Mon agenda de salope pour janvier 2022

 

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J’aime faire des listes, prendre des résolutions prèsqu’intenables et avoir la satisfaction d’y être arrivée.
Voici donc ma liste pour janvier 2022. Rendez vous le premier février sur ce même article pour savoir quels items j’ai pu cocher de cette liste.

– 20 minutes de boule de geisha par jour pour garder un minou délicieusement ferme et étroit.

– Piscine un soir par semaine

– Baiser avec mon mari au moins deux samedis dans le mois. Important pour qu’il ne soupçonne pas que je vais voir ailleurs.

– Sucer mon mari au moins une fois ailleurs que dans notre lit. Juste pour le surprendre et qu’il soit frustré que je ne le fasse presque jamais.

– Réactualiser mon profil sur cinq à sept.

– Répondre à chacune des 97 demandes en attente sur le site de rencontre. (Pour allumer et dire non à toutes les demandes moins une juste par sadisme pervers).

– Envoyer une photo coquine avec mes meilleurs vœux à tous ceux qui m’ont ken et dont j’ai l’émail.

– dépenser indécemment  en lingerie sexy.

– Aller à l’église au moins un dimanche matin (J’aime y aller seule habillée sexy et sentir le regard des hommes et la contrariété de leurs épouses).

– Organiser un unique plan cul avec un nouvel amant la dernière semaine du mois (pour me récompenser d’avoir tenu mes engagements de janvier)

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Escapade adultère entre copines

PS : je mets le post scriptum au début, comme ça je suis sure que vous le lisez !!! Si vous aimez ce que j’écris laissez un commentaire. J’adore vos commentaires et j’y réponds souvent. Alors osez !
Et sachez que si vous assumez de partager mes articles sur les réseaux sociaux alors je vous en témoignerai une vraie reconnaissance ! Et peut être quelques messages privés très personnels…

Mon amie Marie et moi aimons parfois offrir un plan à trois à mec. Aventures adultères et sites de rencontre nous ont permi de collectionner quelques hommes pervers juste comme il faut. Sans complexes mais respectueux de nos fantasmes de salopes qui assument d’aimer jouer les soumises pourvu que l’homme sache nous faire jouir comme il faut. L’une de nous teste d’abord seule l’étalon. Si la chevauchée est fantastique alors nous gardons dans un coin l’idée de recontacter un jour le monsieur pour un peu de triolisme.

Pourtant Jacques n’est pas un homme rencontré sur internet. C’est un copain d’avant de Marie et de ses années lycée. Quand la jolie Marie m’explique qu’il était déjà branché SM à dix huit ans et qu’il aimait l’attacher je suis immédiatement conquise à l’idée de le rencontrer. D’autant qu’elle vient d’apprendre qu’il est divorcé depuis la fin du premier confinement et que c’est lui qui a repris contact avec Marie.

Jacques a hérité de la ferme familiale, depuis son divorce il s’occupe seul de son exploitation. Une vingtaine de vaches laitières et un immense potager bio entre Le Havre et Etretat. On a souvent en tête le cliché de l’agriculteur rustre et inculte. Un bon gar mal fagoté a l’hygiène corporelle plus que relative. Ce n’est pas le cas de Jacques. Une fois enlevé le bleu de travail de la ferme Jacques file directement à la grande sale de bains en marbre de sa demeure. A en juger par la profusion de crèmes et soins pour homme que j’y ai vu lors de mon séjour j’ai confirmation qu’il prend grand soin de sa personne.

Pour me libérer le temps d’un week-end j’ai proposé à mon époux que nous allions tous deux en Normandie voir mes parents qui n’ont pas vue leur petite fille depuis le premier confinement. Évidement l’idée d’un week-end de Novembre en Normandie en zone pavillonnaire chez Beau Papa et Belle Maman n’enchantant pas mon époux il s’est, comme par hasard, trouvé une montagne de travail en retard et une plaidoirie à préparer pour me demander si je lui en voudrais vraiment s’il restait à la maison.

Me voici donc à presque 1000 km du domicile conjugal, avec Papa Maman qui gardent la petite et toute liberté pour sortir le soir et rentrer quand je veux au petit matin. Je mets mon iphone sur répondeur comme j’en ai fait prendre l’habitude à tout mon entourage, mari compris. Pour mes parents je suis en virée nocturne et nostalgique avec des amis de lycée.

Ainsi, s’est le cœur léger que j’engage la Fiat 500 dans le chemin de graviers qui mène au corps de ferme de l’ami de Marie. Marie, en bonne copilote, a laissée sa main sur ma cuisse tout le trajet depuis la gare d’Yvetot où je l’ai récupérée ainsi que sa grosse valise qui, ne tenant pas dans le petit coffre, occupe la banquette arrière. Ce soir c’est vendredi, Marie passera le week-end chez Jacques. Je repartirai demain matin et reviendrai le soir pour une seconde nuit de débauche si nous sommes satisfaites de la première. J’ai pour tout bagage une petite trousse de toilette. Marie connaît ma taille et mes goûts en matière de costumes et d’accessoires SM. L’essentiel est dans sa valise.

Je gare la voiture sous un auvent de tôle ondulée entre un gros tracteur rouge et une Cadillac décapotable rutilante toute en chrome et cuir blanc. Trop bizarre l’ambiance !

-« Ça ne m’étonne pas, Jacques était déjà pas mal excentrique quand nous sortions ensembles » me dit Marie.

Un homme vient vers nous depuis la maison a quelques pas. Il bruine. Comme Marie m’a parlé d’une ferme je m’attendais plus ou moins à une cour boueuse mais tout semble parfaitement entretenu. La pelouse est digne d’un golf et le gravier d’un blanc immaculé sous les lampadaires qui conduisent à l’entrée.

Marie et moi sommes pomponnées et maquillées comme si nous allions à un bal de lycée. Robe en laine souliers vernis plats pour moi, jupe en cuir, pull en cachemire et talons hauts pour elle. Je reste un peu plus grande que mon amie malgré ses douze centimètres de talons aiguilles.

Jacques marque un temps d’arrêt a quelques mètres de nous. C’est suffisant nous laisse comprendre qu’il apprécie ce qu’il découvre. Je le trouve beau. Il est grand, très grand. Je dirais pas loin de deux mètres. Élancé sans être maigre, jean, chaussures de ville et pull irlandais blanc cassé. Blond, cheveux adorablement bouclés. J’ai du mal à imaginer cet homme conduisant un tracteur ou branchant la trayeuse automatique sous une vache laitière.

Jacques : -« Mesdemoiselles

Moi: – Mesdames !
Jacques : Pardons, Mesdames, bienvenues à la ferme. Vous avez des bagages ?

Marie : – Juste une grosse valise pour nous deux…Enfin, pour nous trois…Mais commence par  m’embrasser, on fera les présentations à l’intérieur. Et, s’il te plaît, avec la langue le bisou de bienvenue !

Marie sais parfois être directe. Elle arrive toujours à me surprendre ! Il la prend dans ses bras et lui roule un patin qui me donne immédiatement envie d’être à sa place. Leur baiser me semble durer une éternité et je reste plantée là comme une sotte.
Heureusement dès qu’ils ont fini de s’embrasser Marie ne m’oublie pas.

Jacques, je te présente Lucie. Elle est comme ma petite sœur.

Pourquoi petite ?

Je ne sais pas. Peut être parce qu’elle a besoin d’être éduquée…qu’en dis tu ?

J’en dis que sœurs ou pas vous êtes toutes les deux bienvenues chez moi. Entrez entrez, il ne fait pas chaud dehors.

Il prends la grosse valise d’une main et s’arrange pour avoir l’autre ma hanche en nous conduisant vers la porte d’entrée restée ouverte. A travers la laine de ma robe j’aime le contact tiède de son bras enveloppant. J’ai beau être une salope expérimentée je me surprends à me sentir timide et débutante.

La première chose qui me surprend en entrant chez Jacques c’est la lumière. Juste parfaite, ni trop crue ni trop tamisée. Dans des tonalités chaudes exactement assorties aux flammes de la grande cheminée. Un grand canapé en cuir marron et deux fauteuils clubs assortis, un immense tapis moldave sur le sol en tommettes, une tapisserie représentant une scène de chasse la table basse est en bois brut. Pas de téléviseur mais un immense miroir à encadrâtes dorées horizontal posé contre le mur en face de la cheminée. Où que se pose mon regard tout est beau, harmonieux. J’ai beau chercher, je ne vois pas une faute de goût. Et je trouve que Marie et moi sommes nous aussi juste parfaites dans ce décor. Je me vois du coin de l’œil dans le miroir. La lumière sur ma robe en laine met en valeur mes courbes sensuelles et le cul de Marie moulé par sa jupe en cuir reflète les flammes de la cheminée. Jacques nous fait visiter la partie habitable de la ferme. De plein pied, toute en longueur. Après le grand salon il y a un couloir, quatre chambres et une seule salle de bain immense et toute en marbre. Pascal a prévu pour chacune nous deux une jolie chambrette meublée de deux lits une place à armature en fer forgé, d’un petit bureau et une armoire dressing avec, sur la  porte un miroir biseauté. La chambrette a une autre porte qui communique avec la chambre, plus vaste, de Jacques.
En gentleman Jacques nous laisse nous installer. Nous sommes libres de le rejoindre au salon quand nous voulons…vêtues comme nous voulons…

Marie pose la grosse valise sur le lit et entreprend de disposer lingerie sexy et costumes dans le dressing. J’ai très envie de lui faire un câlin là maintenant mais je décide de me retenir en prévision du moment où nous rejoindrons Jacques.
Marie : – Bon, on dit que ce soir tu fais la débutante soumise légèrement effrayée un peu godiche. Et moi la maîtresse autoritaire qui manie le fouet ? Et demain on inverse ok ?

Moi : Ça me va. Dis donc il a vraiment l’air bien ton Jacques.

Marie : Oui, c’est une bonne surprise. Je trouve que les années l’ont gâté. Je suis certaine qu’on va bien s’amuser.

Moi : Tu veux qu’on s’habille comment ?

Marie : On reste comme on est. Juste tu mets un collier de chienne, je te tiens en laisse et je prends la martinet à lanières ok ?

Moi : ok maîtresse Marie.

Marie me passe le collier autour du cou. Experte elle passe deux doigts entre la bande de cuir et la peau délicate de mon cou pour s’assurer que ce n’est pas excessivement serré. Le mousqueton de la laisse fait un petit click et elle glisse sous ma robe en laine le manche du martinet. Je mord ma lèvre inférieure.

Marie : Attends. Il manque un truc pour que tu sois parfaite.

Marie met un petit plug anal en Christal dans sa bouche.

-Tournes toi et penches toi en avant.

Elle relève la jupe et presse délicatement le plug contre mon anus. Elle prend son temps, le remets plusieurs fois entre ses lèvre pour bien le couvrir de salive. Quand il rentre enfin c’est comme un gros suppositoire. Ce n’est pas douloureux. Juste délicieusement inconfortable. Je sais que le temps que je m’y fasse le plug anal va me donner une démarche un peu raide et maladroite. Mais c’est bien l’effet recherché.

N’hésitez pas à commenter, si vous voulez que je vous raconte la suite et comment Jacques a rendue inoubliable cette première nuit à trois. Laissez aussi votre pseudo si vous avez un compte sur cinqasept. Moi en 2022 ce sera Bovary64.

La suite ici.

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