confidences d’une nymphomane mariée mais infidèle

Nymphomane, il semblerait que ce soit le terrible mal dont je suis atteinte. Pourtant je n’en souffre pas. Ou plus trop depuis que je me suis acceptée ainsi.

(La liste de tous mes autres articles est ici)

Donc, je suis une nymphomane et voici en quelques ligne mon histoire qui vous semblera peut être bien banale. J’ai pris vraiment goût au sexe et aux hommes le jour où je me suis découverte cocue. C’est à ce moment là que j’ai décidé de tromper mon époux avec des inconnus. Je le fait en cachette car je suis mère de famille et parce que Monsieur mon mari est aussi avocat spécialisé en droit de la famille. Je vous laisse imaginer le merdier s’il découvre le pot aux roses. Etre femme adultère fait-il de moi une nymphomane. Je dirais que vu la fréquence et la variété des amants que je choisi il n’y a que peu de doutes, je suis nymphomane ! Mais je vous laisse juge.

Job parfait de la nymphomane

La confidentialité de mes incartades adultères est grandement aidée par mon métier. Commerciale itinérante pour un grand groupe pharmaceutique je parcours la France et suis amenée à me rendre partout où il y a une pharmacie ou un complexe médical. En gros donc partout ! Sauf Paris et Ile de France qui restent chasse gardée de ce connard de P…k ! Mais c’est une autre histoire.

Qui dit déplacements professionnels dit hôtels et restaurants seule en semaine dans des villes où personne ne me connait. Croyez moi, dans ces conditions une nymphomane peut laisser libre court à son vice sans en subir les conséquences sociales.

Ma technique de drague de nymphomane

En bonne nymphomane ce qui m’importe le plus s’est de plaire et de baiser. L’homme importe peu ce qui facilite grandement les choses puisqu’il me suffit alors de me laisser draguer. Je viens d’écrire que l’homme importe peu mais je m’aperçois que ce n’est pas tout à fait vrai car je m’intéresse toujours beaucoup à mes amants, à la façon dont ils parlent, à leur passions, la façon dont ils marchent, leur voix, comment ils bougent les main ou au contraire ne savent pas quoi en faire. Donc en vrai l’homme m’intéresse et il n’est pas qu’un corps remplaçable par un autre. C’est juste que je suis capable de m’intéresser à presque n’importe quel homme et à en tomber temporairement sincèrement amoureuse. Car, oui, même lorsque cela ne dure qu’une nuit ou même quelques heures il s’agit bien d’amour pour moi. C’est peut être cela être nymphomane.

Mais je m’égare, j’était partie pour vous parler de ma technique de drague de nymphomane. Le scénario est bien souvent le même. Je n’ai que peu d’efforts à fournir, c’est tellement facile que c’en est presque trop facile. Il me suffit de me poser au bar de l’hôtel seule vers 19h30 – 20h. La tenue importe peu mais je vais faire un effort pour que vous puissiez vous représenter la scène. Je reste en tenue de travail. Un tailleur gris perle qui met en valeur ma silhouette fuselée, escarpins à talons, chemise blanche sagement fermée jusqu’en haut mais ne laissant aucun doute sur la fermeté de mes gros seins. J’ai une vue excellente mais parfois je ne résiste pas à la tentation de chausser de fines lunettes pour parfaire le costume de la parfaite collègue de bureau sexy. En bonne nymphomane qui veut mettre toutes les chances de son côté je m’autorise parfois de vrais bas nylon avec porte jarretelles bien sûr. Mais j’essaie quand même de ne pas sombrer dans la caricature genre costume de film porno. L’important c’est que ma tenue montre que je suis working girl. Parfois une simple robe en laine fonctionne aussi. Jamais de pantalon à la garçonne, ni de jean décontracté par contre. Mais pour dire la vérité, tout est dans l’attitude., dans le maintient un peu lasse et voutée. Pas de regards aguicheurs qui me feraient passer pour une prostituée en chasse. Je m’interdis le smartphone avantageusement remplacé par un livre de poche. Tim Roth, Douglas Kennedy ou Joël Dicker par exemple. La nymphomane n’a pas besoin d’attendre bien longtemps avant qu’un homme, lui aussi seul, viennent occuper la place vacante d’à côté. La phrase d’accroche va de : « bonjour, vous aussi vous êtes là pour le symposium ophtalmologie gériatrique ? » à « vous ne sauriez pas où on peut acheter des cugarettes à cette heure ci? » en passant par « vous savez s’il faut réserver pour manger ici ? » ou « vous lisez quoi ? » la dernière question étant la plus fréquente. Facile alors de fil en aiguille d’expliquer que je suis en déplacement pro, seule sans collègue et que je m’ennuie un peu. Oui la compagnie est bienvenue, et non, partager la même table pour le dîner n’a rien d’inconvenant. L’homme s’intéresse toujours à moi. Je reste le plus proche possible de la vérité, ne cachant pas mon status de femme mariée mais laissant deviner l’ennuis de ma vie conjugale. Neuf fois sur dix les hommes ne savent pas transformer l’essais et c’est moi qui doit prendre l’initiative de déchausser un escarpin 👠 et de faire du pied sous la table.

Systematiquement alors le soupçon survient et je suis prise pour une prostituée. Il faut rassurer, faire, comme disent les politiques, faire preuve de pédagogie. Toujours pareil, la vérité nue est souvent la meilleure option : « J’imagine que vous allez me prendre pour une prostitutée… Je vous assure que ce n’est pas mon cas, je me sens juste un peu seule ce soir…ce soir et dans ma vie tout court en vrai… »

Une nymphomane, ça fait peur aux hommes, il y en a même que cela fait fuir. Alors c’est toujours la première fois que je fais cela. Une exception, une parenthèse de liberté que je m’accorde exceptionnellement. Du statut de pute ou nymphomane je passe à celui de victime de l’ennui conjugal à qui il serait cruel de refuser un peu de réconfort. Ce scénario digne d’un mauvais porno des années 80 je l’ai répété tellement de fois. Il est rare que nous attendions jusqu’au dessert pour monter dans sa chambre ou dans la mienne. Nous sommes chacun le dessert de l’autre.

Pour une nymphomane chaque plan cul est unique

Si la petite heure qui précède l’entrée dans la chambre d’hôtel est, à peu de choses près, toujours un peu pareille, il n’en va pas de même pour ce qui se passe ensuite. Certaines personnes disent qu’un trou est un trou et qu’une bite est une bite. Au lit tous les amants se vaudraient peu ou prou. N’importe quoi ! La vérité pour la nymphomane c’est que c’est toujours différent, toujours unique. Comme dans Forest Gump le cul c’est comme une boite à bonbons, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Il y a les timides empotés qu’il faut presque violer même un fois seuls. Ils ne savent pas quoi faire de leur main qu’il faut guider, il faut les couvrir de baisers tout partout et parfois même guider leur queue jusqu’à la pénétration. Avec ses hommes là je suis là professeure de sexe et je dois avouer que je jouis plus du fait de m’observer faire ma salope que de leur prouesses sexuelles. Qu’importe, en vraie nymphomane, je jouis quand même, je m’investis à fond dans mon rôle d’initiatrice et je sors de ses aventures avec le secret sentiment d’avoir œuvré pour les prochaines en déniaisant un timide. À l’autre bout du spectre de mes amours de nymphomane il y a le brutal. Le brutal ne se laisse pas prendre à mon jeu de femme perdue et fragile. Il a tout de suite percé à jour la nymphomane et lorsqu’il découvre que ce sont bien des bas et un porte jarretelles sous ma jupe cela confirme son analyse. Je suis une bonne salope nymphomane. Le brutal me jette sur le lit et souvent maîtrise l’art de la fessée. Avec le brutal je n’ai pas besoin de prendre des initiatives il me suffit d’obéir en gémissant au bon moment pour le maintenir excité. Sucer le brutal ne demande pas d’effort puisque c’est lui qui donne le rythme et pousse la tête en avant. Il y a aussi le consciencieux et ses interminables cunnilingus, le besogneux qui sait tringler longtemps, longtemps, longtemps. N’allez pas croire que je l’aime plus que le précoce tout penaud d’éjaculer avant mon orgasme et qu’il faut rassurer et aider avec un aphrodisiaque que j’ai toujours sous la main. En bonne nymphomane j’aime chacun comme si c’était l’amour de ma vie. Mais il y en a un que j’aimerais même si je n’étais pas nymphomane je crois. C’est le bouffeur de seins bavard. Pour le bouffeur de seins bavard je suis la plus belle du monde et il n’arrête pas de me le dire. Mes gros seins le fascinent et il me les bouffe littéralement. Il est tout en salive et en mordillements. Je prend un indicible plaisir à lui prodiguer cravate de notaire et autre branlette espagnole. Le l’encourage à me parler comme à une chienne, j’aime qu’il me traite de grosse salope qui va en prendre plein le cul. Plus il parle mieux c’est et plus je ressort de nos étreintes avec les seins rouges et meurtris mieux c’est de mon point de vue de nymphomane.

Voilà, c’est mon histoire, moi entière et nue. Je n’en ai ni honte ni fierté excessive. J’ai arrêté de me poser la question du bien et du mal en me concentrant sur la recherche de tout ce qui m’apporte du plaisir tout en évitant d’être découverte pour garder à côté de cela une vie de famille et un confort bourgeois auquel je ne suis pas prête à renoncer. Si vous m’avez lue jusqu’ici alors vous comprenez peut être un peu mieux pourquoi j’aime aussi que vous commentiez mon blog. Lâchez vous, dites comment vous aimeriez me baiser. Cela n’arrivera peut être jamais mais en tous cas j’essaie de répondre à chacun et chacune en commentaire.

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

5 réflexions au sujet de « confidences d’une nymphomane mariée mais infidèle »

  1. Article très intéressant. Avec du recul, on peut percevoir que tu es une femme dont une certaine intelligence est épanouie. Je dirais même que tu te connais parfaitement et sait sur quel terrain tu peux te permettre d’aller. C’est vrai que la question du bien ou mal est peut-être vaine, qui sommes-nous pour interpréter la question du respect de nos compagnons en leur étant fidèle ? La vérité blessante est-elle à partager ? La partageons-nous par simple faiblesse de notre conscience que nous souhaitons sauver ? Ce ne sont que des perspectives différentes et varier. Nous ne sommes que divers facettes selon les situations et contextes que nous rencontrons, ça ne fait pas de nous une personne bonne ou mauvaise. J’admire ces côtés paradoxaux et totalement assumés chez toi. Le premier, le pragmatisme et le second, la passion qui t’habite. C’est d’une nuance délicieuse. Tu auras su faire preuve de discernement sur ce que tu es, ce dont tu as besoin et ce dont tu peux avoir. Bel article. Je me disais que tu commençais à perdre pied et à ne plus savoir comment te renouveler. Ce qui est marrant c’est que tu sembles l’entretenir exactement grâce à ces deux côtés paradoxaux. Je trouve cela plutôt surprenant comme cohabitation en fait. Encore une fois bel article. Peut-être nous rencontrerons-nous un jour, ou un soir et peut-être me feras-tu redécouvrir ma facette d’adultère Gentleman-Sauvage.

    1. C’est très vrai que j’ai du mal à me renouveler. Tant dans l’écriture que dans mes escapades adultères. Pour ce qui est de l’écriture quand je regarde les statistiques de consultation des pages il est dépriment de voir que les articles les plus lus sont ceux qui sont le plus mal écrit et que j’ai mis juste pour aligner des mots clefs pour les moteurs de recherche google. Quand aux escapades je sais que seule la patience et un cœur plein d’espoir sont mes planches de salut. Arrive toujours un moment, parfois quand je ne m’y attends pas, où un plan cul s’avère exceptionnel et récompense les mois d’attente et d’errance affective. Merci pour les encouragements !

      1. Si tu as du mal, pourquoi ne pas faire appel à plus de naturel combiné à un peu de folie. Faire davantage parler l’authenticité, la spontanéité. Exploiter une facette moins connue de tes envies ? Si celle-ci existe. Se surprendre soi-même. C’est risqué, mais c’est un pari dont on peutsortir davantage gagnant que perdant, ne crois-tu pas ?

  2. Tiens je commente ici pour gagner le concours de ma petite nympho préférée. Avant la fessée déjà décrite je pense que nous ferons un peu de sport ensemble. Tennis si tu veux ou un bon jogging pour transpirer et mouiller ta culotte. J’ai lu que tu es sportive. Cela tombe bien. Je suis prof de tennis et triathlète. Je te propose une séance intensive pour que la fatigue abaisse tes barrières. Tu m’as l’air très active au lit et je veux te montrer qui est le patron, pour cela je propose de t’épuiser physiquement avant de t’épuiser sexuellement. Toujours intéressée ?

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