Avocate sexy anal

Avocate en tailleur sexy

Depuis quelques mois en bonne petite salope nymphomane j’ai trouvé un jeu dont je ne suis pas prête de me me lasser. L’idée est simple : Choisir un homme, fouiller dans sa vie sur internet et les réseaux, le séduire et me faire baiser par lui.

Mylenenormandi

Journée des avocats. Le cabinet a organisé des consultations gratuites ce jour là et tu t’es inscrit sur internet. Le rendez-vous est Maître De la Fertiaise, un juriste dont le nom te fait sourire. La veille, une secrétaire t’a appellé pour déplacer l’heure de ton rendez-vous. Seul créneau disponible 21h45. Le cabinet de juristes est victime de son succès. Tu as pris le créneau proposé puisqu’il n’y a plus que ça. Tu ne t’attendais pas à ce qu’une jeune femme très sexy en costume d’avocat te reçoive.
C’est tout, sauf un hasard. Un guet-apens digne d’une mauvaise série B d’espionnage. Nous avons planifié le coup bien en amont avec mon ami avocat. Nous t’avons choisi parce que tu indiquais vouloir divorcer. Avec ton nom et ton prénom nous avons pu trouver des dizaines de photos de toi, consulté ton profil LinkedIn et ton Instagram qui sont tous deux publics. J’ai lu avec attention et amusement tous les commentaires sur tes nombreuses publications et en ai déduit que tu es assez cash, non dénué d’humour et aussi sacrément en manque de sexe depuis plusieurs mois. Ces choses se voient comme le nez au milieu de la figure quand on lit les commentaires et amorces de discussion entre la gent féminine et toi…Tu es une proie facile !

Une proie d’autant plus facile que je porte ce tailleur strict mais très moulant qui fait de moi une parfaite avocate à chignon de film porno que l’on rêve de sauter sur le bureau.

L’entretient commence de manière assez ennuyeuse. Passée la surprise d’être en présence d’une avocate ultra sexy, tu te dis que c’est juste un coup de chance et tu l’exposes ton cas. Banale histoire d’un mariage qui part en couille, un pavillon en propriété commune, deux enfants, 8 et 11 ans. Communauté des biens réduite aux acquêts. Rien de très compliqué. Mon mari est spécialiste en droit de la famille alors j’en connais largement assez pour donner le change. Je reste très professionnelle. Je fais durer un gros quart d’heure la conversation ennuyeuse. Je fais semblant de m’intéresser à sa situation conjugale. Puis, sur le même ton d’une conversation professionnelle d’une avocate avec son client je lache la bombe :

-« Ça vous dirais si je vous suçais et que vous me preniez sur le bureau ? »

-« Heu pardon ? »

-« Ça vous dirais que je vous suce là maintenant, tout suite ? Après vous me plaquez sur le bureau et vous me prenez par derrière ! »

-« Heu ? C’est un blague ? »

-« Non, pas du tout, j’ai très envie, depuis que vous êtes entré dans le bureau j’en ai envie. En vérité j’en ai envie depuis une semaine que j’ai tapé votre nom sur internet et fouillé dans vos profils…Je ne vous plaît pas ? »

-«Heu, bien sûr que si. C’est pas la question. »

-« Alors c’est quoi la question ? »

Je me penche légèrement en avant. Mon décolleté est laissé entrevoir mes deux seins lourds et je plante mes yeux dans les tiens. Évidement tu soupçonnes une arnaque, un piège. Mais je suis sacrément bandante.

-« T’as peur que ce soit un piège ? Tu en as envie mais ça te parait. Trop beau ? »

-« Bin oui, j’avoue que c’est exactement ça. »

-« Je pourrais te dire que tu n’as rien à craindre, mais tu ne me croirais pas. Si je te disais que je suis juste une femme qui adore le sexe avec des inconnus, tu ne me croirais pas forcément. Alors si tu veux tu peux juste partir, quitter ce bureau et passer le reste de ta vie à te demander si tu n’as pas raté le plan cul de ta vie… »

Je suis à quatre pattes sur le bureau, ma bouche juste contre ton oreille. Je chuchote : « Alors ? Tu restes ou tu pars ? »

Tu ne bouges pas, tu hésites encore. A moi de donner le coup de grâce. Avant que tu puisses en tirer un mémorable.

-« Réfléchis, tu n’as rien à perdre.  Donnes moi ta main et dis moi si je ments… »

Je m’avances et prends ta main que j’attire sous ma jupe de tailleur. Je la remonte le long de mes bas. Je ralentis au niveau de la bretelle du porte jarretelles afin que tu puisses imaginer mes dessous hyper sexy sous le tailleur strict. Interloqué tu te laisse faire. Je guide tes doigts sous mon string. Là où pointe mon bouton déjà moite. Je presse pour que tu rentres un doigt.

-« Tu la sens ma mouille ? Tu ne sais pas si c’est un piège. Mais tu sais maintenant que ça m’exite. Alors dernière chance t’avoir la baise de ta vie. »

Je retire ta main de sous ma jupe et porte ton doigt humide à ma bouche. »

Je descends du bureau en prenant soin de bien rouler du cul en marchant lentement vers la fenêtre. Je baisse les stores même s’il fait nuit dehors. Je marche tout aussi lentement vers la porte du bureau que je ferme à clef.

-« Tu vois, t’as perdu l’occasion de t’enfuir. Maintenant pour sortir, il va falloir me passer sur le corps… Et me punir de t’avoir pris en otage…D’ailleurs si tu veux on inverse les rôles. Tu fais le preneur d’otage et moi la séquestrée réduite en esclavage sexuel… »

J’ouvre sur le bureau l’attaché case en aluminium que j’ai spécialement préparé pour l’occasion. Dedans un collier ras de cou en cuir avec la petite boucle pour attacher la laisse, deux paires de menottes et une cravache.

Puisqu’il faut tout faire, décidément, je prends le collier de soumission et le mets moi même autour de mon cou en te regardant droit dans les yeux. J’accroche la laisse de chienne soumise à l’anneau et te la met dans la main.
Tu prends enfin une initiative et tires sur la laisse pour approcher mon visage du tien.

-« Ok, je suis sûrement con de tomber dans le panneau mais je ne vois pas le piège. Alors autant m’amuser… »

Tu m’embrasses sur la bouche. Je te rend ton baisser goulûment pour que tu comprennes que j’ai très envie de baiser. Que ce n’est pas un canular.

-« Tu veux que je te suce ? »

-« J’veux surtout que tu la fermes et que tu me montre ton petit cul ! »

Tu me retournes et tires sur la laisse pour que je me penche en avant sur le bureau. J’ai assez pris l’initiative pour ce soir. Je décide d’être passive et de te laisser faire. Avec mes talons hauts et mes 1m78 je dois écarter les jambes pour que mon ventre plat repose confortablement sur le bureau. La pose est une invitation à passer la main de bas en haut le long de ma cuisse légère. Une invitation que bien évidement tu saisis. La caresse est légère, ta main remontant le long de mon bas de manche des petites étincelles d’Electricité statique. Un picotement qui est aussi agréable qu’exitant.

Tu carresses mon cul à travers la jupe de mon tailleur. Je me cambre légèrement, je suis certaine que tu as noté mes talons haut et la qualité de mes bas noirs. J’aime comme tu prends finalement ton temps, la façon ton tu tâte à plaine main l’intérieur de mes cuisses sans te précipiter vers ma chatte. La main ferme que tu plaques sur ma nuque. Je me tortille un peu dans l’espoir que tu vas enfin t’occuper de ma chatte brûlante. Mais tu sembles prendre plaisir à me faire languir. J’hésite à dire que je veux te sucer car c’est moi qui maintenant ai peur de rompre le charme. De faire le mauvais geste ou d’avoir la parole de trop qui casse l’ambiance. Alors je me concentre sur la sensation de ta main qui caresse mes jambes. Je contracte le molet, je serre et desserre les fesses. Tu n’as pas encore relevé ma jupe. Elle te semble trop moulante et étroite pour cela peut être. Peut être aussi que tu aimes simplement prendre le temps de me mâter. Je suis heureuse d’avoir mis ce tailleur, ces talons hauts et cette lingerie sexy que tu vas découvrir. Après de longue caresses, progressivement de plus en plus haut sur l’intérieur de mes cuisses tes doigts effleurent mon con à travers le fin tissu de mon string. Je passe les mains sous on ventre en me cambrant un peu pour déboutonner ma veste de tailleur. J’ai tellement envie que tu embrasses mes seins quand je me retournerai ! Mais pour le moment tu sembles surtout intéressé par mon cul. Un petit cul ferme avec deux jolies fesses que tu malaxes et presses d’une main. L’autre main toujours fermement appuyée sur ma nuque pour l’empêcher de me retourner. Tu presses l’intérieur de mes cuisses je me cambre pour t’inciter à pénétrer ma chatte avec tes doigts mais tu sembles prendre un malin à l’éviter. Tu caresses puis masses your à tour chaque centimètres carré de chair libre entre le haut de mes bas et mon mini string. Tout cela sans jamais toucher ma chatte. C’est à me rendre folle. Après de longues minutes de ce petit jeu pervers tu contourne le bureau pour te retrouver en face de moi. Tu déboucles ta ceinture et baisses ton pantalon. Ta queue est tendue sous ton caleçon et tu ne prends même pas la peine de la sortir. Tu te contente de te planter contre mon visage. J’ai les mains libre et je m’apprête à m’en servir mais tu me prends par les poignets et places mes mains sur tes fesses.
-« Non, essaies juste avec la bouche ! »

Plus facile à dire qu’à faire. La position n’est pas très confortable. Mais je suis assez motivée maintenant. Je parviens avec les dents à baisser suffisamment ton caleçon pour libérer ta queue. Elle est tendue à l’extrême. Une vraie invitation à la fellation. Je lève la tête comme je peux et j’essaie de sucer du mieux que je peux. Tu tiens toujours mes mains par les poignets sur tes fesses. Je suis à la limite de l’étouffement ave  ta queue dans la bouche qui entame de lents va et vient. Je suis prête à avaler ton sperme et à renoncer à me faire baiser quand tu te retire de ma bouche tire sur ma laisse de chienne pour me retourner sur le bureau. Tu tires sur ma jupe, j’ai juste le temps de baisser la petite fermeture éclair sur le côté et je me retrouve en porte jarretelles, les genoux sur tes épaules, le string écarté sur le côté, ta queue enfin dans ma chatte. Je jouis instantanément, je crie et je prie dans ma tête pour que tu ne jouisses pas avant de m’enculer. Parfois il y a un Dieu pour les salopes adultères comme moi.

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Leçon d’équitation pour pouliche sexy

Mickael est professeur de sport dans l’un de ces lycées chic de province. Pour ménager son anonymat je dois taire le nom de la ville. Rendez vous à 23 heures. Un gymnase municipal dont il a l’accès. J’ai pour instructions de me présenter au portail en tenue d’écolière sexy. Jupe plissée très courte à carreaux, chaussettes montantes blanches qui s’arrêtent juste sous le genou, paire de basquettes à talons compensés et chemisier à carreaux assorti à ma jupe. Le genre de plan cul cosplay qui peut vite m’exciter si c’est bien mené par mon rencard. Heureusement, le lieu n’est pas fréquenté à cette heure et je trouve une place pour garer ma Fiat500 cabriolet de petite salope devant l’entrée. Pas besoin de m’annoncer, il m’attend et m’ouvre la porte en verre. En survêtement il tient à la main un long fouet  enroulé genre Indiana Jones.

Sur internet je l’ai bien chauffé à blanc et il sait qu’il peut sans crainte se permettre ce genre de fantasme avec moi. Bien fait j’adore ! Là l’ambiance est assez parfaite. Un gymnase, la nuit, un prof de sport qui semble bien athlétique. Il me fait signe d’avancer devant lui avec le fouet. Je passe devant il soulève ma jupe déjà fort courte du bout du manche de son fouet.

-« Marche, lentement, j’ai envie de voir comment tu roules ta jolie croupe de pouliche »

Un couloirs, des vestiaires avec douches qui donnent sur le petit gymnase. Ce qui me frappe c’est la chaleur. Il a dut mettre le système de chauffage à fond car même si c’est un soir de septembre et qu’on est dans le sud il fait une chaleur étouffante dans ce gymnase.
Je marche lentement en roulant légèrement du cul. Très légèrement, juste ce qu’il faut. Je ne veux pas en faire trop. Il est juste derrière moi et tient le manche de son fouet pressé entre mes cuisses. Je ne mouille pas encore mais si ça continue comme ça, me connaissant, je sais que ma culotte risque d’être vite moite.

Mon dresseur est du genre organisé et esthète.  J’apprécie. Au centre du gymnase de grands chandeliers sur pieds à bougies  sont disposés en un cercle de quelques mètres de diamètre. A part les bougies, le seul éclairage est constitué des rectangles verts indiquant les sorties de secours et d’une horloge murale à affichage digital rouge qui vient tout juste de passer de 23:04 à 23:05. Il me pousse délicatement vers le centre du cercle où trône un cheval d’arçon en cuir brun. Il y a sur le cheval d’arçon un collier avec une longe en cuir qui me sont forcément destinés.

D’un coup un claquement sec et bruyant me surprend. Sans prévenir il a fait claquer son fouet et vient, sous mes yeux, de moucher une des grosses bougies  qui nous entourent.

-« Ça c’est juste pour que tu vois que je peux être très précis. Saches que je touche exactement là où je le décide. Il n’y a pas de hasard ni d’accident. Toi t’es vraiment un belle pouliche et tu vas faire un joli tour de manège ! Montre un peu tes dents ! »

Il presse mes joues dans ses mains pour examiner ma dentition comme il le ferait pour un animal de ferme. C’est humiliant et excitant en même temps.
-« Bon, pas mal, jolies dents. Ça fera un très beau collier autour de ma bite…Lève la tête ! »

Il pousse mon menton vers le haut et place sa main à plat sur mon cou. J’ai vécu des simulations de strangulation. Être prise en levrette en pouvant à peine respirer est une expérience que je recommande à toutes les femmes qui ont envie de vraiment jouir. Mais c’est toujours assez intimidant. J’avoue que je ne fais pas la fière. Il prend le collier en cuir et l’ajuste à mon cou. J’apprécie qu’il s’assure qu’un doigt peut passer entre la peau fine de mon cou et le cuir du collier de dressage. Ce ne sont que les premières phalanges de son petit doigt et c’est bien serré mais au moins je sais que je ne suis pas en danger. Je risque juste un peu d’inconfort. Surtout, si, comme je  commence à le deviner, il va me faire faire de l’exercice.

-« Tu m’as l’air bien sportive. On va commencer par un peu de trot. Vas-y, trottine en rond. »

Il me pousse vers le bord du cercle de chandeliers et fait claquer le fouet juste derrière ma nuque. Il ne m’a pas touché mais c’est pas passé loin. C’est très bruyant un claquement de fouet. Et très intimidant. Je me mets à courir. Pas trop vite car je n’ai aucune idée de combien de temps va durer ce petit manège. Il tient la longe un peu lâche sans tirer dessus. Mais le collier est en fait plus serré que je ne le pensais. En tous cas je le sens sur mon cou et cela m’oppresse. Surtout il fait hyper chaud et, en même pas trois tours, je suis dejà en sueur. Nouveau claquement de fouet. Il ne m’a toujours pas touchée mais j’ai senti le souffle sur mon épaule.

-«Un peu plus vite, débrouille toi comme tu veux mais je veux voir ta jupe se relever à chaque foulée. »

Plus facile à dire qu’à faire. Comme on fait pour courir et faire montrer son cul à chaque foulée ? J’essaie de courir en sautillant mais le résultat est assez grotesque.

Le fouet cette fois claque sur ma cuisse et m’arrache un cri de surprise. Ça fait hyper mal en fait. Je fais un écart et du coup la longe se tend et c’est le collier qui cette fois me serre le cou. Je manque de tomber. J’arrête de courir et me penche en avant les mains sur mes cuisses pour reprendre mon souffle.
Nouveau coup de fouet. Sur mes fesses cette fois. Mais avec la jupe qui est en toile assez épaisse çà fait moins mal.

-« Maintenant, je veux que te voir courir en relevant bien les genoux. Tu cours en relevant les genoux ! T’inquiètes pas pour la jupe, ça va aller tout seul. Je veux bien voir tes jambes de pouliche. »

je repars en levant les genoux  le plus haut possible à chaque foulée. L’effet est immédiat, mes gros seins, même dans le beau soutien-gorge Aubade, balancent à chaque pas. Il me laisse faire quelques tour comme cela et tire progressivement sur la longe pour me ramener à lui.

Je suis haletante et passablement essoufflée. J’ai chaud et mon chemisier commence à se mouiller de sueur par endroits.
-« Viens la ma petit pouliche. Reprends un peu ton souffle. Montre moi cette croupe. »

Il passe la main sous ma jupe pour malaxer mes fesses. Cela a pour effet quasi immédiat de me faire me cambrer pour m’offrir à ses mains baladeuses. J’ai le cœur qui bas vite et le souffle presqu’aussi court que ma jupe. Il déboutonne mon chemisier.

-« Tu es vraiment une pouliche de compétition toi. J’aime bien tes grosses mamelles. C’est dommage de les cacher. »

Il me déleste de mon chemisier et dégrafe (fort habillement) mon soutien-gorge. Je me retrouve seins nus. Impossible de cacher mes tétons qui pointent.
-« Ah ! C’est mieux comme ça. Bon, assez soufflé. On va reprendre le trop. Tu vas trotter tenant ta jupe relevée. T’as de beaux seins mais faudrait pas non plus cacher ton cul ! »

Je retrousse ma jupe et la tient relevée puis me repart au petit trot.

Pour entretenir mon corps de salope je fais pas mal de sport. Mais trottiner seins nus en tenant la jupe relevée dans une salle surchauffée ne fait pas vraiment partie de mes activités habituelles. Ajoutez le collier un peu trop serré qui m’empêche de ventiler correctement et le stress de la situation et je pense que vous visualisez un peu le tableau. En plus, courir seins nus quand on a une poitrine un peu forte comme moi c’est assez incommodant. Mais c’est bien l’objectif de mon dresseur de me pousser à la limite de l’épuisement avant de passer à des activités plus sexuelles. Le problème c’est que mon dresseur ne semble pas impatient de passer à la phase câlins. Dès que je ralentis je sens la morsure du fouet juste sur mes fesses. Même si je suis en culotte petit bateau en coton, le bout du fouet claque et j’ai peur que ça marque un peu. La chaleur me semble suffocante et je suis en sueur. Je jette un œil à l’horloge rouge. 23:19. Cela fait à peine un quart d’heure que je trottine et j’ai l’impression d’avoir fait un semi en plein cagnard. Je suis en nage quand il me fait ralentir et tire sur la longe pour me ramener à lui. Dans un coin du gymnase je devine une pile de tapis en mousse que j’imagine déjà parfait pour la séance de câlins. Mais je ne suis pas une oie blanche et j’imagine bien que mon tortionnaire ne va pas juste me câliner sur des tapis confortable après à peine vingt minutes d’échauffement. D’ailleurs il tire sur la longe pour m’attirer contre lui et il passe une langue grasse sur mon épaule.

-« Hummm, j’adore le goût de ta sueur de bonne pouliche ! C’est très bien ! »

Il lèche et embrasse goulûment ma nuque et le haut de mon dos, là où j’imagine que j’ai un goût un peu salé. C’est bizarre, il est évident que ce ne sont pas des baisers mais bien un drôle de trip sur ma sueur. Mais comme en même temps il a les mains baladeuses je sens l’excitation monter et je ne peux m’empêcher d’avancer le bassin à la rencontre de sa main.

-« Tu m’as l’air d’une pouliche bien salope hein ? Tiens, bois un peu, tu dois galoper encore un peu et bien suer si tu veux gagner ta séance de câlins… »

Il me tend une bouteille de Contrex. La grosse de 1 litre et demi. L’eau est tiède mais j’en englouti la moitié. Il me claque les fesses du plat de la main, je relève ma jupe et repars au trot. Il laisse la longe détendue, après quelques tours de piste il fait claquer le fouet à quelques centimètres de mes fesses mais sans les toucher. Je dois faire demi tour et repartir dans l’autre sens. La première fois je m’emmêle le cou avec la longe. Le fouet claque cette fois en mordant cruellement mes fesses.

-« Idiote !  Rapproche toi du centre quand tu fais demi tour. Comme ça je peux faire passe la longe au dessus de toi ! »

Je recommence, cette fois en laissant du mou dans la longe. D’un mouvement souple il fait onduler la longe qui passe effectivement au dessus de ma tête et je peux repartir dans l’autre sens. Trois tours de piste dans un sens, trois dans l’autre et on recommence. Je suis trempée de sueur et quand je jette un œil sur l’horloge digitale je vois que j’ai recommencé à trotter depuis presque quinze minutes. Il me fait accélérer progressivement jusqu’à courir à la limite de mes capacités. Je dois toujours tenir ma jupe relevée et il ne se gêne plus trop pour fouetter mes fesses qui doivent rougir sous la culotte. Je suis toute flageolante quand il m’ordonne enfin de le rejoindre au centre de la piste. Il m’attire à lui par le cou et lèche mes seins trempés de sueur. J’ai malgré moi les tétons qui pointent. Après avoir copieusement léché mes seins il me pousse en avant sur le cheval d’arçon. Je dois me mettre en équilibre sur la pointe des pieds pour avoir le ventre sur l’assise de cuir. Il tire la longe vers le pas pour que je sois penchée en avant  le plus possible et il attache mes chevilles ensembles avec l’extrémité de la longe. Le cheval d’arçon est juste assez bas pour que la pointe de mes pieds touche le sol. Penchée en avant, la tête en bas je peux le voir derrière moi. Il se met nu sans se presser. Il bande et sa queue me semble fort grosse. Pas énorme mais quand même sacrément plus grosse que d’habitude. Il se placé derrière moi et commence à palper mes fesses, il préfère déchirer ma culotte plutôt que de la baisser. Le tissus est trempé de sueur et ne fait pas de bruit en se déchirant. Je m’attends un peu à ce qu’il me malmène et je ne peux m’empêcher de contracter mes fesses anticipant une fessée ou un coup de fouet. Mais rien de cela n’arrive. Il malaxe ma chair du haut de mes cuisses jusqu’à mes fesses. Il presse, écarte, tripote. Il y met son visage, tout en langue et en succion. Des doigts viennent dans ma Chatte trempée et suis toute glissante jusqu’à l’anus. Mouille, sueur et salive se mélangent et je suis bien lubrifiée quand il appuie son gland contre mon anus. Le problème c’est que j’ai bien vu sa  grosse queue et que je doute qu’il parvienne à me la fourrer dans mon petit trou du cul que je garde étroit et musclé.

-« Attends, s’te plaît ! Ça va pas rentrer. Je peux te sucer si tu veux plutôt. »

Bon en réalité je me doute bien qu’il va quand même essayer. Mais je suis certaine que ça va pas rentrer et je me doute un peu que ça peu l’exiter de savoir que j’ai peur d’avoir mal.

-« Mais si, t’inquiète, moi je suis certain qu’elle va rentrer. T’a qu’à te détendre et bien écarter avec tes mains. Tu as bien transpiré, tu vas voir, ça va rentrer tout seul ! »

Il prend mes bras et le tire en arrière pour que je place mes mains sur mes fesses et que je les écarte. En même temps il plaque une main sur le bas de mes reins et guide sa queue en poussant contre mon anus. Je suis hyper crispée. Pas d’étendue du tout. Et effectivement ça ne rentre pas. Enfin pas tout de suite. Je gémis car il presse le bas de mes reins à me faire mal.

-« Écartés tes fesses je te dis ! »

Il claque violemment le haut de ma cuisse. Il frappe fort cette fois et je fais de mon mieux pour écarter mes fesses avec mes mains.
Sa queue rentre d’un coup ! J’en crie de douleur. Alors il me prend par ma taille toute menue et commence son va et vient. Il me pilonne avec des mouvements amples et forts. A chaque coup de butoir je suis pressée contre le cuir dur du cheval d’arçon. Je pousse un gémissement à chaque poussée. Mais en même temps j’oublie presque que j’ai mal, je suis bien lubrifiée du cul et sa queue va et vient en faisant monter malgré moi autant de désir que de plaisir. J’y crois pas, je suis littéralement en train de jouir du cul. Je ne crie plus mais je gémis : « Ouiiii, encore, c’est bon, encule moi encore ! »

il est déchaîné et comme il devait avoir fait juste une rosette il détache facilement la longe de mes chevilles pour me souveler par les cuisses. Je manque de perdre l’équilibre et de basculer en avant. Mais il me retient pas les cuisses et continue à me defoncer brutalement l’anus. Je jouis et je crie comme une truie à l’abattoir. Quand il se retire pour éjaculer sur mes fesses de cochonne je suis au bord de l’évanouissement.

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10 Cadeaux sexy

Quand j’ai commencé ce blog c’était pour moi un moyen de raconter anonymement ce qui devait rester secret. J’ai décidé d’être une femme adultère et de devenir une parfaite salope il y a un peu plus de cinq ans. J’aime voir le sexe comme une sorte d’art martial. Comme dans ces films de samouraï où le type cherche la perfection dans le maniement du sabre j’ai décidé de rechercher la perfection dans l’art de donner du plaisir et d’en prendre. Cela passe par un soin sans limite à ma condition physique et la recherche sans fin de ce qui peut faire triper les hommes. Je veux, en secret, être le meilleur coup de la vie de chaque plan cul que je croise. Puis ce blog a rencontré un peu de succès. On m’a proposé des liens d’affiliation pour que je puisse toucher quelques sous via des liens vers les sites de rencontre que j’utilise ou des sites de striptease en ligne qu’il m’arrive (rarement) d’utiliser pour m’entraîner à m’exhiber.
Ce n’est pas glorieux mais pas honteux non plus !

Avec tout cela, en plus de quelques dizaines d’euros qui aident à maintenir ce blog et à payer mes abonnement aux sites à plan cul et mes achats de gadgets SM et costumes sexy, j’ai gagné quelques milliers de jetons pour le site de strip tease en ligne Eurolive  . Comme je ne suis pas cliente et que je n’ai que faire de ces jetons, j’ai décidé de vous en faire cadeau. C’est gratuit, sans aucune contrainte, juste pour vous remercier de me lire. Le principe est simple : Vous ouvrez un compte sur Eurolive. Un compte gratuit, sans donner votre CB ni rien. Vous me donnez en commentaire votre identifiant (sans le mot de passe bien sûr !). Et je crédite votre compte d’une centaine de jetons. C’est pas un gros cadeau, 100jetons ça coûte pas grand chose. Mais c’est cadeau, c’est tout gratuit aux premiers qui demandent.

Bisous

et restez dans le coon ce week-end, j’ai presque fini de raconter mon plan cul de la semaine dernière qui était, une fois n’est pas coutume, épique !

 

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Encore un sondage

Je suis, pour la semaine prochaîne à Carcassonne, en cruel manque d’inspiration. Je voudrais être un bon dessert. Alors je me permets de vous demander : quel aliment voudriez vous tremper dans ma Chatte mouillée avant de l’avaler (l’aliment, pas ma Chatte !).

Que badigeonneriez vous sur votre queue pour me donner envie de la sucer ?

Je vous laisse m’imaginer en sous vêtements roses, maquillée comme une belle sucrerie.

Pute Toulouse, ville rose en mode prostituée

Tapin place du Capitole

J’aime tapiner (pour faire semblant). Me faire passer pour une pute de luxe auprès d’hommes qui se retrouvent tout surpris que je ne sois pas une vraie prostituée affublée d’un proxénète mais juste une fille facile, jolie catin qui aime faire sa salope adultère en dessous chics et coquins. Je mets ma plus belle lingerie d’escorte luxueuse, la noire très chère toute en porte jarretelles, véritables bas nylons made in France et string que tu peux écarter sur le côté pour accéder à ma chatte lisse et humide.

Ou trouver une pute à Toulouse ?

Alors si, cher lecteur, tu veux savoir où trouver une pute à Toulouse, ce blog n’est peut être pas le meilleur endroit, vu que je ne suis pas une spécialiste de la vraie prostitution, juste une imitatrice en mal d’aventures extraconjugales. Mais si tu cherches un joli petit cul en Occitanie alors tu peux tenter ta chance ici ou .

 

 

Toulouse sexy by night

La ville rose porte bien son nom. J’aime y faire le patin en bonne petite pute. Surtout l’été quand la chaleur est étouffante et que la place du capitole est multicolore de monde. J’ai un mini sac à main de pute, je me suis payée un des coiffeurs les plus chers de la ville Rose et mes cheveux sont longs et bouclés. Talons hauts et jupe un peu courte mais pas mini. Comme je suis seule, très sexy, souriante et maquillée jusqu’au bout des ongles il est permis de penser que je suis une prostituée. Mais pas une de celles qu’on aborde sous un pont glauque ou sur un trottoir mal famé. Plutôt une escort de luxe qui a déjà un rendez vous planifié à la terrasse d’un bar en plein centre ville, place du Capitole. Alors forcément, les mecs qui ne s’attendent pas à trouver une pute ici pense que je suis déjà réservée. Il est déjà tard, plus de 23 heures. C’est l’heure où les hommes non accompagnés  savent qu’ils risquent de passer la nuit en solitaires. L’heure où quelques couples mariés sortent des restaurants pour marcher dans les rues de Toulouse. Maquillée comme une voiture volée et en mode escort de luxe je sais que je risque uniquement d’être abordée par des rigolos genre ta mère casquette à l’envers. Pas du tout mon genre de client. Il faut que je me trouve une cible. Si possible un mec déjà en couple qui me regarderait à la dérobée. Un mec avec du chalenge, difficile à aborder car surveillé mais qui pourrait être partant pour un plan cul adultère. C’est peut être d’avoir été cocue qui me fait aimer baiser des mecs mariés ou en couple. Cela dit, pour un plan cul sans lendemain et sans tabou c’est l’idéal. Avec une pute d’un soir vous ne vous comportez pas pareil qu’avec votre nana de tous les jours. Vous osez plus, vous osez tout. Et c’est exactement ce qui me plaît quand je fais ma pute bien salope.

Se faire aborder par une prostituée quartier Matabiau

La place du capitole n’est pas loin à pied du quartier Matabiau où j’ai ma petite garçonnière. L’homme que j’ai choisi me lance des regards appuyés à chaque fois que sa nana regarde ailleurs. Ce petit jeu dure depuis une vingtaine de minutes à la terrasse du Grand Café le Florida, place du Capitole. Un quadra plutôt beau gosse. J’ai toujours cette application sur mon iphone qui permet d’écrire des messages en gros texte qui défilent : « WC DANS 1 MINUTE ! »

Je demande au couple de la table d’à côté s’ils peuvent garder mes affaires le temps que j’aille aux toilettes. La femme me fusille du regard mais l’homme s’empresse d’accepter.

Je me lève de ma table pour aller à l’intérieur demander les toilettes. Je suis certaine que mon beau quadra va me suivre. Il me prend sûrement pour une pute. Mais j’ai pu comprendre que je lui fais très envie avec mon petit cul et mes allures de belle salope.
Hélas tout ne se passe pas toujours comme prévu. J’attends en vain. Et quand je retourne à ma table, dépitée, plus trace de ma cible. Heureusement le couple qui devait garder un œil sur mes affaires est encore là ! Mes affaires aussi.

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Crotte, un comble, je suis hyper sexy dans la ville rose un soir où la température est idéale pour des rencontres en terrasse et j’ai la mauvaise impression que je vais devoir jouer à la pute sur internet via une application de rencontre si je veux mon plan cul ! Petite déprime et perte de confiance ! Manquerait plus que je doive tainer autour de la gare quartier Matabiau comme une prostituée black ou des pays de l’Est ! Je rentre la queue basse (hihihi) à mon RBnB. J’aurais pu, bien sûr, continué à tapiner en centre ville. Mais plus trop le goût. Une vraie escort de luxe ne s’abaisserait certainement pas à ce racolage honteux. Je décide de changer totalement mes plans. La nuit est encore jeune et je n’ai plus trop en or de me faire passer pour une pute. Je décide plutôt de reprendre mon personnage de jolie touriste Norvégienne en goguette en France qui cherche à s’envoyer en l’air. Je fais très bien l’accent nordique et j’ai quelques notions de Norvégien. Pour cela n’importe quel site a plan cul fait l’affaire. Tellement d’hommes affamés qui traînent sur internet à partir de 23h que c’est pas trop difficile de faire son marché quand on est jolie et qu’on veut se faire gentiment défoncer le cul.

La suite est assez classique, j’ai presque envie de dire « Hélas ». Quadragénaire marié mais qui trouve le moyen de s’éclipser de chez lui en pleine nuit après que j’ai réussi à le convaincre en le chauffant en sexcam. Belle bite très agréable à sucer, il fini par me prendre sur le grand lit de l’appartement, mes jambes sur ses épaules. Pas violent mais très tonique, coups de butoirs qui vont bien au fond de ma chatte il prends appuis sur mes cuisses à pleines mains à chaque coup de butoir, je gémis en rythme en prenant soin de garder l’accent norvégien.

Je jouis assez vite, et lui demande : « Toi, tourne moi. Prendre par fesses ? Ok ? »

Pas mon meilleur plan cul mais bien quand même.

Post scriptum : Je cherche une lectrice qui voudrait m’accompagner pour un footing-drague-plan à trois sur Montauban la dernière semaine de Septembre.

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Sondage coquin

Salut ! Grosse flemme d’écrire aujourd’hui et pas trop d’inspiration. J’ai hâte de reprendre le travail et les déplacements professionnels qui me permettent mes escapades es adultères. En attendant j’ai besoin d’inspiration. Alors je me suis dit qu’un petit sondage pourrait nous changer les idées.
Le thème c’est SM. Quels sont vos accessoires SM préférés ? Pourquoi ? Pouvez vous raconter une petite anecdote autour de tel ou tel accessoire ou pratique SM ? J’attends vos commentaires avec impatience. Je répondrai à chaque commentaire et sachez que je vous prépare une surprise avec tirage au sort pas du tout impartial. Plus de chance pour mes lecteurs et lectrices actifs sur ce blog…bisous.

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Laika, chienne et esclave sexuelle, épisode 1

La première session avec Laika fut un peu décevante. Pas à cause de Laika, qui, la pauvre, faisait de son mieux pour plaire à son amant mais plutôt justement à cause de Patrick, son amant, qui manquait cruellement d’imagination. J’étais un peu fautive aussi. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu de plan à trois et, après le déjeuner à la brasserie j’ai laissé Patrick nous emmener chez lui pour le dessert. Son étudiante s’est montrée assez maladroite, suçant docilement mais sans sensualité. Elle embrassait et caressait son amant avec passion mais sans vraiment être attentive à ses désirs et sans trop savoir quoi faire avec moi, l’autre fille de ce trio. De son côté Patrick avait autant envie de moi que de la fille et ne semblait pas trop savoir où donner de la queue. Ce n’était pas nul parce que, heureusement, Patrick sait se contrôler. J’ai pu montrer à Laika comment lécher doucement les couilles d’un mec avant de le sucer et j’ai presque réussi à obtenir qu’elle gémisse et pousse de petits aboiement de chienne quand il l’a prenait en levrette. Mais, il faut avouer que c’était assez classique et que je restais sur ma faim après notre première session qui était plus un bon plan cul qu’une vraie séance de dressage.

Aussi, la semaine suivante je décidais qu’il fallait s’y prendre autrement. S’il voulait que je lui façonne une parfaite esclave sexuelle Patrick ne pouvait pas juste nous baiser a chaque fois que nous étions tous les trois. Patrick acceptais donc de me laisser seule avec Laika pour notre second rendez vous. Je louais un appartement sur Airbnb est achetais les quelques accessoires. Avant d’aller chercher Laika à la même Brasserie que la semaine précédente.

-« Bonjour Laika. »

-« Patrick n’est pas là ? »

-« Ne pose pas de question. Viens,  on va enfin commencer ta formation. »

Je l’emmène à l’appartement. C’est un petit studio sans âme, meublé Ikea pour des AirBnB sans grande imagination. Mais c’est très bien pour ce que j’ai en tête.

-« Déshabille toi ! »

-« Toute nue ? »

-« Oui idiote. A partir de maintenant tu t’habilles en esclave sexuelle pour nos séances. Mais d’abord, à poil ! »

Laika se déshabille docilement. Elle sait que Patrick m’a donné toute autorité pour la former et elle me fait confiance.

L’étudiante est nue. Ce n’est pas un canon mais correctement préparée je suis sure qu’elle peut être très excitante.

-« D’abord ton collier de chienne soumise. Tu devras toujours le porter. Le reste pourra changer mais tu auras toujours ce collier. »

J’ajuste à son cou le collier de cuir acheté en animalerie. Un vrai collier de chienne, pas un jouet de sex-shop. Juste comme cela, nue avec le collier la fille est  déjà nettement plus sexy. Mais pour cette session j’ai prévu un peu mieux.

-« Tiens, Laika, mets ça ! »

Je lui tends une cagoule en laine noire.

-« Pourquoi ? »

-« Patrick t’a promis que ça resterait secret. Tu ne veux quand même pas qu’on puisse te reconnaître…Aller, mets toi à genoux ! »

Je lui enfile la cagoule noire. Deux trous pour les yeux, un pour la bouche. C’est important la bouche. D’ailleurs j’ai prévu un joli rois a lèvres. Les hommes aiment une jolie bouche maquillée pour se faire sucer.

Bien sûr en plus du collier et de la cagoule j’ai prévu pour Laika un joli harnachement en cuir avec boucles et poignées un peu partout. J’ajuste le tout bien serré. Et je me mets, moi aussi en tenue. Un tailleur assez sexy genre hôtesse d’accueil. Je suis prête quand l’heureux gagnant frappe à la porte. C’est rare que je rappelle un ancien plan cul mais là c’est pour la bonne cause. Il me faut un bon gros pervers dont je sois certaine qu’il ne reculera pas devant le plan cul un peu bizarre.

-« Salut Martin, heureuse que tu aies pu te libérer ! »

Martin est physiquement l’opposé de Patrick. Il n’est pas grand, je dirais 1m70 avec un peu d’embonpoint et un début de calvitie. Mais c’est un jovial, un bon vivant plein d’humour. C’est un gros pervers mais pas violent, ni méchant et toujours souriant. Moi je lui trouve beaucoup de charme et surtout il manie sa queue comme peu d’hommes.

Pourtant quand Laika le voit et qu’elle comprend ce que j’attends d’elle c’est un « Non » catégorique. Elle n’est pas d’accord et exige de parler à Patrick. Je suis déçue, je m’attendais à plus de soumission. Mais, il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur. Si ma petite stagiaire était parfaite je ne servirais pas à grand chose. J’appelle donc Patrick. Après tout, c’est lui le propriétaire.

-« Allo Patrick, on a un différent avec ton esclave sexuelle. Enfin, plutôt potentielle esclave. Car là elle n’est pas très obéissante. »

-« Ah ? Faut que je vienne plus tôt ? »

-« Non non, comme on a dit c’est bien. Tu me la laisses quelques heures et je te la prépare. tu viens plus tard dans la nuit ou au petit matin. Mais le mieux c’est que je te la passe je pense. »

-« Allo Laika ? Explique moi. On était d’accord pour que Lucie te dresse non ? »

-« Heu, oui. Mais c’est TON esclave que je suis d’accord pour être. C’est toi que je veux satisfaire. Pas un inconnu ! En plus il est pas vraiment beau. Et j’aurais l’impression de te tromper. »

Malgré moi je suis impressionnée par le calme de Laika. Elle ne pleurniche pas. Elle explique juste quelles sont ses limites.

-« Bon, je comprends, tu sais je n’ai jamais dit que ça serait facile. Mais c’est vrai que j’apprécie ta fidélité. Et je n’ai pas trop envie non plus de prêter comme ça le petit cul de ma chienne préférée a un inconnu. Passes moi Lucie, on va trouver…disons…un compromis… »

-« Allo Lucie? C’est une bonne idée de sortir Laika de sa zone de confort. Mais c’est peut être un peu trop pour une première session, tu ne trouves pas ? »

-« D’abord c’est la deuxième session si on compte le fiasco de la semaine dernière. Et ensuite je fais quoi maintenant avec le gentil Martin ? »

-« Bin, trouve une idée. Je sais pas un truc éducatif pour Laika mais qui ne lui donne pas l’idée de me tromper. »

-« Bon ok, mais il faut qu’elle y mette du sien. Et quand tu viendras il faudra qu’on lui fasse comprendre un peu mieux le concept d’esclave sexuelle. »

-« Ok, tu proposes quoi ? »

Martin est amusé par la situation . Patient il attend. Je lui int’dique de se servir il un verre le temps que j’arrange les choses et je me penche à l’oreille de cette brave Laika toujours à genoux.

-« Bon, écoute, je comprends, Patrick et moi sommes d’accord, tu ne dois pas tromper ton maître avec un autre homme. En tous cas pas dans les premières séances…Mais sucer n’est pas trompé. Donc tu vas gentiment sucer mon ami. Et s’il te plaît tu vas t’appliquer un peu mieux que la semaine dernière. Considère ça comme un entraînement pour ton maître. D’ailleurs, parce que je suis gentille et que je sais que tu veux bien servir ton maître je vais mettre en FaceTime pour qu’il puisse voir comme tu t’appliques. »

Elle hésite.

-« Et si je refuse ? Je suis punie ? »

-« Allo? Patrick, tu as entendu ? C’est quoi la punition si elle refuse ? »

-« Dis lui juste que si elle refuse c’est fini, elle rentre chez elle et on arrête tout. »

Patrick a vu juste. Quand Laika comprend qu’il n’y aura pas de punition si elle ne se soumet pas, que c’est juste le clap de fin, elle accepte son sort et s’approche à genoux du canapé où mon gentil Martin s’est installé.

-« Ca ne te dérange pas Martin si je m’installe à côté de toi ? Je possède juste mon iPhone là pour que le maître de Laika ait une bonne vue ok ? »

-« Aller, viens ma petit Laika, viens doucement à quatre pattes entre les jambes de mon ami… »

Laika avance, doucement, elle est assez douée. Elle comprends qu’il ne faut pas avancer trop vite. Elle a toujours sa cagoule en laine noire mais ses yeux humides et sa bouche maquillée sont très sexy. Le harnais de cuir ajusté serré est du plus bel effet.

J’embrasse Martin sur la bouche et c’est moi qui défait son pantalon pour libérer sa queue. Martin a une grosse queue. Pas une longue tige mince comme certains jeunes. Lui c’est plutot le genre saussice de morteau. Grosse, bien gonflée. Il bande bien, c’est pas mou, mais pas non plus archi raide. Du coup j’ai très envie de le sucer. Mais il faut garder un peu de sérieux. C’est pas mon job. Mon job ce soir c’est le dressage.

-« Vas-y jolie Laika, pense à ce que je t’ai dis la semaine dernière. Commence par bien lécher. Dégage lui les couilles. Je veux que tu y mettes tout ton cœur. Pense que Patrick te regarde. »

Martin baisse son pantalon et son caleçon. Il s’en débarrasse totalement.

-« Dis Lucie, tu penses qu’elle peut enlever mes chaussettes et s’occuper un peu de mes orteils ta heu, comment dirais je, ta stagiaire ? »

-« Tu as entendu Laika ? C’est dans tes cordes ca j’espère ? Enlever des chaussettes? »

Laika, enfin docile, s’exécute. Elle est chanceuse. Martin est propre, il sent bon, met des chaussettes en fil d’Ecosse et fréquente le podologue. Après avoir enlevé les chaussettes elle reste quand même un peu indécise.

-« Oh ! C’est quel mot que tu n’as pas compris dans s’occuper des orteils ? C’est s’occuper ou orteils ?! »

Les larmes lui montent aux yeux mais elle prends le pied de mon ami et le porte à sa bouche. Elle commence timidement par les orteils du millieu. Martin, bon camarade, l’encourage.

-« C’est très bien petite. Vas-y, lèche, suces, t’inquiètes pas, tu t’y prends très bien. Écoute pas Lucie, tu t’en sors très bien. »

La méthode est bonne, Encouragée Laika s’applique et lèche et suce consciencieusement. Martin est aux anges. Je l’embrasse dans le cou et m’occupe de ses lobes d’oreilles. J’ai tellement envie de le sucer ! Quel gâchis de devoir laisser cette belle saucisse à une chienne débutante. Mais c’est bon de faire durer comme ça. Martin n’est pas pressé que l’on s’occupe de sa queue. Il aime prendre son temps. Et moi je me délecte de voir notre esclave débutante sucer et lécher les pieds de mon ami. Elle doit se demander combien de temps cela va durer. Mais comme elle sait qu’après les orteils elle doit sucer les testicules poilus et qu’elle devra prendre en bouche la grosse saucisse j’imagine qu’elle n’est pas si pressée que ça de délaisser les pieds. Peut être que cette sote s’imagine qu’il va jouir sans qu’elle ait besoin de le sucer.

Mais avec Martin aucune chance ! C’est pas un débutant. Puis je lui chuchote à l’oreille de me faire signe quand il voudra qu’elle s’occupe des knaki balls et de la saucisse.

-« T’inquiète pas, on a le temps. Je pense qu’elle va me lécher les pieds encore un peu. Genre une vingt minutes…Après tu lui diras de prendre bien son temps sur mes couilles. »

-« Ok, mais tu peux la guider aussi, elle comprend plein de mots… »

Tout ça on se le chuchote sur le canapé à l’oreille pendant qu’à genoux par terre la petite chienne lèche consciencieusement entre les orteils.

Quand je sens mon Martin bien mûr (et que je me lasse un peu de lui lécher les oreilles) je glisse par terre pour pincer un peu le cul de Laika. Petite tape sur mes fesses en passant. Et je m’approche de pour lui indiquer la suite du programme. Je pose ma bouche contre la laine de sa cagoule, juste au niveau de l’oreille.

-« C’est bien, je pense que les pieds ça suffit. Maintenant tu vas lui lécher les couilles et faire exactement comme il dit. N’oublies pas que Patrick te regarde. Si tu veux qu’il soit gentil avec toi quand il va venir il faut t’appliquer.»

Je la pousse un peu pour qu’elle remonte le long des cuisses de mon ami. Il pose sa main sur sa nuque. Juste sur le collier en cuir.
-« Hum, c’est très bien, n’écoute pas trop Lucie, tu es douée. Lèche tout doucement. Prend la peau de es couilles entre tes lèvres. Oui…bien délicatement. Tu lèches, tu prends ton temps. Bref tu t’appliques. »

-« Regarde le dans les yeux aussi ! Les hommes aiment bien qu’on les regarde quand on les suce. »

Tiens je te passes aussi Patrick qui va t’encourager.
Je mets mon iPhone toujours en Face Time a portée de vue de Laika. La voix de Patrick est rendue un peu nasillarde par l’iPhone.

-« C’est bien. J’ai l’impression que tu fais des progrès. J’espère que tu me suceras comme ça maintenant. Continues, je suis fier de toi. »

J’ai mis Martin torse nu et je l’embrasse partout au dessus de la ceinture. Je sais que le jeu est de faire durer le plus possible. Laika doit lécher et sucer à n’en plus avoir de salive. Je retarde le moment où elle devra prendre la grosse queue bien à fond dans sa gorge car en bonne esclave sexuelle elle doit savoir passer le plus de temps possible à satisfaire son maître ou tout autre personne choisie par son maître. Mais le problème c’est que tout ça me donne furieusement envie de baiser moi aussi. Martin, lui il n’est pas pressé. Il a bien compris qu’il n’était qu’une sorte de mannequin d’entrainement. Une fois qu’il aura déchargé on le mettra à la porte. Alors comme il est bien en notre compagnie il fait durer.

C’est Patrick, toujours en FaceTime qui donne le signal : « C’est bon Laika, fini le. Je veux que tu suces bien à fond sa queue et que tu avales bien tout quand il déchargera. Après vous le mettez dehors et je viens pour m’occuper de ton petit cul de chienne. »

J’aurais du prévoir une laisse pour qu’il puisse la tenir en se faisant sucer. Mais, conne que je suis, j’ai oublié. Tempi, la prochaine fois. En attendant je sens Martin qui se raidi. Il lutte pour se retenir. Dommage, elle vient à peine de faire quelques pompes de sa queue. Je trouve qu’elle pourrait serrer plus fort. C’est un peu bâclé cette pipe sur la fin. Il décharge et j’ai juste le temps de plaquer ma main derrière la tête de Laika pour l’empêcher de recracher la grosse saucisse et la sauce. Laika ouvre des grand yeux et semble au bord de l’étouffement. A mon avis il y a une quantité de sperme respectable. Je ne m’inquiète pas. On ne peut pas étouffer si le nez n’est pas bouché. Mais je pousse fermement la tête de Laika contre le bas ventre de Martin. Je veux qu’elle le garde en bouche jusqu’à ce qu’il ait complètement débandé. Elle devra ensuite le lécher pour qu’il soit tout bien propre.

On sonne à la porte. C’est Patrick qui décidément ne devait pas être bien loin.

Je demande à Martin de se rhabiller fissa et je vais ouvrir.

-« Hey ! Patrick ! tu as vu. Elle fait des progrès ta petite chienne ! ».

-« Oui, j’ai bien fait de te la confier. C’est quoi le programme maintenant ? »

-« Écoutes, je te la laisse. Je pense qu’elle a bien mérité un peu de temps seule avec toi. Moi tout ça m’a donné envie de raccompagner  Martin à l’Hôtel… »

 

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Esclave sexuelle

Une jeune esclave sexuelle

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Patrice est professeur de droit à l’université de Montpellier. Il est mince, grand, dans le millieu de sa quarantaine. Patrice aime dominer. 2018, cette année là une jeune étudiante de première année tombe sous son emprise. Peut-être être était-elle en difficulté dans ses études. Ou simplement fascinée comme un lapin dans la lumière des phares. Moi, je ne sais pas tout de leur histoire car j’entre en scène alors que la jeune étudiante a déjà débuté son « apprentissage ». Fin du premier trimestre dernière semaine avant les vacances de Noël. Difficile de résister à sa proposition de Patrick : Participer au dressage de sa toute jeune esclave sexuelle. Mieux même, il me propose carrément de superviser la formation de son esclave sexuelle.  Je dispose de la fin de l’année universitaire pour faire de sa jeune amante une soumise parfaite. A moi de le surprendre, de façonner son jouet. Seules règles qu’il a du négocier avec la fille : son esclavage doit rester secret et je dispose de 24 heures par semaine du mercredi au jeudi midi. En éducation la régularité à son importance. Bien sûr mon status de femme mariée, mère de famille ne me permet pas de participer à toutes les séances mais Patrick, propriétaire de cette jolie femelle, accepte de suivre à la lettre mes instructions pour les sessions auxquelles je ne participe pas.

 

 

Premiers contacts, adopte une chienne…

Les présentations ont lieu à l’heure du déjeuner dans une brasserie à côté de la gare, à deux pas de la maison de ville de Patrick.

L’étudiante a un physique assez banal. Taille moyenne, ni grosse ni mince, un visage rond plutôt joli et des cheveux blonds mi longs. Quand j’entre dans la brasserie ils sont assis côte à côte, Patrick à la main posée sur sa cuisse, assez haut. Elle est en jean les jambes serrées. Je remarque qu’il fait pression pour qu’elle soit forcée d’écarter un peu les jambes. Elle baisse les yeux, rougit mais ne résiste pas.

-« Salut Lucie. » Il se lève sans ôter sa main de la cuisse de son étudiante pour me faire la bise par dessus la table.
-« Salut Patrick, tu me présentes ton amie ? »

-«Lucie, je te présente…heu enfin, pardon, j’ai promis de ne pas dévoiler son nom ni son prénom. Et puis, elle est au courant de notre arrangement. Si tu veux tu peux choisir comment tu veux m’appeler »

-« Au courant, au courant ? »

-« Bon, disons dans les grandes lignes…Justement on va préciser un peu les choses… »

-« Ah ? Pourquoi pas, donc à moi de trouver un prénom pour cette jeune fille donc ? »

-« C’est ça. »

La fille ne semble pas triste ni effrayée. Un peu intimidée. Je décide quand même de la tester un peu. Je n’ai pas envie de faire quelque chose de déloyal ou de trop malsain.

-« Pardon d’être crue directe mais c’est assez important. Tu es bien d’accord pour que je t’éduque sexuellement ? C’est bien ce que tu veux ? »

-« oui. »

-« C’est un peu timide comme réponse, j’ai besoin d’être sûre. Tu peux comprendre. »

-« oui, c’est sûr. Je veux plaire à Patrick, et il m’a expliqué que vous sauriez vraiment me rendre parfaite pour lui. »

La main de Patrick est remontée sur la cuisse de la jeune fille. Il la caresse sans gêne. Je dois avouer que la situation m’excite.

-« Ok, puisqu’on est tous d’accord, je veux bien m’occuper de toi. Et comme il te faut un nom qui te convienne à partir de ce maintenant tu t’appelles…Laika. »

-« Lucie ! Tu es parfaite ! Je n’aurais pas trouvé mieux ! Un vrai nom de chienne ! Tu es géniale ! Laika ! Ça lui va tellement bien ! Faudra quand même que je fasse attention à ce que ça ne m’échappe pas en cours ! »

La fille rougit mais elle souri timidement. Elle ne semble pas traumatisée.

-« Ok, Laika ça me va. »

Patrick fait signe à la serveuse. Qui en l’occurrence est un serveur. Il ne s’embarrasse pas à demander à la fille ce qu’elle veut.

-« Deux steaks tartares. Lucie, tu prends quoi ? »

-« Sèche à la plancha s’il vous plaît. »

-« En dessert ? »

Là c’est moi qui prends les devants.

-« Non, pas de dessert, on est un peu pressés. Nous avons pas mal de choses à faire… »

Le serveur, qui a naturellement remarqué la main baladeuse de Patrick n’a pas besoin de mon clin d’œil appuyé pour comprendre que notre après midi risque d’être fort sexy.

Entre décembre 2018 et juin 2019 j’ai supervisé exactement 18 séances de dressage de Laika. Je suis très fière du résultat. si vous êtes sages et si vous commentez cet article je vous raconterai de temps en temps comment j’ai rempli ma mission et façonnée une parfaite esclave sexuelle pour mon ami Patrick.

 

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Vanessa femme adultère

Merci à Lucie de me laisser un peu de place dans son blog si excitant !

J’ai 39 ans et j’ai découvert le bonheur extra conjugal depuis trois ans maintenant. Du sexe et de la complicité mais toujours sans attache, pour l’équivalent d’un CDD. Pour moi l’idéal c’est trois mois renouvelable une fois. Toujours sur internet et sous une fausse identité. Pas loin de chez moi mais pas trop près non plus. Entre 30 minutes et 1heure de voiture. Autour de Rouen ça nous laisse une belle aire de jeux…

Je n’aime pas les coups d’un soir car j’aime construire, prendre le temps d’explorer, d’apprendre l’autre et d’aller à chaque fois plus loin. Les mots cochons ne viennent pas forcément bien la première fois. Pareil pour la sodomie, il me faut du temps pour l’accepter d’un homme et c’est toujours un grand moment.

Alors si sur cinqasept vous croisez VanessaCDD vous saurez que c’est moi. Vous saurez que j’aime autant les dentelles que les sous vêtements en cuir avec boucles chromées et poignées opportunément positionnées pour un chevauchée sauvage. Vous saurez que j’ai le crescendo,  les jeux coquins et les costumes. Vous saurez que je suis Normande, timide au début puis de moins en moins. Et si vous êtes disponible pour un CDD vous déposerez votre pédigrée.

Et si vous laissez ici un commentaire je le lirai peut être

Baisée en collants

Collants à pois ou bas résilles ?

Les collant respectable. Les bas résille ça fait pute. Voilà un préjugé que j’adore contredire. Même si je n’ai rien contre le fait de faire la pute en lingerie sexy, je sais que parfois il suffit juste d’être la fille normale habillée sans chichis pour devenir finalement très excitante a consommer. Alors pour un premier rendez-vous je peux choisir une paire de collants noirs à gros pois sur une robe d’été pas trop courte. Souliers vernis à petits talons.

Sainte-Affrique, bourgade paisible et provinciale. Un homme simple et sans signe particulier dont je risque de me souvenir. Probable que si je le recroiser dans six moi je ne le reconnaîtrai pas. Il ne sais pas encore que je vais me donner à lui ce soir puisque j’ai choisi un site de rencontre assez neutre plutôt branché recherche de l’amour sincère. C’est aussi une prise de risque pour moi car il peut jouer les gentleman jusqu’au bout. Mais je croise les doigts (et mes jambes en collants) pour que ce ne soit pas le cas. En m’y prenant habilement ça ne devrait pas être trop difficile de l’attirer dans mon AirBnB juste  après le restaurant. Pour un dernier verre, et plus si affinités..

Le repas est encourageant. Mon rendez vous à des difficultés à ne pas attarder ses regards sur ma grosse poitrine gonflant ma robe d’été. Mais il s’efforce de regarder les yeux autant que le reste quand nous parlons. La conversation ne s’enlise pas et nous réussissons assez bien à éviter les longs silences gênants. Je joue le rôle que je me suis préparé. Celui d’une jeune femme fraîchement divorcée et déçue par les hommes mais n’ayant pas perdu tout espoir. Pour l’apéritif je commande un spritz puis un deuxième et pendant le repas je le laisse remplir mon verre de vin plusieurs fois. Je remarque qu’il boit bien moins que moi. C’est bon signe, je suis presque certaine qu’il essaie de m’alcooliser pour mieux me faire céder plus tard à ses avances. Il ne sait pas que c’est gagné d’avance et qu’il va évidement pouvoir baiser la jeune fille en collants. C’est parfait ainsi. Tout ce que j’aime et qui m’excite… Je ri à ses blagues, baisse les yeux gênée quand les questions se font un peu intimes ou qu’une allusion est un peu trop grivoise au goût de mon personnage. Mais je laisse me faire maladroitement du pied sous la table. J’hésite à déchausser mes talons pour caresser son mollet du bout de mes orteils couvert du fin nylon de mes collants. Mais je n’ai pas trop envie de lui envoyer des signaux trop évidents. Je veux qu’il subsiste un doute sur l’issue de notre rendez vous jusqu’au dernier moment.

J’accepte de dire qu’il me plaît. Que quelque chose serait possible. Mais j’ajoute aussitôt que je ne suis pas de celles qui couchent le premier soir. Sa déception est presque palpable même s’il essaie de n’en laisser rien paraître. Au troisième verre de blanc (j’ai choisi le Sandre) je lâche que je devrais ralentir sur la boisson car sinon j’ai peur de ne pas être aussi sage que je devrais. Mais je le laisse commander une seconde bouteille. Après le dessert et quelques verres encore plus le digestif offert par le patron je n’ai pas besoin de faire semblant d’être pompette. Je pose ma main sur la sienne et lui demande, candide : « Je crois que j’ai  un peu trop bu. Il va falloir que tu m’aides à rentrer chez moi. Mais te fais pas d’idées, on va pas coucher ! »

Marcher dans la rue en collants et robe légère

Gentleman, il paie, je lui fais un petit bisou sur le coin de la lèvre pour le remercier et nous quittons le restaurant bras dessus, bras dessous mais je remonte sa main quand il essaie de la poser sur mes fesses. Pourtant le contact sur mon petit cul à travers le fin tissu de ma robe et le nylon de mes collants m’électrise. Mais il faut savoir se refuser, laisser monter le désir et la frustration. Peut être remarque-t-il que j’ai les seins qui pointent. Ça va être difficile de ne pas me jeter sur lui une fois chez moi. Mais je suis bien décidée à jouer les prudes le plus longtemps possible et de miser sur le fait que plus il sera frustré mieux il me démontera l’arrière train quand je lui céderai.

Par deux fois sa main redescend vers mes fesses, par deux fois je la replace sur ma hanche. En plus il a une grosse montre à bracelet en métal et j’ai peur qu’elle s’accroche et file mes collants s’il lui vient l’idée de passer sous ma robe légère. Aucune envie que le spectacle de mon beau petit cul dans les collants à poids soit gâche tout à l’heure par un fil de nylon mal tiré. Je peux être assez maniaque du détail en matière de plan cul !

-« Bon, bin voilà, on est à mon immeuble. Merci… »

-« Heu…de rien… »

Je me délecte de sa mine déconfite quelques longues seconde.

-« Écoute, le prends pas mal mais je couche jamais le premier soir…Bon, si tu promets d’être sage je veux bien te payer un dernier verre… »

Bien sûr il promets. Alors je lui refais un petit bisou, sur la bouche cette fois. Avec juste le bout de ma langue brièvement sortie. Nous entrons et je passes devant dans l’escalier pour lui laisser mater mes jambes et essayer de deviner si je porte des bas ou des collants.

Arrivés à ma porte je cherche les clefs dans mon petit sac à main. Je tourne la clef dans la serrure et je fais semblant d’avoir du mal à ouvrir la porte. C’est une technique pour qu’il se rapproche de moi et m’aide à pousser. Quand il est contre moi son odeur m’excite, je ne peux pas m’empêche de poser mes lèvres sur son cou.

-« Heu, ça va être dur d’être sage si tu continues à l’embrasses sans prévenir. Tu serais pas un peu allumeuse ? »

-« Oh, pardon. J’ai dis que je ne couchais pas le premier soir. Mais j’ai pas menti, tu me plaît. Les bisous c’est pas pareil. Et puis rappelle toi, tu as promis…même si je sais que les promesses ne concernent que ceux qui les entendent… »

La porte cède et nous entrons.

Le studio est petit avec un canapé sur lequel je lui propose de s’installer et une malle rectangulaire en vieux bois clouté qui sert de table basse et de meuble de rangement pour une collection de whisky et de vieux rhum. La malle aux trésors est une idée du proprio du Airbnb. On peut consommer mais il faut réapprovisionner.

Je lui demande s’il est amateur de Rhum ou s’il préfère un doigt de whisky. Je suis certaine que l’allusion au juste un doigt de la citée de la peur ne lui a pas échappé. Mais il s’abstient de toute blague graveleuse.

Je lui tourne le dos et me baisse pour prendre la bouteille dans la malle en bois cloutée. Je prends soin de garder les jambes tendues et de me baisser légèrement cambrée. Je sais qu’il a une vue parfaite sur mon joli cul moulé dans mes collants et ma robe. Mais il a finalement décidé de ne pas se contenter uniquement de la vue à en croire les mains que je sens sur mes hanches. Je fais mine d’être surprise mais je reste penchée et ne me dégage pas.

-« Hummm, nooon, tu avais promis. S’il te plaît… »

Ma bouche dit non mais clairement pas mon corps.

-« Dis donc, tu ne serais pas une petite allumeuse par hasard ? »

-« Non…s’il te plaît, sois gentil…mes collants… »

-« Mais je suis gentil ! C’est plutôt toi qui est vilaine !»

Ses mains enserrent assez fermement ma taille fine et il appuis avec les pouces juste dans le creu de mes reins pour m’indiquer qu’il souhaite que je reste penchée en avant sur la malle de bois. Je me cambre légèrement, je résiste un peu mais sans me relever. Mon cœur ainsi que ma respiration s’accélèrent. Je le laisse relever ma Jupe tout en protestant un non timide qui veut dire oui tellement il est gémissant.

Tu peux imaginer mon joli cul de salope allumeuse, mes collants à pois et ma jupe relevée. Sous les collants je n’ai pas de culotte, juste mon petit abricot ferme et juteux. Qu’aurais tu fait à sa place ? Lui il mets une main sur ma nuque pour me tenir ainsi penchée et il fait un truc qui me rend  folle rien que d’y repenser. Il tapote mon abricot du bout des doigts, lentement, doucement. Je m’attendais à des caresses, ou une bonne fessée bien méritée. Mais il se contente de tapoter doucement et régulièrement mon con à travers le nylon de mes collants. Imagine toi à sa place, la paume de ta main sur mon cul et deux doigts qui battent une mesure très lente sur mon cameltoe gonflé à travers le nylon de mes collants. A charge battement tes doigts se posent et pressent délicatement. A chaque battement je me cambre pour essayer de venir à la rencontre de tes doigts que j’aimerais fureteurs alors qu’ils sont juste posés là pour me rendre folle. Un petit gémissement m’échappe à chaque fois. Tu fais durer, j’ai très chaud et la mouille doit commencer à transpirer à travers le nylon de mes collants. A ce stade ça me serait bien égal que tu les déchires pour aller plus loin. Mais tu continues, imperturbable à battre la mesure. Quand enfin j’entends le cliquetis caractéristique d’une boucle de ceinture qui se défait je gémis un : « oh oui…hummmm » pensant que tu vas enfin déchirer mes collants et me prendre en levrette. Mais à la place tu remplaces juste tes doigts par ta queue qui vient au même rythme tapoter mes collants mouillés.

-« Bin alors, tu dis plus non ? T’as plutôt l’air d’en avoir envie maintenant. »

-« Hummmm, oui, c’est bon, fais moi ce que tu veux. Tempi pour mes collants… »

Mais, tout en contrôle, tu continues à marteler doucement mon con avec ta bite bien dure.

Je n’en peux plus, tempi pour mes collants, je mets mes mains sur mes fesses et c’est moi qui déchire mes collants j’ai trop envie de me faire prendre en levrette.
Je pousse un long gémissement quand ta queue glisse dans ma Chatte tout lisse et épilée. La suite dure longtemps, tes va-et-vient amples et profonds me font haleter et couiner comme une chienne en chaleur. J’ai déjà jouis trois fois quand tu décides de changer de trou. D’abord avec ton pouce pour préparer mon anus puis très lentement ta grande queue bien sûre qui me fait pousser des petits couinement à chaque centimètres d’enculage supplémentaire. Je suis épuisée mais heureuse quand tu enlèves ton préservatif pour éjaculer sur le bas de mon dos.

Je suis une salope comblée, dis moi dans quelle ville tu aimerais que l’on se retrouve prochainement.

 

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