Escapade adultère entre copines, suite

Marie m’amène au salon tenue en laisse. Jacques est confortablement installé dans un fauteuil club en cuir. Il a un verre de cognac et semble trouver le spectacle des deux femmes qui viennent lentement à lui très à son goût.

Devant moi Marie balance savamment ses hanches, le cul bien moulé dans la jupe en cuir. Ses talons claquent sur le sol en tommettes. Elle a voulu que je sois nu pieds, sans bas ni collants, en culotte petit bateau sous ma robe en laine. Le sol est frais sous la plante de mes pieds. J’ai un peu peur de ce qui peut suivre, c’est intimidant mais j’ai très envie d’être à la hauteur car Jacques me plaît vraiment.

Marie avance avec une lenteur consommée. Je la suis à distance, docile, en prenant soin que la laisse soit juste légèrement tendue. Quand Marie arrive devant Jacques il pose son verre sur le petit guéridon à côté du fauteuil et se lève pour l’embrasser sur la bouche. Depuis que nous sommes arrivées c’est le second baiser auquel  mon amie a droit. Je n’en ai eu aucun.
Marie, comme souvent, semble lire dans mes pensées car elle tire sur la laisse pour approcher mon visage des leurs : Tu voudrais qu’il t’embrasse aussi hein ? Tu as bien raison, il embrasse divinement. Mais si tu veux un baiser il va falloir le mériter.

Marie prend la main de Jacques et la guide sous ma robe en laine.  Les deux mains remontent le long de mes cuisse celle douce de Marie à gauche et l’autre câleuse,  à droite. Debout je reste immobile, les deux mains se rejoignent en haut de mes cuisses. Je m’attends à ce que des doigts glissent sous ma culotte et fouillent ma chatte. Mais les mains de Marie et Jacques restent de l’autre côté du tissus. Ils massent mon con et imbibent le coton de ma mouille. Marie et Jacques s’embrassent encore à quelques centimètres de mon visage sans cesser de presser ma culotte entre mes grandes lèvres moites. Je ne peux me retenir D’onduler du bassin sous le massage qu’ils me prodiguent. Marie sait parfaitement comment j’aime être masturbée et le fait qu’elle guide la main de Jacques accroît s’il était besoin mon excitation.

Las, toutes les bonnes choses ont une fin. Et il n’est pas dans les intentions de Marie et de Jacques de me laisser jouir avant d’avoir pris leur plaisir.

– Alors, elle te plaît ma petite sœur ?

– C’est vrai qu’elle a l’air canon. Mais j’avoue que j’aimerais beaucoup vérifier sans la robe.

– Tu as entendu Lucie ? Sois une gentille fille, enlève nous cette robe…Ça serait dommage de l’abîmer…

Marie caresse relève mon menton avec le manche du martinet qu’elle a amené. Marie détache temporairement la laisse afin que je puisse faire passer la robe par dessus ma tête et m’en défaire. Difficile d’avoir fière allure en culotte et soutient gorge lorsque les deux autres personnes avec vous sont habillées et vous tiennent en laisse. Marie a raccrochée la laisse à mon collier pour tirer à quatre pattes sur la table basse en bois. Jacques se place derrière moi il dégrafe mon soutien-gorge et m’enlève ma culotte encore trempée de mouille. Puis il vient se placer devant moi, fait une boule de tout ce coton et me l’enfonce dans la bouche.

-Marie, je te laisse attendrir un peu la chair de ta frangine. J’aimerais son petit cul légèrement rosé s’il te plaît.

Je peux voir Marie dans le reflet du miroir lever lentement le martinet. Puis fouetter mes fesses. Elle le fait sans violence, juste assez pour me faire sentir la brûlure des lanières de cuir. J’ai confiance en mon amie, en réalité c’est une douce. Je sais qu’elle ne fouette pas au sang. Je tressaille quand même à chaque coup de martinet. Experte elle ne vise pas que mes fesses mais aussi mes cuisses que j’ai en feu. Jacques a enlevé son pantalon, son caleçon et son pull-over. Il n’a plus qu’une chemisette blanche ouverte sur un torse imberbe. En face de moi le spectacle de Marie préparant mon postérieur le fait bien bander. Il caresse mes joues avec sa bite. J’aimerais bien le sucer mais je suis bâillonnée avec ma culotte et mon soutif. Les coups de martinet cessent et Jacques se place derrière moi. Marie le remplace et me bouche la vue dans le miroir. Elle fait glisser la fermeture de sa jupe en cuir et la baisse. Elle libère ma bouche de son bâillon et le place dans sa propre bouche. Puis elle écarte son string et me prend par les cheveux pour m’obliger à la lécher. Elle n’avait pas besoin de me forcer. J’en ai envie ! Je sens les mains de Jacques sur mon cul endolori. Il enlève le plug anal et écarte mes fesses. Sa queue rentre sans forcer après le martinet ça n’est pas douloureux. C’est même terriblement bon. Je jouis presque instantanément. Mais surtout je jouis longtemps car il me pilonne longuement avant de jouir aussi et de s’écrouler sur moi en me plaquent sur la table de bois brut. Marie aussi à joui. Alors Jacques, enfin, m’embrasse sur la bouche. Un vrai long baiser d’amour. Un baiser auquel Marie se joint. Ensuite Marie me soignera dans la grande salle de bain. Puis nous rejoindrons toutes les deux Jacques dans son grand lit pour dormir un peu et baiser aussi, mais cela je vous ne le raconterai pas, du moins pas cette fois.

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