étudiante salope, mes petits jeux pervers

Ce que je m’apprête à écrire ici sur mon passé d’étudiante salope, je ne l’ai encore raconté à personne. Pas même à ma meilleure amie et confidente qui sait l’existence de mon blog et partage ma passion pour les plans cul adultères. Certains, peut être, qui appréciaient ma franchise et ma sincérité seront déçus en lisant ces lignes. J’en prends le risque, le besoin d’écrire étant trop fort en ces vacances d’été où je tourne en rond comme une lionne en cage sous la surveillance de mon mari en longs congés d’été.

étudiante salope petit jeu pervers n°1

Lorsque j’étais étudiante, donc, je n’étais pas ce que l’on pourrait appeler une étudiante salope qui multipliait les plans culs. Il faut dire qu’il y a dix ans les sites de rencontre n’étaient pas ce qu’ils sont aujourd’hui. Mais je me souviens que j’avais de petits jeux légèrement pervers qui me permettent aujourd’hui de dire que, oui, j’ai été une grande étudiante salope. Grande et longiligne je crois pouvoir dire, sans vantardise, que j’étais parmi le filles les plus désirées du campus. Pendant les premières années après le bac je ne m’habillais pourtant pas de manière outrageusement sexy. J’évitais les jupes trop courtes et leur préférais des robes légères à imprimé fleuri. Elles me tombaient toujours bien près du corps. Je m’arrangeais dès le printemps pour que les mecs aient tous envie de me prendre par la taille. Je boudais les strings que je trouvais vulgaires et remplaçais par des culotes blanches à motifs ou à dentelles que l’on pouvait facilement deviner à travers l’étoffe toujours légère mais jamais trop transparente. Je me maquillais peu mais mettais en valeur mes seins déjà pleins d’une envie de vivre que je faisais mine de dissimuler derrière une attitude sage et studieuse. Certains profs me couvaient d’un regard qui n’était pas que bienveillant. Je m’arrangeais pour être souvent la dernière à sortir du cour. Et parfois je m’amusais à rester pour poser une dernière question ou demander une aide dont je n’avais en rien besoin. Je n’ai jamais eu envie de coucher avec aucun de ces universitaires que je considérais comme des loosers fauchés. En bonne étudiante salope égoïste, insouciante et avec la conscience politique d’une huitre blonde la seule chose qui m’amusait dans ce petit jeu était de les allumer. Je prenais un malin plaisir à jouer ainsi au chat et à la souris avec ces hommes plus âgés que moi mais qui me semblaient au combien plus faibles. Le soir, dans ma chambre de Rangueil, je me caressais longuement en pensant qu’ils se branlaient peut-être, surement même, au souvenir de ma main sur leur bras pour les remercier de leur patience et de leur aide « si précieuse ». A me voir ainsi étendue sur le petit lit de ma chambre d’étudiante à me mordre la lèvre, la main allant et venant dans ma culote, on aurait pu croire que je rêvais d’un merveilleux amant en midinette innocente. En réalité je n’étais qu’une étudiante salope qui se délectait d’avoir allumé de pauvres types. Je serrais les cuisses fort pour emprisonner ma main tout en continuant à fouiller ma chatte jusqu’à l’orgasme.

Conseils pour vaincre sa timidité

Timide
Les vacances sont souvent l’occasion de rencontres familiales. On revoit des cousins plus ou moins éloignés qui ont grandi ou vieilli, et il arrive que de vraies amitiés se créent ainsi. La longue discussion que j’ai eu la semaine dernière avec mon jeune cousin de dix neuf ans, toujours puceau et souffrant d’une timidité quasi maladive m’a ému au plus haut point. Voilà comment je l’ai aidé à vaincre sa timidité avec les filles.

Alors mes excuses à ceux d’entre vous qui attendez de moi l’écriture d’un nouveau plan cul j’ai décidé, pour une fois, de m’essayer à un article un peu plus sérieux pour aider les plus timides d’entre vous avec les filles.

La timidité peut faire rester puceau !

Ainsi donc Merlin le Timide (j’ai changé le nom bien sûr !) mon cousin issu de Germain pourtant beau comme un ange est toujours puceau à dix neuf ans. Il m’a avoué avoir de gros problèmes de timidité. Le temps passant sa virginité devient un sujet d’angoisse qui semble le paralyser totalement. J’ai tout d’abord été surprise et incrédule qu’un jeune homme beau et intelligent puisse se retrouver dans cette situation à l’époque de Tinder, AdopteUnMec et autres YesMessenger. Mais il m’a vite avoué s’être inscrit et ne pas être parvenu à passer le stade des premiers échanges. En plus sa peur de ne pas savoir s’y prendre ni quoi dire l’ont paralysé les rares fois où il a poussé le « courage » jusqu’à se rendre au premier rendez-vous.

Bon, on se calme ! c’est mon cousin et plus de dix ans nous séparent. Ne vous attendez pas à ce que je vous raconte comment je l’ai guéri de sa timidité en employant ma langue experte sur son torse juvénile ou mes seins autour de sa queue toute fraiche, jeune et vigoureuse pour une cravate de notaire mémorable ! Dire que je n’y ai pas pensé serait mentir. Ecrire que je ne me suis pas caressée en m’imaginant le déniaisant ne serait pas sincère.
Mais voilà, je sais me tenir et surtout j’ai trop peur du scandale…Bien que belle salope, je suis assez lâche au fond ! Alors j’ai juste cherché sur internet en tapant « sexe, vaincre sa timidité ».
Me voilà alors effarée par la quantité de faux sites de conseils de pseudo psycho drague délivrant des banalités à pleurer ainsi qu’aucune autre aide que des liens vers des sites d’affiliation ou la vente scandaleuse de DVD de recette magique pour niquer des filles aussi superbes que fictives.

Vaincre sa timidité, mon idée

Autant dire que je n’ai pas de recette pour vaincre sa timidité avec les filles. Autant vous avouer que je n’ai aucune notion de psycho et que le mal-être des jeunes hommes puceaux m’est assez étranger. Mais, j’ai eu une idée qui ne me semble pas mauvaise du tout et que j’ai livrée à mon cousin il y a maintenant un peu plus de 10 jours.

Pourquoi ne pas s’entrainer à vaincre sa timidité avec des filles en show privé sur SexCam. Oh bien sûr il faut acheter quelques jetons avec son téléphone portable. Bien évidemment les filles sont faciles car payée pour cela. Mais finalement, quand on veut s’entrainer il faut bien commencer par quelque chose d’abordable et de facile non ? Chater ou parler par webcam interposée avec une fille en show privé me semble un excellent moyen de faire des essais avec une bonne garantie d’anonymat et sans risque. Les filles qui sont de l’autre côté de la caméra ne sont pas de pauvres prostituées appartenant à un réseau glauque mais juste des jeunes filles disposant d’une webcam et cherchant, comme tout le monde, un moyen de gagner un peu d’argent.

Bref, j’ai proposé à mon Cousin d’essayer cela. Je ne vais pas vous mentir en vous affirmant que Merlin est devenu un Don Juan en dix jours. Il est toujours Puceau aux dernières nouvelles. Mais je le vois chaque jour prendre un peu plus d’assurance et je ne serais pas surprise que d’ici la rentrée universitaire il ait vaincu sa timidité et que sa virginité soit enfin derrière lui !

Alors pour ceux qui veulent essayer ne vous privez pas. En plus l’inscription est gratuite ! Mais bon, je ne vous prends pas pour des lapins de six semaines. Pour que cela soit intéressant il va falloir acheter des jetons…

Petit cul, 10 choses à faire avec le mien

MonPetitCul

C’est les vacances. Mon petit cul s’ennuie à mourir. Pour moi et mon petit cul, qui dit vacances dit famille et pas de travail. Du coup aucun déplacement et mon mari qui me colle sans pour autant s’occuper de mon petit cul comme je voudrais. En attendant j’ai donc décidé d’écrire ce petit texte avec les 10 choses que je voudrais que l’on fasse à mon petit cul. A retenir pour la rentrée…J’espère qu’il vous plaira, n’hésitez pas à me laisser un commentaire bien coquin ou lubrique pour me changer les idées !

Petit cul, envie numéro 1

Déjà je voudrais que vous le matiez attentivement. Je ne me tape pas une quinzaine de kilomètres de running par semaine en plus des séances d’abdos fessiers pour que mon petit cul passe inaperçu ! Regardez le rouler légèrement à chaque pas sous la toile tendue de mon shorty. Délectez vous de la couleur ambrée qu’il prend lorsque viennent les mois de soleil. Si vous montez les escaliers derrière moi et que je suis en mini prenez plaisir à entrapercevoir ma chatte qui sera bientôt elle aussi pour vous.

Petit cul, souhait numéro 2

Vous l’avez bien maté. Il vous plait j’imagine. Alors j’aimerais qu’en public vous marchiez avec moi la main bien contre mon petit cul. Je veux à chaque pas sentir votre main dans la poche de mon short. Je veux que les passants se retournent sur nous et qu’à ce moment vous me caressiez négligemment ou passiez un doigt sur ma raie. J’aime que mon petit cul de belle salope fasse envie au plus de gens possible et que les rombières coincées au cul serré qu’on n’y passerait pas une allumette en soient choquées.

Petit cul, désir numéro 3

Sur la plage passez y la crème à bronzer. Si je suis sur la plage avec mon mari et que je lui demande de me passer la crème à bronzer. Il me fait cela à la va vite. Comme pour se débarrasser d’une corvée. Je sais que mon petit cul ne le laisse pas indifférent mais il est d’un convenu et d’une timidité qui m’exaspèrent. Parce qu’il y a des gens autour il ne s’attarde pas comme vous le feriez, j’en suis sûre ! Commencez par mes épaules, puis mon dos, puis mes reins, là attardez vous un peu, étalez mais massez en même temps. Enfin descendez vers mon petit cul. J’ai un monokini mais faites le descendre un peu pour me passer la crème. Badigeonnez moi aussi les cuisses et remontez en massant vers mon petit cul qui n’attend que vos mains expertes. Osez passer la main carrément sous mon maillot pour huiler mon petit cul juste vers l’anus. Frôlez même ma chate pourquoi pas.

Petit cul, aspiration numéro 4

Il est tant de nous retirer dans cet appartement de location rikiki mais désert en milieu d’après midi. Je vous sucerai peut être plus tard mais à je veux qu’il n’y en ait que pour mon petit cul. Vous l’avez choyé tout à l’heure dehors maintenant il est temps de passer aux choses un peu plus sérieuses. Prenez moi sur vos genoux comme une étudiante indisciplinée qu’il faudrait un peu corriger. Mon T-shirt relevé pour que la peau nue de mon ventre soit au contact de vos cuisses que j’imagine musclées. Vous baissez mon shorty et ma culote mais ne me fessez pas tout de suite. D’une main vous pincez en tordant comme lorsqu’enfants nous tirions un trèfle au pouilleux massacreur. De l’autre vous me maintenez avec autorité plaquée ainsi contre vos cuisses. Mon petit cul commence à être aux anges !

Petit cul, action numéro 5

C’est un peu rouge là où vous avez pincé. Je suis prête pour la fessée. Allez y franchement, variez un peu les angles. J’aime particulièrement de bas en haut, votre main partant de la hauteur de mes cuisses pour frapper mes fesses juste en remontant. Chatiez mon petit cul jusqu’à le faire rougir un peu. Vous sentez mes ongles crispés sur vos mollets à chaque coup sur mon petit cul maintenant brulant de désir autant que de douleur ? J’ai été bien vilaine, et je le mérite mais il va être temps de passer à la phase n°6.

Petit cul, phase numéro 6

Allongez moi maintenant sur le ventre en travers du lit. Mon petit cul a besoin de réconfort. Il est temps d’embrasse, de souffler tendrement là où vous l’avez meurtri. Léchez l’intérieur de mes cuisses. Bouffez moi un peu la chatte. Mais pas trop. J’avoue aimer plus la queue de bœuf que la langue.

Petit cul levrette en numéro 7

Vous passez les mains sous mon ventre et me relevez pour que je sois à genoux. Mon petit cul se tend maintenant vers vous. Il est plus que temps de me prendre en levrette. C’est ma position préférée. D’abord les jambes légèrement écartée pour vous faciliter l’accès. Prenez le temps de presser de vos mains mon petit cul en même temps que vous me baisez comme une chienne. Petit retirez vous, je serre maintenant les jambes. Voyez ma chatte est toujours accessible et la levrette se fait plus étroite. Vous pouvez y aller plus fort, préparant mon anus de votre pouce pour l’étape suivante.

Petit cul enfin la sodomie pour l’étape 8

Le pouce rentre sans difficulté. A ce stade je couine déjà comme une truie en général. Vous pouvez m’enculer sans crainte. Mon petit cul n’attend plus que ça pour être comblé. Défoncez moi comme il vous plait, l’heure n’est plus à la timidité. Penchez vous sur moi lorsque vous êtes bien au fond de mon petit cul. Restez un peu ainsi, engagez vos doigts dans ma cramouille trempée et essayez de sentir votre queue de l’autre côté. Je me tortille de plaisir et je ne sais sans doute plus où j’habite.

Petit cul étalez bien le sperme en 9

Si vous jouissez enfin, s’il vous plait faite le à l’extérieur, En plein sur mes fesses. Etalez votre foutre sur mon petit cul comme vous le faisiez plus tôt avec la crème solaire.

Petit cul, partez et laissez moi rêver à 10

Maintenant partez, que je ne vous revois plus jamais. Laissez moi savourer le souvenir de cette journée consacrée rien qu’à mon petit cul. Que je puisse m’en remémorer chaque instant et le garder comme un précieux secret qui n’appartient rien qu’à moi. Ne laissez pas de numéro de portable griffonné au dos d’un ticket de parking. Je ne vous appellerai pas.

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Baise en voiture 3 sur 3

Jaguar

 

-« C’est nous ! » lançait Christophe à la cantonade en entrant dans leur beau duplex.

L’entrée donnait sur un couloir d’où l’on pouvait voir leur grand salon. La femme de Christophe se levait du canapé pour venir vers nous. Je m’attendais à ce qu’elle me tende la main mais, malgré la bonne quinzaine d’années qui devait nous séparer elle me claquait trois bises familière comme si j’était une copine de lycée. A ma grande honte je ne me souvient plus du tout son nom. Christophe a fait vite les présentation : »Lucie, la collègue dont je t’ai parlé, Machine, ma femme. » Bon, bien sûr il n’a pas dit Machine mais comme je ne me souvient plus le nom disons que j’aurais l’impression paradoxale de la trahir un peu plus si je l’affublait d’un nom qui n’était pas le sien. Va donc pour Machine.

Machine était aussi blonde que je suis brune. Mais la comparaison s’arrête là. Petite et en léger surpoids j’imagine à son visage qu’elle avait du être jolie entre 15 et 30 ans. Mais les années sont parfois cruelles et à sans doute plus de 45 elle me semblait effectivement manquer de tout ce qui peut émouvoir un homme aussi fringant et distingué que mon tout nouveau collègue.

-« Dis donc, grand cachotier, tu ne m’avais pas dit que ta collègue (là elle mimait de guillemets avec ses doigts) était une bombe atomique » Lança-t-elle en m’adressant un clin d’œil appuyé tout en partant vers la cuisine chercher ce que je devinais être une bouteille de Prosecco puisque l’Aperol était déjà sur la table basse avec de grandes flutes à champagne vides.

-« Vous, enfin Tu, si tu permets que je te tutoie, connais le Spritz ? » me demandait Machine.

-« Bien sûr et j’adore ! » répondis-je spontanément en tendant l’une des coupes dont je venais de me saisir.

C’était étrange, d’ailleurs toute cette soirée a été étrange, Machine me faisait l’effet d’une vieille tante que j’aurais toujours connue. Elle était enjouée sans me sembler futile. Elle semblait sincèrement s’intéresser à moi. Avais-je des enfants ? Elle voyait à mon alliance que je garde presque toujours que j’étais mariée. Comme je trouvais son mari dans le travail ? Quels étaient mes auteurs préférés ?

Habilement, l’air de rien, sans jamais paraitre insistante ou lourde, elle menait sa petite enquête. Loin de me bombarder de questions elle semblait savoir toujours placer une anecdote sur elle ou son mari pour amener le sujet sur lequel elle souhaitait me poser une question. Christophe, lui, me semblait s’effacer petit à petit. Ce n’est sans doute pas exactement ce qui se passait mais c’est en tous cas le souvenir étrange que je garde de cette soirée passée dans leur appartement. De fait c’est bien Christophe qui faisait les aller retour entre le salon et la cuisine pour aller chercher les assiettes de tapas et amener les couverts pour mettre la table. Lorsque je me proposais pour aider Machine me posait la main sur l’avant bras pour me dire de laisser SON Christophe faire.

-« Laisse, il est adorable mais il n’a pas beaucoup de conversation, ça l’occupe de mettre la table ! » A nouveau un clin d’œil appuyé que j’était bien incapable d’interpréter.

Plus la soirée avançait et plus je me sentais complice et proche de Machine dont j’ai vraiment honte d’avoir zappé le prénom. Christophe, à l’opposé me semblait de plus en plus terne. Insignifiant et, pour tout dire, un peu ridicule à placer au millimètre près fourchettes, couteaux et cuillères autour des assiettes en porcelaine de limoge. La soupe de lentilles était simplement délicieuse avec une fine tranche de Pata Negra rendue croustillante par un bref passage au four. Mais quand Machine m’apprit très fière de son époux qu’il avait tout préparé lui même et qu’il avait très à cœur de toujours cuisiner pour ses invités je m’étonnais d’en être légèrement déçue. Pourtant, en y réfléchissant à deux fois, cela cadrait bien avec le Christophe maniaque de sa belle voiture anglaise. Tout me semblait totalement surréaliste à ce moment là. Après la soupe de lentilles vint une petite boule de glace à la poire avec un alcool du même fruit. Puis des ris de veaux au morilles. Des ris de veau ! quel mec cuisine des ris de veau en semaine ? Personnellement je n’en avais jamais vu ailleurs qu’au restaurant. Nous n’étions pas si loin de Bordeaux et pourtant le vin était un Nuit Saint George qui me paraissait très bon. Mais j’avoue être assez inculte en la matière. Christophe faisait le service tandis que Machine et moi bavardions comme deux vieilles amies de longue date. Surréaliste vous dis-je !

Bon, l’avantage de tout cela c’est que je ne risquais vraiment plus de mouiller ma culotte. Enfin mon Jeans puisque la culotte était roulée en boule au fond de mon sac à main. La douce complicité de cette femme entre deux âges qui me parlait maintenant littérature et l’attitude effacée de mon soit disant collègue qui tenait plus du maître d’hôtel que de l’amant audacieux m’avait ôté toute envie de baiser.

Le dessert était lui aussi mémorable. Des poires au vin servies très fraiches avec une pointe de piment de Cayenne en remplacement de la traditionnelle cannelle.

Un peu avant minuit Christophe proposait de me reconduire à mon hôtel. J’hésitais à décliner et à dire que je pouvais appeler un Taxi. Mais une petite voix en moi me disait que tout n’était peut être pas perdu.

Sur le seuil de l’ascenseur Machine plaisantait en nous recommandant d’être bien sages. A peine les portes de l’ascenseurs étaient-elles refermée que sans que je comprenne pourquoi je me retrouvais instantanément brulante de désir pour cet homme qui me paraissait totalement insignifiant quelques secondes plus tôt. Je vais vous paraitre complètement timbrée après le récit que je viens de faire de cette soirée et la confession de ma perte d’intérêt pour l’homme qui partageait avec moi maintenant les trois mètres carrés de l’ascenseur. D’ailleurs je pense que je ne suis pas très normale moi même. Mais je me retrouvais collée à lui comme s’il ne s’était rien passé du tout entre notre précédente étreinte quelques heures plus tôt dans le même ascenseur. Je l’embrassais à pleine bouche et cette fois c’est moi qui mettait la main dans son pantalon pour sortir sa queue merveilleuse et le branler en continuant à tourner ma langue dans sa bouche. Lui me pressait cette fois sans retenue les seins et prenait à pleine main mes cheveux pour les tirer en pressant ma tête contre la sienne pour continuer notre baiser. Je me décollais de sa bouche pour lui dire à l’oreille que je comptais sur lui pour me prendre par tous les trous comme une chienne. Je voulais être sa pute gratuite et personnelle, il pouvait m’humilier et baiser ma bouche à fond. Je voulais sa queue toute entière dans mon cul de grosse salope. Arrivés au parking il me tirait par les cheveux jusqu’à sa voiture et ouvrait la porte arrière.

-« Installe toi grosse salope, tu vas bien en prendre plein le cul, t’inquiète pas ma jolie ! »

J’avais complètement oublié Machine et son attitude de mari effacé à ce moment là, je peux vous l’assurer. Il me poussait sans ménagement sur la banquette arrière et je me retrouvais à genoux. Les menottes étaient toujours sur la banquette arrière mais nous étions trop pressés l’une comme l’autre pour songer à en faire usage. Comme il entrait dans la voiture derrière moi et fermait la portière il me commandait : »Vire moi ce Jean de pute que je vois enfin ton cul de bonne grosse salope ! » Je m’exécutais tendis qu’il se dessapait lui aussi. Il n’était plus question de préliminaires mais heureusement je constatais qu’il enfilait un préservatif. Je me demandais s’il l’avait depuis le début dans sa poche ou s’il venait de le prendre dans le bac de la portière de la jaguar. C’est quand même marrant le genre de questions qui me viennent dans ces moments là ! Il me prit direct en levrette et comme sa bitte était bien longue je ne pu retenir un long cris de plaisir. Autant à l’aller j’avais pris mon temps à le sucer lentement et il me semblait lui aussi délicat et patient, autant là il y allait avec une délicieuse brutalité et me ramonant à fond, claquant mes fesses avec son ventre mais aussi du plat de la main. La banquette arrière de la jag ne couinait pas du tout mais les amortisseurs et l’assise accompagnaient avantageusement ses va et viens sauvages.

-« T’aime ça hein grosse salope ? »

-« Oui c’est bon ? »

-« Bin dit le alors que tu es une grosse salope qui aime la bitte. »

-« Oui, j’aime la bitte, mais c’est surtout la tienne que j’adore ! Elle est trop bonne, vas-y, encore, met la moi toute ! T’arrête pas ! »

C’était juste parfait, il me défonçait la chatte en me claquant les fesses et en me tirant la tête en arrière pour me dire exactement le genre d’insanités qui me rend totalement dingue.

-« Bon, c’est pas que je m’ennuie mais il est tant de changer un peu de trou hein ma cochonne. T’en penses quoi ? »

-« Fais ce que tu veux de moi, je suis ta petite pute gratuite. Vas-y, prends mon petit cul. »

Il ne fallait pas lui dire deux fois. Sans hésitation il plaquait sa queue sur mon anus et s’introduisait sans effort. Il faut dire que trempée comme j’étais sa queue devait être bien lubrifiée et j’en avais tellement envie que je n’opposais aucune résistance. J’aurais voulu continuer à lui dire des trucs cochons mais la vérité c’est que je n’étais à ce moment plus qu’un cul et une chatte qui gueulait son plaisir. Il me défonçait le cul avec toujours autant d’entrain mais imperceptiblement je le sentais ralentir la cadence. Pourtant c’était loin d’être fini. Il me déplaçait pour que je sois sur lui face à face. J’aime moins cela que la levrette mais cette fois c’était exquis de prendre un peu le contrôle et de me retrouver sur lui avec à nouveau sa longue verge dans ma cramouille et son visage pressé dans mes seins. Pendant que j’allais et venait il écartait mes fesses pour me pénétrer l’anus avec un deux doigts. Les amortisseurs de la caisse faisaient merveille, amplifiant chacune de mes allées et venues. Je jouissais en hurlant carrément.

-« Attends, c’est pas fini petite chienne, je veux que tu me finisses à la bouche comme une bonne grosse salope ! »

Il enlevait son préservatif et pressait son sexe toujours aussi turgescent sur ma bouche. Je le prenais de bon cœur. D’abord en pressant les lèvres puis, petit à petit de plus en plus loin au fond de ma gorge en tentant d’aller jusqu’à la garde. Ce que je ne parvins pas à faire cette fois. Après avoir pressé sur ma nuque pour littéralement me baiser la gorge il se retira pour venir entre mes seins. Je pressais mes melons des deux mains pour une bonne branlette espagnole. A genoux sur moi, les mains sous mes bras il continuait à me baiser entre les seins exactement comme s’il me prenait en levrette. En courbant la tête je pouvais avoir le bout de son gland sur mes lèvres à chaque coup de butoir. Son jet me surpris en pleine figure. Je pense qu’il avait du se retenir pendant des jours tellement il y avait de foutre. Il me pressait la tête contre son ventre pour m’essuyer sur lui. Je me délectais de ses derniers instants. Croyez moi, c’est pas si souvent que c’est aussi bon, loin de là hélas !

Il m’a ensuite ramené à mon hôtel sans que nous échangions un mot, ni même un regard. Et c’était, en tous cas pour moi, parfait ainsi !

Seule enfin dans ma chambre d’hôtel je me dis que j’ai vraiment eu un coup de cul inouï. Je suis une chanceuse ! Un monstre plan cul pour ma première fois en voiture et en plus une soirée délicieuse avec Machine et son mari cuisinier hors pair ! En en plus il y a du Toblerone et une cannette de RedBull dans le frigo du mini-bar !

Je garde la RedBul pour dans quelques heures car je risque d’en avoir besoin et je dévore le Toblerone. Il faut absolument que je dorme un peu si je ne veux pas être complètement fracassée le lendemain pour ma vente. Mais rien n’y fait, je laisse la chambre allumée et j’ai les yeux grands ouverts qui fixent le plafond.

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Baise en voiture 2 sur 3

Et oui, finalement je le fais en trois épisodes ! D’ailleurs j’en profite pour annoncer que l’e_book sera fini avant mercredi. Croix de bois, croix de fer, si je ments je vais en enfer et vous pourrez m’y attacher et m’y baiser !

Une des très rares photos de mon site...
Baise en voiture, une des rares photos de mon site

Le second épisode donc de ce plan cul mémorable :

Le parking était au sous sol d’un immeuble d’une dizaine d’étages desservis par un ascenseur qui allait du -2 où nous étions garés au +9 qui était justement le bouton sur lequel Christophe venait d’appuyer. La séance dans la voiture m’avait chauffée à mort et vous vous doutez bien qu’être maintenant seule avec lui dans l’ascenseur avait de quoi me rendre folle. A peine la porte se refermait-elle sur nous que je me collais à lui.

-« Tu m’as trempé la culotte, je vais pas pouvoir tenir tout le dîner, je te préviens. » Je prenais sa main pour la porter à ma bouche et sucer ses doigts.

-« Tss Tss Tss, pourtant il va bien falloir, moi j’ai faim et ça m’excite bien de t’exhiber incognito devant ma bourgeoise. » Il déboutonnais quand même le haut de mon jean pour plonger sa main dans ma culotte et vérifier mes dires. Je sentais ses doigts rentrer tout seuls dans ma chatte presque déjà dégoulinante. Je serrais son poigné de toutes mes forces en y plantant mes ongles french manucurés et collais ma bouche à la sienne comme une salope affamée que j’étais en train de devenir. Onze niveaux c’est long et en même temps beaucoup trop court. Quand je ressentis l’à-coup de l’ascenseur arrivé à destination j’avais l’impression qu’il ne s’était vraiment pas assez passé de temps. Les portes s’ouvraient mais Christophe faisait mine de ne pas s’en apercevoir. Un gémissement de joie m’échappait lorsqu’il appuyait à nouveau sur le bouton -2 !

Il me plaquait contre le fond de l’ascenseur, ses doigt fouillant toujours sans vergogne ma chatte brulante et son autre main remontant sous mon T-shirt pour masser mes seins plus durs que jamais. J’aspirais sa langue le plus fort possible et m’accrochais à son poignet pour l’empêcher de se retirer de ma cramouille maintenant carrément détrempée.

Retour à la case départ, la porte de l’ascenseur s’ouvrait à nouveau sur le parking. Je le sentais s’écarter de moi à regret : « Ecoute ma jolie, ça ne va pas le faire si on ne se calme pas un peu. Je te propose se remettre un peu d’ordre dans ta tenue et que nous remontions sagement cette fois. Et, heu, je ne sais pas comment te dire mais j’ai l’impression que ta culotte est un peu, disons, humide. »

Effectivement, c’était un peu la honte, si je remontais mon jean et le reboutonnais ainsi nul doute qu’il serait difficile de cacher l’état d’excitation dans lequel je m’était trouvée. Ravalant ma fierté je sortais un paquet de kleenex de mon sac à main pour bien m’essuyer, je déchaussais mes Converses, enlevais mon jean et ma culotte pour remettre le Jeans Levis cette fois sans culotte mais sur une chatte parfaitement imberbe et sèche.

-« Bon, on arrête les bêtises, cher collègue, maintenant c’est sans filet ! ». C’est moi qui appuyais résolument sur le bouton 9 pour notre remontée vers le domicile conjugal de mon futur amant. J’écris futur car pour moi tant que je n’ai pas eu sa queue dans ma cramouille j’estime que, techniquement il n’y a pas adultère. Ce n’est pas Bill Clinton qui me contredira !

Nous remontions donc sans nous toucher, essayant tant bien que mal de nous mettre dans la peau de nos personnages : Deux collègues de travail s’entendant bien mais sans plus.

-« C’est nous ! » lançait Christophe à la cantonade en entrant dans leur beau duplex.

Si vous avez raté l’épisode précédant : C’est ici !

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Cam sexy, une page de commande

« Madame, nous trouvons votre blog très bien écrit et son positionnement dans les moteurs de recherche laisse imaginer un lectorat important et de qualité. Accepteriez vous de consacrer une page à la promotion des show en cam sexy en ligne de nos hôtesses. Vous auriez carte blanche quant-à la présentation de ces spectacles vivants et interactifs. Bien sûr une rémunération fonction du chiffre d’affaire généré vous serait reversée. Sincèrement et en espérant une réponse positive de votre part. » Voilà, pour cette page tout a donc commencé comme cela. Cher lecteur, sache donc que cette page est une commande. J’ai longuement hésité à l’écrire car j’ai un peu peur qu’elle ne s’écarte de l’objet « thérapeutique » principal de ce blog qui est d’exhiber mes aventures extraconjugale et d’avoir un prétexte pour me caresser en assouvissant ma passion pour l’écriture. Mais après réflexion je me dis que même s’il s’agit de sexe virtuel et tarifé la pratique n’a rien de honteux à mes yeux et peut s’avérer carrément plus excitante que de regarder passivement des vidéos. Et puis, avouons le, si je gratte quelques centimes au passage je ne vais pas non plus dire non ! Donc allez y, cliquez sur les images des hôtesses, faites l’essais gratuit. C’est ensuite à vous de décider si ça vous plait au final. Laissez en commentaire le nom de votre cam sexy préférée sur le site si vous voulez aussi. Avec une description c’est encore mieux. N’hésitez pas, cette page est la votre, ajoutez vos commentaire et le pseudo de votre hôtesse, je m’occupe du lien ! Pour rendre l’exercice original et amusant pour moi j’ai décidé de passer du temps avec quelques hôtesses et à écrire un petit texte comme si j’étais chacune d’elle et que je me présentais. Revenez souvent sur cette page, car je l’enrichirai en fonction de son succès et des filles qui auront accepté de passer un peu de temps à me parler d’elles et de leur vision de la sexcam rémunérée. Bonne lecture et plus si affinité !

Cravate de notaire, Afrodita adore

ce n’est pas parce que je le fais pour l’argent que je n’aime pas cela ! Mon plus grand plaisir après baiser comme une chienne avec mon mec (eh oui, je suis fidèle !), c’est de m’exiber en sexcam. J’adore faire des cravates de notaire ou des branlettes espagnoles avec mes seins et des bons gros godes ou des légumes. Je suis enjouée, sans tabous et contrairement à d’autres je ne joue pas la montre quand je suis en show privé. Mon but est que vous m’aimiez et que vous reveniez me voir souvent !

Trois choses que j’aime :La cravate de notaire – Les jupes très courtes – Mes seins avec les mains de mon mec dessus. La Tunisie. Ah mince ça fait 4 !

Mon rêve : Devenir actrice. J’y travaille !

 

Lynax, cam sexy sans tabou du 03 juillet 2015


Je pourrais vous dire comme je sais être sexy et entreprenante même en cam sexy. Je pourrais décrire ma collection personnelle de godemichets que vous pourrez me guider à essayer. Mais cela je suis certaine que d’autres filles le promettent aussi bien que moi. Alors laissez moi juste vous dire que j’aime vraiment le cul. J’ai décidé de profiter de la vie et de ne pas la laisser filler. Tout ce que je fais face (ou fesse) caméra n’est qu’un préliminaire à ce qui pourra sans doute suivre une sortie en boite entre copines. Si vous savez guider mon doigt jusqu’à l’orgasme alors je vous dirais peut être où je compte sortir danser samedi soir.

Trois choses que j’aime : – Un plan à trois avec une copine et un inconnu. – Les touristes célibataires et pas prise de tête. – La lingerie Française.

Mon rêve : – Aucun, je préfère vivre à rêver !

Addie, belle hotesse cam sexy du 29 juin 2015

Bien sûr que je le fais pour la tune ! Evidement que souvent mes orgasmes sont feints ! Mais cela ne veut pas dire que je ne mets pas autan de cœur à l’ouvrage qu’un artisan boulanger ou un maçon qui aimerait sincèrement son boulo. Hôtesse de sexcam c’est pour moi l’occasion d’un jeu de séduction très particulier et personnalisé. Souvent les hommes avec qui je passe du temps ont été gavés de vidéos porno et veulent passer à quelque chose de plus interactif, de réellement personnalisé. J’aime sincèrement ces moments d’intimité et de partage. J’essaie de faire en sorte que mes spectateurs deviennent le plus possible acteurs d’une bonne séance de baise. Beaucoup aimeraient me rencontrer en vrai, me demandent où j’habite et si je suis aussi sur des sites de rencontre. Je sais que pas mal de filles le font. Mais pas moi. Avec moi tout est à travers la webcam, l’écran ET le micro. Très important le micro !

Trois choses que j’aime : – Les costumes sexy et différents chaque jour – Sucer des bananes ou des concombres – Lécher mes seins (ou me les faire lécher bien sûr !).

Mon rêve : Tomber amoureuse d’un spectateur qui reviendrait régulièrement ! Non, j’déconne, n’écris pas ça ! (ndlr : trop tard…)

Cam sexy de Xsena, 30 juin 2015

Hotesse cam sexy Xsena
Une superbe hôtesse cam sexy de purelive. Et en plus elle est sympa. Pour la trouver cherchez juste Xsena.

Ok j’ai un accent d’un pays de l’est un peu prononcé. Mais j’espère que cela me rend plus charmante. En tous cas m’exhiber et faire la cam sexy avec des Français m’aide à progresser dans la langue de Baudelaire. Avec quelque jetons un mec peut obtenir de moi ce qu’il veut, tout ce qu’il veut ;o). J’aime la lingerie sexy et sophistiquée, mais aussi les accessoires et les sextoys. Si j’ai un amoureux à moi ? Cela c’est mon petit secret ! En tous cas ce que je fais avec les hommes en sexcam ne regarde que moi !

Trois choses que j’aime : – écarter mon string sur le côté pour glisser un doigt dans mon minou – le faire aller et venir quand je suis bien mouillée – une copine qui me lèche.

Mon rêve : Un voyage à Paris, voir la Tour Eiffel et les Champs Elysées.

 

Pensez à indiquer celle que vous préférez bien sûr.

baise voiture, épisode 1 sur 2

Autant l’écrire honnêtement la semaine dernière j’ai choisi Christophe, alias monsieur Baise Voiture sur un critère bien particulier et presque vénal : Sa voiture. Cela faisait quelques temps, suite à un commentaire sur mon blog, que j’avais très envie d’un plan cul dans une voiture (baise voiture). Aussi étonnant que cela puisse paraitre, à part une fellation il y a des années quand j’étais baby-sitter je n’avait jamais baisé dans une voiture avant la semaine dernière. Sur infidèle messenger je triais donc les nombreuses sollicitations d’hommes en quête d’un bon plan cul en Pays de Loire non pas en fonction du physique, ni même de ce qu’ils proposaient mais de leur bagnole ! Mon cahier des charges était assez précis. Je voulais un intérieur cuir, si possible d’une grosse familiale allemande ou, mieux, anglaise. Après pas mal de propositions de jeunots en BMW qui fleuraient bon la banlieue et le survêtement Tacchini (pas trop mon genre…) je tombais enfin sur celui qui me semblait le candidat idéal : Christophe, alias Baise voiture, 49 ans, marié, Jaguar XJ12 1993, 314 chevaux, intérieur cuir crème. Je donne tous ces détails car le type, une fois branché sur le sujet de sa caisse était intarissable. A certaines ce type de mec peut sembler pathétique mais pas pour moi. J’aime les hommes passionnés, cela quasiment quelque soit leur passion. Pour mon monsieur Baise Voiture c’était les belles anglaises et la lingerie sexy façon bourgeoise cochonne. Soit ! Franchement j’aurais pu tomber plus mal cela me convenait parfaitement. Cerise sur le gâteau, mon plan cul me proposait une soirée « all inclusive« . Monsieur Baise Voiture passerait donc me chercher vers 18h après mon rendez vous commercial pour m’inviter à dîner chez lui « en famille » et me reconduirait le soir à mon hôtel. Comme il travaillait dans un grand groupe industriel je serai ce soir là une collègue de l’usine de Marseille en déplacement à Nantes. Je salivait d’avance à l’évocation d’un plan aussi sophistiqué avec la joie perverse de me faire servir le dîner par la femme de mon amant.

Le choix de ma tenue me posait cette fois quelques difficultés. Il fallait que cela soit excitant mais qu’en même temps, à l’occasion du dîner, je puisse passer pour la parfaite collègue de Provence ingénieur en méthodes industrielles. C’est un sujet que je ne maitrise que très vaguement mais je me disais que sa bourgeoise ne devait pas non plus être une experte en la matière.

Mais ça se fringue comment une responsable méthodes dans l’industrie agro-alimentaire ? Malgré un mois de juin déjà avancé le temps était lourd et changeant. Je choisissais une robe tailleur bleue et un chemisier blanc sans fioritures. J’ajoutais des lunettes en écaille et un chignon. Mais une fois devant la glace je me faisais l’effet d’une caricature d’actrice porno dans un film des années 90 mettant en scène des secrétaires. Limite on aurait pu m’appeler Katsumi ! Cela n’allait pas du tout. J’abandonnais les lunettes ridicules, dénouais mes cheveux que je lissais simplement et je troquais le tailleur pour un Jeans Levis 501 qui soulignait mon cul sans non plus être outrageusement moulant. Christophe, mon Monsieur Baise Voiture, serait peut être un peu déçu de l’absence des bas résille, porte jarretelles et talons aiguilles dont nous avions parlé mais je jugeais cela plus prudent et je comptais bien me rattraper avec d’autres surprises que je dissimulais dans mon sac à main…

Effectivement, son bonjour un peu guindé quand il me vit arriver à hauteur de son anglaise garée en double file devant l’hôtel confirmait qu’il était un peu déçu de me trouver en jeans et baskets plutôt qu’en jupe talons et bas résilles. Comme nous nous faisions la bise j’appuyais consciencieusement mes lèvres sur sa joue et sortais un bout de langue pour le rassurer. Sa main sur ma hanche m’indiquait que nous étions sur la même longueur d’onde et je commençais déjà à sentir les petits picotements en haut de mes cuisses. Mes seins aussi réagissaient instantanément, malgré moi comme souvent.

En véritable gentleman il m’ouvrit la porte passager tout en laissant son bras gauche contre ma taille. J’attrapais sa main avant d’entrer dans la jaguar pour en porter l’index à ma bouche. Du coin de l’œil je pouvais distinguer la bosse de son pantalon. Bingo ! Le suçotage de doigt ça marche toujours !

Quand on me demande : »quelle est la première chose que tu regardes chez un homme ? » je réponds sans hésitation : »Ses souliers ! »

Ce n’est pas du fétichisme. Je sais que pour certaines tel détail physique est important, que le cul, les épaules ou la silhouette comptent énormément. Mais pour une fille qui aime le cul ce qui compte c’est bien la façon dont un homme va s’occuper d’elle et la faire jouir. J’ai pu remarquer qu’un homme qui prend soin de ses souliers, qui, quand il peut, y met le prix, est rarement décevant au lit, sur la table de la cuisine ou tout autre meuble où il me baise. J’ai tendance à penser qu’il en va de même pour l’intérieur de sa voiture.

Là, tout me semblait parfait. Le cuir odorant et propre sans paraître neuf, les boiseries du tableau de bord, le chrome parfait du levier de vitesses de la boite auto, jusqu’à la moquette sous mes pieds, tout me paraissait un appel à la volupté.

Quand Christophe Baise Voiture pris place côté conducteur et me demanda où je voulais aller avant le repas je lui répondais : »On s’en fiche, roule, je m’occupe du reste. »

Joignant le geste à la parole je me penchais pour un baiser langoureux dans son cou. J’embrassais goulument juste sous le menton, je suçais en prenant soin de ne pas y aller trop fort, salivant pour me faire humide mais sans risquer de lui laisser un suçon qui pourrait le compromettre une fois chez lui. Quand il mit le contact le douze cylindre se mit à ronronner doucement. Je n’avais pas bouclé ma ceinture et m’attendais vaguement à ce qu’une sonnerie désagréable me rappelle à l’ordre comme c’est maintenant le cas dans à peu près toutes les voitures. Mais il semble que cette fonction n’existait pas en 1993. Sans détacher mes lèvres de sa peau je posais une main sur son genou et le sentais lever le pied de la pédale de freins. La jag démarrait quasiment sans à-coup et Christophe Baise Voiture conduisait comme si je n’existais pas. J’aurais voulu qu’il mette la main sur ma cuisse ou dans mes cheveux mais rien de tout cela. Il regardait fixement devant lui, me laissant lécher son cou, prendre le lobe de son oreille entre mes lèvres maquillées d’un rouge très vif. La toile de son pantalon noir était légère et douce. Je remontais lentement le long de l’intérieur de sa cuisse. Il tendait la main, non pas vers moi mais pour allumer l’autoradio préréglé sur une chaîne d’infos en continu !

N’eut été la bosse que faisait son pantalon à l’entrejambe j’aurais pu croire que je ne lui faisais aucun effet. Mais l’objet de ma convoitise était bien là, tendant la toile pour laisser deviner un calibre plutôt au dessus de la moyenne. En en constatant le volume dans ma main je ne pouvais retenir un « oh! » de surprise ravie. Qui, enfin, lui arrachait un sourire faisant naître une fossette charmante au coin de ses lèvres.

-« Il m’a l’air sacrément bien monté le petit mari volage ! » glissais-je à son oreille.

-« Tu trouves ? pas déçue alors ? »

-« Ah, ça va dépendre de la suite, mais tout cela commence fort bien à mon goût. On peut en voir plus ? »

-« Je t’en prie, fais toi plaisir, mets toi à l’aise. »

Cela il ne fallait pas me le dire deux fois. Je déboutonnais deux boutons du haut de mon Levis pour lui laisser voir mon string de dentelle blanche. J’avais déjà furieusement envie de le sucer mais je jugeais préférable d’attendre pour voir s’il craquerait avant moi et abandonnerait un peu son attitude distante. Je faisais mine de me désintéresser de lui pour farfouiller dans mon sac à main à la recherche de mon tube de rouge à lèvres Chanel. Mais avant de sortir le tube de rouge je posais sur l’accoudoir central les deux paires de menottes que j’avais décidé d’emmener cette fois avec moi. Puis je baissais le pare soleil pour utiliser le miroir de courtoisie et me repassais habilement un coup de rouge à lèvres en lâchant désinvolte : »Promis je ferai bien attention à ne pas tâcher le pantalon de monsieur. »

Lui, essayant de paraitre tout aussi désinvolte tripotait la chaînette d’une paire de menottes et me demandais finalement si j’avais en tête de l’attacher.

-« Bin, pour tout dire c’est un cadeau, à toi d’en faire l’usage qui te semble le plus approprié…Lui répondis-je en les déposant sur la banquette arrière. Mais pour le moment je crois que j’ai très envie d’un petit en cas ». Je me penchais par dessus l’accoudoir central ne pouvant plus trop résister à la bosse qui semblait m’appeler. Je déboutonnais son pantalon, tirais sa chemise et commençais à embrasser son ventre très légèrement replet tout en tâtant l’objet de mon désir à travers le tissus de son caleçon.

Je ne sais pas si c’était juste l’ambiance ou moi qui prenait plus mon temps que d’habitude mais sa queue me semblait juste parfaite. Il ne faut pas croire que j’ai eu des milliers, ni même des centaines d’amants. En réalité quelque dizaines tout au plus. Et là j’avais sous la main une queue dure et surtout longue juste comme il faut. Elle me semblait plus large que la moyenne mais pas au point de m’effrayer. Je la dégageais du caleçon et commençais à la prendre entre mes lèvres non pas par le bout mais plutôt de côté. Si ma bouche ne me trompais pas sa pine était effectivement sensiblement plus épaisse que la moyenne et plutôt longue.

Monsieur Baise voiture continuait à conduire tranquillement mais enfin semblait s’intéresser à moi. Je sentais sa main posée sur mon cou.

-« Alors elle te plait ma queue j’ai l’impression. »

-« Un peu mon neveu ! » A-t-on jamais fait réponse plus ringarde et tarte que celle là ? Je n’en sais rien mais c’est la première qui me venait à l’esprit et de toutes façons pour une fois je n’avais pas très envie de parler. Je voulais juste continuer à savourer cette merveilleuse colonne de chair qui s’offrait à moi.

Nous étions encore en ville et à chaque fois que la jaguar s’arrêtait, j’imagine à un feu, je me demandais si l’on pouvait nous voir. Je pense qu’à moins de nous trouver à côté d’un poids lourd je restais invisible à nos voisins de files. Du moins je l’imaginais, sans vraiment en être certaine. Il me semblait que nous avions trouvé notre rythme de croisière. je suçais lentement, ma joue et mon oreille appuyant contre son ventre nu à chaque fois que la voiture redémarrait. Comme il restait bien raide mais ne semblait pas s’agiter j’avais le sentiment que cela pouvait durer ainsi des heures. Ce qui n’était vraiment pas pour me déplaire. Je n’essayais d’ailleurs pas d’accélérer le rythme ou de sucer plus fort ou plus à fond. Il me caressait la nuque et les cheveux tandis que je continuais à aller et venir par le côté le long de cette baguette magique de tout premier choix. Après une dizaine d’arrêts redémarrages je sentais que la voiture accélérait puis semblait stabiliser sa vitesse comme si nous étions sur une autoroute ou une voie rapide. Sa main passait de ma nuque à mon dos, tirant sur mon chemisier pour le sortir de mon jean desserré. Je ne voulais pas qu’il nous envoie dans le décor et en même temps je ne souhaitais pas non plus qu’il arrête la voiture. En tous cas pas tout de suite. C’était trop bon d’être là à le sucer sachant que nous roulions. La grande berline avait un toit ouvrant. Quand il l’ouvrit l’air entra dans le véhicule. C’était un peu bruyant mais rafraichissant. J’ôtais mes baskets et m’agenouillais sur le siège passager pour être en meilleure position pour continuer à sucer et surtout pour lui donner plus facilement accès à mon cul. Quel bonheur de sentir alors sa main progresser le long de mon dos pour glisser les doigts sous ma culotte. Je baissais mon jean, nous étions décidément sur la même longueur d’onde. Le problème de la Jaguar XJ12, par rapport à ma fiat 500, c’est que son empattement ainsi que le gros accoudoir central ne favorisent pas vraiment le rapprochement entre le conducteur et sa passagère. Si l’accoudoir contre mon ventre maintenant à nu ne me gênait pas trop mon cul restait encore un peu trop loin à mon goût de ses doigts. Ne pouvant me caresser directement il tirait et relâchait mon string pour que le tissu me rentre dans la foufoune qui commençait à être bien lubrifiée. C’était bon mais j’avais de plus envie de sentir ses doigts me fouiller. Et pour cela il fallait que je gagne dix à vingt bon centimètres. Impossible sans arrêter de le sucer. Je continuais donc ainsi encore quelques kilomètres. Lui ne semblait pas accélérer le mouvement, il continuait tranquillement à me branler avec mon propre string et si sa belle bite ne mollissait pas rien ne laissait indiquer qu’il était au bord de l’orgasme. Je constatais avec émerveillement que nous avions encore sans doute pas mal de marge. Je décidais cependant de prendre la quinzaine de centimètres qui me manquait et faisais passer sa queue de ma bouche à mes seins pour une branlette espagnole. Enfin sa main se retrouvait au niveau de ma cramouille et j’éprouvais le délice d’un doigt s’insinuant exactement là où ça fait du bien. Il me caressait avec toujours la même lenteur appliquée, son pouce contre mon anus. Du pouce il pressais mais juste assez doucement pour ne pas forcer le passage. A chaque mouvement que je faisais pour le branler avec mes seins j’appuyais mon cul pour absorber son pouce mais il se dérobait me laissant légèrement frustrée de ce point de vue.

-« Tss tss, t’inquiète, tu vas en prendre aussi dans le cul mais je veux que ce soit directement avec ma queue. Tu as l’air de l’aimer dis donc ma queue hein ? »

-« Je l’adore, hummm, une des plus belle que j’ai jamais eue, je t’assure. »

Il me donne une claque sur les fesses.

-« Comment ça une des ? T’en as eu de meilleures ? »

-« En fait j’en ai vu quelques unes mais c’est effectivement la plus belle. » Et c’était pour le coup sincère.

Il me caresse à nouveau satisfait, je pense, de ma réponse.

Comme nous doublions un camion je constatais qu’il ralentissait exprès. Cela ne manqua pas, nous étions récompensais par un coup de klaxon retentissant.

Je pense que nous devions être sur le périphérique quand je sentais la voiture prendre une sortie. Nous alternions à nouveau les arrêts et redémarrage ainsi que les virages à 90 degrés. Je ne sais pas s’il avait allongé le bras ou si j’avais trouvé une position un peu différente mais je pouvais à nouveau le sucer en gardant le contact de ses doigts fouillant mon intimité.

Un trottoir, une pente descendante, l’obscurité. Nous étions dans un parking sous-terrain.

Lui : « Rhabille toi, on est arrivés. Prête pour le dîner ? »

Moi : « Heu ?! on passe pas sur la banquette arrière ? »

Lui : « T’inquiètes, c’est pas fini, je veux garder le meilleur pour le dessert. En plus on est déjà un pas mal en retard et ma femme est assez…disons… suspicieuse… »

C’est ça, suspicieuse ! On le serait à moins. Déçue et en même temps terriblement excitée de découvrir comment se déroulerait la suite de la soirée je reboutonnais mon jean et mon chemisier.

La suite au prochain épisode…Mais en attendant si la queue vous en dis vous pouvez lire (ou relire) esthétichienne en chaleur.