Un mardi soir. A plus de 400km de la maison, Restaurant chic d’une bourgade de province. A deux pas de mon Airbnb. Nous avons matché sur cinq à sept. Donc pas vraiment de suspense sur le fait qu’il y aura plan cul. Le suspense est davantage dans la façon dont la chose va se passer. Pour l’instant tu m’as juste dévorée des yeux pendant tout le repas, essayant d’entretenir la conversation en évitant les moments de gêne. Car là où il y a de la gêne, il y a moins de plaisir. Et tu t’en es plutôt bien tiré.
Je porte un pull en cachemire qui met en valeur mes gros seins, une jupe beige mi longue sur des collants beiges eux aussi. Queue de cheval et maquillage discret. Pas de string ni de culotte mais ça, tu ne le sais pas encore. Mes souliers vernis à talons hauts sont un détail important pour la suite mais ça c’est moi qui ne le sait pas encore…
Nous avons brièvement évoqué nos mariages respectifs qui partent à la dérive, notre goût commun pour le sport. Je t’ai allumé en disant que j’ai le sport en extérieur et aussi en chambre. C’était direct mais c’est pas comme si on savait pas tous les deux pourquoi on s’est donné rendez vous dans ce restaurant ce soir là. Pourtant nous avons pris notre temps. Nous avons aussi parlé cinéma, lecture et gastronomie. Tu as réussi admirablement mon petit quizz coquin. A la question quel est ton fruit préféré ? tu as répondu l’abricot. Forcément quand tu m’as dit et toi ? J’ai choisi banane. Sous la table j’étais déchaussée et j’osais discrètement de délicates caresse du bout des orteils. J’ai choisi ce resto chic pour ses grandes nappes qui permettent de se faire du pied en toute discrétion. J’arrive à remonter le long de ton mollet. J’approche ma chaise un peu plus de la table pour pouvoir tendre la jambe et remonter le long de ta cuisse. C’est tout un art de faire cela en restant naturelle, sans donner l’impression de se contorsionner. Merci le yoga ! Toi aussi tu approches un peu ta chaise de notre petite table. Et je peux caresser ton entrejambe facilement. La table ronde n’est pas très grande. Je fais cela délicatement, en te regardant droit dans les yeux. Toi, depuis le début du repas tu as plus de difficulté à me regarder dans les yeux. Ma poitrine ferme et généreuse n’aide pas, il faut dire.
-« Si t’as trop chaud commande une glace en dessert. Moi je vais prendre un tiramisu. Il est crémeux comme j’aime…»
La serveuse, vient pour enlever les assiettes et proposer la carte des desserts. J’ai reculé mon pied juste à temps pour qu’elle ne remarque pas mon manège. Ou peut être qu’elle a remarqué. Bof, on s’en fout.
Moi : -« Ça te dis un petit jeu ? »
Toi : -« Dis toujours, je sens que je vais aimer. »
Moi : -« On commande tous les deux un dessert différent. Celui qui est servi en dernier paie l’addition. »
Toi :-« C’est tout ? J’avais pas l’intention de te laisser payer de toutes façons ! »
Moi :-« Et l’égalité des sexes, ça te parle pas ? Bon, surtout, disons qu’en contrepartie celle ou celui qui se fait inviter devra faire tout ce que l’autre lui demande jusqu’à demain matin. Elle ou il sera la marionnette de l’autre. »
Toi : -« Humm, voilà qui me plait déjà plus ! Ok, topes là! »
Tu me tends ta main par dessus la table. Mais je préfère t’envoyer une bonne tape dans les couilles du bout du pied !
Toi :- » Aie ! ça fait mal ! »
Je recommence un peu plus fort même
Toi:- » Arrête ! T’es malade, ça fait mal ! »
Moi :-« Oh ! Bichon, ça te donne un avant goût de ce qui peut t’attendre si c’est moi qui paie l’addition… Bon, après, si c’est l’inverse tu pourras te venger… »
Toi :-« Tu sais qu’en général on sert toujours les femmes en premier, tu risques de perdre. »
Moi :-« Oui, sauf que j’ai vu comment la serveuse te regarde et rappelle toi que tu as eu tes ris de veau avant mon pigeon. »
La serveuse arrive, sourire niais et voix haut perché. Je commande un tiramisu. tu sembles hésiter. Et tu prends la crème brulée maison à la violette. Là je réalise que je me suis sûrement faite avoir. Et, en effet, quand arrivent les deux dessert la serveuse pose mon tiramisu en premier et le tien après qu’elle allume pour faire flamber la crème brûlée.
Tu jubiles en demandant l’addition alors que nous n’avons même pas encore entamé nos desserts. Le temps qu’elle revienne avec la note ta crème brûlée à est engloutie et tu sors trois billets de cinquante de ton porte feuille.
-«Tu disais ? Ton Airbnb est à deux pas c’est ça ? »
-« Oui, c’est à moins de cinq minutes. Je t’invite pour un dernier verre ?»
-« Avec plaisir ! Mais je te rappelle que c’est moi qui ait gagné le pari. Et comme tu as déchaussé un pied pour sournoisement me frapper à un endroit de mon anatomie auquel je tiens particulièrement, je te confisque ton soulier ! »
Tu tends habilement le pied vers mon talon haut droit et le récupère sous la table :-« Ah ! Et interdit d’enlever l’autre. J’ai bien envie de te voir boiter jusqu’à notre petit nid d’amour ! Tu pourras te pendre à mon bras si t’es sage ! »
D’un coup mon Airbnb qui me semblait à deux pas me semblent quand même bien loin. Sur le chemin de retour je me sens bien moins sexy et confiante en moi qu’au restaurant. Marcher avec une jambe plus haute de douze centimètres, même en me tenant à ton bras me fait perdre pas mal de prestance. Tu en profite pour passer ta main sous mon pull en cachemire. Le contact de ta main sur la peau de ma hanche devrait m’exciter en temps normal. Mais là je me sens juste piégée et pas du tout à mon avantage. Heureusement le trottoir est lisse et à peu près propre. Je fais démon mieux pour poser le moins longtemps possible mon pied déchausser pour ne pas trop déchirer le nylon de mes collants. Aucune illusion sur le fait qu’ils seront de toutes façons ruinés mais je n’ai pas envie de m’écorcher le pied connement. En m’accrochant à toi j’arrive à ne presque pas poser le pied nu au sol mais ce n’est pas très élégant et c’est un peu humiliant. Tu impose une marche assez rapide et essoufflante. C’est donc un soulagement d’arriver en bas du petit immeuble de ville où je loue un appart au sixième étage.
-« S’il y’en plaît, pas l’escalier, on prend l’ascenseur ! »
-« Ah? Rappelle moi qui a gagné le pari ? »
-« S’il te plaît… »
-« Bon, ok. Mais si tu choisis comment on monte alors c’est moi qui choisi comment je te monte. »
-« Heu…ça je l’avais compris… »
-« Allez, en voiture Simone! »
Tu me claques les fesses à travers la jupe pour me faire entrer dans l’ascenseur dont je dois ouvrir la porte qui n’est pas automatique. C’est un vieil ascenseur, minuscule, en bois avec une porte vitrée. Il passe au milieu d’un escalier en colimaçons. Tu t’y engouffres derrière moi. Contre moi serait plus approprié tellement la cabine est étroite. Tu ne te gênes pas pour remonter ma jupe.
-« Tiens, je pensais que tu aurais des bas…Mes des collants c’est bien aussi. »
Dans mon dos tu me tiens contre toi, la main sur mon ventre sous mon pull en cachemire. Lorsque l’ascenseur stoppe brusquement à mon étage je sens nettement ton sexe sur mes fesses qui tressottent. Tu me serres un peu plus fort sans sembler pressé s’ouvrir la porte de l’ascenseur.
-« Tu es sure qu’il tient toujours le pari ? Parce que si tu change d’avis vaut mieux le dire toute de suite… » Tu pinces ma fesse assez fort pour qu’il n’y ait pas d’équivoque sur ce qui m’attend.
-« Je n’ai qu’une parole. »
-« Ok, tu m’invites pour un dernier verre alors ? »
Mon Airbnb est une garçonnière agréable. Un petit studio en loft. Canapé Togo en velour, table basse en verre tapis marocains en laine épaisse. Le lit est sous les toits perché sur une mezzanine. Je suis reconnaissante au propriétaire d’avoir particulièrement soigné l’éclairage. Les ampoules ne sont pas trop fortes et il est facile d’obtenir une ambiance tamisée très romantique. On pourrait penser que quand je pars en déplacement avec un plan cul en vue j’ai dans ma valise une jolie collection d’accessoires SM. Mais en vérité, ce que j’ai c’est surtout une petite valisette de pique nique avec des bouteilles d’alcool, deux verres en cristal de Bohème et aussi des poppers et autres aphrodisiaques.
-« Si tu veux je peux te servir un whisky et t’offrir un petit spectacle. »
-« Oui, pourquoi pas. Mais viens un peu ici d’abord. »
Tu m’attrapes et passes tes mains sous mon pull pour malaxer mes seins. Je passe les mains derrière mon dos pour dégrafer mon soutien gorge. Tu trouves la petite fermeture éclair sur le côté de ma jupe et je me retrouve vitre en collants.
-« Enlève moi ça ! je veux que tu restes juste en collants. »
J’obéis. Être à demi nue devant dans un studio devant un homme qui reste habillé est une situation que je connais. Mais c’est toujours intimidant. Intimidant et fortement excitant. Je prends le verre à whisky sur la table basse et me dirige vers le frigo américain. Je boite toujours car je n’ai qu’un seul talon. je remplis ton verre de glaçons au distributeur dans la porte et t’apporte ton whisky.
Et, ce soir, comme je suis d’humeur taquine j’ai décidé de ne pas en écrire plus et de vous laisser tous sur votre faim !!!
ahahah !
Mais si vous revenez plus tard dans un jour, un mois, un ans sur cette page peut être que vous saurez comment tout cela s’est terminé pour mes fesses polissonnes.