La voisine sexy du 4 rue d’Enghien à Moulin c’est fini. Je fais ma valise. C’était un meublé, je laisse donc presque tout. L’ensemble de mes possessions tient dans deux grosses valises. Je n’emporte finalement que des souvenirs. Parmi ceux ci nombre d’amants. Plans cul quicky, copains de sexe plus au long cours, cinq à sept adultérins et petits matins câlins. J’ai sucé en mode grosse salope, j’ai joué la jeune fille timide qui n’ose pas écarter les cuisses. J’ai pas couché avec tout les voisins, loin de là. Mais douze c’est déjà trop pour une petite ville de province. Ma réputation est faite et entre les amoureux éconduits et les femmes jalouses j’étouffe.
Alors la voisine sexy, ses 49kg pour 1m57, son petit cul toujours en string à dentelle, sa collection de menottes à fourrure et d’accessoires en cuir déménage pour l’Est de la France. Tremblez femmes de Colmar car je viens en rivale et je suis sans vergogne !
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Serveuse sexy allumeuse passe à table
La serveuse sexy allumeuse c’est moi : Sabine. Merci à Lucie de me prêter son blog pour quelques articles différents j’espère 🤞. Mon kiff : la drague. La vraie. Pas celle sur internet ou des salopes. Mon surkiff : la baise qui conclue une drague réussie. Suis pas mariée ni maquée. 28 ans et libre comme l’air. Ni sur facebook ni sur Instagram. Ni sur LinkedIn, quelle horreur ! Je pourrais me définir comme une anarcho-libertine. Enfin s’il faut une définition. Mon job : Serveuse. Bars ou restaurants. Jamais plus de quelques mois dans la même ville. J’aime pas avoir d’attaches. Enfin mis à part les attaches genre SM de temps en temps 👯♀️.
En ce moment j’habite Moulin. Mais plus pour longtemps…
Hier j’avais, comme d’hab, une minijupe et une grosse envie de me faire sauter. Depuis le jour de l’an je sais que mon patron bave 🤤 en reluquant mon petit cul. Mais j’ai jamais rien fait pour le laisser croire qu’il y aurait moyen. Hier pourtant sa petite serveuse sexy a passé la soirée à lui lancer des regards. Pas mal de mecs célib (ou pas) m’ont draguée plus ou moins ouvertement. Je pouvais me faire au moins quatre plans culs facile. Ce samedi soir je voulais être la serveuse sexy qui se fait sauter par son patron. Fantasme simple mais efficace.
Mon boss : la quarantaine. Bel homme, marié bien sûr 🙄. Mais n’allez pas le blâmer. Qui résisterait au joli cul de la petite serveuse sexy allumeuse un samedi à l’heure de la fermeture ?
Serveuse sexy pour le dessert
Une fois le restaurant fermé il ne reste que nous deux. Je tire les gros rideaux de velour et nous voilà coupés du monde. Pas besoin de mots. Ils seraient superflus. Il me suffit de m’approcher de lui pour savoir qu’il en a autant envie que moi et qu’il est prêt à tromper sa femme. Je pense même qu’il a oublié qu’il a une femme. Je mets les bras autour de son cou. Ma bouche 👄 tout contre son oreille : « tu veux du dessert ? »
Je suis petite (1m57) et toute légère pour lui. Il me porte jusqu’au bord d’une table à nape blanche et m’assoie juste entre deux assiettes. Je mets mes main dans ses cheveux bouclés, il est déjà sous ma mini jupe entre mes cuisses. Mon string à dentelle est habilement écarté sur le côté. Petits coups de langue répétés qui ouvrent progressivement mon minou. Il sait s’y prendre. Un délice. Je mouille en enfonçant mes doigts dans sa tignasse. Mon boss est un expert en cunnilingus. Sa lange va profond sans brusquer. Ses lèvres son suceuses mais délicates. je jouis déjà mais je me retiens de le montrer. Ce ne sont que les préliminaires…
Petite serveuse sexy en minijupe et bas résille qui gémit comme une chienne sous la langue experte de son boss. Je me tortille pour en avoir encore. Ses doigts sont aussi juste toujours là où il faut, il caresse les replis de mon sexe juste au bon rythme. Sans hâte, parfois il enlève ses doigts, et n’embrasse que mes cuisses, ma laissant toute frustrée pleine de désir. Je pousse sa tête pour en avoir encore mais il résiste. C’est lui qui décide et la torture est délicieuse. J’en suis déjà à plusieurs orgasmes quand il daigne enfin enfoncer sa grosse queue dans ma chatte trempée. Mes jambes sur ses épaules, limite écartelée. Le cunnilingus était doux, là je le fais défoncer en règle. Je cri à chaque coup de butoir. Soulagement quand il éjacule sur mon ventre.
Il faut qu’il rentre chez lui. Malédiction de l’homme marié ! Je lui dit que c’est pas grave, que demain ou après demain je compte bien qu’il encule sa petite serveuse sexy. Après je changerai de région…et de mec…
Plan cul à Chartres
J’aurai jeudi des dessous chics de bourgeoise cochonne. Bas noirs, guêpière et porte jarretelles. Tu seras le premier de 2020 dans ma bouche et mon minou. Je t’offrirai sûrement mon cul aussi si tu sais t’y prendre pour m’en donner envie. Mon Airbnb près de la cathédrale sera le nid douillet où tout sera permis. Mon 06 à celui qui d’ici là m’excitera le mieux en commentaire. Ne pas participer si vous tu ne peux me rejoindre jeudi soir bien sûr. En attendant vos propositions lubriques je me prépare avec un petit plug anal…Hate de vous lire et encore plus de caresser la grosse queue du gagnant à travers son pantalon. Croyez le ou non déjà je mouille !
4 souvenirs d’adolescente sexy
Adolescente sexy lycéenne
Souvenir numéro 1 : Ma rentrée au Lycée
J’avais seize ans. J’étais encore pucelle et tout juste réglée. Pendant les vacances d’été mes seins avaient pris énormément de volume. J’avais déjà embrassé quelques garçons sur la bouche mais avant mes années lycée j’avoue que j’étais encore une enfant et que le sexe ne faisait pas vraiment partie de mes préoccupations. Tout juste une curiosité coupable pour la chose. Je m’habillais normalement, enfin à peu près comme les autres filles de mon lycée bourgeois de centre ville. Ni trop sage ni trop sexy. Parfois une jupe pas trop mini, le plus souvent en Jean. Mais pas un Jean moulant. Je faisais beaucoup moins de sport que maintenant et j’avais, disons, des rondeurs. Je ne me considérais pas comme une adolescente sexy, je me croyais juste dans la moyenne. Peut être même légèrement en dessous. Aujourd’hui quand je vois les photos je me rend compte que je me trompais. Physiquement j’avais déjà tout le potentiel de la bonne petite coquine.
Souvenir numéro 2 d’adolescente sexy : la première main dans ma culotte…
C’était la fin du premier trimestre. Quelques professeurs absents, un emploi du temps tellement à trous qu’on aurait dit du gruyère. L’arrivée au lycée avait changé pas mal de choses. Au collège j’étais parmi les grandes. Au lycée j’étais nouvelle et je voyais un tas de jeunes filles plus âgées et plus dégourdies que moi. Je n’étais même pas une débutante. Et je n’avais pas, mais alors pas du tout, conscience d’être une adolescente sexy qui pouvait enflammer de désir n’importe quel garçon. N’ayant pas l’autorisation de mes parents pour sortir en ville je passais mes heures de permission en étude surveillée. C’est ainsi qu’un vendredi en fin de matinée je me suis retrouvée avec moins d’une dizaine d’autre camarades de classe sous la surveillance de Philippe, un pion à peine plus âgé que les lycéens redoublants de terminale. Philippe était le fantasme de beaucoup de lycéennes coquines. J’en faisais partie. Pas des lycéennes coquines, mais des adolescentes qui se masturbaient le soir en pensant à Philippe. D’ailleurs, à cette époque, j’imagine comme toutes les jeunes filles en fleur, je me masturbais plusieurs fois par jour. Bref, rien que de le regarder je mouillais ma culotte. Sachant que j’aurais étude j’avais mis une jupe ce jour là. Avec le recul je m’aperçois que j’étais déjà coquine. Mais sur le moment c’était presque inconscient en réalité. J’étais au dernier rang. Je l’observais en imaginant ses mains sur moi. J’envisageais ses lèvre suçant les tétons de mes gros seins. Chose que jamais on ne m’avait encore fait bien sûr. J’étais moite dans ma culotte et j’avais très envie de me masturber. Mais, bien sûr, il n’en était pas question. Alors je croisais et décroisais les jambes. Ou je serrais mes cuisses l’une contre l’autre le plus fort possible. A chaque fois qu’il levait les yeux vers moi je baissais les miens en rougissant. Et plus l’heure d’étude avançait plus j’avais l’impression qu’il levait souvent les yeux vers moi. Je n’était pas l’adolescente sexy la plus jolie du lycée ni même de la petite troupe de jeunes filles ce jour là. Isabelle par exemple était blonde et avait déjà une réputation non usurpée de salope qui dit rarement non. Mais j’en étais persuadée c’était moi qu’il regardait le plus souvent. Quand la sonnerie a retenti toues et tous se sont levés et précipités vers la sortie. J’ai fait mine de prendre plus de temps pour ranger mes affaires et c’est tout naturellement que je me suis retrouvée dernière, seule dans la salle d’étude avec Philippe. Je ne m’étais pas trompée. Dès que je suis passée à côté de lui en le frôlant il a attrapé mon poignet. Je me suis maladroitement collée à lui pour ll’ embrasser sur la bouche. C’était stupide et maladroit. Pas du tout l’attitude mystérieuse d’adolescente sexy mais inaccessible que j’aurais voulu avoir. Mais il a répondu à mon baiser et j’ai senti sa main passer sous ma jupe. Je n’osais pas bouger, j’oubliais complètement de tourner ma langue dans sa bouche. Sa main qui passait sous ma culotte et son doigt qui rentrait dans ma chatte c’était mille fois mieux que toutes les branlettes que j’avais pu me faire en secret.
Je crois que j’aurais pu perdre ma virginité sur le bureau de la salle d’étude avec Philippe si cette conne d’Isabelle n’était pas revenue frapper à la porte sous un prétexte fallacieux. Il a retiré sa main instantanément et s’est écarté de moi. Fin de l’histoire avec Philippe. La semaine suivante qui était la dernière avant les vacances de Noël j’eu bien des heures d’étude mais jamais sous sa surveillance. En janvier il n’étais plus au lycée. Je ne l’ai jamais revu ni n’ai osé demander ce qu’il était devenu.
3ème souvenir d’adolescente sexy : onanisme et frustration
L’adolescence c’est, paraît-il, l’explosion des sens. L’éveil de la sexualité et la multiplication des expériences nouvelles. Pour moi j’avoue que ce fut différent. Après l’expérience malheureuse de la main au panier je faisais l’amère expérience d’une traversée du désert au niveau flirt. Les garçons de mon âge ne m’intéressaient pas et les plus grands avaient mieux à se mettre sous la dent. En plus j’étais timide et pas si bien dans ma peau. J’avais peut être des envie coquines mais j’étais loin d’être capable de les mettre en pratique. Alors ma vie sexuelle se limitais à la masturbation. Je ne me contentais plus de mes doigts et j’essayais les objets les plus improbables. La flûte des cours musique, une banane, un concombre, tout y passait dans le plus grand secret. Jusqu’au jour de ma rencontre avec Alexandre.
Souvenir numéro 4 : Dépucelage d’adolescente sexy
Alexandre c’était un vrai looser. Binoclard, plus petit que la plupart des filles, maigre comme un clou et élève tout juste moyen. Même pas le fayot geek dont on pourrait penser qu’il monterait un jour la startup qui le rendrait millionnaire. Mais il était disponible et sexuellement inexplicablement attirant. Surtout aucune autre fille ne semblait voir son potentiel. J’avais décidé que je perdrait ma virginité un lundi. Le premier lundi de février. Juste avant les 17 ans. Alexandre, une classe au dessus de moi (il était en première, moi en seconde) n’était pas majeur non plus. Ce fut un jeu d’enfant de le draguer. Comme aucune fille ne s’intéressait à lui il m’a juste suffit de me mettre à la même table que lui au self du lycée et à planter mes yeux dans le siens jusqu’à ce qu’il daigne me regarder. Quand il m’a regardé j’ai fermé les yeux. J’avait écrit « j’te kiff » sur mes paupières. J’avais déjà de gros seins et je savais que c’était un de mes meilleurs atouts. Ce jour là j’avais un col roulé hyper moulant. J’eu l’audace de lui faire du pied sous la table. Moins d’une heure après on se roulait des patins dans une salle de classe que je savais toujours ouverte et inoccupée car en fond du bâtiment le moins bien chauffé du lycée.
C’était une semaine ou j’étais chez mon père. Et je ne voulais pas perdre ma virginité debout sur un bureau en Formica. Je réfrénais donc les ardeurs d’Alexandre et lui proposais de venir dormir chez mon père qui, dort opportunément était en déplacement professionnel cette semaine là. J’avais l’appart pour moi toute seule et, bien sûr, pas question d’en parler à ma daronne…
On parle souvent de la déception de la première fois. Le coït adolescent aussi bref que bâclé. Pour moi il n’en fut rien. Alexandre était puceau et mon vierge. Mais nous avions tous deux visionné tellement de vidéos pornos… J’en avais autant envie que lui et surtout nous avions du temps. Les cours finissaient à 16h pour nous deux. A 16h30 nous étions sur le canapé du grand salon à nous embrasser. Sa main sous ma jupe et moi déboutonnant sa chemise. Il a commencé par embrasser mes seins. Aujourd’hui encore bien plus de dix ans après j’adore qu’on embrasse les gros seins de salope. Plus il suçais mes tétons plus j’avais chaud et mouillais. Le premier doigt qu’il a introduit fut une révélation. J’avais déjà mis tout un tas de choses dans mon sexe. Et bien plus volumineux qu’un majeur d’adolescent. Mais c’était pourtant incomparable. Ma chatte étroite d’adolescente était instantanément en feu. J’insultais du bassin sûrement maladroitement mais comme c’était aussi nouveau pour lui on s’en foutait. Il aurait pu me prendre dans le salon mais je voulais un lit pour ma première fois. Celui de mon Père. C’est sûrement choquant mais je n’y peu rien, c’était comme cela que je pensais à cette époque. Il n’a pas tenu longtemps. Quelques va être vient avant d’éjaculer en moi. Mais j’ai joui. Oui j’ai joui ! Et il n’étais pas 18 heure. On a refait cela mieux plusieurs fois jusqu’au matin. Il ne m’a pas enculée et je ne l’ai pas sucé. Mais on a testé un peu toutes les positions et à chaque fois il m’a fait jouir. Pendant toute l’année qui a suivi on a baisé des qu’on a pu. On ne l’a jamais dit a personne. Moi parce que je ne voulais pas que l’on sache qu’il était avec moi et lui parce qu’il voulait me garder et savait que si cela se savait que j’étais une bonne salope au lit alors un tas de rivaux apparaîtraient.
6 conseils pour un premier rendez vous avec un salope d’internet
Conseil numéro 1 : Montrer la salope avant de l’amener chez vous.
Elle aime ça, être exhibée !
Dans mon plus beau costume de vraie salope je te fais honneur pour cette soirée avec tes potes. J’ai la mini jupe qui va bien, les talons aiguille, le rouge à lèvre qui fait la bouche à pipes et sous le pull en cachemire on devine parfaitement mes gros seins de cochonne. Toute la soirée j’ai ri à la moindre blague. Tactile j’ai touché le bras de chacun et lancé des regards éloquents sans compter. Mais c’est tes cuisses que j’ai caressé à la moindre occasion. C’est ton cou qui a reçu mes baiser et quand j’ai dis qu’il était peut être l’heure de rentrer cela ne faisait aucun doute que je n’avais pas envie de dormir. Je crois que les regards envieux de tes potes t’a presque aussi fait plaisir que la perspective de me baiser. Et c’est tant mieux ! Pourquoi se priver du plaisir d’être jalousé !
Conseil numéro 2 : Un dernier verre tu t’offriras
Dans l’escalier qui monte chez toi tu as passé ta main sous ma jupe pour tâter mes fesses. J’ai aimé alors je me suis arrêtée et je t’ai laisser m’embrasser passionnément sur la bouche en mettant ta main dans ma culotte.
-« hummm, tu sens comme je mouille déjà ? J’ai trop envie d’un dernier verre. Mais c’est toi qui vois et moi je suce ok ? »
Je t’ai poussé sur le canapé, j’ai trouvé la bouteille de vieux rhum dans la table basse qui fait aussi bar et je t’ai servi un verre. Laisse toi faire, agenouillée entre tes cuisses je défais ta braguette et baisse ton pantalon. Je commence avec la langue. Le long de ta belle queue. J’enlève mon pull pour que tu puisses admirer mes gros seins de salope. Tu es bien là ? Moi aussi. Branlette espagnole, baisers sur ton ventre un peu poilu.
Conseil numéro 3 : si elle suces la main sur sa nuque tu mettras
Oui, vas y, t’a bonne petite garce bien salope aime sentir ta main sur ma nuque. Je presse mes seins pour te branler. Rien de tel qu’une bonne cravate de notaire pour commencer un rendez vous coquin. Des semaines que j’attends ce moment où je peux enfin échapper à la routine de mon mariage pour m’envoyer en l’air comme une chienne. Merci, je suis tellement reconnaissante que j’ai envie de tout faire pour être parfaite. Je suce lentement, les yeux grands ouvert. T’es couille délicatement puis ta queue sur toute la longueur. Progressivement je l’avale de plus en plus profond. J’aime comme tu maintient ma nuque quand je suis presque au bout. Ton gland au fond de ma gorge. Début d’étouffement. Je te branle à nouveau avec mes seins pour reprendre mon souffle.
conseil numéro 4 : La fessée tu me donneras
Je suis un bonne petite salope. Trop salope d’ailleurs. Tu me tires pas les chez eux pour que je m’installer sur tes genoux. Ta queue raide comprimée sous mon ventre doux. Tu relèves ma jupe. J’ai mérité une bonne fessée. Mais tu commences par caresser. Tu ne peux t’empêcher de masser. Tu écartes mon string de pute pour glisser un doigt dans ma chatte bien mouillée.
Je me cambre. Enfin tu m’insultes : « tu es une bonne petite salope hein? »
-« oui, je ne sais pas être sage… »
-« alors tu mérite une bonne fessée ? »
-« oui, une grosse fessée pour une petite salope méchante »
Tu claques. Mais trop timidement à mon goût.
-« j’ai été vraiment vilaine ce soir. J’ai fait l’allumeuse avec tes potes. Je mérite une GROSSE fessée… »
Tu comprends et frappe plus fort cette fois. Je tressaille. Tu frappes encore. Je plante mes ongles dans tes chevilles. Tu recrache. Enfin une vraie fessée. Un châtiment comme je les aime. Tu frappes encore et encore du plat de la main. Je cri à chaque coup pour t’exciter et m’exciter moi même. Mes fesses doivent être rouges. En tout cas elles sont brûlantes. Les coups s’arrêtent et les caresses reprennent. Je suis trempée de la chatte. Tes doigts me font gémir de plaisir.
Conseil numéro 5 : Une vraie salope aime la sodomie
-« huuuummmmm, haaannnn, j’en peux plus, encule moi… »
Je me mets à quatre pattes par terre sur le tapis. Les jambes bien écartées.
-« viens, encule moi, je t’en supplie. Crache moi dans le cul »
Tu es derrière moi. Tu lèche mon trou du cul et mets un doigt pour vérifier que ça va rentrer. C’est étroit mais ça peut le faire. Tu guides ta queue raide contre mon anus. Je me cambre à fond. J’écarte mes fesses des deux mains. Ça rentre tout seul. Je crie. J’adore tes mains sur mes hanches. Tu m’encules bien à fond pour commencer.
-« Va y ! Défonce moi le cul comme une chienne ! »
Tu pèses de tout ton poids sur moi. Ta queue bien enfoncée dans mon petit trou du cul. Tu passes la main sous mon ventre pour me caresser la chatte en même temps. C’est tellement bon. J’ai mal et je jouis en même temps. Je fais de mon mieux pour accompagner des reins ton rythme ample et violent. Tu sors de mon cul et me retourne pour me faire face. Ma jambe sur ton épaule. Ta queue toujours raide dans ma chatte trempée. Je ne crie plus je hurle : « haaaannn, nooon, ouiiiii, hooooo aaaaaahhhh. C’est bon, c’est bon encore c’est trop bon, aah trop bon comme tu me défonces… »
Tu fais durer sans faiblir, j’ai le cœur qui bat à 220, j’en peu plus de jouir quand tu éjacules enfin sur mon ventre. tu t’écroules sur moi ton bide collé contre mon petit ventre plat. Sueur, sperme et mouillé entre nous. Mais j’aime ça, oui, j’aime ça.
conseil numéro 5 : Toujours féliciter la salope après l’amour
contre moi tu parles à mon oreille. Je suis une super bonne salope. Tu me félicites, tu as adoré comme je t’ai sucé et me prendre par le cul. Moi je réponds que j’aime ta bite, qu’on va dormir un peu mais que je te sucerai encore demain matin ou dans la nuit. Si on se revois la prochaine fois je voudrais que tu m’attache. Je mettrai un plug anal rien que pour toi toute la journée pour être bien prête quand tu me retrouveras.
Conseil numéro 6 : Ne jamais remettre à plus tard avec une salope.
Prévoyant tu as quelques stimulants chimiques très efficaces pour un second round immédiat. Je voulais être attachée, pas de problème. Avec mes bas il y a largement de quoi faire. Tu me retournes pour m’allonger sur le ventre. Tu attaches chacun de mes poignets à mes chevilles. Ce n’est pas très confortable mais sur le lit ça passe. Je suis bien cambrée et à ta mercis. Tu me tires sur le bord du lit, place la main sous mon menton et présente ta queue devant mon visage. En bonne salope j’entrouvre les lèvres 👄 pour sucer. Je suis crevée mais je sais que si je n’arrive pas à te faire jouir dans ma bouche tu vas encore m’enculer et j’en peux plus. Alors je suce du mieux que je peux. J’y mets tout mon cœur. Mais la chimie est plus forte. Avec ces pilules tu es parti pour bander au moins une demi heure. Quand tu me repousses pour passer derrière moi et écarter mes cuisses je dois me résigner. Tu me relève pour commencer en levrette. Je suis à moitié morte mais c’est quand même bon, le plaisir monte à nouveau et tu m’offres un nouvel orgasme. Je n’ai même plus la force de crier. Un des noeuds que tu avais fait se défait. Heureusement, je commençais à sentir les crampes venir. Tu as la gentillesse de défaire aussi l’autre noeud pour me libérer avant d’écarter bien mes petites fesse de salope. Tu vas m’enculer pour la seconde fois mais je n’ai plus la force de réagir. Je suis toute mole et passive. Mais crois moi, c’est bon, j’aime ça. J’aimerais toujours ça, c’est certain. Quand tu t’écroules enfin sur moi je sais que je vais enfin bien dormir.
Conseil Numero 7 :
Strip-teaseuse pour un nouveau départ
Merci 🙏 Lucie d’accepter de me donner cette page dans ton blog.
J’ai aimé le témoignage d’Olivia prostituée occasionnelle et je voudrais parler de mon activité de stripteaseuse.
Je le fais dans les boîtes et bars privés de la région Strasbourgeoise. Mais aussi en ligne. En ligne c’est mal payé mais pratique car de chez moi. Dans les boîtes c’est un peu mieux mais c’est difficile de faire comprendre aux mecs que je ne suis pas une prostituée. C’est aussi difficile de le faire comprendre à certains patron d’établissement…Mais je ne me plains pas. Dans l’ensemble ça se passe bien et la plupart des clients sont corrects une fois qu’on leur dit non. De toutes façons le truc c’est d’être bien avec le gar de la sécurité. Souvent un gros black. Car il faut l’avouer, vigile c’est à 90% un truc réservé aux blacks. Comme strip teaseuse si tu es bien gaulée c’est plus facile de décrocher le job.
Parfois quand un mec vient souvent voir mes danses dans le même club, quand il est gentil et donne de bons tips… S’il est pas trop moche je le rejoins après la fermeture et je passe la nuit avec lui. Mais toujours gratuitement. Juste pour la compagnie et le fun. Parce que le sexe ça doit pas être nécessairement prise de tête. On prend du bon temps ensemble et ça ne va pas plus loin.
Je n’ai pas trop de tabou mais j’aime pas la sodomie. J’ai essayé mais j’y prends pas plaisir alors j’ai arrêté de chercher à me forcer. Je fais du pôle dance et du striptease burlesque. Ça me laisse rêveuse quand je lit qu’une prostituée occasionnelle se fait genre 5000€ par mois. Moi en bossant 4 soirs par semaine (20h-2h du mat) et en faisant des heures de sexcam sur purelive. J’arrive à peine à 1800 2000 net. Mais bon, c’est différent, c’est pas de la prostitution.
En 2020 j’aimerais trouver un vrai amoureux qui comprenne mon métier sans le juger. J’aimerais rentrer chez moi et avoir quelqu’un qui m’attend même si c’est 3h du mat.
Je suis une fille normale qui fait un taff pas normal. C’est tout, c’est ma vie et merci encore pour m’avoir laissé en parler sur ton site.
Partie fine entre amis
Un soir en semaine, Clermont-Ferrand. J’ai accepté de me faire passer pour la nouvelle petite amie de mon rendez-vous à un dîner libertin. Il y deux autres couples, plutôt distingués. Marc, mon « ami », Jonas un grand tout maigre avec des lunettes rondes et les cheveux frisés, sa femme Astrid un jolie blonde, je dirais 35-40 ans, élégante un peu en chair mais avec de longues jambes, talons hauts et robe de soirée noire très décolletée sur une grosse paire de seins, André le plus âgé du groupe peut être la cinquantaine mais accompagné de la benjamine de notre groupe, Marie une brunette pétillante coupe à la garçonne et rire cristallin. J’ai choisi pour l’occasion une robe fourreau en laine tricotée gris taupe. Pour les dessous c’est dentelle noire avec la totale, vrais bas nylon, porte jarretelle et guêpière assortie. Les hommes sont en costume mais sans cravates. Ils semblent tous se connaître. La règle pour se dire bonjour semble être un smack sur la bouche. Même pour les hommes entre eux ! Je me plie un peu gênée à leur coutume. Jonas le grand maigre embrasse à peine, lèvre closes. André le doyen a les lèvres plus charnues et pose la main sur ma hanche mais reste aussi très bref. Les filles sont plus expansives, Marie la brunette benjamine sort une petite langue pointue quand elle m’embrasse. Ça ne dure pas plus d’une demi seconde mais j’ai brièvement le petit muscle rose dans ma bouche. Astrid n’a pas besoin de mettre la langue pour que ce soit sensuel et mouillé. C’est fou ce qu’un seul petit smack peut suggérer.
On est chez Jonas et Astrid, le grand à lunettes et la belle blonde. Leur salon est immense, grande cheminée, tapis berbères en laine, trois canapés Togo autour d’une table basse en bois brut exotique. Jonas fait sauter un bouchon de Champagne. Jacquesson cuvée 742, je suis bien tombée ! Marc et moi prenons place sur un des trois Togos. Les canapés Togo sont bas et profonds, ce qui a pour effet de relever les jambes. Celles de Marie sont courtes mais jolies avec un beau mollet galbé juste comme il faut, Astrid pose des assiettes de trucs apéritifs sur la table basse de ma place j’ai un aperçu fugace de ses seins tandis qu’en face c’est sa belle croupe moullée dans la robe qui fait lever le sourcil d’André. Marie lui donne un petit coup de coude pour signifier qu’il n’est pas très poli de mater aussi ostensiblement le cul de la maîtresse de maison. Elle me regarde et lève les yeux au ciel : « pffft, il est incorrigible ! »
André : -« ho, ça va, si on peut même plus admirer un beau spectacle !
Marie : – Vieux pervers !
Astrid : – Tu es trop gentil André. Je suis grosse, j’arrive pas à me remettre au sport.
André : – je peux t’en faire faire moi du sport…
Nouveau coup de coude de Marie . Plus fort cette fois.
André : « Aïe ! Ça fait mal ! »
Marie : « Je sais… »
Elle me fait un clin d’œil. -« il aime qu’on le frappe… »
André : « Mais non ! C’est faux ! »
Astrid a posé le dernier plateau de petits fours et elle se colle à son Jonas sur le canapé.
Jonas : « Je propose que nous trinquions à Lucie, notre nouvelle amie ! »
-« Oui ! À Lucie ! »
Je me sens un peu gênée d’être ainsi mise en avant. Mais je lève mon verre avec tout le monde.
Forcement on me questionne. Je décide de m’en tenir à la vérité. Je suis une femme mariée mais pas à Marc, comme vous vous en doutez. J’ai d’ailleurs gardé mon alliance. Si ça ne vous embête pas je n’ai pas trop envie de m’attarder sur mon parcours.
Astrid : « ok ! T’inquiètes, pas de problème. On est entre amis. Si tout va bien avec mon Marcounet nous on t’aime déjà. »
Autour du feu de cheminée la discussion est enjouée, nous rions beaucoup, André a un tas d’anecdotes marrantes liées à son métier d’avocat, je comprends que Marie est actrice. C’est pas une célébrité mais Pas une figurante non plus. Elle a quand même pas mal de troisièmes ou seconds rôles dans des films Français, et une quantité impressionnante de publicités. C’est fou comme une même fille peut être dans des dizaines de pub différentes sans qu’on ait conscience que c’est la même ! Marc bosse dans une grosse boite de BTP. Astrid, elle raconte comment les vieux de la maison de retraite qu’elle dirige se retrouvent en cachette dans les chambres. Quand elle mime un papy qui entreprend debout une vielle en déambulateur c’est juste hilarant. On ri tellement que j’en viens à me demander si c’est vraiment une soirée libertine. Franchement on dirait une soirée normale. Pas de mains baladeuses ou de regards lubriques. S’il n’y avait pas eu les smacks de bienvenue je penserai que Marc m’a fait un gros mytho et que c’est juste une soirée entre amis et pas du tout une partouze. Après environ une heure et trois bouteilles de champagne Astrid nous invite à passer à table.
Elle a dressé une belle table ronde. Je me retrouve entre André et Jonas, en face de Marc. C’est Jonas qui a fait l’entrée, un ceviche de poisson perroquet qu’il a fait venir spécialement de Rungis. Le rouge a une jolie couleur de vin nouveau. Mais quand je porte le verre à mes lèvres énorme surprise ! On dirait du jus de raisin sans alcool. Tout le monde éclate de rire en voyant ma tête. Marie a pitié de moi et m’explique : « C’est une idée d’Astrid. Elle trouvait que trop d’alcool n’était pas bon pour ces messieurs et pour la suite de la nuit… » Elle me fait un clin d’œil et André en a profité pour poser sa main sur ma cuisse…comme si de rien n’était.
Je souri et lève mon verre : « A la suite de la soirée donc ! Sans alcool la fête est plus folle ! »
Je déchausse un escarpin, caresse du bout des orteils la cheville de Jonas. Je remarque que je suis la seule à avoir les deux mains sur la table. Au dessus de la table la conversation a glissé elle aussi sur des sujets plus chaud. Astrid me questionne sans fausse pudeur sur ma position favorite.
-« Bin, je n’en ai pas vraiment, c’est plus les situations qui m’excitent… »
-« Allez, c’est pas une réponse ça. Tu es plus par derrière ou par devant ? » là c’est Marie qui parle.
La main d’André est remontée sur ma cuisse mais ma robe en laine est longue et pas question de la relever. Jonas a aussi enlevé sa chaussure et nos pieds se caressent mutuellement. J’espère que j’aurai mon mot à dire car j’ai clairement plus envie de Jonas que d’André.
-« Allez, fais pas ta timide, par derrière ou par devant ? »
Je baisse les yeux en faisant semblant d’être gênée : « Je mérite une fessée si je refuse de répondre ? »
Exclamations approbatrices. Je crois que j’ai marqué des points. C’est Astrid qui lance réellement les hostilités. Elle fait tomber sa fourchette sans se donner la peine de feindre la maladresse : « Houps, excusez moi quelques minutes, continuez à discuter »
Elle glisse sous la table et je la vois juste entre les jambes d’André en train de lui défaire le pantalon. Au passage elle me lance un clin d’œil appuyé. Jonas en profite pour vite mettre son bras autour de ma taille, possessif. Le pauvre André n’a pas trop le choix. Et au passage il ne semble rien perdre au change car Astrid a l’air d’une bonne gourmande. Marie est sur les genoux de celui qui était supposé être mon nouveau petit ami !
-« Il me semble que tu n’as toujours pas répondu. Je crois que tu mérites un bonne fessée ! »
Il me prend fermement par la taille et m’indique les canapés du menton. Je me laisse guider docilement. Il me pousse à genoux sur le bord du Togo. Je relève ma jupe.
Jonas -« hummmmm, j’adore tes dessous ! »
Tu m’étonnes ! Bas nylons, porte jarretelle et guêpière ! Je risquais pas de me tromper. La première claque est sonore et me surprend. Jonas met son visage tout proche du mien : « Tu as vraiment de très belle fesses. Dommage que tu aies été vilaine. Tu es bien d’accord, tu as été vilaine ? » J’apprécie la façon habile qu’il a de demander mon accord pour la fessée. Je fais oui de la tête. Nouvelle claque retentissante. Le bruit a attiré Marie et Marc. Marie est déjà presque nue, il ne lui reste que ses bas et ses talons hauts : « Dis donc Marc, Jonas est en train de te piquer ta copine j’ai l’impression ! »
Marc : « c’est vrai ça. Jonas, tu ne la maltraite pas trop hein ? »
Jonas : « Mais non, juste un petite punition. Après je te la rend, promis ! »
Marie m’a rejoint sur le canapé et fini de m’enlever ma robe par dessus la tête. Elle est seins nus, de petits seins de brunette avec les tétons qui pointent. Elle s’est mise à genoux à côté de moi et m’embrasse sa petite langue nerveuse dans ma bouche. Elle tortille son petit cul comme si elle aussi voulait être fessée. Elle m’embrasse tendis que nous sommes copieusement fessées en cadence.
Avec la fessée il arrive souvent un moment où la douleur prend le pas sur le plaisir. Là nos amants savent s’arrêter à temps. Quand les coups cessent de pleuvoir je sens quelque chose de lisse et froid sur mes fesses. Les deux bouteilles de champagne vides qui étaient restées dans les sauts à glace sont passées par nos amants sur nos fesses meurtries. J’ai mal mais cela soulage un peu.
Jonas s’adressant à Marc : « Jusqu’à ce soir j’adorais le cul de Marie. Mais là j’avoue que la petite chienne que tu nous as dégoté est une vraie bombe sexuelle. Tu crois qu’elle est aussi étroite que Marie ? »
Marc : « J’sais pas, tu veux dire de la chatte ou de l’anus ? »
Jonas : « heu…les deux. En fait je pense qu’il faut comparer pour savoir. Vous en pensez quoi les filles ? »
La question est de pure forme, Jonas serre nos deux cul l’un contre l’autre pour comparer. Marie m’embrasse toujours sur la bouche. Je dois dire que j’aime beaucoup sa petite langue nerveuse. Sa hanche douce et tiède contre la mienne ce n’est pas mal non plus.
Jonas : « Pour moi Lucie a un plus gros cul de salope que Marie. Tu ne trouves pas ? »
Marc : « Moui, c’est sûr, mais c’est pas forcément la taille du fessier qui fait l’étroitesse de l’anus, crois moi, faut essayer pour comparer. Marie, elle a un petit cul mais elle taille grand, si tu vois ce que je veux dire… »
Ils parlent comme si nous étions des juments à un salon agricole. C’est assez déroutant mais aussi excitant.
Je sens une langue entre mes fesses. Celle de Marc puisque je peux voir du coin de l’œil Jonas lécher le cul de Marie. Marie qui continue à m’embrasser les yeux grands ouverts. Marie la si jolie brune pour qui je me surprends à ressentir une attirance irrésistible. Derrière nous les deux mecs jouent avec talent de leurs langues et des doigts dans nos chattes. Mais ils sont derrière, c’est comme s’il étaient loins, irréels. Ce que fait Marc avec ses doigts dans ma chatte est délicieux mais c’est comme si c’était un sextoy, sans affect. Marie, par contre, elle est là, son visage contre le mien. Son sourire, ses yeux rieurs, sa langue plus expressive que n’importe quelle bite. Les mecs derrière parlent entre eux, comparent nos anatomies. Nous nous cambrons et tortillons du posterieur par réflexe mais les yeux de Mari comme les miens ne trompent pas. C’est bien entre nous deux que les vraies choses se passent. Une queue longue et dure va et vient dans mon vagin en levrette. C’est bon, délicieux même, mais c’est de Marie dont j’ai envie, je m’arrange pour atteindre sa chatte avec ma main. Elle aussi est prise en levrette mais ça ne m’empêche pas de la masturber par devant. Elle ne tarde d’ailleurs pas à faire de même et la queue combinée à ses doigts me mettent instantanément au bord de l’orgasme. Les mecs alternent et changent de monture pour mieux nous comparer. Je sens tout de suite la différence. Marc était long et raide, avec un va et vient ample mais sans brutalité. Jonas a le sexe plus gros mais plus court et brutal aussi. Il pilonne là où Marc ramonait. Plus personne ne parle, ça grogne et ça couine. Je sens le gland dur contre mon anus. J’imagine que Marie est dans la même situation car elle se colle contre moi comme si elle s’apprêtait à avoir mal. Je serre mon amante contre moi et nous nous faisons sodomiser en même temps. C’est douloureux 😖 😖😖. Mais bref car les deux se retirent et arrachent leur préservatifs pour éjaculer copieusement sûr nos fesses. Marie n’a pas cessé de m’embrasser. Je saigne un peu des lèvres car elle m’a mordu sur la fin. Les mecs sont affalés chacun sur un canapé. Ils allument un cigare. C’est tellement cliché ! Je ne vois pas André et Astrid. Il ont du s’éclipser vers une chambre. Marie me propose à l’oreille de nous isoler pour juste dormir ensemble. Je fonds. On est foutus les gars, je crois que je suis en train de tomber amoureuse…
Prostitution occasionnelle, témoignage d’Olivia
Je m’appelle Olivia et je suis prostituée occasionnelle depuis 7 ans. Merci à Lucie de m’offrir cette tribune sur son blog sexo.
Mes débuts dans la prostitution étudiante
Lorsque j’ai commencé à m’intéresser à la prostitution j’avais 20 ans. J’étais en fac de Pharma et j’avais besoin d’argent. Je suis d’une famille très modeste mais cultivée arrivée en France il y a 30 ans à la chute du mur de Berlin. Il fallait travailler et je ne voyais pas pourquoi je devais m’interdire certaines options.
Avant de vraiment me prostituer occasionnellement j’ai commencé par faire de la sex-cam en ligne sur un site dédié (Euro-Live). Le contact virtuel avec les clients me semblait plus sécurisé évidement. Mais j’ai assez vite déchanté car la concurrence entre les filles est énorme et c’était moins bien payé que servir au MacDo. Je passais des heures en petite tenue devant ma webcam pour des clients que je ne voyais pas et dont 99% se contentaient de mater gratuitement. J’ai donc assez vite compris que si je voulais vraiment m’en sortir financièrement il fallait que je me décide à faire de vraies passes, même occasionnellement. J’ai donc fini par me lancer et passer une annonce sur un site d’escort girl. J’étais toute fraîche, blonde et sexy alors j’ai eu des réponses très vite. Mais je flippais d’être piégée par un mac ou de tomber sur un homme violent. J’ai donc laissé passer du temps. Je voulais être en confiance. J’ai refusé des dizaines de demandes que je ne sentais pas. J’avais beau être sans apriori en réalité je trouvais toujours un prétexte pour ne pas sauter le pas. Un Nième recommandé d’huissier a eu raison de mes dernières résistances et je me suis retrouvée pour la première fois dans un Hôtel Ibis pour une heure avec un homme d’une cinquantaine d’années. J’ai improvisé et fait de mon mieux. J’ai gagné 300€. Le prix de ma première passe de pute occasionnelle. Je dis pute car il faut appeler les choses par leur nom.
Combien gagne une prostituée occasionnelle
L’occasionnelle a été de moins en moins occasionnelle. Sans enchaîner les passes j’ai quand même eu des moments à 30 – 40 rapports sexuels rémunérés par mois. Pour une vingtaine d’hommes car j’ai vite eu des habitués. Prostituée débutante tu dois tout apprendre seule. La sécurité, quoi dire, quoi ne pas dire. Mais aussi des choses justes techniques comme comment bien sucer, faire des massages sexy ou les positions les plus pratiques en fonction de l’anatomie et de la forme physique du client. J’ai vite compris que si je voulais que ça se passe bien c’était mieux d’accepter de prendre du temps avec le client avant. Je propose toujours de commencer par boire un verre. Pas dans un bar trop en vue. Un truc discret mais public à côté de l’hôtel. Cela me rassure d’avoir été vue en public avec le client même si c’est dans un kebab. Et ça me permet de mieux sentir jusqu’où il faut se préparer à aller. Je pratique des tarifs entre 400 et 900 euros. Mais je m’en fiche complètement que le type soit plein aux as ou se soit saigné pour me baiser. C’est pas pour l’épouser, c’est pour de la prostitution. Une passe dans un Formule 1 à côté de l’aéroport ne me rebute pas. Même si un bel hôtel avec un douche à l’italienne c’est bien aussi !
Quand j’étais étudiante il m’arrivait d’avoir des mois à 7000euros net. Mais en général c’était plutôt autour de 4000 car je ne suis pas capable de faire de l’abattage et d’enchaîner les passes. Je ne suis pas une fille de joie bordel de campagne ! J’aime plus que l’on me considère comme une Geisha ou une courtisane de l’ancien temps…
J’aurais pu faire plus et avoir plus d’argent mais je ne m’aimais pas quand je faisais une à deux passes par jour. J’aime être bien dans ma tête pour être attentive à mon client. J’aime essayer de comprendre ce qui va lui plaire, ce qui va lui donner envie de me recontacter plutôt que d’en chercher une autre. C’est un chalenge chaque fois renouvelé. J’y prends plaisir et je reste persuadée que la prostitution n’est pas un job anodin. On ne fait bien quelque chose que si on y prend du plaisir. Même si bien sûr c’est loin d’être toujours rose ! Il y a des plans glauques mais c’est fréquent que je jouisse vraiment et qu’en plus je sois payée pour cela !
Aujourd’hui j’ai un emploi fixe correctement rémunéré dans une grande pharmacie Lyonnaise et j’envisage d’acheter ma pharmacie en Picardie où sont encore mes parents. Donc je suis plus occasionnelle, prostituée 5 – 6 fois par mois pour les extras. Je me suis remise à la sexcam sur Eurolive mais uniquement pour trouver des clients en qui je peux avoir confiance. Un homme qui a lâché quelques jetons achetés avec sa CB risque moins de ne pas payer une vraie passe. C’est le seul truc qui me mets en rogne dans mon métier de prostituée occasionnelle : le client resquilleur qui marchande ou qui ne veut pas payer d’avance ce qui me fait juste perdre mon temps car, bien sûr, je ne vais pas aller avec un client qui ne paie pas d’avance.
J’espère juste que mon témoignage vous aura donné une image plus simple et réaliste de la prostitution occasionnelle. Bien sûr chaque fille est différente avec une situation et des motivations différentes. Je suis consciente qu’il y a des filles exploitées. Des clients brutaux et des mauvais plans ça existe et j’ai eu ma part de galères et de grosses frayeurs. Mais en général ça se passe bien et dans une relative bonne humeur insouciante. Je voudrais aussi faire tomber quelques clichés. Je ne suis pas psy ! Il m’arrive de parler et surtout d’écouter mes clients. Mais je ne suis pas psy, je suis prostituée donc ils sont avec moi pour mon cul et je suis bien heureuse qu’ils en disposent contre quelques sous. Ça ne va pas plus loin, prostituée n’est pas un métier de santé ou de salut public comme voudraient nous le vendre quelques bien pensants. C’est juste un métier, le plus vieux métier du monde paraît-il !
Note de Lucie : Mes articles moins sages sont ici. Mais j’aime aussi publier les textes que je reçois quand je les trouve bons. N’hésitez pas à me les envoyer en commentaires. Quand je trouve que ça peut faire un article je les copie/colle (avec de minimes corrections)
Baisée au cinéma en salle
Rendez-vous coquin au cinéma
Cinéma le Méliès de Grenoble. Plan cul d’un jeudi soir. Salle moitié vide. Avant dernière rangée, fauteuils en velour rouges. Après vingt heures il y avait j’accuse de Polanski ou sorry we missed you de Ken Loach. Pédophile ou communiste ? Nous choisissons communiste en nous disant qu’il y aura moins de monde. De toutes façons nous allons au cinéma plus pour la baise que pour le film !☺️.
j’ai une jupe courte, un pull en cachemire avec rien d’autre dessous que mes gros seins doux et parfumés. Nous sommes en avance le film n’est pas commencé et la lumière est encore là. Les gens continuent à entrer sporadiquement dans la salle de cinéma. On ne peut que se caresser discrètement pour le moment mais c’est déjà fort intéressant cette rencontre au cinoche. Je sens la bosse sous son jean. Bien dure. Il a sa main qui remonte sous ma jupe pour vérifier si j’ai des bas ou un collant.
Je lui glisse à l’oreille : « c’est un collant…mais t’inquiète, tu pourras me le déchirer… »
Il se penche pour m’embrasser sur la 👄. Je le repousse : « non, si les gens nous voient après ils vont tout le temps se retourner pour mâter…patience, on va bientôt pouvoir s’embrasser…et pas que sur la bouche pour un baiser de cinéma. » je masse un peu son sexe à travers le tissus.
La lumière baisse. Pas totalement. Pubs et bandes annonces. Sa main plus haut sous ma jupe. Ma tête sur son épaule : « Là il ne fait pas encore assez noir dans la salle de cinéma et des gens peuvent encore arriver…mais tout à l’heure je sortirai ta bite pour la sucer… » Je lèche son cou. Il bande très dur sous le 👖.
Une dame deux rangs devant s’est retournée. J’arrête de l’embrasser et tiens bien droite le regard fixe devant moi. Si on se fait surprendre par une conne elle est capable de nous faire virer du cinéma. Ca m’est déjà arrivé. J’ai pas eu honte mais si j’étais tombée sur des très cons il y aurait pu y avoir plainte et signalement…Là c’est déjà plus la merde…
Sa main ferme bien haut sous ma jupe. Mais pas tout en haut. J’écarte juste un peu les cuisses pour l’encourager. On ne peut pas faire plus pour le moment mais c’est bien ainsi. Il place son pied au delà du mien pour bloquer ma jambe légèrement écartée. J’avais pas l’intention de me refermer mais c’est excitant. Je n’ose pas trop le caresser. On ne sait jamais. Ejaculation précoce là ça gâcherait tout !
Je plante mes ongles sur son ventre sous le T-shirt. Il a de bons abdos. Ses doigts sont juste là où le collant couvre le bord du string. Il caresse tout près de ma chatte. J’ai chaud, je pense que je commence à mouiller.
Les bandes annonces sont horriblement longues. Et en même temps l’attente du noir complet est délicieusement frustrante.
Sucer dans une salle de ciné
Enfin le vrai noir. Un noir profond de salle de cinéma. Hélas légèrement gâché par le vert de la sortie de secours. Mais suffisamment sombre quand même. Heureusement, j’en pouvais plus. Je me penche à son oreille : « ça te dirait pas de sortir un peu ta bite ? »
Il défait son son jean et sort sa queue bien raide. Il fait noir Dans le cinéma mais pas suffisamment pour que je ne vois pas l’engin. Et ce que je vous me plaît vraiment beaucoup. Je me met à genoux sur mon siège qui grince un peu comme tout siégé de cinéma qui se respecte. Penchée par dessus l’accoudoir c’est assez confortable et son grand sexe est parfaitement accessible. Je prends en bouche sans hésitation. Bonheur de la grande colonne de chair turgescente dans ma bouche. J’aime trop sucer. Il pose une main sur ma nuque, l’autre sur mon cul. Il n’arrive pas à relever la jupe qui est un peu trop raide. Mais c’est pas grave, sa longue queue dans ma bouche suffit amplement à m’exciter. Je suce lentement, à fond. Sa main sur ma nuque accompagne le mouvement juste comme il faut, sans me forcer. On a tout le temps. Je le sens serein au rythme de ses caresses sur mes fesses. Un mec sur le point de jouir c’est maladroit. Lui pas. Je me tortille un peu et remonte moi même ma jupe pour qu’il puisse me caresser. Je continue à sucer. Son sexe est très long, très dur aussi. S’il jouissait maintenant j’avalerais son sperme avec délice. Mais je sais déjà que ça n’arrivera pas. C’est le genre tout en contrôle. J’ai l’impression qu’il pourrait tenir Jusqu’au générique de fin. Il masse mon camel toe à travers le nylon de mes bas. Je mouille. J’en peux plus, j’ai trop envie. Heureusement dans mon petit sac à main de salope cinéphile j’ai toujours trois tailles de préservatifs. Là c’est les grands😉.
Je lui déroule sur la queue en mode pute experte. Il s’avance sur le bord du fauteuil. Je peux m’assoir juste sur lui. Comme il n’ose pas c’est moi qui déchire mon collant au niveau de la chatte. Le bruit me semble exagérément fort mais bref et personne ne se retourne. De toutes façons on est tout derrière sur le côté et quatre rangée nous séparent des spectateurs les plus proches. S’ils se retournaient ils seraient au cinéma porno…
La position n’est pas super pratique pour une pénétration vaginale. Mais sa pine est bien longue alors ça rentre nickel. C’est divin ! J’ondule lentement. Il passe les mains sous mon pull en cachemire et entreprend mes gros seins. Baisers mouillés dans mon cou en prime. Je suis bien, confortable, à mon rythme. C’est délicieux, je dois me retenir de gémir. Sa queue est toujours bien dure. Ses caresses sur les seins fermes mais sans brusquerie. Ses baisers dans mon cou appuyés mais sans suçon. J’ai envie que cela dure, ne pas jouir trop fort ni trop vite dans ce cinéma. Ne pas chercher à le faire jouir. Juste profiter de l’instant, en rythme, comme un film de cinéma porno soft des années 90 qui durerait une éternité. Et effectivement les plans séquences de Ken Loach s’enchaînent sans que nous songions à changer de position. Je sens l’imperceptible changement. Ses mains plus serrées sur mes seins. La bouche qui glisse de mon cou à mon épaule. Quand il joui en moi j’en suis déjà à mon troisième orgasme discret. Je reste sur lui et continue à bouger langoureusement le bassin le temps qu’il débande. Je regagne ma place et lisse un peu ma jupe. Je pose ma tête sur son épaule : « on regarde la fin du film ou a va sort du cinéma direction mon Airbnb pour que tu m’encules ? »
Devinez sa réponse…vous auriez fait quoi vous ? Quand nous partons en catimini je m’aperçois un peu honteuse que nous laissons le préservatif usagé sur la moquette. Pas très glamour ni civique je l’avoue. Nulle n’est parfaite, surtout pas moi !
Top 10 des lieux pour un premier rendez-vous sur site de rencontre
Le premier rendez-vous dégoter sur un site de rencontre, on va pas se le cacher, il est facile à obtenir, surtout si c’est un site a plan cul. Mais parfois. Enfin souvent. Voire même toujours…Le rencard n’est pas vraiment à la hauteur de la photo de profil. Et puis, on a tous et surtout toutes peur de tomber sur un traquenard, une arnaque ou pire. Dans le pire je mets les scénarios genre film d’horreur avec psychopathe serial killer…
Bon, déjà je tiens à rassurer. 99% des rencards initiés sur internet se passent bien. Mais quand même, on n’est jamais trop prudente. Ou prudent car messieurs, les filles malhonnêtes ou même tordues cela existe aussi !
Voici donc une petite liste des lieux de rencontre possibles pour un premier rendez-vous avec votre potentiel plan cul dégoté sur internet. Avec avantages et inconvénients de mon point de vue. J’ai personnellement testé neuf de ces dix lieux de rencontre potentiels…Avec aucun je n’ai eu de grosse galère. Mais je me considère comme chanceuse.
Chez vous pour un premier rendez-vous
Vous avez flirté sur internet, peut être échangé des photos ou fait un peu de cam sexy. Mais vous avez envie d’aller plus loin, de sentir vraiment ses mains sur votre peau. Et vous avez donné rendez vous tout simplement chez vous. Bin oui, pourquoi faire compliqué quand tout peut être simple. En plus vous êtes sur votre terrain. Bon, franchement moi un type qui me donne un premier rendez vous chez lui j’y vais pas. Et perso je ne donne pas mon adresse à un plan cul. C’est la galère assurée. Donc juste on oublie pour un premier rendez-vous.
Chez lui (ou elle si vous êtes un il hétéro) pour un premier rendez-vous
Bin pareil que dans le chapitre précédant ! Juste on oublie !
Attention, cela ne veut pas dire qu’il faille ensuite vous interdire de ramener chez vous votre conquête, ou de la suivre chez elle. Mais c’est après la phase d’approche dans un autre des lieux de premier rencard décrits plus bas…
Donner rencard à la terrasse d’un café pour un premier rendez-vous
Déjà c’est franchement pas très original. Je crois que 9 premiers rendez-vous sur 10 c’est justement la terrasse d’un café ! Au moins c’est classique, ça ne fait pas peur. Mais moi je trouve que justement, pour un premier rendez-vous c’est vraiment trop classique. Genre le type ne s’est vraiment pas cassé la tête. Alors oui, si en sexcam il m’a vraiment plu et chauffée je vais accepter ce premier rendez-vous. Oui, je l’ai fait souvent par paresse ou manque d’idée originale. Mais franchement, vous pouvez faire mieux.
Premier rendez-vous dans un restaurant classe
Que vous soyez la fille ou le garçon la règle c’est que si c’est vous qui proposez un restaurant classe c’est vous qui régalez ! Plus c’est cher mieux c’est de mon point de vue. C’est pas une question de vénalité. J’aime juste sentir que le type me désire suffisamment pour faire chauffer la CB. On peut dire tout ce que l’on veut, l’argent et le pouvoir sont d’excellents lubrifiants !
Et cela va dans les deux sens. Quand je veux marquer mon territoire, montrer mon indépendance j’invite mon plan cul dans un restaurant très cher. Je dis avant que c’est moi qui invite. Je prends plaisir à me montrer crânement pleine aux as. Même si mon budget s’en ressent à la fin du mois c’est un plaisir que je ne me refuse pas. Quitte à passer ensuite des heures à faire de la sexcam payante sur eurolive pour des gros voyeurs degueulasses depuis ma chambre d’hôtel en déplacement. Ce n’est pas glorieux mais il faut bien assumer ses conneries. J’ai aussi un foyer et une enfant dans mon autre vie. Mon mari gagne bien, très bien même mais j’ai besoin pour ma santé mentale de participer significativement au budget familial.
Un AirBnB pour votre premier rendez-vous
C’est presque comme chez vous. A la grosse différence près que justement c’est pas chez vous. L’autre n’aura pas votre adresse. Et vous pouvez préparer le lieu comme bon vous semble. C’est souvent grand et idéal pour un plan cul. Mais délicat de faire accepter ce lieu comme premier lieu de rendez-vous. Pour moi c’est plus la solution parfaite de repli après la phase d’approche que vous aurez située pas trop loin de votre joli Airbnb
une chambre d’hôtel pour un premier rencard.
Bon, la bonne nouvelle avec une chambre d’hôtel c’est qu’on passe par la réception. Donc c’est relativement safe. Il y a souvent un grand lit et si vous y mettez le prix un canapé dans une suite. Si votre rencard est un plan cul sans équivoque alors oui, la chante d’hôtel comme premier lieu de rendez-vous ça le fait. Moi en tous cas je suis ok si l’hôtel est classe. Si j’ai décidé d’être en mode pute alors je peux donner rendez vous à mon plan cul dans ma chambre d’hôtel et l’attendre en lingerie sexy. Je prévois toujours un peu d’alcool (mais pas trop). Aussi quelques jouets s’il veut m’attacher ou me fesser. Et divers trucs chimiques pour lui redonner de la vigueur après le premier round.
Le bar d’un hôtel en premier lieu de rencontre
La chambre n’est pas loin. Il y a toujours un peu de monde ce qui peut s’avérer rassurant. Au pire il y a le barman ou la barmaid. Pas mal si vous voulez faire un peu languir votre plan cul. Laisser du suspense quand à la suite des événements. J’avoue, un jour j’ai donnez rendez vous au bar de «mon hôtel, j’ai allumé le pauvre type a mort et mon vrai plan cul nous a rejoint une demi heure après pour m’embarquer sous les yeux dégoûté du type. Je n’en suis pas fière mais c’était l’idée de mon amant et ça l’a excité alors pourquoi lui refuser ce plaisir. Mes excuses au faux plan cul s’il le lit et se reconnaît !
Un parc public Pour le premier rendez-vous galant
Bon, il le faut très public le parc. Et de jour. Sinon ça fait vraiment trop flipper. Perso si c’est le mec qui me propose ça j’aime pas parce que ça fait mec radin qui ne va même pas payer un verre. J’ai déjà donné rendez vous dans un parc mais à un type que j’avais dragué sur un forum de running. Donc c’était pour d’abord courir ensemble. Je dirais bof, pas forcément le meilleur plan pour un premier rendez vous.
Une soirée avec des amis.
Ça m’est arrivé une fois. Je vous raconterai peut être dans un prochain billet. Le mec me dit qu’il est invité à une soirée chez des amis et me propose de l’accompagner. Alors qu’on ne s’était jamais vu en vrai. Il m’explique qu’il n’y aura que des couple. Il me dit que c’est pas un plan échangiste ! J’ai adoré, il me présente comme sa nouvelle copine. Ce qui en un sens était presque vrai à trois heures près. Voir comment il se comporte en société à été rassurant. Voir qui sont ses amis aussi. Sentir les regards un peu jaloux des autres mecs était aussi très excitant. Attention quand même de ne pas trop boire. Car trop d’alcool pour les mecs c’est pas vraiment synonyme de grosses performances sexuelles ensuite…À bon entendeur salut !
Donner rencard à son plan cul à Ikea !
C’est un lieu public. Donc pas trop flippant. C’est ouvert en général jusqu’à 20h avec parfois des nocturnes. On peut y essayer des canapés. Même s’il n’est pas trop question de s’y faire des câlin c’est déjà pas mal pour la phase d’approche. Moi j’ai y voir les couples qui s’embrouille tout parce qu’ils ne sont pas d’accord sur un luminaire, un rideau de douche ou un tapis. J’aime aussi sentir les regards concupiscents des mecs se poser sur moi. Et l’énervement de leurs nanas qui ne sont pas dupes. Ikea pour un premier rendez-vous c’est original, le seul problème est que c’est un point de rendez vous où l’on se rend en voiture. Cela peut être un avantage comme un inconvénient. Si les choses se passent bien vous allez repartir dans la même voiture en en laissant une sur place. Bonne baise en voiture en perspective. Mais sinon ça peut faire un retour à deux voitures qui casse un peu l’ambiance…
Premier rendez vous dans un cinéma
Pour moi c’est un must si vous ne l’avez pas déjà fait ! Lieux public et surveillé. Donc pas de risque. Mais en même temps lieux où vous serez dans le noir. Grosse possibilité de plan cul si la salle est assez clairsemée. Moi j’adore sucer au cinéma. J’aime aussi y subir un bon cuni… Mon conseil est de choisir plutôt les place au fond de la salle…