ambiance aseptisée et promiscuité. Qu’importe, je suis en mode grosse salope pour une baise rapide. Sans prendre la peine de verrouiller la porte je colle ma bouche contre la tienne. Nos langues s’emmêlent instantanément. J’aime embrasser goulument, toute en salive et en succion. Un avant goût de la grosse fellation à laquelle tu vas avoir droit dans par longtemps. Je plante mes yeux de salope lubrique dans les tiens et mes mains sont sur ta peau sous ton T-shirt. Sous mon pull en Cachemire tu tâtes mes gros seins tièdes et moelleux à souhait. Je presse mon entrejambe contre toi pour que tu sentes, s’il en était besoin mon désir. Ma main vérifie. Oui, tu bandes déjà à en craquer ton jean. Je prends ta main pour la mettre sous ma jupe plissée juste dans ma culotte. Tu la sens ma mouille ? Putain, j’ai trop envie, je défais les boutons de ton jean. Je te glisse à l’oreille : »Trop envie de sucer là… »

Mais je descends doucement pour embrasser ton cou, presser ma chatte contre ta cuisse en plaçant mes mains sur tes belle fesses musclées. Je suis accroupie et je te regarde par en dessous. Experte j’ai sortie ta belle queue et baissé ton jean. Je peux passer ma langue tout le long de ton sexe dressé. Qui a dit qu’on ne mangeait pas de saucisse au Mac Do ?

Que ce soit sur les draps de satin d’un hôtel de luxe ou dans les chiotes du Mac Do une bonne pipe c’est tout un art. Une affaire de savant dosage entre douceur et sauvagerie. Faire la salope juste ce qu’il faut, se montrer faussement intimidée au début par la queue que l’on ne sait comment avaler puis être de plus en plus gourmande, goulue. Finir en gorge profonde à la limite de l’étouffement. Mais tu as peur de jouir trop tôt et me tire par les cheveux pour que je me relève avant que tu ne puisses plus te retenir. J’ai compris, je lève une jambe et prend ta bite dure dans ma main pour la guider dans ma chatte. Plaisir indescriptible de la pénétration. Ça glisse tout seul tellement je mouille. Tu me plaques contre le mur de carrelage blanc. C’est froid contre mes fesse et brûlant dans ma chatte. Je t’embrasse sur la bouche en même temps que je jouis. Quelques coups de butoir qui me defoncent delicieusement . Et tu jouis sans pouvoir retenir un râle de plaisir. Je me rhabille plus vite que toi et fuis sans demander ni mon reste ni ton 06.  Fin de notre histoire de cul. Je me sens un peu mieux, rassasiée pour quelques jours au moins. Je ne mentirai pas, notre idylle dans les toilettes du Mac Do a duré 5 minutes grand Max. Mais quand on est un nympho comme moi on sait prendre le ma olim de plaisir sans chercher la performance de star du porno. Un bonne baise n’est pas nécessairement une baise qui dure des heures. Il faut savoir varier. Grâce au plaisir que tu m’as donné je peux rentrer chez moi sans avoir envie de tuer la terre entière. Ce soir je serai gentille avec mon mari, patiente avec notre fille et c’est aussi cela qui compte. Merci monsieur Mac Do Nald

Défoncée par la chatte et le cul mais heureuse

Défoncée par un nouvel amant? Juste dans mes rêves, il a fallu attendre. J’ai fait, en bonne mère, bonne epouse, la rentrée des classes hier. J’étais maman pomponnée à l’entrée de l’école primaire avec ma fille. Très loin du cliché de la MILF de vidéo porno défoncée par tous les trous c’était plutôt bises aux autres Mamans, sourires gentils aux Papas qui étaient là aussi.

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Plan cul de chienne défoncée

Heureusement, aujourd’hui c’est ma rentrée plan cul et me voici dans une jolie chambre d’hôtel alors qu’il n’est pas quinze heures. Ca n’a pas traîné, rendez-vous galant dans le café en bas de la rue, un diabolo menthe, je déchausse un escarpin, lui caresse le mollet sous la table et vide mon verre d’un trait pour montrer que je suis pressée de me faire défoncer le cul. Lui ne fini même pas sa bière, laisse une billet de 10€, je le prend par la main et l’entraîne vers mon hôtel à dix mètres. J’aime aussi quand c’est simple, sans préliminaires,  brutal. À peine la porte de la chambre fermée je le plaque contre le mur et l’embrasse à pleine bouche. « J’ai envie de me faire défoncer comme une bonne petite salope. Tu penses que tu peux faire ca pour moi ? Tu vas pouvoir me laisser inconsciente sur le lit, la chatte tellement défoncée que je n’aurai plus envie de baiser avec plusieurs jours ? »

« Faut voir, je suis pas contre une petite salope défoncée, comme tu dis. Mais faut que tu y mettes un peu du tiens. Je veux bien te défoncer la chatte mais montre moi une peu ce que tu sais faire avant. Un bon coup de queue ça se mérite ! » Bon, j’exagère, il n’a pas dit tout ça. Mais sa pression sur ma tête pour que je m’accroupisse devant lui voulait dire ça. Et ça me suffisait. Après quasi deux mois d’abstinence j’avais très envie de sucer une bonne bite. J’aime ce moment où je la sort du pantalon. Je la découvre déjà bandante et dure. Je commence avec la langue, par dessous, puis par le côté et, enfin, je la prend toute entière dans ma bouche pour sucer lentement. Lentement mais de plus en plus profondément. Il tient ma nuque, sans brutalité mais fermement quand même. Juste comme j’aime. Je sens qu’il pourrait me laisser avec la gorge défoncée à la limite de l’étouffement mais il se maitrise. Contrairement à la plupart des mecs lui sait se faire sucer. C’est tout un art de bien se faire sucer. Loin d’être passif il bouge le bassin pour pénétrer un peu plus loin. Il le fait sans brutalité mais sans non plus trop se retenir. Je baisse son pantalon et plante mes ongles dans ses belles fesses. J’arrive assez vite en gorge profonde. C’est un peu suffoquant, malgré ma bouche plus que pleine je gémis en levant des yeux de biche effrayée vers lui. J’enfonce mes ongles plus profondément dans sa chair pour lui faire comprendre qu’il faut quand même me ménager un peu. Message reçu, il tire ma tête en arrière par les cheveux et me relève à son niveau pour me parler à l’oreille en me tenant toujours par les cheveux : »Dis donc, tu m’as lacéré les fesses, ma salope ! Ca peut pas rester impuni un tel comportement…Tu veux te faire défoncer un c’est ça ? »

Défoncée par une bonne fessée après la pipe

Il s’assoit sur le lit, pantalon sur les chevilles et me fait signe de le rejoindre. Je m’agenouille devant lui pour le sucer encore mais il me tire à lui par les cheveux : »Non, suffit la sucette ! met toi là ! »

Il m’installe à plat ventre sur ses cuisses. Je sais qu’il va me fesser et cela m’excite autant que ça m’inquiète. Il remonte ma jupe en prenant bien soin de caresser mes cuisses tout du long. Je suis en collants mais sans culotte et la première claque me prend par surprise. Il a frappé du plat de la main assez fort pour qu’un cri de surprise m’échappe. Les coups pleuvent, du plat de la main. Entre chaque claque il remonte la main le long de mes cuisses. Ne sachant trop quoi faire de mes mains je tiens ses chevilles. A deux mains il déchire mes collants au niveau des fesses. Mes fesses apparaissent sans doute rougies. Les claques ont cessé et il caresse ma chatte mouillée par derrière. Je sens sa verge dure contre mon ventre. Je fini de déchirer moi même mes collants pour lui offrir les jambes nues. J’ai l’impression que se mains sont partout à la fois. Il prend ma main et la conduit vers mon sexe : « je veux que tu te masturbe comme une salope ! »

J’obeïs alors qu’il écarte mes fesses. Et mêle ses doigts aux miens. Il se dégage de sous moi et je me retrouve sur le lit, à plat ventre, une main sous moi continuant à me masturber. Il se couche sur moi, sa bouche contre mon oreille. Il m’ordone De continuer à bien faire ma grosse salope. Je suis une grosse bonnasse qui va en prendre plein le cul. Il pèse lourd sur moi et j’avoue terriblement aimer ça. Gémissements, supplications qu’il me prenne pas le cul, je me tortille pour venir à la rencontre de ses doigts comme par hasard toujours à un millimètre de mon clitoris sans pour autant s’y poser. Il pèse sur moi de tout son poids mais parvient quand même peu à peu à me débarrasser de mes vêtements. Mon chemisier est ruiné, mon soutif arraché et sa bouche baveuse sur chaque surface de peau dénudée.

Puis ça vient d’un coup dans ma chatte. Sa queue dont je n’avais pas anticipé qu’elle serait aussi grosse me pénètre violement et m’arrache un cri de surprise mêlé de plaisir. Il m’a tirée en arrière à plat ventre au bord du lit. Il est debout et me tient fermement les cuisse. Il y va fort, de tout le bassin. Son bas ventre claque à chaque fois contre mes fesses déjà meurtries. Je crie en continuant à me branler le clito. Je tends les jambes pour qu’il me tienne comme si j’étais une brouette. Je hurle car je jouis violement. Sans prévenir il se retire et plaque le bout de sa queue contre mon anus. Je le supplie d’attendre, je ne suis pas prête a être défoncée ainsi. Mais il s’en fout et force le passage. Là je ne jouis plus, douleur à la limite du supportable. Je cris tellement fort que j’ai peur d’alerter la sécurité de l’hôtel. Il plaque se penche sur moi et plaque sa main sur ma tête pour étouffer mes cris dans la couette moelleuse du lit. J’attrape le traversin du bout d’une main libre (l’autre est coincé sous moi encore à moitié dans ma chatte défoncée). Je le mord pour ne pas crier mais aussi pour avoir les narines à l’air libre et pouvoir respirer. Il replace ses mains sur l’avant de mes cuisses et reprend un va et vient démentiel et brutal. A chaque fois qu’il arrive à la garde il cogne contre mes fesse manquant de me déboiter le bassin. Je me fais défoncer comme cela faisait longtemps que ça ne m’étais pas arrivé. L’enculé fait durer. Je n’ai plus la force de crier. J’ai mal mais c’est arrivé à un point au delà de ce qui fait crier. Je m’applique à rester inerte pour ne pas avoir encore plus mal. D’un coup c’est lui qui hurle et se retire pour enlever son préservatif et éjaculer abondamment sur mon dos. Il s’écroule à côté de moi apparemment épuisé. Je reste sans oser bouger les yeux fermés. J’ai mal partout sous la taille mais je suis heureuse comme cela faisait longtemps que je ne l’avais pas été.

Cameltoe et collants

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Le cameltoe, star des collants

Entre les bas et les collants mon cœur et mon cul balancent. La salope que je suis sais que les hommes préfèrent les bas. Tant pour le look sexy que parce que le cul vous semble plus accessible quand nous sommes en bas résilles et talons aiguilles. Mais si l’on pense que de toutes façons je suis ok pour me faire baiser comme une chienne en chaleur ce dernier argument ne tient plus. Au contraire, tout ce qui peut un peu retarder l’orgasme et faire durer le plaisir est bon à prendre. Ainsi les collants, parce qu’ils couvrent entièrement la peau des doigts de pied à la taille sont comme une mince barrière à franchir pour le posséder. Si l’on ajout mon con gonflé en CamelToe qui tend le nylon du collant alors on est bien plus sexy et évocateur que les classiques bas résilles ! J’aime votre bouche mimant un cunnilingus à travers le collant humide de votre salive et de ma mouille mellées. J’aime que vous admiriez par transparence mes fins doigts de pied aux ongles vernis. J’aime vos dents sur mon mollet avec pour seule protection  le nylon qui file si facilement. Et, oui, j’aime le bruit du tissus qui se déchire quand vous ouvrez un passage vers mon cul. Sur ce, je vous souhaite une très bonne nuit ! Je retourne me chercher un plan cul sur cinq à sept pour demain car là je n’en peux déjà plus. Demain c’est plan cul à Rouen pour ma part !

Sinon vous comment ça va ?

Plan cul avec la voisine coquine

Bordeaux centre ville historique. Depuis que l’appart voisin du tiens est passé en AirBnB à l’année tu changes de voisin tous les trois jours. En général ça se passe plutôt bien. Mais ce soir en guise de voisin c’est une voisine coquine qui semble emménager.

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Voisine coquine

Tu m’as observée par l’oeilleton de ta porte, juste en face de la sienne. Oui, c’est moi la voisine coquine en mini jupe et talons aiguilles. Tu as tout le temps de m’observer car la porte du vieil appartement ne s’ouvre pas facilement et je n’arrive pas à faire tourner la clef.

La voisine coquine à besoin d’aide

Il n’y a rien qui m’énerve plus que de me retrouver à la porte d’un AirBnB sans pouvoir entrer. Pour cela l’hôtel c’est quand même plus sûr. Je peste et trépigne ce qui fait tressauter mon petit cul pour ton plus grand plaisir. Toi, derrière ta porte, en position de voyeur tu hésites. Tu pourrais continuer à mâter en douce mon petit cul s’agiter. Mais tu sais d’expérience que les locataires finissent toujours par venir à bout de la serrure récalcitrante. En général ils appellent le propriétaire qui leur explique patiemment que s’ils avaient bien lu les consignes d’entrée ils sauraient qu’il faut lever la poignée à fond pour pouvoir faire tourner la clef dans le sens inverse des aiguilles d’une Rolex. C’est d’ailleur de me voir fouiller mon sac Chanel  de pute de luxe  à la recherche de mon iPhone qui te décide à sortir de chez toi pour venir à la rescousse de la voisine coquine. Enfin, à se moment tu ne te doutes pas que la voisine est une voisine coquine.

Le bruit derrière moi me surprend et, comme le couloir est étroit comme une chatte de lycéenne pucelle, nous nous retrouvons nez à nez quand je le retourne. Tu vois mon visage pour la première fois et n’en est pas déçu. La nouvelle voisine a de grands yeux de biche aux abois et une bouche à pipe. Enfin pas exactement, disons une bouche sensuelle qui te fait penser bouche à pipe. Mais c’est juste parce que tu es un obsédé. En réalité sa bouche n’à rien d’exagéré comme on peut parfois le voir chez certaines Cougars un peu vulgaires. Non, la voisine est juste fraîche et sexy comme un cadeau tombé du ciel. Tombé du ciel mais hélas sans doute inaccessible te désoles tu.

-« Bonjour, laissez moi vous aider, il faut relever la poignée comme cela. J’ai la même porte. »

Tu joins le geste à la parole et , miracle, ma porte s’ouvre.

-« Merci ! Vous êtes un amour ! » et la voisine coquine qui ne te tutoie pas encore rentre chez elle avec son sac Chanel, ses talons aiguilles et sa mini jupe en te fermant la porte au nez.

A peine la porte fermée je me jette sur l’œilleton pour t’espionner à mon tour. Tu hésite à sonner à ma porte mais tu renonces et rentre chez toi. J’ai juste le temps, à travers le prisme déformant du Judas d’envisager tout le potentiel de ton charmant postérieur. Eh oui, nous aussi les filles on aime mâter le cul des hommes ! C’est à cet instant que je renonce à ma recherche d’un plan cul sur internet et que je décide d’être ta voisine coquine pour mon plan cul sur Bordeaux.

La voisine coquine toque à ta porte

Je meurs d’envie de franchir tout de suite les deux portes qui nous séparent et de le jeter sur toi comme une petite salope de film porno des années 80. Mais j’opte pour la patience, je défais ma valise et dispose sur la table basse devant le canapé tout ce qui, j’espère, nous sera bientôt utile :

– huile de massage que je préfère au lubrifiant anal,

– préservatifs de divers goût et couleurs

plug anal en verre

– menottes et martinet

Puis je me ravise. J’ai soudain peut d’en faire trop. Je ne te connais pas aussi bien que si nous avions préalablement chatté en sexcam. Je devine juste que ta voisine sexy ne te laisse pas indifférent. Confiante en moi je n’ai pas trop de doute sur ma capacité à t’amener Jusqu’à mon canapé. Mais j’ai peur qu’une voisine coquine trop hard ne te fasse reculer au dernier moment ou simplement perdre confiance.  Je range les menottes et le martinet au fond de ma valise, les préservatifs ne sont plus éparpillés sur la table basse mais rangés dans un pôt en verre fumé au couvercle lui aussi opaque et l’huile de massage reste là mais le flacon sobre avec son vaporisateur passe inaperçu. Surtout je peux très bien laisser croire que ce n’est pas moi qui l’ai amené dans ce mignon AirBnB. Tout comme le plug anal en verre qui peut très bien se faire passer pour un bibelot quelconque qui n’a rien à voir avec la voisine de passage.

Voilà, tout est en place. Rien de choquant au premier regard mais l’essentiel de ce qui peut pimenter mon plan cul à portée de main.

Je sors sur le palier en prenant bien soin de fermer ma porte assez bruyamment pour attirer ton attention. Si tu es celui que je crois tu es collé à l’oeil de bœuf. Je fais celle qui hésite, j’ébouriffe mes cheveux et remonte mes seins pour les faire un peu pigeonner. Un moyen d’indiquer, si tu m’observes en secret, que j’ai envie de plaire.

Quand je sonne tu me mates bien sûr depuis le début. Tu n’en reviens pas que la nouvelle voisine super sexy soit là, juste de l’autre côté de la porte à attendre que tu ouvres. Si tu avais su tu aurais fait un brin de ménage, tu te serais mis à ton avantage. Là tu as l’impression de ne ressembler à rien. Tu n’es pas négligé, juste un peu banal comme un soir de semaine où rien n’était prévu d’autre que Netflix et un peu de PS4. Mais tu te prends à croire en ta bonne étoile. Pas encore consciemment, pas vraiment. Mais un peu quand même. Tu ouvres et « Oui ? » en souriant le point d’interrogation est ce qui te semble la meilleure chose à dire à la voisine coquine. Enfin voisine coquine, c’est ce que tu te prends de plus en plus à espérer sans en être encore sûr.

Moi je sais que je suis la voisine coquine. Mais j’ai peur que si je dis un truc du genre : « J’ai une envie furieuse de baiser avec toi » tu croies à une sorte de piège et que ça ne marche pas. Quand j’improvise un plan drague j’essaie en général de mentir le moins possible : « Je voulais juste vous dire merci pour tout à l’heure »

 « Ho, de rien…c’est pas très facile les AirBnB quand le proprio n’est pas là.  Si vous avez besoin d’un truc n’hesitez pas, je suis seul et je veille tard. »

 « Merci, moi aussi je suis seule… »

Incroyable ! La putain de nouvelle voisine te drague !? Enfin, tu n’en es pas encore très sûr. Son je suis seule sonnait triste. Plus comme un appel au secours qu’une invitation à une partie de jambe en l’air avec une voisine coquine insouciante. Mais tu devais faire quelque chose parce que même un peu déprimée la voisine était une bombe atomique comme tu en avais rarement vu.

« Heu, écoutez, j’allais commander des sushi (en vrai tu t’appretait à décongeler une pizza mais tu as pensé que les sushis pour la voisine coquine cela serait plus class, et tu n’as pas tord !) si vous voulez on dîne ensemble…heu enfin si vous voulez, je ne veux pas donner l’impression de vous draguer ! »

Ton petit rire nerveux est touchant. La voisine coquine minaude, fais semblant d’hésiter avant de répondre.

-« Ok, mais c’est moi qui paie et on mange chez moi. Et si il y a un peu d’alcool c’est pas de refus… »

La voisine pourtant grande sur ses talons parvient à donner l’impression qu’elle te regarde par en dessous l’air vaguement coupable. C’est vraiment une allumeuse !

-« Vous êtes plus bière ou Rhum ambré ? »

-« Les deux mais seulement si on se tutoie. Dans trente minutes chez moi alors ? »

Elle ne te laisse pas le temps de répondre et s’en retourne chez elle sautillante et guillerette. Cette fille est incroyable, elle peut te donner l’impression qu’elle va fondre en larme sur un regard et l’instant d’après tu la sais prète à éclater de rire. Voisine coquine ou fille un peu perdue en tous cas c’est une sacrée rencontre. La demi heure D’attente qui va suivre va te paraître interminable.

Moi j’ai le temps de me doucher et, surtout, de changer de tenue. Je ne veux pas tout gâcher en faisant la voisine coquine grosse chaudasse qui se fait baiser dans les cinq premières minutes. Alors je joue le contrepied en échangeant ma mini jupe contre un jean moulant, mes talons aiguilles pour une paire de Nikes et j’enfile un pull en cachemire à col roulé sur mes seins nus. Tenue très près du corps qui met en valeur la plastique parfaite. Mais qui me couvre aussi presque totalement. Un jean à un premier rendez vous normalement ça veut dire que la fille n’a pas prévu de coucher. C’est un code vestimentaire universel de la rencontre sur internet !

D’ailleurs quand je t’ouvre la porte (tu as bien cinq grosses minutes d’avance) ma nouvelle tenue te déconcerte. La voisine coquine n’est peut être pas aussi coquine que ça. Entre le sac en papier sushishop, la bouteille de Rhum et le pack de bière tu as forcément l’air un peu empôté. La jolie voisine te laisse entrer dans l’appartement tellement mieux décoré que le tiens. Le salon attenant à la cuisine americaine est simple et élégant avec un grand tapis berbère en laine par terre et un long canapé surplombant la table basse en marbre noir qu’elle te désigne : « Poses tout là si tu veux, je nous cherche des verres. »

Tu t’installes sur le canapé et mate en douce son cul quand elle se met sur la pointe des pieds pour accéder aux verres ballons qui sont sur une étagère en hauteur de la cuisine. Tu aimais mieux la jupe mais tu dois t’avouer qu’elle a un cul de dingue dans son jean moulant.

La voisine coquine vient maintenant vers toi deux verres en main. Ses seins tendent le fin pull de cachemire et tu jurerais qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge. Tu es dans le vrai. Décidément elle est aussi appétissante de face que de fessée. Tu vas avoir du mal à te retenir de lui sauter dessus avant le dessert. Coup de chance pour toi la voisine coquine est une vraie salope qui n’a pas non plus envie d’attendre des heures avant de passer aux choses sérieuses.

 « Je suis vraiment désolé, tu dois me prendre pour une folle. J’ai vraiment un gros chagrin. Je peux me blottir contre toi ? »

Sans attendre réponse elle est sur le canapé blottie dans tes bras comme un petit oiseau fragile. Tu la serres contre toi sans trop savoir quoi faire.

 « Hummm, tu es un vrai gentleman toi…Mais on a un problème… »

 « ?? »

 « Parce que moi là maintenant j’ai envie de passer en mode voisine coquine qui fait sa salope »

Elle prend ta main et la glisse sous son pull, juste entre ses gros seins. L’autre main se retrouve dans sa bouche suçant deux doigts. Un avant goût de ce que je ferai subir à ta queue un peu plus tard. Ses seins sont moelleux avec le bout des tétons bien durs. Tu aimerais les prendre dans ta bouche mais la position ne s’y prête pas. La voisine coquine ne semble pas prête à changer de position. Elle se sent bien de dos sur toi. Elle défait le devant de son jean et guide tes doigts mouillés de salive vers sa chatte intégralement rasée. Ça rentre tout seul, elle mouille déjà. Elle se tortille et veut que tu l’embrasse dans le cou. C’est elle qui défait ton pantalon. Pour mieux sentir ta queue contre ses fesses encore habillées. La voisine coquine est une experte.

-« demain je serai partie et nous ne nous reverrons plus jamais. Alors ce soir profite, prends-moi par tous les trous et fais toi plaisir sans retenue. Défonce moi pour me faire oublier mon chagrin et couvre moi de foutre tiède pour réchauffer mon petit cœur meurtri »

Toi tu ne comprends pas tout ce que la voisine coquine te dit mais, à ce stade, tu t’en fout un peu. Ta bite est juste contre la raie de ses fesses fermes. Elle a baissé son jean. Elle sait bouger juste comme il faut. La voisine coquine tient ton poignet pour que tu comprennes qu’il ne faut surtout pas retirer ton doigt de sa chatte brûlante. À toi de te débrouiller vous de déshabiller d’une main car tu veux sa peau contre la tienne.

Comment faire un cunnilingus démentiel

Fan de cunnilingusLe cunnilingus quand c’est bien fait ça peut être démentiel. Mais n’allez pas croire qu’il suffit de mettre votre langue sur notre sexe pour être adoubé amant du siècle. Un cunni ça peut être complètement raté aussi ! Alors, messieurs, voici quelques conseils pour vos prochains cunnilingus. Et aussi quelques erreurs à éviter absolument.

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Règle d’or du bon cunnilingus : progressivement

Ce n’est pas parce que le cunnilingus est un préliminaire qu’il faut y aller direct. Tournez autour du pot le plus longtemps possible, caressez à travers le tissus de la culotte ou du collant. Ne soyez pas pressé de nous faire jouir avec la langue. Léchez l’interieur des cuisses, embrassez le ventre. Rendez nous dingues, faites nous croire que Le cunnilingus ne viendra peut être jamais. Écartez vous du but. Puis revenez sur le bord de la chatte. Certaines femmes sont timides et ne mettront pas la main sur votre tête pour vous guider. D’autres n’en pourront plus et vous pousseront. Résistez, c’est vous qui êtes à la commande du cunnilingus.

Cunnilingus comme j’aime

conseil cunnilingus : une langue et dix doigts

vous avez dix doigts, autant vous en servir. Pas tous en même temps bien sûr ! On ne parle pas de fist fucking ! Mais sachez mélanger langue et doigts, utilisez aussi vos lèvres pour sucer. En douceur bien sûre au début. Soyez attentif, pas la peine de variez les vitesses et les mouvements comme un dingue. Si un geste semble nous plaire répétez le avec juste d’infimes variations. Un bon cunni c’est un connu qui dure, qui nous amène à un premier orgasme ou qui nous donne envie de votre queue. C’est vous qui dirigez le cunnilingus, c’est vous qui décidez sans demander la permission. Ayez de l’assurance, il n’y a rien de pire qu’un mec qui demande toutes les trente-six secondes si on aime comme ci ou comme ça !

cunni debout, on adore !

Le cunnilingus n’est pas qu’une pratique de canapé ou de lit conjugal. Osez la position du cunni debout ! Par exemple vous nous servez un  grand verre de vin 🍷 ou mieux, un Spritz et vous nous poussez délicatement contre la table de la cuisine ou du salon. Vous descendez d’un étage et entreprenez votre cunnilingus en nous laissant debout, dominante. Je ne connais pas une fille qui résiste à ça !

cunnilingus et touché rectal

Un doigt dans l’anus pendant le conni moi j’adore. Et, bonne nouvelle, toutes les amies à qui j’en ai parlé sont du même avis que moi ! Mais il faut que ce soit au bon moment, quand le cunnilingus est déjà bien en place, qu’on mouille comme une chienne en chaleur et que l’orgasme n’est pas loin. Si vous êtes attentif vous le sentez, le corps se cambre, je miaule (certaines sont silencieuse mais moi pas). À ce moment un doigt dans l’anus peut carrément me rendre folle. Allez y progressivement. Posez d’abord le doigt contre l’anus. Si elle vient à votre rencontre ou gémi un oui timide allez y !

cunnilingus et soixante-neuf

De l’avis général il vaut mieux attendre la seconde fois pour la soixante neuf. Si vous l’avez fait jouir avec un conni parfait alors la fois d’après recommencez mais en vous positionnant de façon à vous faire sucer pendant le conni. Vous avez zéro chances de vous prendre un vent !

prochaine étape la sodomie ?

Forgez vous une réputation de bouffeur de minou

Les fillent parlent beaucoup entre elles. Nous sommes bien plus crues que vous et sachez que si vous pratiquez le cunnilingus l’information ne restera certainement pas secrète ! Un mec qui a la réputation de (bien) faire un cunni est, croyez moi, dix fois plus attirant qu’un autre dont nous ne savons pas si il nous bouffera le gazon. Mon grand frère m’a même avoué un jour de confidence qu’il avait fait un cunni à la meilleure copine de la fille qu’il vivait juste pour qu’elle s’intéresse à lui. Le pire (ou le meilleur) c’est que ça a marché !

 

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