Heure de la sieste, famille somnolente. Attendre que le mari ronfle. Enfiler un petit string de dentelle, un mini jupe et un petit top bien moulant. Filer sur la pointe des pieds nus, spartiates à la main. Ne pas claquer la portière de la Fiat500c , laisser partir un roues libres dans la pente douce et ne démarrer qu’une fois loin du bungalow. Faire quelques kilomètres pour s’assurer l’anonymat. Passer lentement devant le Clarisse, s’assurer qu’il y a des hommes en terrasse. Vérifier qu’il mâtent la jolie brune qui passe au pas en Fiat décapotable. Se garer quelque mètres plus loin. Enfiler mes spartiates, s’appliquer avec les lanières de cuir sur les jolis mollets. Tourner le rétroviseur pour vérifier mon rouge a 👄. Trouver que ça mérite une retouche. Fouiller mon sac à mains à la recherche du rouge à lèvres 💄. S’appliquer à nouveaux. En profiter pour remonter un peu ma queue de cheval. Sortir enfin choisir une table. Croiser des regards, baisser les yeux, sourire néanmoins. Demander un Perrier rondelle au serveur bien joli garçon. Insister un peu lourdement sur le mot rondelle. Poser un paquet de Vogues menthol sur la table. Attendre pas longtemps avant qu’un type me demande si j’ai du feu. Technique d’attrape nigaud qui fonctionne toujours. Jauger le nigaud. Bof, trouver que son pote est plus à mon goût. Le laisser engager la conversation. Répondre poliment. Sourire, n’être que de passage, accepter de se joindre à sa table. Se délecter de la mine déconfite de leur copine. S’appeler Clarisse. Oui, comme le bar ! Ça doit être un signe ! Un signe de quoi ? Ne pas savoir mais rire et donner par inadvertance un coup de pied sur le tibia de son copain qui me plaît. S’excuser, dire qu’on est maladroite. Poser la main sur son avant bras pour dire pardon encore. Se délecter bis de la mine déconfite du nigaud cette fois. Poser des questions sur la ville, être volubile, de plus en plus tactile, quand le Perrier rondelle arrive s’excuser et dire qu’en fait on a plutôt envie d’un Spritz. Offrir sa tournée, Faire semblant de ne plus se souvenir du prénom d’Elisa, se tromper aussi sur celui de Frank le nigaud. Montrer que Jérôme ça on s’en souvient.
Rapprocher imperceptiblement son pied, sous la table, de celui de Jerome. Trinquer. A l’été ! Aux rencontres ! Aux signes ! Feindre de ne pas remarquer que nos genoux se touchent maintenant. Dire qu’on a oublié son iPhone à la location et qu’on est perdue sans googlemap. Expliquer que l’on cherche un caviste car on doit aller avec Monsieurmonmari chez des amis ce soir et qu’il faut un bon champagne. Se délecter ter de la mine déconfite de Jérôme qui vient d’apprendre que l’on n’est pas célibataire. Laisser renaître l’espoir en expliquant que l’oubli de l’iphone est un mal pour un bien. On pourra dire qu’on s’est perdue toute l’après midi. Se laisser convaincre d’un deuxième verre mais seulement si Jérôme veut bien m’accompagner après chez le caviste. Jérôme veut bien, Frank fait la gueule la copine Fabienne semble contente que je ne sois que de passage. Arrivée de la seconde tournée de Spritz. Ils servent des piscines ici. Être heureuse de se sentir légèrement saoule à même pas 15 heures. Avoir chaud. Nos jambes se touchent toujours mine de rien. Demander à Jérôme d’y aller car on ne veut pas que Monsieurmonmari s’inquiète. Laisser un billet de 50 et planter là Fabienne et le pauvre nigaud de Frank.
Faire semblant d’être un peu plus saoule que la réalité. Laisser Jérôme conduire la Fiat500c.
-« Alors comme ça vous êtes mariée ? »
Trouver le Alors comme ça un peu con mais ne pas s’en offusquer. Répondre en riant que mariée ne veut pas dire fidèle ! Faire attention de ne pas tout faire foirer. Rester légère, la fille un peu bête et légèrement pompette. Penser à le toucher à chaque fois que je ris pour un truc ou un autre. Être la fille rigolote et tactile. S’exciter de sa main sur les reins quand il fait la marche arrière du créneau et passe en réalité son bras derrière le siège passager. Me jeter sur lui pour l’embrasser dès qu’il fini son créneau.
Profiter du premier baiser. Mêler nos langues. Mains baladeuses. Embrasser longtemps. Les yeux ouverts. Se laisser peloter. Mettre ma main dans ses cheveux quand il embrasse mon cou. Mettre ma main sous son T-shirt, dire à son oreille qu’on ne veut pas de suçon…mais que par contre on veut bien sucer s’il n’habite pas loin…on peut laisser la voiture là son appart est à deux rues dans le centre piéton. Dire que vite alors, pas de temps à perdre s’il veut avoir le temps de tout visiter en profondeur. Laisser la voiture, partir main dans la main vers son appartement.
Joli studio propret. Déco vintage, canapé cuir, tapis berbère en laine. Ne pas laisser la gêne s’installer. Dire qu’il me plaît, que j’aime comme il embrasse. Joindre le geste à la parole. Laisser ses mains passer sous mon petit top sexy. Libérer sa teub adroitement et lui dire à l’oreille que je suis sa petite notaire qui aurait bien besoin d’une cravate. Enlever mon top pour qu’il voit mes gros seins à branlette espagnole. Me coller contre lui et descendre doucement, tout doucement. Joie d’une grosse queue qui va et vient entre mes seins. Avoir presqu’envie de continuer jusqu’à l’éjac faciale. Se laisser guider quand il me tire la queue de cheval pour que je me relève et m’installe sur le canapé. Aimer sa bouche sur mes fesses. Enlever mes vêtements en le laissant m’embrasser un peu partout. Planter mes ongles dans son cuir chevelu et le laisser embrasser mon ventre sans douter qu’il descendra plus bas en temps voulu. Me glisser sous lui pour un 69 et enfin avoir sa grosse queue dans ma bouche. Grosse, dure et tellement bonne. M’entendre lui dire : « s’il te plaît, prends moi par le cul…Force mon petit cul de salope même si j’ai mal. J’ai trop envie d’avoir mal… »
Être retournée, le sentir hésiter et commencer par le prendre en levrette. Flipper qu’il ne vienne trop vite et me prive de ma sodomie de chienne en chaleur. Être rassurée et reconnaissante quand il change de trou et presse son flan contre mon petit trou du cul. Gémir, écarter mes fesses avec mes mains. Douleur et cri quand il m’encule enfin. Brutalité, me branler en même temps gémir, jouir et porter mon cul à sa rencontre à chaque coup de butoir. Encore, encore, encore ! Avoir sa main dans ma bouche pleine du goût de ma propre mouille, souffrir et jouir en même temps, continuer à venir à sa rencontre. Encore, encore, encore. Me sentir écrasée quand il s’effondre sur moi de tout son poids en jouissant dans mon cul. Regretter presque qu’il ait mis un capote car j’aurais voulu sentir son foutre couler en moi. Me dégager à regret pour aller ouvrir son frigo vintage à la recherche d’un soda ou d’une bouteille d’eau. Remercier Dieu qu’il ait une grande bouteille de San Pelegrino. M’assoir par terre à côté de lui sur le tapis et surveiller du coin de l’œil son sexe qui pourrait renaître. Lui tendre la bouteille d’eau gazeuse. Embrasser son ventre en sueur et descendre vers le sexe qui me fait encore envie. Lécher 👅, puis sucer. Le laisser me caresser la chatte et onduler en rythme sans arrêter de le sucer. Jouir sous ses doigts juste quand il éjacule dans ma 👄. Avaler. Rester encore un peu puis me rhabiller et repartir pour une soirée d’ennui conjugal. Mais me sentir néanmoins heureuse et décidée à garder mon profil sur tous les sites a plan cul possibles et imaginables pour la rentrée prochaine.