Bals de village en été

Il y a l’été une tradition française que j’aime particulièrement : Les bals en plein air. Bal des pompiers, feux de la saint Jean, ou simplement bal de camping ou de village pendant les vacances d’été. J’arrive toujours à trouver un prétexte pour être soit disant au travail ou alors c’est mon mari qui est chez mes beaux parents avec notre enfant et moi chez nous pour une raison ou une autre. Alors je saute dans ma Fiat 500 et je file le soir vers un camping ou une boîte de nuit en plein air côté espagnol de la frontière. Je laisse l’iPhone à la maison, je remplace l’AppleWatch pour une  vieille Seiko à aiguilles et je ne prends que de l’argent liquide. Pas besoin de réserver un Airbnb, je sais que je trouverai une âme charitable et bien montée pour m’héberger après le bal jusqu’à l’heure des croissants. Et tempis si je disparais des radars pendant 24 heures. Je trouve toujours une explication plausible, quitte à noyer mon iPhone dans le lavabo de la cuisine.  Demain peut être je vous raconterai un très beau souvenir de bal de village de l’été 2022. En attendant, il est, pour moi 23 heures et je vous dis bonne nuit. J’aimerais tellement mieux être soit la couette à vous sucer longuement plutôt que chez moi écrivant ces lignes sur mon téléphone avec monsieur mon mari qui dort juste à côté. Et si vous me croisez par hasard cet été au bal, sachez que j’ai souvent un petit plug anal sous ma robe à fleurs.
Tendres léchoules sur vos couilles.

Lucie.

 

PS : Écrivez moi en commentaire. J’adore vous lire et je réponds toujours.

Bonne petite salope soumise

Mon costume de bonne petite salope soumise

La petite robe noire toute simple devient très sexy si je mets pour toi un porte jarretelle dessous et des bas noirs de petite salope soumise. Talons aiguilles obligatoires et collier ras de cou en cuir avec l’anneau qui va bien pour accrocher une laisse de chienne.

Maquillage et coiffure de salope soumise

Pour ton plaisir je sais que tu me veux parfaite. Alors j’ai mis un rouge à lèvres 💄 très rouge mais fin et léger. De grand faux cils de poupée et des ongles vernis assortis à mes lèvres. Deux couettes d’écolière coquine donne à ma fine silhouette un faux air d’innocence juvénile.

Une salope soumise dans ton salon

Installe toi confortablement dans ton canapé. Et ordonne ou laisse toi juste faire. Ta petite salope soumise va te servir un verre. En bonne salope soumise elle doit se déplacer à quatre pattes. Le faire avec sensualité n’est pas donné à la première venue. Je ne suis pas la première venue. Je me suis entraînée. Me déplacer au sol, que ce soit sur les genoux, à quatre pattes ou en rampant, je sais le faire souplement et de manière très excitante. J’ai choisi pour toi une poire glacée dans un grand verre ballon qui sort du congélateur. Sur la table basse un grand bac à glaces et un éclairage à la bougie. Cire brûlante et glaçons devraient t’inspirer quelques doux sévices à faire subir à ta petite salope soumise. Tu savoures ton verre et la vue sur ma croupe. A quatre pattes contre le canapé je lèche tes pieds nus comme un petit animal domestique. Tu as tout ton temps.

Accessoires de petite salope soumise

De mon côté l’envie de sexe monte mais je dois rester à ma place, être patiente. C’est mon rôle de salope soumise. Alors je pose docilement la tête sur le bord du canapé contre ta cuisse et je fais mes yeux de Bambi. Tu caresses la tête de ton petit animal domestique :

-« c’est bon, tu es une bonne petite chienne. Tu vas pouvoir monter sur le canapé. Mais va chercher ta laisse et le petit panier 🧺 avant… »

Je repars à quatre pattes vers la cuisine chercher la laisse et le petit panier osier. Les anses sont juste parfaite pour que je le porte entre les dents. Quand à la laisse c’est le modèle en cuir, court pour gros chien d’attaque. Je suis une petite salope soumise et je n’ai pas du tout envie de m’échapper. Mais je sais que tu aimes me tenir en laisse quand je te suce. Juste pour que ce soit bien toi qui donne le rythme. Alors j’accroche la laisse à son collier et je prend entre mes dents le petit panier d’osier avec les lotions, le plug anal en verre et quelques mètres de corde en coton. Je suis tellement reconnaissante que tu m’aies épargnée le chanvre rêche et lui aies préféré le doux coton.

Retour au pied du canapé ou m’attend mon maître. Tu prends  le petit panier d’osier, me complimente sur ma docilité de bonne petit chienne et tapote sur le canapé à côté de toi. J’ai gagné le droit d’y monter…et surtout de m’y faire monter…

Ce qui a changé par rapport à tout à l’heure c’est que tu as ôté ton pantalon et le reste. Il ne te restes plus que la chemisette boutons ouverts. Je regarde d’un œil gourmand… Ta petite chienne aimerais une saucisse. Mais tu en as décidé pour l’instant autrement et tires sur ma laisse pour que je me retrouve à plat ventre sur tes cuisses. Je sens ton sexe dur contre mon nombril à travers le tissus de ma petite robe noire. C’est pour l’heure mon cul de petite salope soumise qui semble t’intéresser. Tu tâtes comme on évaluerait la croupe d’une jument à travers le tissus. Tu sors du petit panier d’osier la paire de menottes et me la montre en tirant un peu sur ma laisse pour te faire comprendre. Je suis une salope soumise et docile qui sait sa leçon. Cela veut dire mains dans le dos. Alors je m’exécute afin que tu puisses joindre mes poignets. Puis tu sorts la petite cravache de cuir et tapote sans violence mes mains puis mon petit cul. C’est donc à moi de remonter ma robe pour d’offrir mes fesses. Reste, gâchant ta vue, la culotte blanche petit bateau. Du bout de la cravache tu passes entre les tissus et ma peau. Je commences à la baisser mais un coup ferme de cravache arrête mon geste.

 « Non, garde la. Écarte la juste sur le côté. »

J’obéis. Tu as récupéré le bac à glaçons. Et j’apprecie le froid sur mes fesses brûlantes. Tu me caresses la chatte juste comme il faut. Je commence à me sentir bien, allongée sur tes genoux.

Le glaçon descend du bas de mes reins au commencement de la raie des fesses. Un peu d’eau coule. Il arrive à l’entrée de mon petit trou du cul. Un glaçon de frigo américain, forme arrondie, légèrement conique. Tu baisses ma culotte juste au dessus de mes genoux. Elle m’empêche de trop écarter les cuisses mais je peux un peu quand même. Tu presses le glaçon pour le faire rentrer comme un gros suppositoire. Tu fais cela tout en continuant à fouiller ma chatte trempée. Je me cambre un peu en gémissant de plaisir.

-« tu es une bonne petite salope dis donc ! Tu as l’air d’aimer ça par le cul hein ? »

-« huummm, ouiii, j’aime. Je suis ta petite salope soumise. Tu peux me prendre quand tu veux, où tu veux.

Alors que j’étais déjà sur le point de jouir avec tes doigts dans ma chatte tu les retires et les mets contre mes lèvres 👄 pour que je les lèche et les suce un peu. Je ne me fais pas prier. Je lèche et je suce comme si c’était une bonne queue. J’ai trop envie que tu tires la laisse pour m’amener à te sucer et que ses doigts là retournent dans ma chatte.

Mais ce que salope soumise veux est rarement dans les plans de son maître. Tu sembles avoir décidé de prendre ton temps. Tout ton temps. Tu caresses juste l’intérieur de mes cuisses avec un glaçon. Tu prends bien soin de t’arrêter juste au bord de la chatte. Je me tortilles pour que tu ailles plus loin, folle de désir. J’écarte de mes mains menottées la culotte tant que je peux. Mais tu fais comme si j’existais à peine. Pourtant je te sens bander contre mon ventre.

-« Hum, c’est qu’on dirait qu’elle veut de la saucisse ma petite chienne soumise hein… »

-« ouiiii, je t’en supplie, j’ai trop envie de te sucer. »

et c’est vrai que j’en crève d’envie. J’en peu plus de n’avoir que des doigts à sucer alors que je sens une grosse queue bien dure contre mon ventre. Mais tu aimes jouer avec mon désir et ma frustration de salope soumise. Tu appuies sur les reins pour que je presse mon ventre nu contre ta queue. Tu mets en même temps quatre doigts dans ma bouche. Je me cambre et tire comme je peux ma culotte pour faire entrer les tissus dans ma chatte trempée.

Le glaçon a déjà fondu dans mon cul. Tu y enfonces le plug anal en verre. Tu tires enfin la laisse pour amener mon visage à ton bas ventre. Je suce avec avidité cette queue que j’ai tant désirée. Je la voudrais aussi dans mon cul mais tu t’en fous. Tu te laisses sucer jusqu’à éjaculer en pressant ma tête pour que j’avale sans en perdre une goute. Tu sais que je suis à toi au moins jusqu’au matin et la soirée ne fait que commencer. Tu as tout le temps de m’enculer un peu plus tard.

Post scriptum : Je suis à Strasbourg la semaine prochaine. En quête de mon prochain plan cul j’attends vos propositions avec impatience…

Femme adultère délicieusement punie

Tu trouveras peut être cela étrange. Mais quand j’ai un peu trop été infidèle à mon mari je ressent l’irrésistible besoin d’être punie. C’est une chose que je ne sais expliquer mais qui survient immanquablement une à deux fois par an. Pourtant, ne vas pas croire que j’en souffre. Au contraire quand vient un tel moment je sais que je vais m’en délecter. M’en délecter et faire un veinard. Un veinard à qui j’ai dit que je voulais être punie de la manière qui lui conviendrait. Un veinard qui m’ouvre la porte de l’appartement à laquelle je viens de frapper timidement.

C’est un petit loft mansardé, les poutres en bois sont peintes en blanc. Une chaîne pend à l’une d’elle. Au sol de grosses bougies qui me font craindre le pire. Craindre et espérer en même temps.

-« Donne tes mains ! »

J’obéis. Et me voici menottée bras en l’air, jambes flageolantes sur des talons hauts inconfortables. Je ne suis vêtue que d’une simple robe imprimée de petites fleurs bleues. Pour toute lingerie une culotte en dentelle blanche et un soutien-gorge aubade assortis. Tu tiens une cravache d’équitation en cuir beige du bout de laquelle tu remontes le tissus léger de ma robe pour mater mes jambes. Elles ont l’air de te plaire mes jambes, longues et blanches. Le début du printemps n’a pas été généreux en soleil et je ne suis pas encore bronzée. Tu prends ton temps pour me tourner autour. La peur et l’humiliation de la situation créent exactement le sentiment de confusion que je recherche et qui m’excite d’une manière que j’ai renoncé depuis longtemps à comprendre. Quelques coups de cravache secs sur le haut de mes cuisses à travers le tissus de ma robe. Tu fouettes aussi mon ventre, pas trop fort. Heureusement.

-« Tiens ça ! »

Tu places la cravache entre mes dents. Et tu te plantes en face de moi. Tu défais les boutons de ta chemise, enlèves tes chaussures et ton pantalon sans gène ni fausse pudeur. Tu te mets entièrement nu juste devant moi. Bien sûr tu bandes. Mon cœur bat plus fort. Je suis encore vêtue alors que toi, tu es nu. Mais comme je suis attachée c’est bien toi qui domine. Cela ne fait aucun doute. D’ailleurs tu passes derrière moi et tu relèves ma robe le long de mes cuisses. Tu fais cela lentement. Je sens ta queue qui effleure mes fesses et je ne peux m’empêcher de me cambrer, ne laissant aucun doute sur mon désir.

-« Mais c’est qu’elle est déjà en chaleur la petit chienne ! »

Je tends pathétiquement mon cul vers toi. C’est ridicule. Je sais très bien que tu ne vas pas me baiser tout de suite évidement !
Tu dénoues facilement la ceinture de tissus qui cintre la robe au niveau de ma taille. Et tu remontes les pans de ma robe jusqu’à ma bouche. Tu récupères la cravache et foure à sa place le bas de ma robe froissée dans ma bouche.
-« Garde moi ça bien dans la bouche. Petite salope. Comme ça ta robe est bien relevée. Tu peux gémir mais interdiction de crier. Ok ? »

-« Humm Humm » je fais signe de la tête que j’ai compris.

Les coups de cravache sur mes fesses sont secs mais pas trop violents. Après une dizaine de coups je sens quand même la brûlure au niveau de mes fesses les gémissements à chaque nouveau claquement de la cravache viennent naturellement. Tu remarques que le devant de ma petite culotte blanche devient humide. Tu passes la cravache entre mes cuisses pour frotter un peu mon petit abricot.
-« Mais c’est qu’en plus elle a l’air d’aimer être punie la petite salope ! »

Je me reprends une dizaine de coups sur les fesses. Plus forts cette fois. Tu baisses d’un coup ma culotte et frappes à nouveau là où le coton protégeait un peu ma peau. Maintenant c’est douloureux et même si je mouille comme une salope je commence à sentir les larmes me monter aux yeux. C’est le moment que tu choisis pour écarter mes fesses rouges. Tu lubrifies le manche de la cravache sur mon abricot trempé avant de le presser contre mon anus. Le cuir est lisse et le manche peu épais. Ça rentre tout seul. Tu laisses la cravache enfoncée dans mon cul. Elle tient toute seule. Tu passes devant moi pour me montrer ta queue. Tu as l’air de bander bien dur et ta queue me semble autrement plus grosse que le manche que j’ai dans le cul.
-« Tu as l’air d’aimer en prendre plein le cul on dirait hein ? »

Je ne réponds pas. J’ai toujours ma robe dans la bouche et je sais qu’il vaut mieux pour moi que je ne te provoque pas. Tu tiens mes joues dans ta main et tu presses pour me faire recracher le pan de ma robe. Gros baiser baveux avec la langue. Je ne résiste pas mais je me garde de te rendre ton baiser sachant que me voir soumise à ta merci t’excite plus que si je donnais trop l’impression d’y prendre moi aussi plaisir. En m’embrassant tu mets la main entre mes cuisses et glisse deux doigts dans ma chatte lisse et trempée. Par réflexe j’avance mon bassin avide de plus de caresses.
-« T’es une vraie bonne salope dis donc toi. »

-« Oui, j’avoue, tu m’as démasquée. »

-« J’ai fort l’impression que tu veux te faire enculer. Non ? »

-« Oui, s’il te plaît, je t’en supplie, encule moi. Mon cul n’attend que ça. Mais détache moi, j’ai un peu mal aux bras. »

-« Tsss, Tsss. D’abord je t’encule. Après on verra, si j’ai aimé ton petit cul peut être je te détacherai. Mais faut me promettre d’être bien sage. »

-« Tout ce que tu veux. Je suis à toi pour tout ce que tu veux. »

Tu enlève la cravache de mon cul et me la remet entre les dents. Le cuir est un peu sâle, je ne vous fais pas un dessin. Mais je prends dans ma bouche docilement. La queue qui se presse entre mes fesses me semble alors bien grosse et surtout très dure. Tu me tiens fermement par la taille et tu t’enfonces d’un coup de reins. je crie et laisse tomber la cravache. J’ai peur que tu m’en veuilles pour ça mais tu ne fais pas de remarque et tu entreprends de me pilonner méthodiquement en agrippant ma taille. Chaque coup de rein qui claque contre les fesses m’arrache un cri. J’espère qu’il n’y a pas de voisins. Tu attrapes le haut de ma cuisse et m’oblige à lever une jambe. Je suis très inconfortable sur une jambe, les bras en l’air toujours menottée. Je crie et je jouis comme une possédée. Quand tu décharge enfin dans mon cul tu cries en même temps que moi, les ongles enfoncés dans la chair de ma cuisse. Tu restes un peu en moi. Et, enfin, tu me détaches. Je m’écroule au sol.  Mais tu me relèves et me conduit chancelante vers la chambre où un grand lit propre ne semble attendre que moi.

-« Tu es une bonne salope. Tu mériterais que je te punisse à nouveau. Mais j’avoue que ton cul m’a bien plu. Alors tu peux reprendre un peu ton souffle. Je pense que tout a l’heure j’aurais bien envie de voir si tu suces aussi bien que tu te fais enculer. »

Je m’affale sur le lit. La soirée ne fait que commencer. Mais elle commence bien…
laissez vos commentaires. Retrouvez moi ici (Là fille brune avec une culotte blanche et un pseudo qui commence par un L)

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Coquine en minijupe Vichy

J’ai mis, pour notre rendez vous,  une robe Vichy à petits carreaux rouges et blancs. Jambes nues, socquettes blanches, souliers vernis à talons plats. String en dentelle et push-up qui fait pigeonner mes gros seins au décolleté de la robe. Rouge à lèvres brillant soigneusement appliqué. Teinte Chanel Coco flash hors de prix plus rouge qu’une Ferrari. En plus de sa couleur, ce que j’aime avec ce rouge à lèvres c’est qu’il déteint juste comme il faut à chaque baiser. J’aime savoir qu’en regardant ta queue et ton bas ventre tu apprécieras les traces de rouge à lèvre que j’y aurai laissé. Si c’est ta femme qui voit ça je doute que tu trouves une bonne explication à temps !

Rendez vous au Lumière Terreaux, cinéma d’art et d’essais de Lyon. Un lieu public, donc rassurant pour commencer, mais parfait pour nos préliminaires. La salle est clairsemée, nous sommes seuls au dernier rang. J’ai volontairement joué la timide réservée jusqu’au début du film.  Bises sur les joues pour dire bonjour, jambes serrées droite sur mon fauteuil et mains sur les cuisses. C’est à peine si j’ai accepté que nos épaules se touchent légèrement.

Dans nos échanges aussi sur internet je suis volontairement restée évasive, ne cachant pas que j’étais mariée et en plein questionnement mais laissant croire que je n’étais pas non plus totalement sûre de vouloir basculer dans l’adultère. Mes photos de profil, bien que sobres laissaient deviner un corps très désirable. C’est cela qui t’a convaincu que malgré le discours prise de tête et hésitant ça valait le coup d’insister. Tu m’as servi le discours habituel, tu n’attendais rien de moi, tu me comprenais et étais juste content de me rencontrer sans que rien ne soit obligé ou convenu d’avance. En me voyant devant le cinéma, joli bonbon bien emballé, tu as commencé à deviner ta chance.

Dès que la lumière s’est éteinte j’ai pressée un peu plus mon épaule contre la tienne et je n’ai pas repoussée ta main sur ma cuisse. J’ai même tourné la tête pour un premier baiser sur la bouche. J’adore les premiers baisers. Les lèvres tièdes, découvrir le goût d’un nouvel amant. Faire comprendre rien qu’en l’embrassant que je suis une excellente suceuse.

Ton baiser est comme je les aime. Sans timidité, accompagné d’une main baladeuse qui remonte sous ma jupe en Vichy. J’écarte imperceptiblement les jambes pour que ta main puisse juste passer entre mes cuisses. Mon string est vite écarté. Tu n’imagines pas l’effet que me fait le doigt qui perce mon petit abricot juteux. C’est juste indescriptible. J’ai peur de gémir et de faire se retourner le rang de devant. Alors je repousse, à contre cœur, ta main.  Une furieuse envie de sucer me fait glisser de mon fauteuil sur la moquette épaisse. Je suis un peu à l’étroit mais, heureusement, il n’y a personne assis sur le fauteuil devant le tien. Tu me laisses défaire les boutons de ton jean. Je commence par embrasser la bosse qui tend ton caleçon. J’aime comme tu caresses mes cheveux. Je tire sur ton jean pour dégager tes cuisses. Tu es bien foutu, musclé, pas trop velus. Je lèche un peu pour le plaisir du goût de ta peau. Ce n’est pas très pratique mais je parviens à baisser ton caleçon et à libérer la colonne de chair objet de ma convoitise. Je lèche en te regardant droit dans les yeux par en dessous. J’embrasse partout. L’intérieur de tes cuisses, tes couilles, ton gland sur lequel je laisse un peu de rouge à lèvres. Puis je fini par sucer. Lentement, bien à fond. Presqu’à m’en étouffer. Je suce jusqu’à ce que tu n’en puisses plus et que tu éjacules dans ma bouche. J’avale. J’adore avaler, j’aime le goût de ton sperme. Celles qui me lisent et qui en ont fait l’expérience peuvent me comprendre. Sachez messieurs que votre sperme n’a pas le même goût que celui de votre voisin. Le foutre est comme le vin. Quand on sait l’apprécier on sait que chaque amant produit un nectar différent, unique. J’avale et je garde ton sexe turgescent qui débande lentement entre mes lèvres. J’essuie ta queue et tes cuisses avec le bas de ma robe avant de remonter ton caleçon et ton pantalon. Puis je me rassois, sage à nouveau, à côté de toi. Je me penche et te demande à l’oreille : « Tu sais où on peut trouver un hôtel pas loin ? »

==> retrouve moi ==> RobeVichy

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Petit plan cul sans chichi

Je t’ai contacté sur un site de rencontre adultère. Je ne t’ai pas caché être une bonne petite salope en manque de sexe prête à beaucoup pour une belle queue. J’ai mis, pour te rencontrer dans une bodega de Perpignan, un mini short et un justaucorps moulant parfait pour mettre en valeur mes gros seins. La bodega est pleine de monde. C’est toujours plus rassurant de donner rendez vous à un inconnu dans un endroit avec du monde. Forcément je suis comme sur ma photo de profil alors tu me reconnais tout de suite. Je viens direct à toi, sans me soucier du regard des mecs qui mâtent mon petit cul serre dans mon microshort. Je ne suis pas la seule jolie fille dans la bodega ce soir là. Je me colle à toi : « Salut, merci d’être comme sur tes photos. Parfois les mecs trichent. Je suis contente. Je te plais ? »

-« Heu…oui. Carrément ! Tu es canon ! »

-« Canon et très salope. Faudra pas te gêner, ce soir j’ai envie que tu me fasse tout ce que tu veux. Je peux t’embrasser ? »

Sans te laisser le temps de répondre je me pends à ton cou et presse mes lèvres sur les tiennes. J’embrasse comme une petite salope. Avec la langue nerveuse, en suçant pour que tu n’aies aucun doute sur le fait que tu vas avoir mes lèvres sur ta queue dans pas longtemps. J’embrasse en me collant à toi pour que tu puisses apprécier mes gros seins tièdes et fermes.

-« On s’en fou qu’il y ait du monde. Pelotes moi le cul. »

Tu mets tes mains sur mes fesses fermes et j’aime ça. Ta langue n’est pas mal non plus. Il ne faut pas croire qu’il n’y a que le sul qui m’intéresse. Je suis une fille qui aime aussi la fête. Passer la soirée à danser dans une bodega peut aussi me brancher. Mais la vérité est que ce soir du mois d’août je  suis en vacances et que l’on mari risque de se douter de quelque chose si je passe plus d’une heure loin de notre appartement.
-« On va chez toi ? J’ai qu’une heure avant que mon mari ne se doute de quelque chose et j’ai très envie de te sucer et de faire ma pute. »

-« Humm, ça me va très bien comme programme. »

Tu as le bon goût de disposer d’un garçonnière à deux pas de la bodega. Chambre de bonne au dernier étage d’un vieil immeuble du centre-ville. Dans l’escalier je te laisse me mettre la main au cul. Je me pends à ton cou pendant que tu te débats avec ton trousseau de clefs.
-« Tu vas me traiter comme une salope j’espère… »

Normalement je ne suis pas aussi directe. J’ai trop peur de faire fuir le mec. Mais cette fois la couleur était annoncée dans nos échanges sur internet. La claque que tu m’assennes sur la fesse me prouve que je n’ai pas tord. C’est une claque comme j’aime, franche, avec la main qui reste sur mon cul et tâte la marchandise.
-« T’inquiète ma jolie, je vais bien m’occuper de toi. »

Tu tournes la clef sans lâcher mon cul. Je découvre ta garçonnière. C’est propre et meublé avec goût. Machine à café chromée, grand canapé Togo, Tapis marocain en laine épaisse et table basse en verre ovale très années 70.
-« Jôli, c’est chez toi ? »

-« Oui, je le mets en Airbnb en général. Mais on n’est pas là pour parler immobilier… »

Tu tires sur mon justaucorps pour passer tes mains sur ma poitrine. J’aime ça, je m’intéresse à ton pantalon alors que tu me pousses vers le canapé. Je suis vite en soutif et toi debarrassé du bas confortablement affalé sur le canapé Togo près du sol. Ma langue passe sur tes couilles. Tu bandes long et dur. À genoux entre tes jambes je suis dans la position parfaite pour une branlette espagnole. Le secret pour une bonne branlette espagnole c’est de bien choisir le soutien gorge et de le garder pour que la queue reste bien logée entre le mamelles sans avoir besoin de serrer avec les mains. Les mains c’est fait pour pelotter les fesses par exemple. Ton sexe passe juste sous mon soutif et tient parfaitement dans le creux entre mes beaux seins. Doux va et vient en plantant mes yeux dans les tiens. Te branler me donne chaud, je sens que je commence à mouiller. Tu te laisses faire et profite du spectacle un moment. Heureusement tu as l’esprit d’initiative et tu empoignes ma queue de cheval. Tu te laisses branler encore un peu entre mes seins avant te me tirer vers toi pour me parler à l’oreille : « Tu m’as l’air d’être une vraie salope toi dis donc. »

-« Ouai, tu veux que j’te suce ? »

-« T’inquiètes, tu vas l’avoir dans la bouche…Mais pas tout de suite, elle est trop propre pour toi. »

Tu me pousses sur le canapé, les genoux au sol. Je reçois une bonne claque sur les fesses.
-« Baisse moi ce petit short de pute ! »

J’obéis, trop contente d’exposer mon petit cul rebondi.  Je fais glisser mon mini short sur mes cuisses pour dévoiler un string de dentelle blanche. Tu découvres un joli petit cul, mes fesses offertes, le string dans la raie, un bel abricot juteux sous un voile de dentelle. Tu passes un doigt juste sur la dentelle, pour tâter le petit fruit. Ton doigt qui presse délicatement sur mon con gonflé me fait me cambrer pour demander plus de caresses. Mais la tentation offerte par mes fesses est trop forte et tu laches une première claque qui me surprend. Mais je garde mes mains sur les côtés de mon mini short, baissé sur mes cuisses, le cul tendu, fesses offertes. Je suis prête pour la fessée. Et toi, frappe juste comme il faut. Sans hargne ni méchanceté. Mais fermement, efficacement, du plat de la main en prenant soin de bien faire claquer à chaque tape. Mes fesses doivent rougir. Je résiste une bonne vingtaine de coup avant de demander grâce.

-« Aïe ! Pitié. Je ferai ce que tu veux mais arrête la fessée. »

Tu te penches sur moi.

-« Oh ! Pardon, j’y suis peut être allé un peu fort. Tu mérites un peu de réconfort. »

Tu t’intéresses à nouveau au petit abricot juteux caché sous la dentelle. Tu caresses délicatement, tu passes la langue sur mes fesses rougies. Ça pique mais je mouille et trempe la dentelle du string. Tu continues de lécher mes fesses tout en massant mon sexe à travers la dentelle du string. La douleur qui se mêle au plaisir me rend folle. J’en gémi en serrant les fesses. Lorsque tu écartes mon string sur le côté je suis trempée. Ton doigt glisse tout seul dans ma chatte. Je ne peux m’empêcher d’attraper ton poignet pour te retenir en moi. Tu me débarrasses complètement de mon minishort et tu saisies mes chevilles pour me prendre en position de la brouette. Ta queue rentre toute seule dans ma chatte trempée. Chaque coup de rein ravive un peu la douleur sur mes fesses rougies par la fessée. Ça pique mais c’est très supportable.

-« Hummm, oui, encore, je jouis, encule moi aussi quand tu veux. »

Tu me fais bien jouir comme ça. Tenue par les chevilles, jambes pliées je commence à avoir des crampes et quand tu me lâche d’un coup je m’affale sur le canapé. C’est ce moment que tu choisis pour écarter mes fesses et presser ta queue contre mon anus. Tu craches pour lubrifier un peu et tu forces le passage. Je crie quand mon anus cède. Tu me prends par les cheveux et me defonce sans retenue. Autant la fessée était gentille, autant là chaque coup de rein m’arrache un cri. Tu te retires d’un coup pour et me tire par les cheveux pour que je me retourne.

-« Tiens tu voulais sucer ? C’est le moment ! »

Je me prends une magistrale ejaculation faciale. Ta main sur ma nuque est d’un coup moins brusque, tu ne me forces plus, la pression est douce et indique juste ce dont tu as envie maintenant. Je ne résiste pas. Moi aussi j’en ai envie et je lèche ta queue qui débande. Le goût salé du sperme m’apaise. J’ai presque envie de rester dormir. Mais je sais qu’il faut que je rentourne à ma voiture pour me changer, remettre le vieux jogging informe avec lequel je suis partie pour soit disant faire une petite heure de footing. Pas trop le temps de traîner. Je suis en vacances et qui dit vacances dit mari. Mais putain coque c’était bon ce petit plan cul sans chichi. Merci ! Mille fois merci !

 

 

 

 

 

La première fois que j’ai fauté

Si vous aimez me lire dites le moi en commentaire. Sur cinqasept je suis @LucieBovary parfois, ou @PrincesseDeC, ou encore @DispoCeSoirPerdueDemain.

Cette histoire je ne l’ai jamais racontée. A vrai dire je l’avais presqu’oubliée. Ou plutôt je m’en suis toujours souvenue. Mais comme elle ne donnait pas une bonne image de moi j’avais choisi de ne pas m’en rappeler. A cette époque j’ai 21 ans, je suis en couple depuis un peu plus d’un an. Je suis très différente d’aujourd’hui. Un peu prude. Issue d’un milieu plutôt bourgeois je pense que la fidélité est importante et défini même le couple. Pour moi être fidèle est une règle naturelle. Une question de principe. J’aime mon petit ami, sans parler de mariage, encore moins d’enfants nous avons des projets ensemble. Une virée entre copains va pourtant un peu changer la donne. Nous visitons le désert de Bardenas, en Espagne. Encore étudiants, aidés par les parents mais quand même pas trop nous dormons à sept dans un petit appartement sans climatisation. Le salon est occupé par deux couples tandis que mon copain et moi partageons une petite chambre avec le meilleur ami de mon mec. Nous dormons dans le lit deux places et le troisième, seul célibataire de la bande, occupe, à côté, un matelas a même le sol. Le premier soir, après avoir marché toute la journée sous le soleil hiberique et bu quelques sangria dans l’appart, nous somme vannés et nous couchons vers minuit. Assez tôt donc compte tenu de notre jeune âge ! Vers deux heures du matin un léger bruit répétitif me réveille. Je me souviens de l’heure car il y avait un gros réveil à affichage digital rouge sur la table de nuit. Je ne mets pas longtemps à comprendre d’où vient le bruit. L’ami de mon mec se branle. Comme il doit faire facile trente degrés il n’a même pas le drap sur lui, il est en caleçon et a juste sortie sa queue qu’il astique lentement. La nuit est claire et nous avons laissé les volets ouverts pour avoir un peu d’air. Fascinée je n’ose pas bouger mais je ne veux pas non plus refermer les yeux. Je suis complètement excitée. Il n’a pas remarqué que je le mate. Le plus lentement possible, à demi consciente de ce que je fais, ma main glisse sous le drap vers ma culotte. Au moment où j’atteins le bord du slip en dentelle le mouvement attire son attention et il me voit. Et là, au lieu d’être gêné, il plante ses yeux dans les miens et continue à se masturber encore plus lentement. Je suis hyper troublée et je m’aperçois que je mouille vraiment beaucoup. C’est au moment où mon mec bouge que je me rend compte du bruit de succion que je produisais en me caressant. Je m’arrête instantanément, le majeur profondément enfoncé dans mon petit con tout mouillé. Et là mon mec se met à ronfler. Je dois être pivoine. Le copain sur le matelas par terre ne m’a pas quittée des yeux. Il hausse les sourcils et reprend sa branlette très lentement. Impossible de m’empêcher de me masturber en même temps que lui. Comme mon mec ronfle bruyamment j’ai moins peur de le réveille et j’y vais sans retenue. Je jouis en ouvrant la bouche, un cri muet. Il éjacule sur son ventre. Il m’attrape le poignet et tire vers lui. Je touche son sperme c’est tiède et visqueux mais très excitant. J’ai une envie irrésistible de goûter. Je ne sais pas à cette époque quel goût a le sperme. J’avoue que je ne me souviens plus très bien de la sensation gustative. Mais je sais que j’ai aimé et que j’ai tendu la main pour en reprendre. Il s’est essuyé ensuite avec son caleçon qu’il avait fini par enlever et il a remonté le drap sur lui. On s’est regardé longtemps sans rien dire. Puis on a fini par dormir. Le lendemain toute la journée on n’arrête pas de se jeter des regards. Je suis très troublée. Mon petit copain me semble plus tactile que d’habitude. Ou c’est peut être juste que je suis tellement obnubilée par ce qui s’est passé dans la nuit que je le remarque plus. Mais comme le copain me regarde je me force à répondre aux avances de mon petit ami pour voir la réaction de son pote. J’ai les tétons qui pointent sous mon débardeur toute la journée et ma bande de pote n’arrête pas de me charrier sur le sujet. Je rougi comme une tomate. Mon visage est assorti aux coups de soleil que j’ai sur les épaules. On passe une partie de l’après midi au bord d’une rivière. J’ai très we vie de m’échapper et de m’isoler pour que le copain de mon petit ami me rejoigne. Mais pas moyen de faire ça sans risquer de se faire remarquer. J’attrape un gros coup de soleil sur les fesses et mon petit copain décide qu’il doit me passer de la crème protection 60 pour m’appairer. Je dois le laisser me masser les fesses. C’est gênant. Mais pendant qu’il le fait je croise le regard de son copain et je lui fais : « Désolée » en silence. Je mime juste les mots et il me répond  « pas grave » de la même manière. J’ai les boules parce que je sais que mon copain va vouloir baiser ce soir vu comme il est tactile toute la journée. Heureusement notre groupe décide de sortir dans une bodega le soir. Mon copain boit beaucoup et dès que son verre de sangria est vide son pote ne manque pas de le lui te remplir. Sangria, tapas, puis Rhum arrangé. Je remarque que le copain de mon mec ne bois ressue pas. Je décide de faire comme lui. Je passe vite à l’eau gazeuse sans que ça ne se remarque trop. Les autres ont passé le stade où l’on arrête de compter les verres. Quand nous rentrons à l’appart nous ne sommes plus que deux à marcher droit. Mon petit copain me pelote sans se soucier des autres et une fois dans la chambre il semble avoir complètement oublié qu’on n’est pas que tous les deux. Il se met à poil et cherche à me m’embrasser les seins. Je le repousse gentiment  : « Dodo, t’es trop bourré ! »

-« Ouai, t’as raison mais couche toi avec moi. »

Il me prends avec lui pour que je me couche contre son dos il tient mes mains contre sa poitrine et se couche sur le côté. Je reste contre lui en me disant qu’il va vite s’endormir. A ce moment je n’ai pas du tout l’intention de le tromper. J’imagine juste qu’on va gentiment se masturber à distance comme la nuit d’avant. Mais je sens le copain de mon petit ami qui se glisse dans mon dos contre moi. Je suis prise en sandwich. Mon mec n’est même pas encore complètement endormi. Il tient mes mains comme si j’étais son doudou. L’autre derrière moi à un opinel et il entreprends de couper les bretelles de mon débardeur. Il m’embrasse dans le cou. Je ne sais pas à quel point mon petit ami est bourré et j’ai peur que la plaisanterie ne tourne mal. En même temps je suis très excitée. Le copain me débarrasse de mon string et se met en cuillère derrière moi. Sa queue rentre comme pas magie dans ma chatte bien lubrifiée et je ne peux m’empêcher d’onduler lentement en rythme avec lui. J’ai l’impression que ça fait un bruit  de succion qui pourrait s’entendre dans la pièce à côté. Mon mec se met à bouger : « Humm, tu fais quoi ? »

-« Rien, heu…j’essaie de dormir… »

Pas d’autre choix que de le serrer dans mes bras et de me coller contre son dos. Il grogne un truc, genre bonne nuit, mon poussin. Heureusement l’autre a arrêté de bouger. Sa grande queue est bien au chaud dans ma chatte. Je n’ose plus bouger. La respiration de mon petit copain se fait plus ample et régulière. Moi je retiens mon souffle. Le copain passe sa main sur mon ventre, j’essaie de m’écarter un peu de mon mec mais il tient toujours mes bras dans son sommeil. Je me mord les lèvres et serre les cuisses. J’ai à nouveau envie de sentir le va et vient de la belle queue et je bouge prudemment le bassin. Je pense que mon mec s’est endormi mais je n’en suis pas certaine à cent pour-cent. Ça m’excite encore plus. Le copain de mon mec me fait un suçon dans le cou. J’essaie de me dégager car je ne me vois pas trop expliquer ça demain à mon petit ami. Mais il me chuchote à l’oreille : « T’auras qu’à lui dire que c’est lui qui te l’a fait. Il est rond de toutes façons. Bouge pas, faudrait pas qu’il se réveille… »

Il soulève ma cuisse et place un gros coussin entre mes jambes. J’ouvre la bouche pour dire : « Non » mais il plaque sa  main sur ma bouche : « Chuttt, tu vas me réveiller ! » Il tasse les coussins en haut de mes cuisses et je sens comme un gel froid couler sur mes fesses. A l’époque je suis débutante et je n’ai jamais utilisé de lubrificateur anal. Mais je devine instantanément que c’est ça. Je fais non de tête. J’ai peur et je suis malgré tout excitée. Il masse en petits ronds concentriques autour de mon anus tout en murmurant : »chhhhuuut ». Comme si j’allais faire du bruit pour réveiller mon mec ! D’autant que je suis de moins en moins sûre de ne pas en avoir envie. Il a ajouté un second coussin. Allongée sur le côté j’ai la jambe bien relevée et je sens sa queue raide contre mon anus tandis qu’il empoigne ma cuisse. Les mains toujours tenues par mon mec qui dort je fais de mon mieux pour relever la jambe le plus possible et écarter les fesses. Quand il pousse je me cambre pour transmettre le moins de mouvement possible à mon mec qui a comencé à ronfler. Ça rentre d’un coup et il met sa main sur ma bouche juste à temps pour m’empêcher de crier. Mon mec doit envie une sacrée cuite pour continuer à ronfler alors que l’autre m’encule en faisant de moins en moins attention. C’est douloureux mais j’enchaîne en même temps les orgasmes. J’ai envie de bouger pour qu’il accélère la cadence je veux le sentir ejaculer dans mon cul. Mais je n’ose pas faire plus que des mouvements retenus et je suis obnubilée par les ronflements de m’on mec que je surveille comme le lait sur le feu de peur qu’ils ne s’arrêtent. Quand il jouit en moi il agrippe mon gros sein et presse à le faire rougir. Je mords sa main toujours dur ma bouche. On s’arrête de bouger. C’est à se moment que mon mec arrête de ronfler et émerge. Heureusement il ne se retourne pas. Il sert mes bras contre lui : « Hummm, arrête de te masturber. Tu vas réveiller Paul. Promis demain je bois pas. À Barcelone on aura une chambre rien qu’à nous. »

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Baisée en leggings

Legging sexy et basquettes roses

Faire du sport et lever un plan cul demande une certaine dose de savoir faire mais aussi un certain culot. Cela même lorsque l’on est une fille sexy qui n’a pas froid aux yeux et chaud au cul. D’abord je repère un parcours de running et une heureuse victime masculine grâce à l’application runastic. Je suis régulièrement en déplacement professionnel dans les mêmes villes et, loin du domicile conjugal, je me sens libre de corp et d’esprit. Enfin surtout de corps, car dans la tête ça turbine toujours pas mal, j’y peux rien.

Ce n’est pas toujours vrai, et bien sûr il n’y a pas de règle établie. Mais j’ai pu remarquer que lorsque je me déguise en salope sexy un peu naïve les hommes se lâchent plus facilement. Et un amant qui se lâche, surtout lorsque c’est dans mon petit cul ça me rend totalement folle a tout en oublier. Le temps de quelques heures je suis vraiment celle que je prétends être.

Ce jeudi de début d’hiver il fait frisquet à Rodez. J’ai repéré un joli parcours d’une quinzaine de kilomètres en partant de mon Airbnb près du musée Soulage. J’ai surtout repéré un jogger qui fait régulièrement ce parcours les jeudis en fin de journée. J’ai choisi ma cible pour la régularité quasi maniaque de ses entraînements. Je ne sais de lui que son sexe, son âge (54), ses perfs bien sûr mais je ne connais pas son visage. Cela m’est égal. J’ai très envie d’un plan cul et je n’ai pas l’intention de rentrer bredouille. Mais avec mon beau petit cul bien moulé dans un legging fushia et mes basquettes roses je suis assez confiante quand je l’aperçoit une dizaine de mètres devant moi. Grand, belles fesses et jolis molets. Cheveux poivre et sel, avec plus de poivre que de sel. Sur le parcours il y a une sorte de grande boucle que l’on peut couper. Je prends le raccourci pour passer devant incognito et qu’il découvre ma silhouette de dos au sortir du grand virage. Je sais d’avance son parcours et son allure. Le type cours à peu près comme moi mais je sais que si je m’accroche il devra aller plus vite que d’habitude pour me rattraper. Ce qui serait un bon indicateur de sa motivation. Je n’ai pas à attendre bien longtemps. Quand il arrive à ma hauteur je sais qu’il a eu le temps de bien mater mon petit cul de salope. Je dis salut et je souri. C’est fou comme parfois un seul regard, une expression de visage ne laisse aucun doute. Je lui plais c’est aussi certain que moi j’ai envie de lui. Mais je sais que même déguisée en salopette joggueuse sexy en leggings ça peut foirer si je précipite les choses. Il reste une heure sur le parcours à ce rythme nous courons côte à côte. Pas la peine de parler trop tôt. Je me contente de tourner la tête parfois pour le regarder et sourire. Un peu avant mi parcours je suis en nage. Il a insensiblement ralenti pour rester à mon rythme. Je le sais. J’aurais très bien pu aller plus vite mais lui ne le sait pas et pour engager la conversation il doit ralentir. Il s’appelle Stephane, moi je choisi Carole. Je suis de passage à Rodez, seule en déplacement professionnel avec un joli Airbnb où je me sens un peu seule. J’accélère pour lui montrer que je suis endurante et aussi pour que l’on soit un peu essoufflés. L’hypoxie aide à baisser les barrières et à suivre son instinct ou ses envies. Nous courons côte à côte. Si près que parfois nos coudes se frôlent. Et quand je ralentis pour m’arrêter essoufflée il ne continue pas. Je me penche en avant, les mains sur mes cuisses. Il me demande si ça va, posé une main protectrice sur mon épaule.
-« Oui, ça va. Mais il fallait que je m’arrête j’avais trop envie de ça ! »

Et me jette a son cou et l’embrasse sur la bouche. Il me rend mon baiser sans réfléchir. J’aime sa langue, ses mains sur mes hanches qui n’osent pas encore descendre à mes fesses. Mes gros seins contre sa poitrine. Nos sueurs mélangées. Ce baiser long, langoureux, mes lèvres nerveuses qui savent faire deviner que je suis de ses salopes qui aiment sucer.
-« On court jusque chez moi ? » J’hésite à ajouter : « Ou tu préfères me prendre en leggings derrière un arbre? » mais je sais que ce serait trop et que je risquerais de tout gâcher. En plus j’ai trop envie de ramener mon plan cul à mon Airbnb pour en profiter plus qu’un coup vite fait. Si possible jusqu’au matin et par tous les trous.

Heureusement la boucle de notre parcours est presque bouclée et même si le dernier quart d’heure me parait durer une éternité je cours le cœur léger car je sais qu’il ne peut plus m’échapper.

Il y a trois étage à monter pour arriver à mon Airbnb. C’est un immeuble ancien avec des appartements hauts sous plafond et même si nous sommes chaud monter ces marches accélère encore mon rythme cardiaque. Je le tiens pas la main et je joue l’entraîneuse jusqu’à ma porte. Pour aller courir j’ai laissé les clefs sous le paillasson. Et je me baisse en prenant soin de garder les jambes bien tendues pour qu’il puisse admirer mon cul moulé dans son legging. Toujours baissée, je tourne la tête : « Tu peux toucher avec les mains aussi, pas qu’avec les yeux. »

Il est un peu maladroit mais sa main qui se pose sur ma fesse bombée me fait un bien fou. J’en profite pour m’étirer. C’est important après la course ! Il tâte un peu moins maladroitement. Pas idéal pour faire baisser mon rythme cardiaque…Je me saisit de la petite clef plate et me relève pour lui faire face et l’embrasser en posant habilement la main sur le renflement de son short. Il essaie de me prendre dans ses bras mais je le repousse : « tss tss, je suis pas une adolescente qu’il faut apprivoiser. Si tu me suis chez moi, il va falloir assurer autant qu’à la course. T’as déjà donné une fessée ? »

-« Hum, j’avoue, non. Mais j’ai bien envie d’essayer. »

Je lèche son cou doucement. J’aime le goût salé de sa sueur.

-« Je te laisse prendre les rênes alors… »

J’ouvre la porte et le laisse me pousser à l’intérieur de l’appartement. C’est un petit loft, très haut sous plafond. En bas un canapé en velour gris, une table basse en plexiglas, une petite table ronde entourée de 4 chaises avec un coin cuisine. Le lit est en haut d’une mezzanine accessible par un escalier à pas décalé aussi raide que la queue de mon plan cul.

-« Tu m’as l’air d’un drôle de numéro de salope quand même. »

J’aime qu’il me parle comme cela. Un instant j’ai eu peur qu’il se dégonfle comme ça arrive parfois. Mais, même si ça se voit qu’il n’est pas très à l’aise et que c’est une première pour lui, il se prend au jeu et me pousse vers le canapé. Derrière moi il passes les mains sous mon sweat-shirt pour tâter mes seins. Je me laisse faire tout en enlevant mon sweat par le haut. Je défais l’attache de ma brassière de sport pour libérer mes gros seins. Sa petite salope est maintenant seins nus en leggings et snikers roses. Je le laisse me peloter par derrière et m’embrasser dans le cou en pressant mes seins. Je sens son sexe contre mes fesses à travers son short et mon legging.  Comme j’ai envie d’un peu mieux qu’un plan gros câlins tendres et attentionnés je me mets à genoux au pied du canapé en espérant qu’il comprenne où je veux en venir. La main qui se glisse instantanément entre mes cuisses me rassure. Un doigt presse juste là où il faut l’abricot qui commence à devenir juteux. Il masse mes fesses et les embrasse à travers le legging. La première claque me fait tressaillir. Mais je me cambre et je baisse de moi même mon legging pour lui offrir la chair de mes fesses nues et encore intactes. J’ai gardé un petit string de dentelle qu’il pourra arracher ou faire glisser sur le côté quand il voudra.

-« Je crois que j’ai mérité un bonne fessée non ? »

-« C’est clair, tu es vraiment une salope toi ! »

Il claque du plat de la main. Un peu timidement à mon goût. Il est novice en matière de fessée. Je garde les mains de chaque côté du haut de mes cuisses, tenant mon legging et je relève un peu mes fesses en cambrant bien les reins. La claque qui vient ensuite est plus assurée, avec un joli bruit, bien net. Je lâche un petit : « Han ! » suivi d’un « Hummm… » légèrement gémissant. Il se penche vers moi et prend ma queue de cheval à pleine main pour venir chuchoter à mon oreille : « Tu aimes ça, hein ? »

-« Hummm, oui, je suis ta petite salope. T’arrête pas tant que mes fesses ne sont pas bien rouges. Tu veux bien me prendre sur tes genoux ? »

Il s’installe sur le canapé sans lâcher mes cheveux et me place à plat ventre sur ses genoux. J’aurais aimé qu’il retire son short pour sentir sa queue contre mon ventre. Je m’en charge comme je peux sous moi. Il relève le bassin pour me faciliter la tâche. Il bande bien dur. J’aime la sensation de sa queue sur la peau nue de mon ventre. Il prend le temps de caresser mes fesses et s’attarder lentement un doigt le long de ma raie du cul. J’ai toujours mon string de dentelle blanche. Je me tortille un peu sur lui pour sentir sa queue rouler sous mon ventre en sueur.

-« S’il vous plaît, pardon, j’ai été vilaine, mai je promets d’être une gentille fille… »

Sa main s’abat enfin sur mes fesses. Il frappe enfin bien comme il faut. Un belle fessée claquée avec un bruit d’applaudissements.
-« Han ! Han, pardon, promis je ferai tout ce que vous voudrez. Dites moi ce que vous voulez de moi. Han ! »

-« Tu vas me sucer ? »

-« Oui, oui, je vais sucer comme une bonne salope que je suis. Tout ce que vous voulez. »

Je prends une bonne fessée à coups bien rapprochés. Quand il s’arrête c’est pour se pencher sur mes fesses et souffler dessus. Ça piquotte.
-« Et tu vas me sucer comment petite salope hein ? »

-« Hum, à fond, en branlette espagnole. J’ai trop envie de ta queue. Je vais te sucer sous la douche comme une vraie pute. »

Nouvelle fessée. Plus forte cette fois. Douloureuse. Enfin douloureuse ! Cette fois quand il s’arrête il écarte la dentelle de mon string et je sens un doigt se presser sur mon anus. Je suis un peu contractée mais il force le passage et son doigt fini par rentrer. Je lâche un petit cri. Il laisse son doigt bien au fond de mon cul et essaie d’enlever ses running qu’il a gardé. Comme j’ai les mains libres je défais ses lacets. Il presse sa main contre mon cul, un doigt toujours bien enfoncé. Il ôte ses running et je fini de le débarrasser du short qui était tombé sur ses chevilles. J’aime ses molets très musclé et poilus. Quand il sort son doigt de mon cul il l’essuie sur mes fesses.

-« Tu es une salope sâle ! Tu as besoin d’une douche, pas question que je continue avec un cochonne comme toi ! »

Cela peut vous paraître étrange mais quand un mec me parle ainsi ça me rend dingue. Je suis prête à tout lui donner.

Il me prend par les cheveux pour m’emmener à la douche. J’ai les fesses brûlantes et je crains un peu l’effet qu’aura l’eau sur ma peau rougie.

Dans la douche a l’Italienne je me mets sagement à genoux et le laisse gérer l’eau. J’embrasse ses jambes poilues, je remonte avec la langue par l’intérieur des cuisses. J’ai défait mes longs cheveux bruns. L’eau tiède est un délice. J’ai l’impression que les fesses font mille degrés mais ça va quand même, j’essaies de ne pas y penser pour me concentrer sur la fellation. Il passe la main dans mes cheveux mouillés. Je prend délicatement chaque couille entre mes lèvres. Je le regarde par en dessous et j’attrape le champoing qui traine par terre dans un coin de la douche. Une grande bouteille jaune de champoing Dop aux œufs. J’en fais couler sur mes gros seins. Je me dresse un peu pour avoir sa belle queue à hauteur de ma poitrine. J’aime bien branler à l’espagnole. Imagine toi à sa place. Mes cheveux mouillés en arrière, je te regarde droit dans les yeux et fais venir lentement, très lentement, ta queue entre mes gros seins glissants de champoing moussant.
-« Je te laisse décider quand tu veux m’enculer… »

Je me demande combien de temps tu te laisserait faire, une grande fille sexy bien salope à genoux devant toi, experte de la branlette espagnole. Mon plan cul jogging se laisse un peu faire avant te me mettre debout en me tirant pas les cheveux. Il fait cela sans violence, il m’avoue que si je veux qu’il m’encule il ne faut pas trop attendre. J’aime bien son honnêteté. Je me retourne pour lui tourner le dos et le laisse me plaquer contre le mur en carrelage. Je sais que j’ai les fesses rouges et, même si j’en ai envie, j’appréhende un peu. Il prend la poire à douche fait couler sur le bas de mes reins le jet réglé au minimum, l’eau est tiède mais j’ai l’impression que mes fesse sont brûlantes. Il prend la grosse bouteille de champoing Dop et fait couler sur mes fesses. Il masse et fait mousser. C’est bon, il caresse ma Chatte et enfonce son pouce dans mon anus en même temps. J’ai très envie qu’il m’encule mais en même temps j’ai peur qu’après il ait envie de partir et je n’ai pas envie de me retrouver seule pour la nuit. Mais j’ai quand même très très envie de me faire défoncer le cul. Alors je décide de jouer la carte de l’honnêteté : « Tu vas pas partir après hein ? »

-« T’inquiète, personne ne m’attend. »

-« Ah ! Super, parce que j’ai bien envie d’être ton jouet sexuel jusqu’au matin. »

Je me cambre en offrant mon petit cul. Son gland presse contre mon anus. Il écarte mes fesses. Ses mains sur ma chair rougie me fond un peu mal mais quand il me pénètre d’un coup c’est pas la peau de mes fesses qui me fait le plus mal. Je pousse un long couinement. Mais je le supplie aussi : « Hooooo, haaannn, ouiii, démonte moi le cul comme une salope… »

Il me tient pas la taille et commence en va et vient ample et brutal. Je crie autant de douleur que de plaisir. Le salaud est endurant. Il m’épuise, j’ai une mauvaise crampe au mollet droit  qui m’oblige à porter tout mon poids sur ma jambe gauche. Il a empoignée ma cuisse et continue à me défoncer. Quand il jouit enfin je suis haletante, il m’a tellement fait jouir que j’en ai oublié où je suis. Il me retient pendant qu’il débande dans mon cul. Je réalise que la poire à douche coule toujours mais que l’eau est froide. On doit être au bout du cumulus depuis longtemps. Je pousse le levier en inox pour arrêter l’eau. Il s’est retiré de moi et me tend une grande serviette de bain beige. Je me colle contre lui. Il m’enveloppe dans la serviette de bain.
-« Humm, c’était bon, tu m’as tellement fait jouir. Tu voudras bien que j’essaie de te faire rebander en te suçant hein ? »

Il me serre dans ses bras et caresse mes fesses. Il me dit que je suis une vraie salope, qu’il est d’accord pour bien s’occuper de moi jusqu’à demain.

Je suis heureuse. Heureuse comme cela faisait longtemps que je ne l’avais pas été. J’ai encore envie qu’il m’encule. Même si je sais qu’il va falloir attendre. J’ai envie de ses doigts et de sa langue partout. J’ai aussi envie de sentir sa queue grossir à nouveau entre mes lèvres. J’ai envie d’avaler son sperme, qu’il caresse mes cheveux comme si j’étais une petite chienne totalement soumise et dévouée. Et toutes ces envie je les assouvi cette nuit là. Nous dormons très peu et il me baise tellement bien. Il prend plaisir à me tirer les cheveux, et j’aime tellement ça. Je crois que j’ai rarement autant couiné en une nuit que cette nuit là. Un truc qui, après coup le surprend encore et qui défie toute logique, c’est la quantité de sperme que ce type a semblé produire en une seule nuit. La vraiment il y a un truc qui physiologiquement m’échappe. Si quelqu’un sait m’expliquer je suis preneuse.

 

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Poème porno

J’aime cet homme sur ce canapé

J’aime qu’il ai gardé ses souliers

Nue devant lui et à genoux

Je lève la tête offre mon cou

Qu’il emprisonne dans un collier

En cuir, large et capitonné

Puis à l’anneau, passe une chaîne

Reliée au pied du canapé

Puisqu’il a gardé ses souliers

Je m’incline pour les lécher

J’aime le cliquetis des chaînes

Le goût de sel sur ses souliers

La chaleur de la cheminée

Je meurs d’envie de le sucer

Mais j’attends qu’il m’y autorise

Cet homme sur ce canapé

Doit se plaire à me regarder

Dans la cheminée la flambée

Éclaire ma croupe par le côté

Il tire un peu plus sur la chaîne

Maintient ma tête à ses pieds

Il dit : « continue de lécher »

« Applique toi j’ai tout mon temps »

Mais il défait son ceinturon

baisse sa braguette, sort son jonc

Je voudrais faire une fellation

La chaîne courte m’en empêche

Alors je l’implore des yeux

Je veux sa queue entre mes lèvres

Lécher ses couilles et lui montrer

Comme sa chienne sait sucer

Mais il tire un peu plus la chaîne

Plaquant ma joue sur le sol froid

Quand il se lève et me contourne

Je réalise pleinement

qu’être nue c’est bien être offerte

A son regard, à ses caprices

Je creuse mes reins serre mes genoux

Pour lui offrir un beau spectacle

Il passe un doigt sur l’abricot

Déjà gonflé, doux et juteux

Habilement récolte ma mouille

en humecte mon trou du cul

je me tortille de plaisir

toute impatiente qu’il m’encule
Un autre article au hasard

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Plan cul adultère à Rodez

Tu m’as draguée sur cinqasept sans trop y croire. Jusqu’au bout tu as cru à un faux profil. Il y en a tant ! Mais mes réponses avaient l’air vraies, simples et sincères. Mais tu gardais pas mal de doutes. Photos visage flouté bien trop sexy, promesse d’une fille sans tabou trop belle pour être honnête. Mais tu n’avais rien à perdre à venir au rendez vous devant cette brasserie du centre-ville. Je t’avais juste demandé de garder ton alliance car je n’avais pas l’intention d’ôter la mienne. Un plan cul sans limites mais aussi sans lendemain avais-je précisé. Je voulais que les choses soient claire, ça n’était pas pour te déplaire. Même habillée en tailleur beige tu pouvais voir que j’étais telle que sur mes clichés plus dénudés. Mon visage que tu découvrais aussi te convenait. Moi, j’aimais ce que je voyais. Surtout après de longues semaines d’abstinence j’avais très envie d’un amant. J’étais prête à zapper le restaurant et à t’emmener direct à mon Airbnb. Mais je me doutais qu’il fallait te rassurer. Te faire comprendre que je n’étais pas une arnaque, juste une femme mariée très en manque de sexe un peu plus entreprenante que la moyenne. Alors on s’est fait la bise devant la porte puis nous sommes entrés demander un table pour deux. Je t’ai dit que je n’avais pas vraiment faim de nourriture et demandé si ça ne t’embêtais pas si nous ne prenions que deux douzaines d’huîtres et du champagne. Comme ça on fait un peu connaissance et si tout se passe bien on continue ailleurs. C’était un peu direct mais bien sûr tu étais ok. Je t’ai servi mon histoire bien rôdée et vrai de femme mariée à un homme qui ne me voit plus que comme la maman de notre enfant et lui préfère sa secrétaire pour ce qui est des jambes en l’air. Tu m’as complimentée et dit que tu ne comprenais pas comment un homme normalement constitué pouvait délaisser une femme comme moi. Alors j’explique, je dis que pour ce rencard j’ai fait ce qu’il faut, tenue sexy et maquillage, coiffure, bas et talons aiguilles. Même si je fais du sport je lui assure qu’habillée comme un sac le visage triste et sans maquillage je pouvais aussi être aussi bandante qu’une chaise. Bon, c’est exagéré mais en tous cas c’est sûr que mon époux semble aussi Las de moi que je le suis de lui. Mais on n’est pas là pour parler de nos couples à la dérive. Ce soir j’ai envie de m’amuser, d’être une pute, pas une sainte. Ça te convient ou on se quite après les huîtres ? Nos pieds se touchent sous la tables. Bien sûr que ça te va ! Moins d’une demi heure plus tard notre premier baiser avec la langue à lieu contre la porte de mon Airbnb. Je serre tes fesses entre mes mains. J’aime le cul de certains hommes. Le tien est beau et ferme. C’est un baiser long et langoureux, je te laisse passer les mains sous mon tailleur et vérifier que ce sont bien des bas que j’ai. Tu devines en haut de ma cuisse l’attache d’un porte jarretelles. Je te laisse hésiter à aller plus loin. J’embrasse ta joue et chuchote à ton oreille : « Soit patient, tu vas bientôt pouvoir entrer partout… » Je suce ton oreille et tâte la bosse entre tes jambes pour l’apprécier.

J’ai décidé d’être perverse. Cette fois j’arrête ici mon récit. Mais si vous insistez vraiment et si tu lis ces lignes après avoir cliqué sur le lien envoyé par sms et m’autorise à raconter. Alors je dirai comment nous avons occupées les quelques heures qui ont suivi.

Baisée sur le bureau du professeur

J’ai beau être trentenaire, maman et respectable, c’est toujours là même chose. Donnez moi un petit rôle, héroïne d’un mauvais film porno, et je deviens instantanément la secrétaire sexy, l’infirmière cochonne ou l’étudiante découvrant le sexe anal. L’histoire vécue qui suit n’est ni très originale, ni bien maline.  Mais elle fait suite à de longues semaines d’une vie sage et rangée d’épouse normale, emmenant notre fille à l’école chaque matin et la récupérant chez la nounou en fin de journée.

Une lycéenne sexy

Pour un look jeune salope en chaleur je me suis fait deux tresses, j’ai mis, sous mon blaser, un chemisier blanc et une jupe de lycéenne anglaise à motifs écossais. Une large cravate noire.

Puis j’ai cherché sur messenger un instituteur de campagne qui aurait les clefs d’une salle de classe et l’envie de m’y inviter pour quelques cours du soir.

Je m’étais dit qu’avec les dizaines de milliers de salles de classe dans des petits villages et le nombre de gros pervers qui m’envoient des centaines de messages sur ce site à plan cul il y en aurai forcément un qui répondrait à mon cahier des charges. C’est à dire en même temps un vrai instituteur doublé d’un amant sans tabous qui assume d’aimer les jeux de rôle coquins. J’vous mentirais si j’vous disais que j’ai trouvé facilement. Cela m’a pris plusieurs long mois. J’abandonnais parfois, me contentant d’un autre plan cul ou même de rien du tout. Mais je gardais cette idée et je cherchais toujours en tâche de fond. Je disais aussi en secret quelques prières. Je crois en un dieu qui ne serait pas aussi prude que ce que l’on cherche à nous convaincre. Il faut croire que je fut entendue.

C’est donc une école communale. Attenante à une petite mairie au millieu d’un village de montagne avec un clocher, une épicerie et un bar tabac. C’est un peu loin de chez moi et pas vraiment proche de mon travail. Mais en posant un RTT et accolant ce rendez vous galant à un déplacement professionnel je peux, au prix de quelques dizaines de kilomètres en voiture, m’arranger pour y être à la tombée du soir.

Je gare ma Fiat500 sous un gros tilleul. Il y a une fontaine sous un éclairage municipal jaunâtre. Eau potable dit le petit écriteau sous la gargouille en cuivre qui crache un mince filet d’eau. Le bâtiment municipal est dans l’obscurité mais j’ai pour instruction d’entrer par le portail ouvert et de traverser la cour de récréation jusqu’à la porte dans le coin à gauche. Comme je suis en uniforme sexy de pensionnaire anglaise de lycée privé je ne m’attarde pas trop de peur de croiser quelque rombière locale. Non pas que j’en aurais honte mais mon professeur m’a demandé d’observer la plus grande discrétion car il tient quand même à son poste et à sa réputation respectable.
En plus il bruine en cette fraîche soirée de fin septembre. Sans bas ni collant mes longues jambes sont nues et je frissonne un peu dans ma tenue trop légère pour la saison. Il y a une sonnette électrique en plastique blanc qui jure carrément avec les murs de pierre du vieux bâtiment et la sonnerie fait un espèce de carillon à trois tons désagréable. Mais heureusement la porte s’ouvre sur un jeune homme fort séduisant. Un peu jeune à mon goût, trente ans, peut être moins. Je suis sotte, j’aurais dû demander. J’ai tellement l’habitude des plans cul avec des quadra ou des quinqua mariés que j’ai pas pensé que je pouvais tomber sur un jeunot. Je fantasmais sur un instituteur un peu vieille école et sévère. En vrai j’aurais pu m’en douter car il est comme sur sa photo de profil. Mais je pensais qu’il faisait comme tous ces hommes qui mettent une photo s’il y a dix ou vingt ans pour paraître plus jeunes.

De toutes façons, il n’est plus temps de reculer. D’habitude ma silhouette avantageuse, mes gros seins, mes grands yeux, mes longues jambes et mes lèvres légèrement pulpeuses font un effet immédiat sur les hommes quand ils me découvrent sur le pas de leur porte. Mais là c’est à peine s’il me regarde.
-« Entrez mademoiselle. Vous z´ êtes z’en retard. »

Passée la porte je suis dans un couloir. Il y a un banc et une rangée de porte manteaux au mur. C’est une école primaire, les portes manteaux sont bas. Le maître me dit qu’il faut ôter ma veste, que je ne dois pas voir peur d’avoir froid. J’ai beau avoir le feu au cul, je suis une frileuse. Mais je décide d’être obéissante et je pends mon blaser au petit porte manteau.
-« Dépêchons, Mademoiselle, votre cours particulier va commencer. »

Le Maitre est derrière moi, il me prends par la taille et me pousse gentiment à l’intérieur. Je me laisse guider, les mains autour de ma taille me semblent chaudes, autoritaires mais sans malveillance. Il me guide un peu comme une pouliche, je me concentre sur le contact de ses mains, j’essaie de sentir la pression de ses doigts. Il me retient semblant signifier que je marche trop vite. Alors je ralenti. Il me fait marcher très lentement. J’ai l’impression qu’il accentue le balancement naturel de mes hanches par de savantes pressions. Alors je m’applique à rouler des fesses. Il me guide jusqu’à l’estrade devant le grand tableau.

-« Prends une craie. Je veux que tu écrives au tableau tout ce qu’une bonne chienne doit faire pour son maître. »

Je prends une craie blanche sur le rebords en bois. Je ne sais pas trop quoi écrire. Toujours derrière moi il passe sa main sous ma jupe dans ma culotte. Il essaie de rentrer un doigt entre mes fesses mais il se ravise et porte finalement son majeur à ma bouche. J’ai bien compris ce qu’il attend de moi alors je suce son doigt en bavant le plus possible. Quand sa main repasse sous ma jupe je fais de mon mieux pour écarter les fesses. Et son doigt rentre facilement dans mon anus. C’est bon.
Mais je n’ai toujours pas écrit un mot.
-« Allez ! «

je le lance d’une écriture maladroite. A force de taper sur mon clavier ou mon téléphone j’ai perdu l’habitude de l’écriture manuscrite. Mais au moins son doigt dans mon cul me donne l’inspiration. Alors j’improvise et commence par un titre :

Les dix commandements de la bonne chienne :

Une bonne chienne doit toujours avoir le cul propre.

Elle doit savoir lécher et sucer. Une bonne chienne aime la saucisse

Elle sait  gémir sans aboyer, surtout ne jamais mordre.

-« C’est bien, je vois que ça t’inspire un doigt dans le cul. »

Le doigt dans mon cul et la paume de sa main sur mes fesses m’excitent vraiment. Je ne peux pas m’empêcher de contracter les fesses et de me cambrer pour qu’il bouge dans mon cul. Je mords ma lèvre inférieure.

-« Allez ma belle, je ne vois que 4 commandement il m’en manque 6. Un doigt c’est peut être pas assez… »

Son doigt tourne dans mon anus mais il ne cherche pas à en glisser un second. Il passe son autre main par devant dans ma culotte. J’ai le cœur qui bat à cent à l’heure, ma chatte est moite et ses doigts savent la caresser exctement comme j’aime. J’ai conscience d’être une mauvaise élève et une vilaine fille. Je m’attends à ce qu’il arrête de me masturber à tout moment pour me fessée comme je le mérite. Mais il embrasse mon cou et ne semble pas avoir envie d’arrêter de me donner du plaisir. Je ne tiens presque plus sur mes jambes, je gémi de plaisir, son doigt dans mon cul décuple mes sensations.

-« Lâche la craie et défais mon pantalon toi même. Je suis sur que tu ne veux pas que je retire mes doigts. »

Il à tellement raison ! Je fais de mon mieux à tâtons. Il n’arrête pas de me branler. Il change de doigt et enfonce son pouce dans mon cul. Quand je parviens enfin à libérer sa queue raide il me pousse en avant sur le bureau. Sa main passe de mon fessier à ma nuque, il prend ma main et la guide juste là où il me donnait du plaisir afin que je me masturbe moi même. Il m’encule d’un coup de reins. Je crie. Je sais que vous pensez de moi que je suis une grosse salope qui doit forcément être habituée. Mais c’est faux, je peux passer des semaines sans relation sexuelle et même des mois sans me faire enculer. Alors j’ai l’anis étroit et sensible. La douleur est vive, mais elle malgré tout je joui. Surtout que sa queue est bien grosse. Mais heureusement il est doux à sa façon. Il ne me defonce pas violemment sur le bureau. Au lieu de cela il s’enfonce jusqu’à la garde. Il me presse lentement, puis se retire entièrement et recommence lentement mais inexorablement. Je gémi à chaque fois. Je n’ose pas bouger quand je le sens éjaculer bien au fond de mon cul. Il reste et débande toujours dans mon cul.

Je sais que j’aurai du mal à rester assise plusieurs jours mais je suis juste heureuse cette petite mort me donne l’impression d’être vraiment vivante.