Attachée de plein gré

Trouvez moi ici.
==> CINQASEPT <==

J’ai mis la robe à petites fleurs. Celle en soie sauvage avec le bustier qui met mes gros seins en valeur. Mes fesses aussi sont, je le sais, parfaitement appétissante sous cette étoffe. Je sais que je ne devrais pas, que c’est mal. Enfin non, en vrai je ne me sens pas coupable je suis bien dans ma peau de femme adultère. Mais bon, c’est bizarre, me sentir coupable dans le rôle de la femme qui trompe son mari m’excite terriblement. Je suis donc Myriam, une jeune maman qui ne peut s’empêcher de venir retrouver son amant clandestin. Je vois Paul en cachette depuis maintenant 3 mois. A raison d’une ou deux fois par semaine.
Au début il n’était pas question de cul. Le site sur lequel nous nous étions rencontrés n’était pas un site de rencontre. Enfin sauf que depuis j’ai appris que draguer sur Doctissimo était chose courante. En vrai je m’en doutais, sinon je n’aurais pas adopté l’identité de Myriam. Bref, on s’est écrit, puis on s’est rencontré et l’on a pris l’habitude de déjeuner ensemble en semaine dans une brasserie à quelque rue du bureau. Une heure et demi grapillée sur ma pause déjeuner. Une heure et demie où je me sentais libre, regardée comme si j’étais Myriam, une femme mariée encore vierge d’adultère et à conquérir. Ce n’est qu’à notre troisième déjeuner qu’il a osé me faire du pied. C’était au printemps, j’ai enlevé ma sandale et laissé mon pied caresser sa cheville. J’ai planté mes yeux dans les siens et chuchoté : « Aux toilettes ? »

Je me lève et me dirige vers les toilettes de la brasserie sans savoir s’il me suivrait. Ce sont des toilettes handicapées, spacieuses avec un petit lavabo. C’est heureusement très propre. Je ne ferme pas à clef et, bien sûr il me rejoint. C’est moi qui ferme le loquet derrière lui. Il m’embrasse à pleine bouche, il déboutonne mon chemisier et me suce les têtons au bout de mes gros seins. Il passe sa main sous ma jupe et dans ma culotte. Mais ce sont ses lèvres sur mes seins qui me font le plus d’effet. Ça me rend dingue. Je suis sûre que la serveuse va remarquer notre absence et venir frapper à la porte si on reste plus de cinq minutes ici. Alors je me mets à genoux pour le sucer car j’ai terriblement envie de le faire jouir. J’avale son sperme avec délice. Mais je m’enfuie vers notre table en le laissant derrière moi le pantalon baissé. Quand il me rejoint je lui dit que je suis désolée, que je ne sais pas ce qui m’a pris, que je ne suis pas comme ça, que j’ai honte, qu’il doit me prendre pour une folle. Il dit que non, que c’est pas grave, qu’on n’est pas obligés d’en parler, ni même de recommencer. Alors je dis que c’est sur qu’il ne faut pas en parler. Mais que quand à recommencer, j’ai toujours envie de continuer à le voir mais que j’aimerais avoir plus de temps et un peu moins d’inconfort que dans les toilettes handicapés.
Nous nous revoyons la semaine suivante. Dans un Airbnb joliment décoré. cette fois encore il embrasse mes seins. Mais il prend son temps, passe la langue sur le bout des tétons, il suce et caresse sous ma jupe en prenant son temps. J’ai mis pour lui des collants noirs à motifs, sans culotte. Il a fait plus que me caresser. Il a massé mon sexe à travers le nylon, sans cesser d’embrasser mes seins. Je me sentais mouiller et je mourrais d’envie que mon collant se déchire pour sentir ses doigts me pénétrer. Je gémissais qu’il me rendait folle, que je serais prête à n’importe quoi pour qu’il continue à s’occuper de moi. Il a défait son pantalon et guidé ma main vers sa queue.
Une belle queue raide et droite. J’étais folle de désir. Et je me suis collée à lui pour la sentir contre mon con dans l’espoir qu’il déchire enfin mes collants pour me pénétrer. Mais il m’a repoussé. Sans violence mais fermement.

-« Ça ma jolie petite salope adultère, ça se mérite. Aujourd’hui, tu suces. Et la prochaine fois, peut être, si tu es effectivement prête à tout, peut être que tu l’auras dans ta chatte… »

Il m’a prise par les cheveux. Toujours fermement mais sans violence. Et il m’a tirée vers le grand lit où il s’est allongé sur le dos et a guidé ma tête.

Je l’ai pris dans ma bouche, j’avais espoir qu’il n’en puisse plus et m’attire à un moment sur lui pour m’enfiler. Mais à chaque fois que je faisais mine de remonter il repoussais gentiment ma tête pour que je continue a le sucer. A ma troisième tentative il m’a reprise par les cheveux et attirée vers son visage. Il m’a embrassée sur la bouche. Avant de m’expliquer ce qu’il attendait de moi.

-« Aujourd’hui, je veux que tu me suces. Je veux que tu constate que je peux bander longtemps. Je veux que tu puisses imaginer comme tu aimerais avoir ma queue dans ta chatte. Tu ne l’auras pas aujourd’hui. Je veux que tu en rêves jusqu’à la prochaine fois. Je veux que tu comprennes que tu dois la mériter. Quand tu auras bien avalé mon sperme tu pourras partir et je t’enverrai par sms mes instructions pour la prochaine fois. Ok ? »

-« Ok »

-« Bon, maintenant remets toi à l’ouvrage. Tu es une très bonne suceuse. »

Alors je me suis remise à l’ouvrage. Frustrée et en même temps heureuse de faire aller et venir sa belle queue raide entre mes lèvres pulpeuses. Il ne m’avais pas menti. Je pouvais constater qu’il était endurant sans sembler se retenir. Il m’encourageait, me félicitais d’être une bonne suceuse. Je levais les yeux vers lui sans le sortir de ma bouche. J’essayais de lui parler avec les yeux, de le convaincre que j’étais à lui, qu’il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Quand il éjaculais je reculais légèrement la tête pour que son sperme n’aille pas directement au fond de ma gorge mais bien dans ma bouche afin que je puisse en avoir le goût et pour lui montrer que j’en avais plein la langue. Du coin de l’œil je regardais le petit réveil lumineux rouge. Putain ! 14h12 ! J’étais sacrément en retard !

Le lendemain je recevais, sur mon téléphone à clapet secret son SMS.

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Ludivine du service marketing

Ludivine du service marketing vient d’avoir trente ans. Mariée à un type de la boîte un peu terne ils ont eu un bébé qui lui a laissé quelques kilos sans pourtant entamer ni son charme ni son sourire. Ludivine est potelée sans être ronde, ses seins, ses hanches et ses lèvres pleines sont un appel à la sensualité dont elle est pleinement consciente. Après son accouchement son mari, déjà pas très gai ni porté sur la gaudriole, ne voyait plus en elle que la mère de leur enfant. Il l’aurait sûrement trompée s’il en avait eu l’occasion mais les seuls écarts qu’ils osait s’autoriser étaient sur youporn au fond des toilettes où il allait plus que de nécessaire.

Un jour, en regardant par curiosité ou désœuvrement l’historique de navigation de l’iPhone de son époux, Ludivine a découvert que son époux fantasmait sur des adolescentes maigrichonnes à l’anus accueillant. D’abord écœurée elle a malgré tout, elle aussi, a traîné de vidéo en vidéo et elle a découvert que ce qui l’excitait, elle, c’était le sexe au bureau. Ainsi elle a commencé à rester plus tard au boulo, à s’habiller un peu plus sexy, à attarder son regard sur ses collègues à peine un peu plus qu’avant et à changer de couleur de rouge à lèvres. Son premier amant a été un jeune ingénieur de presque dix ans son cadet. Elle l’a sucé à genoux dans la remise au fond du couloir, entre des piles d’archives. C’est elle qui s’est retournée et a relevé sa robe pour qu’il la prenne en levrette. Le tout n’a pas duré plus de dix minutes mais elle a joui. Elle a adoré. Ils sont sorti ensemble clandestinement quelques semaines avant qu’il ne rompe et se mette en couple avec une fille de son âge. Si elle a été un peu blessée dans son orgueil Ludivine n’en a pas vraiment souffert. Elle n’était pas amoureuse. Par contre il lui fallait un autre amant. Elle pris ce qu’elle avait sous la main. Un autre collègue dont elle avait remarqué qu’il la regardait toujours droit dans les seins. C’était un marié avec enfants qui ne risquait pas d’être trop compliqué. Ce furent ses premières branlettes espagnoles, la première fois aussi avec des menottes et ses premières fessées. Ludivine devenait petit à petit la bonne salope du bureau pour qui savait le deviner…

Râteaux et regrets

Un peu après avoir eu mon baccalauréat j’étais très attirée par un homme plus âgé que moi. Il était marié et je suis à peu près certaine aujourd’hui que je ne le laissais pas indifférent. Je rêvais de lui, je me caressais longuement le soir en pensant à lui. C’était un collègue et un ami de mon Père. Mais il était plus jeune que mon Père, a peu près à mi chemin entre nos deux âges. Il était souvent chez mes parents avec sa femme. Je le dévorais des yeux et je me dis aujourd’hui que je n’étais vraiment pas discrète. Mais il ne m’ignorai pas, il m’intégrait souvent dans les discussions et même nous faisions parfois du tennis ensemble le samedi matin. Je rêvais qu’il me rejoignai dans les vestiaires. Mais il ne s’est jamais rien passé entre nous et je le regrette amèrement aujourd’hui. Quand j’ai essayé de le recontacter j’ai appris qu’il était mort d’un cancer quelques mois plus tôt.

Je suis curieuse de savoir vos râteaux ou vos regrets. Ou que vous me décriviez celle ou celui qui vous fait fantasmer dans votre entourage. Son prénom, son âge, sa situation maritale, sa profession, bref le plus de détail possible. En échange j’écris un petit texte le ou la mettant en scène juste pour votre plaisir de lire cela. OK ?

Un doigt dans le cul

Plan cul, mardi 26 septembre 2022 :

Au balcon en fer forgé du petit appartement  au centre ville de Cahors je téléphone à mon mari comme chaque soir quand je suis en déplacement. Toi, tu viens derrière moi, tu passes la main sous ma jupe. Je demande à mon époux comment était le repas du soir, si notre fille est couchée, si elle a bien fait sa lecture. Ta main remonte le long de mes bas nylon, s’attarde un peu sur l’attache du porte jarretelles, puis glisse dans ma culotte de dentelle, caresse mes fesses. Ton doigt sans n’a presque pas besoin de forcer pour détendre mon anus. Je pousse un petit soupir de plaisir. Ton doigt dans mon cul c’est juste trop bon.
-« Non, pardon, j’ai juste avalé de travers. Tu sais, toute seule, je mange vite fait une petite salade. »

Avec ton doigt dans mon petit cul j’ai les jambes flageolantes. Tu passes l’autre main par devant, moi je n’en peux déjà plus tellement c’est bon. Trop longtemps que je n’ai pas eu un bon plan cul. Tu caresses mon ventre tiède puis descends lentement vers mon abricot juteux.

-« Allo chéri…Bon, je suis fatiguée, je vais te lécher…heu, pardon, te laisser. Je me fais mon petit dessert et je me couche. »

-« Ha ? Ok, t’as quoi en dessert ? »

-« Humm, un éclair au chocolat. »

-« Ok, bon appétit alors. »

Dans mon dos je dégage ta queue de ton caleçon.

-« Oui, il est bien gros comme j’aime. »

-« Attention, ça pourrait prêter à confusion ce que tu dis… »

-« T’as vraiment l’esprit mal placé. Si tu veux savoir, l’éclair au chocolat je vais l’avaler mai j’ai bien peur qu’il finisse dans mes fesses ! »

-« Hahaha, très marrant, comme si tu grossissais avec tout le sport que tu fais. »

Je tiens ta queue dans ma main et, même sans la voir je peux deviner qu’elle est exactement comme j’ai envie qu’elle soit. Douce, longue et bien raide.

Même si j’ai bien envie de te sucer je me dis que ça peut attendre demain matin pour une fellation matinale. Là j’aime trop que tu sois derrière moi et ça m’excite de garder encore un peu mon idiot de mari au téléphone. Lentement pour bien garder ton doigt dans mon cul je me mets à genoux en gardant ta queue dans une main et mon iPhone dans l’autre.

Je pose l’iPhone au sol et m’agrippe aux barreaux du petit balcon de fer en te tendant mon jôli petit cul toujours bien doigté.

-« Hummm, c’est délicieux… t’imagine pas comme j’apprécie mon dessert… »

-« En effet, à ta voix ça a l’air d’un super éclair au chocolat ! »

-« Wouai ! Je crois qu’il va rentrer tout seul ! »

Ma jupe est relevée sur le bas de mes reins. Tu dois avoir une super vue sur mes bas nylons, mon porte jarretelles et mes talons. Ton doigt sort doucement de mon cul et je sens se présenter autre chose de bien plus gros contre mon anus.

-« Mon chéri, faut que je raccroche, bonne fin de soirée, ça va rentrer et je pourrai plus parler… »

Je n’attends pas sa réponse pour mettre fin à l’appel au moment exact où tu me pénètres.

-« ooohhhh, ouiiiii hummmm! »

Tu restes bien à fond dans mon cul quelques secondes avant d’entamer un savant va et vient lent et puissant. J’ai l’impression que c’est bien gros dans mon cul, je me cambre en rythme et je gémi. Tu pèse de ton poids sur moi et je suis allongée sur le ventre les jambes bien écartées. Tu te retires de mon cul pour plonger ta tête entre mes fesses bien écartées. Je sens avec délice ta langue qui humidifie.

-« Hummm, oui, vas-y, prends ma mouille de salope et éculé moi encore c’est tellement bon, j’t’en supplie encule moi encore. »

QJe le remets à genoux, le cul tendu pour que tu y reviennes. Ta langue et tes doigts passent de ma Chatte à mon anus pour bien lubrifier mon petit trou du cul. La deuxième fais que tu m’encule c’est encore meilleur. Tu me tiens juste sous le ventre pour bien presser à chaque fois que tu me pénètres. Je me m’assure la chatte en même temps. J’adore jouir par le cul.

-« Dis moi quand tu va éjaculer. Je veux me retourner et tout prendre sur le visage comme une bonne salle s’il te plait. »

quand tu te retires je me retourne juste à temps pour une magnifique ejaculation faciale. Tu n’imagines pas à quel point j’aime ce moment, c’est juste parfait. Je ne me sens pas soumise, juste reconnaissante. Et tellement fière d’être une bonne salope parfaite. Maintenant je vais me doucher, me faire toute jolie pour que tu me sortes dans un restaurant et quand on rentrera après quelques verres d’alcool et un bon repas on se couchera dans le même lit, je te sucerai et tu me baissera encore, mes jambes sur tes épaules. J’aime ma vie en ces moments là !

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Fessée en collants

J’ai été vilaine. J’ai accepté d’aller au restaurant avec toi qui n’est pas mon époux et j’ai eu des pensées coupables. Tout cela bien sûr en cachette. Pire que tout j’ai demandé à ce que les repas soient mis sur la note de ma chambre en ajoutant une nuit pour que ça ne se voit pas. Pour tout cela et d’autres choses encore je sais que je mérite d’être corrigée. Tu es assis sur le canapé de ma grande chambre d’hôtel et me voilà allongée sur tes genoux, jupe relevée. Collants chair et talons beiges. En haut je ne porte plus qu’un collier de perles de culture car tu m’as fait enlever mon pull pour mater mes gros seins avant de me basculer sur tes genoux. Toi tu es en tenue de bureau, pantalon bleu marine, chemise blanche et cravate en soie. Ça devient rare les hommes à cravate.

Par réflexe je mets les mains sur mes fesses, dérisoire protection contre les claques à venir. Aussi un moyen d’envoyer le message que je suis une fille sensible et qu’il ne faut pas y aller trop fort. Tu n’as pas trop de mal à tenir dans ta main gauche mes fins poignets pour faire place libre. La première claque est bruyante, à plat sur une seule fesse. La gauche. Je me tortille un peu. Plus pour essayer de trouver une position moins inconfortable que pour échapper à la punition. Tu m’assenne deux autre claques coup sur coup toujours sur la fesse gauche. Un gémissement m’échappe « Han ! ».

-« Quoi han ? Ça veut rien dire. Commences déjà par compter jusqu’à 10 »

Nouvelle claque. Je ne peux l’empêcher de me dire que tu dois être expert en la matière car la claque est aussi bruyante que si tu frappais dans tes mains. C’est pas ultra fort mais je la sens passer. J’en oublie de compter. Et la suivante est bien plus violente. Si je pensais que tu ne retenais pas tes coups là je comprends qu’il y a une grande marge de progression.

-« Compte bien, sinon ça va être de plus en plus fort. Il risque de se poser des questions ton mari si tu manges debout en rentrant. »

-« Un ? »

-« Allez je suis sympa, commence à 4, tu vas que jusqu’à 10. »

Nouvelle claque. Un peu moin forte il me semble.

-« Cinq »

Toujour la fesse gauche, cette fois de bas en haut mais toujours bien du plat de la main et bruyante.

-« Six »

Un aller retour bas vers le haut puis du haut vers le bas.

-« Sept, huit »

La neuvième est forte mais tu laisse ta main sur ma fesse et tâte  la chair brûlante.

-« Huuumm, neuuuf ! »

Tu malaxe ma fesse endolorie et ne semble pas vraiment pressé d’en finir. Comme j’ai peur que tu décides d’aller au delà des dix promis j’essaie de libérer mes poignets de ton emprise.

-« tututut, t’es pas bien là ? On n’est pas pressés. Tu sais que tu la mérite ta fessée quand même ? »

-« Oui, je sais. J’ai été vilaine. Mais si on s’arrête à dix je promets d’être gentille…très gentille. »

-« Mais j’en doute pas. T’inquiètes, j’ai dis jusqu’à dix, c’est jusqu’à dix…pour la fesse gauche… »

Tu dénoues ta cravate et attache mes poignets. Les deux mains livré tu tires sur mes collants.  Bruit de tissus déchiré, je me retrouve les fesses à l’air. Et c’est presqu’un soulagement d’avoir un tout petit peu de fraîcheur sur ma fesse gauche. Tu te penches en avant et souffle légèrement. Ça fait du bien.
-« Et de dix ! »

La grande claque vient sans prévenir. J’en hurle de douleur car ce dernier coup après le bref soulagement réveille d’un coup tous les nerfs à vif de mon fessier. Même si je ne peux pas voir j’imagine aisément la différence de teinte qu’il doit y avoir entre ma fesse gauche rougie et la droite intacte.
-« Bon, t’es pas si vilaine. J’aime bien ton cul bicolore. On va s’arrêter là pour la fessée. Tu mérite une petite récompense. »

En fait de récompense je sens tes doigts qui glissent entre mes cuisses vers mon con. J’avais juste mal et j’avoue que j’en oubliais complètement d’être excitée. Mais indépendamment de la volonté, comme par réflexe je me cambre et j’écarte légèrement les jambes. Le doigt qui presse sur mon petit abricot moelleux me fait tressaillir j’en oublie un instant ma fesse endolorie.
« Mais c’est qu’elle mouille déjà la vilaine ! »

Je suis aussi surprise que toi de sentir comme ton doigt glisse facilement dans ma fente à peine ouverte. Tu me caresses délicatement, hummmm, c’est bon, tellement bon. J’en gémi d’aise je sens que je mouille, je resserre comme je peux pour retenir ton doigt contre mon bouton. Tu ne mets qu’un doigt, je suis en quelques minutes au bord de l’orgasme. J’ai le réflexe de prendre mes fesses dans mes mains attachées pour les écarter et t’inviter à mettre aussi un doigt dans mon anus mais c’est une erreur. Une douleur vive sur la fesse gauche me ramène à la réalité. Je sais que je vais devoir m’assoir de travers pendant quelques jours.

-« C’est bon, allez, au lit ! »

Tu me prends par la queue de cheval et me pousse vers le lit. J’y tombe à plat ventre et tu es sur moi, ton genoux entre mes cuisses.
-« Pas bouger ! »

Les mains derrière le dos et la peur d’une autre correction je ne risque pas de m’échapper. Je devine que tu enlèves tes chaussures et ton pantalon. Je reste figée, immobile. Je me sens reconnaissante que tu remettes tes doigts dans ma Chatte par derrière. Tu prends le temps de m’exciter et ton pouce contre mon anus s’enfonce sans difficulté. Tu souffles sur ma fesse endolorie. Ça soulage un peu mais dès que tu arrêtes ça me brûle. Quand tu me prends par les hanches pour relever mon cul je ne me fais pas trop d’illusions sur ce qui attend mon petit cul. Mais comme tu continues à me branler par devant je suis sur le fil du rasoir entre l’orgasme et la douleur. Quand tu m’encules j’essaie de te présenter ma fesse droite. Mais je ne sais pas si ça marche, je ne sais plus trop où j’habite, je tournes la tête sur le côté pour pouvoir respirer, ou plutôt haleter. J’ai l’impression d’avoir enflé du cul mais je jouis, oh oui, je jouis ! Et ça faisait bien longtemps ! Et même si je sais que je vais m’assoir de travers pendant plusieurs jours je m’en fou. Ça valait le coup !

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Je perds un pari et dois assouvir tous ses désirs

Un mardi soir. A plus de 400km de la maison, Restaurant chic d’une bourgade de province. A deux pas de mon Airbnb. Nous avons matché sur cinq à sept. Donc pas vraiment de suspense sur le fait qu’il y aura plan cul. Le suspense est davantage dans la façon dont la chose va se passer. Pour l’instant tu m’as juste dévorée des yeux pendant tout le repas, essayant d’entretenir la conversation en évitant les moments de gêne. Car là où il y a de la gêne, il y a moins de plaisir. Et tu t’en es plutôt bien tiré.

Je porte un pull en cachemire qui met en valeur mes gros seins, une jupe  beige mi longue sur des collants beiges eux aussi. Queue de cheval et maquillage discret. Pas de string ni de culotte mais ça, tu ne le sais pas encore. Mes souliers vernis à talons hauts sont un détail important pour la suite mais ça c’est moi qui ne le sait pas encore…

Nous avons brièvement évoqué nos mariages respectifs qui partent à la dérive, notre goût commun pour le sport. Je t’ai allumé en disant que j’ai le sport en extérieur et aussi en chambre. C’était direct mais c’est pas comme si on savait pas tous les deux pourquoi on s’est donné rendez vous dans ce restaurant ce soir là. Pourtant nous avons pris notre temps. Nous avons aussi parlé cinéma, lecture et gastronomie. Tu as réussi admirablement mon petit quizz coquin. A la question quel est ton fruit préféré ? tu as répondu l’abricot. Forcément quand tu m’as dit et toi ? J’ai choisi banane. Sous la table j’étais déchaussée et j’osais discrètement de délicates caresse du bout des orteils. J’ai choisi ce resto chic pour ses grandes nappes qui permettent de se faire du pied en toute discrétion. J’arrive à remonter le long de ton mollet. J’approche ma chaise un peu plus de la table pour pouvoir tendre la jambe et remonter le long de ta cuisse. C’est tout un art de faire cela en restant naturelle, sans donner l’impression de se contorsionner. Merci le yoga ! Toi aussi tu approches un peu ta chaise de notre petite table. Et je peux caresser ton entrejambe facilement. La table ronde n’est pas très grande. Je fais cela délicatement, en te regardant droit dans les yeux. Toi, depuis le début du repas tu as plus de difficulté à me regarder dans les yeux. Ma poitrine ferme et généreuse n’aide pas, il faut dire.

-« Si t’as trop chaud commande une glace en dessert.  Moi je vais prendre un tiramisu. Il est crémeux comme j’aime…»

La serveuse, vient pour enlever les assiettes et proposer la carte des desserts. J’ai reculé mon pied juste à temps pour qu’elle ne remarque pas mon manège. Ou peut être qu’elle a remarqué. Bof, on s’en fout.

Moi : -« Ça te dis un petit jeu ? »

Toi : -« Dis toujours, je sens que je vais aimer. »

Moi : -« On commande tous les deux un dessert différent. Celui qui est servi en dernier paie l’addition. »

Toi :-« C’est tout ? J’avais pas l’intention de te laisser payer de toutes façons ! »

Moi :-« Et l’égalité des sexes, ça te parle pas ? Bon, surtout, disons qu’en contrepartie celle ou celui qui se fait inviter devra faire tout ce que l’autre lui demande jusqu’à demain matin. Elle ou il sera la marionnette de l’autre. »

Toi : -« Humm, voilà qui me plait déjà plus ! Ok, topes là! »

Tu me tends ta main par dessus la table. Mais je préfère t’envoyer une bonne tape dans les couilles du bout du pied !

Toi :- » Aie ! ça fait mal ! »

Je recommence un peu plus fort même

Toi:- » Arrête ! T’es malade, ça fait mal ! »

Moi :-« Oh ! Bichon, ça te donne un avant goût de ce qui peut t’attendre si c’est moi qui paie l’addition… Bon, après, si c’est l’inverse tu pourras te venger… »

Toi :-« Tu sais qu’en général on sert toujours les femmes en premier, tu risques de perdre. »

Moi :-« Oui, sauf que j’ai vu comment la serveuse te regarde et rappelle toi que tu as eu tes ris de veau avant mon pigeon. »

La serveuse arrive, sourire niais et voix haut perché. Je commande un tiramisu. tu sembles hésiter. Et tu prends la crème brulée maison à la violette. Là je réalise que je me suis sûrement faite avoir. Et, en effet, quand arrivent les deux dessert la serveuse pose mon tiramisu en premier et le tien après qu’elle allume pour faire flamber la crème brûlée.

Tu jubiles en demandant l’addition alors que nous n’avons même pas encore entamé nos desserts. Le temps qu’elle revienne avec la note ta crème brûlée à est engloutie et tu sors trois billets de cinquante de ton porte feuille.

-«Tu disais ? Ton Airbnb est à deux pas c’est ça ? »

-« Oui, c’est à moins de cinq minutes. Je t’invite pour un dernier verre ?»

-« Avec plaisir ! Mais je te rappelle que c’est moi qui ait gagné le pari. Et comme tu as déchaussé un pied pour sournoisement me frapper à un endroit de mon anatomie auquel je tiens particulièrement, je te confisque ton soulier ! »

Tu tends habilement le pied vers mon talon haut droit et le récupère sous la table :-« Ah ! Et interdit d’enlever l’autre. J’ai bien envie de te voir boiter jusqu’à notre petit nid d’amour ! Tu pourras te pendre à mon bras si t’es sage ! »

D’un coup mon Airbnb qui me semblait à deux pas me semblent quand même bien loin. Sur le chemin de retour je me sens bien moins sexy et confiante en moi qu’au restaurant. Marcher avec une jambe plus haute de douze centimètres, même en me tenant à ton bras me fait perdre pas mal de prestance. Tu en profite pour passer ta main sous mon pull en cachemire. Le contact de ta main sur la peau de ma hanche devrait m’exciter en temps normal. Mais là je me sens juste piégée et pas du tout à mon avantage. Heureusement le trottoir est lisse et à peu près propre. Je fais démon mieux pour poser le moins longtemps possible mon pied déchausser pour ne pas trop déchirer le nylon de mes collants. Aucune illusion sur le fait qu’ils seront de toutes façons ruinés mais je n’ai pas envie de m’écorcher le pied connement. En m’accrochant à toi j’arrive à ne presque pas poser le pied nu au sol mais ce n’est pas très élégant et c’est un peu humiliant.  Tu impose une marche assez rapide et essoufflante. C’est donc un soulagement d’arriver en bas du petit immeuble de ville où je loue un appart au sixième étage.

-« S’il y’en plaît, pas l’escalier, on prend l’ascenseur ! »

-« Ah? Rappelle moi qui a gagné le pari ? »

-« S’il te plaît… »

-« Bon, ok. Mais si tu choisis comment on monte alors c’est moi qui choisi comment je te monte. »

-« Heu…ça je l’avais compris… »

-« Allez, en voiture Simone! »

Tu me claques les fesses à travers la jupe pour me faire entrer dans l’ascenseur dont je dois ouvrir la porte qui n’est pas automatique. C’est un vieil ascenseur, minuscule, en bois avec une porte vitrée. Il passe au milieu d’un escalier en colimaçons. Tu t’y engouffres derrière moi. Contre moi serait plus approprié tellement la cabine est étroite. Tu ne te gênes pas pour remonter ma jupe.

-« Tiens, je pensais que tu aurais des bas…Mes des collants c’est bien aussi. »

Dans mon dos tu me tiens contre toi, la main sur mon ventre sous mon pull en cachemire. Lorsque l’ascenseur stoppe brusquement à mon étage je sens nettement ton sexe sur mes fesses qui tressottent. Tu me serres un peu plus fort sans sembler pressé s’ouvrir la porte de l’ascenseur.

-« Tu es sure qu’il tient toujours le pari ? Parce que si tu change d’avis vaut mieux le dire toute de suite… » Tu pinces ma fesse assez fort pour qu’il n’y ait pas d’équivoque sur ce qui m’attend.

-« Je n’ai qu’une parole. »

-« Ok, tu m’invites pour un dernier verre alors ? »

Mon Airbnb est une garçonnière agréable. Un petit studio en loft. Canapé Togo en velour, table basse en verre tapis marocains en laine épaisse. Le lit est sous les toits perché sur une mezzanine. Je suis reconnaissante au propriétaire d’avoir particulièrement soigné l’éclairage. Les ampoules ne sont pas trop fortes et il est facile d’obtenir une ambiance tamisée très romantique. On pourrait penser que quand je pars en déplacement avec un plan cul en vue j’ai dans ma valise une jolie collection d’accessoires SM. Mais en vérité, ce que j’ai c’est surtout une petite valisette de pique nique avec des bouteilles d’alcool, deux verres en cristal de Bohème et aussi des poppers et autres aphrodisiaques.

-« Si tu veux je peux te servir un whisky et t’offrir un petit spectacle. »

-« Oui, pourquoi pas. Mais viens un peu ici d’abord. »

Tu m’attrapes et passes tes mains sous mon pull pour malaxer mes seins. Je passe les mains derrière mon dos pour dégrafer mon soutien gorge. Tu trouves la petite fermeture éclair sur le côté de ma jupe et  je me retrouve vitre en collants.

-« Enlève moi ça ! je veux que tu restes juste en collants. »

J’obéis. Être à demi nue devant dans un studio devant un homme qui reste habillé est une situation que je connais. Mais c’est toujours intimidant. Intimidant et fortement excitant. Je prends le verre à whisky sur la table basse et me dirige vers le frigo américain. Je boite toujours car je n’ai qu’un seul talon. je remplis ton verre de glaçons au distributeur dans la porte et t’apporte ton whisky.

Et, ce soir, comme je suis d’humeur taquine j’ai décidé de ne pas en écrire plus et de vous laisser tous sur votre faim !!!

ahahah !

Mais si vous revenez plus tard dans un jour, un mois, un ans sur cette page peut être que vous saurez comment tout cela s’est terminé pour mes fesses polissonnes.

 

Aller au bout de ses fantasmes

Je sais qu’il est un peu honteux, ou intime, d’aimer lire de la pornographie. Alors celles et ceux qui aiment mon blog n’osent certainement pas en parler et le faire connaître. Pourtant, si vous avez envie, gratuitement, sans rien attendre en retour, juste par gratitude ou sympathie, de me faire un joli cadeau, partagez le plus possible, citez mon blog quand vous commentez sur un site. Envoyez le lien à des amis, de vrais amis, ceux a qui l’on peut presque tout avouer. Par avance un grand merci baveux.

Lorsque j’étais adolescente je passais les vacances d’été chez mes grands parents. Il y avait dans le salon une grande télé à tube cathodique et un magnétoscope VHS. Internet existait ainsi que les téléphones portables. Mais je n’avais droit ni à l’un ni à l’autre. A seize ans j’avais déjà de gros seins mais j’étais un peu mal dans ma peau, sans faire vraiment de boulimie j’étais quand même plus portée sur les sucreries que sur le sport et les kilos en trop que j’ai perdu depuis ne favorisaient pas la confiance en moi. J’étais studieuse, très douée en mathématiques et, sans être asociale j’avais peu d’amies filles, encore moins de copains.

J’avais trouvé, cachée derrière une pile de disques vinyles la collection de films pornos de mon grand père. Il avait du enregistrer sur des VHS à peu près tous les films X depuis le lancement de canal+ .  Mais il devait aussi avoir d’autres sources car pas mal de films étaient en anglais ou en Italien.

C’est là que j’ai fait toute mon éducation sexuelle entre 15 et 17 ans. Je pense que c’est de là que me viennent tous les fantasmes que je réalise aujourd’hui. J’aimais particulièrement les ambiances moyen âgeuses, les scènes où l’heroïne devait se plier aux désir d’un ou plusieurs hommes qui exerçaient une emprise physique ou psychologique. Je me souviens ces visionnages, une main dans ma culotte et l’autre sur la télécommande, prette a tout éteindre si la lumière du couloir s’allumait. Aussi étrange que cela puisse paraître je ne me suis jamais faite surprendre. Je me fabricais des godemichets improvisés avec les pièces d’un jeu d’échecs en bois et je m’effrayais de la taille des sexes que les actrices se prenaient dans le cul.
Je dormais peu car même une fois dans ma chambre je m’essayais à toutes sortes de caresses. Je m’attachais maladroitement a mon lit, et je me faisais jouir souvent jusqu’au lever du jour. Ensuite je traînais telle une zombie adolescente la majeure partie de la journée. Je me sentais honteuse et coupable. Ensuite, quand il y a eu les premiers petits copains (décevants) puis les études et le mariage j’ai presque oublié cette période de ma vie. Maintenant chaque scène de chaque film me revient avec détail et je suis tellement heureuse de pouvoir, quand tout se goupille bien sur cinqasept, être enfin l’héroïne de ma jeunesse.

Et vous, quels étaient vos fantasmes à 16 ans. Vous avez forcément plus puisque vous avez cliqué sur j’ai 18ans ou plus !

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Angoisses de la femme adultère

Trouvez moi ici.
==> CINQASEPT <== (essais gratuit mais j’aime pas les radins !)

Petite astuce si vous voulez que je vous reconnaisse : incluez un code postal dans votre pseudo qui doit nécessairement contenir un jeu de mots ou un calembour.

Pour moi qui suis une femme adultère accro aux plans culs la clandestinité est une obligation. Je vis dans la peur d’être un jour découverte. Je suis heureuse en mariage. Non pas que mon mari me comble, bien au contraire. Mais je suis aussi maman et je bénéficie d’un statut social de jolie bourgeoise de province qui me convient parfaitement.

Les années passent, ma fille grandi, devient adolescente. Bien sûr j’ai souvent eu envie de coucher avec un collègue de travail, un voisin ou mon beau frère. Mais je sais très bien que si je cède à ce type d’envie un jour ou l’autre je serai démasquée. Je sais que si un jour un amant sait qui je suis, mon vrai nom, mon vrai prénom (qui n’est pas Lucie), alors un jour ou l’autre je serai trahie par un amant éconduit ou jaloux, par une compagne de plan à 4 mesquine ou une amie déçue. Donc je compartimente, j’entretiens une étanchéité parfaite entre la bonne mère, bonne épouse, femme sociable, jolie bourgeoise de province et la nymphomane adultère amatrice de fessée, passionnée de sexe sans tabous ni limites. Toujours a l’affût d’une expérience nouvelle et accro à ce blog qui me permet de faire durer l’es plaisirs trop fugaces et rares de mes incartades adultères.

J’ai principalement deux types de plans culs. J’aime les rencontres de hasard, loin de la maison je me construit un personnage et je me laisse aborder par un inconnu plus entreprenant que la moyenne. Cela donne parfois un plan cul très satisfaisant mais quand même assez classique en général. C’est frais, authentique, simple et en vrai j’adore ça. Mais ça ne marche pas toujours, des fois c’est raté, ou le mec prend peur et je me retrouve comme un idiote seule dans ma chambre d’hôtel ou mon Airbnb.

Et il y a les rencontres plus ou moins planifiées sur un site de rencontre à plan cul. Moins palpitant, sans l’excitation de la drague et de la rencontre, avec moins de suspense. Mais là on peut planifier, là je peux sans honte dire que j’ai envie d’être une soubrette punie ou une chienne ligotée. C’est un autre délire mais que j’aime aussi tellement.
Et puis il y a les relations plus long terme que j’ai construites ces sept dernières années. Celles et ceux qui ne savent rien de mon identité vraie mais l’ont accepté ainsi. Un professeur d’université et son étudiante soumise, mon amie Marie et nos parties fines.

Ce soir, alors qu’il reste encore deux semaines d’enfer conjugal de ces interminables vacances estivales en famille, j’ai peur. Peur d’être un jour démasquée, peur que tout cela s’arrête. Mais cette peur fait aussi finalement peut être partie du jeu. C’est peut être aussi cela qui rend encore plus excitantes mes petites incartades…

En tous cas j’ai vraiment hâte que septembre arrive.

Bisous mouillés à tous. Demain peut être je vous raconterai un de mes derniers plans cul.

En attendant dites moi dans quelle ville vous êtes et où vous aimeriez me croiser par hasard.

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Elle suce au bord de la piscine

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Pseudo de l’été 2022 : LesMalheursDeJustine

Nogent-le-Rotrou. Maison de village, piscine et Jacuzzi. Cuisine américaine, sol en marbre. Chambres à l’étage moins jolies. Sans importance, tu me baiseras en bas. Bikini rose deux pièces, talons compensés en plexiglass, casquette et queue de cheval. Chaleur étouffante. Midi heure solaire. Soleil de plomb. Tu bronzes sur un transat en short de bain. Petite glacière en plastique bleu, quelques bières à portée de main enfoncées dans la glace pilée. Je m’approche du bord de la piscine. Mes talons compensés en plexiglass me donnent un démarche un peu maladroite, chaloupée. Ou c’est peut-être les trois mojitos bien chargés que tu m’as déjà servi qui ont entamé mon aisance habituelle en talons. En tous cas j’ai chaud et je plonge dans la piscine sans prendre la peine de les ôter. Aller retour en trois brasses, la piscine n’est pas grande. Couverte d’huile à bronzer l’eau glisse sur moi quand je sort de la piscine et me dirige vers toi. Fichus talons ! Je manque de me tordre une cheville en ratant la marche du bord de la terrasse en bois. Je tombe pas très élégamment est je décide de faire les derniers mètres jusqu’à toi à quatre pattes. J’arrive avec un peu plus d’assurance à ton transat fière de mes gros seins miraculeusement retenus par mon haut de maillot rose et riquiqui. Très envie de te sucer. Alors je tire sur ton short de bain qui vient tout seul et je me mets à l’ouvrage. Je défais le lacet dans mon dos pour faire tomber le soutien-gorge inutile et libérer mes gros seins. La branlette espagnole est une de mes grandes spécialités. Même pompette je maîtrise. Je plante mes yeux dans les tiens, provoquante. Ta queue trouve naturellement sa place entre mes deux gros seins. Je n’ai même pas besoin de la guider. Mouvements lents pour la faire coulisser entre mes belles mamelles. Langue sur ton ventre.
-« Laisse toi aller et prend une bière. »

Tu tends la main vers la glacière et attrape une canette de despé. Pchhhittt, un peu de mousse déborde de la cannette en aluminium. Quelques goutes passent de ton torse à ton abdomen, je lape.
-« Encore ! » je tire la langue comme une chienne assoiffée. Tu penche la canette et fait couler quelques gorgées que je m’empresse de laper pour éviter que ça coule partout. Ta queue bien dure est toujours entre mes seins.

-« Encore, plus, promis j’avale tout…Vraiment tout…»

Tu prends une grande gorgée de bière et vides le reste juste assez vite pour je n’arrive pas à tout laper sans en perdre. Pas mal de bière rejoint ta bite entre mes seins. Je descends lentement pour prendre ta queue entre mes doigts manucurés d’un rose assorti à mon bikini et je lèche tes couilles au goût despé. Après avoir bien sucé chaque couille je passe la langue le long de ton sexe tendu et l’englouti entre mes lèvre. Je suce doucement, sans changer de rythme même si je sens ton corp se tendre. Sucer lentement, toujours au même rythme, en serrant bien les lèvres, la langue qui presse ta queue contre mon palait, en faisant bien attention à ce que les dents ne touche rien. J’ai lu sur internet qu’il fallait faire varier le rythme. Mais moi je trouve qu’au contraire, c’est nul. Moi je préfère choisir un rythme et m’y tenir jusqu’à ejaculation. Tu te retiens, je sais que tu n’as pas envie de jouir tout de suite ce qui te priverait de mon petit cul dans l’immédiat. Mais on a le temps, jusqu’à demain 10h. La fin du Airbnb. Et il n’est que le début d’après midi. Alors je ne m’arrête pas de te sucer. Quand tu décharges je lève un peu ma tête pour que ta queue soit à moitié sortie. Ainsi ton sperme fini dans ma bouche et pas en fond de gorge. Je peux mieux en profiter. Je presse ma langue très fort de la base des couilles jusqu’en haut du gland pour bien tout extraire. Et j’avale satisfaite.
-« Tu sais que t’as très bon goût toi. Et t’inquiète, mon p’tit cul tu pourras en faire ce que tu veux d’ici demain matin.

 

Elle se fait baisser au bord de la piscine

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Pseudo coquin de l’été 2022 : LesMalheursDeJustine
Mini short jaune citron en éponge sur mon petit cul rebondi. Bord de piscine d’un pavillon AirBnB en banlieue d’Avignon. La haie nous met à l’abris des regards de nos voisins, eux aussi nantis d’une piscine. C’est le début de l’heure dorée, celle de l’apéritif et des photos Instagram. Si nous sommes à l’abris des regards indiscrets le son, lui, porte remarquablement. Les glaçons tintent dans les verres des voisins, leurs enfants se chamaillent à grandes éclaboussures tendis que la conversation des parents, deux couples, semble porter sur la différence d’âge de Brigitte et Manu.

-« Tu crois qu’ils baisent encore ? »

-« Je sais pas mais moi j’pourrais pas. »

Sur un transat je suis allongée à plat ventre. Pin-up de carte postale sexy. Je défais dans mon dos le noeud de mon haut de maillot assorti à mon mini short pour profiter sans trace de bronzage du soleil moins agressif de fin de journée. Je pense à Brigitte Macron, à sa peau fripée et aux ravages qu’ont fait les UV sur la plus célèbre des cougar du peuple de France. Je me dis que non, ils ne doivent plus baiser, leur truc c’est sûrement autre chose. Et je me demande si quand je serai vieille j’aimerai toujours autant me faire enculer. Est-ce qu’un amant me prendra toujours en anal comme un chienne, même si je suis une cougar grany ridée ? Je sais que je m’aime dans le regard des hommes qui me baisent. Je sais que ce qui m’excite c’est de faire ma petite pute ou ma grosse cochonne mais toujours ultra sexy en mode caricature de jeune actrice porno d’avant Jackie et Michel et autres pornhub qui ont tout gâché. Alors quand je serai vieille et fripée aimerai-je toujours autant   me faire prendre le cul ? Trouverai je aussi facilement qu’aujourd’hui la bite pour me defoncer ? J’ai du mal à imaginer que je puisse me lasser de cette sensation d’une queue bien raide qui appuie sur mon anus. La douleur exquise du moment où je me détend juste ce qu’il faut pour laisser entrer et le gémissement qui m’échappe immanquablement. Mais il parait que tout passe, tout lasse. Sauf les glaces ?

Toi bien sûr tu ne sais rien de mes pensées incongrues. Encore tout surpris de te retrouver là, au bord de la piscine à me reluquer le cul tu as l’air un peu nigaud avec les deux grands verres de Spritz que tu viens de nous servir. Je me tourne vers toi, je mords le coin droit de ma lèvre inférieure et t’indique du regard la table basse entre les deux transats. Tu y poses les cocktails. Entre nos deux verres un grand flacon ambré d’huile à bronzer.

-« Tchin-tchin ! Tu voudras bien me mettre… de l’huile solaire ? J’ai la peau sensible…Surtout en bas du dos et en haut des cuisses… »

Je parle sans fards, et, j’espère, assez fort pour être entendue des voisins de l’autre côté de la haie. Je sais que les voisins m’ont remarquée car je n’ai pas manqué dans l’après midi d’aller toquer à leur porte pour mendier des dosettes de café. C’est lui qui m’a ouvert mais sa bourgeoise m’a bien vue et n’a pas dû apprécier l’empressement de son mari à me rendre service.
-« Santé ! Oui, tu as raison, faut se méfier, même à cette heure le soleil tape fort. »

-« Oh ! Il peut taper, je n’ai rien contre, mais pas trop fort quand même…et pas avant que je sois tartinée. »

De l’autre côté de la haie la discussion sur le couple Macron s’est enlisée et c’est avec un entrain forcé que la voisine propose à son mari de démarrer le barbecue.Toi, tu presses la fiole en plastique d’huile pour en faire couler quelques goutes entre mes épaules. Hummm, je tends la main pour prendre mon verre d’Aperol Spritz. Petite gorgée rafraîchissante, traces de rouge à lèvres sur le bord du verre à pied. Tes mains en haut de mon dos, j’écarte déjà imperceptiblement les jambes et je me détends. J’adore les étés qui commencent comme ça.

-« Dis, tu m’aimerais si j’avais 69 ans comme Brigitte Macron ? »

Je lance le sujet exprès pour que les voisins sachent qu’on les entend.

-« Je ne sais pas mais c’est un beau chiffre… »

-« Idiot, c’est pas un chiffre, c’est un nombre. Occupe-toi plutôt de me passer la crème, on discutera positions si tu es sage…gros pervers. »

J’apprécie comme tu prends ton temps. D’abord ma nuque. Je dégage mes cheveux sur le côté et je tourne la tête. Je ferme les yeux et je souri. Je cherche à tâtons ton mollet. Tu fais plus que passer l’huile, tu masses délicatement. C’est bon et apaisant. Je caresses ton mollet poilu du bout des doigts.
-« Hummm, j’adore comme tu me passes l’huile. J’ai l’impression d’être un gigot d’agneau qui va passer à la casserole. »

Je sais, des fois j’ai des idées con qui tuent un peu l’ambiance. Mais j’y peux rien, c’est dans ma nature.

De toutes façons, au point où nous en sommes, il faudrait vraiment que je sois très maladroite pour casser l’ambiance. Après m’avoir longuement massé la nuque tu t’occupes de mes épaules. Tu ajoute régulièrement quelques goutes d’huile.

-« Hummm, c’est bon, j’ai chaud. J’ai envie de sucer…un glaçon… »

Je tends la main vers le seau en étain ou la bouteille entamée reste bien fraîche entourée de  glaçon cubiques. Le glaçon que je mets dans ma bouche est assez gros encore bien cubique. Je ne peux m’empêcher de me demander si tu auras l’idée de m’en glisser un ou deux dans la Chatte avant qu’ils n’aient fondu.

Pour dire la vérité la zone est pavillonnaire et la piscine loin d’être immense. Les transats sont en plastique blanc et il flotte maintenant dans l’air comme un désagréable parfum de merguez. Mais à part ça mon mini short jaune citron sur mon petit cul fait le job. Je presse ton mollet et enfonce un peu les ongles.

-« Tu veux bien me mettre de l’huile un peu plus bas s’il te plaît ? »

Un généreux filet coule en bas de mon dos. Je me tortille pour baisser mon short que je n’ai pas envie de tacher d’huile de bronzage. Ouf, juste à temps une moins grasse passe entre mes fesses.
-« Hummm, met en plus, sois généreux, t’inquiète j’ai deux autres flacons dans mon sac de plage… Et vires moi ce short de bain, il n’y a pas de raison qu’il n’y ait que les voisins qui aient de la saucisse…»

Je tire sur le lacet de ton short de bain. Il tombe sur tes chevilles. Je dois me contorsionner un peu sur le transat en plastique qui crisse mais j’arrive à être en position pour sucer tout en te laissant mon cul à portée de main. Je prends le flacon d’huile pour m’en mettre sures gros seins. Pour le moment j’ai trop envie d’avoir tes doigts dans mon cul en te suçant. Mais tout à l’heure tu auras droit à une belle cravate de notaire.

-« Tiens moi comme un pack de six… Je suis ton petit pack de bière brune. »

C’est tellement bon, Je glisse de partout. J’hésite à te laisser m’enculer au bord de la piscine mais j’ai d’un coup peur de faire trop de bruit et que les voisins finissent pas perdre patience. Pas trop envie de me faire signaler sur AirBnB en vrai. Alors je continue à te sucer un peu. Et puis être tenue comme un pack de bière, ton majeur bien enfoncé dans mon anus et ton pouce juste sur mon clito c’est presque meilleur de de me faire enculer.

-« On rentre ? Je crois que j’ai pris un vilain coup de soleil. Faudrait me passer un peu de lait apaisant sur le corps. »

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