La gifle avant la fessée, rentrée sexy mais hard

La gifle est partie sans prévenir, vous étiez assis derrière votre bureau la minute d’avant, j’écoutais distraite le ronronnement monotone de votre voix de directeur de Lycée.

-« Cela vous apprendra à ne pas m’écouter ! Convenez que vous ne l’avez pas volée cette gifle Mademoiselle Bayeul ! »

J’ai la joue en feu. Autant la fessée m’excite, autant être prise ainsi à la volée est surprenant et douloureux. Je m’attends au pire pour le sale quart d’heure à venir et pourtant je mouille déjà comme une folle.

Pour cette rentrée j’ai sorti mon plus beau costume de lycéenne sexy. Je m’attendais à être mieux traitée même pour un cours très particulier. Ma jupe est de tweed à carreaux. Ma chemise blanche déboutonnée, juste nouée en bas dévoile mes beaux seins (85C) qui débordent presque d’un bustier trop étroit. Mes chaussettes sont montantes jusqu’aux genoux et mes souliers vernis noirs ont d’épais talons qui me font paraitre encore plus grande que je ne suis déjà. J’ai deux belles tresses qui, tout comme moi, ne demandent qu’à être tirées. Une culotte de coton immaculée qu’il ne tient qu’à vous de baisser, ou mieux, d’écarter sur le côté. Cette année vous m’avez convoquée le tout premier jour pour bien mettre les choses au clair. Je vais devoir être bien sage et très gentille avec vous si je ne veux pas tripler ma terminale. Je suis debout, les mains derrière le dos et vous écoute l’air contrit.

-« Qu’est-ce que je viens de dire mademoiselle Bayeul ! »

Hein ?! En fait je n’écoutais pas du tout. Je m’appliquais jute à faire ma mine contrite. Votre blabla sur le travail, la discipline et le comportement exemplaire attendu de moi me passait complètement par dessus la tête.

-« Heu…Vous disiez que je devais apprendre mes leçons ? »

Et c’est là qu’a surgit la gifle. Violente et inattendue, faisant tomber mes fines lunettes de vue sur le parquet usé sous votre bureau.

-« Voilà, exactement ce que je dis, vous n’écoutez rien à ce que l’on vous dit. Je le vois bien à votre regard vide, Mademoiselle Bayeul… »

Je baisse les yeux.

-« Pas de ce petit jeu avec moi mademoiselle ! Regardez moi ! »

Je relève les yeux où perlent de vraie larmes.

-« Pas la peine de me faire vos yeux de Bambi, cela ne prend pas avec moi. Vous avez le regard vide d’une vache ! Et ramassez moi donc vos lunettes grande maladroite ! »

Le temps que je m’agenouille pour chercher à tâtons ma paire de lunette qui a glissé sous votre bureau vous en avez rapidement fait le tour tout en déboutonnant votre pantalon sans fausse pudeur. Lorsque je relève la tête c’est une autre paire que j’ai sous les yeux. Surmontée d’un appendice qui tient plus de la trompe que du nez. Vous commencez tout juste à bander et si la taille est impressionnante la légère courbe et la mollesse que je devine laisse imaginer qu’il reste encore un beau potentiel à votre engin.

-« Tu vois idiote, tu te crois jolie mais tu es encore loin de m’exciter comme tu devrais ! Bon, tu as le regard vide, autant que tu te remplisses un peu la bouche… »

Je remets mes lunettes sur mes yeux rouges. Je retiens mes larmes et ma voix tremble.

-« Non, s’il vous plait. Je promets d’être bonne élève cette année. S’il vous plait non. » Je recule ma tête mais n’ose pas me relever.

-« Hein !? Comment ça non ? Tu t’habilles comme une pute et tu ne veux pas sucer ! »

-« Mais c’est l’uniforme du lycée, c’est vous qui m’avez dit de m’habiller ainsi. »

-« Encore mieux, voilà qu’elle me répond ! On aura tout entendu ! »

Vous me prenez sans ménagement par les cheveux pour me relever et me plaquez sur le bureau.

-« Je peux t’assurer qu’avec ce que tu vas prendre tu vas regretter de ne pas m’avoir sucer tout de suite ! »

C’est maintenant sur mes fesses que pleuvent les gifles. J’essaie, par réflexe de me relever mais votre main ferme entre mes omoplates m’en empêchent.

-« Pour le moment ce n’est que ma main, je te conseille de te tenir tranquille si tu ne veux pas que je change d’instrument. Regarde un peu sous le bureau de là où tu es pour voir ce que je veux dire. »

Et là, je n’ai d’un coup plus du tout envie de jouer. La collection de martinets et autres planches cloutée accrochée sous votre bureau me glace le sang d’un coup. Tétanisée je n’ose plus faire un geste.

-« Je vois que mademoiselle est décidée à être raisonnable. C’est bien, tu es une bonne fille, tu comprends vite. »

Vous avez relevé ma culotte, baissé ma culotte au milieu de mes cuisses et me fessez copieusement. Je me retiens de crier à chaque coup mais me force à ne pas essayer d’échapper à vos coups tant j’ai peur que le jeu auquel j’étais initialement consentante ne vire à un mauvais plan.

-« Tu as lu cinquante nuances de gris ? »

La question, incongrue, me prend complètement de court.

-« Heu…non. »

-« Moi non plus et j’en ai rien à foutre ! Mais en tous cas cinquante c’est bien le nombre de fessées que tu as gagné en refusant de sucer ma bite petite conne ! Et c’est toi qui va les compter. A rebours. Et te retiens pas, je veux t’entendre crier un peu. »

Votre main s’abat à plat sur le haut de mes cuisses, juste sous les fesses.

-« Aie ! cinquante »

-« Plus fort connasse, pas très convaincant ce aie »

La fessée suivante fait plus que frôler me fesses par le côté.

-« Han ! Quarante neuf »

Retour sur la même fesse

-« Han ! Quarante huit »

Soit plus convaincante quand tu gueules sinon je vais être obligé de changer d’ustensile. Si tu vois ce que je veux dire. »

-« Han, non, pitié, han, aah, quarante sept, quarante six, quarante cinq. »

La série suivante vient à plat, sans aucun ménagement. Je continue à crier et à tenir le décompte de ma punition. On a passé la moitié, à vingt je sens votre main remonter entre mes cuisses meurtries jusqu’à ma chatte.

-« Mais c’est que tu mouilles quand même comme une grosse salope ma cochonne ! »

-« Je ne devrais pas mais je suis trop gentil. Allez, fini la fessée, on va s’occuper de te consoler un peu ! »

La pine que je sens entrer en moi comme dans du beure est un réel soulagement. Je me cambre et tend mon sexe vers cette levrette salvatrice. Vous y allez sans ménagement mais après la fessée déculottée que je viens de prendre votre longue queue emplissant mon vagin me fait l’effet d’un grand soulagement. Après les cris de douleur viennent les gémissement de plaisir : »Ouiiiii, hummmmm ! » Et pourtant je pleure encore, peut être de honte et d’humiliation d’avoir tant envie de votre queue malgré ce que vous m’avez fait subir.

En même temps que vous me ramonez en levrette sur le bureau vous enfoncez un pouce dans mon anus qui commence à se distendre. Mes fesses ne sont plus qu’une immense zone de douleur au moment où votre chibre force mon anus je ne me contracte pas pour l’empêcher d’entrer. Je ne m’étais pas trompé, une fois bien dure elle je sens bien qu’elle est de taille. Chaque coup de butoir endolori mes fesses un peu plus. Je pleure toujours mais j’aime en même temps sentir votre vigueur en moi. Ma chatte frotte contre le bois du bureau. Je mets ma main autant pour me protéger que pour me caresser en même temps.

-« C’est mieux, je crois qu’on va bien s’entendre tous les deux cette année. Faudra revenir me voir souvent Mademoiselle Lucie. Hein ? »

-« Oui, monsieur, quand vous voudrez han han, monsieur le directeur ».

-« Bien sûr, quand je veux ! mais je compte aussi sur vous pour me surprendre et que je n’ai pas besoin de vous convoquer pour que vous veniez à mon bureau régulièrement. Très régulièrement ! »

-« Oui, promis, han han d’accord, c’est promis, juré, haaaan ! ».

-« Allez, c’est bon pour cette fois, vous pouvez disposer. »

Vous sortez de mon cul aussi vite que vous y êtes entré, remettez en place ma culotte et ma jupe.

Je me relève du bureau. C’est étrange de vous voir me donner ainsi congé le pantalon toujours baissé, le sexe encore bien au garde à vous. Interloquée je me dirige vers la porte de votre bureau. Je constate, surprise, qu’elle est restée entr’ouverte tout le long de ma convocation.

-« Mademoiselle Bayeul ! »

Aie, je me disais bien…Je me retourne :-« Oui monsieur le directeur ? »

-« Dites donc, vous êtes sure que vous n’oubliez rien ? »

Je reviens sur mes pas, m’agenouille docile et avale votre queue.

-« C’est bien, j’aime mieux ça, regardez moi bien en même temps… »

Je suce avec application, les yeux levés vers vous derrière mes lunettes. Vous êtes adossé au bureau, tenant mes deux tresses dans un poing, l’autre main derrière ma nuque. Je vous suce et vous masturbe en même temps. J’aspire à fond, presse de la langue, je serre les lèvre, mon va et vient n’est ni trop lent ni trop rapide. Lorsque vous écartez ma tête c’est pour éjaculer sur les verres de mes lunettes.

-« Maintenant vous pouvez y aller. Ne touchez à rien, vous nettoierez vos lunettes en dehors de mon bureau. »

Je sais que si je sors les lunette ainsi souillée je risque de croiser des camarades de classe dans le couloir. Mais je n’ose pas désobéir, aussi je sors m’efforçant de garder la tête haute…Du moins jusqu’à la prochaine fois.

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

3 réflexions au sujet de « La gifle avant la fessée, rentrée sexy mais hard »

    1. Merci en tous cas pour le commentaire ! J’apprécie et cela m’aide ! Pour tout dire je ne suis pas trop fière de ce texte. Comme je suis coincée avec aucune perspective de plan Q dans les semaines à venir j’essaie d’écrire mes fantasmes. Mais ça ne fonctionne pas super…

    2. Tu as entièrement raison ! Je suis coincée chez moi sans perspective d’évasion pour les semaines à venir. Peut être jusqu’à la Toussaint ou plus ! Alors j’essaie d’écrire mes fantasmes mais ça ne fonctionne pas très bien. Le texte semble comme forcé, artificiel. Quand c’est du vécu les mots coulent tout seuls. Bien sûr je brode toujours un peu autour, je ne dis pas que tout se passe 100% comme je l’écris dans l’ordre où je l’écris. Mais globalement le souvenir prend place et fait un récit. Là, pour ce texte je me suis forcée. J’ai puisé dans l’espèce de rêve délire fiévreux que j’ai fait la première nuit après ma fracture de la clavicule. Mais c’est, j’en convient pas très bon. Enfin, c’est toujours mieux que de laisser le blog à l’abandon. Ou de m’apitoyer sur mes soucis de santé…

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