Il y a dans cette histoire vraie du mois dernier un placement de lien vers un site Grenoblois (CHICAGRE). Je n’y gagne rien d’autre que leur bienveillance mais j’aime juste ce qu’ils font alors je partage.
Grande pharmacie à visiter dans une bourgade près de Grenoble. Fin d’après midi d’automne par très beau temps. Grosse envie d’un mec sportif qui me suivra à mon hôtel. Alors j’enfile mon legging mauve et la paire de Nike Air qui semblent énormes au bout de mes fines chevilles. Puis je pars en chasse sur les bords de l’Isère, où est-ce le Drac ? Petite appréhension même si j’ai bien deux heures de jour avant la nuit. C’est l’heure dorée, celle des photos Instagram et de l’apéro en terrasse. Je devrais être insouciante mais j’en ai trop lu sur la violence à Grenoble pour courir sereine. Drôle d’ambiance, la lumière et les feuilles d’automne pourraient faire croire qu’on est au Canada mais les Tags sur chaque centimètres carré de béton rappelle que je cours bien dans une des villes les plus dangereuses de l’hexagone. Le premier type que je rattrape porte d’ailleurs un T-Shirt Kaki avec écrit Chicagre dans le dos et son groupe sanguin encadré sur l’épaule : O+
Tiens, un donneur universel. Je devine le quadra qui s’entretient, cheveux grisonnants, short laissant apparaitre un mollet sec et de très belles cuisses. Avant même d’avoir vu son visage je sais qu’il me fait envie. J’adapte ma vitesse pour rester quelques foulées derrière lui. Il a un très bon rythme, 11 ou 12 kilomètres heure, Je sais tenir une meilleure moyenne mais pas beaucoup plus sur un semi.
Accélérer, arriver à sa hauteur et lui sourire. Passer devant, pousser à 13km heures pour voir s’il cherche à suivre mon cul legging lycra. Bingo, il refuse de se laisser distancer. C’est certain qu’il mate.
Tenir un gros quart d’heure à cette allure pour bien suer et m’assurer de l’endurance de ma cible. Puis faire semblant de trébucher et m’affamer par terre.
-« Ca va ? Vous ne vous êtes pas fait mal ? »
Retenir sa main sur mon épaule. premier contact physique.
-« Non, non, je crois que ça va…mais je vais ralentir un peu. Ça vous embête de rester un peu avec moi ? »
-« Heu non, pas du tout…au contraire… »
Sauter sur l’occasion, saisir la perche tendue.
-« Au contraire ? Alors j’ai mes chances ? Vous m’aidez à me relever ? »
Sourire comme si c’était une plaisanterie innocente et tendre la main. Résister un peu quand il tire pour me relever. Trébucher encore et m’accrocher à lui. Mes gros seins entrent en contact avec son torse. Mélange de sueur. Nos visages proches. Se jeter a l’eau, oser un baiser sur la bouche. Il me le rend, surpris. Le repousser, avoir l’air confuse.
-« Oh ! Pardon, je ne sais pas ce qui m’a pris. »
-« Il n’y a pas de mal ! Vous êtes sûre que ça va ? »
Battre le fer tant qu’il est chaud et retomber dans ses bras.
-« Non, pas trop. Je viens d’apprendre que mon mari me trompe. Et j’ai vraiment besoin de réconfort. »
-« Heu, bin c’est pas commun ça comme demande. »
-« Oui, je sais, pardon, mais j’ai l’impression que je vous plais non ? Mon hôtel est à deux pas et, je jure que je ne suis pas de la région. Vous n’entendrez plus jamais parler de moi si vous acceptez quelques heures avec moi. »
La vie peut être simple parfois. Il m’attire à lui et c’est à son tour de me surprendre avec un baiser. Je me colle à lui, ma langue nerveuse joue avec la sienne. J’ai l’impression d’être une adolescente. Enfin en plus salope et expérimentée !
-« Ça te va comme réponse ? »
Il est passé au tutoiement. Je le prends par la main et le guide vers mon hôtel à quelques pas de là.
-« Tu dois me prendre pour une folle ! »
-« Oui, mais une folle sacrément bien roulée. »
Sa main est descendue sur mes fesses.
-« Hum, tu pourras me corriger si tu me trouves trop dévergondée. »
Je ne sais pas ce qu’il osera, draguer un mec comme cela c’est souvent quitte ou double. Mais il presse sa main sur mon fessier alors je me sens plutôt confiante pour la suite de la soirée.
Je suis une habituée de la villa Atmosphère qui tient plus de la maison d’hôte que d’un hôtel standard. Et, même si j’ai coché pour deux lors de ma réservation, je suis un peu inquiète de ramener un mec dans ma chambre et qu’on me prenne pour une professionnelle. Crainte non justifiée puisque quand nous entrons l’accueil est désert et nous pouvons accéder à ma chambre du premier sans croiser personne. Je profite du couloir désert pour plaquer mon joggeur coureur de jupons contre le mur et l’embrasser en collant mon entrejambe déjà brulante à sa cuisse nue.
-« Je m’appelle Lucie, mais tu peux m’appeler Lassie si tu as la ref. »
-« Lassie, chienne fidèle ? Évidemment que j’ai la ref ! Toi tu m’as l’air d’être une sacrée salope ! »
-« T’as pas idée… »
Une fois entrés dans ma chambre, le laisser prendre les rênes et me pousser vers le lit. Me mettre à genoux par terre, penchées sur le bord du lit, mon cul moulé dans le legging fuchsia. Derrière moi sa main est vite entre mes cuisses massantes et caressante. Je me cambre, je mouille déjà et il peut le sentir à travers le legging. Il masse plus qu’il ne caresse, presse ses doigts pour tendre les tissus dans les deux orifices. J’enlève mon T-Shirt et ma brassière.
-« J’ai trop envie de te sucer. S’il te plaît laisse ta chienne manger de la saucisse. »
Je me retourne et l’attire sur le lit. Il est sur le dos, je baisse son short et mets sa queue entre mes seins trempés de sueur. J’aime commencer par une branlette espagnole avant de le prendre en bouche. Je suce en le regardant droit dans les yeux, provocante. Il se laisse faire, une main dans mes cheveux poussant fermement quand pour que je le prenne bien profond. Il me semble sur le point de jouir. Je suis un peu déçue, déjà ?!
Mais, heureusement il me tire par les cheveux et se dégage par le côté.
-« Attends, crois pas que tu vas t’en tirer comme ça, Lucie chienne infidèle. »
Il tire mon legging vers le bas pour découvrir mon cul et m’assène un claque du plat de la main.
Surprise je tourne la tête vers lui. Mes yeux disent : « Encore » , je me cambre comme pour en redemander. Il frappe à nouveau et je dis : « Oui ! »
Dix fois il frappe dix fois je dis encore. Mais à la onzième je je dis : « Aie ! » puis « Stop ! » « Non ! » « Han ! » mais c’est trop tard, il est lancé et mes fesses sont rouges et brûlantes. quand il arrête enfin et recommence à me caresser le sexe, je suis trempée de mouille et honteuse d’avoir envie de lui malgré ce qu’il m’a fait subir. Il introduit délicatement sa queue pour me prendre en levrette et chaque coup de rein rappelle à mes fesses qu’elle sont à vif. Je jouis et gémissant. Il me fait jouir longtemps, me tire par les cheveux et quand il se retire c’est pour ejaculer sur mes reins. Je ne suis même pas déçue qu’il ne m’ait pas enculée. C’était simplement très bien comme ça. Nous somnolons un peu l’un contre l’autre et déjà c’est l’heure qu’il rentre chez lui. Je n’ai aucune envie de le retenir. C’était parfait mais demain j’en trouverai, j’espère, un autre…
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