Du plaisir de sucer un belle bite

Sucer un belle queue. J’en ai déjà abondamment parlé dans mes autres articles. Tant d’un point de vue technique à travers mes tuto gorge profonde ou tutoriel cravate de notaire ou branlette espagnole. J’ai maintes fois évoqué comment j’en venais tout naturellement à sucer mon plan cul à chaque fois, que ce soit en voiture, à genoux forcée en mode soumise ou confortablement sur un canapé en mode grosse salope. Mais je me rends compte que j’ai souvent présenté la fellation comme un cadeau fait à mes amants et pas comme un vrai grand plaisir pour moi. J’espère ici réparer cet oubli et, par la même occasion donner envie à plus de femmes de sucer leur mec.

L’envie de sucer

En bonne vrai salope quand j’ai commencé à prendre goût à la fellation cet acte est devenu une envie et une fin en soit indépendante du mec en question. Lorsque je suis seule je m’imagine un bonne belle bite dans la bouche. Elle est mole ou bien dure mais elle m’emplit la bouche. J’en rêve la douceur veloutée car la peau de vos sexes, messieurs, est l’une des partie du corps la plus douce. Je peux ne penser qu’à cette queue sans me soucier de savoir si son propriétaire est gros, mince, musclé ou flasque, chauve ou chevelu, jeune ou vieux. J’aime la déloger moi même d’un slip ou d’un caleçon pour l’avoir en main et commencer à la lécher par le côté. Sucer peut alors devenir un cérémonial complexe et délicieux un peu comme l’art de servir le thé des Geishas.

Je suis une salope à gros seins. Si mes gros seins sont un vrai handicap quand je fais mon footing matinal, ils deviennent un super avantage le soir venu lorsqu’il s’agit de vous sucer. J’aime prendre le temps de me caresser les tétons avec votre queue. Vous qui pensiez bander déjà fort en devenez encore plus fermes et les tétons turgescents pointent joliment. Plus tard viendra la cravate de notaire mais pour l’heure je me caresse les seins et le cou. Parfois vous osez une bifle. Je sais alors que la fessée déculottée sera au programme des réjouissances.

Pas besoin de se déshabiller ou d’avoir de la place pour une bonne fellation. La fellation peut être le plaisir éphémère et rapide d’un plan cul improvisé dans des toilettes publics, une cabine d’essayage ou un ascenseur.

Mais c’est aussi, pendant les longues nuits de baise dans de belles chambres d’hotel ou AirBnB, les nombreuses fellations que je prodigue patiemment sur vos bites moles après l’ejaculation qui le permettent de vous réveiller pour une nouvelle chevauchée sauvage. La pipe et la chimie aussi parfois je dois l’avouer.

Si vous m’avez lue jusqu’ici j’aimerais que vous le disiez en commentaire comment vous voudriez que je vous suce. Décrivez moi où nous sommes, comment je suis habillée, sommes nous seuls ou en plan à 3 ? Bref, lâchez vous, faite moi mouiller comme une grosse salope. Promis je répondrai à chaque commentaire !

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

11 réflexions au sujet de « Du plaisir de sucer un belle bite »

  1. Pour faire court .
    Chacun de nous avec son/sa compagnon/ compagne au restaurants.
    Tables pas très éloignes de quoi pouvoir se lacher quelque regards.
    Dès que vous vous levez pour aller au toilette, je vous suis et vous intercepte avant de rentrer par le bras dans l’étroit couloir qui y mène.
    Baiser contre le mur.
    On entre aux toilettes, vous vous asseyez me sucez.. avant de vous prendre debout contre la porte.
    Rapide mais efficace avant de retrouver chacun notre table.

  2. Salut Lucie. J’ai découvert ton blogue il y a peu et c’est la première fois que je commente. À ce post là je me peux pas m’en empêcher.

    Je nous imagine entrer dans le même ascenseur de notre hôtel, par hasard. Tu porte une jupe coquette et un chandail noir qui me laisse voir ton décolleté. À peine embarqué il y a une panne d’électricité. Il fait sombre mais une faible lumière de secoure me permet de te regarder discrètement. Raspidement on entame la discution pour passer le temps. Au départ on parle de tout et de rien mais la conversation devient plus jeune lorsque je te dis que je suis célibataire.

    Au bout d’un moment je n’arrive plus à cacher mon érection. Lorsque tu la remarque tu prend les devant. Tu plaque ta main sur mon entrejambe pour sentir ce que j’ai. Puis en m’embrassant avec fouge tu défait ma ceinture et ma braguette puis tu baisse tout au niveau de mes chevilles en te mettant à genoux.

    Tu passe les premières secondes à branler ma queue à deux mains pour t’assurer que je suis bie dure. Tu me dis qu’on ne sait pas combien de temps nous avons alors il faut faire vite. puis tu engloutit mon membre en entier dans ta bouche. Tu y mets beaucoup d’ardeur. Une de mes mains sur ta tête te guide pour que je puisse te l’enfoncer tout au fond.

    Tu fais ça bien. Mes râle emplissent l’ascendeur. Je ne tiens pas plus de 3 ou 4 minutes. Je plaque soudainement mes deux mains et je te retient contre moi, mon gland tout au fond de ta gorge, puis j’éjacule sans retenue. Plusieurs bon jets de spermes chaud dont tu n’en perd pas une goutte.

    Tu continu de me sucer encore un moment alors que j’ai du mal à me tenir debout. Pendant que je reprend mon souffle tu fait le tour de mon gland, histoire de bien le nettoyer puis tu te mets debout en remettant mon pantalon en place. C.est à ce moment que le courant est de retour et que l’ascenseur reprend sa course.

    Au moment où il arrive à ton étage je te dis que j’aime faire des cunni et que j’aimerais te rendre la pareil. La suite c’est toi qui la choisis 😉

    1. L’ascenseur c’est un de mes endroits préférés pour sucer ou baiser debout. En général quand j’ai un Airbnb dans un immeuble avec ascenseur je m’arrange pour coincer la cabine au dernier étage. Sur les vieux modèles c’est assez facile, il suffit de coincer la porte pour qu’elle ne ferme pas complètement. J’adore quand c’est une toute petite cabine avec une seconde porte qui en Metal genre grille qui se déplie. C’est les plus faciles à bloquer. Si on bloque au dernier étage assez tard peu de risque d’être dérangés. Trop bon quand le mec relève ma jupe et écarte mon string pour me niquer debout.

      1. Je me sens chaud juste par ta réponce. Et tu m’en apprend une. Mais je vis au Québec et je ne crois que l’on trouve ce modèle d’ascenseur ici ^^’

        Et puis je préfèrerais continuer dans une chambre. Histoire de connaitre l’effet de ces pullules que tu semble tant aimer donner à tes partenaires.

  3. Collègues, nous nous côtoyons au bureau depuis maintenant un mois et demi. Nous restons sages et courtois en apparence, mais des signes ne trompent pas : frôlements prolongés, mains qui traînent, échange de photos coquines par mail en plein boulot, etc… Jusqu’ici nous avons su rester dans le flirt pour faire monter l’excitation.

    Aujourd’hui vendredi, tu es lumineuse : ta chevelure détachée, ton décolleté profond, tes bas sous ta jupe à mi-cuisse, et des talons qui te permettent d’arriver presque jusqu’à ma hauteur laissent présager une agréable après-midi. Toutefois je fais mine de ne pas t’avoir remarquée ce matin, affairé dans mes dossiers.
    11h15 : je reçois une alerte sur mon écran d’ordinateur. Par message tu me dis que c’est le grand jour et que tu veux être ma chienne pour les 5 minutes à venir. Je te réponds par message encore : rejoins moi dans le bureau du patron : personne n’ignore votre petit jeu et le quart d’heure quotidien que vous passez dans sa tour de contrôle rideaux tirés.
    Arrivé dans son bureau, je fais un clin d’oeil à notre chef et avant-même que nous n’ayons échangé un mot tu entres. Toujours sans rien dire, tu poses ton dossier devant lui et commence alors la rituelle pipe apéritive. Tu fais tourner son fauteuil pour le mettre face à toi, tu lui ouvres les jambes et t’accroupis pour lui ouvrir le pantalon et dévoiler son braquemart déjà gonflé. Je viens me placer à côté de vous deux. Je suis appuyé sur le meuble Louis-Philippe. Ma queue ne reste pas longtemps en place. Car alors que tu engloutissais le sexe du patron, ta main agile caressait déjà mes couilles dans mon pantalon. Lui comme à son habitude apparemment tenait ta tête pour imprimer des va-et-vient précis qui l’ont finalement poussé assez vite à éjaculer dans ta bouche – ahah, le boss est un éjaculateur précoce ? Mais visiblement tu n’apprécies pas le goût du sperme ou sa texture puisque tu recraches tout sur son gland.
    A mon tour me dis-je. Le patron t’a remise debout pendant ce temps pour caresser ton vagin et sans doute aussi ton petit trou.
    Tu prends ma queue dans ta bouche, t’attardant sur le méat, puis glissant ta langue tout autour du gland, pour finir pas gober mon gland. Ta langue alterne avec ton pouce sur mon frein alors que ton autre main caresse mes fesses. Ma queue sort de ta bouche pour venir presser tes tétons fièrement dressés – what a feeling ! Tu ramènes très vite mon sexe à ton visage. J’ai le temps de te bifler en pleine joue. Tu reprends ta fellation consciencieuse en ouvrant juste assez les lèvres exciter les terminaisons nerveuses. Je me penche en avant pour relever ta jupe et voir l’oeuvre de notre supérieur hiérarchique, qui te fait pousser des gémissement aigus et étouffés. Mes doigts rencontrent son visage. Il est en train de te lécher la moule le coquin. Par contre je sens que tu portes un plug de belle taille. Comme attendu, tu es une belle cochonne. Je joue un peu avec, ça a pas l’air de te laisser indifférente, tu couines de plus belle. Les cinq minutes s’éternisent, c’est pas que je m’ennuie… Mais voyant que le chef a retrouvé de la vigueur j’écarte brutalement ton visage de ma taille et te renvoie vers lui et me voilà face à ta croupe. Je tire ma ceinture des boucles de mon pantalon et fais claquer ce fouet improvisé sur tes fesses six ou sept fois.
    Tes cris de douleurs et ces zébrures rouges marquant ta peau révèlent mon côté sadique. Je me sens pousser les ailes de Lucifer.
    Alors je tire sur ton chemisier et ton soutien-gorge, les déchire enfile trois doigts dans ton vagin sans préavis (j’ai été mécano dans une autre vie, mes doigts sont épais) et les fais coulisser de manière effrénée tout en tenant tes bras entravés dans le dos. Le patron imprime un rythme à ta tête pour arriver à jouir de nouveau avant toi.

    Heureusement les bureaux se sont vidés parce-que ton cri de jouissance ce matin-là fut perçant. Seuls deux yeux nous regardent au coin de la baie vitrée… Que nous retrouverons plus tard sans doute…

  4. Bonsoir Lucie,
    Je viens de découvrir ton nouvel article et j’ai bien envie de te faire mouiller avec mes mots, dans un premier temps… Voici mon récit :
    Je frappe à la porte de ta chambre d’hôtel, 3 coups espacés de 2 secondes, c’est le code que nous avions convenu pour te signaler ma présence. J’ouvre la porte que tu as laissé déverrouillée et rentre dans la chambre de ce somptueux hôtel de Nantes (Le Mercure situé dans le centre ville) : elle est très jolie et spacieuse, le décor est sobre et soigné. C’est l’écrin parfait pour le scénario que j’ai concocté, et surtout pour la femme que je découvre à 4 pattes sur le lit, les yeux bandés, les jambes légèrement écartées, la tête penchée vers le bord du lit. Tu es vêtue comme convenu d’un body string seins nus (le modèle Belle de Jour de chez Maison Close) avec les bas assortis et des escarpins vernis. Tu es sublime, parfaite, comme dans mon imagination. Je m’approche à côté du lit, tu peux m’entendre malgré l’aspect feutré de la moquette, et tu peux aussi sentir mon parfum, aux notes sophistiquées et sensuelles.
    Je pose d’abords une main sur l’un de tes mollets, tu sursautes à peine, je remonte doucement vers l’arrière de ta cuisse en frôlant mes doigts sur ce bas soyeux, je glisse ensuite un doigt sous une jarretelle qui me guide vers tes fesses que je caresse à pleines mains. Je continue ma remontée en plongeant mon majeur dans la raie de ton cul avant de poursuivre sur ta colonne vertébrale … tu sembles apprécier ! Je me mets ensuite face à toi et pose mon index sous ton menton pour relever ta tête et découvrir ton visage … souriant. Je pose mon pouce sur tes lèvres pour les caresser, une petite pression dessus et tu les écartes pour gober mon doigt dans ta bouche, l’enroulant de ta langue et l’enduisant de ta salive … tout ceci est prometteur.
    Je retire mon doigt et m’écarte de toi pour préparer la suite de ta dégustation, tu peux seulement m’entendre préparer quelque chose, poser des accessoires à côté de toi, avec application. Je suis curieux de savoir ce que tu peux imaginer en ce moment …
    Subitement, deux ronds de skaï froid se pose et comprime tes oreilles … c’est un casque audio qui vient de te retirer un deuxième sens, et qui ne tarde pas à te diffuser une première musique, un titre de Madonna, Justify my love. Tu ne peux maintenant sentir que mon odeur ou ressentir que mes caresses, et te concentrer sur les paroles sensuelles de la chanson. Tu ne peux pas savoir comment est l’homme en face de toi … d’ailleurs est-ce bien un homme ? … et n’y a-t-il pas d’autres personnes autour de toi ? … quel va bien pouvoir être le menu de ce soir ? … C’est justement cette sensation que je voulais te faire ressentir, la peur de l’inconnu mélangée à l’excitation de la surprise …
    Une matière froide et dure se pose alors sur ta lèvre inférieure que j’intime à descendre pour ouvrir ta bouche et y verser le contenu liquide et pétillant que tu avales d’une gorgée … assurément du Champagne, le mmmh qui sors de ta bouche me fait comprendre que tu aimes ce nectar, et la langue que tu passes sur tes lèvres appelle à une deuxième gorgée.
    C’est ensuite une autre matière lisse, ronde et moelleuse qui se pose entre tes lèvres, je l’enfonce entre tes dents, tu la croques sans hésiter et l’avales … un raisin, sucré et délicieux. Maintenant c’est la grappe entière qui caresse ton visage, tu relèves la tête et ouvre la bouche pour gober quelques autres grains.
    C’est encore une autre matière lisse, dure et froide qui se pose sur tes lèvres, c’est un objet assez gros, lourd, pointu à son extrémité sans être tranchant, je le glisse dans ta bouche tout en le maintenant par l’autre extrémité, tu ne mets pas longtemps à reconnaitre cet objet qui va bientôt te remplir … un rosebud ! Je devine ta satisfaction par ton sourire, tu lèches goulument l’objet pour le lubrifier car tu as deviné mon intention : je le retire alors de ta bouche et m’écarte pour me mettre à côté de toi. Tu sens alors mes doigts dans la raie de tes fesses, écartant sur le côté la fine bande de tissu du body string que je constate déjà toute mouillée, et faisant découvrir ta vulve gonflée et humide, et ton petit trou plissé et imberbe qui se contracte légèrement quand j’y pose la pointe du bijou. J’appuie très lentement dessus pour que tu ressentes chaque millimètre s’enfoncer en toi. Tu n’as finalement aucun mal à engloutir cet objet qui est aspiré rapidement après avoir passé le diamètre le plus large, laissant échapper un « aaaah » de plaisir dans tes lèvres.
    C’est maintenant Donna Summer, Love To Love You Baby, qui se diffuse dans tes oreilles.

  5. Bravo pour ton blog et tes textes. Cela fait tellement de bien de lire une femme comme vous. J’ai l’impresSion que nous sommes jumelles 👯. Moi aussi j’adore le sexe. Même si à la différence de vous je suis célibataire et je porte mon dévolu exclusivement sur des hommes mariés. Chacune son vice !

  6. Tu es en costume de religieuse. Pas un de ces costumes bas de gamme de sex-shop. Non, un vrai uniforme de religieuse acheté dans une boutique de vrais catholiques. Nous nous sommes donnés rendez vous sur le parvis de Notre Dame à Paris. Nous sommes assis l’un à côté de l’autre, là où les touristes donnent du pain aux moineaux. Je t’explique que je suis un pauvre pécheur et que je voudrais me confesser. Tu baisses les yeux, souri, tu semble gênée. Les gens autour comprennent que je te drague. Ils sont éberlués quand ils comprennent que tu acceptes de me suivre jusqu’à mon hôtel. C’est dans la chambre que tu me suceras autant que tu veux toujours habillée en jeune none. Tu seras bien sûr fessée et punie pour avoir oublié tes vieux de chasteté…

    1. Oh p****n ! Meilleur commentaire depuis des mois sur mon blog ! Terriblement excitant ! Je ne le fais jamais d’habitude mais là je vous écris en privé pour, peut être, concrétiser…

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