Vacances coquines sous les tropiques

Embarquement pour de vacances coquines

Mes vacances coquines commencent ce 14 avril, Monsieur mon Mari m’emmène en voyage pour notre anniversaire de mariage. Il a choisi la Guadeloupe comme destination. Le cadeau est surtout pour lui qui est fan de kite surf. Il voulait emmener notre fille. Moi non. J’ai eu gain de cause. La petite passera une semaine chez Papy Mamy ravis. Cela me coute une fellation et la promesse que ce seront des vacances coquines. Ce qu’il ne sait pas c’est que j’ai une conception bien à moi de ce que sont des vacances coquines. Je sais maintenant que j’aurai du temps rien que pour moi. Du temps pour me faire MES vacances coquines pendant que l’homme sera sur l’eau. Je compte le tromper chaque jour avec un plan cul différent. De vraies vacances coquines !

rare et très cher mais j'aurais bien aimé ramener ce souvenir de vacances coquines
souvenir de vacances coquines bien trop cher pour mon budget…

Orly Sud, correspondance. Nous attendons l’embarquement avec deux cents autres voyageurs. Je porte une robe légère. J’ai de gros seins fermes qui ne peuvent passer inaperçus. J’attire immanquablement les regards. Cela plaît à mon mari qui ne se doute pas de mes projets de vacances coquines adultères. Il pense que les vacances coquines seront pour lui. Je pars avec l’objectif ambitieux de rencontrer autant de bites qu’il y aura de jours à notre voyage. La première cible de mes vacances coquines est assise presque en face de nous. Accompagnée de bobonne et de deux enfants bruyants. La quarantaine taille moyenne, un début de calvitie mais mince à la taille et large d’épaules. Bobonne est de ces femmes qui ont du être jolies. La maternité et quinze ans de routine l’ont largement défraîchie. Je sais que je l’intéresse : A chaque fois que je lève les yeux de mon roman il fait mine de regarder ailleurs. Je me replonge dans Douglas Kennedy. Je croise et décroise mes longues jambes. Je mords ma lèvre inférieure. Je respire amplement. Pas besoin de lever les yeux pour savoir qu’il matte les gros seins. Je me lève et dis à mon mari que je vais acheter des cigarettes. J’espère qu’il a entendu et qu’il va me suivre. Perdu. C’est un timide. Ou pire, un fidèle ! À mon retour je parviens à accrocher son regard. Nous nous regardons juste un peu plus longtemps qu’il n’est convenable pour des étrangers. Je baisse les yeux juste avant lui mais Le regarde par en dessous un sourire gêné aux lèvres. Je me rassis à ma place. Mon Mari joue au poker en ligne sur son iPhone. Je me replonge dans mon livre et lui lance des œillades de plus en plus appuyées dont je dose savamment la fréquence. L’hôtesse appelle les passagers de première et les familles avec enfants pour l’embarquement. Les enfants et bobonne se lèvent mais mon plan cul (je suis sure de mon coup) les retient en disant que les enfants sont trop grands. Les rangs 30 et plus sont appelés. C’est nous. Et eux ! Il s’arrange pour fermer la marche de sa petite troupe. C’est facile pour moi de manœuvrer pour etre juste derrière eux. Mon mari avance les yeux rivés sur sa partie de poker en ligne. Je prend au fond de mon sac à main Le petit papier préparé à l’avance. À la première occasion je le lui glisse dans la main. Tout premier contact de nos peaux. C’est furtif pour ne pas attirer l’attention mais il a pris le papier et le fourra dans la poche de son pantalon. Je remarque qu’il bande. Bientôt il trouvera un moyen pour lire en cachette mon billet coquin : »désolée, nymphomane, pas ma faute. Très envie de vous. »
Pour l’heure il ne sait encore rien. Sa surprise est réelle quand je trébuche et tombe sur lui. Mes seins amortissent le choc sur son dos. Je me confond en excuses. Ce qui me donne l’occasion de poser une main sur son épaule. Mon mari lève la tête de son téléphone agacé. Prévenant il me demande quand même si ça va. Oui, j’ai juste trébuché. Je m’excuse à nouveau auprès de mon FPC (Futur Plan Cul). J’en profite pour poser à nouveau ma main sur son épaule. C’est bobonne qui a les passeports. Elle me regarde mi soupçonneuse, mi désolée que son homme ne trouve rien d’autre à dire que : »y’a pas de mal. » Je regarde la légère bosse de son entrejambe. Lui seul sait que j’ai remarqué. Il est très gêné. Surtout à cause de mon sourire en coin. Je sens que je suis sur le point de mouiller. Nous sommes séparés car il y a deux hôtesses qui vérifient les billets. Il prennent à droite et nous à gauche. Comme ils sont quatre nous leur passons devant et un couple de retraités s’intercale entre nous. Nous avons 36A et 36B. Cela nous fait tourner juste après l’entrée dans l’avion. Je rêverais qu’il soit derrière moi et m’aide à mettre mon bagage cabine dans le compartiment en hauteur. Mais je rêve. Ils ne sont plus derrière. Je perds ma cible de vue.

Je laisse le hublo à mon mari et je prends la siège côté couloir. L’avion se remplis, je repère enfin ma cible ou plutôt ses lardons qui sont à genoux à l’envers sur les sièges de la rangée du milieu 5 ou 6 rangées devant. Pas de chance, c’est elle qui est de mon côté. Pour le croiser à nouveau il va falloir que je passe au fond de l’avion pour redescendre les rangées jusqu’aux toilettes. Quand l’avion décolle mon mari à déjà commencé son film. Je lis un livre (Joël Dicker, la disparition de Stéphanie Mailer). Après le premier plateau repas j’estime que ma cible a largement eu le temps de lire en douce mon petit mot. Je me lève pour aller, comme prévu, a l’arrière de l’appareil puis redescendre vers les toilettes en passant devant lui. À son niveau je me décale juste ce qu’il faut pour être certaine que ma cuisse le frôle. Je ralentis imperceptiblement pour lui laisser le temps de bien mater  mon petit cul de salope. Il se lève derrière moi et me suit. YES !

les toilettes sont occupées et une autre personne attend avant moi. Il me rejoint. Timide mais curieux. Sourires. Je me penche à son oreille : »je suis vraiment désolée de vous imposer ça. C’est plus fort que moi, j’ai terriblement envie de vous. »

lui, aussi à mon oreille : »pourquoi moi ? »

-« ça n’a rien à voir avec vous, je ne contrôle pas. Ça pourrait tomber sur n’importe qui. Mais tant que nous n’aurons pas baisé ensemble je serai obsédée par vous. C’est comme ça. »

-« et après ? »

-« après j’irai mieux pendant deux trois jours puis un nouveau mec m’obsèdera completement… »

-« ah ? Je comprends… »

-« non, je pense que vous ne pouvez pas imaginer à quel point j’ai envie de vous sucer. »

-« et bin ! »

Les échanges se font de bouches à oreilles. Je trouve cela tellement sensuel et excitant que j’en suis moite.

-« il faut que je retourne à mon siège. Si je reste trop longtemps à côté de vous je risque d’avoir la culotte toute trempée ! »

su ce je lui claque un bisou moillé sur la joue et lui donne rendez vous ici plus tard quand l’avion sera somnolant.

je retourne à ma place ne me creusant la tête pour trouver un moyen de me retrouver vite seule avec lui. Pas simple du tout.  Je fantasme sur les toilettes de l’avi  mais ils sont vraiment minuscules et je vois mal comment y entrer a deux sans se faire remarquer. Je me remets dans mon film pour penser à autre chose une grosse heure.

Second rendez vous coquin. Même scénario. Je passe devant lui et il suit. Il a eu Le temps de gamberger. Il me pose un tas de questions sur ma prétendue nymphomanie. Comment ça m’est venu ? Est ce que l’homme qui est avec moi le sait ? Pourquoi lui qui est plutôt banal alors que belle comme je suis je pourrais avoir n’importe qui ?

J’improvise. J’ai toujours été ainsi depuis les 16 ans. Je l’ai toujours caché à tout le monde. Bien sur mon mari ne se doute de rien. C’est incontrôlable. Ça peut me prendre n’importe où, n’importe quand et je peux faire une fixette sur n’importe qui. J’imagine trop sa verge dans ma 👄.

Je lui explique mon plan. À l’arrivée, au moment d’attendre les bagages il va aux toilettes handicapés. Il laisse le loquet ouvert et je rentre juste après lui.

-« comme ça ? Dans les toilettes hommes ? Il risque d’y avoir du monde. »

-« oui, c’est sûr mais. Mais je ferais comme si c’était pressé pour moi et que les toilettes femmes sont complets. À mon avis ça choquera mais personne n’osera rien dire »

un site pour trouver sa partenaire de vacances coquines
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Premier plan cul de mes vacances coquines dans les toilettes de l’aéroport

Le plan était osé mais il a parfaitement fonctionné. Arrivés au tapis de récupération des bagages je le vois qui rebrousse chemin vers les toilettes et je lui emboîte le pas sans éveiller ni les soupçons de mon mari, ni  eux de sa bobonne. C’est tellement gros qu’ils ne peuvent s’en douter. Le plan marche nickel. Coup de chance les toilettes handicapés sont dispo quand il arrive. Il entre, je le suis moins de 20 secondes après en mode super pressée, très envie de faire pipi, pardon, pardon ! Si des hommes ont remarqué qu’il était entré avant moi personne ne proteste trop surpris.

Comme ce sont des toilettes handicapés l’espace est assez grand. Je me jette sur lui pour lui rouler un gros patin tout en déboutonnant son pantalon.

-« Appuis toi contre le mur et laisse moi faire. »

Je fais tomber les bretelles de ma robe légère et dégrafe fissa mon soutiens gorge. Je m’accroupis et sors sa verge de son caleçon. C’est parti pour la cravate de notaire. Sa bite n’est pas très longue mais ça le fait. Entre les gros seins elle est dure et bien au chaud. Un délice pour la bouche comme pour les yeux.

Je plante mes yeux de biche dans les siens par en dessous.

-« Tu peux pas savoir comme j’en avais envie ! »

Va et vient langoureux entre mes seins que je presse de mes mains pour entourer sa bite. À chaque va et vient ma 👄 accueille son gland. Je maintient quelque seconde en aspirant.

-« Dommage qu’on ait pas plus de temps je l’aurais bien prise dans ma chatte de salope ou mon cul de cochonne. »

Il ne répond pas. Trop surpris. Ou trop concentré à ne pas jouir trop vite. Je le prend dans ma bouche goulue. Je pourrais faire une gorge profonde mais je préfère sucer en le branlant. J’alterne mes seins, mes mains et ma bouche. Je n’oublie pas de lécher les couilles et de le regarder souvent dans les yeux. La pression de ses mains sur ma tête m’indique qu’il va jouir. Je le garde dans ma bouche pour qu’il éjacule bien au chaud contre ma langue. J’avale comme une bonne vraie salope. Je continue à le sucer jusqu’à débandaison complète. Je me rhabille à la hâte et lui claque une bise sur la joue avant de sortir la première des toilettes. Il est probable que quelques personnes nous aient remarqué mais personne n’ose rien dire et je file retrouver mon mari au tapis des bagages. Notre valise n’est pas encore déchargée. Nous attendons à quelques mètres de bobonne et des enfants. Mon plan cul arrive une minute plus tard. Il est rouge comme une pivoine. Je lui lance des œillades mais il évite mon regard. Il doit avoir trop peur de se faire gauler. Notre valise arrive. Dernier sourire, clin d’œil, nous partons. Je ne me souviens plus son prénom. Pierre ? Paul ? Bertrand ? Ce n’est pas faute de l’avoir eu sur le bout de la langue tout à l’heure aux toilettes…Mes vacances coquines ne font que commencer ! J’ai les sentiment que ces vacances coquines vont être très très coquines…

 

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

5 réflexions au sujet de « Vacances coquines sous les tropiques »

  1. Moi cela m’a rappelé une expérience dans une cabine de change d’un centre aquatique, vous savez les cabines avec 2 portes (une pour entrer et l’autre pour sortir), cabine simplement cloisonnée par une mince plaque de bois, et sans plafond. J’ai bien aimé ce quick-sex parmi le brouhaha des personnes à l’extérieur, me faire sucer en sachant que le voisin d’à côté n’était séparé de nous que de quelques centimètres, la prendre en levrette en retenant nos émotions pour éviter d’entendre la petite fille à côté demander à sa maman « pourquoi elle crie la dame à côté ? », se dire que le voisin ou la voisine d’à côté a remarqué notre activité et que peut-être cela leur donne également des idées, …

  2. Lucie,
    Jolie histoire, joli texte, agréable à lire, dont la fin me donne envie de laisser ce commentaire.
    Les toilettes pour handicapés sont en effet plus grandes et plus pratiques en effet. J’ai plus particulièrement en mémoire celles d’un restaurant mais cette fois c’est moi qui ait suivie ma complice. Pas simple en effet de s’y faufiler sans se faire remarquer, d’autant plus quand il s’agit de toilettes pour femmes. Je suis sur que le cuistot qui m’a vu m’y diriger puis en ressortir accompagné s’est douté de quelque chose mais il n’a rien dit et nous avons tous fait comme s’il ne s’était rien passé. Dernière petite différence, je n’ai pas joui dans sa bouche mais dans son sexe. En appui sur le lavabo, les jambes écartées et le dos cambré, son joli cul réclamait une levrette que je ne pouvais lui refuser. C’était très excitant et nous avons bien aimé. Un joli souvenir.

  3. Bonjour Lucie,
    Je comprends mieux pourquoi on n’avait plus de nouvel article de ta part depuis quelques semaines … tu étais partie trainer tes fesses loin de nous !
    Merci pour cette première carte postale, nous avons hâte de recevoir le seconde …

  4. Je suis assez étonné que personne n’ait commenté cet article alors je commence et engendrerai peut-être une vague. Tout d’abord, je le trouve rafraîchissant par son contexte, son histoire et extrêmement culotté s’il est d’autant plus authentique que véridique ! Il y a peu je me disais que j’aimerais beaucoup avoir une discussion en face-à-face avec toi, tu sembles avoir bien des facettes, parfois contradictoires, c’est tout ce qui est intéressant, la nuance chez une femme !

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