La gifle avant la fessée, rentrée sexy mais hard

La gifle est partie sans prévenir, vous étiez assis derrière votre bureau la minute d’avant, j’écoutais distraite le ronronnement monotone de votre voix de directeur de Lycée.

-« Cela vous apprendra à ne pas m’écouter ! Convenez que vous ne l’avez pas volée cette gifle Mademoiselle Bayeul ! »

J’ai la joue en feu. Autant la fessée m’excite, autant être prise ainsi à la volée est surprenant et douloureux. Je m’attends au pire pour le sale quart d’heure à venir et pourtant je mouille déjà comme une folle.

Pour cette rentrée j’ai sorti mon plus beau costume de lycéenne sexy. Je m’attendais à être mieux traitée même pour un cours très particulier. Ma jupe est de tweed à carreaux. Ma chemise blanche déboutonnée, juste nouée en bas dévoile mes beaux seins (85C) qui débordent presque d’un bustier trop étroit. Mes chaussettes sont montantes jusqu’aux genoux et mes souliers vernis noirs ont d’épais talons qui me font paraitre encore plus grande que je ne suis déjà. J’ai deux belles tresses qui, tout comme moi, ne demandent qu’à être tirées. Une culotte de coton immaculée qu’il ne tient qu’à vous de baisser, ou mieux, d’écarter sur le côté. Cette année vous m’avez convoquée le tout premier jour pour bien mettre les choses au clair. Je vais devoir être bien sage et très gentille avec vous si je ne veux pas tripler ma terminale. Je suis debout, les mains derrière le dos et vous écoute l’air contrit.

-« Qu’est-ce que je viens de dire mademoiselle Bayeul ! »

Hein ?! En fait je n’écoutais pas du tout. Je m’appliquais jute à faire ma mine contrite. Votre blabla sur le travail, la discipline et le comportement exemplaire attendu de moi me passait complètement par dessus la tête.

-« Heu…Vous disiez que je devais apprendre mes leçons ? »

Et c’est là qu’a surgit la gifle. Violente et inattendue, faisant tomber mes fines lunettes de vue sur le parquet usé sous votre bureau.

-« Voilà, exactement ce que je dis, vous n’écoutez rien à ce que l’on vous dit. Je le vois bien à votre regard vide, Mademoiselle Bayeul… »

Je baisse les yeux.

-« Pas de ce petit jeu avec moi mademoiselle ! Regardez moi ! »

Je relève les yeux où perlent de vraie larmes.

-« Pas la peine de me faire vos yeux de Bambi, cela ne prend pas avec moi. Vous avez le regard vide d’une vache ! Et ramassez moi donc vos lunettes grande maladroite ! »

Le temps que je m’agenouille pour chercher à tâtons ma paire de lunette qui a glissé sous votre bureau vous en avez rapidement fait le tour tout en déboutonnant votre pantalon sans fausse pudeur. Lorsque je relève la tête c’est une autre paire que j’ai sous les yeux. Surmontée d’un appendice qui tient plus de la trompe que du nez. Vous commencez tout juste à bander et si la taille est impressionnante la légère courbe et la mollesse que je devine laisse imaginer qu’il reste encore un beau potentiel à votre engin.

-« Tu vois idiote, tu te crois jolie mais tu es encore loin de m’exciter comme tu devrais ! Bon, tu as le regard vide, autant que tu te remplisses un peu la bouche… »

Je remets mes lunettes sur mes yeux rouges. Je retiens mes larmes et ma voix tremble.

-« Non, s’il vous plait. Je promets d’être bonne élève cette année. S’il vous plait non. » Je recule ma tête mais n’ose pas me relever.

-« Hein !? Comment ça non ? Tu t’habilles comme une pute et tu ne veux pas sucer ! »

-« Mais c’est l’uniforme du lycée, c’est vous qui m’avez dit de m’habiller ainsi. »

-« Encore mieux, voilà qu’elle me répond ! On aura tout entendu ! »

Vous me prenez sans ménagement par les cheveux pour me relever et me plaquez sur le bureau.

-« Je peux t’assurer qu’avec ce que tu vas prendre tu vas regretter de ne pas m’avoir sucer tout de suite ! »

C’est maintenant sur mes fesses que pleuvent les gifles. J’essaie, par réflexe de me relever mais votre main ferme entre mes omoplates m’en empêchent.

-« Pour le moment ce n’est que ma main, je te conseille de te tenir tranquille si tu ne veux pas que je change d’instrument. Regarde un peu sous le bureau de là où tu es pour voir ce que je veux dire. »

Et là, je n’ai d’un coup plus du tout envie de jouer. La collection de martinets et autres planches cloutée accrochée sous votre bureau me glace le sang d’un coup. Tétanisée je n’ose plus faire un geste.

-« Je vois que mademoiselle est décidée à être raisonnable. C’est bien, tu es une bonne fille, tu comprends vite. »

Vous avez relevé ma culotte, baissé ma culotte au milieu de mes cuisses et me fessez copieusement. Je me retiens de crier à chaque coup mais me force à ne pas essayer d’échapper à vos coups tant j’ai peur que le jeu auquel j’étais initialement consentante ne vire à un mauvais plan.

-« Tu as lu cinquante nuances de gris ? »

La question, incongrue, me prend complètement de court.

-« Heu…non. »

-« Moi non plus et j’en ai rien à foutre ! Mais en tous cas cinquante c’est bien le nombre de fessées que tu as gagné en refusant de sucer ma bite petite conne ! Et c’est toi qui va les compter. A rebours. Et te retiens pas, je veux t’entendre crier un peu. »

Votre main s’abat à plat sur le haut de mes cuisses, juste sous les fesses.

-« Aie ! cinquante »

-« Plus fort connasse, pas très convaincant ce aie »

La fessée suivante fait plus que frôler me fesses par le côté.

-« Han ! Quarante neuf »

Retour sur la même fesse

-« Han ! Quarante huit »

Soit plus convaincante quand tu gueules sinon je vais être obligé de changer d’ustensile. Si tu vois ce que je veux dire. »

-« Han, non, pitié, han, aah, quarante sept, quarante six, quarante cinq. »

La série suivante vient à plat, sans aucun ménagement. Je continue à crier et à tenir le décompte de ma punition. On a passé la moitié, à vingt je sens votre main remonter entre mes cuisses meurtries jusqu’à ma chatte.

-« Mais c’est que tu mouilles quand même comme une grosse salope ma cochonne ! »

-« Je ne devrais pas mais je suis trop gentil. Allez, fini la fessée, on va s’occuper de te consoler un peu ! »

La pine que je sens entrer en moi comme dans du beure est un réel soulagement. Je me cambre et tend mon sexe vers cette levrette salvatrice. Vous y allez sans ménagement mais après la fessée déculottée que je viens de prendre votre longue queue emplissant mon vagin me fait l’effet d’un grand soulagement. Après les cris de douleur viennent les gémissement de plaisir : »Ouiiiii, hummmmm ! » Et pourtant je pleure encore, peut être de honte et d’humiliation d’avoir tant envie de votre queue malgré ce que vous m’avez fait subir.

En même temps que vous me ramonez en levrette sur le bureau vous enfoncez un pouce dans mon anus qui commence à se distendre. Mes fesses ne sont plus qu’une immense zone de douleur au moment où votre chibre force mon anus je ne me contracte pas pour l’empêcher d’entrer. Je ne m’étais pas trompé, une fois bien dure elle je sens bien qu’elle est de taille. Chaque coup de butoir endolori mes fesses un peu plus. Je pleure toujours mais j’aime en même temps sentir votre vigueur en moi. Ma chatte frotte contre le bois du bureau. Je mets ma main autant pour me protéger que pour me caresser en même temps.

-« C’est mieux, je crois qu’on va bien s’entendre tous les deux cette année. Faudra revenir me voir souvent Mademoiselle Lucie. Hein ? »

-« Oui, monsieur, quand vous voudrez han han, monsieur le directeur ».

-« Bien sûr, quand je veux ! mais je compte aussi sur vous pour me surprendre et que je n’ai pas besoin de vous convoquer pour que vous veniez à mon bureau régulièrement. Très régulièrement ! »

-« Oui, promis, han han d’accord, c’est promis, juré, haaaan ! ».

-« Allez, c’est bon pour cette fois, vous pouvez disposer. »

Vous sortez de mon cul aussi vite que vous y êtes entré, remettez en place ma culotte et ma jupe.

Je me relève du bureau. C’est étrange de vous voir me donner ainsi congé le pantalon toujours baissé, le sexe encore bien au garde à vous. Interloquée je me dirige vers la porte de votre bureau. Je constate, surprise, qu’elle est restée entr’ouverte tout le long de ma convocation.

-« Mademoiselle Bayeul ! »

Aie, je me disais bien…Je me retourne :-« Oui monsieur le directeur ? »

-« Dites donc, vous êtes sure que vous n’oubliez rien ? »

Je reviens sur mes pas, m’agenouille docile et avale votre queue.

-« C’est bien, j’aime mieux ça, regardez moi bien en même temps… »

Je suce avec application, les yeux levés vers vous derrière mes lunettes. Vous êtes adossé au bureau, tenant mes deux tresses dans un poing, l’autre main derrière ma nuque. Je vous suce et vous masturbe en même temps. J’aspire à fond, presse de la langue, je serre les lèvre, mon va et vient n’est ni trop lent ni trop rapide. Lorsque vous écartez ma tête c’est pour éjaculer sur les verres de mes lunettes.

-« Maintenant vous pouvez y aller. Ne touchez à rien, vous nettoierez vos lunettes en dehors de mon bureau. »

Je sais que si je sors les lunette ainsi souillée je risque de croiser des camarades de classe dans le couloir. Mais je n’ose pas désobéir, aussi je sors m’efforçant de garder la tête haute…Du moins jusqu’à la prochaine fois.

Frisson X et plan Q du vendredi

C’est vendredi. Il faut être chez la nounou avant 18h00 et le week-end s’annonce long et dur. Adjectifs qui, pour une fois, ne sont pas synonymes de frisson x pour mon petit cul mais bien d’un profond ennui avec monsieur mon mari.

En finissant vers seize heures trente je peux donner rendez vous à mon plan cul trouvé sur hard Messenger à quelques rues du bureau. Je monte dans ta voiture. Je me suis assurée à l’avance qu’elle est de marque, intérieur cuir. Cela me fait toujours de l’effet. Nous n’avons qu’une petite demi heure mais c’est exactement ce qui me convient pour ce frisson rapide de fin de semaine. A peine as tu démarré que je prends ta main pour la glisser sous ma jupe. L’été fini j’ai remis les collants, mais sans culotte bien sûr ! Tu conduits, concentré sur le trafic de cette fin de vendredi. Je presse ta main sur le nylon et tu sens ma chatte gonflée de désir à travers ce collant qui te fait obstacle. J’aime cela, je serre les cuisses pour emprisonner ta main, mes ongles s’enfoncent sur ton avant bras. Tu bouges les doigts et presses comme tu peux mais mes cuisses sont serrées et le nylon te fait toujours obstacle. Pourtant ma mouille commence à monter et tu peux sentir la chaleur humide autour de ta main, deviner que tes doigts s’humidifient. C’est bon, j’aimerais faire durer mais nous n’avons que peu de temps. Je relève ma jupe, décroise les jambes et déchire moi même l’entrejambes de mes collants. Ta main sera mon gode. Dieu que c’est bon ! Ton doigt s’enfonce, caresse et fouille. Je mords ma lèvre, m’accroche à ton bras.

Je me penche à ton oreille : »Sors vite ta bite, je veux sucer. »

Dans la ligne droite tu calles le volant avec ton genou, défais ta ceinture de la main libre et libère une queue droite et longue. Je me contorsionne pour me pencher en gardant ta main prisonnière de mes cuisses à nouveau serrées. La manœuvre est osée mais le route est droite et le régulateur de vitesse callé à 96. Voilà, là je te prends en bouche. Tu n’imagines pas comme j’aime sucer. Ta colonne de chair qui empli ma bouche est pour moi le plus délicieux des gouters. Je bouge le bassin pour accompagner ta main experte. Depuis quelques mois je m’entraine en cachette à contrôler les muscles de mon vagin. C’est encore balbutiant mais j’arrive à accentuer un peu ou relâcher la pression autour des deux doigts bien enfoncés. Je vais et viens en même temps avec ma bouche. Je suce, j’aspire, je presse mes lèvres, tourne la langue. J’expulse ton chibre un instant pour te parler : »T’arrête pas, branle ma chatte, fais moi jouir, mets y trois doigts, continues ! ». Je suces tes couilles et reprends ta queue à fond en bouche. Tout s’accélère, je te prends en gorge profonde jusqu’à la garde, te recraches, te reprends, de plus en plus vite. Je serre encore les cuisses contre ta main. Je voudrais crier mais ma bouche est pleine. Putain, ça y est, je joui, j’ai reculé ma tête pour crier : « haaaaaannnn ! la vache, la vache, putain, putain encore, c’est bon, tu me fait jouiiir ! ». Je reprends ta queue à pleine bouche juste avant que tu n’éjacules abondamment. Ma bouche est pleine de ta queue encore ferme et de ton foutre qui gonfle mes joues. J’avale et je suce encore. Je presse bien les lèvres et la langue pour recueillir jusqu’à la dernière goute. C’était si bon ! Mais il faut que tu me ramènes, dans 15 minutes je dois être chez la nounou. Le long week-end peut, hélas, commencer. Merci pour ce frisson du vendredi, je peux aller retrouver mon mari.

Plan à 3, suite en chambre d’hôtel

Si vous avez raté le début, lisez d’abord la mise en place de ce plan à 3

A peine refermée la porte de la chambre Amandine se colle à moi pour m’embrasser le cou. Je l’aurais repoussée gentiment sans l’intervention élégante de Michel : »Allez y les filles, gouinez vous un peu, ne vous gênez pas pour moi, au contraire, je vais me servir un petit verre en vous regardant. Après tout vous avez une tournée d’avance il me semble. »

Il se dirige vers le minibar comme si tout était parfaitement habituel et naturel. Michel se sert un whisky et s’installe sur le canapé tendis qu’Amandine me pousse sur le grand lit. Sa langue fouille ma bouche et ses mains semblent être partout à la fois. Je ne sais pas si c’est l’effet de l’alcool ou si c’est de savoir que Michel nous regarde mais je me désinhibe enfin et répond à son baiser avec avidité ainsi qu’avec la langue. La bouche d’Amandine me semble minuscule. Sans doute que cette impression est accrue du fait que je n’ai jusqu’alors embrassé que des hommes. Habile elle trouve la fermeture éclair de ma jupe. Elle m’en débarrasse sans décoller sa bouche de la mienne. Sa robe fourreau me donne plus de fil à retordre mais, indulgente, elle guide mes mains vers le bouton du haut que je parviens à défaire sans arrêter de faire tourner ma langue. Pour moi c’est la première fois avec une fille et la sensation de tenir dans mes bras le corps si menu d’Amandine est assez déroutante. Cependant, de voir Michel dans le canapé à côté qui sirote tranquillement son Whisky en nous reluquant m’excite au plus haut point. Le corps d’Amandine ondule contre moi et nous poursuivons notre séance d’effeuillage jusqu’à nous retrouver entièrement nues. Amandine me titille le clitoris et, comme je ne veux pas être en reste j’aventure ma main entre ses cuisses. La sensation est très différente de quand je me caresse. Comparée à la mienne sa chatte me semble incroyablement étroite. Elle mouille bien, je n’ai pas de mal à y enfoncer deux doigts mais ils me semblent bien à l’étroit. J’ai aussi l’impression d’être aspirée et que sa chatte me suce littéralement les doigts. Je pense d’ailleurs que ce n’est pas une impression. Cette jeune asiatique semble parfaitement maitriser des muscles dont je ne soupçonnais même pas l’existence. De son côté Michel a sorti son braquemard de son pantalon et fini son verre cul sec.

« Hé les filles, faudrait pas m’oublier non plus ! » nous lance-t-il depuis le canapé.

Il ne faut pas me le dire deux fois, je m’écarte un peu d’Amandine et me dirige lentement à quatre pattes vers le canapé. La chambre est assez grande ce qui me laisse le temps de soigner ma démarche de chienne soumise. Amusée, Amandine me suit mais en avançant sur les genoux langue pendante et coudes repliés adoptant la position d’un animal bien dressé qui ferait le beau pour avoir une friandise. Je débarrasse Michel de son pantalon tendis qu’Amandine s’occupe d’ôter mocassins et chaussettes en fil d’écosse de notre troisième homme. Le plan à 3 va enfin pouvoir vraiment commencer.

Michel est aux anges, cela se voit. Mais il se comporte exactement comme je l’espérais : tout en contrôle sans se laisser dépasser par l’aubaine que constitue ce plan à 3 d’enfer.

« Hum, vous êtes vraiment deux bonnes petites chiennes bien dressées ! » nous flatte-t-il en nous caressant les cheveux alors que nous remontons lentement le long de ces jambes aussi poilues que nos chattes sont lisses et imberbes. Alors qu’Amandine commençait à le branler et approchait sa fine bouche du gland décalotté je la retenais et lui glissais à l’oreille : »Attends, rien ne presse, faisons le attendre un peu si tu veux. »

Fine mouche elle comprend instantanément où je veux en venir et se contente de petits bisous en haut des cuisses et à la base de la verge sans chercher à le sucer tout de suite. Cela me laisse le temps de déboutonner sa chemise en partant du bas, léchant son ventre puis son torse velu au fur et à mesure de ma lente progression vers son cou. Michel ne parle plus, il savoure l’instant caressant toujours nos tête comme si nous étions ses deux animaux domestiques. Il est parfait et, chose rare, j’ai envie de l’embrasser langoureusement comme un vrai amoureux. Je ne me gêne pas et il a l’air d’aimer car je sens ses deux mains maintenant dans mes cheveux. Amandine s’est frayé un chemin jusqu’à ma chatte pour me lécher copieusement. Sa fine langue nerveuse me fait tressaillir de plaisir et j’en gémi dans la bouche de notre amant. La langue d’Amandine fait merveille mais j’ai envie d’en donner plus à Michel. Après tout il s’agit d’un plan à 3, pas d’un plan gazon maudit. Je m’écarte doucement de la tête d’Amandine pour m’agenouiller au pied du canapé. J’ai besoin de reprendre un peu mes marque et de me retrouver en terrain connu. Pour cela rien de tel qu’une bonne vieille pipe des familles. La queue de Michel est dure et longue, bien au garde à vous et me voilà prise d’une irrésistible envie de sucer cette pine merveilleuse. Amandine a suivi le mouvement et nos bouches se retrouvent de part et d’autre de la colonne de chair turgescente. Nous jouons à aller et venir latéralement, nous embrassant à moitié partageant la queue de notre amant comme si nous sucions le même esquimau glacé.

-« Je prends les olives et toi la saucisse ? » me dit alors Amandine avec toujours cet accent forcé que je trouve un peu ridicule mais qui ne semble pas gêner Michel, bien au contraire. Il lève un peu de bassin pour se mettre plus à l’aise et passe une main sur ma hanche pour m’inciter à monter sur le canapé. Je m’exécute. Agenouillée en travers je suis effectivement en meilleur position pour gouter sa belle saucisse. Je peux vous assurer que c’est plus proche de la saucisse de Toulouse que de la Chipolata niveau diamètre ! Quel délice de sentir sa main ferme entre mes fesse au moment ou je le prend en bouche. Après la délicatesse du cunnilingus d’Amandine ses doigts fermes et inquisiteur pénétrant ma chatte me font l’effet d’une intrusion intensément excitante. Je serre bien les lèvres autour de son chibre et tends du mieux que je peux mon cul pour qu’il y introduise aussi le pouce. J’ai une vue de premier choix sur le visage d’Amandine qui entreprend d’aspirer délicatement une couille. toujours par terre elle se caresse elle même d’une main que je sais maintenant experte. Nous prenons notre temps dans cette configuration. Les vas et viens divers sont répétitifs et j’aimerais transcrire la longue durée de cette double fellation dans mon texte. Imaginez donc ma chatte trempée limée par votre majeur tendis que du pouce vous pressez contre mon anus qui petit à petit se détend. Voyez ma bouche qui englouti lentement votre verge. Vos couilles elles sont léchée puis aspirées par la bouche d’une belle chinoise toute menue qui se touche agenouillée sur l’épaisse moquette de la chambre d’hôtel. C’est tellement bon, parfait, enfin presque car vous avez envie d’un second Whisky.

-« Amandine, sois une bonne fille, ressers moi un verre ! »

Amandine interrompt son suçage de couilles et, docile, vérifie le contenu du minibar.

-« Lucie, tu veux un verre aussi ? Il reste un Whisky pour Michel et une Vodka ou un Gin. »

-« Hummf, non ça va pour moi, j’ai ce qu’il… hummmfff… faut… miummff… en bouche. »

Surtout j’ai envie de ne pas ajouter trop d’alcool aux deux Mojitos et de bien continuer à profiter de chaque instant de ce plan à 3 de folie !

Amandine remplie à nouveau votre verre de Whisky et vous le place dans la main. Elle s’est servi une vodka, en prend une gorgée qu’elle n’avale pas. Elle reprend vos couilles en bouche en prenant soin de ne pas perdre l’alcool. J’imagine que ça pique et chauffe un peu car votre main se crispe un peu sur mon cul. Mais vous portez votre verre à votre bouche pour tenir le coup.

Amandine m’embrasse à nouveau pour me transmettre une gorgée de Vodka. J’aurais voulu la garder aussi en bouche mais la tentation d’avaler est trop forte. Je profite de cet alcool fort. Une petite voix de publicité me susurre que l’abus d’alcool est dangereux et gnagnagna. Je me contrarie de cette pensée incongrue qui me déconcentre de ce moment divin. Alors je me remet à l’ouvrage pour encore sucer avec application. Je ne sais s’il reste suffisamment d’alcool sous mon palais pour que votre bite en soit chauffée. En tous cas votre majeur reprend son travail au fond de ma chatte. L’index bientôt le rejoint.

Putain ce que je me sens bien ainsi. J’ai l’impression que nous nous connaissons tous les trois depuis toujours et que nous sommes exactement en phase. Personne ne se presse. Je suce tranquillement, des fois je laisse un peu votre queue de côté pour embrasser vos cuisses ou votre ventre. Votre pouce entre et sort maintenant sans peine de mon anus et Amandine qui lèche toujours vos couille a joint sa main à la votre pour s’occuper de ma chatte. J’aimerais que ce moment dure des heures. Et, si ce n’est des heures en tout cas il dure longtemps et s’étire alors que la lumière du soir laisse place à la nuit dans notre chambre à la fenêtre ouverte sur la rue quelques étages plus bas. Il fait lourd en cette dernière semaine d’aout même en Bretagne.

Hélas toutes les bonnes choses ont une fin. Heureusement parfois elles sont suivies de choses encore meilleures ! Michel n’a pas encore joui mais il semble au bord de la rupture et n’a pas envie que les festivités déjà finissent. Comme il fait très lourd il propose une douche collective mais froide. L’idée nous enchante comme des enfants et nous voilà tous les trois sous la douche italienne à nous arroser joyeusement tout en nous caressant très tendrement mais en prenant soin que cela reste aussi chaste que possible. L’idée est de refroidir un peu nos ardeurs de hardeurs pour entamer la seconde mi temps dans les meilleures conditions possibles. Tous les échantillons de champoing et gel douche de la chambre y passent. Chacun savonne chacune. Je suis toute glissante et Amandine sent l’amande amère. Bien vite, trop vite, le désir animal reprend le dessus et nous voilà nous frottant l’entrecuisse sur vos jambes. Vous embrassez à pleine bouche mes beaux seins mais avez la présence d’esprit de régler le jet sur froid pour gagner un peu de ce temps que nous savons tous trois immensément précieux. Frais et propres comme des sous neufs nous nous séchons avec les grandes serviettes immaculées de l’hôtel. Amandine m’attire hors de la salle de bain pour me coucher sur le lit. Je suis sur le dos, elle aussi mais en équilibre sur mon ventre fraiche comme une jeune lavandière encore pucelle. Ces petites fesses contre ma vulve elle me semble peser moins qu’un oiseau tellement elle est petite et menue. C’est une autre histoire lorsque Michel et ses quatre vingt kilos s’allongent sur elle pour la prendre en sandwich entre nous. Heureusement le lit est moelleux et je m’y enfonce alors que lui s’enfonce dans la chatte d’Amandine qui laisse échapper un petit cri de douleur. J’ai un peu de mal à imaginer que la grosse queue que j’ai eu en bouche soit rentrée aussi facilement dans la minette si étroite d’Amandine. Mais passée la première douleur elle cri des ouiiiiii et des han han qui ne laisse pas vraiment de doutes sur le plaisir qu’elle prend. A chaque coup de butoir son cul pilonne mon vagin et la fraicheur de la douche me semble déjà un lointain souvenir. Mais il m’en faut quand même plus et je ne fini par réclamer un peu de mon du moi aussi : »Oh, il ne faudrait pas m’oublier hein !? »

-« T’inquiètes, ce soir il va y avoir de la bite à tous les étages ! » et, pour mon plus grand plaisir il joint le geste à la parole, trouvant enfin le chemin de mon sexe humide et, je le regrette un peu, plus vaste.

-« Ouiiii, j’adore ta bite, elle est bien grosse comme il faut ! » Je n’ai pas besoin de me forcer tellement ce que je dit est sincère. A défaut de venir du cœur je peux vous assurer que cela vient au moins du bas ventre. « Vas-y, encore, pilonne moi bien c’est trop bon » Le corps chaud d’Amandine entre nous restreint un peu mes mouvement et je dois dépenser deux fois plus d’énergie pour venir à sa rencontre à chaque coup de rein. A ce rythme je me retrouve trempée autant de mouille que de sueur. Mais comme maintenant c’est Amandine qui réclame il sort de ma chatte pour changer d’étage.

-« Allez, retour au premier étage, hummm, c’est toujours aussi étroit ici dites donc ! »

Difficile de traduire en onomatopée le cri que pousse Amandine tant cela tient à la fois du hululement de chouette que du couinement de truie que l’on égorge. En tout cas elle monte dans les aigus et se débat tout en articulant une suite sans logique de non, oui, non, non, han oui. Un peu vicieuse j’ai mis mes jambe entre les siennes et les maintient bien écartées pour faciliter la tâche de notre doux tortionnaire. Amandine s’agrippe à mes fesses et y enfonce ses ongles french manucurés. C’est un peu douloureux mais dans le feu de l’action j’apprécie beaucoup et je tiens le coup, la maintenant bien écartée et offerte à mon amant. Il la tringle maintenant sans ménagement mais elle ne s’en plain plus et ses gémissements ont maintenant nettement le son du plaisir qui monte. Elle hurle carrément en jouissant. Je pense à la fenêtre ouverte sur la rue passante. Même si on est au troisième étage j’imagine que nous ne passons pas inaperçus. Enfin il ne doit pas être plus de vingt deux heure trente, peut-être vingt trois. l’heure n’est pas déraisonnable.

Michel repousse Amandine sur le côté. Je constate avec envie qu’il semble encore plein de vigueur.

-« Dis donc, Lucie chérie, tu n’as pas été très sympa avec ta copine dit moi ! »

-« Heu, je l’ai tenue pour toi. »

-« Moui, n’empêche ce n’était pas très fair play. Ca mérite une petite punition ! Allez on se retourne vite fait ! »

Il me retourne et je me retrouve sur le ventre. Et le salaud ne me laisse pas le temps de réfléchir. Il me donne la fessée directement du plat de la main sans ménagement. Aie, ce n’était pas au programme ça ! Mais bon, pour être tout à fait honnête ce n’est absolument pas pour me déplaire.

-« Allez, Lucie, tu vas bien te faire pardonner ! »

Amandine prend place juste contre mon visage pour un cunnilingus forcé. Michel me fesse à nouveau.

-« Allez, je veux que tu la fasses jouir pour te faire pardonner. Si tu es bien sage alors tu auras une récompense, t’inquiète pas, je ne serai pas ingrat. » Il passe doucement un doigt sur ma chatte encore bien humide et ouverte.

Timidement je sors ma langue et m’exécute. La sensation est étrange, le goût ni bon ni mauvais. Mais les coups qui reprennent sur mes fesses et cette situation de contrainte m’excitent en réalité à mort et je lèche Amandine du mieux que je peux pour satisfaire mon maître. Amandine prend ma tête à deux main et presse mon visage sur sa jolie chatte intégralement rasée. Je sens la grosse queue dure se presser contre mon anus déjà distendu. La sodomie vient naturellement sans forcer. J’en hurlerai de plaisir si je n’avais la bouche enfuie entre une paire de cuisses fines mais musclées. Je suis complètement en nage. Amandine repousse enfin ma tête et se glisse sous moi au fur et à mesure des coups de butoir qui pilonne mon cul rougi par la fessée. C’est un plan à 3 mais j’ai l’impression qu’ils sont une douzaine à m’enculer à tour de rôle. Je perds totalement le contrôle. Amandine est maintenant sous moi, sa chatte frotte la mienne et je continue d’en prendre plein le cul. Je crois que je crie mais comme on a tous les trois largement lâché les décibels je ne distingue plus vraiment ma voix des couinements d’Amandine ni des grognement de Michel. Finalement il sort de moi brutalement, me repousse violement sur le côté et s’enfonce à nouveau dans le sexe étroit d’Amandine. Elle crie, serre les jambes derrière son dos pour le maintenir à fond en elle mais il se dégage pour pouvoir la pilonner à nouveau. Il finit pas se retirer, enlever son préservatif pour éjaculer sur son ventre bronzé. Je me jette littéralement sur elle pour coller mon ventre au sien et étaler le sperme entre nous. Fin du second round, nous sommes exténués, je dirais même complètement hébétés. A ce jour je dirais que je viens de vivre de loin le meilleur plan cul de ma vie.

Nous dormons quelques heures. Je me réveille vers quatre heure et prend une douche seule puis me recouche contre Michel qui, fort heureusement ne ronfle pas. J’ai vaguement conscience d’Amandine qui se lève un peu après moi et file elle aussi à la douche. Lorsque nous émergeons vers 8h il n’y a aucune gêne entre nous. Nous échangeons de langoureux baisers avec un peu toutes les combinaisons. Nous décidons de nous doucher à trois. Bien sûr je suce consciencieusement Michel. J’adore cette pipe du matin sous la douche. Amandine ne participe pas mais cela n’a aucune importance. Il n’y a plus de serviettes sèches et nous arrachons les draps pour nous sécher. Chacun retrouve ses habits et nous quittons la chambre pour la salle de petit déjeuner. Au moment de nous quitter comme de vieux amis Michel clos notre plan à 3 de cette phrase unique que n’aurait pas renié Valérie Trierweiler : « Tchao les filles, et merci pour ce moment ! »

Mon ebook gratuit !

Je sais que la grande majorité d’entre vous, j’ai même envie de dire d’entre nous car je fais pareil, ne sortira jamais sa carte de crédit ni son téléphone portable pour acheter un ebook pornographique aussi bandant fut-il. Bien sûr vous êtes quelques dizaines par mois à me faire l’honneur d’envoyer ce SMS surtaxé qui vous ouvre le Sésame vers mon bouquin. Mais j’aimerais être plus lue et connue car je suis égocentrique et vénale en plus d’assumer d’être une grosse cochonne de MILF infidèle !

Je viens donc d’avoir une idée pour satisfaire ceux qui ont envie de mon ebook mais sont contre le principe de payer pour.

Tout d’abord mémorisez ce dicton qui vous sera forcément utile : « Quand c’est gratuit c’est toi le produit… »

Poursuivez cette lecture uniquement si vous êtes prêt à un peu de travail en échange de mon ebook. Sinon cliquez ailleurs pour lire un autre article plus bandant car vous allez vous faire un peu chier ici !

Les cinq premières pages de l’ebook sont gratuites téléchargeables ici.

Pour recevoir les 30 premières pages de mon e_book gratuitement en pdf par e_mail il suffit d’accepter de me faire un peu de publicité. Pour cela vous devez vous inscrire sur 2 forums de discussion et laisser un commentaire (pertinent) avec le lien vers un de mes articles. Puis de m’envoyer par mail (ou en commentaire dans le blog) les 2 liens vers vos commentaires (une fois que le modérateur les aura accepté).

Quelques forums où il est facile d’avoir des commentaires avec liens acceptés :

  • Doctissimo. Chercher une discussion récente qui traite de fellation ,de sodomie ou de rencontres et postez un commentaire du genre : Même si je suis d’accord avec cet article en particulier sur le point du consentement mutuel j’aimerais plus de conseils pratiques sur la façon de s’y prendre. J’ai lu un article un peu olé olé sur le sujet sur un blog : http://www.planculvoyage.fr/2015/08/07/5-conseil-sodomie/

ATTENTION, C’EST JUSTE UN EXEMPLE, NE PAS COPIER COLLER, TROUVEZ DES MOTS A VOUS (Sinon je ne validerai pas…C’est trop facile !)

  • Melty Campus – Assez facile d’avoir des commentaires acceptés.

 

  • Le Monde (pour les abonnés)
  • Le Figaro
  • L’express

Vous pouvez par exemple commenter des articles récents traitant de l’arnaque Ashley Madison en mettant un lien vers mon article sur les faux profils http://www.planculvoyage.fr/2015/03/05/faux-profils/

 

  • N’importe quel autre qui vous semble intéressant !

Ca c’est pour les 30 premières pages. Pour les 70 suivantes je les offrirai volontiers aux plus prolixes d’entre vous. Ou je trouverai une autre idée en fonction du succès de cette opération.

 

Bon, allez, parce que vous m’avez lue jusqu’au bout je vous livre le début de ma prochaine aventure :

C’est la rentrée, je ressors mon costume de lycéenne sexy pour prendre un cours très particulier. Ma jupe est de tweed à carreaux et ma chemise blanche déboutonnée, juste nouée en bas dévoile mes beaux seins tenu par un bustier minuscule. Mes chaussettes sont montantes jusqu’aux genoux et mes souliers vernis noirs ont d’épais talons qui me font paraître encore plus grande que je ne suis déjà. J’ai deux belles tresses qui, tout comme moi, ne demandent qu’à être tirées. Une culotte de coton immaculée qu’il ne tient qu’à vous de baisser. Cette année vous m’avez convoquée le tout premier jour pour bien mettre les choses au clair. Je vais devoir être bien sage et très gentille avec vous si je ne veux pas tripler ma terminale. Je suis debout, les mains derrière le dos et vous écoute l’air contrit.

-« Qu’est-ce que je viens de dire mademoiselle Bayeul ! »

La gifle est venue sans prévenir, vous étiez assis derrière votre bureau la minute d’avant, j’écoutais distraite le ronronnement monotone de votre voix de directeur de Lycée.

-« Cela vous apprendra à ne pas m’écouter ! tendez l’autre joue pour une seconde gifle Mademoiselle Bayeul ! »

J’ai la joue en feu et sans doute rouge. Autant la fessée m’excite, autant être prise ainsi à la volée est surprenant et douloureux. Je m’attends au pire pour le sale quart d’heure à venir et pourtant je mouille déjà comme une folle.

 

 

Taille du sexe, est-ce que ça compte pour moi ?

 

Mon compte twitter c’est ici ==> Lucie sur Twitter

Avant de parler taille du sexe : Mon compte Facebook est encore bloqué ! Je ne comprends pas que DominiqueTamère, Tagrosse Cochonne et Lucien le Coquin ne soient jamais repérés alors que moi avec mon pseudo passe partout je suis identifiée comme fausse identité par Facebook !

Mais revenons à nos moutons.

Alors voilà, la question peut paraître un peu conne mais elle m’est souvent posée. Je pourrais m’en moquer, railler ceux qui m’envoient une photo de leur grand pénis légendée photo de ma belle teub pour le cas où je n’aurais pas identifié cette partie de leur anatomie. Il serait bien facile de plaisanter à leur dépend et, j’avoue qu’il m’arrive de le faire ! Mais au final cette question de la taille du sexe est une vraie question et si elle est souvent posée c’est bien qu’il y a une réponse intéressante (enfin j’espère) à y apporter.

Tout d’abord on va arrêter de faire des chichi panpan et éviter les réponses politiquement correctes lues et relues du genre : »Mais bien sûr que non, la taille du sexe n’a pas d’importance pour la femme. Ce qui compte c’est le comportement de l’amant, son attention apportée au plaisir de sa partenaire et gnagnagna et gnagnagna. » Je ne vis pas au pays magique des Bisounours et vous non plus j’imagine.

La taille du sexe compte pour moi !

Bien sûr que oui, la taille du sexe cela compte ! Demandez à un type qui aime les gros seins s’il préfère Jane Birkin ou Samantha Fox ! Désolée pour ces références un peu ringardes, les plus jeunes n’ont qu’à chercher sur google pour voir de qui je parle.

Donc oui, en tous cas pour moi, la taille du sexe c’est quelque chose que je regarde avec intérêt et grande attention. La taille du sexe compte pour moi mais, paradoxalement, pas au sens que vous pourriez croire. Pour être plus précise je dirais que je peux avoir autant de plaisir à me faire ravager la chatte par un étalon bien membré et performant qu’à faire ma chienne pour faire jouir un gras du bide, à petit pénis bande mou. Pour peu qu’il soit jovial et bon vivant je dirais même que je préfère passer une soirée avec ce profil qu’avec un grand musclé à deux neurones. Mais alors me direz vous c’est donc que cela n’a pas d’importance pour elle, on n’y comprends plus rien, elle nous embrouille. Bin en fait non, je tiens juste compte de la taille du sexe de mon partenaire et de sa vigueur pour adapter mon fantasme et le délire de mon plan cul. Je ne vais pas vous le cacher, j’aime me faire défoncer par une grande bite bien dure comme une bonne grosse salope. Pas de problème, je n’en conçois nulle honte. Mais je dis que cela peut être encore plus excitant de me retrouver soumise à un homme qui n’a pas cet avantage et se montre plus commun dans la taille et même dans la dureté de son pénis. Prendre le temps de sucer une bite un peu molle dans l’espoir de la faire durcir est largement aussi gratifiant que de voir bondir un pénis au garde à vous d’un caleçon que l’on n’a même pas encore baissé. Souvent un homme moins bien membré ou peu endurant va développer des trésors d’ingéniosité pour faire durer le plaisir. Les meilleurs baiseurs ne sont pas forcément les meilleurs fesseurs. Une fois j’ai été magistralement fessée par un homme très moyen par ailleurs. J’en garde un souvenir ému quoique fort douloureux. N’allez pas cependant croire que je ne vénère que les extrêmes. Tout est bon dans le cochon ! Il est cependant vrai que ce qui m’attire c’est plutôt les hommes originaux ou qui correspondent à mon fantasme du moment. Je pense aimer la bite autant que vous aimez un petit cul (ou un gros). J’accorde de l’intérêt à la taille du sexe mais sans avoir de préférence établie…Je m’adapte !

Cela étant écrit sachez quand même qu’il existe des programmes d’élargissement de pénis. J’ai d’abord cru à une grossière arnaque. Et au final je dois confirmer que c’est une grosse arnaque !! J’en ai discuté avec un ami médecin qui m’a confirmé l’exagération mensongère de ce type de programmes. 6 centimètres en 4 semaines c’est juste du grand n’importe quoi ! Il existe bien des façons mécaniques via ce type de programme d’allonger son pénis mais le gain à en attendre est plutôt de l’ordre de 2 centimètres grand maximum me confirme mon ami médecin. Le jeu en vaut-il la chandelle (si je puis m’exprimer ainsi ) ? Je n’en sais rien et vous êtes assez grands pour en décider par vous même. Je mets le lien quand même ici, au moins vous rigolerez bien en lisant ce qu’ils promettent.

En tous cas je suis avide de vos commentaires sur la taille du sexe et son importance, que vous soyez propriétaire du sexe en question ou juste utilisatrice !