Témoignage sexy d’une nymphomane

Salut Lucie,
Je suis tombée sur ton blog et je dois te dire qu’il me fait beaucoup de bien. Je suis Nymphomane et mariée comme toi. Tout a commencé pour moi au premier confinement. Me retrouver H24 avec mon mari et notre fils a été terrible. Mon mari était complètement flippé. J’aime faire l’amour et je me disais que ce serai l’occasion de plus baiser avec mon mari. Mais il avait pannes sur pannes et ne semblait pas du tout intéressé par la bagatelle. Je ne comprenais pas car je sais que je suis plutôt sexy. Avant le confinement j’allais trois fois par semaine à la salle de sport et je faisais très attention à moi.

Donc, j’ai commencé à traîner sur des sites de rencontre. Mais comme on ne pouvait pas sortir c’était que du virtuel. Et presque jamais en sexcam vu que notre appartement est petit et qu’il n’était pas facile d’avoir de l’intimité. J’envoyais des photos sexy prises dans la salle de bain et surtout j’écrivais en mode salope à des mecs. Je leur disais que je voulais les sucer pendant qu’il me mettaient un doigt dans le cul. J’imaginais des scénarios sexy dans lesquels je passais un entretien d’embauche et devais montrer que j’étais sociable et pleine d’initiatives. La plupart des hommes étaient assez inintéressants. Mais il y en avait trois qui avaient du répondant et avec lesquels c’était très très chaud. Parmi eux un habitait à deux rue de chez moi. En trois jours et des dizaines de messages nous savions que les choses ne pouvaient rester virtuelles. On s’envoyait des centaines de sextos et de photos par jour. On a commencé à se voir avant la fin du confinement. J’allais faire des courses « essentielles » et je faisais un crochet par chez lui. Au début j’avais tellement peur que mon mari ou mon fils découvre que j’avais un amant que je chronométrai mes arrêt plan cul et m’imposais de les limiter à 15 minutes. Je me jetais  sur Jeremy comme une grosse salope nymphomane en manque de s’exercer je le poussais sur le canapé, je défaisais son pantalon et prenais sa queue dans ma bouche pour le sucer comme une démente. Je prenais sa main pour la guider sous ma jupe et je suçais jusqu’à ce qu’il ejacule dans ma bouche. J’avalais tout et le goût de son sperme associé à ses doigts dans ma Chatte déclenchait chez moi systématiquement un orgasme. Comme mon mari ne semblait pas soupçonneux après une demi douzaine de plans baise rapides en mode levrette habillée je décidais que j’allais même mettre au footing et j’annonçais à mon mari que je m’absentais de l’appart une heure tous les matins pour courir. C’est pendant mes footing en leggings que j’ai découvert les joues de la sodomie.
Les vagues covid se sont succédées, le télétravail est devenu une règle pour moi comme pour mon mari. On est très souvent, trop souvent, ensemble. Mais j’ai trouvé mon équilibre en lâchant complètement prise sur les plans cul. J’ai souvent des amants, parfois plusieurs en même temps. Et j’adore le faire ken par des hommes rencontrés sur internet. Merci à vous les hommes ! Merci d’être tous différents, merci de me surprendre comme vous le faites.
Et merci Lucie pour ton blog qui m’a fait découvrir que ce n’est pas honteux d’être nymphomane !

Post scriptum pour ceux qui liraient mon témoignage : J’habite Metz et vous pouvez m’appeler EnjoyPenis si vous m’écrivez !

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Tendre salope ligotée sur canapé et sa sauce blanche

 

C’est une recette de cuisine dont je fût l’ingrédient principal. Je vous la délivre ici pour que vous puissiez la reproduire à la maison. J’ai choisi exprès des ingrédients incolores faciles à trouver et qui ne tachent pas. Il s’agit d’une recette facile à réaliser qui peut être adoucie mais dont je vous propose ici la version épicée hard. C’est celle qui m’a été soumise et que j’ai adoré.

Ingrédients :

Une bonne salope à gros seins et cheveux longs, un litre de gel hydratant à l’aloe vera, deux gros oignons blancs, du vinaigre blanc, des clous de girofle, treize grands cierges de cire blancs.

Ustensiles et accessoires :

Un fouet à lanières aussi appelé martinet (site spécialisé ou en droguerie dans certaines bourgades de province), un rouleau de cordelette en chanvre (en surface de bricolage), un gant de crin, un canapé, un grand drap blanc (si vous craignez de tâcher votre canapé). Un œuf minuteur avec sonnerie. Une paire de ciseaux.

Temps de préparation : Une à deux heures. A déguster ensuite en prenant tout son temps.

 

Dans un salon, disposez sur une table basse les 13 grands cierges blancs dans des bougeoirs individuels. Allumez avant d’éteindre tout éclairage électrique.

Faites entre la salope à gros seins. Si elle est encore habillée ordonnez lui de se dévêtir mais de garder ses sous vêtements. Montrez lui le martinet pour l’inciter à obéir si elle se montre récalcitrante. Vous aurez normalement pris soin de choisir une salope docile pour cette recette.
Une fois la salope en culotte et en soutien-gorge laissez la debout, mains sur la tête et réglez l’œuf minuteur sur cinq minutes. Les mains sur la tête pendant cinq minutes sont assez inconfortables mais la salope doit pouvoir tenir ce temps. Caressez délicatement votre salope avec le martinet. Attention, ne pas fouetter pendant ces préliminaires. Un des secrets de la recette consiste à faire monter le suspense, la salope doit être attendrie très progressivement. Il s’agit d’une cuisson lente, très lente. Tournée autour de la salope, caressez les joues, le cou, le menton. Le ventre avec les lanières du martinet. Posez vos lèvre doucement sur les fesses, malaxez un peu pour commencer à prendre la mesure du morceau de viande que vous allez attendrir. Profitez pleinement de vos cinq minutes.
Lorsque l’œuf sonne les cinq minutes prenez la paire de ciseaux et coupez environ 40 cm de cordelette de chanvre. Si elle est obéissante votre salope a toujours les mains sur la tête. Placez vous derrière elle et prenez lui les poignets que vous lui nouerez derrière le dos.

Comme vous êtes un gentleman je vous propose, pour être un peu à égalité avec votre salope, de vous déshabiller devant elle. Gardez votre caleçon. Votre salope pourra vous l’enlever plus tard avec les temps. Ne soyez pas impatient. Tout est prévu pour que votre repas soit parfait.

Couvrez le canapé d’un grand drap blanc et disposez votre salope à genoux sur le canapé dans le sens de la longueur. Comme votre salope à les mains nouées dans le dos elle est soit à genoux se tenant droite, soit déjà penchée en avant la tête appuyée sur le canapé ou sur l’accoudoir. Si elle n’est pas relevée et droite relevée la. Votre salope est une salope à gros seins, ce serait dommage de ne pas en profiter.

Dégraffez ou coupez au ciseau le soutien-gorge pour libère les grosses mamelles de la femelle. Si vous coupez au ciseau prenez soin de ne pas trop détruire le soutien-gorge car il pourra vous servir plus tard pour baîllonner votre salope. Le bâillon est recommandé si vous voulez éviter que des cris de salope ne dérangent vos voisin lorsque vous en serez à l’étape d’attendrissement de la chair de votre salope.

Épluchez un oignon blanc que vous piquez de quelques clous de girofle. Enfoncez l’oignon dans la bouche grande ouverte de votre bonne salope. Si l’oignon vous semble trop gros enlevez une ou deux couches de peau. L’oignon piqué de clous de girofle doit piquer les yeux de la salope et faire venir des larmes assez excitantes. Avec le soutien-gorge vous confectionnerez un bâillon serré qui doit maintenir l’oignon en place. Prenez soin de laisser les cheveux long libres en bâillonnant votre coquine car vous allez en avoir besoin.

Votre jolie salope est normalement à genoux, droite et seins nus sur le canapé. Avec l’oignon blanc dans la bouche et correctement bâillonnée. Attention de bien laisser le nez libre car elle ne peut plus respirer par la bouche.

Prenez le temps de reculer d’un pas. Vous aimez ce que vous voyez ? Je suis certaine que oui. Mais ce n’est qu’un début.

Faitez une queue de cheval à votre belle salope. Nouez serré avec la cordelette de chanvre et reliez aux poignets ligotés dans le dos. Faites en sorte que la tête soit tirée en arrière par les cheveux. Votre salope doit rester à genoux, bien droite sur le canapé. Aidez la si elle perd un peu l’équilibre. Dites lui de faire un effort, elle ne doit pas bouger, sinon vous devrez être plus sévère. Montrez lui le martinet. Au besoin passez un cierge allumé sous ses seins. Attention, sans la brûler ! Il s’agit de menacer, pas de mutiler !

Ok, la salope est sage, bien droite, les yeux humides à cause de l’oignon. Embrassez lui les tétons. Passez la lange et sucez un peu pour faire pointer.

Reglez le minuteur sur cinq minutes et placez le en vue de la salope. C’est bien qu’elle puisse voir le temps s’écouler. Avec le martinet fouettez lui les seins. Dosez les coups pour faire rosir les seins. Surtout sans faire saigner, sans violence excessive. Allez y fermement mais avec doigté. Vous avez cinq minutes. C’est long cinq minutes, en y allant doucement vous devriez obtenir une belle couleur rosée, presque rouge. Quand les cinq minutes sonnent prenez le gant de crin et humectez le de vinaigre blancs. Caressez les gros seins de votre salope. Léchez à grands coups de langue.

prenez la bouteille de gel à l’aloe vera dans une main et le vinaigre dans l’autre. Montrez la bouteille de vinaigre puis la bouteille de gel apaisant à votre salope. Expliquez lui qu’elle peut faire oui ou non de la tête à ce que vous lui proposez. Elle doit rester bâillonnée.

La salope est une poupée qui fait non non non de la tête quand vous lui montrez le vinaigre. Mais oui, pleine d’espoir pour le gel apaisant a l’aloe vera. Faite couler un peu de gel apaisant sur les seins endoloris de votre salope. Massez délicatement. Soufflez sur la peau échaudée.

Embrassez sa joue et glissez délicatement une main dans sa culotte. C’est tiède et moite. Parlez lui a l’oreille : «T’es une bonne salope. On dirait que tu aimes être cuisinée. » Offrez à votre salope 5 minutes (toujours avec le minuteur) de caresses délicates dans sa culotte. Elle devrait bien mouiller et apprécier si vous le faites avec doigté.

Attendrir le cul de votre salope

Asseyez votre jolie salope sur ses talons. Avec quelques tours de ficelle maintenez les jambes pliées. Pour cela attachez ensemble les chevilles et le haut des cuisses. Puis basculez votre rôti de salope vers l’avant. Réglez le minuteur sur dix bonnes minutes et fessez à main nue. Faites claquer le plat de votre main sur ses fesses qui doivent prendre une belle couleur rosée. Si vous voulez vous pouvez de bâillonner votre salope pour mieux l’entendre gémir ou quémander un peu de douceur.

Pour bien attendrir le cul ne pas faiblir, la fessée doit durer dix bonne minutes. Pensez qu’il faut mieux longtemps que fort. Fesses fermement mais sans violence excessive. Au bout des dix minutes les fesses sont bien rouges. Vous pouvez enduire de gel à l’Aloe vera et masser délicatement. Introduisez un doigt dans l’anus et élargissez délicatement en un mouvement rotatif.
Voilà, votre rôti de salope et prêt à se faire enculer.
Consommez sans modération !

Vous avez aimé ?
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Témoignage d’un routier

Bonjour Lucie,

Je ne sais pas si tu publieras mon témoignage mais je tente ma chance car j’ai vu que tu le fais parfois.

Je suis routier à mon compte. On n’est pas nombreux comme moi à avoir notre propre camion et à faire du cabotage à travers l’Europe sans autre patron que la route et les clients.

Comme toi j’aime le cul. A la différence que je suis célibataire. Pas besoin de me cacher ! L’autre différence avec toi c’est 15 ans de plus et un physique commun. Pas degeulasse mais juste normal. 90kg, 1m83, pas vraiment sportif mais pas obèse non plus. Alors forcément pour trouver des nanas Tinder ça le fait pas vraiment. J’ai essayé les sites a plan cul que tu vantes sur ton site mais beaucoup trop de faux profils et de prostitution déguisée. Les femmes que j’y ai rencontrées étaient sympa mais dans ma tranche d’âge et pas très jolies. Bref un peu comme moi en filles. Le problème c’est que moi j’aime les filles jeunes (20-30 ans) et, si possible, jolies.

Je tiens à préciser que je suis contre la prostitution. Pas question d’entre dans le trip de relations sexuelles tarifées à l’heure. Je ne juge pas, c’est juste pas mon truc.

J’ai trouvé mon bonheur chez les stripteaseuses en ligne (Eurolive). Je ne vais pas mentir. Au début j’y allais comme tous les autres pour mater en me branlant dans la cabine de mon camion. Pas très glorieux. Mais, en discutant avec les filles j’ai compris qu’on pouvait faire connaissance avec certaines. Surtout celles qui parlent français avec un accent des pays de l’Est (Mais aussi avec des filles qui sont en France dans des banlieues). En général je joue cash quand le courant passe avec une fille. Je lui explique mon métier et je lui dis que je peux la retrouver où elle veut en Europe. Toujours si elle veut je propose de la prendre comme passagère pour un voyage à travers l’Europe. J’annonce la couleur : on partagera ma cabine, je paies tous les repas et j’aime faire des cadeaux. Pas d’obligation de coucher mais je fais comprendre que je suis célibataire et qu’elle me plaît et que, forcément, si je suis frustré les vacances ne seront pas agréables.

Je dis pas que je ne me prends pas des râteaux ! Mais depuis 2 ans que j’utilise cette technique j’ai pu prendre un bonne dizaine de passagères et je suis un routier heureux.

Au plaisir de continuer à lire tes histoires jolie Lucie.

Gérald.

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Mon agenda de salope pour janvier 2022

 

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J’aime faire des listes, prendre des résolutions prèsqu’intenables et avoir la satisfaction d’y être arrivée.
Voici donc ma liste pour janvier 2022. Rendez vous le premier février sur ce même article pour savoir quels items j’ai pu cocher de cette liste.

– 20 minutes de boule de geisha par jour pour garder un minou délicieusement ferme et étroit.

– Piscine un soir par semaine

– Baiser avec mon mari au moins deux samedis dans le mois. Important pour qu’il ne soupçonne pas que je vais voir ailleurs.

– Sucer mon mari au moins une fois ailleurs que dans notre lit. Juste pour le surprendre et qu’il soit frustré que je ne le fasse presque jamais.

– Réactualiser mon profil sur cinq à sept.

– Répondre à chacune des 97 demandes en attente sur le site de rencontre. (Pour allumer et dire non à toutes les demandes moins une juste par sadisme pervers).

– Envoyer une photo coquine avec mes meilleurs vœux à tous ceux qui m’ont ken et dont j’ai l’émail.

– dépenser indécemment  en lingerie sexy.

– Aller à l’église au moins un dimanche matin (J’aime y aller seule habillée sexy et sentir le regard des hommes et la contrariété de leurs épouses).

– Organiser un unique plan cul avec un nouvel amant la dernière semaine du mois (pour me récompenser d’avoir tenu mes engagements de janvier)

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Escapade adultère entre copines

PS : je mets le post scriptum au début, comme ça je suis sure que vous le lisez !!! Si vous aimez ce que j’écris laissez un commentaire. J’adore vos commentaires et j’y réponds souvent. Alors osez !
Et sachez que si vous assumez de partager mes articles sur les réseaux sociaux alors je vous en témoignerai une vraie reconnaissance ! Et peut être quelques messages privés très personnels…

Mon amie Marie et moi aimons parfois offrir un plan à trois à mec. Aventures adultères et sites de rencontre nous ont permi de collectionner quelques hommes pervers juste comme il faut. Sans complexes mais respectueux de nos fantasmes de salopes qui assument d’aimer jouer les soumises pourvu que l’homme sache nous faire jouir comme il faut. L’une de nous teste d’abord seule l’étalon. Si la chevauchée est fantastique alors nous gardons dans un coin l’idée de recontacter un jour le monsieur pour un peu de triolisme.

Pourtant Jacques n’est pas un homme rencontré sur internet. C’est un copain d’avant de Marie et de ses années lycée. Quand la jolie Marie m’explique qu’il était déjà branché SM à dix huit ans et qu’il aimait l’attacher je suis immédiatement conquise à l’idée de le rencontrer. D’autant qu’elle vient d’apprendre qu’il est divorcé depuis la fin du premier confinement et que c’est lui qui a repris contact avec Marie.

Jacques a hérité de la ferme familiale, depuis son divorce il s’occupe seul de son exploitation. Une vingtaine de vaches laitières et un immense potager bio entre Le Havre et Etretat. On a souvent en tête le cliché de l’agriculteur rustre et inculte. Un bon gar mal fagoté a l’hygiène corporelle plus que relative. Ce n’est pas le cas de Jacques. Une fois enlevé le bleu de travail de la ferme Jacques file directement à la grande sale de bains en marbre de sa demeure. A en juger par la profusion de crèmes et soins pour homme que j’y ai vu lors de mon séjour j’ai confirmation qu’il prend grand soin de sa personne.

Pour me libérer le temps d’un week-end j’ai proposé à mon époux que nous allions tous deux en Normandie voir mes parents qui n’ont pas vue leur petite fille depuis le premier confinement. Évidement l’idée d’un week-end de Novembre en Normandie en zone pavillonnaire chez Beau Papa et Belle Maman n’enchantant pas mon époux il s’est, comme par hasard, trouvé une montagne de travail en retard et une plaidoirie à préparer pour me demander si je lui en voudrais vraiment s’il restait à la maison.

Me voici donc à presque 1000 km du domicile conjugal, avec Papa Maman qui gardent la petite et toute liberté pour sortir le soir et rentrer quand je veux au petit matin. Je mets mon iphone sur répondeur comme j’en ai fait prendre l’habitude à tout mon entourage, mari compris. Pour mes parents je suis en virée nocturne et nostalgique avec des amis de lycée.

Ainsi, s’est le cœur léger que j’engage la Fiat 500 dans le chemin de graviers qui mène au corps de ferme de l’ami de Marie. Marie, en bonne copilote, a laissée sa main sur ma cuisse tout le trajet depuis la gare d’Yvetot où je l’ai récupérée ainsi que sa grosse valise qui, ne tenant pas dans le petit coffre, occupe la banquette arrière. Ce soir c’est vendredi, Marie passera le week-end chez Jacques. Je repartirai demain matin et reviendrai le soir pour une seconde nuit de débauche si nous sommes satisfaites de la première. J’ai pour tout bagage une petite trousse de toilette. Marie connaît ma taille et mes goûts en matière de costumes et d’accessoires SM. L’essentiel est dans sa valise.

Je gare la voiture sous un auvent de tôle ondulée entre un gros tracteur rouge et une Cadillac décapotable rutilante toute en chrome et cuir blanc. Trop bizarre l’ambiance !

-« Ça ne m’étonne pas, Jacques était déjà pas mal excentrique quand nous sortions ensembles » me dit Marie.

Un homme vient vers nous depuis la maison a quelques pas. Il bruine. Comme Marie m’a parlé d’une ferme je m’attendais plus ou moins à une cour boueuse mais tout semble parfaitement entretenu. La pelouse est digne d’un golf et le gravier d’un blanc immaculé sous les lampadaires qui conduisent à l’entrée.

Marie et moi sommes pomponnées et maquillées comme si nous allions à un bal de lycée. Robe en laine souliers vernis plats pour moi, jupe en cuir, pull en cachemire et talons hauts pour elle. Je reste un peu plus grande que mon amie malgré ses douze centimètres de talons aiguilles.

Jacques marque un temps d’arrêt a quelques mètres de nous. C’est suffisant nous laisse comprendre qu’il apprécie ce qu’il découvre. Je le trouve beau. Il est grand, très grand. Je dirais pas loin de deux mètres. Élancé sans être maigre, jean, chaussures de ville et pull irlandais blanc cassé. Blond, cheveux adorablement bouclés. J’ai du mal à imaginer cet homme conduisant un tracteur ou branchant la trayeuse automatique sous une vache laitière.

Jacques : -« Mesdemoiselles

Moi: – Mesdames !
Jacques : Pardons, Mesdames, bienvenues à la ferme. Vous avez des bagages ?

Marie : – Juste une grosse valise pour nous deux…Enfin, pour nous trois…Mais commence par  m’embrasser, on fera les présentations à l’intérieur. Et, s’il te plaît, avec la langue le bisou de bienvenue !

Marie sais parfois être directe. Elle arrive toujours à me surprendre ! Il la prend dans ses bras et lui roule un patin qui me donne immédiatement envie d’être à sa place. Leur baiser me semble durer une éternité et je reste plantée là comme une sotte.
Heureusement dès qu’ils ont fini de s’embrasser Marie ne m’oublie pas.

Jacques, je te présente Lucie. Elle est comme ma petite sœur.

Pourquoi petite ?

Je ne sais pas. Peut être parce qu’elle a besoin d’être éduquée…qu’en dis tu ?

J’en dis que sœurs ou pas vous êtes toutes les deux bienvenues chez moi. Entrez entrez, il ne fait pas chaud dehors.

Il prends la grosse valise d’une main et s’arrange pour avoir l’autre ma hanche en nous conduisant vers la porte d’entrée restée ouverte. A travers la laine de ma robe j’aime le contact tiède de son bras enveloppant. J’ai beau être une salope expérimentée je me surprends à me sentir timide et débutante.

La première chose qui me surprend en entrant chez Jacques c’est la lumière. Juste parfaite, ni trop crue ni trop tamisée. Dans des tonalités chaudes exactement assorties aux flammes de la grande cheminée. Un grand canapé en cuir marron et deux fauteuils clubs assortis, un immense tapis moldave sur le sol en tommettes, une tapisserie représentant une scène de chasse la table basse est en bois brut. Pas de téléviseur mais un immense miroir à encadrâtes dorées horizontal posé contre le mur en face de la cheminée. Où que se pose mon regard tout est beau, harmonieux. J’ai beau chercher, je ne vois pas une faute de goût. Et je trouve que Marie et moi sommes nous aussi juste parfaites dans ce décor. Je me vois du coin de l’œil dans le miroir. La lumière sur ma robe en laine met en valeur mes courbes sensuelles et le cul de Marie moulé par sa jupe en cuir reflète les flammes de la cheminée. Jacques nous fait visiter la partie habitable de la ferme. De plein pied, toute en longueur. Après le grand salon il y a un couloir, quatre chambres et une seule salle de bain immense et toute en marbre. Pascal a prévu pour chacune nous deux une jolie chambrette meublée de deux lits une place à armature en fer forgé, d’un petit bureau et une armoire dressing avec, sur la  porte un miroir biseauté. La chambrette a une autre porte qui communique avec la chambre, plus vaste, de Jacques.
En gentleman Jacques nous laisse nous installer. Nous sommes libres de le rejoindre au salon quand nous voulons…vêtues comme nous voulons…

Marie pose la grosse valise sur le lit et entreprend de disposer lingerie sexy et costumes dans le dressing. J’ai très envie de lui faire un câlin là maintenant mais je décide de me retenir en prévision du moment où nous rejoindrons Jacques.
Marie : – Bon, on dit que ce soir tu fais la débutante soumise légèrement effrayée un peu godiche. Et moi la maîtresse autoritaire qui manie le fouet ? Et demain on inverse ok ?

Moi : Ça me va. Dis donc il a vraiment l’air bien ton Jacques.

Marie : Oui, c’est une bonne surprise. Je trouve que les années l’ont gâté. Je suis certaine qu’on va bien s’amuser.

Moi : Tu veux qu’on s’habille comment ?

Marie : On reste comme on est. Juste tu mets un collier de chienne, je te tiens en laisse et je prends la martinet à lanières ok ?

Moi : ok maîtresse Marie.

Marie me passe le collier autour du cou. Experte elle passe deux doigts entre la bande de cuir et la peau délicate de mon cou pour s’assurer que ce n’est pas excessivement serré. Le mousqueton de la laisse fait un petit click et elle glisse sous ma robe en laine le manche du martinet. Je mord ma lèvre inférieure.

Marie : Attends. Il manque un truc pour que tu sois parfaite.

Marie met un petit plug anal en Christal dans sa bouche.

-Tournes toi et penches toi en avant.

Elle relève la jupe et presse délicatement le plug contre mon anus. Elle prend son temps, le remets plusieurs fois entre ses lèvre pour bien le couvrir de salive. Quand il rentre enfin c’est comme un gros suppositoire. Ce n’est pas douloureux. Juste délicieusement inconfortable. Je sais que le temps que je m’y fasse le plug anal va me donner une démarche un peu raide et maladroite. Mais c’est bien l’effet recherché.

N’hésitez pas à commenter, si vous voulez que je vous raconte la suite et comment Jacques a rendue inoubliable cette première nuit à trois. Laissez aussi votre pseudo si vous avez un compte sur cinqasept. Moi en 2022 ce sera Bovary64.

La suite ici.

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Avocate sexy anal

Avocate en tailleur sexy

Depuis quelques mois en bonne petite salope nymphomane j’ai trouvé un jeu dont je ne suis pas prête de me me lasser. L’idée est simple : Choisir un homme, fouiller dans sa vie sur internet et les réseaux, le séduire et me faire baiser par lui.

Mylenenormandi

Journée des avocats. Le cabinet a organisé des consultations gratuites ce jour là et tu t’es inscrit sur internet. Le rendez-vous est Maître De la Fertiaise, un juriste dont le nom te fait sourire. La veille, une secrétaire t’a appellé pour déplacer l’heure de ton rendez-vous. Seul créneau disponible 21h45. Le cabinet de juristes est victime de son succès. Tu as pris le créneau proposé puisqu’il n’y a plus que ça. Tu ne t’attendais pas à ce qu’une jeune femme très sexy en costume d’avocat te reçoive.
C’est tout, sauf un hasard. Un guet-apens digne d’une mauvaise série B d’espionnage. Nous avons planifié le coup bien en amont avec mon ami avocat. Nous t’avons choisi parce que tu indiquais vouloir divorcer. Avec ton nom et ton prénom nous avons pu trouver des dizaines de photos de toi, consulté ton profil LinkedIn et ton Instagram qui sont tous deux publics. J’ai lu avec attention et amusement tous les commentaires sur tes nombreuses publications et en ai déduit que tu es assez cash, non dénué d’humour et aussi sacrément en manque de sexe depuis plusieurs mois. Ces choses se voient comme le nez au milieu de la figure quand on lit les commentaires et amorces de discussion entre la gent féminine et toi…Tu es une proie facile !

Une proie d’autant plus facile que je porte ce tailleur strict mais très moulant qui fait de moi une parfaite avocate à chignon de film porno que l’on rêve de sauter sur le bureau.

L’entretient commence de manière assez ennuyeuse. Passée la surprise d’être en présence d’une avocate ultra sexy, tu te dis que c’est juste un coup de chance et tu l’exposes ton cas. Banale histoire d’un mariage qui part en couille, un pavillon en propriété commune, deux enfants, 8 et 11 ans. Communauté des biens réduite aux acquêts. Rien de très compliqué. Mon mari est spécialiste en droit de la famille alors j’en connais largement assez pour donner le change. Je reste très professionnelle. Je fais durer un gros quart d’heure la conversation ennuyeuse. Je fais semblant de m’intéresser à sa situation conjugale. Puis, sur le même ton d’une conversation professionnelle d’une avocate avec son client je lache la bombe :

-« Ça vous dirais si je vous suçais et que vous me preniez sur le bureau ? »

-« Heu pardon ? »

-« Ça vous dirais que je vous suce là maintenant, tout suite ? Après vous me plaquez sur le bureau et vous me prenez par derrière ! »

-« Heu ? C’est un blague ? »

-« Non, pas du tout, j’ai très envie, depuis que vous êtes entré dans le bureau j’en ai envie. En vérité j’en ai envie depuis une semaine que j’ai tapé votre nom sur internet et fouillé dans vos profils…Je ne vous plaît pas ? »

-«Heu, bien sûr que si. C’est pas la question. »

-« Alors c’est quoi la question ? »

Je me penche légèrement en avant. Mon décolleté est laissé entrevoir mes deux seins lourds et je plante mes yeux dans les tiens. Évidement tu soupçonnes une arnaque, un piège. Mais je suis sacrément bandante.

-« T’as peur que ce soit un piège ? Tu en as envie mais ça te parait. Trop beau ? »

-« Bin oui, j’avoue que c’est exactement ça. »

-« Je pourrais te dire que tu n’as rien à craindre, mais tu ne me croirais pas. Si je te disais que je suis juste une femme qui adore le sexe avec des inconnus, tu ne me croirais pas forcément. Alors si tu veux tu peux juste partir, quitter ce bureau et passer le reste de ta vie à te demander si tu n’as pas raté le plan cul de ta vie… »

Je suis à quatre pattes sur le bureau, ma bouche juste contre ton oreille. Je chuchote : « Alors ? Tu restes ou tu pars ? »

Tu ne bouges pas, tu hésites encore. A moi de donner le coup de grâce. Avant que tu puisses en tirer un mémorable.

-« Réfléchis, tu n’as rien à perdre.  Donnes moi ta main et dis moi si je ments… »

Je m’avances et prends ta main que j’attire sous ma jupe de tailleur. Je la remonte le long de mes bas. Je ralentis au niveau de la bretelle du porte jarretelles afin que tu puisses imaginer mes dessous hyper sexy sous le tailleur strict. Interloqué tu te laisse faire. Je guide tes doigts sous mon string. Là où pointe mon bouton déjà moite. Je presse pour que tu rentres un doigt.

-« Tu la sens ma mouille ? Tu ne sais pas si c’est un piège. Mais tu sais maintenant que ça m’exite. Alors dernière chance t’avoir la baise de ta vie. »

Je retire ta main de sous ma jupe et porte ton doigt humide à ma bouche. »

Je descends du bureau en prenant soin de bien rouler du cul en marchant lentement vers la fenêtre. Je baisse les stores même s’il fait nuit dehors. Je marche tout aussi lentement vers la porte du bureau que je ferme à clef.

-« Tu vois, t’as perdu l’occasion de t’enfuir. Maintenant pour sortir, il va falloir me passer sur le corps… Et me punir de t’avoir pris en otage…D’ailleurs si tu veux on inverse les rôles. Tu fais le preneur d’otage et moi la séquestrée réduite en esclavage sexuel… »

J’ouvre sur le bureau l’attaché case en aluminium que j’ai spécialement préparé pour l’occasion. Dedans un collier ras de cou en cuir avec la petite boucle pour attacher la laisse, deux paires de menottes et une cravache.

Puisqu’il faut tout faire, décidément, je prends le collier de soumission et le mets moi même autour de mon cou en te regardant droit dans les yeux. J’accroche la laisse de chienne soumise à l’anneau et te la met dans la main.
Tu prends enfin une initiative et tires sur la laisse pour approcher mon visage du tien.

-« Ok, je suis sûrement con de tomber dans le panneau mais je ne vois pas le piège. Alors autant m’amuser… »

Tu m’embrasses sur la bouche. Je te rend ton baisser goulûment pour que tu comprennes que j’ai très envie de baiser. Que ce n’est pas un canular.

-« Tu veux que je te suce ? »

-« J’veux surtout que tu la fermes et que tu me montre ton petit cul ! »

Tu me retournes et tires sur la laisse pour que je me penche en avant sur le bureau. J’ai assez pris l’initiative pour ce soir. Je décide d’être passive et de te laisser faire. Avec mes talons hauts et mes 1m78 je dois écarter les jambes pour que mon ventre plat repose confortablement sur le bureau. La pose est une invitation à passer la main de bas en haut le long de ma cuisse légère. Une invitation que bien évidement tu saisis. La caresse est légère, ta main remontant le long de mon bas de manche des petites étincelles d’Electricité statique. Un picotement qui est aussi agréable qu’exitant.

Tu carresses mon cul à travers la jupe de mon tailleur. Je me cambre légèrement, je suis certaine que tu as noté mes talons haut et la qualité de mes bas noirs. J’aime comme tu prends finalement ton temps, la façon ton tu tâte à plaine main l’intérieur de mes cuisses sans te précipiter vers ma chatte. La main ferme que tu plaques sur ma nuque. Je me tortille un peu dans l’espoir que tu vas enfin t’occuper de ma chatte brûlante. Mais tu sembles prendre plaisir à me faire languir. J’hésite à dire que je veux te sucer car c’est moi qui maintenant ai peur de rompre le charme. De faire le mauvais geste ou d’avoir la parole de trop qui casse l’ambiance. Alors je me concentre sur la sensation de ta main qui caresse mes jambes. Je contracte le molet, je serre et desserre les fesses. Tu n’as pas encore relevé ma jupe. Elle te semble trop moulante et étroite pour cela peut être. Peut être aussi que tu aimes simplement prendre le temps de me mâter. Je suis heureuse d’avoir mis ce tailleur, ces talons hauts et cette lingerie sexy que tu vas découvrir. Après de longue caresses, progressivement de plus en plus haut sur l’intérieur de mes cuisses tes doigts effleurent mon con à travers le fin tissu de mon string. Je passe les mains sous on ventre en me cambrant un peu pour déboutonner ma veste de tailleur. J’ai tellement envie que tu embrasses mes seins quand je me retournerai ! Mais pour le moment tu sembles surtout intéressé par mon cul. Un petit cul ferme avec deux jolies fesses que tu malaxes et presses d’une main. L’autre main toujours fermement appuyée sur ma nuque pour l’empêcher de me retourner. Tu presses l’intérieur de mes cuisses je me cambre pour t’inciter à pénétrer ma chatte avec tes doigts mais tu sembles prendre un malin à l’éviter. Tu caresses puis masses your à tour chaque centimètres carré de chair libre entre le haut de mes bas et mon mini string. Tout cela sans jamais toucher ma chatte. C’est à me rendre folle. Après de longues minutes de ce petit jeu pervers tu contourne le bureau pour te retrouver en face de moi. Tu déboucles ta ceinture et baisses ton pantalon. Ta queue est tendue sous ton caleçon et tu ne prends même pas la peine de la sortir. Tu te contente de te planter contre mon visage. J’ai les mains libre et je m’apprête à m’en servir mais tu me prends par les poignets et places mes mains sur tes fesses.
-« Non, essaies juste avec la bouche ! »

Plus facile à dire qu’à faire. La position n’est pas très confortable. Mais je suis assez motivée maintenant. Je parviens avec les dents à baisser suffisamment ton caleçon pour libérer ta queue. Elle est tendue à l’extrême. Une vraie invitation à la fellation. Je lève la tête comme je peux et j’essaie de sucer du mieux que je peux. Tu tiens toujours mes mains par les poignets sur tes fesses. Je suis à la limite de l’étouffement ave  ta queue dans la bouche qui entame de lents va et vient. Je suis prête à avaler ton sperme et à renoncer à me faire baiser quand tu te retire de ma bouche tire sur ma laisse de chienne pour me retourner sur le bureau. Tu tires sur ma jupe, j’ai juste le temps de baisser la petite fermeture éclair sur le côté et je me retrouve en porte jarretelles, les genoux sur tes épaules, le string écarté sur le côté, ta queue enfin dans ma chatte. Je jouis instantanément, je crie et je prie dans ma tête pour que tu ne jouisses pas avant de m’enculer. Parfois il y a un Dieu pour les salopes adultères comme moi.

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Leçon d’équitation pour pouliche sexy

Mickael est professeur de sport dans l’un de ces lycées chic de province. Pour ménager son anonymat je dois taire le nom de la ville. Rendez vous à 23 heures. Un gymnase municipal dont il a l’accès. J’ai pour instructions de me présenter au portail en tenue d’écolière sexy. Jupe plissée très courte à carreaux, chaussettes montantes blanches qui s’arrêtent juste sous le genou, paire de basquettes à talons compensés et chemisier à carreaux assorti à ma jupe. Le genre de plan cul cosplay qui peut vite m’exciter si c’est bien mené par mon rencard. Heureusement, le lieu n’est pas fréquenté à cette heure et je trouve une place pour garer ma Fiat500 cabriolet de petite salope devant l’entrée. Pas besoin de m’annoncer, il m’attend et m’ouvre la porte en verre. En survêtement il tient à la main un long fouet  enroulé genre Indiana Jones.

Sur internet je l’ai bien chauffé à blanc et il sait qu’il peut sans crainte se permettre ce genre de fantasme avec moi. Bien fait j’adore ! Là l’ambiance est assez parfaite. Un gymnase, la nuit, un prof de sport qui semble bien athlétique. Il me fait signe d’avancer devant lui avec le fouet. Je passe devant il soulève ma jupe déjà fort courte du bout du manche de son fouet.

-« Marche, lentement, j’ai envie de voir comment tu roules ta jolie croupe de pouliche »

Un couloirs, des vestiaires avec douches qui donnent sur le petit gymnase. Ce qui me frappe c’est la chaleur. Il a dut mettre le système de chauffage à fond car même si c’est un soir de septembre et qu’on est dans le sud il fait une chaleur étouffante dans ce gymnase.
Je marche lentement en roulant légèrement du cul. Très légèrement, juste ce qu’il faut. Je ne veux pas en faire trop. Il est juste derrière moi et tient le manche de son fouet pressé entre mes cuisses. Je ne mouille pas encore mais si ça continue comme ça, me connaissant, je sais que ma culotte risque d’être vite moite.

Mon dresseur est du genre organisé et esthète.  J’apprécie. Au centre du gymnase de grands chandeliers sur pieds à bougies  sont disposés en un cercle de quelques mètres de diamètre. A part les bougies, le seul éclairage est constitué des rectangles verts indiquant les sorties de secours et d’une horloge murale à affichage digital rouge qui vient tout juste de passer de 23:04 à 23:05. Il me pousse délicatement vers le centre du cercle où trône un cheval d’arçon en cuir brun. Il y a sur le cheval d’arçon un collier avec une longe en cuir qui me sont forcément destinés.

D’un coup un claquement sec et bruyant me surprend. Sans prévenir il a fait claquer son fouet et vient, sous mes yeux, de moucher une des grosses bougies  qui nous entourent.

-« Ça c’est juste pour que tu vois que je peux être très précis. Saches que je touche exactement là où je le décide. Il n’y a pas de hasard ni d’accident. Toi t’es vraiment un belle pouliche et tu vas faire un joli tour de manège ! Montre un peu tes dents ! »

Il presse mes joues dans ses mains pour examiner ma dentition comme il le ferait pour un animal de ferme. C’est humiliant et excitant en même temps.
-« Bon, pas mal, jolies dents. Ça fera un très beau collier autour de ma bite…Lève la tête ! »

Il pousse mon menton vers le haut et place sa main à plat sur mon cou. J’ai vécu des simulations de strangulation. Être prise en levrette en pouvant à peine respirer est une expérience que je recommande à toutes les femmes qui ont envie de vraiment jouir. Mais c’est toujours assez intimidant. J’avoue que je ne fais pas la fière. Il prend le collier en cuir et l’ajuste à mon cou. J’apprécie qu’il s’assure qu’un doigt peut passer entre la peau fine de mon cou et le cuir du collier de dressage. Ce ne sont que les premières phalanges de son petit doigt et c’est bien serré mais au moins je sais que je ne suis pas en danger. Je risque juste un peu d’inconfort. Surtout, si, comme je  commence à le deviner, il va me faire faire de l’exercice.

-« Tu m’as l’air bien sportive. On va commencer par un peu de trot. Vas-y, trottine en rond. »

Il me pousse vers le bord du cercle de chandeliers et fait claquer le fouet juste derrière ma nuque. Il ne m’a pas touché mais c’est pas passé loin. C’est très bruyant un claquement de fouet. Et très intimidant. Je me mets à courir. Pas trop vite car je n’ai aucune idée de combien de temps va durer ce petit manège. Il tient la longe un peu lâche sans tirer dessus. Mais le collier est en fait plus serré que je ne le pensais. En tous cas je le sens sur mon cou et cela m’oppresse. Surtout il fait hyper chaud et, en même pas trois tours, je suis dejà en sueur. Nouveau claquement de fouet. Il ne m’a toujours pas touchée mais j’ai senti le souffle sur mon épaule.

-«Un peu plus vite, débrouille toi comme tu veux mais je veux voir ta jupe se relever à chaque foulée. »

Plus facile à dire qu’à faire. Comme on fait pour courir et faire montrer son cul à chaque foulée ? J’essaie de courir en sautillant mais le résultat est assez grotesque.

Le fouet cette fois claque sur ma cuisse et m’arrache un cri de surprise. Ça fait hyper mal en fait. Je fais un écart et du coup la longe se tend et c’est le collier qui cette fois me serre le cou. Je manque de tomber. J’arrête de courir et me penche en avant les mains sur mes cuisses pour reprendre mon souffle.
Nouveau coup de fouet. Sur mes fesses cette fois. Mais avec la jupe qui est en toile assez épaisse çà fait moins mal.

-« Maintenant, je veux que te voir courir en relevant bien les genoux. Tu cours en relevant les genoux ! T’inquiètes pas pour la jupe, ça va aller tout seul. Je veux bien voir tes jambes de pouliche. »

je repars en levant les genoux  le plus haut possible à chaque foulée. L’effet est immédiat, mes gros seins, même dans le beau soutien-gorge Aubade, balancent à chaque pas. Il me laisse faire quelques tour comme cela et tire progressivement sur la longe pour me ramener à lui.

Je suis haletante et passablement essoufflée. J’ai chaud et mon chemisier commence à se mouiller de sueur par endroits.
-« Viens la ma petit pouliche. Reprends un peu ton souffle. Montre moi cette croupe. »

Il passe la main sous ma jupe pour malaxer mes fesses. Cela a pour effet quasi immédiat de me faire me cambrer pour m’offrir à ses mains baladeuses. J’ai le cœur qui bas vite et le souffle presqu’aussi court que ma jupe. Il déboutonne mon chemisier.

-« Tu es vraiment une pouliche de compétition toi. J’aime bien tes grosses mamelles. C’est dommage de les cacher. »

Il me déleste de mon chemisier et dégrafe (fort habillement) mon soutien-gorge. Je me retrouve seins nus. Impossible de cacher mes tétons qui pointent.
-« Ah ! C’est mieux comme ça. Bon, assez soufflé. On va reprendre le trop. Tu vas trotter tenant ta jupe relevée. T’as de beaux seins mais faudrait pas non plus cacher ton cul ! »

Je retrousse ma jupe et la tient relevée puis me repart au petit trot.

Pour entretenir mon corps de salope je fais pas mal de sport. Mais trottiner seins nus en tenant la jupe relevée dans une salle surchauffée ne fait pas vraiment partie de mes activités habituelles. Ajoutez le collier un peu trop serré qui m’empêche de ventiler correctement et le stress de la situation et je pense que vous visualisez un peu le tableau. En plus, courir seins nus quand on a une poitrine un peu forte comme moi c’est assez incommodant. Mais c’est bien l’objectif de mon dresseur de me pousser à la limite de l’épuisement avant de passer à des activités plus sexuelles. Le problème c’est que mon dresseur ne semble pas impatient de passer à la phase câlins. Dès que je ralentis je sens la morsure du fouet juste sur mes fesses. Même si je suis en culotte petit bateau en coton, le bout du fouet claque et j’ai peur que ça marque un peu. La chaleur me semble suffocante et je suis en sueur. Je jette un œil à l’horloge rouge. 23:19. Cela fait à peine un quart d’heure que je trottine et j’ai l’impression d’avoir fait un semi en plein cagnard. Je suis en nage quand il me fait ralentir et tire sur la longe pour me ramener à lui. Dans un coin du gymnase je devine une pile de tapis en mousse que j’imagine déjà parfait pour la séance de câlins. Mais je ne suis pas une oie blanche et j’imagine bien que mon tortionnaire ne va pas juste me câliner sur des tapis confortable après à peine vingt minutes d’échauffement. D’ailleurs il tire sur la longe pour m’attirer contre lui et il passe une langue grasse sur mon épaule.

-« Hummm, j’adore le goût de ta sueur de bonne pouliche ! C’est très bien ! »

Il lèche et embrasse goulûment ma nuque et le haut de mon dos, là où j’imagine que j’ai un goût un peu salé. C’est bizarre, il est évident que ce ne sont pas des baisers mais bien un drôle de trip sur ma sueur. Mais comme en même temps il a les mains baladeuses je sens l’excitation monter et je ne peux m’empêcher d’avancer le bassin à la rencontre de sa main.

-« Tu m’as l’air d’une pouliche bien salope hein ? Tiens, bois un peu, tu dois galoper encore un peu et bien suer si tu veux gagner ta séance de câlins… »

Il me tend une bouteille de Contrex. La grosse de 1 litre et demi. L’eau est tiède mais j’en englouti la moitié. Il me claque les fesses du plat de la main, je relève ma jupe et repars au trot. Il laisse la longe détendue, après quelques tours de piste il fait claquer le fouet à quelques centimètres de mes fesses mais sans les toucher. Je dois faire demi tour et repartir dans l’autre sens. La première fois je m’emmêle le cou avec la longe. Le fouet claque cette fois en mordant cruellement mes fesses.

-« Idiote !  Rapproche toi du centre quand tu fais demi tour. Comme ça je peux faire passe la longe au dessus de toi ! »

Je recommence, cette fois en laissant du mou dans la longe. D’un mouvement souple il fait onduler la longe qui passe effectivement au dessus de ma tête et je peux repartir dans l’autre sens. Trois tours de piste dans un sens, trois dans l’autre et on recommence. Je suis trempée de sueur et quand je jette un œil sur l’horloge digitale je vois que j’ai recommencé à trotter depuis presque quinze minutes. Il me fait accélérer progressivement jusqu’à courir à la limite de mes capacités. Je dois toujours tenir ma jupe relevée et il ne se gêne plus trop pour fouetter mes fesses qui doivent rougir sous la culotte. Je suis toute flageolante quand il m’ordonne enfin de le rejoindre au centre de la piste. Il m’attire à lui par le cou et lèche mes seins trempés de sueur. J’ai malgré moi les tétons qui pointent. Après avoir copieusement léché mes seins il me pousse en avant sur le cheval d’arçon. Je dois me mettre en équilibre sur la pointe des pieds pour avoir le ventre sur l’assise de cuir. Il tire la longe vers le pas pour que je sois penchée en avant  le plus possible et il attache mes chevilles ensembles avec l’extrémité de la longe. Le cheval d’arçon est juste assez bas pour que la pointe de mes pieds touche le sol. Penchée en avant, la tête en bas je peux le voir derrière moi. Il se met nu sans se presser. Il bande et sa queue me semble fort grosse. Pas énorme mais quand même sacrément plus grosse que d’habitude. Il se placé derrière moi et commence à palper mes fesses, il préfère déchirer ma culotte plutôt que de la baisser. Le tissus est trempé de sueur et ne fait pas de bruit en se déchirant. Je m’attends un peu à ce qu’il me malmène et je ne peux m’empêcher de contracter mes fesses anticipant une fessée ou un coup de fouet. Mais rien de cela n’arrive. Il malaxe ma chair du haut de mes cuisses jusqu’à mes fesses. Il presse, écarte, tripote. Il y met son visage, tout en langue et en succion. Des doigts viennent dans ma Chatte trempée et suis toute glissante jusqu’à l’anus. Mouille, sueur et salive se mélangent et je suis bien lubrifiée quand il appuie son gland contre mon anus. Le problème c’est que j’ai bien vu sa  grosse queue et que je doute qu’il parvienne à me la fourrer dans mon petit trou du cul que je garde étroit et musclé.

-« Attends, s’te plaît ! Ça va pas rentrer. Je peux te sucer si tu veux plutôt. »

Bon en réalité je me doute bien qu’il va quand même essayer. Mais je suis certaine que ça va pas rentrer et je me doute un peu que ça peu l’exiter de savoir que j’ai peur d’avoir mal.

-« Mais si, t’inquiète, moi je suis certain qu’elle va rentrer. T’a qu’à te détendre et bien écarter avec tes mains. Tu as bien transpiré, tu vas voir, ça va rentrer tout seul ! »

Il prend mes bras et le tire en arrière pour que je place mes mains sur mes fesses et que je les écarte. En même temps il plaque une main sur le bas de mes reins et guide sa queue en poussant contre mon anus. Je suis hyper crispée. Pas d’étendue du tout. Et effectivement ça ne rentre pas. Enfin pas tout de suite. Je gémis car il presse le bas de mes reins à me faire mal.

-« Écartés tes fesses je te dis ! »

Il claque violemment le haut de ma cuisse. Il frappe fort cette fois et je fais de mon mieux pour écarter mes fesses avec mes mains.
Sa queue rentre d’un coup ! J’en crie de douleur. Alors il me prend par ma taille toute menue et commence son va et vient. Il me pilonne avec des mouvements amples et forts. A chaque coup de butoir je suis pressée contre le cuir dur du cheval d’arçon. Je pousse un gémissement à chaque poussée. Mais en même temps j’oublie presque que j’ai mal, je suis bien lubrifiée du cul et sa queue va et vient en faisant monter malgré moi autant de désir que de plaisir. J’y crois pas, je suis littéralement en train de jouir du cul. Je ne crie plus mais je gémis : « Ouiiii, encore, c’est bon, encule moi encore ! »

il est déchaîné et comme il devait avoir fait juste une rosette il détache facilement la longe de mes chevilles pour me souveler par les cuisses. Je manque de perdre l’équilibre et de basculer en avant. Mais il me retient pas les cuisses et continue à me defoncer brutalement l’anus. Je jouis et je crie comme une truie à l’abattoir. Quand il se retire pour éjaculer sur mes fesses de cochonne je suis au bord de l’évanouissement.

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10 Cadeaux sexy

Quand j’ai commencé ce blog c’était pour moi un moyen de raconter anonymement ce qui devait rester secret. J’ai décidé d’être une femme adultère et de devenir une parfaite salope il y a un peu plus de cinq ans. J’aime voir le sexe comme une sorte d’art martial. Comme dans ces films de samouraï où le type cherche la perfection dans le maniement du sabre j’ai décidé de rechercher la perfection dans l’art de donner du plaisir et d’en prendre. Cela passe par un soin sans limite à ma condition physique et la recherche sans fin de ce qui peut faire triper les hommes. Je veux, en secret, être le meilleur coup de la vie de chaque plan cul que je croise. Puis ce blog a rencontré un peu de succès. On m’a proposé des liens d’affiliation pour que je puisse toucher quelques sous via des liens vers les sites de rencontre que j’utilise ou des sites de striptease en ligne qu’il m’arrive (rarement) d’utiliser pour m’entraîner à m’exhiber.
Ce n’est pas glorieux mais pas honteux non plus !

Avec tout cela, en plus de quelques dizaines d’euros qui aident à maintenir ce blog et à payer mes abonnement aux sites à plan cul et mes achats de gadgets SM et costumes sexy, j’ai gagné quelques milliers de jetons pour le site de strip tease en ligne Eurolive  . Comme je ne suis pas cliente et que je n’ai que faire de ces jetons, j’ai décidé de vous en faire cadeau. C’est gratuit, sans aucune contrainte, juste pour vous remercier de me lire. Le principe est simple : Vous ouvrez un compte sur Eurolive. Un compte gratuit, sans donner votre CB ni rien. Vous me donnez en commentaire votre identifiant (sans le mot de passe bien sûr !). Et je crédite votre compte d’une centaine de jetons. C’est pas un gros cadeau, 100jetons ça coûte pas grand chose. Mais c’est cadeau, c’est tout gratuit aux premiers qui demandent.

Bisous

et restez dans le coon ce week-end, j’ai presque fini de raconter mon plan cul de la semaine dernière qui était, une fois n’est pas coutume, épique !

 

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Encore un sondage

Je suis, pour la semaine prochaîne à Carcassonne, en cruel manque d’inspiration. Je voudrais être un bon dessert. Alors je me permets de vous demander : quel aliment voudriez vous tremper dans ma Chatte mouillée avant de l’avaler (l’aliment, pas ma Chatte !).

Que badigeonneriez vous sur votre queue pour me donner envie de la sucer ?

Je vous laisse m’imaginer en sous vêtements roses, maquillée comme une belle sucrerie.

Pute Toulouse, ville rose en mode prostituée

Tapin place du Capitole

J’aime tapiner (pour faire semblant). Me faire passer pour une pute de luxe auprès d’hommes qui se retrouvent tout surpris que je ne sois pas une vraie prostituée affublée d’un proxénète mais juste une fille facile, jolie catin qui aime faire sa salope adultère en dessous chics et coquins. Pour quelques toulousains je mets ma plus belle lingerie d’escorte luxueuse, la noire très chère toute en porte jarretelles, véritables bas nylons made in France et string que tu peux écarter sur le côté pour accéder à ma chatte lisse et humide.

Ou trouver une pute à Toulouse ?

Alors si, cher lecteur, tu veux savoir où trouver une pute à Toulouse, ce blog n’est peut être pas le meilleur endroit, vu que je ne suis pas une spécialiste de la vraie prostitution, juste une imitatrice en mal d’aventures extraconjugales. Mais si tu cherches un joli petit cul en Occitanie alors tu peux tenter ta chance ici ou . Pour un plan cul place du capitole je peux te donner quelques astuces, aborder une escort en terrasse sur la plus belle place la ville rose est une chose tout à fait possible, pour celui qui connaît les codes.
Si tu cherches à Grenoble va donc ici.

 

Ramassée sur le trottoir, près du canal du midi

Ralentirais tu a ma hauteur si du voyais ma silhouette en minijupe portant un tout petit sac à main dans la lumière de tes phares. Oserais tu me demander : « C’est combien ? » en baissant la vitre ? Une passe commence souvent ainsi, certains trouvent cela glauque et vulgaire. Moi je suis de celles qui y trouvent une ambiance,  un charme légèrement suranné à l’heure où prostitution rime plus avec commerce en ligne. J’aime être une fleur de trottoir.

Toulouse sexy by night

La ville rose porte bien son nom. J’aime y faire le tapin en bonne petite pute. Surtout l’été quand la chaleur est étouffante et que la place du capitole est multicolore de monde. J’ai un mini sac à main de pute, je me suis payée un des coiffeurs les plus chers de la ville Rose et mes cheveux sont longs et bouclés. Talons hauts et jupe un peu courte mais pas mini. Comme je suis seule, très sexy, souriante et maquillée jusqu’au bout des ongles il est permis de penser que je suis une prostituée. Mais pas une de celles qu’on aborde sous un pont glauque ou sur un trottoir mal famé. Plutôt une escort de luxe qui a déjà un rendez vous planifié à la terrasse d’un bar en plein centre ville, place du Capitole. Au Japon on m’appellerait sûrement Geisha dans Tarn et Garonne je suis une travailleuse du sexe. Alors forcément, les mecs qui ne s’attendent pas à trouver une pute ici pensent que je suis déjà réservée. Il est déjà tard, plus de 23 heures. C’est l’heure où les hommes non accompagnés  savent qu’ils risquent de passer la nuit en solitaires. L’heure où quelques couples mariés sortent des restaurants pour marcher dans les rues de Toulouse. Maquillée comme une voiture volée et en mode escort de luxe je sais que je risque uniquement d’être abordée par des rigolos genre ta mère casquette à l’envers. Pas du tout mon genre de client. Il faut que je me trouve une cible. Si possible un mec déjà en couple qui me regarderait à la dérobée. Un mec avec du chalenge, difficile à aborder car surveillé mais qui pourrait être partant pour un plan cul adultère. Même si c’est un plan payant. C’est peut être d’avoir été cocue qui me fait aimer baiser des mecs mariés ou en couple. Cela dit, pour un plan cul sans lendemain et sans tabou c’est l’idéal. Avec une pute d’un soir vous ne vous comportez pas pareil qu’avec votre nana de tous les jours. Vous osez plus, vous osez tout. Et c’est exactement ce qui me plaît quand je fais ma pute bien salope.

Se faire aborder par une prostituée quartier Matabiau

La place du capitole n’est pas loin à pied du quartier Matabiau où j’ai ma petite garçonnière. L’homme que j’ai choisi me lance des regards appuyés à chaque fois que sa nana regarde ailleurs. Ce petit jeu dure depuis une vingtaine de minutes à la terrasse du Grand Café le Florida, place du Capitole. Un quadra plutôt beau gosse. J’ai toujours cette application sur mon iphone qui permet d’écrire des messages en gros texte qui défilent : « WC DANS 1 MINUTE ! »

Je demande au couple de la table d’à côté s’ils peuvent garder mes affaires le temps que j’aille aux toilettes. La femme me fusille du regard mais l’homme s’empresse d’accepter.

Je me lève de ma table pour aller à l’intérieur demander les toilettes. Je suis certaine que mon beau quadra va me suivre. Il me prend sûrement pour une pute. Mais j’ai pu comprendre que je lui fais très envie avec mon petit cul et mes allures de belle salope.

Hélas tout ne se passe pas toujours comme prévu. J’attends en vain. Et quand je retourne à ma table, dépitée, plus trace de ma cible. Heureusement le couple qui devait garder un œil sur mes affaires est encore là ! Mes affaires aussi.

Escort, internet, Toulouse,

Crotte, un comble, je suis hyper sexy dans la ville rose un soir où la température est idéale pour des rencontres en terrasse et j’ai la mauvaise impression que je vais devoir jouer à la pute sur internet via une application de rencontre si je veux mon plan cul ! Petite déprime et perte de confiance ! Manquerait plus que je doive tainer autour de la gare quartier Matabiau comme une prostituée black ou des pays de l’Est ! Je rentre la queue basse (hihihi) à mon RBnB. J’aurais pu, bien sûr, continué à tapiner en centre ville. Mais plus trop le goût. Une vraie escort de luxe ne s’abaisserait certainement pas à ce racolage honteux. Je décide de changer totalement mes plans. La nuit est encore jeune et je n’ai plus trop en or de me faire passer pour une pute. Je décide plutôt de reprendre mon personnage de jolie touriste Norvégienne en goguette en France qui cherche à s’envoyer en l’air. Je fais très bien l’accent nordique et j’ai quelques notions de Norvégien. Pour cela n’importe quel site a plan cul fait l’affaire. Tellement d’hommes affamés qui traînent sur internet à partir de 23h que c’est pas trop difficile de faire son marché quand on est jolie et qu’on veut se faire gentiment défoncer le cul.

La suite est assez classique, j’ai presque envie de dire « Hélas ». Quadragénaire marié mais qui trouve le moyen de s’éclipser de chez lui en pleine nuit après que j’ai réussi à le convaincre en le chauffant en sexcam. Belle bite très agréable à sucer, il fini par me prendre sur le grand lit de l’appartement, mes jambes sur ses épaules. Pas violent mais très tonique, coups de butoirs qui vont bien au fond de ma chatte il prends appuis sur mes cuisses à pleines mains à chaque coup de butoir, je gémis en rythme en prenant soin de garder l’accent norvégien.

Je jouis assez vite, et lui demande : « Toi, tourne moi. Prendre par fesses ? Ok ? »

Pas mon meilleur plan cul mais bien quand même.

Post scriptum : Je cherche une lectrice qui voudrait m’accompagner pour un footing-drague-plan à trois sur Montauban la dernière semaine de Septembre.

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