Bon, ceux qui fréquentent mon compte FB l’ont sans doute compris, je me suis découvert une nouvelle passion. Rien à voir avec les plans cul. Il s’agit du tir sportif que l’on peut pratiquer en stand de tir. Cela m’est venu totalement par hasard comme souvent avec les rencontres libertines. J’étais en déplacement en banlieue Lyonnaise et j’avais trouvé sur mon site de rencontre favori un homme qui me semblait prometteur. Passionné de tir sportif il ne cachait pas sa passion pourtant pas très politiquement correcte dans notre beau pays et avouait fréquenter un stand de tir. Intriguée et légèrement excitée je lui donnais rendez vous au stand de tir à côté de l’aérodrome. Il m’avait promis un cour particulier au stand de tir pour me faire essayer un flingue avant de pouvoir tâter de son calibre…
Pour l’occasion je choisissais un look à la Tomb Rider. Pantalon en cuir ultra moulant, Veste en Jean, T-shirt blanc qui mettait en valeur mes seins et bien sûr pas de sous tiff. Pour être vraiment dans le personnage « salope sexy du stand de tir », j’aurais bien aimé arriver sur le parking du stand de tir en Harley mais je n’ai pas le permis moto. Je me contentais donc de ma Fiat 500C de fonction.
Les abords d’un stand de tir sont toujours un peu glauques et celui là n’échappait pas à la règle, surtout le soir après 20h. Mon plan cul m’avait assuré qu’il faisait partie de l’équipe de direction du club et qu’il avait les clefs du local. Je faisais le pied de grue devant la grille depuis quelques minutes qui m’avaient parues fort longues quand sa Jeep Cherokee se garait derrière ma Fiat. Mon type était plutôt grand et baraqué, il portait une mallette qui devait contenir un ou plusieurs flingues.
-« Salut…Lucie ? Alors prête à … tirer ? »
-« Ca dépends, faudrait d’abord voir quel calibre tu proposes. » répondis-je taquine.
-« T’inquiète, tu seras pas déçue… »
Il avait effectivement les clefs du club et me précédait en allumant les néons qui éclairaient d’une lumière crue un décor qui n’avait rien de glamour. Quelques tables dépareillées, des chaises à l’avenant et des casiers métalliques contre un mur. Mais je trouvais la situation très excitante et le type était plutôt bien bâti.
Il déposa la mallette sur la table, fit jouer le mécanisme d’ouverture, clac clac, et ouvrit vers moi sa boite aux trésors. Dans son logement de mousse un flingue au look américain qui me semblait juste à la bonne taille pour moi. Mes recherches ultérieures sur internet me font dire qu’il s’agissait d’un Lady Smith à barillet 6 coups. 357 Magnum, ça j’en suis sûre car il m’a laissé une douille en souvenir de notre séance. Je ne sais pas comment expliquer la chose, je suis tout de suite tombée en amour pour l’objet. Le design me semblait parfait, les matériaux nobles et l’idée du mécanisme associé à une objet investi de tant de pouvoir me faisait littéralement fondre de désir. Je pense que je mouillais déjà ma culotte mais pourtant je ne pensais plus du tout à baiser. Je voulais ce flingue dans mes mains.
Il était très pédagogique et patient. Il m’expliqua la règle du tir à 25m : des séries de 5 coups en dix secondes.
-« Pourquoi cinq alors qu’il y a un barillet de 6 ? » lui demandais-je.
-« Question de sécurité, on ne charge jamais la première balle du barillet, ainsi tu es certaine que le coup ne partira pas tout seul. »
J’adorais la façon dont il me tenait fermement par les hanches pour me placer de profil par rapport à la cible. Ses bras autour de moi pour me montrer comment tenir l’arme m’excitaient mille fois plus que l’aurait fait un prof de tennis dans un mauvais film X !
Mais surtout c’est de viser et tirer à balles réelles sur la cible (que je ratais cependant 3 fois sur 5) qui me transportait d’excitation. Une fois la boite de balles vide j’étais en sueur comme si j’avais couru dix kilomètres mais je n’avais qu’une envie : Refaire une série de cibles. Mais je sentais bien que mon professeur avait d’autres projets pour moi.
Du coup je lui demandais -« On peut en refaire une série avant d’aller à mon hôtel s’il te plait. »
-« Ca dépends, je peux avoir un acompte ? »
A, ça c’était dans mes cordes. Et puis je pensais que cela me détendrait sans doute de le sucer avant de me concentrer à nouveau sur cette putain de cible que je manquais 3 fois sur 5. Je m’agenouillais donc sagement et déboutonnais son pantalon et l’abaissais avec son caleçon pour bien avoir accès à ce qui m’intéressait. J’adore prendre le temps de lécher les couilles et d’embrasser goulument le haut des cuisses avant de sucer. Il avait les jambe très musclées et poilues, il sentait un peu fort mais ce n’était pas désagréable. J’aurais voulu qu’il m’appuie la tête et me force un peu mais il était plutôt passif de ce côté là et se contentait de s’appuyer sur la tablette de la ligne de tir en me félicitant sur ma langue experte. Classique et un peu fainéant mais ce n’était pas trop grave, je décidais de lui faire une super pipe, et je m’appliquais vraiment en pensant qu’après je pourrais à nouveau tâter du flingue. Je le suçais d’abord par le côté, en serrant bien les lèvres comme je l’aurais fait pour humidifier un cigare. En temps normal j’aurais serré sa bite entre mes seins mais là je n’avais pas envie d’enlever mon T-shirt et je ne voulais pas perdre trop de temps. Je décidais de sucer lentement mais en serrant fort les lèvres et en enfonçant le plus profond possible sa queue. Je suçais intentionnellement très lentement mais très fort en plaquant mes deux mains sur ses fesses musclées pour l’enfoncer au plus profond de ma gorge. Je plaquais bien ma langue pour le serrer en même tems que je reculais ma tête jusqu’à n’avoir plus de le bout de son gland entre mes lèvres. Puis, toujours bien lentement je l’engloutissais à nouveau jusqu’à la garde. Il ne m’a pas fallu plus d’une dizaine d’aller retour pour qu’il décharge dans ma bouche. Cela ne me dégoute pas, bien au contraire, j’aime ce moment ou le foutre jailli dans ma bouche. Je continuais même à le sucer jusqu’à ce qu’il ait bien débandé. Je pense que je méritais largement les quelques chargeurs supplémentaires qu’il m’accordais.
Ensuite le plan était de partir du stand de tir et qu’il me suive jusqu’à mon hôtel. Et là, j’avoue que je n’ai pas été fair play du tout. Je lui ai donné l’adresse d’un ibis en zone commerciale alors qu’en réalité je ne descend jamais dans ce type d’hôtels. Mon vrai hôtel était en plein centre de Lyon. Mais, dès que j’ai pu, je l’ai semé. J’avais moins envie de baiser que de me retrouver seule à l’hôtel pour chercher sur internet comment m’inscrire à un club de tir près de chez moi et, surtout comment faire pour avoir le droit d’avoir un flingue.
Lien de remerciement pour la photo dont le dessin sexy est tiré :stand de tir de www.gunsandlace.com
Comment faire une sodomie ? Étrangement cette pratique sexuelle est associée à l’homosexualité. Alors que, bien sûr, le sexe anal est un grand plaisir aussi bien hétérosexuel qu’homosexuel. Enculer sa copine est un souhait normal, souvent partagé sans que vous le sachiez !
La lecture de cet article ne fera pas de vous un spécialiste de la sodomie mais j’espère que vous y trouverez des astuces inédites pour mieux enculer votre copine ou pour vous faire (bien) enculer. Vous allez apprendre comment faire mais aussi comment convaincre votre copine qu’elle peut aimer la sodomie.
Comment bien enculer une femme : Conseil numero zéro
Tout d’abord une idée reçue qu’il faut battre en brèche : le sexe anal ça NE fait PAS mal. En tous cas si ça fait mal c’est mal fait. Sauf si bien sûr la fille veut avoir mal. La sodomie ne doit pas être douloureuse et, oui, bien sûr on peut jouir par le cul !
Comment faire une sodomie, conseil n°1 : La meilleure position
Il serait présomptueux de ma part de dire que je connais LA position qui fait que vous saurez comment enculer votre partenaire sans difficultés. Ce serait présomptueux mais je peux assurément vous dire ce qui a bien fonctionné pour moi et pour la grande majorité des copines avec qui j’en ai parlé. Mon conseil si vous vous demandez comment faire une sodomie est d’oublier la position à quatre pattes. Même si avec le temps et l’expérience c’est une super position je pense que, pour une première sodomie, cette position est inconfortable et ne permet pas que vous puissiez prendre correctement votre temps pour parvenir à bien nous enculer sans nous faire mal. Préférez mettre votre partenaire allongée sur le ventre avec un ou deux coussins sous elle pour relever ses fesses. C’est comme cela que j’ai connu ma première enculade et j’ai tellement aimé que j’en ai fait un billet de ce blog. Une astuce sodomie qui peut aider : utilisez le poids de votre copine pour aider la pénétration anale…
quelques positions sodomie :
la cavaliere : pénétration anale facilité et contrôlée par la fille dans cette position.
La cuillère : pratique pour suscurer des mots cochons à votre copine…
La bougie : difficile pour les débutants. Mais redoutable pour le mec en forme qui veut défoncer le cul de sa meuf.
Dans mes rencontres adultères j’ai pu constater que beaucoup d’hommes sont assez démunis quand il s’agit de m’enculer. Je ne suis pourtant ni farouche, ni trop étroite au niveau de l’anus. Quand j’y repense je me rends aussi compte qu’il s’est passé pas mal d’années entre la perte de ma virginité et mon dépucelage anal. J’espère que ces conseils, trucs et astuces pour savoir comment bien enculer une femme feront de vous un adepte de cette pratique pour le plus grand plaisir de votre (ou de vos) partenaire sexuelle. N’hésitez pas à me laisser des commentaires sur le bas de cet article sur comment faire une sodomie. Je réponds à TOUS les commentaires ! Même ceux du genre comment enculer ma meuf, ou je veux la lui mettre bien profond.
Ceux qui cherchent des photos de belles coquines en train de se faire prendre le cul vont être déçus ici. Je privilégie le texte et les vrais conseils pratiques. On trouve des vidéos gratuites et de bons tutos sodomie ici par exemple : Vidéo gratuite sexe anal.
Comment faire une sodomie ? En savoir davantage sur le sexe anal ? voici donc une grosse dizaine de conseils sodomie. Pour trouver une partenaire de découverte vous pouvez essayer le site copine de sexe qui semble bien fonctionner avec inscription pour essais gratuite.
Enfin, avant de me lancer dans ce florilège de conseil pour savoir comment faire une sodomie je ne saurais que trop vous inviter à dialoguer avec des filles qui aiment cette pratique même si vous ne les rencontrez pas en vrai. C’est gratuit et toujours bon de chatter quand on ne sait pas trop comment s’y prendre.
Pour une première sodomie je ne saurais que trop vous conseiller de vous procurer un lubrifiant efficace. Mon préféré en la matière est celui de la photo ci après car il est combiné avec un effet retardateur très très appréciable…
Comment faire une sodomie, conseil n°2 : Potentiellement on aime toutes ça
Une première chose à savoir si vous vous posez la question de comment amener une femme à la sodomie c’est que nous aimons quasiment toutes la pénétration anale. Certaines disent ne pas aimer la sodomie mais il faut savoir que c’est soit du à une mauvaise expérience passée, soit à une peur de l’inconnu. Rien n’est immuable et si vous suivez à la lignes les conseils que je vous donne ici je vous garanti que les femmes qui croiseront votre couche vont adorer la pénétration anale et qu’elle en redemanderont.
Même si nous aimons toutes potentiellement la pénétration anale il reste vrai qu’une grosse moitié des femmes ne connaissent pas leur potentiel. Par contre il y a une chose que nous aimons toutes sans exception c’est le cunnilingus. Alors si vous en avez le goût lisez aussi comment faire un cunnilingus.
Comment faire une sodomie, conseil n°3 : Faites de la première sodomie un moment inoubliable
Si vous savez ou soupçonnez que cette sodomie sera une première pour votre partenaire il est important que vous fassiez de ce dépucelage anal un évènement exceptionnel dont elle pourra se souvenir avec délice. Pour cela il faut soigner le décor. Payez un bon restaurant, soyez propre et bien habillé ce jour là, si vous le pouvez prenez une belle chambre d’hôtel, à défaut décorez la chambre ou le salon et choisissez un moment de détente. Cela peut être un samedi après une belle promenade ou une séance de running si vous courrez tous les deux un peu. Bref ne pensez pas que vous allez réussir cette première sodomie un mercredi soir après une journée de travail avec le stress d’un réveil le lendemain à 6h45 !
Comment faire une sodomie, conseil n°4 : Lubrifiez
Que ce soit pour une première fois ou même après il faut lubrifier. Je ne dis pas qu’il n’y en a pas qui aiment être enculées à sec mais ce n’est pas la majorité et certainement pas des débutantes en la matière. Donc prévoyez de lubrifier. Cela veut dire avoir prévu le coup ! Ayez à portée de main une huile de massage de qualité ou une lotion pour le corps ou encore un lubrifiant spécialement acheté sur internet ou en sexshop. A défaut vous pouvez bien sur utiliser la mouille de la chatte mais c’est plus aléatoire et cracher dans le cul comme on voit sur certaine vidéo n’est pas nécessairement apprécié…
Personnellement j’ai un petit faible pour les gels lubrifiants dit « retardateurs ». N’en attendez pas des miracles en terme d’effet retardateurs mais c’est quand même pas mal. En tous cas à chaque fois que j’en ai utilisé j’ai l’impression que c’était efficace.
Comment faire une sodomie, conseil n°5 : Commencez par la chatte
La voie du succès est dans la détente de votre partenaire. Plus les muscles de son anus seront détendus plus vous aurez de facilité à l’enculer. N’oublier pas que s’il s’agit d’une première sodomie elle a sans doute de l’appréhension. Et pour nous détendre, messieurs, rien de tel que de bien s’occuper de notre chatte. Cela peut être avec votre bite mais pensez bien qu’il faudra garder de l’énergie pour la suite. Donc je conseille un long cunnilingus avec langue et doigts baladeurs. Prenez votre temps là dessus, n’ayez pas peur de nous faire jouir car, contrairement à vous, messieurs, nous savons jouir plusieurs fois d’affilée sans avoir envie que cela s’arrête.
Comment faire une sodomie, conseil n°6 : utilisez vos doigts
Ils ont bien servi dans notre chatte, il s’agit maintenant de vérifier que l’on est prête pour le grand saut. Commencez par une double pénétration avec vos doigts. un ou deux dans la chatte et un dans l’anus. A ce stade cela devrait aller tout seul et la fille devrait se cambrer pour vous aider et montrer qu’elle aime à fond. Vous vous demandez peut être encore comment faire une sodomie avec votre queue. Mais, je suis maintenant certaine que l’expérience de vos doigts va vous aider. Et puis, autant vous l’avouer, nous les femmes adorons cette sensation d’être ainsi fouillée tout partout.
Comment faire une sodomie, conseil sodomie n°7 : Que si vous bandez bien dur
Si vous bandez bien dur à ce stade alors vous pouvez y aller. Par contre, si vous sentez que vous avez une baisse de régime il vaut mieux ne pas tenter le coup et remettre cela à une prochaine fois. Pas d’inquiétude, avec la façon dont vous venez de la chauffer c’est certainement elle qui vous fera comprendre la prochaine fois qu’il faut réessayer. Bander dur c’est important pour la sodomie ! Quand j’en discute avec mes amies nous faisons toutes le même constat : Si notre partenaire bande un peu mou nous disons que ce n’est pas grave pour ne pas vexer mais nous sommes terriblement frustrées de ne pas sentir une verge bien dure et longue dans notre chatte ou notre cul. Mais cela personne ne vous l’avouera parce qu’on n’est pas non plus méchantes pour le plaisir en général et surtout parce que le dire ne change rien ! Et la taille aussi ça compte bien sûr ! En deuxième lieu après la dureté mais ça compte. Surtout la longueur en ce qui me concerne ! Un amant rencontré sur internet qui l’avait particulièrement longue et dure m’a avoué utiliser un programme d’entrainement pour bander plus dur et plus long. Je dois dire qu’il était irréprochable de ce point de vue. Quel dommage qu’il ait complètement manqué d’imagination par ailleurs et n’ai que si peu de mots à son vocabulaire…
Comment faire une sodomie, conseil n°8 : Forcez le passage…mais pas trop
Tout semble bien en place donc. Allez y franchement car si c’est une première sodomie il est possible que votre partenaire ne soit pas, malgré vos soins attentifs, totalement détendue. N’ayez pas peur, les anus trop étroits sont une légende, Je vous assure que les femmes chient des étrons aussi gros que vous les mecs. Et ça passe par le même trou ! Si cependant ça ne rentre pas à la première ou à la seconde tentative il ne faut pas non plus insister car il n’y a aucune chance que votre partenaire soit plus détendue. N’en faites pas une affaire d’état, comme je le dis dans le conseil précédant avec la façon dont vous l’avez chauffée elle en redemandera forcément la fois suivante.
Comment faire une sodomie, conseil n°9 : Encouragez votre partenaire
Une fois bien enfoncé dans son cul vous pouvez commencer le va et vient. N’oubliez pas d’ajouter un peu de son à tout ça. On n’est plus au temps du cinéma muet et on aime toute être flattées. Dite moi que je suis bonne, que mon cul est trop bon, insultez moi de tous les noms, je suis une salope qui aime ça etcetera…Franchement ce n’est plus le moment d’être timide !
Comment faire une sodomie, conseil n°10 : Un plug anal vous offrirez
L’avoir fait une première fois c’est bien. Je suis sûre que cela n’a pas été facile, même en suivant tous mes conseils pour une sodomie réussie. Sachez que plus une femme pratique la sodomie plus elle aime cela et moins c’est difficile. Pour plus de plaisir et pour faciliter la tâche la prochaine fois vous pouvez offrir à votre belle un plug anal à porter pendant la journée en prévision de l’enculade du soir. Il en existe de très beau et design si j’ose dire pour toutes les bourses.
COMMENT FAIRE UNE SODOMIE, CONSEIL N°11 : L’INSPIRATION TU TROUVERAS
Personnellement je préfère la vraie vie et l’expérience réelle en os et surtout en chair. Mais il faut bien avouer que, quand on est mariée on n’a pas forcément l’occasion de pratiquer tous les quatre matins. Vous trouverez toujours des fanfarons pour revendiquer plusieurs plans cul par semaine avec pénétration anale grace à internet. Mais les personnes sérieuses qui s’y sont essayé savent très bien que ce n’est pas aussi facile qu’on veut bien nous le faire croire. Aussi quand l’occasion se présente il peut arriver de se sentir démuni (ou démunie) et de ne plus savoir ni comment s’y prendre ou simplement de ne plus être en confiance quant à l’acceptation de la pénétration anale. Un bon moyen pour rester concentré sur la question et garder confiance est d’en avoir parlé avant avec des filles qui pratiquent. Cela est possible en Tchat webcam, soit sur une site de rencontre soit, pourquoi pas, avec une hôtesse sexy qui peut aussi vous prouver en direct qu’un bon petit cul peut toujours se faire pénétrer par une bonne bite bien dure ou un gode. Cela peut vous paraître cru de la part d’une fille comme moi. Mais je suis crue et je l’assume !
COMMENT FAIRE UNE SODOMIE, CONSEIL N°12 : LA TAILLE DU PENIS NE COMPTE PAS
Souvent celles et ceux qui n’ont jamais pratiqué la sodomie se posent la question de la taille du pénis. Une amie un peu sotte me demandait si une trop grosse bite ne risquait pas de lui faire mal. Un amant bien monté s’en trouvait complexé au point de ne pas oser me la mettre dans le cul ! Je voudrais rassurer ici chacune et chacun. La taille ne compte pas tant que cela et, pour peu que l’homme bande bien dur et que vous lubrifiez alors ça passera forcément. Il existe des programmes dit sérieux d’amplification de la taille du pénis (ici par exemple). En réalité ça ne marche pas du tout aussi bien que veulent le faire croire les sites (je le sais car je bosse dans le domaine médical). Mais pour la force des érections c’est plutôt réputé efficace…
COMMENT FAIRE UNE SODOMIE, CONSEIL N°13 : LA FILLE TU TROU(V)ERAS
Finalement cette article sur comment faire une sodomie mérite plus que 10 conseils. En voilà donc un onzième. En introduction (anale) j’ai dit que potentiellement nous aimions toute cela. Et je le pense sincèrement. Mais il se peut que de votre côté vous manquiez d’expérience en la matière. Ou que votre copine ne soit pas trop convaincue par la sodomie. Dans ce cas je ne saurais que trop vous conseiller de trouver, temporairement bien sûr, une fille qui aime déjà la sodomie. Ce sera plus facile. Pour cela il faut viser les sites de rencontre à plan cul un peu spécifiques. Moi, quand je veux un plan anal avec fessée (mon péché mignon) je mets une annonce sur copine de sexe. Mais en réalité il y en a d’autres qui fonctionnent bien (n’hésitez pas à me demander en message privé…). Pour aller plus loin ma dernière sodomie.
COMMENT FAIRE UNE SODOMIE, CONSEIL N°14 : Ne pas négliger les nichons
Souvent quand on pense sodomie, on pense grosse queue qui défonce un petit cul ou un gros cul. On est obsédé par l’idée de quitter le vagin pour se diriger vers l’anus et assurer une bonne pénétration anale digne d’un porno hardcore. Sachez messieurs que pour assurer par derrière il faut parfois utiliser des voies détournées et aussi s’intéresser à ce que nous avons devant : Les seins. Personnellement j’avoue ne pas me souvenir d’avoir été sodomisée par un homme que je n’aurais pas sucé avant. En général la sodomie vient comme un point d’orgue dans nos relations sexuelles. Et donc, pour maitriser la sodomie il faut bien souvent avoir fait ses gammes. Le plaisir de bien enculer vient après la branlette espagnole et quelques délires SM soft.
L’année dernière, début mars, je me trouvais à Pau en même temps que le salon professionnel SAPHIR des métiers de bouche. Mon déplacement à Pau n’avais rien à voir avec ce salon et, fort heureusement, je m’y étais prise à l’avance pour réserver une chambre à l’hôtel Roncevaux. J’aime beaucoup ce bel hôtel du centre historique de Pau qui, en plus d’être cossu propose des chambres très bien insonorisées. Non pas que le bruit des autres me dérange mais j’ai tendance, parfois, à être plutôt démonstrative quand je suis en mode plan cul à Pau (ou ailleurs)…
La semaine précédant mon déplacement j’avais beaucoup trainé sur internet, alternant les séances de SexCam et surf au hasard de mon désœuvrement. J’avais été très excitée quelques jours avant par une vidéo porno un peu vintage où l’on voyait Julia Channel punie se faire corriger par son prof. Aussi j’avais décidé que mon prochain plan cul serait sur le thème écolière fessée et punie par son professeur. Ne reculant devant aucun sacrifice je m’achetais un déguisement d’écolière japonaise ultra sexy que je rangeais dans ma valise en cachette de mon mari pour mon déplacement à Pau.
Rendez vous était donné à mon plan cul directement à l’hôtel et je l’avais bien sûr mis au courant du thème que j’avais choisi pour qu’il puisse lui aussi se préparer comme il se doit. Mon costume d’écolière était composé d’une jupe bleu marine avec un mince liseré blanc, d’une chemise blanche très échancrée et d’une large cravate dans le même tissu que celui de la jupe qui m’arrivait juste au dessus du genou. J’avais complété d’une paire de baskets Converses bleu marine et de chaussettes montantes blanches. Bien sûr, une culotte blanche de marque petit bateau. Je ne suis pas myope mais j’avais jugé plutôt sexy de porter des lunettes à large monture en écaille de tortue ce soir là.
Dans cette tenue que je jugeais plutôt sexy, j’attendais donc avec un peu d’appréhension mon prof qui devait me rejoindre dans la chambre vers 20h.
Pile à l’heure il ne frappait pas (à la porte…) et entrait directement me surprenant alors que je regardais par la fenêtre la rue Louis Barthou. Il était vêtu d’un costume sombre, la quarantaine, mince, l’air plutôt bien fait mais s’aidant d’une canne de marche. Sous le bras il avait un grand porte documents en cuir fauve.
« Je vois que vous rêvassiez jeune fille. Pffft, comme d’habitude ! » me dit-il en posant sa canne à plat par terre et en ouvrant sa serviette pour en sortir une copie couverte d’annotations en rouge.
« Oui monsieur, pardon monsieur. »
« J’ai votre copie de géographie sur le Béarn et la ville de Pau. C’est nul, 2 sur 20 et encore je suis indulgent. Vous connaissez le tarif pour un travail aussi médiocre j’imagine. »
« Non monsieur…Mais je m’en doute un peu. » Répondais-je sur la défensive.
Il s’assit sur le bord du lit et me fit signe se me mettre en position pour une bonne fessée. Je m’exécutais trop contente de la tournure que prenait la soirée. Il a immédiatement relevé ma jupe, baissé ma culotte petit bateau et m’a administré une fessée magistrale, frappant, certes, du plat de la main mais vraiment sans ménagement pour mes fesses qui devaient sans doute bien rougir sous ses coups. Je criais pour l’encourager en m’efforçant de ne pas rire pour rester bien dans le personnage. Ce n’était pas simple car en réalité cela était plus excitant que douloureux.
« Ne crois pas que tu vas t’en tirer à si bon compte. Cela était juste un préliminaire parce que tu rêvassais à la fenêtre. Pour la copie de géographie tu n’as pas encore payé. Maintenant à genoux, mains sur la tête ! »
Il me désignait sa canne posée par terre et je compris que je devais me mettre à genoux avec la canne juste sous les rotules. Apparemment nous avions les même références filmographiques…Pour le coup, après même pas trente seconde cela était vraiment douloureux et de vraies larmes me montaient aux yeux. D’autant plus qu’il prenait son temps, tournant calmement autour de moi en boitant légèrement. Il sortit sa belle bite de son pantalon et se planta devant moi. Alors que je prenais sa queue dans les mains pour le sucer il me frappa à nouveau sur le dos de la main cette fois.
« Tss Tss, on garde sagement les mains sur la tête, mauvaise élève, je veux juste te baiser la tête. On fera au moins rentrer quelque chose dans cette cervelle de moineau ! »
Me pressant sans ménagement derrière la tête il s’enfonçait au plus profond de ma gorge. Avec sa canne toujours sous mes genoux j’endurais un véritable supplice et je pleurais presque autant que je mouillais. Après quelques minutes de va et vient dans ma bouche il m’a fait poser les mains par terre pour me mettre à quatre pattes en prenant soin que je garde bien les genoux sur sa putain de canne. Il avait amené un martinet et, après avoir relevé ma jupe d’écolière, il me fouetta le bas des reins et les fesses. Mais la douleur était presque un soulagement car elle me faisait oublier mes genoux qui me faisaient souffrir le martyr.
J’allais me relever et mettre un terme à ce jeu douloureux quand les coups cessèrent d’eux mêmes.
-« Bon, je pense que tu en as assez pris, tu as bien compris la leçon. On peut commencer le travail de révision. »
Il me désigna un coussin qu’il avait jeté à terre à côté du lit.
-« Tiens, tu peux reposer un peu tes genoux de souillon si tu veux. »
Je prenais vite place craignant qu’il ne change d’avis. Le coussin n’était pas très grand et je devais serrer les jambes pour avoir mes deux rotules meurtries enfin soulagées. Les coudes sur le sommier du grand lit mon confort s’était largement amélioré.
Il ouvrit devant moi un livre ancien sur l’histoire de la ville de Pau et du Béarn afin que je puisse le lire à voix haute.
Je m’exécutais pendant qu’il me prenait en levrette très tendrement. En tous cas je trouvais cela tendre en comparaison de ce qu’il m’avait fait subir juste avant.
« Pau devient Capitale du Béarn au quinzième siècle…hummm…grâce à Gaston IV de Foix-Béarn qui transfère sa capitale d’Ortez à Pau après…hummm oui c’est bon….avoir convolé en justes noces avec l’infante de Navarre…Humm. »
Pour le coup c’était vraiment bon. J’aurais aimé qu’il s’occupe aussi de mon anus et me sodomise mais je pense que j’avais, à cette époque, le trou trop serré et il ne fit qu’un essais infructueux juste avant de revenir jouir dans ma chatte.
Autant dire que je garde de Pau un excellent, quoique douloureux, souvenir et que j’ai hâte d’y retourner en mars prochain !
Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas vous parler aujourd’hui de mes frasques sexuelles ni de mes dernières rencontres ou émois en sexcam. Non, dans ce petit billet j’ai décidé de remercier et de partager les 6 blog sexy que j’aime et dont j’essaie de m’inspirer. Je tiens à m’excuser auprès des lecteurs qui attendent une liste de liens vers des sites truffés de photos hard et de vidéos de sodomie sauvage vous ne trouverez rien de tout cela dans ce post. Pour moi le sexe doit se vivre dans de vraies chambres d’hôtel avec un contact physique réel. Et pour ce qui est de la défonce anale, d’aucuns peuvent témoigner que je ne suis pas la dernière à aimer quand c’est par derrière…
Super blog de rencontre soft sur internet. Un peu politiquement correct et bien pensant (à mon avis bien sûr). Mais je trouve courageux et bien écrit. J’aimerais trouver un jour la version fille et libertine de ce blog. Alors en attendant, j’essaie, à mon échelle d’écrire cette version…
Clarissa rivière écrit merveilleusement bien les histoires de cul et son blog sexy est riche et fourni. Je la lisais beaucoup en secret lorsque j’étais une bonne épouse fidèle. Maintenant que je me suis bien dévergondée je continue néanmoins à la lire avec délectation. Mon seul regret est que la plupart des récits soient fictionnels. J’aime la vraie vie, les relations réelles et charnelles…
Bon, disons le tout de go, le live show n’est pas ce que je préfère mais je le fais occasionnellement pour arrondir mes fins de mois ou tout simplement lorsque j’ai repéré une paire de chaussures qui me plait ou que je veux m’acheter des accessoires sexys haut de gamme sans avoir à utiliser le compte commun…
Cependant je dois bien avouer que ce n’est quand même pas désagréable de m’exhiber à des hommes via ma webcam HD et en plus de faire quelques sous grâce à cela…Je le fais aussi quand je m’y suis prise trop tard pour trouver un plan cul ou que je n’ai pas forcément envie d’un mec dans ma chambre d’hôtel mais que je veux ma dose quotidienne de baise. Continuer la lecture de Live show sexy, ça m’arrive !
Dépucelage anal, choisir le thème de mon premier billet n’a pas été si difficile tant cette expérience a été marquante pour moi. Je décide donc de vous raconter mon dépucelage anal.
Avant de me retrouver cocue et de décider, en janvier 2014, de m’adonner aux rencontres coquines sans lendemain pendant mes déplacements professionnels, je dois avouer que j’étais plutôt novice niveau baise. J’avais eu quelques expériences de jeunesse et une sexualité que je pensais plutôt épanouie avec mon mari mais j’avais toujours refusé la sodomie. Il faut dire qu’on ne me l’avait pas non plus proposée de manière insistante.
Arrivée au château de mon dépucelage anal
C’était le mardi 4 mars 2014, en Charente, je devais visiter une grosse pharmacie de Cognac le mercredi matin ce qui me donnait un prétexte idéal pour prendre une nuit d’hôtel la veille. Comme j’adore les beaux hôtels et que mon patron me laisse pas mal de liberté j’avais jeté mon dévolu sur le Château de Brillac près de Jarnac là où est enterré François Mitterrand. J’arrivais vers 21h00 avec ma jolie Fiat500 de fonction et je prenais plaisir à entendre le gravier de l’allée qui menait au château crisser sous les pneus alors que je roulais au pas. Marco07 que j’avais branché la veille sur Infidèle Messenger me suivait dans une Renault Mégane assez banale. Cela commençait mal, il m’avait pourtant paru plutôt distingué dans nos brefs échanges par webcam. J’en étais seulement à mon cinquième plan cul en deux mois et à part une exception qui m’avait incité à persévérer j’avais été plutôt déçue jusqu’alors. Pas dégoutée, non, mais juste un peu déçue. Je le laissais se garer à côté de ma voiture et sortir en premier. Il ne faisait pas trop sombre, l’extérieur du château étant assez bien éclairé. Je constatais avec satisfaction que Marco07 avait un costume plutôt bien taillé et des souliers vernis impeccables. Eh oui, il faudra vous y faire je suis comme cela, pour moi l’emballage compte autant que le contenu. De mon côté je portais un tailleur gris perle, des bas noirs et une paire de bottines sans talons. Plutôt grande je ne voulais pas intimider le monsieur. J’ouvrais grand la porte de la Fiat et prenais soin de pivoter sur mes fesses en relevant mes longues jambes pour lui laisser l’occasion de mâter un peu. Marc, car c’était son vrai prénom je suppose, s’avança vers moi et me fit la surprise d’un baise main en guise de salut. J’avoue avoir été un peu désarçonnée par ce geste d’un autre âge, surtout pour un homme dans la quarantaine supposément en quête d’un plan cul sans lendemain. Il vit mon sac de voyage en cuir sur la banquette arrière et s’en chargea sans un mot, lui n’avait aucun bagage. La propriétaire du Château de Brillac nous attendait et comme c’est moi qui m’avançait en premier elle me donna la clef de la chambre n°7, à l’étage. En véritable Gentleman il me laissa passer devant, sauf pour l’escalier où, habillement, l’air de rien, il me dépassa pour ne pas être derrière moi dans la montée. C’était la première fois que l’on me faisait cela. D’habitude les hommes aiment reluquer mon petit cul, surtout quand je monte des escaliers ! Mais cette fois c’était moi qui me retrouvais à admirer ses fesses qui tendaient légèrement la toile de son pantalon. Un plaisir dont je lui étais reconnaissante et qui ne devait sans doute rien au hasard.
Dans la chambre n°7
Arrivés dans la chambre nous ne nous étions pas adressé la parole et, notre seul contact physique avait été ses lèvres effleurant le dos de ma main. C’est trop beau pour être vrai pensais-je, ça va foirer, c’est bien ma veine je suis tombée sur un timide. Comme s’il avait deviné mes pensées il me dit : »Voulez vous, Madame, que nous prenions une douche ? »
Ce vouvoiement suranné, accolé au Madame, me fit sourire et je décidais de rentrer dans son jeu. Je m’entendis lui répondre de manière un peu guindée : »Très volontiers, Monsieur, rejoignez moi dans la salle de bains. » Et je filais vers la douche Italienne en tirant la porte derrière moi pour me dévêtir à l’abris de son regard. J’étais déjà sous le jet d’eau quand il me rejoignit entièrement nu à l’exception de son alliance qu’il avait gardée. Je ne savais pas si c’était parce qu’il ne pouvait l’enlever ou si c’était à dessein. Mais je penchais pour la seconde hypothèse. Il m’embrassais en me caressant la chatte d’une manière très convaincante. Surtout je sentais l’or de son alliance contre mon clito et c’était juste divin. Pour moi qui ne digérais toujours pas d’être cocue, me faire caresser par l’homme d’une autre me donnait l’impression de rétablir un certain équilibre. J’aurais bien voulu le sucer pour lui manifester ma reconnaissance mais il ne m’en laissa pas le temps, me repoussant délicatement vers la chambre. Il me fit m’allonger sur le ventre au milieu du grand lit. Je remarquais au passage ses vêtements pliés soigneusement sur une chaise et un préservatif encore dans son emballage carré posé sur un oreiller. Ouf, je ne sais jamais trop comment amener le sujet et là il avait déjà tout prévu avant de me rejoindre. Pour un plan cul internet j’étais conquise, c’était du top niveau !
Il se mit à califourchon sur mon dos et entrepris de me masser délicatement la nuque et les épaules. Il prenait son temps, ne semblait pas pressé alors que moi je mouillais déjà comme une chatte en chaleur. Ce dépucelage anal j’en avais tellement envie ! Mais le massage était vraiment bon, ferme mais pas brutal. Au fur et à mesure qu’il descendais le long de mon dos je le sentais se décaler sur moi et son pénis était maintenant en plein sur la raie de mon cul. Comme il ne disait rien je n’osais gémir ou l’encourager. Je me souviens que j’aurais voulu garder sa bitte sur mes fesses mais qu’il a continué à descendre pour me masser les cuisses. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais ça me semblait une éternité et un délicieux supplice qu’il prenne autant son temps. Puis il a pris le préservatif sur l’oreiller mais aussi l’oreiller qu’il m’a glissé sous le ventre. J’ai senti un liquide froid le long de ma raie. Je pense qu’il avait dû récupérer l’échantillon de lotion pour le corps dans la salle de bain. Je pensais qu’il allait continuer à me masser mais il a directement mis sa verge contre mon anus et a forcé d’un coup pour ce qui devait être ma première sodomie. Là je peux dire que j’ai crié ! c’était fort douloureux et en même temps super excitant. Le contraste entre son comportement doux et respectueux du début et la violence avec laquelle il me ravageait littéralement l’anus maintenant était saisissant. Je ne savais plus où j’étais ni qui j’étais, je me souviens que je criais mais qu’en même temps je ne voulais surtout pas qu’il s’arrête. D’une main il me tirait par les cheveux et de l’autre il me fouillait la chatte. Dans tout ce mélange de sensations extrêmes il est étrange que je me souvienne encore d’un détail comme le métal de son alliance que je sentais contre mon clito. Je suis pourtant bien sportive mais quand il a fini par jouir dans mon cul pour s’effondrer ensuite à côté de moi j’étais complètement rincée et je n’avais qu’une envie : ne plus bouger et dormir jusqu’au lendemain. Ce que je fis égoïstement d’ailleurs. Le lendemain quand le réveil de mon iphone5 sonnait il n’y avait plus aucune trace de l’auteur de mon dépucelage anal dans la chambre, à part l’enveloppe en aluminium du préservatif dans la corbeille à papier à côté du petit bureau.
Si vous avez aimé ma petite histoire et que vous l’avez lue jusqu’au bout vous aimerez peut être cette bande dessinée. Si vous la prenez sur le site en lien je gagne 1€ au passage (autant être transparente !).
Post rectum : J’ai pris en souvenir une photo de la chambre de mon dépucelage anal.