Baise burlesque

Une villa vers Bormes-les-Mimosas. Pas très Grande mais son fronton est orné de colonnes et l’on accède à la grande porte par un double escalier sculpté. Ce soir je suis cagole provençale,  mini short en éponge rose, queue de cheval (ou plutôt de pouliche) et talons haut en plexiglass. Je dirais que mon plan cul a plus de cinquante, moins de soixante. Cheuveux gris, mi longs. Un peu de ventre mais pas trop, moustache grise et grand sourire. Il me regarde de haut en bas puis de bas en haut sans aucune gêne. Il m’ouvre grande sa porte et me fait signe d’entrer d’un geste théâtral du bras. Il claque mes fesses au passage comme si c’était naturel. Je trébuche, mes talons de plexiglas claquent sur le sol en faux marbre de l’entrée.

-« Mademoiselle, vous êtes magnifique. Puis-je vous servir à boire ? Une coupe de champagne ? Un coquetailleleu ? »

L’accent marseillais est prononcé, il parle avec emphase. J’aime bien.  Les mois de temps gris que nous avons eu et l’ambiance morose à la maison m’ont donné envie de légèreté. Je veux me faire baiser sans prise de tête, comme une bonne vraie grosse salope qui sait qu’elle a de beaux seins, un joli cul et aime en faire profiter.

-« Oh ! Oui, du champagne ! Mais je vous préviens. Quand je bois trop je ne sais pas bien me tenir… »

-« Pas grave ! Si tu sais pas te tenir moi je dois pouvoir te tenir. »

-« Hummm, vous alors vous savez amettre à l’aise ! Champagne alors ! »

C’est plus fort que moi, je sens déjà mon abricot chauffer dans mon micro short en éponge rose. Il m’invite à m’installer sur le grand canapé design de cuir brun. Le champagne est dans un seau à glace sur la table basse en marbre.

Si je suis en tenue, disons, légère, que dire de la sienne ? Jacques est tout simplement en peignoir. Un peignoir de star du catch des années 90, doublé satin avec ourlets dorés et gorille sur le dos. Fermé d’une large ceinture vert émeraude. On dit souvent que ce n’est pas l’habit qui compte mais la façon de le porter. C’est tellement vrai. Il semble tellement à l’aise et raccord avec le mobilier de sa villa que je comprends qu’il ne joue pas un personnage. Il est juste comme ça. Et c’est exactement ce naturel qui le rend instantanément tellement désirable.

Je ris de bon cœur quand la mousse  déborde de la coupe de champagne qu’il a servi sans prendre le temps de m’incliner. La mousse qui pétille sur sa Rollex ne me semble en rien caricaturale à se moment précis. Et je porte son poignet à mes lèvre pour goûter et sa peau et le Ruinart effervescent.

-« Hé bé ! Tu m’as l’air d’une sacrée pouliche toi dis donc ! »

-« Et vous d’un bel étalon… »

Le peignoir est tendu juste là où il faut. J’effleure de ma coupe de champagne en tirant sur la ceinture en éponge de ma main libre. Le noeud en rosette se défait tout seul. Le ventre est velu et gras du bide mais sa queue est belle et bien tendue. Il sent bon. Pas un parfum bon marché. Je n’arrive pas à deviner mais c’est frai et subtil.

Je le regarde dans les yeux, par en dessous. Il me tend sa coupe pour trinquer.

Au bruit je jurerais que les coupes son en cristal. Je verse un peu de champagne tout le long de sa queue et je lèche lentement sans le quitter des yeux. Il a une belle queue, bien grosse. De jolies couilles aussi. La peau est incroyablement douce. Ses cuisses son très poilues et il sent bon. Il se tient debout, je suis assise sur le divan, déjà moite dans mon mini short en éponge, cuisses écartée, je n’ai même pas eu le temps d’enlever mes talons en plexiglas ni s’ouvrir mon chemisier que sa magnifique queue est déjà à moitié dans ma bouche. C’est bon, je me sens heureuse et vivante comme ça ne m’étais pas arrivé depuis des mois. Je ne le quitte pas de yeux en gardant sa queue en bouche. J’aime comme il pose sa main à plat sur ma joue, le contact métallique de sa chevalière. J’avale un peu plus sa grosse queue en serrant bien les lèvres et je défais les boutons de mon chemisier. Il me pousse délicatement vers le fond du canapé, j’arrive à me débarrasser de mon chemisier sans que sa queue ne quitte ma bouche de suceuse. Je suis agréablement surprise de constater qu’il n’a aucune difficulté à dégrafer mon soutien-gorge dans mon dos. Le mec a de l’expérience, c’est clair et cela me donne confiance pour la suite. J’espère qu’il saura faire durer. Pour l’aider j’arrête un peu de le sucer, je lèche son ventre rebondi et prends ses fesses à pleines mains des fesses grasses mais j’aime bien. Mon amant marseillais avance son bassin et sa queue vient se lover entre mes seins. Belle grosse queue bien au chaud entre mes gros seins. J’avais déjà chaud dans mon mini short rose mais là ça devient limite supportable, gros suçon sur son bide pendant que défais la fermeture éclair du petit short rose Juste avant qu’il me pousse dans le fond du canapé et tire mes jambes vers le haut pour passer la tête juste sous le short que j’ai sur les chevilles. Ses grosse paluches sur le bas de mes cuisses il m’attire en même temps qu’il pousse des reins. Sa grosse queue rentre toute seule, tellement bon !

-« oh ouiii, t’arrête pas. Tu me fais déjà jouir. Elle est bien grosse. T’aime ça que je fasse la petite salope ? »

-« putaing, con ! T’es vraiment bonne toi ! T’aimes la queue hein ? »

-« J’adore, han… ouiii… »

Le type me pilonne, son ventre claque contre mes cuisse. A chaque fois il presses en serrant fermement mes cuisses pour bien s’enfoncer à fond. Et sa grosse queue en moi me fait gémir.

-« haaannn, j’y’ en supplie, encule moi aussi… »

Ça fallait pas lui dire deux fois ! Il enlève les jambes de ses épaules et me retourne d’un coup. Je me mets en position grenouille, à genoux les cuisses bien écartées. Ses grosses mais écartent les fesses et je sens sa grosse queue tout contre mon anus. Il presse en écartant les fesses au max. J’essaie de me détendre, c’est gros mais j’en ai tellement envie. Il force, je crois que ça va pas rentrer mais je n’ose pas le dire. Il donne un coup de reins violent et ça rentre d’un coup. Je crie. Mais il me pousse la tête contre le dossier du canapé. Il se déchaîne et par réflexe j’accompagne du bassin chaque coup de butoir en mordant le canapé en cuir. Ça dure pas longtemps. Une vingtaine de va et vient, peut être un peu plus. Sa main qui pass sous moi pour me masturber avec deux doigts en même temps. Je jouis, en bougeant mon postérieur à son rythme. Quand il ejacule il reste enfoncé à fond dans mon cul et s’écroule de tout son poids sur moi.
-« Huummmm, merci, tu es vraiment bon toi alors. Tu m’as tuée. Ça te dit d’avoir une salope chez toi pour quelques jours ? »

 

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

4 réflexions au sujet de « Baise burlesque »

  1. J’ai adoré tes histoires, si un jour toi ou une amie vous passez du côté Suisse. Je me ferai un malin plaisir à vous ordonner de vous coucher sur mes genoux. Je pourrais ensuite vous donner quelques fessées avant d’y aller avec les doigts dans ces fesses de cochonne…
    Ps l’adresse e-mail peut être utilisée pour échanger

  2. Toujours un grand plaisir de vous lire, surtout que l’histoire est inédite.

    Juste une préférence de lecteur : j’aime mieux lorsque le récit est très réaliste, qu’on peut imaginer vous croiser demain dans la rue. Cela implique un environnement logique, notamment d’intégrer dans la narration le fait de se protéger…

    1. Bien ok sur la protection. N’ayant pas vraiment l’âme saint Bernard bonne citoyenne et tout et tout c’est vrai que je n’en parle pas quand je raconte mes escapades extra conjugales…Mais oui, j’ai toujours quelques préservatifs dans mon sac à main, cachés dans la poche intérieures…

      1. Je n’en doute pas un seul instant. En tout cas ça fait plaisir de vous lire de nouveau, on a senti une période plus creuse mais visiblement l’inspiration et l’envie d’écrire sont revenues, pour notre plus grand plaisir !
        Même si le personnage de la cagole bimbo est séduisant, j’apprécie aussi beaucoup lorsque vous jouez la fausse ingénue, en mode femme sérieuse, limite austère, qui se révèle une vraie catin une fois le vernis social craqué !

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