Sugar Baby cherche sugar Daddy

J’ai de grands yeux, une bouche pulpeuse et un regard mutin qui, sans me jeter des fleurs peuvent aisément me faire passer pour la très jeune étudiante sexy que je ne suis hélas plus (je reste sexy mais ne suis plus étudiante). Et comme j’aime les plans culs contrastés j’avoue parfois me faire passer pour plus jeune que je suis afin, paradoxalement, de séduire un homme largement plus mûr que moi. Pour mon sugar daddy je fais ma sugar baby.

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Sugar baby cherche Sugar Daddy

Voici donc l’annonce que je publiais hier sur copinedesexe : « vingt six ans et toutes mes dents blanches et bien alignées comme de petites perles de porcelaine qui feraient un très beau collier autour de la bite d’un homme de préférence mûr. Quinquagénaire accepté, si bon vivant et espiègle comme moi. Je cherche une relation prolongée au moins jusqu’à la fin de l’année universitaire. Un homme attentionné avec qui je saurais être tendre, aussi entreprenante que reconnaissante. Si tu veux être mon sugar daddy je serai ta sugar baby. Faisons un essais gratuit, ça n’engage à rien mais je suis certaine que tu ne voudras pas en rester là ensuite alors sois prévenu Monsieur mon sugar daddy ! »

J’agrémentais d’une photo que je ne reproduis pas ici juste pour vous frustrer parce que je suis comme ça ! bien salope !

 Forcément, à peine avais-je posté mon profil que les demandes pleuvaient. Je ne cherchais pas un étalon fringant. Pour tout dire, le sexe je l’aime parfois bien gras. L’homme un peu âgé et légèrement bedonnant est bien souvent surprenant de vigueur et d’inventivité quand il se retrouve dans une chambre d’étudiante avec sa sugar baby pour lui seul offerte.

Trouver un AirBnB qui ressemble à une chambre d’étudiante fut très facile dans cette grande ville de Province où je posais mes valises coquines pour 48 heures. Je donnais rendez-vous à Jean, mon Sugar Daddy, dans un très cossu restaurant étoilé dans le vieux centre de cette ville dont je tais le nom cette fois. Le restaurant n’avait qu’une étoile mais il me semblait suffisamment cher pour qu’avec l’apéritif, le vin et le dessert mon sugar Daddy dusse s’acquitter d’une note proche des quatre chiffres. Je savais que plus il paierait plus il serait exigeant avec mon corps gracile par la suite. Je ne voulais pas qu’il me ménage et cela me semblait une très bonne stratégie.

Sugar baby cèdera ou cèdera pas ?

C’est toujours un délicieux plaisir de tenir le rôle d’une sugar baby dans un restaurant classieux et un peu guindé. Ce plaisir est hélas souvent gâché lorsque le sugar daddy n’assume pas et semble gêné par les regards de biais des autres clients. Mais cette fois j’étais chanceuse et mon sugar daddy assumait à fond et semblait même prendre grand plaisir à m’exhiber comme un trophée. La façon dont il me tenait par la taille en entrant n’avait rien de paternelle et il était difficile de se méprendre sur la vraie nature de notre relation. J’avais choisi pour l’occasion une robe en laine brun Grizzly  très moulante sous laquelle il était facile de deviner que mes tétons était déjà tout durs. C’était déjà l’hivers et, sans dévoiler le nom de la ville choisie pour mon plan sugar baby je peux vous révéler que nous n’étions pas dans le sud. Aussi mes collants de laine étaient épais et j’avais sur le dos un manteau de vraie fourrure. Tout cela ne collait pas avec e look que l’on imagine d’une étudiante mais peu m’importait. J’avais mis dans mon annonce que j’étais étudiante et mon sugar daddy n’avait pas vraiment de raison d’en douter. C’est d’ailleurs l’angle d’attaque qu’il choisi pour meubler la conversation : « Alors, ma belle, tu étudies quoi exactement ? »

-« Je suis en Master Biologie-Santé. » Le niveau master me permettait de ne pas prétendre avoir tout juste vingt ans et ce n’était qu’un demi mensonge puisque c’est effectivement mon domaine.

-« Ah, un jolie scientifique donc ? »

Je m’empressais d’ajouter : »Mais en parallèle je suis une formation privée de techniques de massages bien être. J’aimerais un jour monter mon propre salon. »

-« Hummm, il va absolument falloir me montrer ça dis donc… »

Moi, faisant mine d’être timide : »Enfin, je débute. Mais, oui, bien sûr, je peux vous montrer…tout à l’heure. »

-« J’adore les massages. Tu sais ce que je préfère comme massage ? »

-« Heu non ? »

Il s’approche de moi par dessus la table et me glisse à l’oreille juste assez fort pour que la table d’à côté puisse entendre : »Ce que je préfère c’est le massage bucco pénien… ;o) » Je mets un smiley ici puisqu’il accompagne sa saillie d’un clin d’œil complice.

Je baisse les yeux, mets la main devant ma bouche faussement choquée et rougis. Eh oui, aussi surprenant que cela puisse paraître je rougis très facilement. C’est plus fort que moi.

Sous la table son pied s’est avancé et je le sens contre ma cheville. Je me demande si les autres clients ont remarqué cela. Peut être pas puisque la table est, comme il se doit, drapée. Tout à l’heure j’enlèverai peut être mon pied de ma ballerine et lui montrerai ce que c’est que vraiment faire du pied quand on est une sugar baby un peu cochonne. Mais pour l’instant je lui laisse prendre les initiatives et me contente de repérer les plats les plus chers de la carte.

 Que l’on soit dans un plan sugar baby rencontre sugar daddy ou sur un one shot coquin classique ce que je trouve toujours assez dommage dans les rencontres préparées sur internet c’est que, sachant qu’on est entre adultes consentants pour baiser, alors il n’y a que très peu de suspense. Les préliminaires, les vrais, ceux qui se passent habillés, souvent dans l’espace public, sont bâclés. Alors il y a peu de temps consacrer à faire monter le désir, à accumuler la frustration qui, justement est souvent proportionnelle au déchainement qui va suivre. C’est pour cela que j’aime donner rendez vous assez tôt dans la soirée et ne pas tout de suite me jeter sur le mec pour m’enfiler vingt centimètres de bite dans ma chatte trempée. Même si en vrai je ne vis presque que pour cette bite dans ma chatte ou ailleurs, j’aime qu’il y ait suspense, attente et même parfois je me dérobe au dernier moment juste pour le plaisir sadique de voir la mine déconfite de mon plan cul qui croyait que tout lui était acquis. Il ne faut jamais vendre la peau de la chienne avant de l’avoir tronchée !

J’éloignais donc ma cheville de son pied trop entreprenant tout en souriant à mon Sugar Daddy qui commençait à douter de sa bonne fortune. Sadique, pour accroitre son trouble je me lançais dans un discourt peu encourageant : »Vous savez, je suis une fille bien. Certes je suis un peu dans le besoin mais pas forcément prête à tout… »

« Ah?…Heu…que dois-je comprendre par là ? Ton annonce semblait pourtant assez claire. »

J’avoue que je prenais un grand plaisir à voir sa mine déconfite. Je soupçonnais que plus je le torturerai, soufflant le chaud et le froid, plus il risquait de me le faire délicieusement payer si, plus tard, je décidais de céder.

Je dois dire que le temps passé avec mon Sugar Daddy dans ce restaurant était aussi délicieux que le menu qui nous fut servi. J’étais parvenue à semer le doute dans son esprit. Aussi, sachant que mon beau petit cul de sugar baby pouvait contre toute attente lui échapper il faisait de vrais efforts pour ne pas laisser tomber la conversation. Il était d’ailleurs très habile à ce petit jeu. Il savait se montrer spirituel, il prenait le temps d’écouter mes inepties sur la dure vie d’étudiante désargentée, il s’intéressait à moi et à l’enfance difficile et campagnarde que je m’inventais au fur et à mesure de notre discussion.

Je pris plaisir à manger le plus lentement possible pour faire durer son supplice. Mais comme je suis bonne joueuse et que, malgré tout je n’avais pas trop envie de rentrer me coucher seule à la fin du dîner je proposais à mon sugar Daddy de prendre un dernier verre dans mon studio d’étudiante. Mais seulement s’il promettait d’être sage. Ou tout du moins d’essayer.

Sugar baby à croquer

 A peine étions nous rentrés dans le tout petit studio Air B&B que je comprenais qu’il n’allait pas être facile de continuer à me dérober. Bien sûr j’avais raison, à la toute première occasion, au moment où je lui tourne le dos pour refermer le verrou de la porte mon Sugar Daddy se colle à moi par derrière. Je feints la surprise une demi seconde mais finalement je me laisse aller et presse mes fesses contre lui. Sa bouche est sur mon cou, ses mains sur mes hanches.

-« C’est comme cela que vous tenez votre promesse d’être sage ? » dis je sans chercher à me dérober.

-« J’ai promis d’ESSAYER, pas de réussir ! » Ses mains relèvent ma robe de laine et sa bouche délicieusement baveuse embrasse mon cou. Heureusement sans tentative de suçon ! Je mets ma main dans ses cheveux et ondule du bassin en prenant soin de bien garder mon cul pressé contre sa queue que je sens durcir à travers le tissus. Sa main se fait baladeuse le long de mes cuisses et remonte vers mon con tout chaud. Mais je ne veux pas qu’il s’aperçoive que je mouille déjà comme une chienne en chaleur. J’ai envie encore qu’il croie que je feint, que je suis une étudiante sexy dans le besoin qui, bien que mettant du cœur à l’ouvrage, n’en aimerait pas moins être ailleurs. Je veux lui résister encore un peu pour qu’il doute encore et m’en punisse plus tard. Alors je saisi sa main et la remonte sur mon ventre pour lui faire comprendre que je suis d’accord pour des caresses sexy mais pas pour lui donner accès à mon intimité de jeune fille. Je me retiens aussi d’onduler et me dérobe un peu. Plus facile à dire qu’à faire vu que je suis coincée entre la porte devant moi et lui dans mon dos. Ou plutôt, devrais-je écrire contre mon dos. D’ailleurs mon sugar daddy a bien compris que je ne suis pas très décidée à me dérober et qu’il peut forcer un peu le destin car il se fait plus pressent. Il embrasse mon cou à pleine bouche et, comme je ne me dérobe pas vraiment, forcément mon sugar dady à les mains qui se font baladeuse sous la robe en laine. Il s’aperçoit vite que je n’ai pas de soutif et, surtout il sent du bout des doigts que les tétons pointent. J’ai abandonné toute velléités de résistance et je mets ma main dans ses cheveux pour l’encourager à m’embrasser encore. Il pelote mes seins et j’adore ça. C’est moi qui remonte ma robe pour dévoiler mes fesse. Je regrette d’avoir cet épais collant en laine mais je prie pour que cela ne l’empêche pas de me caresser à travers le tissus d’abord puis ensuite de glisser sa main entre la laine et mon con trempé.  Je passe une main sur son entrejambe et ce que je devine me plait carrément. Ca semble gros et dur à souhait !

-« on serait mieux sur mon canapé non ? »

il me libère et je le pousse sur le canapé qui n’est pas loin. L’avantage des tous petits appart airbnb !

je m’agenouille par terre entre ses genoux et déboutonne le pantalon de toile fine. Sous le caleçon en soie un gros sucre d’orges de Noël. 🍭

Je fais mine d’hésiter et d’avoir un petit mouvement de recul juste pour le plaisir de sentir sa grosse main de poser sur ma tête pour me pousser à lui faire la fellation qu’il pense lui revenir de droit. Je m’exécute en bonne sugar baby docile. Docile et appliquée. Très appliquée, je suce avec une lenteur calculée, en serrant bien les lèvres et en utilisant au mieux ma langue.

Plus je suce, plus j’aime sucer. Au début je pensais que c’était une question de technique et de dextérité. Mais aujourd’hui je sais que tout l’art d’une bonne fellation est dans le feeling de l’état d’excitation de mon amant. Savoir ralentir ou même arrêter avant le point de non retour pour éviter une ejaculation précosse est tout un art que je commence à bien maîtriser. Alterner entre les couille et la queue, me déshabiller au bon moment pour utiliser les seins, délasser les souliers du mec tout en suçant…ce soir là je parvenait à me dénuder entièrement et à lui ôter son pantalon tout en continuant à le sucer ou à le branler. J’aime savoir qu’il a une vue imprenable sur la chute de reins et mon petit cul quand je le suce. Quel bonheur de sentir sa grosse queue dans ma bouche. Je serre bien les lèvres, avançant et reculant la tête lentement, sans me presser, je savoure l’instant présent sans me soucier de savoir s’il va savoir se retenir ou m’éjaculer son foutre au fond de la gorge. Lui de son côté semble avoir compris que je prend plaisir à la chose et qu’il a maintenant tout son temps. Je ne vais plus me dérober. Il se déshabille entièrement en me laissant le sucer à mon rythme. Quand je lève les yeux sans lâcher la belle queue qui reste entre mes lèvres je constate avec ravissement que mon sugar daddy est nu comme un vers et finalement assez bien conservé. Les abdominaux sont là, pas trop de masse adipeuse et juste ce qu’il faut de poils sur le bas du ventre pour me donner envie d’y frotter le mien tout lisse. Alors je lâche des lèvres son beau braquenart et remonte lentement en prenant soin d’embrasser et de lécher abondamment le ventre puis le torse de mon sugar daddy.  Lorsque mes lèvres de petite salope sugar baby son sur son cou ma chatte toute épilée est contre son sexe dur. Je m’aide de la main pour l’introduire. C’est tellement bon, je suis déjà au bord de l’orgasme. Je sais que ça va durer car j’ai l’intention de le garder toute la nuit pour plusieurs rounds de baise. Je veux qu’il me baise, me rebaise et me fasse jouir jusqu’à l’épuisement. Je l’en sens capable et, au besoin je le droguerai sans vergogne. Puis, demain, je disparaitrai de sa vie et lui de la mienne !

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

2 réflexions au sujet de « Sugar Baby cherche sugar Daddy »

  1. Salut, j’ai 21 ans, venant de province et en école de commerce à Cergy Pontoise je trouve la vie d’étudiante économiquement déprimante. Je cherche un sponsor pour la rentrée de septembre. Pour mon sponsor je saurai me rendre disponible et câline plusieurs soirs par semaine. Ex première dauphine miss de ma région d’origine (je ne dis pas laquelle pour ne pas dévoiler mon identité) j’enverrai des photos à toute demande sérieuse. Mon pseudo (lien sur mon profil) c’est SugarVaness. Merci d’avance à Lucie de ne pas censurer ce commentaire. Ma demande est simple et sincère…

  2. Je viens de découvrir ton blog… un délice pour l’imagination. Je suis très jeune et peu expérimentée, mais je garde toutes tes idées 😉 au plaisir

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