Petit cul, 10 choses à faire avec le mien

MonPetitCul

C’est les vacances. Mon petit cul s’ennuie à mourir. Pour moi et mon petit cul, qui dit vacances dit famille et pas de travail. Du coup aucun déplacement et mon mari qui me colle sans pour autant s’occuper de mon petit cul comme je voudrais. En attendant j’ai donc décidé d’écrire ce petit texte avec les 10 choses que je voudrais que l’on fasse à mon petit cul. A retenir pour la rentrée…J’espère qu’il vous plaira, n’hésitez pas à me laisser un commentaire bien coquin ou lubrique pour me changer les idées !

Petit cul, envie numéro 1

Déjà je voudrais que vous le matiez attentivement. Je ne me tape pas une quinzaine de kilomètres de running par semaine en plus des séances d’abdos fessiers pour que mon petit cul passe inaperçu ! Regardez le rouler légèrement à chaque pas sous la toile tendue de mon shorty. Délectez vous de la couleur ambrée qu’il prend lorsque viennent les mois de soleil. Si vous montez les escaliers derrière moi et que je suis en mini prenez plaisir à entrapercevoir ma chatte qui sera bientôt elle aussi pour vous.

Petit cul, souhait numéro 2

Vous l’avez bien maté. Il vous plait j’imagine. Alors j’aimerais qu’en public vous marchiez avec moi la main bien contre mon petit cul. Je veux à chaque pas sentir votre main dans la poche de mon short. Je veux que les passants se retournent sur nous et qu’à ce moment vous me caressiez négligemment ou passiez un doigt sur ma raie. J’aime que mon petit cul de belle salope fasse envie au plus de gens possible et que les rombières coincées au cul serré qu’on n’y passerait pas une allumette en soient choquées.

Petit cul, désir numéro 3

Sur la plage passez y la crème à bronzer. Si je suis sur la plage avec mon mari et que je lui demande de me passer la crème à bronzer. Il me fait cela à la va vite. Comme pour se débarrasser d’une corvée. Je sais que mon petit cul ne le laisse pas indifférent mais il est d’un convenu et d’une timidité qui m’exaspèrent. Parce qu’il y a des gens autour il ne s’attarde pas comme vous le feriez, j’en suis sûre ! Commencez par mes épaules, puis mon dos, puis mes reins, là attardez vous un peu, étalez mais massez en même temps. Enfin descendez vers mon petit cul. J’ai un monokini mais faites le descendre un peu pour me passer la crème. Badigeonnez moi aussi les cuisses et remontez en massant vers mon petit cul qui n’attend que vos mains expertes. Osez passer la main carrément sous mon maillot pour huiler mon petit cul juste vers l’anus. Frôlez même ma chate pourquoi pas.

Petit cul, aspiration numéro 4

Il est tant de nous retirer dans cet appartement de location rikiki mais désert en milieu d’après midi. Je vous sucerai peut être plus tard mais à je veux qu’il n’y en ait que pour mon petit cul. Vous l’avez choyé tout à l’heure dehors maintenant il est temps de passer aux choses un peu plus sérieuses. Prenez moi sur vos genoux comme une étudiante indisciplinée qu’il faudrait un peu corriger. Mon T-shirt relevé pour que la peau nue de mon ventre soit au contact de vos cuisses que j’imagine musclées. Vous baissez mon shorty et ma culote mais ne me fessez pas tout de suite. D’une main vous pincez en tordant comme lorsqu’enfants nous tirions un trèfle au pouilleux massacreur. De l’autre vous me maintenez avec autorité plaquée ainsi contre vos cuisses. Mon petit cul commence à être aux anges !

Petit cul, action numéro 5

C’est un peu rouge là où vous avez pincé. Je suis prête pour la fessée. Allez y franchement, variez un peu les angles. J’aime particulièrement de bas en haut, votre main partant de la hauteur de mes cuisses pour frapper mes fesses juste en remontant. Chatiez mon petit cul jusqu’à le faire rougir un peu. Vous sentez mes ongles crispés sur vos mollets à chaque coup sur mon petit cul maintenant brulant de désir autant que de douleur ? J’ai été bien vilaine, et je le mérite mais il va être temps de passer à la phase n°6.

Petit cul, phase numéro 6

Allongez moi maintenant sur le ventre en travers du lit. Mon petit cul a besoin de réconfort. Il est temps d’embrasse, de souffler tendrement là où vous l’avez meurtri. Léchez l’intérieur de mes cuisses. Bouffez moi un peu la chatte. Mais pas trop. J’avoue aimer plus la queue de bœuf que la langue.

Petit cul levrette en numéro 7

Vous passez les mains sous mon ventre et me relevez pour que je sois à genoux. Mon petit cul se tend maintenant vers vous. Il est plus que temps de me prendre en levrette. C’est ma position préférée. D’abord les jambes légèrement écartée pour vous faciliter l’accès. Prenez le temps de presser de vos mains mon petit cul en même temps que vous me baisez comme une chienne. Petit retirez vous, je serre maintenant les jambes. Voyez ma chatte est toujours accessible et la levrette se fait plus étroite. Vous pouvez y aller plus fort, préparant mon anus de votre pouce pour l’étape suivante.

Petit cul enfin la sodomie pour l’étape 8

Le pouce rentre sans difficulté. A ce stade je couine déjà comme une truie en général. Vous pouvez m’enculer sans crainte. Mon petit cul n’attend plus que ça pour être comblé. Défoncez moi comme il vous plait, l’heure n’est plus à la timidité. Penchez vous sur moi lorsque vous êtes bien au fond de mon petit cul. Restez un peu ainsi, engagez vos doigts dans ma cramouille trempée et essayez de sentir votre queue de l’autre côté. Je me tortille de plaisir et je ne sais sans doute plus où j’habite.

Petit cul étalez bien le sperme en 9

Si vous jouissez enfin, s’il vous plait faite le à l’extérieur, En plein sur mes fesses. Etalez votre foutre sur mon petit cul comme vous le faisiez plus tôt avec la crème solaire.

Petit cul, partez et laissez moi rêver à 10

Maintenant partez, que je ne vous revois plus jamais. Laissez moi savourer le souvenir de cette journée consacrée rien qu’à mon petit cul. Que je puisse m’en remémorer chaque instant et le garder comme un précieux secret qui n’appartient rien qu’à moi. Ne laissez pas de numéro de portable griffonné au dos d’un ticket de parking. Je ne vous appellerai pas.

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Baise en voiture 3 sur 3

Jaguar

 

-« C’est nous ! » lançait Christophe à la cantonade en entrant dans leur beau duplex.

L’entrée donnait sur un couloir d’où l’on pouvait voir leur grand salon. La femme de Christophe se levait du canapé pour venir vers nous. Je m’attendais à ce qu’elle me tende la main mais, malgré la bonne quinzaine d’années qui devait nous séparer elle me claquait trois bises familière comme si j’était une copine de lycée. A ma grande honte je ne me souvient plus du tout son nom. Christophe a fait vite les présentation : »Lucie, la collègue dont je t’ai parlé, Machine, ma femme. » Bon, bien sûr il n’a pas dit Machine mais comme je ne me souvient plus le nom disons que j’aurais l’impression paradoxale de la trahir un peu plus si je l’affublait d’un nom qui n’était pas le sien. Va donc pour Machine.

Machine était aussi blonde que je suis brune. Mais la comparaison s’arrête là. Petite et en léger surpoids j’imagine à son visage qu’elle avait du être jolie entre 15 et 30 ans. Mais les années sont parfois cruelles et à sans doute plus de 45 elle me semblait effectivement manquer de tout ce qui peut émouvoir un homme aussi fringant et distingué que mon tout nouveau collègue.

-« Dis donc, grand cachotier, tu ne m’avais pas dit que ta collègue (là elle mimait de guillemets avec ses doigts) était une bombe atomique » Lança-t-elle en m’adressant un clin d’œil appuyé tout en partant vers la cuisine chercher ce que je devinais être une bouteille de Prosecco puisque l’Aperol était déjà sur la table basse avec de grandes flutes à champagne vides.

-« Vous, enfin Tu, si tu permets que je te tutoie, connais le Spritz ? » me demandait Machine.

-« Bien sûr et j’adore ! » répondis-je spontanément en tendant l’une des coupes dont je venais de me saisir.

C’était étrange, d’ailleurs toute cette soirée a été étrange, Machine me faisait l’effet d’une vieille tante que j’aurais toujours connue. Elle était enjouée sans me sembler futile. Elle semblait sincèrement s’intéresser à moi. Avais-je des enfants ? Elle voyait à mon alliance que je garde presque toujours que j’étais mariée. Comme je trouvais son mari dans le travail ? Quels étaient mes auteurs préférés ?

Habilement, l’air de rien, sans jamais paraitre insistante ou lourde, elle menait sa petite enquête. Loin de me bombarder de questions elle semblait savoir toujours placer une anecdote sur elle ou son mari pour amener le sujet sur lequel elle souhaitait me poser une question. Christophe, lui, me semblait s’effacer petit à petit. Ce n’est sans doute pas exactement ce qui se passait mais c’est en tous cas le souvenir étrange que je garde de cette soirée passée dans leur appartement. De fait c’est bien Christophe qui faisait les aller retour entre le salon et la cuisine pour aller chercher les assiettes de tapas et amener les couverts pour mettre la table. Lorsque je me proposais pour aider Machine me posait la main sur l’avant bras pour me dire de laisser SON Christophe faire.

-« Laisse, il est adorable mais il n’a pas beaucoup de conversation, ça l’occupe de mettre la table ! » A nouveau un clin d’œil appuyé que j’était bien incapable d’interpréter.

Plus la soirée avançait et plus je me sentais complice et proche de Machine dont j’ai vraiment honte d’avoir zappé le prénom. Christophe, à l’opposé me semblait de plus en plus terne. Insignifiant et, pour tout dire, un peu ridicule à placer au millimètre près fourchettes, couteaux et cuillères autour des assiettes en porcelaine de limoge. La soupe de lentilles était simplement délicieuse avec une fine tranche de Pata Negra rendue croustillante par un bref passage au four. Mais quand Machine m’apprit très fière de son époux qu’il avait tout préparé lui même et qu’il avait très à cœur de toujours cuisiner pour ses invités je m’étonnais d’en être légèrement déçue. Pourtant, en y réfléchissant à deux fois, cela cadrait bien avec le Christophe maniaque de sa belle voiture anglaise. Tout me semblait totalement surréaliste à ce moment là. Après la soupe de lentilles vint une petite boule de glace à la poire avec un alcool du même fruit. Puis des ris de veaux au morilles. Des ris de veau ! quel mec cuisine des ris de veau en semaine ? Personnellement je n’en avais jamais vu ailleurs qu’au restaurant. Nous n’étions pas si loin de Bordeaux et pourtant le vin était un Nuit Saint George qui me paraissait très bon. Mais j’avoue être assez inculte en la matière. Christophe faisait le service tandis que Machine et moi bavardions comme deux vieilles amies de longue date. Surréaliste vous dis-je !

Bon, l’avantage de tout cela c’est que je ne risquais vraiment plus de mouiller ma culotte. Enfin mon Jeans puisque la culotte était roulée en boule au fond de mon sac à main. La douce complicité de cette femme entre deux âges qui me parlait maintenant littérature et l’attitude effacée de mon soit disant collègue qui tenait plus du maître d’hôtel que de l’amant audacieux m’avait ôté toute envie de baiser.

Le dessert était lui aussi mémorable. Des poires au vin servies très fraiches avec une pointe de piment de Cayenne en remplacement de la traditionnelle cannelle.

Un peu avant minuit Christophe proposait de me reconduire à mon hôtel. J’hésitais à décliner et à dire que je pouvais appeler un Taxi. Mais une petite voix en moi me disait que tout n’était peut être pas perdu.

Sur le seuil de l’ascenseur Machine plaisantait en nous recommandant d’être bien sages. A peine les portes de l’ascenseurs étaient-elles refermée que sans que je comprenne pourquoi je me retrouvais instantanément brulante de désir pour cet homme qui me paraissait totalement insignifiant quelques secondes plus tôt. Je vais vous paraitre complètement timbrée après le récit que je viens de faire de cette soirée et la confession de ma perte d’intérêt pour l’homme qui partageait avec moi maintenant les trois mètres carrés de l’ascenseur. D’ailleurs je pense que je ne suis pas très normale moi même. Mais je me retrouvais collée à lui comme s’il ne s’était rien passé du tout entre notre précédente étreinte quelques heures plus tôt dans le même ascenseur. Je l’embrassais à pleine bouche et cette fois c’est moi qui mettait la main dans son pantalon pour sortir sa queue merveilleuse et le branler en continuant à tourner ma langue dans sa bouche. Lui me pressait cette fois sans retenue les seins et prenait à pleine main mes cheveux pour les tirer en pressant ma tête contre la sienne pour continuer notre baiser. Je me décollais de sa bouche pour lui dire à l’oreille que je comptais sur lui pour me prendre par tous les trous comme une chienne. Je voulais être sa pute gratuite et personnelle, il pouvait m’humilier et baiser ma bouche à fond. Je voulais sa queue toute entière dans mon cul de grosse salope. Arrivés au parking il me tirait par les cheveux jusqu’à sa voiture et ouvrait la porte arrière.

-« Installe toi grosse salope, tu vas bien en prendre plein le cul, t’inquiète pas ma jolie ! »

J’avais complètement oublié Machine et son attitude de mari effacé à ce moment là, je peux vous l’assurer. Il me poussait sans ménagement sur la banquette arrière et je me retrouvais à genoux. Les menottes étaient toujours sur la banquette arrière mais nous étions trop pressés l’une comme l’autre pour songer à en faire usage. Comme il entrait dans la voiture derrière moi et fermait la portière il me commandait : »Vire moi ce Jean de pute que je vois enfin ton cul de bonne grosse salope ! » Je m’exécutais tendis qu’il se dessapait lui aussi. Il n’était plus question de préliminaires mais heureusement je constatais qu’il enfilait un préservatif. Je me demandais s’il l’avait depuis le début dans sa poche ou s’il venait de le prendre dans le bac de la portière de la jaguar. C’est quand même marrant le genre de questions qui me viennent dans ces moments là ! Il me prit direct en levrette et comme sa bitte était bien longue je ne pu retenir un long cris de plaisir. Autant à l’aller j’avais pris mon temps à le sucer lentement et il me semblait lui aussi délicat et patient, autant là il y allait avec une délicieuse brutalité et me ramonant à fond, claquant mes fesses avec son ventre mais aussi du plat de la main. La banquette arrière de la jag ne couinait pas du tout mais les amortisseurs et l’assise accompagnaient avantageusement ses va et viens sauvages.

-« T’aime ça hein grosse salope ? »

-« Oui c’est bon ? »

-« Bin dit le alors que tu es une grosse salope qui aime la bitte. »

-« Oui, j’aime la bitte, mais c’est surtout la tienne que j’adore ! Elle est trop bonne, vas-y, encore, met la moi toute ! T’arrête pas ! »

C’était juste parfait, il me défonçait la chatte en me claquant les fesses et en me tirant la tête en arrière pour me dire exactement le genre d’insanités qui me rend totalement dingue.

-« Bon, c’est pas que je m’ennuie mais il est tant de changer un peu de trou hein ma cochonne. T’en penses quoi ? »

-« Fais ce que tu veux de moi, je suis ta petite pute gratuite. Vas-y, prends mon petit cul. »

Il ne fallait pas lui dire deux fois. Sans hésitation il plaquait sa queue sur mon anus et s’introduisait sans effort. Il faut dire que trempée comme j’étais sa queue devait être bien lubrifiée et j’en avais tellement envie que je n’opposais aucune résistance. J’aurais voulu continuer à lui dire des trucs cochons mais la vérité c’est que je n’étais à ce moment plus qu’un cul et une chatte qui gueulait son plaisir. Il me défonçait le cul avec toujours autant d’entrain mais imperceptiblement je le sentais ralentir la cadence. Pourtant c’était loin d’être fini. Il me déplaçait pour que je sois sur lui face à face. J’aime moins cela que la levrette mais cette fois c’était exquis de prendre un peu le contrôle et de me retrouver sur lui avec à nouveau sa longue verge dans ma cramouille et son visage pressé dans mes seins. Pendant que j’allais et venait il écartait mes fesses pour me pénétrer l’anus avec un deux doigts. Les amortisseurs de la caisse faisaient merveille, amplifiant chacune de mes allées et venues. Je jouissais en hurlant carrément.

-« Attends, c’est pas fini petite chienne, je veux que tu me finisses à la bouche comme une bonne grosse salope ! »

Il enlevait son préservatif et pressait son sexe toujours aussi turgescent sur ma bouche. Je le prenais de bon cœur. D’abord en pressant les lèvres puis, petit à petit de plus en plus loin au fond de ma gorge en tentant d’aller jusqu’à la garde. Ce que je ne parvins pas à faire cette fois. Après avoir pressé sur ma nuque pour littéralement me baiser la gorge il se retira pour venir entre mes seins. Je pressais mes melons des deux mains pour une bonne branlette espagnole. A genoux sur moi, les mains sous mes bras il continuait à me baiser entre les seins exactement comme s’il me prenait en levrette. En courbant la tête je pouvais avoir le bout de son gland sur mes lèvres à chaque coup de butoir. Son jet me surpris en pleine figure. Je pense qu’il avait du se retenir pendant des jours tellement il y avait de foutre. Il me pressait la tête contre son ventre pour m’essuyer sur lui. Je me délectais de ses derniers instants. Croyez moi, c’est pas si souvent que c’est aussi bon, loin de là hélas !

Il m’a ensuite ramené à mon hôtel sans que nous échangions un mot, ni même un regard. Et c’était, en tous cas pour moi, parfait ainsi !

Seule enfin dans ma chambre d’hôtel je me dis que j’ai vraiment eu un coup de cul inouï. Je suis une chanceuse ! Un monstre plan cul pour ma première fois en voiture et en plus une soirée délicieuse avec Machine et son mari cuisinier hors pair ! En en plus il y a du Toblerone et une cannette de RedBull dans le frigo du mini-bar !

Je garde la RedBul pour dans quelques heures car je risque d’en avoir besoin et je dévore le Toblerone. Il faut absolument que je dorme un peu si je ne veux pas être complètement fracassée le lendemain pour ma vente. Mais rien n’y fait, je laisse la chambre allumée et j’ai les yeux grands ouverts qui fixent le plafond.

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Baise en voiture 2 sur 3

Et oui, finalement je le fais en trois épisodes ! D’ailleurs j’en profite pour annoncer que l’e_book sera fini avant mercredi. Croix de bois, croix de fer, si je ments je vais en enfer et vous pourrez m’y attacher et m’y baiser !

Une des très rares photos de mon site...
Baise en voiture, une des rares photos de mon site

Le second épisode donc de ce plan cul mémorable :

Le parking était au sous sol d’un immeuble d’une dizaine d’étages desservis par un ascenseur qui allait du -2 où nous étions garés au +9 qui était justement le bouton sur lequel Christophe venait d’appuyer. La séance dans la voiture m’avait chauffée à mort et vous vous doutez bien qu’être maintenant seule avec lui dans l’ascenseur avait de quoi me rendre folle. A peine la porte se refermait-elle sur nous que je me collais à lui.

-« Tu m’as trempé la culotte, je vais pas pouvoir tenir tout le dîner, je te préviens. » Je prenais sa main pour la porter à ma bouche et sucer ses doigts.

-« Tss Tss Tss, pourtant il va bien falloir, moi j’ai faim et ça m’excite bien de t’exhiber incognito devant ma bourgeoise. » Il déboutonnais quand même le haut de mon jean pour plonger sa main dans ma culotte et vérifier mes dires. Je sentais ses doigts rentrer tout seuls dans ma chatte presque déjà dégoulinante. Je serrais son poigné de toutes mes forces en y plantant mes ongles french manucurés et collais ma bouche à la sienne comme une salope affamée que j’étais en train de devenir. Onze niveaux c’est long et en même temps beaucoup trop court. Quand je ressentis l’à-coup de l’ascenseur arrivé à destination j’avais l’impression qu’il ne s’était vraiment pas assez passé de temps. Les portes s’ouvraient mais Christophe faisait mine de ne pas s’en apercevoir. Un gémissement de joie m’échappait lorsqu’il appuyait à nouveau sur le bouton -2 !

Il me plaquait contre le fond de l’ascenseur, ses doigt fouillant toujours sans vergogne ma chatte brulante et son autre main remontant sous mon T-shirt pour masser mes seins plus durs que jamais. J’aspirais sa langue le plus fort possible et m’accrochais à son poignet pour l’empêcher de se retirer de ma cramouille maintenant carrément détrempée.

Retour à la case départ, la porte de l’ascenseur s’ouvrait à nouveau sur le parking. Je le sentais s’écarter de moi à regret : « Ecoute ma jolie, ça ne va pas le faire si on ne se calme pas un peu. Je te propose se remettre un peu d’ordre dans ta tenue et que nous remontions sagement cette fois. Et, heu, je ne sais pas comment te dire mais j’ai l’impression que ta culotte est un peu, disons, humide. »

Effectivement, c’était un peu la honte, si je remontais mon jean et le reboutonnais ainsi nul doute qu’il serait difficile de cacher l’état d’excitation dans lequel je m’était trouvée. Ravalant ma fierté je sortais un paquet de kleenex de mon sac à main pour bien m’essuyer, je déchaussais mes Converses, enlevais mon jean et ma culotte pour remettre le Jeans Levis cette fois sans culotte mais sur une chatte parfaitement imberbe et sèche.

-« Bon, on arrête les bêtises, cher collègue, maintenant c’est sans filet ! ». C’est moi qui appuyais résolument sur le bouton 9 pour notre remontée vers le domicile conjugal de mon futur amant. J’écris futur car pour moi tant que je n’ai pas eu sa queue dans ma cramouille j’estime que, techniquement il n’y a pas adultère. Ce n’est pas Bill Clinton qui me contredira !

Nous remontions donc sans nous toucher, essayant tant bien que mal de nous mettre dans la peau de nos personnages : Deux collègues de travail s’entendant bien mais sans plus.

-« C’est nous ! » lançait Christophe à la cantonade en entrant dans leur beau duplex.

Si vous avez raté l’épisode précédant : C’est ici !

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Cam sexy, une page de commande

« Madame, nous trouvons votre blog très bien écrit et son positionnement dans les moteurs de recherche laisse imaginer un lectorat important et de qualité. Accepteriez vous de consacrer une page à la promotion des show en cam sexy en ligne de nos hôtesses. Vous auriez carte blanche quant-à la présentation de ces spectacles vivants et interactifs. Bien sûr une rémunération fonction du chiffre d’affaire généré vous serait reversée. Sincèrement et en espérant une réponse positive de votre part. » Voilà, pour cette page tout a donc commencé comme cela. Cher lecteur, sache donc que cette page est une commande. J’ai longuement hésité à l’écrire car j’ai un peu peur qu’elle ne s’écarte de l’objet « thérapeutique » principal de ce blog qui est d’exhiber mes aventures extraconjugale et d’avoir un prétexte pour me caresser en assouvissant ma passion pour l’écriture. Mais après réflexion je me dis que même s’il s’agit de sexe virtuel et tarifé la pratique n’a rien de honteux à mes yeux et peut s’avérer carrément plus excitante que de regarder passivement des vidéos. Et puis, avouons le, si je gratte quelques centimes au passage je ne vais pas non plus dire non ! Donc allez y, cliquez sur les images des hôtesses, faites l’essais gratuit. C’est ensuite à vous de décider si ça vous plait au final. Laissez en commentaire le nom de votre cam sexy préférée sur le site si vous voulez aussi. Avec une description c’est encore mieux. N’hésitez pas, cette page est la votre, ajoutez vos commentaire et le pseudo de votre hôtesse, je m’occupe du lien ! Pour rendre l’exercice original et amusant pour moi j’ai décidé de passer du temps avec quelques hôtesses et à écrire un petit texte comme si j’étais chacune d’elle et que je me présentais. Revenez souvent sur cette page, car je l’enrichirai en fonction de son succès et des filles qui auront accepté de passer un peu de temps à me parler d’elles et de leur vision de la sexcam rémunérée. Bonne lecture et plus si affinité !

Cravate de notaire, Afrodita adore

ce n’est pas parce que je le fais pour l’argent que je n’aime pas cela ! Mon plus grand plaisir après baiser comme une chienne avec mon mec (eh oui, je suis fidèle !), c’est de m’exiber en sexcam. J’adore faire des cravates de notaire ou des branlettes espagnoles avec mes seins et des bons gros godes ou des légumes. Je suis enjouée, sans tabous et contrairement à d’autres je ne joue pas la montre quand je suis en show privé. Mon but est que vous m’aimiez et que vous reveniez me voir souvent !

Trois choses que j’aime :La cravate de notaire – Les jupes très courtes – Mes seins avec les mains de mon mec dessus. La Tunisie. Ah mince ça fait 4 !

Mon rêve : Devenir actrice. J’y travaille !

 

Lynax, cam sexy sans tabou du 03 juillet 2015


Je pourrais vous dire comme je sais être sexy et entreprenante même en cam sexy. Je pourrais décrire ma collection personnelle de godemichets que vous pourrez me guider à essayer. Mais cela je suis certaine que d’autres filles le promettent aussi bien que moi. Alors laissez moi juste vous dire que j’aime vraiment le cul. J’ai décidé de profiter de la vie et de ne pas la laisser filler. Tout ce que je fais face (ou fesse) caméra n’est qu’un préliminaire à ce qui pourra sans doute suivre une sortie en boite entre copines. Si vous savez guider mon doigt jusqu’à l’orgasme alors je vous dirais peut être où je compte sortir danser samedi soir.

Trois choses que j’aime : – Un plan à trois avec une copine et un inconnu. – Les touristes célibataires et pas prise de tête. – La lingerie Française.

Mon rêve : – Aucun, je préfère vivre à rêver !

Addie, belle hotesse cam sexy du 29 juin 2015

Bien sûr que je le fais pour la tune ! Evidement que souvent mes orgasmes sont feints ! Mais cela ne veut pas dire que je ne mets pas autan de cœur à l’ouvrage qu’un artisan boulanger ou un maçon qui aimerait sincèrement son boulo. Hôtesse de sexcam c’est pour moi l’occasion d’un jeu de séduction très particulier et personnalisé. Souvent les hommes avec qui je passe du temps ont été gavés de vidéos porno et veulent passer à quelque chose de plus interactif, de réellement personnalisé. J’aime sincèrement ces moments d’intimité et de partage. J’essaie de faire en sorte que mes spectateurs deviennent le plus possible acteurs d’une bonne séance de baise. Beaucoup aimeraient me rencontrer en vrai, me demandent où j’habite et si je suis aussi sur des sites de rencontre. Je sais que pas mal de filles le font. Mais pas moi. Avec moi tout est à travers la webcam, l’écran ET le micro. Très important le micro !

Trois choses que j’aime : – Les costumes sexy et différents chaque jour – Sucer des bananes ou des concombres – Lécher mes seins (ou me les faire lécher bien sûr !).

Mon rêve : Tomber amoureuse d’un spectateur qui reviendrait régulièrement ! Non, j’déconne, n’écris pas ça ! (ndlr : trop tard…)

Cam sexy de Xsena, 30 juin 2015

Hotesse cam sexy Xsena
Une superbe hôtesse cam sexy de purelive. Et en plus elle est sympa. Pour la trouver cherchez juste Xsena.

Ok j’ai un accent d’un pays de l’est un peu prononcé. Mais j’espère que cela me rend plus charmante. En tous cas m’exhiber et faire la cam sexy avec des Français m’aide à progresser dans la langue de Baudelaire. Avec quelque jetons un mec peut obtenir de moi ce qu’il veut, tout ce qu’il veut ;o). J’aime la lingerie sexy et sophistiquée, mais aussi les accessoires et les sextoys. Si j’ai un amoureux à moi ? Cela c’est mon petit secret ! En tous cas ce que je fais avec les hommes en sexcam ne regarde que moi !

Trois choses que j’aime : – écarter mon string sur le côté pour glisser un doigt dans mon minou – le faire aller et venir quand je suis bien mouillée – une copine qui me lèche.

Mon rêve : Un voyage à Paris, voir la Tour Eiffel et les Champs Elysées.

 

Pensez à indiquer celle que vous préférez bien sûr.

baise voiture, épisode 1 sur 2

Autant l’écrire honnêtement la semaine dernière j’ai choisi Christophe, alias monsieur Baise Voiture sur un critère bien particulier et presque vénal : Sa voiture. Cela faisait quelques temps, suite à un commentaire sur mon blog, que j’avais très envie d’un plan cul dans une voiture (baise voiture). Aussi étonnant que cela puisse paraitre, à part une fellation il y a des années quand j’étais baby-sitter je n’avait jamais baisé dans une voiture avant la semaine dernière. Sur infidèle messenger je triais donc les nombreuses sollicitations d’hommes en quête d’un bon plan cul en Pays de Loire non pas en fonction du physique, ni même de ce qu’ils proposaient mais de leur bagnole ! Mon cahier des charges était assez précis. Je voulais un intérieur cuir, si possible d’une grosse familiale allemande ou, mieux, anglaise. Après pas mal de propositions de jeunots en BMW qui fleuraient bon la banlieue et le survêtement Tacchini (pas trop mon genre…) je tombais enfin sur celui qui me semblait le candidat idéal : Christophe, alias Baise voiture, 49 ans, marié, Jaguar XJ12 1993, 314 chevaux, intérieur cuir crème. Je donne tous ces détails car le type, une fois branché sur le sujet de sa caisse était intarissable. A certaines ce type de mec peut sembler pathétique mais pas pour moi. J’aime les hommes passionnés, cela quasiment quelque soit leur passion. Pour mon monsieur Baise Voiture c’était les belles anglaises et la lingerie sexy façon bourgeoise cochonne. Soit ! Franchement j’aurais pu tomber plus mal cela me convenait parfaitement. Cerise sur le gâteau, mon plan cul me proposait une soirée « all inclusive« . Monsieur Baise Voiture passerait donc me chercher vers 18h après mon rendez vous commercial pour m’inviter à dîner chez lui « en famille » et me reconduirait le soir à mon hôtel. Comme il travaillait dans un grand groupe industriel je serai ce soir là une collègue de l’usine de Marseille en déplacement à Nantes. Je salivait d’avance à l’évocation d’un plan aussi sophistiqué avec la joie perverse de me faire servir le dîner par la femme de mon amant.

Le choix de ma tenue me posait cette fois quelques difficultés. Il fallait que cela soit excitant mais qu’en même temps, à l’occasion du dîner, je puisse passer pour la parfaite collègue de Provence ingénieur en méthodes industrielles. C’est un sujet que je ne maitrise que très vaguement mais je me disais que sa bourgeoise ne devait pas non plus être une experte en la matière.

Mais ça se fringue comment une responsable méthodes dans l’industrie agro-alimentaire ? Malgré un mois de juin déjà avancé le temps était lourd et changeant. Je choisissais une robe tailleur bleue et un chemisier blanc sans fioritures. J’ajoutais des lunettes en écaille et un chignon. Mais une fois devant la glace je me faisais l’effet d’une caricature d’actrice porno dans un film des années 90 mettant en scène des secrétaires. Limite on aurait pu m’appeler Katsumi ! Cela n’allait pas du tout. J’abandonnais les lunettes ridicules, dénouais mes cheveux que je lissais simplement et je troquais le tailleur pour un Jeans Levis 501 qui soulignait mon cul sans non plus être outrageusement moulant. Christophe, mon Monsieur Baise Voiture, serait peut être un peu déçu de l’absence des bas résille, porte jarretelles et talons aiguilles dont nous avions parlé mais je jugeais cela plus prudent et je comptais bien me rattraper avec d’autres surprises que je dissimulais dans mon sac à main…

Effectivement, son bonjour un peu guindé quand il me vit arriver à hauteur de son anglaise garée en double file devant l’hôtel confirmait qu’il était un peu déçu de me trouver en jeans et baskets plutôt qu’en jupe talons et bas résilles. Comme nous nous faisions la bise j’appuyais consciencieusement mes lèvres sur sa joue et sortais un bout de langue pour le rassurer. Sa main sur ma hanche m’indiquait que nous étions sur la même longueur d’onde et je commençais déjà à sentir les petits picotements en haut de mes cuisses. Mes seins aussi réagissaient instantanément, malgré moi comme souvent.

En véritable gentleman il m’ouvrit la porte passager tout en laissant son bras gauche contre ma taille. J’attrapais sa main avant d’entrer dans la jaguar pour en porter l’index à ma bouche. Du coin de l’œil je pouvais distinguer la bosse de son pantalon. Bingo ! Le suçotage de doigt ça marche toujours !

Quand on me demande : »quelle est la première chose que tu regardes chez un homme ? » je réponds sans hésitation : »Ses souliers ! »

Ce n’est pas du fétichisme. Je sais que pour certaines tel détail physique est important, que le cul, les épaules ou la silhouette comptent énormément. Mais pour une fille qui aime le cul ce qui compte c’est bien la façon dont un homme va s’occuper d’elle et la faire jouir. J’ai pu remarquer qu’un homme qui prend soin de ses souliers, qui, quand il peut, y met le prix, est rarement décevant au lit, sur la table de la cuisine ou tout autre meuble où il me baise. J’ai tendance à penser qu’il en va de même pour l’intérieur de sa voiture.

Là, tout me semblait parfait. Le cuir odorant et propre sans paraître neuf, les boiseries du tableau de bord, le chrome parfait du levier de vitesses de la boite auto, jusqu’à la moquette sous mes pieds, tout me paraissait un appel à la volupté.

Quand Christophe Baise Voiture pris place côté conducteur et me demanda où je voulais aller avant le repas je lui répondais : »On s’en fiche, roule, je m’occupe du reste. »

Joignant le geste à la parole je me penchais pour un baiser langoureux dans son cou. J’embrassais goulument juste sous le menton, je suçais en prenant soin de ne pas y aller trop fort, salivant pour me faire humide mais sans risquer de lui laisser un suçon qui pourrait le compromettre une fois chez lui. Quand il mit le contact le douze cylindre se mit à ronronner doucement. Je n’avais pas bouclé ma ceinture et m’attendais vaguement à ce qu’une sonnerie désagréable me rappelle à l’ordre comme c’est maintenant le cas dans à peu près toutes les voitures. Mais il semble que cette fonction n’existait pas en 1993. Sans détacher mes lèvres de sa peau je posais une main sur son genou et le sentais lever le pied de la pédale de freins. La jag démarrait quasiment sans à-coup et Christophe Baise Voiture conduisait comme si je n’existais pas. J’aurais voulu qu’il mette la main sur ma cuisse ou dans mes cheveux mais rien de tout cela. Il regardait fixement devant lui, me laissant lécher son cou, prendre le lobe de son oreille entre mes lèvres maquillées d’un rouge très vif. La toile de son pantalon noir était légère et douce. Je remontais lentement le long de l’intérieur de sa cuisse. Il tendait la main, non pas vers moi mais pour allumer l’autoradio préréglé sur une chaîne d’infos en continu !

N’eut été la bosse que faisait son pantalon à l’entrejambe j’aurais pu croire que je ne lui faisais aucun effet. Mais l’objet de ma convoitise était bien là, tendant la toile pour laisser deviner un calibre plutôt au dessus de la moyenne. En en constatant le volume dans ma main je ne pouvais retenir un « oh! » de surprise ravie. Qui, enfin, lui arrachait un sourire faisant naître une fossette charmante au coin de ses lèvres.

-« Il m’a l’air sacrément bien monté le petit mari volage ! » glissais-je à son oreille.

-« Tu trouves ? pas déçue alors ? »

-« Ah, ça va dépendre de la suite, mais tout cela commence fort bien à mon goût. On peut en voir plus ? »

-« Je t’en prie, fais toi plaisir, mets toi à l’aise. »

Cela il ne fallait pas me le dire deux fois. Je déboutonnais deux boutons du haut de mon Levis pour lui laisser voir mon string de dentelle blanche. J’avais déjà furieusement envie de le sucer mais je jugeais préférable d’attendre pour voir s’il craquerait avant moi et abandonnerait un peu son attitude distante. Je faisais mine de me désintéresser de lui pour farfouiller dans mon sac à main à la recherche de mon tube de rouge à lèvres Chanel. Mais avant de sortir le tube de rouge je posais sur l’accoudoir central les deux paires de menottes que j’avais décidé d’emmener cette fois avec moi. Puis je baissais le pare soleil pour utiliser le miroir de courtoisie et me repassais habilement un coup de rouge à lèvres en lâchant désinvolte : »Promis je ferai bien attention à ne pas tâcher le pantalon de monsieur. »

Lui, essayant de paraitre tout aussi désinvolte tripotait la chaînette d’une paire de menottes et me demandais finalement si j’avais en tête de l’attacher.

-« Bin, pour tout dire c’est un cadeau, à toi d’en faire l’usage qui te semble le plus approprié…Lui répondis-je en les déposant sur la banquette arrière. Mais pour le moment je crois que j’ai très envie d’un petit en cas ». Je me penchais par dessus l’accoudoir central ne pouvant plus trop résister à la bosse qui semblait m’appeler. Je déboutonnais son pantalon, tirais sa chemise et commençais à embrasser son ventre très légèrement replet tout en tâtant l’objet de mon désir à travers le tissus de son caleçon.

Je ne sais pas si c’était juste l’ambiance ou moi qui prenait plus mon temps que d’habitude mais sa queue me semblait juste parfaite. Il ne faut pas croire que j’ai eu des milliers, ni même des centaines d’amants. En réalité quelque dizaines tout au plus. Et là j’avais sous la main une queue dure et surtout longue juste comme il faut. Elle me semblait plus large que la moyenne mais pas au point de m’effrayer. Je la dégageais du caleçon et commençais à la prendre entre mes lèvres non pas par le bout mais plutôt de côté. Si ma bouche ne me trompais pas sa pine était effectivement sensiblement plus épaisse que la moyenne et plutôt longue.

Monsieur Baise voiture continuait à conduire tranquillement mais enfin semblait s’intéresser à moi. Je sentais sa main posée sur mon cou.

-« Alors elle te plait ma queue j’ai l’impression. »

-« Un peu mon neveu ! » A-t-on jamais fait réponse plus ringarde et tarte que celle là ? Je n’en sais rien mais c’est la première qui me venait à l’esprit et de toutes façons pour une fois je n’avais pas très envie de parler. Je voulais juste continuer à savourer cette merveilleuse colonne de chair qui s’offrait à moi.

Nous étions encore en ville et à chaque fois que la jaguar s’arrêtait, j’imagine à un feu, je me demandais si l’on pouvait nous voir. Je pense qu’à moins de nous trouver à côté d’un poids lourd je restais invisible à nos voisins de files. Du moins je l’imaginais, sans vraiment en être certaine. Il me semblait que nous avions trouvé notre rythme de croisière. je suçais lentement, ma joue et mon oreille appuyant contre son ventre nu à chaque fois que la voiture redémarrait. Comme il restait bien raide mais ne semblait pas s’agiter j’avais le sentiment que cela pouvait durer ainsi des heures. Ce qui n’était vraiment pas pour me déplaire. Je n’essayais d’ailleurs pas d’accélérer le rythme ou de sucer plus fort ou plus à fond. Il me caressait la nuque et les cheveux tandis que je continuais à aller et venir par le côté le long de cette baguette magique de tout premier choix. Après une dizaine d’arrêts redémarrages je sentais que la voiture accélérait puis semblait stabiliser sa vitesse comme si nous étions sur une autoroute ou une voie rapide. Sa main passait de ma nuque à mon dos, tirant sur mon chemisier pour le sortir de mon jean desserré. Je ne voulais pas qu’il nous envoie dans le décor et en même temps je ne souhaitais pas non plus qu’il arrête la voiture. En tous cas pas tout de suite. C’était trop bon d’être là à le sucer sachant que nous roulions. La grande berline avait un toit ouvrant. Quand il l’ouvrit l’air entra dans le véhicule. C’était un peu bruyant mais rafraichissant. J’ôtais mes baskets et m’agenouillais sur le siège passager pour être en meilleure position pour continuer à sucer et surtout pour lui donner plus facilement accès à mon cul. Quel bonheur de sentir alors sa main progresser le long de mon dos pour glisser les doigts sous ma culotte. Je baissais mon jean, nous étions décidément sur la même longueur d’onde. Le problème de la Jaguar XJ12, par rapport à ma fiat 500, c’est que son empattement ainsi que le gros accoudoir central ne favorisent pas vraiment le rapprochement entre le conducteur et sa passagère. Si l’accoudoir contre mon ventre maintenant à nu ne me gênait pas trop mon cul restait encore un peu trop loin à mon goût de ses doigts. Ne pouvant me caresser directement il tirait et relâchait mon string pour que le tissu me rentre dans la foufoune qui commençait à être bien lubrifiée. C’était bon mais j’avais de plus envie de sentir ses doigts me fouiller. Et pour cela il fallait que je gagne dix à vingt bon centimètres. Impossible sans arrêter de le sucer. Je continuais donc ainsi encore quelques kilomètres. Lui ne semblait pas accélérer le mouvement, il continuait tranquillement à me branler avec mon propre string et si sa belle bite ne mollissait pas rien ne laissait indiquer qu’il était au bord de l’orgasme. Je constatais avec émerveillement que nous avions encore sans doute pas mal de marge. Je décidais cependant de prendre la quinzaine de centimètres qui me manquait et faisais passer sa queue de ma bouche à mes seins pour une branlette espagnole. Enfin sa main se retrouvait au niveau de ma cramouille et j’éprouvais le délice d’un doigt s’insinuant exactement là où ça fait du bien. Il me caressait avec toujours la même lenteur appliquée, son pouce contre mon anus. Du pouce il pressais mais juste assez doucement pour ne pas forcer le passage. A chaque mouvement que je faisais pour le branler avec mes seins j’appuyais mon cul pour absorber son pouce mais il se dérobait me laissant légèrement frustrée de ce point de vue.

-« Tss tss, t’inquiète, tu vas en prendre aussi dans le cul mais je veux que ce soit directement avec ma queue. Tu as l’air de l’aimer dis donc ma queue hein ? »

-« Je l’adore, hummm, une des plus belle que j’ai jamais eue, je t’assure. »

Il me donne une claque sur les fesses.

-« Comment ça une des ? T’en as eu de meilleures ? »

-« En fait j’en ai vu quelques unes mais c’est effectivement la plus belle. » Et c’était pour le coup sincère.

Il me caresse à nouveau satisfait, je pense, de ma réponse.

Comme nous doublions un camion je constatais qu’il ralentissait exprès. Cela ne manqua pas, nous étions récompensais par un coup de klaxon retentissant.

Je pense que nous devions être sur le périphérique quand je sentais la voiture prendre une sortie. Nous alternions à nouveau les arrêts et redémarrage ainsi que les virages à 90 degrés. Je ne sais pas s’il avait allongé le bras ou si j’avais trouvé une position un peu différente mais je pouvais à nouveau le sucer en gardant le contact de ses doigts fouillant mon intimité.

Un trottoir, une pente descendante, l’obscurité. Nous étions dans un parking sous-terrain.

Lui : « Rhabille toi, on est arrivés. Prête pour le dîner ? »

Moi : « Heu ?! on passe pas sur la banquette arrière ? »

Lui : « T’inquiètes, c’est pas fini, je veux garder le meilleur pour le dessert. En plus on est déjà un pas mal en retard et ma femme est assez…disons… suspicieuse… »

C’est ça, suspicieuse ! On le serait à moins. Déçue et en même temps terriblement excitée de découvrir comment se déroulerait la suite de la soirée je reboutonnais mon jean et mon chemisier.

La suite au prochain épisode…Mais en attendant si la queue vous en dis vous pouvez lire (ou relire) esthétichienne en chaleur.

Grosse salope, 7 conseils pour la réveiller

Grosse salope, conseil numéro 1 :

La grosse salope que je suis adore !
pour réveiller la grosse salope qui est en nous

 

Après cet article vous pourrez aussi lire d’autres conseils sur comment transformer sa femme en salope lubrique. Pour les femmes qui me lisent et qui veulent des conseils pour devenir la bonne salope dont rêve leurs hommes vous pouvez aller en fin d’article, quelques paragraphes sont là rien que pour vous qui avez parfois envie de vous comporter en grosse salope bien cochonne !

 

 

La chimie, ça marche pour réveiller la grosse salope

Faire de sa femme une salope n’est pas chose simple. En tous cas d’après les hommes mariés à qui j’ai pu parler qui ont une femme un peu coincée. J’ai en gestation un article plus complet sur le sujet. Mais je pense qu’une première chose qui peut vraiment améliorer les choses c’est de faire confiance à la chimie et d’utiliser un aphrodisiaque féminin. Travaillant dans le domaine de la santé (représentante pour un géant du médicament) je sais l’efficacité indéniable de la chimie sur la santé mais aussi sur l’esprit et le comportement. Bien sûr ça ne marche pas à tous les coups. Mais je peux vous dire que quand même les résultats sont étonnant. Je peux aussi dire que pour avoir essayé certains produits sur moi même ça fait carrément monter mes désirs lubriques. Même si je n’en ai pas forcément besoin je peux témoigner les poppers me rendent complètement folle instantanément par exemple.

Je prends mes aphrodisiaques et autres aides chimiques à la boutique du lien ci après (boutique plaisir) parce que c’est raisonnable en prix, irréprochable en qualité et surtout livré sous plis discret…Après, c’est quand même aujourd’hui facile de trouver un peu partout sur internet ou en sex chops ces produits.

 

Les grosses salopes sont partout mais vous ne les voyez peut être pas

Beaucoup d’hommes se demandent où trouver une grosse salope. Avouez le, vous bavez littéralement devant les profils de grosses salopes sur les sites de rencontre en vous demandant où les trouver et si elles sont réelles. Mon premier réflexe serait de vous dire que les profils de type grosse salope sur internet sont, pour la plupart, bidons. Mais à y regarder de plus près je pense qu’il y en a de vrais. Les grosses salopes sont un peu comme les aliens dans V ou dans les envahisseur avec David Vincent. Nous sommes là, parmi vous, mais vous ne soupçonnez pas notre existence. Le problème est qu’il ne suffit pas de regarder notre auriculaire tordu pour nous repérer. Mais faites moi confiance, il y a forcément une grosse salope pas loin de vous. Il y en a même plusieurs. Certaine sont conscientes d’être des grosse salope qui aiment le cul. Mais d’autres sont des grosses salopes qui s’ignorent. A vous de percer à jour les premières et de révéler le potentiel des secondes.

 

Grosse salope, conseil numéro 2 :

En toute femme un grosse salope sommeille

Entendons nous bien, toutes les femmes ne sont pas prête à sucer le premier venu comme des chiennes ni à s’écarter les fesses en couinant pour que votre bite puisse les enculer bien profond. La plupart sont timides, difficile d’accès ou simplement fidèles. Pourtant une chose est certaine, quand nous sommes entre filles et que nous discutons entre nous, nous sommes TOUTES crues, nous fantasmons toutes sur d’autres hommes que notre conjoint (quand nous en avons un) et nous aimerions toutes sucer le voisin jusqu’à le faire crier et lui offrir notre cul pour une baise sauvage. Je ne connais pas de fille parmi mes copines qui fasse exception à la règle quand on se met à parler sincèrement et que l’on fait tomber les masques. Donc sachez le, qu’il s’agisse de votre copine que vous trouvez trop réservée au lit ou d’une amie avez qui vous n’arrivez pas à passer le stade de l’amitié homme femme (sortir de la friend zone) vous avez à porté de main une grosse salope bien cochonne. Pas la peine de chercher plus loin.

Grosse salope, conseil numéro 3 :

Une seule cible à la fois

Ce postula posé, il reste la difficulté de réveiller cette grosse salope. Comment transformer votre amie et confidente en grosse cochonne pour une nuit ou pour la vie ? Si c’était facile cela se saurait. Donc pas de mystère, pas de recette magique. Attendez vous à ce que cela soit laborieux et demande de vous quelques efforts. Mais souvenez vous qu’à vaincre sans péril on triomphe sans gloire. Mon conseil serait donc de ne pas vous disperser. N’écoutez pas tous les vendeurs de rêve qui vous disent de multiplier les cibles pour maximiser vos chances. Faites donc l’essais cet été sur la plage, abordez toutes les nanas en leur demandant si ça leur dirait de venir tirer un coup avec vous. Vous pourrez en aborder un millier sans que rien ne se passe. Sauf si vous tombez sur une prostituée en vacances et que vous souhaitez une relation tarifée. Croyez moi, suivez cette règles d’or : ne courrez pas plusieurs lèvres à la fois.

La seule exception que je vois serait les sites de rencontres plans cul comme Yes Messenger où évidement vous pouvez multiplier les contacts. Et encore, sachez que cette technique vaut surtout pour trier et éliminer les faux profils. Ensuite, si vous voulez un vrai plan cul de folie avec une grosse salope, autant vous concentrer sur une seule qui vous aura plu (et répondu). En tous cas moi j’apprécie qu’une homme, même rencontré sur Messenger, me donne l’impression qu’il n’y a que moi…au moins jusqu’au lendemain ! Et croyez moi, je sais parfaitement détecter quand je suis ciblée parmi vingt autres. C’est pour cela d’ailleurs que je donne peu suite à la majeure partie des demandes qui me sont faites. Par ailleurs, quand je drague un homme, même pour juste un plan cul de quelques heures, il n’y a que lui. Il m’a toute entière à lui. Mon corps mais aussi mon esprit, mes fantasmes. S’il est gros je ne ferme pas les yeux en imaginant un Apollon, je me délecte de son ventre et des ses poignées d’amour. S’il bande mou je n’imagine pas un chibre dur comme du marbre, je suce avec application pour le faire jouir dans mes joues en me caressant.

Bref, choisissez et donnez vous à fond pour réveiller la grosse salope et l’avoir entièrement pour vous !

Grosse salope, conseil numéro 4 :

Désinhibez la pucelle pour réveiller la grosse salope

-« C’est bien beau tout cela mais comment je fais ? Elle me voit juste comme un copain ! »

ou

-« J’entends ce que tu me dis mais ma copine dit que sucer la dégoute ou qu’elle n’aime pas la sodomie. »

Voilà deux phrases que deux amis proches m’ont confié il y a peu. Eh oui, j’ai des amis hommes avec qui je ne baise pas !

Pour la copine qui ne voit en vous qu’un ami je pense que la solution est assez simple. Si elle reste avec vous en tant qu’ami c’est que c’est possible. Mais encore faut-il qu’elle comprenne qu’elle est la seule que vous voulez baiser. En tous cas cela marche comme cela pour moi et pour la plupart de mes copines avec qui j’en parle. J’ai bien sûr quelques amis confidents qui me baiseraient bien. Mais quand je gratte un peu le verni je vois bien qu’il ne sont pas totalement concentrés. Que même pour un plan cul ils ne sont pas prêt à s’investir corps et âme ne serait-ce que quelques heures. D’ailleurs ils finissent toujours par me parler d’une telle ou d’autre telle de mes amies qui est bien aussi.

Mais il reste un moyen assez radical de faire céder une fille un peu coincée et de réveiller la grosse salope cachée dans sa culote blanche. Il faut user de tout ce qui peut la désinhiber. Ne nous le cachons pas, l’alcool joue ce rôle très bien. Je ne peux pas m’étendre sur le sujet car cela serait illégal, même sur un blog perso. Mais je suis sûre que nous nous comprenons.

Concernant votre copine qui refuse la sodomie je vous renvoie un article précédant qui vous aidera peut être. Mais sachez qu’il faut essayer et que c’est toujours plus facile si vous commencer par déjà bien la défoncer en levrette. Juste au moment de jouir nous sommes normalement suffisamment détendues pour que ça rentre tout seul…

Grosse salope, conseil numéro 5 :

Parlez et faite parler la grosse salope

Une fois que votre cible a accepté la relation sexuelle cela n’est pas gagné. Rappelez vous que ce que vous voulez c’est une grosse salope qui fait la chienne. Il s’agit de baiser à couilles rabattues, pas d’un gros câlin de bisounours (qui peut être aussi bien mais ce n’est pas le sujet de ce billet). Donc, garez en tête mes premiers conseils. En chacune de nous il y a une grosse salope qui veut se faire baiser comme une chienne. C’est naturel. Ne soyez pas timide, dite nous que vous allez nous défoncer, insultez nous, bouffez nous la chatte à fond et enfoncez vos doigts partout. Demandez, plutôt exigez, tout ce que vous désirez. Mais un bon moyen aussi de nous rendre folle est de nous faire parler. Demandez nous ce que nous voulons, demandez nous de vous dire comme on aime votre bite, comme on la veut dans tous nos orifices, demandez nous de vous dire où nous voulons être baisée la prochaine fois. Vous serez agréablement surpris…

Grosse salope, conseil numéro 6 :

Faites jouer la concurrence

Vous concentrer exclusivement sur nous peut paraitre contradictoire avec ce conseil. Mais il n’en est rien. Raconter que vous avez connu une autre nana complètement dingue de cul qui bougeait son cul comme personne d’autre ne veut pas dire que vous n’êtes pas totalement concentré sur nous. C’est un moyen, souvent efficace, de réveiller notre fierté et notre sens de la compétition. Pour en avoir longuement discuté avec mes amies femmes on veut toute baiser mieux que la voisine. N’hésitez pas à en jouer. Cela est d’autant plus vrai si vous draguez ou couchez déjà avec une fille rencontrée sur un site de plan cul. Là la grosse salope est bien réveillée et il faut la pousser jusqu’au bout !

Grosse salope, conseil numéro 7 :

Profitez à fond, on ne vit qu’une fois

Bin oui ! Je l’ai déjà écrit, on est toutes des grosses salopes au fond de nous mais ce n’est pas si facile de nous chopper. Donc quand ça marche allez y à fond ! Profitez, ayez le moins de limite possible. Faite nous crier, démontez nous le cul et jouissez de nous le plus possible. On ne vit qu’une fois et surtout c’est souvent des rencontres furtives qui ne se reproduiront pas nécessairement. Alors profitez !

Les grosses salopes ci après sont en live show. Vous ne les toucherez peut être pas dans la vie mais elle seront virtuellement rien qu’à vous pour de vrai !

Devenez un vraie salope pour votre homme

Chères amies féminines qui êtes 31% de mon lectorat. Cette section est pour vous. Quelques conseils qui, je l’espère, vous seront utiles pour rendre votre homme totalement accro au sexe avec vous. Je dis votre homme mais cela peut aussi être votre amant secret ou juste les hommes en général si, comme moi, vous aimez la découverte et la surprise de nouvelles rencontres coquines fréquentes. Bref si, en plus d’être une vraie salope lubrique vous voulez vous comporter en fille facile. Bon, si vous êtes là c’est que, déjà vous êtes une sacrée petite coquine et qu’une partie du travail de conviction est fait : Vous voulez devenir un vraie grosse salope et rendre votre partenaire dingue. Voici donc, sans fioritures quelques conseils pour y parvenir

S’habiller comme une vraie salope

S’il est vrai que l’on peut faire sa salope en étant habiller très sagement en apparence il n’en reste pas moins que, parfois, forcer le trait en s’habillant de manière provoquante peut vraiment plaire aux hommes. Si vous avez de belle jambes et un beau cul alors sachez que cela peut flatter votre homme que vous mettiez cela en valeur, même en public. Osez la jupe ultra courte ou la robe très moulante. S’il vous sort au restaurant tentez le coup d’une tenue très suggestive. Voir le désir des autres hommes pour vous alors que c’est avec lui que vous êtes lui plaira sans doute. Et aussi, cela peut être un avantage pour vous s’il sent qu’il y a de la concurrence et que vous plaisez à d’autres. Etre une vraie salope c’est aussi être un peu sadique envers votre homme. Même si au final vous adorerez faire votre chienne soumise pour son plus grand plaisir et le votre.

Bien sûr les bas résilles sont une valeur sûre de la bonne grosse salope à laquelle peu d’homme, si ce n’est aucun, sont insensibles. Mais plus encore que cet accessoire sommes toutes classique que l’on peut trouver chez toutes les marques de lingerie, il faut savoir oser la vraie lingerie sexy type films porno ou escort girl. Pour cela forcément c’est direction le sex shop ou la boutique en ligne. Simplement parce que ce genre de lingerie est pensée pour les plans cul. Mais cela ne veut pas dire qu’il faille rechercher du chip bas de gamme. Un collant ouvert sera d’autant plus excitant qu’il sera de bonne qualité. Le conseil que je donnerais serait de ne pas avoir peur d’en faire trop. Croyez moi, on n’en fait jamais trop et un homme qui si vous êtes décidée à vous comporter en bonne salope pour votre homme alors vous ne serez jamais ridicule même tout de cuir vêtue avec un serre tête à oreilles de chatte ou de lapine.

Cravate de notaire, pensons y !

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Site de rencontre plan cul, une sélection

Mon plan coquin de la semaine dernière n’était certes pas à mettre sur le podium de mes meilleures expériences mais il m’a permis de redécouvrir une pratique à laquelle je ne pensais plus depuis mes années étudiantes. Il s’agit de la cravate de notaire ou branlette espagnole. Mon plan du jour n’était pas notaire mais avocat et il m’avait donné rendez vous à son cabinet pour un cinq à sept chronométré qui m’allait bien car ma dernière pharmacie à visiter était en début d’après midi et j’avais prévu de faire les 2 heures de voiture qui me séparent de chez moi dans la soirée. J’avais un tailleur beige assez sage et un chemisier blanc dont je laissais suffisamment de boutons ouverts pour que l’on puisse se demander si je portais où non un soutien gorge. Je n’en avais pas car mes seins, quoique généreux tiennent très bien tout seul, merci !

Mes autres articles

Une cravate de notaire en cadeau d’accueil

A peine m’eut-il ouvert la porte que je décidais de ne pas perdre de temps et de faire comme si nous nous connaissions depuis toujours. Je me plaquais à lui pour l’embrasser à pleine bouche en repoussant la porte du talon derrière moi. J’aime surprendre à peu près autant qu’être surprise. Sentir le soyeux de son costume et son parfum subtil n’était pas pour me déplaire. A en juger par son baiser tout en réserve et surtout par ses mains qui se posaient sagement sur mes hanches je concluais être tombée sur un timide qui en était peut être à une de ses premières fois en terme de rencontre adultérine sur internet. Je poussais donc l’avantage en le plaquant contre le premier mur venu tout en continuant à tourner ma langue dans sa bouche. Je défaisais un à un les boutons de nacre de sa chemise pour arriver à la boucle de sa fine ceinture de cuir. Décollant ma bouche de la sienne je lui murmurais à l’oreille : « Vous n’avez pas de cravate, maître, que diriez vous de remédier à cela ? »

Sans attendre sa réponse, qui d’ailleurs tardait à venir, je défaisais les bouton de son pantalon soyeux pour le constater déjà au garde à vous dans son caleçon de soie bleue. Je descendais lentement pour me laisser le temps d’embrasser son torse imberbe puis son ventre plat tout en libérant mes seins de mon chemisier. C’était attendrissant de voir comme il osait à peine bouger, le pantalon et le caleçon sur les chevilles. Tout en prenant sa bite entre mes seins je l’aidais à se débarrasser du pantalon en gardant ses souliers vernis et ses socquettes en fil d’écosse (J’ai le chic pour noter ce type de détail en pleine action !). Cela faisait longtemps que je n’avais pas pris le temps d’une cravate de notaire et c’était délicieux de le faire tranquillement aller et venir entre mes seins. A chaque mouvement je prenais son gland entre mes lèvres. J’aurais voulu griffer ses fesses si blanches mais cela m’aurait contraint à lâcher la pression sur mes seins. Que n’ai-je pas quatre mains ! Je trouvais la solution en prenant ses mains dont il ne savait que faire pour les placer sur mes seins pour que ce soit lui qui presse l’ensemble pendant que je pouvais enfin m’occuper de ses fesses. Incroyable, le type était totalement imberbe avec une peau de bébé. Je n’avais jamais vu cela. Cette peau de si juvénile contrastait tellement avec sa quarantaine bien tapée que j’en oubliais mon envie première de le griffer. Je n’avais pas envie de marque cette peau si pure. Je préférais m’allonger par terre en l’attirant sur moi pour qu’il continue à me baisser les seins. Il ne disais pas un mot et cela m’énervais un peu car j’aime qu’on me parle pendant l’acte. Mais j’avoue que je en savais pas non plus quoi dire tellement j’étais surprise par sa peau si douce, à l’opposé de ce à quoi je m’attendais. Après l’avoir sucé au mieux dans cette position je le guidais pour qu’il se retourne et remette sa queue entre mes seins mais cette fois assis sur ma bouche pour que je puisse lui lécher l’anus. Là pareil, même impression étrange de propreté. Ce n’est pas possible, ce type doit se faire épiler régulièrement le sillon inter fessier. Du coup j’y allais sans dégout avec la langue et les doigts pendant qu’il s’activait enfin un peu plus vite entre mes seins. Il se décidait enfin à faire glisser ma jupe de tailleur pour un soixante neuf délicieux. C’est rare que mes amants me lèchent ainsi car, soumise par goût, je ne les incite jamais à cela. Mais là cette position semblait naturelle et j’aimais la façon dont il me fouillait de sa langue et de ses doigts. Je le suçais aussi copieusement.

Il n’était pas dix huit heures quand il déchargeait abondamment dans ma bouche. J’avalais reconnaissante qu’il continue à me lécher même après son plaisir et je gardais sa queue mollissante entre mes lèvres. Comme il n’était pas bien lourd ce n’était pas inconfortable de rester ainsi sous lui quelques dizaines de minutes à le laisser continuer à me lécher. J’espérais qu’il se remette à bander mais cela ne vint pas et je le repoussais gentiment sur le côté pour me lever et remonter ma jupe

Pile poil 18h30, si tout allait bien je serai à la maison pour voir Dirty Dancing sur TMC à 20h50 ! « Best…Time of my li-i-ife… »

Cravate de notaire, point dans ce film...
Si vous en avez mare des films sans interaction !

Bon, sinon, pour voir de belles branlettes espagnoles ou cravates de notaire je vous conseille de contacter les filles de mon autre article. Ce n’est pas de la rencontre mais les interviewer m’a étrangement touché.

Bourgeoise cochonne, profil site de rencontre

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Site de rencontre plan cul, une sélection

Je ne peux résister au plaisir exhib de recopier ici mon dernier profil de bourgeoise cochonne sur mon Messenger.

Bourgeoise cochonne

Je vais de ville en ville à votre recherche, improbable amant qui saurez remonter votre main sous ma jupe fendue le long de mes longues jambes lentement jusqu’à ma fente. Je suis une vrai bourgeoise cochonne. Prude et distinguée à première vue mais à première vue seulement… J’aime qu’avec vous, tout commence debout dans une ruelle à deux pas d’un restaurant bourgeois et fréquenté. Avec vous je veux redécouvrir le plaisir de porter des collants plutôt que des bas. Je les mettrai sans culote ni string dessous pour éprouver le plaisir du nylon qui frotte entre ma chatte et vos doigts. J’aimerais que vous ayez l’audace de commencer à m’allumer ainsi faisant détourner de nous les regards des clients de ce restaurant où nous serons tous deux un peu plus tard. Verront-ils en moi une jeune bourgeoise cochonne ou une pute de luxe, je ne le sais pas. Mais soyez assuré, Monsieur, que dans l’intimité de ma chambre d’hôtel je vous serai soumise et reconnaissante sinon éternellement, au moins jusqu’au petit matin. Sous la table je déchausserai un escarpin pour venir caresser de vos souliers puis votre mollet et peut être plus haut. Au vu et au su de toutes et de tous car cela m’excite, j’espère, autant que vous qu’ils sachent que je suis toute à vous. Je fais le vœu que vous me rejoignez aux toilettes pour presser votre bouche contre mon sexe, m’aspirant à travers le nylon et poussant un doigt jusqu’à mon cul toujours protégé par ce si maigre tissus. Pour moi, nul besoin d’un homme qui me fouille la chatte de la langue car mon plaisir s’épanoui dans la soumission à votre poigne toute autoritaire et assumée. J’avoue cependant souhaiter qu’ensuite vous m’embrassiez encore juste pour sentir sur vos lèvres le goût de ma mouille. Soyez patient car vous aurez tout de moi. Mes seins autour de votre chibre, ma chatte brulante sur votre ventre et contre vos cuisses, mes lèvre aspirant chacun de vos doigts, et mouillant chaque centimètre carré de votre corps. Vous aurez mon cul aussi, j’y veux votre sexe mais aussi un pouce pressant l’index et le majeur qui de l’autre côté me fouraille la chatte. Vous m’entendrez crier ou gémir en mordant l’édredon à le déchirer si vous préférez. N’ayez crainte, tout cela vous l’aurez et bien plus encore au grès de votre imagination et de vos exigences. Mais avant tout je veux que chaque client de chaque table sache que vous aurez cela de moi. Je veux être sûre que d’autres hommes vous jalouseront à en crever et que leur femme réalisent que ce n’est qu’à moi qu’elles doivent la vigueur brièvement retrouvée de leur mari ce soir. Tout cela restera secret pour mon époux légitime et pour celles et ceux qui me connaissent loin de cette ville. Avec vous je serais aussi anonyme que différente de celle que je m’efforce d’être en société.

Bel amant, un petit effort car je le vaux bien. Ecrivez moi une longue lettre et sachez me convaincre que c’est avec vous je rendrai verte de jalousie tout Limoge, Bourg-en-Bresse ou Digne-les-Bains.

Voilà, ce profil s’est avéré assez efficace c’est un peu grâce à lui que j’ai eu mon dernier plan « grosse cochonne »

Si vous voulez me lire confortablement en sans pub vous pouvez acheter mon e_book.

Comment faire une gorge profonde, 7 conseils

Gorge profonde
Tout vient finalement de là même si celles qui disent sur copine de sexe pratiquer la gorge profonde n’en sont pas toujours conscientes…

 

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Comment faire une gorge profonde ?

Après mes conseils tutoriel sodomie  ou comment bien défoncer un petit cul de salope puis mon petit tuto coquin pour la fessée j’ai décidé cette fois de m’attaquer à une pratique qui, je pense, mériterait d’être davantage mise en avant lorsque l’on parle de bien faire l’amour : La gorge profonde. On pourrait se demander pourquoi (et de quel droit) je fais ma donneuse de leçons en matière de pratiques sexuelles. D’abord j’adore partager et raconter mes expériences sexuelles. Ensuite j’aime à imaginer qu’humblement, avec mes conseils et tutoriels, certains et certaines trouveront de nouvelles sources de plaisir, des idées pour mieux baiser et auront plus d’orgasmes et de meilleure qualité. Et ceux qui m’ont trouvée sur infidèle peuvent témoigner que je suis une spécialiste en la matière !

N’hésitez pas à commenter cet article sur comment faire une gorge profonde. Je réponds à TOUS les commentaires sur ce tuto gorge profonde ! Car je je, suis libertine, je suis une catin !

Avant de découvrir avec délice le plaisir unique d’une fellation en gorge profonde je pensais naïvement être une très bonne suceuse juste parce que je savais serrer les lèvres et jouer de ma langue pour obtenir des gémissements de plaisir ou des appréciations flatteuses de mon partenaire et que j’avalais le sperme avec délectation. Je pensais, petite sotte que j’étais, qu’avaler ou me prendre une éjaculation faciale était le summum de ce qui pouvait s’offrir en matière de sexe oral. Dans ma tête j’était la reine des tailleuses de pipe puisque je savais être une bonne videuse de couille. Mais ça, c’était avant… Avant de maitriser la gorge profonde.

entrainement gorge profonde
entrainement gorge profonde

Comment faire une gorge profonde, conseil n°1 : Attention, danger, toutes les femmes de sont pas prêtes.

Contrairement à la sodomie ou la levrette qui sont sans réel danger et dont nous avons quasiment toute plus ou moins envie, la gorge profonde est une pratique qui demande de l’entrainement et qui n’est pas sans risque. Avaler un sexe en érection jusqu’à la garde implique que la trachée soit, pendant l’acte, obstruée. Cela bloque la respiration (même par le nez) !!! Donc le danger d’étouffement est réel. Même si cela est un des grands intérêts de cette pratique (voir plus loin) il faut en être conscient. Messieurs, tenez nous la tête si vous le voulez, cela est excitant d’être ainsi dominée. Mais dosez et sachez vous retirer à tant bien sûr ! Petit conseil pour les hommes, la meuf blonde ou brunette qui pratique la gorge profonde aime aussi le sexe anal. Gardez des forces, ce serait con d’avoir votre orgasme avant d’avoir pu profiter de notre gros cul…

Conseil gorge profonde n°2 : Bien s’entraîner.

Avant l’étouffement, qui, nous allons le voir peut décupler le plaisir de la femme, il y a hélas un réflexe naturel d’envie de vomir lorsque la queue désirée arrive au niveau de la glotte. Il faut savoir contrer et maitriser cela. Mesdames, c’est possible, mais il faut s’entrainer. Personnellement quand j’ai décidé que je voulais savoir faire une gorge profonde je me suis d’abord entrainée avec un concombre… Mais, bien évidement, un gode fait aussi l’affaire ou, s’il est patient et collaboratif, votre partenaire sexuel. Comme on n’y arrive pas du premier coup ce n’est pas un truc à réserver à votre plan cul d’un soir. Si vous avez la chance d’avoir un sex friend sur la même longueur d’onde que vous c’est l’idéal.

Conseil gorge profonde n°3 : Persévérez, le jeu en vaut vraiment la chandelle.

Sucer comme une star du X n’est pas donné à toutes les femmes. Si vous maitrisez la technique de la gorge profonde aussi bien qu’une actrice porno je peux vous assurer que cela ne laissera pas votre partenaire indifférent qui aura véritablement le sentiment d’avoir en vous une vraie chienne au lit. Ce qui accroit l’excitation et le plaisir de monsieur est tout bénef pour vous madame. Sucé à fond d’une manière qu’il n’osait espérer il saura vous combler en retour soyez en certaine !

Comment faire une gorge profonde astuce n°4 : Flirtez avec les limites de la suffocation.

Bien sûr, encore une fois, attention, cela est réellement dangereux. Même si les accidents sont, je pense rares, ils existent peuvent être dramatiques. Mais croyez moi aussi, la jouissance sexuelle est décuplée par le manque d’oxygène. Vous êtes majeures et vaccinées, c’est à vous de choisir mais en connaissance de cause. Si vous décidez, comme moi, de vous engager dans cette voie, je vous conseille de vous entrainer à l’apnée. Faites des longueurs de piscine sous l’eau, si vous êtes parisienne retenez votre respiration entre deux stations de métro. vous verrez qu’en quelques semaines d’entrainement secret et quotidien votre temps d’apnée ira en s’améliorant. Le rythme cardiaque souvent accéléré pendant les ébats sexuels a bien sûr un effet négatif sur votre apnée. Donc, essayez de vous détendre et de vous calmer. Messieurs, à vous de jouer pour aider en ce sens…Personnellement quand je suce j’aime que l’homme me caresse la chatte ou mette sans violence un doigt dans mon cul. Cela m’aide à me détendre et je peux y aller plus à fond.

Conseil gorge profonde n°5 : N’en faites pas une fixation

Ne misez quand même pas tout sur la fellation en gorge profonde ! Il n’est rien de pire pour une femme qu’un amant qui crois qu’en nous faisant un cunnilingus prolongé et talentueux cela suffira à nous combler. C’est très décevant de jouir sous la langue d’un amant pour au final ne gouter que quelques maigres minutes à sa bite peu endurante. Je suis loin d’être experte en désir masculin mais j’imagine que c’est pareil pour les hommes. Une très bonne suceuse qui manque ensuite d’entrain et d’imagination pour la baise doit être plutôt décevante. Mon conseil est donc de ne pas vous concentrer uniquement sur la fellation. griffez les fesses de l’homme en même temps, frottez votre chatte à sa jambe, masturbez vous. Et n’allez pas systématiquement jusqu’au bout en le laissant éjaculer dans votre gorge. Sachez considérer cela comme un super préliminaire. Laissez lui des forces pour votre cul par exemple.

Conseil gorge profonde n°6 : Soignez le look !

C’est un conseil « vestimentaire ». Je trouve que cette façon extrême de sucer va très bien avec un collier ras de cou qui suggère une bonne soumission et accroit le sentiment de puissance de votre partenaire. Ou alors, si vous êtes, comme moi, sophistiquée un collier perles pour faire bien bourgeoise peut être très approprié. Voire même, je viens d’y penser, un serre tête en velours ! Ca je le garde en tête et je vais essayer prochainement, je vous raconterai. Comme pour toute pipe, le plaisir des yeux de monsieur est primordial. Mettez vos nichons en valeur, que vous ayez des seins naturels ou superbement siliconés faites tout pour qu’ils participent. La gorge profonde peut avantageusement être précédée d’une cravate de notaire ou branlette espagnole.

Comment faire une gorge profonde truc n°7 : Position gagnante.

Enfin, une dernière astuce qui peut vraiment vous aider concerne la position. Lorsque vous êtes en gorge profonde la queue est dans le prolongement de la trachée. Surtout quand l’homme l’a bien longue cela peut être difficile à genoux ou dans une position de fellation classique. Surtout quand on manque d’entrainement. Un position que je trouve alors idéale et d’être allongée sur le dos avec la tête en arrière dépassant du rebord du lit. Dans cette position mon amant peut me tenir la tête et m’enfoncer la bite au plus profond. Quand je veux respirer je suis aussi bien placée avec mes mains pour le repousser le temps de reprendre quelques goulée d’air.

Voilà, j’espère que cela sera utile à certains et certaines. Messieurs, partagez ce post. Dites vous que plus de femmes le liront, plus vous aurez de chance que cette pratique se répande et ne reste pas cantonnée aux scènes de films pornographiques. Cela serait dommage, avouez le !

Comment faire une gorge profonde, conseil n°8 : cherchez une petite bite !

Cela peut paraître con mais je vous assure que ça marche ! Pour s’entrainer à pratiquer la gorge profonde il vaut mieux ne pas avoir un partenaire qui a un trop gros sexe ! Et oui, c’est une évidence mais qu’il est bon de rappeler : Un petit pénis passe mieux qu’une grosse bite !

Donc, si, comme moi, vous êtes sur cinq à sept ou sur copine de sexe autant demander en chatcam à voir la queue de votre plan cul avant d’aller plus loin ! Pour une fois que la petite taille est un avantage !

Quelques pornstars qui maîtrisent à merveille la gorge profonde

Avant d’être une MILF j’étais une adolescente sexy qui rêvait en secret d’un amant pervers comme ceux des vieux films porno des années 90. Une actrice asiatique me faisait rêver et je m’identifiais à elle : Tabata Cash. Orgies anales, partouzes avec gangbang et doubles pénétrations me laissaient un peu dubitative car j’étais débutante. Mais les scènes de fellation où elle avalait jusqu’à la garde le mettaient en émoi.

Trucs et astuces pour devenir la reine de la turlutte

Faire un bon pompier ne s’improvise pas. Vous l’avez compris. Que vous soyez une jeune beurette débutante, une femme mature ou une cougar expérimentée, sachez que l’on peut et l’on doit toujours s’améliorer. Les chiennes comme les pouliches ont besoin d’entraînement et de dressage. Donc entraînez vous. Rappelez vous que la fellation n’est pas forcément un préliminaire. Cela peut être une petite gâterie gratuite et appréciée. Ne perdez pas une occasion de sucer. Ne soyez pas obsédée par la pénétration. L’homme est un voyeur bien souvent. S’il peut mâter votre gros cul dans le miroir d’une cabine d’essayage pendant qu’à genoux vous prenez sa belle queue entre vos doigts manucurés pour le branler avant de le lécher puis de l’avaler toute entière croyez moi il sera heureux.

Gorge profonde, n’en faites pas une fixette non plus !

Bon, tout cela est bien beau et sucer en Gorge profonde est effectivement très gratifiant quand on y parvient et je sais que pour le mec c’est juste génial. Mais n’en faites pas non plus un obsession. C’est une pratique difficile, qui demande de l’entrainement et de la patience. Pour bien sucer il n’est pas obligé de savoir faire une gorge profonde. Bien lécher les couilles, maitriser la branlette espagnole entre vos petits seins ou vos gros nichons c’est déjà mieux que 80% des femmes respectables qui aimeraient être plus coquines, croyez en l’amatrice de grosse queue que je suis. Si j’en ai le courage alors j’écrirai bientôt un autre article sur comment bien sucer. En attendant je suis preneuse de vos conseils, questions et remarques sur la gorge profonde ou la fellation en général.

Et si vous avez du mal à trouver une partenaire enthousiaste pour cette pratique vous pouvez tenter votre chance avec le moteur de recherche si dessous…Il est probable que vous y trouviez une petite salope rousse à la Chatte rasée toujours partante pour une bonne baise. En tous cas moi j’y suis et avec mes gros seins on aime sucer et se faire enculer.


C’est sans garanties mais ça ne coute rien d’essayer !

Grosse cochonne, j’ai testé à Macon

Grosse cochonne
lien vers un site où je fais la grosse cochonne

D’ordinaire j’affectionne plutôt les plans distingués, voire luxueux. Vous l’aurez compris si vous me lisez depuis quelques temps, je suis une femme qui aime les belles choses, les beaux hôtels et, même si j’ai une pratique sexuelle assez débridée, j’aime que cela soit fait dans un environnement agréable et je prends soin des moindres détails. Bref, je veux bien être une poule mais de luxe s’il vous plait ! A première vue tout le contraire d’une grosse cochonne vulgaire.

Pourtant un soir, dans un beau restaurant de Biarritz avec mon mari, je pensais (à juste titre !) être la femme la plus désirable de la salle. C’était sans compter sur l’arrivée d’une pouffe à gros seins en mini jupe ras la touffe, T-shirt à paillettes et rire aussi idiot que haut perché. Elle était au bras d’un homme en costume qui aurait pu être son père mais ne l’était sans doute pas… En général dans ce type de situation, aux différentes tables, les commentaires moqueurs sont la règle. Je voyais bien, moi, que derrière les quolibets, presque les insultes, chaque homme dans le restaurant brulait d’un désir aussi évident qu’inavoué. Et peu de femmes étaient dupes de la situation. Les « je suis sure que c’est une pute » proférés par les femmes respectables cachaient, j’en suis certaine, une gène et une jalousie pour l’effet que produisait la donzelle sur leurs petits maris. Eux tentaient de piquer le nez dans leur assiette. C’était peine perdue tant leurs regards étaient irrésistiblement attirés vers la table à côté de la fenêtre attribuée aux nouveaux arrivants. Je riais intérieurement de constater que ceux que le hasard avait placé dos à la grosse cochonne étaient pris d’une irrésistible envie de se lever pour aller aux toilettes.

Ce soir là mon mari, qui d’habitude se contente d’un minium syndical de samedi soir, s’est révélé presque à la hauteur, trouvant même le chemin de mon cul pour une sodomie qu’il n’avait jamais osé pratiquer avec moi. Bon, pas de miracle non plus, il reste mon mari. Sage et plan plan jusque dans notre lit conjugal. Je le soupçonne d’être bien plus fun avec ses maitresses levées sur internet. J’imagine qu’elle ne se gênent pas pour faire la grosse cochonne avec lui.

Je me suis souvenu d’un oncle qui disait toujours : « On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre ! » et j’ai d’un coup eu envie, pour une nuit, d’être cette grosse cochonne qui fait saliver les hommes et enrager les bourgeoises de province.

Je me créais donc un profil temporaire et spécial sur Rencontres hard. J’abandonnais la photo de profil suggestive avec mon visage et la remplaçais par une bien salace de grosse cochonne sans équivoque. Puis me concentrais sur les quelques lignes d’accroche :

« Trouverais-je un homme qui osera me sortir et m’exhiber en public habillée en grosse cochonne salope et sexy ? Pour cet homme qui n’aura peur ni des regards pleins de reproche des bourgeoises de Macon ni de la morgue jalouse de leurs époux je me ferai chienne en chaleur et sans tabous. »

Je signais d’un Tagrosse Cochonne comme pseudo.

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

Bien sûr, comme d’habitude, à peine mon profil posté les demandes pleuvaient sur le site. Je crois vraiment être dans le vrai quand je dis que ces sites de rencontre sont quand même mieux pour les filles comme moi qui ont le choix que pour les hommes comme vous qui devez vous faire concurrence pour convaincre un plan cul de votre ville que c’est avec vous qu’elle prendra son pied. Enfin, je ne vais pas m’en plaindre. Cette fois je choisissais différemment de d’habitude, non pas en fonction du physique qui me plaisait le plus mais justement en imaginant de l’effet que ferait notre couple sur les personnes que nous croiserions. Il me fallait un homme plutôt banal, si possible un peu enveloppé entre deux âges. Philippe, la cinquantaine bedonnante mais l’air plutôt enjoué et bon vivant, me plut immédiatement. En SexCam je reprenais tout naturellement mon accent de cagolle niçoise un peu simplette et j’insistais pour qu’il me sorte dans un beau restaurant aux alentours de Mâcon. Il me proposais l’O des vignes dans le charmant village Fuissé. Une fois n’est pas coutume, j’acceptais qu’il passe me « prendre » en bas de mon hôtel à Macon. Ce qu’il fit, tout fier de sa BMW 535 plus très neuve mais impeccablement entretenue et au cuir brun juste patiné comme j’aime. Je décidais de jouer les pipelettes intarissables tout le long de la route pour tester un peu sa patience. Je sautais du coq à l’âne, parlant indifféremment de ma passion pour les belles voitures, d’un ami d’enfance imaginaire qui tenais un restaurant en Provence, de son invitation à sortir de Macon que je trouvais « trop chou » et que j’étais toute émoustillée de rencontrer quelqu’un comme lui, bon vivant qui savait vivre et ne serai pas déçu avec moi. J’en faisais des tonnes et, beau joueur, lui souriait et me trouvait « vraiment fraiche et charmante » alors que je suis certaine qu’il se réjouissait d’avoir levé une grosse cochonne naïve à souhait.

J’avais donc décidé, niveau look, de me la jouer grosse cochonne ultra provocante. Jupe rose fluo très courte qui m’arrivait au ras des fesse avec une large ceinture en sky rouge, chaussures à talons aiguille rouges elles aussi et T-shirt ultra moulant blanc sans rien en dessous. J’avais hésité entre les bas et les collants. Les bas c’est sexy et les hommes adorent, mais avec la jupe vraiment très courte cela n’allait pas. J’avais donc une paire de collants rayés multicolores. Les rayures horizontales mettaient outrageusement en valeur le galbe de mes cuisses. Autant dire que notre entrée dans le restaurant ne passa pas inaperçue… Exactement comme je le rêvais, quatre tables avec des couples et une table de six personnes sur trois générations constituaient l’assistance. Tout sentait impeccablement la bonne bourgeoisie de province et, exactement comme à Biarritz trois semaines plus tôt aucun homme ne pouvait s’empêcher de jeter des regards furtifs. Sauf que cette fois c’était vers ma table que se portait leur attention ! Philippe semblait ravi, la serveuse (qui était aussi la patronne du lieu) semblait passablement contrariée à en juger par l’air pincé avec lequel elle prit notre commande. En bonne salope je demandais si l’on pouvait d’abord boire un apéritif avant de choisir le repas. Je voyais bien que la patronne avait envie d’expédier cela le plus vite possible et moi j’étais prête à tout pour faire durer et savourer ce moment rien qu’à moi. Triple kir royal, une bouteille de rouge à deux dont je sifflais plus des deux tiers pour accompagner le dîner qui était vraiment presque parfait ! J’ai souvenir d’un homard servi en deux fois vraiment très bien. Je continuais en mode pipelette, parlant et riant assez fort. Mon compagnon semblait s’amuser et faisait même semblant de s’intéresser à ma conversation sans queue ni tête. Moi je commençais à être bien éméchée au moment du dessert. Philippe, en vrai gentleman, demanda si je voulais un digestif. Normalement c’est la patronne qui doit offrir cela d’elle même mais, allez savoir pourquoi, elle ne le fit pas pour nous… Je choisi une poire et lui un calva qu’il me laissa boire se souvenant opportunément qu’il devait nous reconduire à mon hôtel. sur le chemin du retour j’avoue que je me suis endormie comme une loque sur son épaule et qu’il a du me réveiller une fois garé dans le parking de l’hôtel. Je me secouais un peu, m’excusais piteusement d’avoir dormi tout le trajet en lui assurant que c’était pour être bien en forme pour la suite. Il ne put réprimer un ouf de soulagement que je trouvais fort attendrissant.

Coup de chance, un autre client montait en même temps que nous dans l’ascenseur. Je me collais à Philippe de la manière la plus provocante possible. J’étais passablement alcoolisée et j’en rajoutais juste par perversité : »Dis, si je te suce pas assez bien tu vas me donner une fessée méritée ? Hein que tu vas t’occuper de mon petit cul de grosse cochonne mon chéri ? » je me collais encore plus et l’embrassais dans le cou. Je bois rarement autant car je n’ai pas besoin de cela pour me désinhiber. Mais là c’était diablement bon d’être limite saoule. Je tenais tout juste debout et devais m’accrocher à mon partenaire. Le grand type avec nous dans l’ascenseur était vert de jalousie. Exactement ce qu’il fallait pour m’exciter encore davantage. Mon Philippe n’osait pas trop bouger, mais je pense qu’il était bien content de la situation. En tous cas ma main dans la poche de son pantalon me laissait présager un bon moment sous peu !

Arrivés à notre étage nous sommes tous les trois sortis de l’ascenseur et Philipe me soutenais par la taille en m’entraînant vers ma chambre. Je lui avais laissé les clefs et lui étais réellement reconnaissant de quasiment me porter jusqu’à la porte. Du coin de l’œil je constatais ravie que l’autre trainait à ouvrir sa porte juste un numéro avant nous. Nous allions avoir un mur mitoyen et il n’allait pas être déçu !

A peine entrés dans la chambre j’enlaçais mon Philippe pour l’embrasser goulument. Il me pressais les fesses mais, gêné par le collant il ne savait pas trop où mettre les doigts.

-« T’inquiètes, tu auras accès à tout mon chéri. » le rassurais-je en déboutonnant sa chemise. Je parlais fort, espérant bien sur que notre voisin de chambre entendait. J’enlevais mon T-shirt pour coller ma peau contre la sienne. J’étais déchainée, sans doute aidée par l’alcool. Il fallait absolument que je le suce ! Je le poussais sur le lit et me mettais en position de 69 pour le sucer à fond, pressant ma chatte contre son visage.

-« Vas-y, déchire mes collants et bouffe moi ! » Je criais presque saoule comme une grosse cochonne.

Il ne se fit pas prier et je me souviens distinctement du son que fit le tissu en se déchirant. Je le suçais copieusement et lui me fouillait avec ses doigts et sa langue. J’avais les seins pressés sur sa bedaine et je ne sais pas lequel des deux suait le plus ! D’habitude j’aime les hommes bien faits mais là cela m’était égal. J’étais sa grosse cochonne en chaleur et rien d’autre que cela ne comptait à cet instant.

-« T’as promis que t’allais m’enculer hein ?! Tu prendras un peu ma petite chatte en levrette avant hein ! ». C’était trop bon de tout décrire, certaine que le voisin, seul comme un con, entendait.

Philippe avait bien moins bu que moi et il fini de ravager mes collants pour me prendre par derrière d’abord en levrette, me tirant pas les cheveux. Enfin il se lâchait aussi verbalement : « T’es une bonne grosse cochonne, j’adore ta chatte, vas-y, bouge comme une truie, couine un peu pour voir, t’aime ça hein ma salope. T’es ma grosse cochonne hein ? Ma bonne grosse cochonne rien qu’à moi ! Couine le moi, te gêne pas ! »

« Oh oui, je suis ta grosse cochonne, tu peu m’enculer comme une chienne, vas y prends mon cul, fais toi plaisir ! ».

Il ne fallait pas le lui dire deux fois. Il du presser un peu pour rentrer mais bourrée comme j’étais ça ne fut pas trop difficile de me détendre. Je couinais et continuais à faire ma grosse cochonne pour l’encourager. J’ai connu bien plus violent mais c’était tout de même très bien. En tous cas il ne semblait pas se fatiguer et nous priment un rythme bien régulier. J’avais le front juste contre le mur et le cognait à chaque fois qu’il s’enfonçait en moi. Je jubilais de penser à ce que le pauvre voisin devait endurer.

On a baisé comme ça assez longtemps puis dormi, puis rebaisé, puis redormi puis rebaisé avant de nous doucher pour descendre au petit déjeuner.

L’autre était là, la mine mauvaise. D’autres clients aussi tournaient autour du buffet des croissants, bacon et œufs brouillés. Leurs regards noirs prolongeaient mon plaisir sadique. J’étais pour encore quelques minutes une grosse cochonne comblée !

Post scrotum : N’hésitez pas à commenter et à partager, car tout est bon dans la grosse cochonne !

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