Pornographie en alexandrins

Journal intime d’une jeune soubrette

Toute nouvelle au chateau, je n’avais pas soupé. Dans le garde manger je pensais être seule. Alors oui, j’ai fauté et voici mon histoire :

Arrivant aux cuisines, las, vous m’avez surprise

Une miche de pain, A peine un peu de beurre

Maigre était ma rapine, sur le fait j’étais prise

-« Tu chapardes mon bien ! Tu me brises le cœur ! »

-« Monsieur je vous supplie, point ne me punissez

Si vous me pardonnez, je vous rembourserai »

-« Si le forfait j’oublie, je perds tout ton respect

Ah si je m’écoutais, je te licencierais ! »

-« Oh non je vous en prie, je veux me racheter,

Ne me renvoyez pas, Je ne sais où aller

Je veux faire pénitence, Ordonnez j’obéis. »

A genoux je supplie, les larmes au bord des yeux.

-« Devant tant de détresse, je serai magnanime

Si tu voulais du pain, c’est que tu avais faim

J’ai là un bon mandrin à te faire avaler« 

A ces belles paroles le geste vous joignez

De vos braies vous sortez un morceau qui m’effraie

Je voudrais refuser, mais je n’ai pas le choix

Je dois obtempérer, je tiens à mon emploi

Mais je suis débutante, ne sais où commencer

Mon maître s’impatiente : »Commence donc par lécher ! »

Une langue timide, se pose sur la chair

A mon étonnement, cela est tiède et doux

Je lèche tout du long, suce par le côté

-« Continue ma mignonne, tu peux te racheter

Je ne suis pas ingrat, j’ai soin de ton confort

Pour ne pas étouffer, délasse ton corsage »

C’est vrai qu’il fait plus chaud, et me voilà seins nus

-« Quelle belle poitrine et tu me sembles douée

Je m’en vais t’enseigner, la branlette espagnole

Là, presse bien tes seins autour de mon mandrin

Et baisse ton minois pour me sucer le gland

Serre un peu mieux les lèvres, c’est bien applique toi

Si tu veux mon pardon, continue comme ça »

Chaque fois plus profond, vous glissez dans ma gorge

Si mes larmes on séché ma culotte est mouillée

-« Suffit, relève toi, donnes moi un baiser »

-« Et si je vous embrasse me laissez vous partir ? »

-« Voyez vous ça soubrette, peux-tu être naïve !

Ainsi à si bon compte, croyais tu t’en tirer ?

Retourne toi souillon, penche toi sur la table

Retrousse ton jupon et baisse ta culotte

Aurais tu oublié ? Je te dois punition. »

-« J’implore votre pardon, s’il vous plait soyez doux »

Mes suppliques sont vaines, et votre main se lève

S’abat sur mon séant, dix fois vingt fois cent fois.

La claque est vigoureuse, la fessée douloureuse

A chaque coup j’implore, je crie pleure et je geint

Enfin les coups s’arrêtent, vous soufflez sur mes fesses

Elles doivent être rouge, et je les sens à vif

Pour calmer la douleur, vous étalez du beurre

Vengeresse tout à l’heure,  la main se fait caresse

L’index et le majeur fouillent mon con trempé

Tendis qu’en mon anus, vous enfoncez le pouce

Je gémis malgré moi de honte et de plaisir

En moi je sens vos doigts, mais j’ai d’autres désirs

Les coups sont oubliés, je dis : « oh oui, encore ! »

Maître qu’à dieu ne plaise, je vous donne ma fleur,

C’est donc cela la baise, pénétrez moi sur l’heure

Prenez mon pucelage, j’ai fini d’être sage

Pour ma première fois, je suis prise en levrette

Et votre queue me fouille encore mieux que vos doigts

C’est si bon je défaille, j’en pleurerais de joie

-« Profitez mon enfant, car c’est à vos dépends

Que vous allez apprendre, tout plaisir a sa fin »

C’est pour changer de trou que vous défouraillez

-« Oh non pas ça monsieur, c’est bien plus gros qu’un pouce

Epargnez moi cela, ça ne rentrera pas »

-« Oh n’en sois pas si sure, tu es bien ma pointure

Si ça fait un peu mal, tu as droit de crier »

Vous rentrez dans ma fente, comme on enfonce un coin

Et ce n’est pas un cri, mais un long hurlement

Poussé à pleine gorge, mon pauvre fondement !

Vous empoignez mes hanches, pour mieux me défoncer

Et vos coups de butoir, sont sans ménagement

Quand vous vous retirez, c’est pour me retourner

Je vois votre giclée qui souille mon giron

-« Allons, je me rhabille, me détourne de toi

Tu es une bonne fille, tu gardes ton emplois. »