Bientôt baisée comme une chienne

Mes vingts ans sont plus d’une décennie derrière moi. Mais je ne me suis jamais sentie aussi en forme. Sachez que pour rester le meilleur coup que vous puissiez imaginer je fais attention au moindre détail. Exercices en secret avec de petites boules de geishas pour garder un minou bien serré. Quand à l’autre côté malgré ce que vous pouvez lire dans mon blog sachez que je ne me laisse enculer que quelques rares fois par an. La dernière fois c’était il y a trop longtemps et le mec pensait sincèrement qu’il me dépucelait du cul. Je ne l’ai as démenti…

Bientôt, avec mon mari, notre enfant et un autre couple d’amis nous serons dans une maison Airbnb dans le Diois. Je croise les doigts pour trouver un moyen de m’éclipser deux trois fois incognito et rejoindre une âme charitable qui voudra bien s’occuper de moi comme une chienne. Cela fait trop longtemps qu’on ne m’a pas fait aboyer…

Baise burlesque

Une villa vers Bormes-les-Mimosas. Pas très Grande mais son fronton est orné de colonnes et l’on accède à la grande porte par un double escalier sculpté. Ce soir je suis cagole provençale,  mini short en éponge rose, queue de cheval (ou plutôt de pouliche) et talons haut en plexiglass. Je dirais que mon plan cul a plus de cinquante, moins de soixante. Cheuveux gris, mi longs. Un peu de ventre mais pas trop, moustache grise et grand sourire. Il me regarde de haut en bas puis de bas en haut sans aucune gêne. Il m’ouvre grande sa porte et me fait signe d’entrer d’un geste théâtral du bras. Il claque mes fesses au passage comme si c’était naturel. Je trébuche, mes talons de plexiglas claquent sur le sol en faux marbre de l’entrée.

-« Mademoiselle, vous êtes magnifique. Puis-je vous servir à boire ? Une coupe de champagne ? Un coquetailleleu ? »

L’accent marseillais est prononcé, il parle avec emphase. J’aime bien.  Les mois de temps gris que nous avons eu et l’ambiance morose à la maison m’ont donné envie de légèreté. Je veux me faire baiser sans prise de tête, comme une bonne vraie grosse salope qui sait qu’elle a de beaux seins, un joli cul et aime en faire profiter.

-« Oh ! Oui, du champagne ! Mais je vous préviens. Quand je bois trop je ne sais pas bien me tenir… »

-« Pas grave ! Si tu sais pas te tenir moi je dois pouvoir te tenir. »

-« Hummm, vous alors vous savez amettre à l’aise ! Champagne alors ! »

C’est plus fort que moi, je sens déjà mon abricot chauffer dans mon micro short en éponge rose. Il m’invite à m’installer sur le grand canapé design de cuir brun. Le champagne est dans un seau à glace sur la table basse en marbre.

Si je suis en tenue, disons, légère, que dire de la sienne ? Jacques est tout simplement en peignoir. Un peignoir de star du catch des années 90, doublé satin avec ourlets dorés et gorille sur le dos. Fermé d’une large ceinture vert émeraude. On dit souvent que ce n’est pas l’habit qui compte mais la façon de le porter. C’est tellement vrai. Il semble tellement à l’aise et raccord avec le mobilier de sa villa que je comprends qu’il ne joue pas un personnage. Il est juste comme ça. Et c’est exactement ce naturel qui le rend instantanément tellement désirable.

Je ris de bon cœur quand la mousse  déborde de la coupe de champagne qu’il a servi sans prendre le temps de m’incliner. La mousse qui pétille sur sa Rollex ne me semble en rien caricaturale à se moment précis. Et je porte son poignet à mes lèvre pour goûter et sa peau et le Ruinart effervescent.

-« Hé bé ! Tu m’as l’air d’une sacrée pouliche toi dis donc ! »

-« Et vous d’un bel étalon… »

Le peignoir est tendu juste là où il faut. J’effleure de ma coupe de champagne en tirant sur la ceinture en éponge de ma main libre. Le noeud en rosette se défait tout seul. Le ventre est velu et gras du bide mais sa queue est belle et bien tendue. Il sent bon. Pas un parfum bon marché. Je n’arrive pas à deviner mais c’est frai et subtil.

Je le regarde dans les yeux, par en dessous. Il me tend sa coupe pour trinquer.

Au bruit je jurerais que les coupes son en cristal. Je verse un peu de champagne tout le long de sa queue et je lèche lentement sans le quitter des yeux. Il a une belle queue, bien grosse. De jolies couilles aussi. La peau est incroyablement douce. Ses cuisses son très poilues et il sent bon. Il se tient debout, je suis assise sur le divan, déjà moite dans mon mini short en éponge, cuisses écartée, je n’ai même pas eu le temps d’enlever mes talons en plexiglas ni s’ouvrir mon chemisier que sa magnifique queue est déjà à moitié dans ma bouche. C’est bon, je me sens heureuse et vivante comme ça ne m’étais pas arrivé depuis des mois. Je ne le quitte pas de yeux en gardant sa queue en bouche. J’aime comme il pose sa main à plat sur ma joue, le contact métallique de sa chevalière. J’avale un peu plus sa grosse queue en serrant bien les lèvres et je défais les boutons de mon chemisier. Il me pousse délicatement vers le fond du canapé, j’arrive à me débarrasser de mon chemisier sans que sa queue ne quitte ma bouche de suceuse. Je suis agréablement surprise de constater qu’il n’a aucune difficulté à dégrafer mon soutien-gorge dans mon dos. Le mec a de l’expérience, c’est clair et cela me donne confiance pour la suite. J’espère qu’il saura faire durer. Pour l’aider j’arrête un peu de le sucer, je lèche son ventre rebondi et prends ses fesses à pleines mains des fesses grasses mais j’aime bien. Mon amant marseillais avance son bassin et sa queue vient se lover entre mes seins. Belle grosse queue bien au chaud entre mes gros seins. J’avais déjà chaud dans mon mini short rose mais là ça devient limite supportable, gros suçon sur son bide pendant que défais la fermeture éclair du petit short rose Juste avant qu’il me pousse dans le fond du canapé et tire mes jambes vers le haut pour passer la tête juste sous le short que j’ai sur les chevilles. Ses grosse paluches sur le bas de mes cuisses il m’attire en même temps qu’il pousse des reins. Sa grosse queue rentre toute seule, tellement bon !

-« oh ouiii, t’arrête pas. Tu me fais déjà jouir. Elle est bien grosse. T’aime ça que je fasse la petite salope ? »

-« putaing, con ! T’es vraiment bonne toi ! T’aimes la queue hein ? »

-« J’adore, han… ouiii… »

Le type me pilonne, son ventre claque contre mes cuisse. A chaque fois il presses en serrant fermement mes cuisses pour bien s’enfoncer à fond. Et sa grosse queue en moi me fait gémir.

-« haaannn, j’y’ en supplie, encule moi aussi… »

Ça fallait pas lui dire deux fois ! Il enlève les jambes de ses épaules et me retourne d’un coup. Je me mets en position grenouille, à genoux les cuisses bien écartées. Ses grosses mais écartent les fesses et je sens sa grosse queue tout contre mon anus. Il presse en écartant les fesses au max. J’essaie de me détendre, c’est gros mais j’en ai tellement envie. Il force, je crois que ça va pas rentrer mais je n’ose pas le dire. Il donne un coup de reins violent et ça rentre d’un coup. Je crie. Mais il me pousse la tête contre le dossier du canapé. Il se déchaîne et par réflexe j’accompagne du bassin chaque coup de butoir en mordant le canapé en cuir. Ça dure pas longtemps. Une vingtaine de va et vient, peut être un peu plus. Sa main qui pass sous moi pour me masturber avec deux doigts en même temps. Je jouis, en bougeant mon postérieur à son rythme. Quand il ejacule il reste enfoncé à fond dans mon cul et s’écroule de tout son poids sur moi.
-« Huummmm, merci, tu es vraiment bon toi alors. Tu m’as tuée. Ça te dit d’avoir une salope chez toi pour quelques jours ? »

 

Sondage

Petit sondage. Quel texte préférez vous de ce blog ?

Merci de mettre en commentaire le titre de votre texte préféré et pourquoi.

Chaque réponse aura droit à un petit mot de moi que j’espère très agréable. La semaine prochaine je suis en déplacement avec deux nuits d’hôtel. Je risque d’avoir du mal a m’assoir en rentrant chez moi…

Drague en terrasse

Parfois juste un simple détail peut susciter un vrai crunch pour un homme que je n’aurais pas regardé sinon. Le jeune homme de la table d’à côté avait un téléphone à clapet. En général j’aime les hommes mûrs, un brin vicieux. J’aime être prise sans ménagement en bonne salope assumée. Pourtant le jeune homme de la table d’à côté, avec son téléphone à clapet et sa gueule d’étudiant m’a fait envie. Cela fait longtemps que j’ai passé la trentaine et je dois avouer que je suis plus convaincante en bourgeoise sexy que déguisée en jeune stagiaire.
Je fouille dans mon Kelly pour trouver le paquet de  vogues que j’ai toujours même si je ne fume quasiment pas.

-« Vous n’auriez pas du feu par hasard ? »

-« Heu…Non, désolé, je ne fume pas. »

-« Ah ? Bon, alors c’est pas grave, c’est moi qui vous allume… »

Je me penche juste ce qu’il faut pour qu’il entrevois la dentelle de mon soutif noir dans l’echancrure de mon chemisier. Il rougi et détourne les yeux. Trop mignon !

-« Vous êtes Toulousain ? »

-« Heu…Oui, depuis moins d’un an. Je démarre un job ici. »

-« Ah intéressant (je n’en pense pas un mot). Vous faites quoi dans la vie ? »

-« Ingénieur. Dans l’aéronautique. »

-« Ah ? Les avions. Fascinant… »

J’insiste sur le fascinant en y mettant toute l’ironie que je peux et en me regardant droit dans les yeux.

-« Vous vous moquez de moi ? Hein ? »

-« Pas du tout. C’est vous qui vous moquez de moi si vous osez dire que vous ne me reluquez pas depuis que je me suis assise à cet table. »

-« Heu… »

-«Allez, pas de souci. Vous n’êtes pas le seul…Par contre vous êtes le seul que je regarde moi… »

-« J’imagine que vous avez l’habitude qu’on vous regarde. »

-« Hum. Et vous imaginez quoi d’autre ? »

-« Heu, rien de particulier. C’est vrai que je vous trouvais très élégante. Mais n’imaginais pas que vous m’aborderiez. »

-« Disons que je suis presque sure que si je ne vous avez pas abordé vous n’auriez fait que me regarder en coin jusqu’à ce que je tourne les talons. »

-« J’imagine que vous n’avez pas tort. »

-« Et maintenant que j’ai fait le premier pas. On fait quoi ? »

Je sais ce que vous vous dites : «  Impossible que ça se soit passé comme ça. »

Pourtant c’est tellement simple quand on ose ! En tailleurs sexy, à une terrasse de café par un bel après-midi je me sens juste irrésistible…Bon, et surtout, ce mignon petit jeune me plaît vraiment. Ça fait trop longtemps que mon mari me fait mal l’amour et que je n’ai pas eu d’amant valable.

-« Maintenant que vous avez fait le premier pas j’imagine que c’est à moi de faire le second… »

-«Que voilà de belles paroles. Vous vivez seul ou je dois chercher un Airbnb libre ce soir ? »

-« Personne ne m’attend, vous êtes mon invitée. »

-«Que diriez vous si on se tutoyait ?

Pour toute réponse il laisse un billet de vingt sur la table et me tend un pain fine que je saisi conquise. Je remarque à son poignet une jolie montre rectangulaire. Le bracelet est en cuir. Je ne suis pas connaisseuse en horlogerie mais ça me plaît. C’est raffiné et pas clinquant. J’ai très envie de le sucer. Vous allez me dire que ce n’est pas très original, que j’ai  toujours envie de sucer. Mais ce n’est pas vrai. Certains hommes me donnent plus envie que d’autres, avec certain j’ai envie d’être prise par le cul comme une chienne. Mais d’autres, comme ce jeune homme me donnent plus envie de sucer, de faire ma bourgeoise cochonne et d’envelopper sa queue entre mes gros seins.

L’appartement est charmant et lumineux. A l’image du téléphone à clapet de ce jeune homme : simple et vintage. Pas de télévision, grand canapé en velour beige, table basse en verre, platine disques vinyles. La kitchenette est séparée long bar un bar en zinc. À peine somme nous entrés que je me jette à son cou pour lui rouler un patin. J’adore les premiers baisers. Le premier baiser avec la langue c’est, pour moi, le moment qui valide le fait que l’on ira plus loin. Grâce au premier baiser je sais en général si mon amant sera doux ou violent, s’il saura faire durer. Ce qu’il fait de ses mains est aussi un bon indicateur. Les laisse-y-il sur ma taille ? Descend il vers mes fesses ? S’aventure-y-il entre mes jambes ou préfère-t-il d’abord tâter mes seins ? Passe-t-il la main dans mes cheveux ?

Celui là, quand je l’embrasse il ne me rend pas mon baiser tout de suite. Il semble surpris mais, heureusement, il ne me repousse pas non plus ! Pendant quelques secondes je le sens raide et crispé. Je m’écarte de ses lèvres et le prend par les poignets pour poser ses mains sur mes fesses.

-« T’as pas changé d’avis j’espère… »

Je sens qu’il se détend et c’est bien lui qui recolle ses lèvres aux miennes. Sa langue est douce et lisse. Je me presse contre lui et je sens, avec satisfaction, ses mains qui cherchent à remonter ma jupe tailleur pour vérifier si je suis en bas ou en collants. Je suis en mode bourgeoise salope. Donc c’est bas et porte jarretelles. Lingerie et corset en dentelle. Je veux lui en mettre plein la vue pour qu’il m’en mette plein le cul.

Je fais glisser la petite fermeture éclair du côté de ma jupe que je laisse glisser par terre. Je m’attaque aux boutons de sa chemise et le laisse me déshabiller. Assez adroitement d’ailleurs. Je le pousse vers la pièce que je devine être une chambre à coucher. Nous aurions pu baiser sur son canapé, dans le salon. Mais ce soir j’ai envie d’être au dessus. Je le veux allongé sur le dos et je veux m’occuper de lui comme une belle salope bourgeoise. Je reste en bas et soutien gorge mais lui, je m’applique à le mettre tout nu. Sa belle queue rentre toute seule dans ma chatte. J’ai juste écarté mon string sur le côté. Je serré ma petite chatte bien fort autour de sa queue et je m’allonge sur lui, mes gros seins contre son torse imberbe.

-« Hummm, t’as l’air de bien l’aimer ma petite chatte. »

Je suis un peu déçue, il ne répond pas. Il sex contente d’écarter mes fesses et m’embrasse maladroitement dans le cou. J’ai connu mieux mais c’est quand même bien bon d’avoir sa queue en moi. Au moins il ne semble pas prêt de jouir et il bande bien dur. J’accélère et je sens tout de même l’orgasme arriver. Il me fait jouir juste avant d’ejaculer.
c’était bon mais sans plus. On ne peut pas gagner à tous les coups. Je me dis que j’ai quand même très envie d’un vbon plan sado maso avec un mec qui me ferait chauffer les fesses avant de m’enculer. La semaine prochaine peut être… À Rouen.

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L’autre jour en collants

J’ai mis des collants noir. Des collants chauds en laine, sous une jupe écossaise.
Et puis j’ai pris le train. Car tu es à Toulouse et que tu m’as dit : « Jeudi, 17 heure à mon appartement. Ne sois pas en retard ! »

Alors j’ai du courir, de Matabiau au capitole. Arrivée dans ta rue j’ai bêtement pris à droite. Après trois numéros j’ai compris mon erreur : 12, 10, 8, tu habites au 22. Ce n’est que notre seconde fois, et puis il faisait nuit, et nous avions marché ensemble depuis le restaurant. Bref j’ai fait demi tour, légèrement essoufflée j’étais en bas de chez toi avec moins d’un quart d’heure de retard. J’ai composé le code, 1984B. L’ascenseur est en panne, les cinq étages finissent de me mettre en nage et quand tu m’ouvres je suis tout sauf fraîche et sûre de moi.

-« Jeune fille, vous êtes en retard. »

-« Oui…Pardon…J’ai couru…mais…le train avait du retard… »

Essoufflée je reprends ma respiration entre les mots. Tu me jauges de haut en bas, puis de bas en haut.

-« Bon, entre, pas la peine de rester plantée là. »

Le loft est comme dans mon souvenir, à notre premier rendez vous le mois dernier. Tu m’avais dit que si je revenais je serais ta soumise. Qu’il fallait l’accepter, que c’était ça ou rien. Tu m’avais promis de n’être ni violent ni cruel. Tu m’avais dit cela a l’oreille, tout en me besognant, ta queue dure et infatigable dans ma chatte. Tu m’avais fait gémir et supplier de ne pas t’arrêter. Un doigt dans mon anus, tu m’avais demandé si j’accepterais être ta soumise, ta chienne obéissante, en échange d’autre orgasmes. J’avais dit oui, suppliante pour qu’il y ait une autre fois. Alors tu m’as baisée encore tu m’as fait jouir et crier. Puis tu as jouis en moi et nous et nous avons dormis. Pas trop longtemps car j’avais mon train à prendre. Tu m’as dis : « Dans un mois, je veux que tu reviennes. »

-« Viens, on va compléter ta tenue. »

Tu ajustes à mon cou un collier en cuir souple. Deux bracelets larges en cuir à mes poignets et deux autre pour mes chevilles par dessus la laine de mes collants.

Tu me fais m’agenouiller sur le grand lit du loft. Mains dans le dos, mes nouveaux bracelets reliés par une chaînette. Tu écartes mes chevilles, et fixes l’ecarteur télescopique en métal chromé. Tu règles juste assez pour que je les genoux ne puissent pas se toucher. C’est toi qui a bouclé, à mon cou, le collier. Il est en cuir bien souple, doux et tres confortable. Tu accroche une laisse de chienne à la boucle de mon cou. Tu la laisses pendre mais je sais que tu peux t’en emparer à tout moment. Me savoir à ta merci m’excite. Et quand tu commences à caresser mes jambes je me cambre un peu. Ta main entre mes cuisses masse mon abricot gonflé. Tu aimes prendre ton temps. Si je me cambre trop pour me presser contre ta main tu l’écartes de mon con et lui préfères l’intérieur de mes cuisses. J’ai chaud dans mes collants en laine. Mains attachées derrière le dos je tiens ma jupe écossaise relevée dans l’espoir que tu t’intéresses à mon petit cul. Ce serait trop facile, tu joues avec mes nerfs. Juste du bout d’un doigt tu caresses mon camel toe à travers mon collant qui s’imbibe de mouille. J’essaie de me cambrer, j’en voudrais tellement plus. Mais tu te contentes d’appuyer pour faire suinter mon con. Quand ton doigt est mouillé tu me le fais lécher. Ça me donne une envie terrible de te sucer. J’aspire ton doigt en priant pour que ça te donne envie de me présenter ta queue. Tu te penches à mon oreille : « T’es une bonne petite chienne toi hein ? »

-« Humm, oui. Baises moi comme une chienne. »

-« Tsss tsss, c’est pas toi qui décide. Je te baise comme je veux. »

-« Oui, baise moi comme bon te semble. J’en peux plus. »

-« Comme je veux…et quand je veux…Mais avant j’ai un petit cadeau pour toi… »

Tu ouvres le tiroir de la table de chevet. J’y entrevois pêle-mêle un bâillon boule, une sorte de battoir en cuir, des pinces à linge dorées. Mais c’est un plug anal en verre que tu en sors. Il n’est pas énorme mais quand même un peu plus gros que le petit que j’ai l’habitude de me mettre de temps en temps quand j’ai un rendez vous galant.

Tu prends ton temps en roulant le plug contre ma Chatte sur le collant de laine. Je sais qu’il se lubrifie de ma mouille. Tu déchires par devant mon collant, juste assez pour y passer le plug et me l’enfoncer dans ma chatte trempée. Tu tournes et presses. Avec tes mains tu serres mes cuisses pour que je comprenne qu’il faut que je garde le plug prisonnier le temps que tu déchires le collant par derrière. Mes fesses sont à nu. Tu lèches mon anus et en me cambrant je laisse échapper le plug qui glisse entraîné par son poids.

-« Maladroite ! Ça, ça mérite une bonne correction ! »

La première claque sur mes fesses est ferme et bruyante. Je mords l’oreiller quand s’abat la seconde. Bien sûr, je savais que j’allais être fessée. Et c’est loin d’être ma première fois. Mais ça faisait quand même longtemps et après une dizaine de claques sur mon postérieur à nu le picotement est douloureux et quand tu défais la chaînette qui relie les poignets dans mon dos je l’empressé de récupérer le plug anal pour le replacer dans ma chatte d’où il n’aurait jamais dû tomber. Mais tu arrêtes mon geste. Je comprends qu’un plug anal, c’est, comme son nom l’indique, fait pour aller entre mes fesses. Tu le fais doucement rentrer en tournant. Je mords l’oreiller pour ne pas crier. Lorsqud le plus gros du plug est passé et que mon anus se resserre enfin j’en gémi de soulagement. Tu prends mes collants à pleines mains et les déchires pour m’exposer totalement. Je suis tellement reconnaissante quand tu mets enfin tes mains autour de ma taille et que je sens ta queue s’avancer par en bas. Je me cambre. La sensation est divine quand ta queue pénètre ma chatte. Elle me semble bien longue et, oui, je gémi de plaisir. Je jouis instantanément et tes vas et viens m’electrisent complètement. Ton ventre tape sur l’arrière du plug. La douleur dans mon trou du cul est juste comme il faut, pas trop forte mais bien présente. Quand tu retires d’un coup le plug de mon cul et que tu m’encules. C’est comme un soulagement. Le plug m’avait bien préparée et je couine à chaque coup de butoir. Quand tu jouis enfin tu pèses de tout ton poids et je reste à plat ventre sous toi. La nuit ne fait que commencer et je sais que j’aurai la chance de te montrer comment je suce dans pas longtemps.

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Covoiturage coquin

Depuis quelques temps les sites de rencontres adultères m’ennuient. Rencontres trop facile avec des hommes mariés qui ont déjà décidé d’être infidèles. Plan cul assuré mais peu de place pour la drague, l’improvisation, le frisson d’un désir qui monte au fil du temps, jour après jour, semaine après semaine. En cette fin d’hiver 2022 je me mets donc en quête d’autre chose. Mais il faut rester discrète, anonyme.

Je me bricole donc une fausse identité sur un célèbre site de covoiturage. Et je m’invente un trajet quotidien vers mon travail en partant d’un point très éloigné de la maison. Il me suffit de laisser ma voiture au parking relais. C’est un peu compliqué, ça rallonge mes trajets mais ce n’est que deux jours par semaine.

Ainsi, chaque mardi et chaque jeudi, Jacques 47 ans, brun et plutôt beau garçon, me récupère à 7h25 du matin pour vingt à vingt cinq minutes de covoiturage vers la place de la mairie où il me dépose. A 17h45 je l’attends au même endroit pour un trajet retour vers ma voiture.

Les premiers trajets sont conventionnels et un peu ennuyeux. J’essaie de rester le plus près possible de la réalité pour ne pas me trahir. Je suis une jeune femme mariée avec une enfant, un chien et un travail sur lequel je reste évasive car c’est alimentaire. Je cite quand même le nom d’une grosse boîte vraisemblable par rapport au point où il me dépose. Tailleur jupe ou pantalon en fonction des jours, sans fioriture mais suffisamment bien ajusté et un soupçon de numéro 5 de Chanel pour être à peu près certaine qu’il pense à moi le soir dans le lit conjugal.

Ce n’est qu’au quatrième trajet que nos conversations prennent un tour plus intime. C’est un mardi et quand il me demande si j’ai passé un bon week-end je réponds que c’était un week-end en famille.

-« Et donc ? Bon ou mauvais week-end ? »

-« Disons, pas hyper glamour mais reposant… »

-« Reposant ? »

-« Ok ! Ennuyant à mourir ! Et toi ? Bon week-end ? »

-« Famillial… »

-« …hum… »

-« ….wouai… »

-« … »

Quand il se range sur le côté pour me déposer je me lance et lui pose un baiser sur la joue en faisant dépasser le bout de ma langue juste avant de sortir de sa voiture. Je sais qu’il va y penser toute la journée avant de me récupérer en fin d’après midi.

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Comment convaincre une femme mariée de tromper son mari ?

Avouez le, vous avez tous, dans vos fantasmes, une femme mariée avec qui vous aimeriez commettre l’adultère. C’est une collègue, votre belle sœur, la femme d’un ami, une voisine ou une maman de l’école de votre enfant. Vous sentez qu’il pourrait se passer quelque chose mais vous ne savez pas comment faire pour qu’elle passe le pas et trompe son époux avec vous comme amant.

Les articles conseils, trucs et astuces pour pousser une femme à l’adultère

C’est toujours un peu barbant les articles de conseils genre méthode infaillible pour décider une épouse fidèle de tromper son mari. Vous n’y lisez que des banalités du type : rassurez la sur votre discrétion, soyez sincère et patient etc…Et au final vous n’êtes pas plus avancé et la lecture n’a même pas été marrante !

Alors, plutôt qu’une liste de conseils impersonnels j’ai décidé, dans ce post, de vous raconter quelques histoires d’adultères où de lecteurs de ce blog ont réussi à convaincre une candidate à l’adultère de passer le pas. Ou de lectrices qui ont, pour la première fois pris un amant et où elle expliquent ce qui les a fait craquer. Tous ces témoignages sont réels mais j’ai réécris à ma sauce pour que vous preniez plaisir à les lire.

Pour chaque histoire j’essaie de tirer un enseignement, de vous trouver quelques principes a retenir ou astuces utiles pour séduire une femme mariée.

Guilain, moniteur de ski :

Guilain est moniteur de ski l’hiver. Hors saison il est agriculteur en montagne. Il a quelques chèvres et une cave dans laquelle maturent d’excellents fromages. Physiquement Guilain est loin de l’archétype du beau moniteur de ski jeune, branché et bronzé. Il est petit (1m72), maigre, moustachu et buriné à presque 60 ans. C’est justement ce profil et cette apparence qui lui donnent un avantage sur ses collègues plus jeunes lorsqu’il s’agit de draguer de belles femmes mariées. Guilain est LE moniteur auquel ces messieurs n’ont pas d’inquiétude à confier madame pour des cours particuliers de ski. Guilain a un taux de succès impressionnant avec les femmes mariées. Sur une semaine de cours particuliers il lui faut en général 3 à 4 jours pour parvenir à ses fins. Autant dire que les derniers cours ont plutôt lieu à l’horizontale dans son petit studio de la station. Guilain a un bon niveau d’Allemand et il m’a confié qu’il y a une vraie différence entre la femme adultère Teutonne et sa cousine de l’hexagone. Les allemandes seraient meilleures suceuses, adeptes de la cravate de notaire que nous autres françaises (je demande à voir !). Par contre nous les françaises nous aimerions davantage jouir par le cul et avoir les fesses rouges. Bref, je n’ai pas plus de détail que ça sur la méthode de Guilain mais je pense que nous pouvons en tirer quelques enseignements :

– Mettre le mari en confiance. Pour que la femme mariée soit plus à même de sauter le pas il faut que vous ayez du temps avec elle. Pour cela le mari doit être loin et en confiance. C’est pour cela que les collègues de bureau sont des proies plus faciles. Donner des cours est, évidemment, l’idéal. Si vous êtes doué pour un sport, et que la femme d’un ami vous intéresse alors cela peut être un angle d’attaque. Trouvez un moyen de l’intéresser à votre sport. Et proposez une pratique commune. Sans le mari bien sûr ! Avec un peu d’astuce et de diplomatie vous y parviendrez sûrement. Croyez moi, vous avez 90% de chance que le reste vienne tout seul et naturellement !

Le second enseignement est que Guilain est un amant de vacances, quelqu’un que la femme mariée ne reverra pas, une parenthèse coquine dans une vie par ailleurs bien rangée. Si vous cherchez l’aventure avec une femme mariée vous aurez plus de chance de succès si vous vous mettez dans ce type de situation. Soyez le voisin charmant d’une résidence de vacances familiale, l’étranger de passage, le photographe de National Geographic de la route de Madisson.

Alexandra, 35 ans, mariée et fidèle depuis 10 ans.

Alexandra m’a confié avoir craqué un soir d’automne lors d’un séminaire en finissant par coucher (une seule fois) avec un collègue de travail. C’était le dernier soir du séminaire dans un grand hôtel privatisé pour l’occasion. Elle avait un peu trop bu et une copine et collègue lui avait confié qu’elle se serait bien tapé Patrice, l’ingénieur méthodes. De savoir que sa copine en avait envie à été l’élément déclencheur pour qu’Alexandra en ait aussi envie. Ça et quatre Moscow Mule bien dosés. Elle a glissé un double de la carte magnétique de sa chambre dans la poche arrière du jean de Patrice sous les yeux ébahis de sa copine verte de jalousie quand elle a vu qu’il se dirigeait vers l’ascenseur à peine trente seconde après qu’Alexandra ai quitté la soirée.

Retenons que l’Alcool est un bon désinibiteur et que faire jouer la rivalité entre femmes fonctionne souvent très bien.

 

Mettez moi en commentaire vos histoires d’adultère. Vos histoires ou vos désirs. Revenez régulièrement sur cette page que je promets d’enrichir d’autres histoires et conseils.

Bisous mouillés !

Ta petite secrétaire sexy fait des heures supplémentaires

Ta petite secrétaire porte une jupe tailleur courte et très moulante. Gênée elle la tire nerveusement vers le bas. Mais la jupe remonte invariablement de quelques centimètres laissant voir la dentelle du haut de ses bas nylon. Fin de journée, les bureaux sont déserts et tu m’as convoquée pour mon entretien de fin de période d’essais.
-« Vous vous plaisez ici mademoiselle ? »

-« Oui monsieur. »

-« Vous voulez rester ? »

-« Oui monsieur. »

-« Tant mieux. Parce que si vous vous plaisez ici, je ne vais pas vous mentir. Vous me plaisez beaucoup. »

Pas la peine d’y aller par quatre chemins. Tu déboucles ta ceinture et le premier bouton de ton pantalon sans prendre la peine de te lever de ton fauteuil. Ni grand, ni particulièrement sportif, sans être obèse, tu ne cherches pas à cacher une confortable bedaine clairsemée de poils frisés. J’aime être malmenée aussi je choisi souvent des plans cul au physique quelconque. J’ai pu remarquer qu’un mec un peu quelconque qui lève une bombe atomique à tendence a m’en donner plus, comme pour se venger de toutes celles qui l’ont rejeté. Je décide de jouer mon rôle du mieux possible. Ta petite secrétaire particulière fait de grands yeux effarés mais elle n’est pas une oie blanche. Elle comprend très bien ce que tu attends d’elle. Tu m’as choisie pour mes gros seins qui tendent mon chemisier blanc. Mais ce qui t’excite c’est le contraste entre mon physique de jolie salope, ma tenue sexy et, malgré tout, ma démarche et mon attitude hésitante, presque naïve, débutante. L’index recourbé en crochet suffit à me faire venir à toi. Je tire nerveusement sur ma jupe vers le bas. Tu fais de la place sur le grand bureau en poussant les dossiers sur les côtés. Je comprends que je dois m’y assoir face à toi. Tu écartes mes genoux et retrousses ma jupe. Mon string est blanc, très fin, tout en dentelle sur mon petit abricot intégralement épilé. Certains  aiment les poils. Moi non. J’aime être toute lisse et glissante. Tu te jettes sur mes cuisses que tu embrasses et suces à pleine bouche. Ça je ne m’y attendais pas mais je me laisse faire. Je m’attendais à commencer par te sucer mais un bon cunni, je ne suis pas contre finalement. Ta langue est large et, string écarté, mon abricot gonflé s’ouvre. C’est bon et je cède à la tentation de mettre ma main sur ta tête pour t’encourager à continuer. Tu passes la main sous mes fesses ton doigt à la recherche d’un passage vers mon anus. Ta petite secrétaire à un joli petit cul bien ferme. L’anus est contracté et tu peines à y entre ne serait ce qu’un doigt. Tu renonces temporairement et l’embrasse sur la bouche. Tu te dis que si elle te rend ton baiser alors c’est le signe qu’elle n’est pas contrainte, que, même si elle veut le job, elle aime quand même bien se faire baiser par son patron. Et, ça tombe bien, le patron, c’est toi. Elle a la langue nerveuse, les lèvres douces et fermes à la fois. Elle embrasse les yeux grand ouverts, tu prends sa main et la guide vers ta queue. Elle ne résiste pas et te branle en t’embrassant les yeux dans les yeux. Tu es vite debout et elle a plat ventre sur le bureau en train de te sucer les mollets relevés. Ta secrétaire est une bonne suceuse, patiente, consciencieuse. Elle lèche et suce en balançant légèrement ses jambes. Tu tends la main pour retrousser sa jupe et admirer son petit cul. Tu aimes ses molets, les talons hauts qu’elle a gardé aux pieds et ses yeux toujours grands ouverts. Elle a l’air de vraiment aimer la queue celle la. Tout en gardant ta queue bien en bouche elle baisse sa petite culotte pour que tu puisses mieux voir son joli petit cul. Un petit cul lisse et bronzé, une chute de reins parfaite avec une taille assez mince qui te donne envie de la tenir entre tes mains. Ta petite secrétaire suce tellement bien que tu hésites à la retourner pour la prendre par derrière. Mais les fesses sont trop jolies et la taille trop tantente pour juste lui ejaculer dans la bouche. Tu empoigne son chignon et la met debout. Tu la guides par la taille pour qu’elle se penche en avant sur le bureau. Tu prends dans un tiroir de ton bureau une paire de ciseaux et coupe son string pour qu’elle puisse écarter les jambes. Tu graisses en la prenant en levrette. Ta secrétaire bouge juste comme il faut, elle dit : « oui, oui, oui, oui… » d’une petite voix aiguë. Quand tu décides enfin de l’enculer c’est elle qui met ses mains sur ses deux fesse pour bien les écarter. Tu dois forcer un peu pour prendre son anus mais elle dit toujours : « oui, oui, oui… » Tu l’encules sans te presser, longtemps et bien à fond. Quand tu décharge dans son cul ses fesse sont rosées. Tu restes en elle et débande dans son cul. Ta petite secrétaire était en intérim. Tu sais qu’elle ne restera pas, mais tu comptes bien en profiter le plus possible avant qu’elle parte ailleurs.

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Bal des pompiers

C’est bientôt le 14 juillet. Un de mes moments préférés de l’année. J’aime ce moment pour le bal des pompiers. En général je suis en vacances. Mon mari n’est jamais bien loin et les vacances en famille ou avec des amis sont un calvaire pour la femme adultère que je suis. Tellement moins de liberté que le reste de l’année. 5 à 7 inexistants. Pourtant j’arrive toujours, le 14 juillet à m’échapper. La soirée débute en famille mais sur le coup de minuit, une heure, mon mari qui voit toujours un peu trop piqué du nez et rentre en me laissant profiter de la fin de nuit. Je trouve toujours un inconnu avec qui m’éclipser pour un feu d’artifesses.

Cela m’a donné une idée : Pourquoi ne pas mettre en commentaire ici à quel bal vous serez les unes les autres. Et comment faire pour vous reconnaître ?

Baisée au bord de la piscine

Maillot de bain deux pièces jaune cocu, je dors sur un transat en tek au bord de la piscine. Enfin je dors, il serait plus sincère de dire que je cuve. Le déjeuner a été aussi arrosé que le punch était chargé. Tu m’as servie, resservie et resservie encore. Tu n’avais pas besoin de me saouler pour me séduire. Mais j’ai bu, parlé avec presque tout le monde, flirté aussi un peu. Avec d’autres que toi pour attiser ta jalousie et te faire douter de la suite des événements. Être un vraie salope est tout un art ! Étrange sauterie organisée entre bourgeois de province dans un petit château de l’arrière Pays Nantais. J’y suis sur ton invitation. L’œil torve que j’entrouvre me permet de constater que les autres convives semblent s’être éclipsés. J’imagine dans les chambres ou les petits salons du domaine. Je ne me sens pas en état de les suivre pour le moment et je referme les yeux en priant pour que le bourdonnement cesse dans ma tête. Nous ne serions pas presqu’en Bretagne et j’aurais moins bu, je m’inquièterais des coups de soleil qui menacent mon dos nu. Mais le soleil est presqu’aussi voilé qu’une femme afghane et je replonge dans une semi conscience éthylique qui doit bien t’arranger. J’imagine que tu t’es approché lentement de mon corps avachi. Tu auras caressé du bout de l’ongle mes fesses. Ou peut être les auras tu simplement d’abord regardées, jaugées. As tu lissé mes cheveux mis sur mon oreille la mèche de cheveux brune qui cachait mon visage ? Je sais que tu as baissé ton short et sortie ta queue pour caresser ma joue et le bord de mes lèvres maquillées de glos rose. Je me souviens avoir entrouvert les lèvres par réflexe. Même au bord du coma éthylique je sais que j’ai envie de sucer. Tu as joué un peu à mettre ta queue dans ma bouche. C’était bon mais j’étais trop stone pour m’appliquer comme il se doit. Je crois me souvenir que tu t’es assis sur le transat, juste contre ma hanche, là où la taille d’évasé pour laisser place à mes belles fesses. Je sais qu’il y avait, posée au sol, un flacon oenobiol d’huile solaire. J’ai souvenir de quelques goutes, d’abord sur ma nuque. Il me semble que tu as bataillé un peu pour trouver comment dégrafer le haut de mon deux pièces. Tu as pris ton temps je crois. Je sentais ton sexe contre ma hanche et je sais que par réflexe j’ai sûrement dû soulever mon bassin, tressaillir un peu des fesses et écarter imperceptiblement les cuisses. Tu ne m’as pas baisée tout de suite, tu as bien pris le temps de me masser, tout le flacon d’huile solaire y est passé. J’ai senti un doigt dans mon anus, puis un plus gros, le pouce je crois car tu t’occupais en même temps de mon minou. J’ai gémi de plaisir quand ta queue est entrée d’un coup dans mon cul ultra lubrifié. Tu pesais lourd sur moi et j’avais peur que le transat ne tienne pas. Mais il a tenu malgré la franche enculade à laquelle tu t’es livré. Juste avant de jouir au fond de mon cul tu as pesé de tout ton poids sur moi. C’était presqu’etouffant, je suffoquais ce qui rendait mon orgasme encore plus profond. Je ne sentais plus mon cu. Une crampe douloureuse au mollet droit m’empêchait de bouger pour me dégager. Je ne savais plus où commençait la douleur ni où s’arrêtait le plaisir. Mais une chose est certaine, je ne regrette pas d’être venue à cette fête au bord de la piscine.