Chienne soumise et sexy à Montauban

Chienne soumise et sexy à Montauban, je vous dois des excuses, plus de deux mois que je dois publier le récit de ce plan cul mémorable et je n’ai toujours pas publié une ligne. Trop long à écrire, j’aimerais vraiment que le texte soit à la hauteur de ce qu’Il m’a fait vivre. Et du coup je froisse et jette dans la cheminée  chaque feuillet pour tout recommencer sans être satisfaite. Eh oui, j’écris souvent au stylo bille sur de vraies feuilles mes histoires de chienne en chaleur avant de les retranscrire sur le blog !

Je pense que si je continue à focaliser sur cette histoire de chienne soumise je risque de laisser mourir mon blog ! Alors,        au risque de décevoir j’ai décidé de publier le récit de ce plan cul en petits épisodes au fur et à mesure de ce que je parviens à écrire. Cet article va donc pas mal évoluer au fil du temps, revenez y de temps à autre si vous voulez savoir jusqu’où je peux aller en chienne soumise.

Mon aventure extra conjugale de chienne soumise a donc commencé ainsi :

Chienne soumise, jour J à Montauban

J’ai tellement attendu cette rencontre SM adultère qu’au matin du jour J je suis prise d’un doute affreux. Et si tout cela n’était qu’un faux plan. Le délire mythomane d’un homme frustré qui drague sur internet mais n’assure pas un cachou dans la vraie vie. Puis je me botte un peu les fesses pour me convaincre que celle qui ne tente rien n’obtient rien. Lors de nos échanges épistolaires sur mon blog de femme adultère Christophe, Monsieur Christophe, m’a semblé sincère et authentique. Alors je remballe mes doutes de midinette et choisi avec le plus grand soin ma tenue du jour. Le challenge est délicat car avant mon rendez-vous galant j’en ai un bien plus professionnel dans une clinique privée pour y vanter les produits de la marque. J’avais promis de vrais bas couture, alors je commence par cela. Ils sont noirs et très classiques de chez Cervin tenus par un porte jarretelles de la même marque au look légèrement suranné avec ses six attaches métalliques. Je sais que l’idéal serait mes escarpins Louboutins fétiches pour aller avec mais incompatible avec mon rendez vous sérieux au labo avant. Je me rabat donc sur des bottes en cuir classiques à talon plat qui offrent aussi l’avantage de masquer mes bas puisque j’aurai par dessus un tailleur long des plus sages. Pas de regret car je compte laisser ma Fiat 500 au parking des berges du Tarn. Ainsi je pourrai y déposer les bottes avant mon rendez vous galant et chausser mes escarpins talons aiguilles de bourgeoise allumeuse.

A la clinique, malgré une grande difficulté à me concentrer sur ma vente je ne m’en sors pas trop mal. Le directeur de la clinique, un homme somme toute assez fade, qui se penche avec moi sur le catalogue que j’ai amené doit avoir inconsciemment perçu mon trouble. D’habitude je maitrise mon sujet sur le bout des doigts mais là, je pense trop à mon rendez vous et il m’arrive de chercher où j’en suis dans mon argumentaire commercial et même de bredouiller. Il croit peut être que c’est lui qui me fait cet effet en tous cas je repars avec une belle commande. Il insiste pour que ce soit moi, à l’avenir, qui soit son interlocutrice principale pour les futures commandes. En vrai cela ne se passe pas du tout comme cela et une fois que la vente est signée je ne m’en occupe plus. Mais je ne le lui dit évidemment pas ! Et puis même s’il ne me plait pas au premier abord mon instinct de salope me dit qu’on ne sait jamais, il y a peut être un plan cul intéressant à imaginer.

16h15, voilà, je suis libre et libertine pour deux nuits et deux jours. Il est paradoxal que je m’apprête à consacrer ces 48 heures de liberté à devenir l’esclave sexuelle d’un parfait inconnu en plein centre ville de Montauban. Je ne peux m’empêcher de sourire à cette idée et la mine réjouie que j’affiche du haut de mes talons aiguilles qui claquent sur les pavés de la vieille ville ne manque pas d’attirer les regards. J’aime que les hommes se retournent sur moi. Surtout quand ils sont accompagnés…

La place Nationale de Montauban est magnifique, je la préfère à celle du Capitole de Toulouse. Elle est plus intime, plus chaleureuse. Savoir que j’ai rendez vous dans l’un des beaux appartements bourgeois qui la surplombe pour y faire ma chienne soumise me plait énormément. Je suis pile poil à l’heure. Monsieur Christophe m’a laissé le code pour accéder par derrière à son immeuble et je monte le cœur léger les trois volée de marches qui mènent à son palier. Alors que j’allais frapper trois coup à la porte, je me ravise et me souviens de ses consignes impérieuse. Je dois gratter à sa porte comme un petit animal. Je ne sais comment m’y prendre, j’ai peur de ne pas être entendue ainsi. Mais lorsque je pose mes ongles vernis sur le vieux chêne la porte qui n’était pas claquée s’ouvre d’elle même.

-« Entre ! Fais comme chez moi ! » me lance une voix assurée depuis une pièce que je ne peux distinguer.

Je me glisse dans l’entrée en laissant ouvert derrière moi.

Le fameux Monsieur Christophe fait son apparition dans le réduit de l’entrée, ne me jette pas un regard et ferme la porte derrière moi. Il se retourne sans hâte et me détaille de haut en bas puis de bas en haut et, sans prévenir, m’administre une gifle magistrale !

-« Pfft, ridicule la tenue ! Si tu veux rester faire la chienne soumise il va vraiment falloir y mettre du tiens. »

Incroyable ! Perso, je ne suis pas contre un peu de violence. Mais là, prise à froid, alors que j’attendais tant de cette rencontre je me retrouve comme une conne. J’ai laissé tomber mon sac de voyage et je sens les larmes me monter aux yeux. Surtout ne pas pleurer, vite trouver une répartie, une attitude. Je suis prise d’une folle envie de ramasser mes affaires et de repartir. D’autant que le Christophe en question n’a rien d’un Apollon. On est loin du gentleman en costume distingué à la cinquante nuances de gris que je m’étais fantasmé. Pourtant, je reste plantée là, baissant même les yeux sur ses mocassins à glands marrons. Le détaillant à mon tour à la dérobée je réalise alors avec surprise que j’ai envie de rester autant que de partir. Il n’est pas le bel inconnu en costume dont j’avais rêvé mais le pantalon en velours côtelé et le col roulé lui donnent un côté vintage qui, tout à coup, me semble sinon désirable, du moins raccord avec le scénario coquin envisagé. Sa barbe grisonnante à la Robert Hue semble elle aussi venue toute droite des années 80. Je suis contrainte d’admettre qu’il a fait de son côté un effort bien plus important que moi pour se façonner un personnage original. Il aurait tout à fait sa place dans un vieux porno vintage. Je me dis que tout cela n’est qu’un jeu et que je suis venue exactement pour cela : jouer et vivre une rencontre très particulière dans laquelle il est le maître et moi la chienne soumise. Ce n’est pas ce que je m’étais imaginée mais après tout, tant mieux ! Je sens insidieusement mon dégout initial laisser place à une pointe de curiosité qui me pousse à rester. Même si je suis loin d’éprouver cet élan de désir que j’ai parfois dès le premier coup d’œil d’une rencontre. La soirée risque d’être longue. Longue mais intéressante.

-« Avant toutes choses, je t’explique les règles. Elles sont simples : la porte est ouverte, tu pars quand tu veux. Mais si tu souhaites rester alors tu m’obéis et tu mets ça ! »

Il jette à mes pieds un large collier en cuir brun du genre de ceux dont on affuble les gros chiens. J’hésite, j’aimerais dire quelque chose. Je voudrais le gifler à mon tour et partir. Je ne vais tout de même pas m’abaisser à ramasser son « cadeau » !

La seconde baffe me cueille par surprise autant que la première.

-« Bon, on va pas y passer la nuit ! Tu te décides ? Tu vas faire ta gentille chienne soumise ou tu repars la queue entre les jambes ? Enfin, justement, sans la queue entre les jambes ! »

Bon, là il faut me décider. Deux gifles c’est trop à mon goût en moins d’une minute. Je n’ai aucune envie de vérifier l’adage qui dit jamais deux sans trois. Je n’ai pas l’impression que la situation m’excite sexuellement. C’est autre chose. Un truc plus profond, plus atavique. J’ai envie de savoir comme cela va évoluer. Avec le recul je me dit que d’être punie m’a donné inconsciemment envie aussi d’être gentille et obéissante pour être félicitée et récompensée. Mais cela c’est à postériori, avec mon analyse de psychologie de comptoir. Sur l’instant je suis juste légèrement effrayée et le besoin de me soumettre l’emporte sur l’envie de fuir. Je me baisse donc docilement pour ramasser le collier, mon collier de chienne soumise.

Sa main se pose alors sur ma tête. La pression est douce, presque tendre.

-« Bon, c’est mieux. A genoux. A partir de maintenant tu as interdiction de te relever. Tu vas être ma gentille chienne soumise. Donnes ton collier, je vais te le mettre ! »

Je suis à genoux et lui tend des deux mains mon collier de chienne comme une offrande. Il se baisse à ma hauteur, je lève le menton et lui offre mon cou nu. Ses mains et la boucle du large collier de cuir passent entre mes longs cheveux soyeux et ma nuque. Il ne serre pas trop. A cet instant je me dit que je ne devrais pas en conserver de marque. Mais la sensation autour de mon cou n’en est pas moins étrange. Ce n’est pas désagréable, mais j’ai l’impression que mon cœur bat différemment. En acceptant le collier, j’en adopte toute la symbolique et, même si je suis en théorie libre de cesser le jeu quand je veux j’ai le sentiment d’avoir franchi un point de non retour pour ce voyage de deux nuits et deux jours en terres inconnues.

-« Très bien, tu me sembles une bonne chienne soumise. Et, je te l’avoue même si cela me coûte, je te trouve très jolie. J’espère que tu ne va pas me décevoir et que tu vas faire ta bonne salope…Bon, pour le moment tu restes sagement dans l’entrée. Quand je t’appellerai, et quand je t’appellerai seulement, tu pourras me rejoindre au salon. »

Il me laisse à quatre pattes dans le vestibule d’entrée de son appartement et disparait dans ce que je devine être le salon derrière une porte entre baillée. L’horloge digitale à chiffres lumineux rouges qui trône sur un guéridon indique 17:07:31..32..33..34..35….ainsi de suite puis 17:08:00..01..02 plus un bruit dans l’appartement. 17:10:00 Je m’assieds par terre, bien décidée à ne pas m’aventurer plus loin dans l’appartement tant qu’il ne m’en aura pas donné la permission.

 

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

3 réflexions au sujet de « Chienne soumise et sexy à Montauban »

  1. Félicitations Lucie,
    Cette « aventure » est magnifiquement racontée.
    J’attends la suite avec impatience.
    Continue de nous faire fantasmer.
    Chaleureux bisous.

    Romain.

    1. Oui, j’ai ralenti un peu la fréquence de mes publications car je bosse sur un autre projet « littéraire ». Mais j’essaie de vous raconter la suite avant le 15 aout ! Comme il va continuer à pleuvoir il faut bien s’occuper

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