Plan cul dans la Carcassonne coquine

C’est à Carcassonne que je renoue enfin en juin avec les joies de l’adultère.

(La liste de tous mes autres articles est ici)

Un dĂ©placement professionnel dĂ©cidĂ© Ă  la dernière minute m’y envoyant deux grandes journĂ©es et une courte nuit. En toute hâte je rĂ©actualise donc mon profil sur messenger pour me prĂ©senter comme une touriste parisienne esseulĂ©e et de passage dans la ville mĂ©diĂ©vale. Pour brouiller les pistes je dĂ©cide de me prĂ©nommer Jessica avocate cĂ©libataire en manque d’affection. D’humeur aussi taquine que coquine je dĂ©cide de ne pas annoncer trop clairement la couleur. Je veux que mon prĂ©tendant ne soit pas sĂ»r Ă  100% qu’il va me sauter ce soir. J’écris donc rechercher un compagnon d’un soir qui me fasse visiter Carcassonne, m’emmène au restaurant… je laisse les points de suspension comme une ouverture possible. J’indique Carcassonne comme domicile mais prĂ©cise bien dans mon profil que je n’y habite qu’une nuit Ă  l’hotel de la citĂ©, en plein cĹ“ur de la citĂ© MĂ©diĂ©vale de Carcassonne. Bref le genre de profil qui suggère : « plan cul d’un soir possible mais nullement garanti ! »

Le choix de mon galant de Carcassonne

J’écarte impitoyablement tous les prétendants qui cherchent par avance à s’assurer que je leur ouvrirai mes cuisses. Et je jette mon dévolu sur Martin, 45 ans, natif de Carcassonne qui propose   en plus d’un restaurant typique de me faire découvrir les remparts et pénétrer dans les ruelles étroites de la forteresse. Rendez vous est donné aux portes du château le soir même. Je fais celle qui n’a pas compris le double sens de sa proposition de pénétration des ruelles étroites.

Cette année l’été n’en a pas fini d’arriver mais il est enfin là. L’occasion d’être à nouveau jambes nues, de chausser des spartiates à talons hauts dont les longues lanières de cuir brunes soulignent le galbe délicat de mes mollets. Ma jupe est courte juste comme il faut, à mi cuisses. Je sais qu’il sera difficile de résister à la tentation de passer la main dessous. Chemise corsaire, longue tresse, mini  sac à main en osier et cuir juste assez grand pour les clefs de la Mini Cooper, mon porte monnaie et une boîte de préservatifs.

Sur les remparts de Carcassonne

À l’entrée de la cité médiévale de Carcassonne Martin est en avance, ou c’est moi qui suis en retard. Je le reconnais de loin. Un homme seul qui attend ce n’est pas si commun. La montée vers mon chevalier servant sur la pente pavée de galets glissants le fait instantanément regréter d’avoir opté pour les talons hauts. Regrets qui s’évanouissent dès que j’arrive à sa hauteur pour une triple bise très sud Ouest. Il jauge un bon mètre quatre-vingt-dix et devoir m’accrocher à son bras pour ne pas tomber n’est pas désagréable !

« Je m’accroche à toi mais c’est juste pour garder l’équilibre, ne vas pas t’imaginer des choses ! »

Je choisi de le tutoyer comme si nous étions de vieux amis. Il fait encore grand jour mais le soleil de fin de journée donne à tout Carcassonne des amures de carte postale. Martin est d’accord pour me faire faire le tour des remparts avant d’aller dîner. Il se montre charmant. Je le laisse me tenir par la taille mais il n’en abuse pas. La promenade est longue, nous parlons peu jouissant du bonheur simple d’être ensembles. Parfois je trébuche et chaque fois je constate qu’après m’avoir sauvée d’une chute humiliante mon vieil ami de Carcassonne me tient plus serrée contre lui.

En haut des remparts, devant un panorama Ă  couper le souffle je dis simplement : « C’est ma première fois…Ă  Carcassonne, merci…»

Un peu perverse je le laisse chercher le sens de cette phrase qui peut vouloir tout dire, ou rien. Il n’a pas encore essayé de m’embrasser. Ni même de descendre sa main plus bas que la taille. Pourtant je me suis un peu penchée pour lui laisser le loisir d’admirer mon petit cul tendant le tissu léger de la jupe. Mais il s’est placé derrière moi à la Leonardo du caprio dans Titanic. J’ai tendu les bras et chuchoter comme si je criais : « Nous sommes les maîtres du monde ! »

Il a ri. D’un rire presque enfantin pas du tout gras, sans chercher à être viril.

j’ai pris ses mains qui étaient sur ma taille pour les placer sur mon ventre. L’incitant à inssinuer ses doigts entre les boutons de la chemise corsaire pour sentir le contact de ma peau tiède. Nous restons ainsi sans rien dire à attendre que le soleil disparaisse.  Son nez à quelques millimètres de mon cou, mes fesses l’effleurant à peine, ses mains douces et légères sur mon ventre tiède.

A l’heure oĂą j’Ă©cris ces lignes je sais que ce moment tendre et romantique ne m’empĂŞchera pas de le sucer jusqu’Ă  la garde moins d’une heure plus tard. Je sais qu’il me fera gĂ©mir de plaisir deux doigts fouillant ma chatte brulante et son pouce enfoncĂ© dans mon anus alors qu’Ă  genoux je suce comme une actrice porno hongroise. A l’heure oĂą j’Ă©cris ces lignes je sais qu’il couvrira ma peau de suçons que j’aurai la plus grand peine Ă  dissimuler pendant des jours. Je sais le plaisir douloureux de sa queue dĂ©fonçant mon anus m’obligeant Ă  mordre l’Ă©dredon pour ne pas hurler de plaisir autant que de douleur. Je sais que je le supplierai de me prendre encore et encore. Je sais que je lècherai ses couilles tendrement jusqu’Ă  ce qu’il rebande pour m’honorer encore une fois. Je sais qu’au petit matin je n’aurais pas du tout envie de quitter Carcassonne. Non, pas du tout. Je sais tout cela, pourtant ce qui m’Ă©meut le plus et que je retiens ce sont ces premiers instants tendres et magiques sur les remparts de Carcassonne.

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

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