Depuis quelques temps les sites de rencontres adultères m’ennuient. Rencontres trop facile avec des hommes mariés qui ont déjà décidé d’être infidèles. Plan cul assuré mais peu de place pour la drague, l’improvisation, le frisson d’un désir qui monte au fil du temps, jour après jour, semaine après semaine. En cette fin d’hiver 2022 je me mets donc en quête d’autre chose. Mais il faut rester discrète, anonyme.
Je me bricole donc une fausse identité sur un célèbre site de covoiturage. Et je m’invente un trajet quotidien vers mon travail en partant d’un point très éloigné de la maison. Il me suffit de laisser ma voiture au parking relais. C’est un peu compliqué, ça rallonge mes trajets mais ce n’est que deux jours par semaine.
Ainsi, chaque mardi et chaque jeudi, Jacques 47 ans, brun et plutôt beau garçon, me récupère à 7h25 du matin pour vingt à vingt cinq minutes de covoiturage vers la place de la mairie où il me dépose. A 17h45 je l’attends au même endroit pour un trajet retour vers ma voiture.
Les premiers trajets sont conventionnels et un peu ennuyeux. J’essaie de rester le plus près possible de la réalité pour ne pas me trahir. Je suis une jeune femme mariée avec une enfant, un chien et un travail sur lequel je reste évasive car c’est alimentaire. Je cite quand même le nom d’une grosse boîte vraisemblable par rapport au point où il me dépose. Tailleur jupe ou pantalon en fonction des jours, sans fioriture mais suffisamment bien ajusté et un soupçon de numéro 5 de Chanel pour être à peu près certaine qu’il pense à moi le soir dans le lit conjugal.
Ce n’est qu’au quatrième trajet que nos conversations prennent un tour plus intime. C’est un mardi et quand il me demande si j’ai passé un bon week-end je réponds que c’était un week-end en famille.
-« Et donc ? Bon ou mauvais week-end ? »
-« Disons, pas hyper glamour mais reposant… »
-« Reposant ? »
-« Ok ! Ennuyant à mourir ! Et toi ? Bon week-end ? »
-« Famillial… »
-« …hum… »
-« ….wouai… »
-« … »
Quand il se range sur le côté pour me déposer je me lance et lui pose un baiser sur la joue en faisant dépasser le bout de ma langue juste avant de sortir de sa voiture. Je sais qu’il va y penser toute la journée avant de me récupérer en fin d’après midi.
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Hello Lucie,
J’ai beaucoup aimé la lecture de ce récit qui fait écho à une expérience passée très agréable, un covoiturage de Montpellier à Toulouse. C’était il y a quelques années. J’étais à l’arrière du véhicule en compagnie d’une jeune femme brune qui avait des origines asiatique et arabe. Elle ne devait pas avoir plus de 25 ans. Elle était jolie, quoique légèrement grassouillette et trop maquillée à mon goût. Elle portait une robe noire très ajustée qui laissait deviner une belle poitrine ferme et une veste en jeans couvrait ses épaules. Son petit nez mutin et sa bouche pulpeuse sertie d’un rouge prononcé lui conféraient un air légèrement vulgaire et coquin ce qui se confirma après quelques échanges de regards qu’elle ponctuait d’un petit sourire en coin. J’ai senti tout de suite qu’elle aimait les mecs, en particulier les mecs plus vieux qu’elle.
Pendant le voyage, elle scrollait sur son téléphone, regardant des photos de jeunes femmes en sous-vêtements coquins et ne faisait aucun effort pour se cacher de moi. J’aurais mis ma main à couper que c’était elle sur l’écran, mais bon, l’esprit d’un homme happé par la concupiscence fait faire parfois des raccourcis. Ce qui était certain c’est qu’elle s’amusait de me voir mater alternativement l’écran de son Smartphone et ses jambes et là encore, elle ne faisait rien pour m’en dissuader. Elle aimait ça, voir ce qu’elle provoquait.
Au bout de quelques minutes d’une lente tectonique, nos corps s’étaient rapprochés. Nos jambes se frôlaient presque. Elle continuait à me jeter un regard de temps à autre avec toujours ce sourire mutin affiché sur son joli minois. Je disposais de ma veste entre elle et moi et je glissais ma main dessous et j’effleurai de mes doigts le haut de sa cuisse. La peau était douce. Elle ne broncha pas. J’ajustai la veste pour continuer ma prospection sans me faire remarquer de la conductrice et de l’autre passagère qui occupait à merveille la place du mort. Je montais doucement, relevai la jupe et je sentis directement ses chairs. La coquine, elle ne portait pas de culotte. Je glissais un doigt dans sa fente chaude et humide. Elle se pinça la lèvre tout en me souriant. Je restais là à jouer avec son fruit. C’était doux, agréable.
Je lui glissais à l’oreille :
– Touche ma queue.
Elle piqua un fard. Elle sembla hésiter un instant puis elle passa sa main sous la veste et caressa la bosse de mon jeans. Nous passâmes une bonne dizaine de minutes à nous caresser lentement avec délectation. J’écrivais sur mon portable : « Tu es une bonne petite salope, toi ». Elle hocha la tête en rougissant. Quelques minutes plus tard, la conductrice nous sortit de notre état suave et extatique en nous proposant un arrêt pause pipi. Nous acquiesçâmes.
Arrivée au parking de l’aire de l’autoroute, je décrétai que je restais dans la voiture. Ma jolie partenaire fit de même. L’arrêt prévu ne devait pas excéder plus de 10 minutes. Nous avions un peu de temps pour nous. Je fus heureux qu’elle prît directement les choses en main. Sans un mot, elle ouvrit ma braguette, sortit mon sexe en érection et le porta à sa bouche. En temps normal, j’adore me faire gober les couilles et guider ma partenaire avec des mots crus et des gestes autoritaires. Tant pis pour les gones. Il me restait l’invective salace. Elle suçait avec envie et répondait avec des petits miaulements à mes insultes incantatoires. Je passais ma main sous sa robe pour lui caresser les fesses ce qui eut effet de l’exciter encore plus. Elle resserrait de plus en plus ses lèvres sur mon gland. Je lui mis un doigt dans le cul. Elle échappa un petit cri de contentement. Je la doigtais maintenant au même rythme que le mouvement de sa bouche. Subitement, avec mon autre main, je tirai sur ses cheveux et la forçai à me regarder. Son rouge à lèvres avait des ratés et ma queue était habillée de rouge.
– Tu aimerais que je t’encule comme une chienne ?
- J’adorerai ça, dit-elle en me fixant.
Ses yeux avaient une belle intensité. Hélas, le temps manquait et je me rabattis sur sa poitrine généreuse. Je posais ma main dessus.
- Tu fais des branlettes espagnoles ?
– Mon copain adore ça, répondit-elle effrontément.
Cela a eu l’effet de me rendre encore plus autoritaire. Je lui imposai une gorge profonde. Elle aimait ça, se faire insulter et rudoyer. Il ne restait pas beaucoup de temps.
- Je veux jouir dans ta bouche de petite salope.
Elle reprit mon membre entre ses lèvres et s’activa en silence ce que je pris pour une acceptation de ma demande. Je glissais deux doigts dans sa chatte pour l’exciter encore plus quand je déchargerai. Elle pompait avidement en émettant des petits gloussements de satisfaction.
- T’aime le sperme ?
Elle fit l’effort de répondre cette fois et droit dans les yeux, elle me dit :
– Je veux ton jus.
– Tu le veux où, petite chienne ?
Elle pointa du doigt sa bouche. Elle avait sortie sa langue et prise une pose alanguie. Puis dans un geste brusque, elle goba ma queue jusqu’à la garde. M’est avis que c’était un addict au sperme.
Dans un dernier râle, la queue faite colonne de buren, j’ hurlais dans l’habitacle de la voiture : « avale tout, salope » ce qu’elle s’empressa de faire sans sourciller. Le débit était conséquent, mais elle ne broncha pas. Elle aspirait même, goulument comme prise d’une frénétique envie gourmande de tout gober jusqu’à la dernière goute.
Je continuai à la doigter après mon éjaculation. Elle me gratifia du spectacle de sa bouche ouverte pour me montrer qu’elle avait tout avalé.
– Tire la langue, fais-je durement.
Elle s’exécuta. Elle pouvait être fière. Il ne restait rien. J’étais vidé. Un vrai raisin sec, mais un raisin sec content. Je lançais en guise de remerciement :
– T’es une très bonne chienne, ton copain a beaucoup de chance. Quand tu te feras enculée, j’espère que tu penserais à moi.
J’espère que cette histoire vous aura émoustillée, Lucie.
Bonsoir,
Je me demande si c’est bien la sublime Lucie sur cette photo :
https://twitter.com/luciebayeul69/status/699580764556550144/photo/1. Et puis vu de ce qu’elle raconte sur son emploi du temps, je me demande aussi si elle est déjà repartie (chaude devant) « en chasse » en cette rentrée 2023 et avec quels objectifs en tête.
Bravo ! Je ne comprends pas, à notre époque, pourquoi une femme qui aime le sexe et drague ouvertement est une salope alors que quand c’est un homme, il est juste chaud ! J’ai 29 ans, assistante parlementaire au parlement Européen. Je drague systématiquement le chauffeur VTC quand il est à mon goût. Je ne dors jamais seule à l’hôtel quand je suis à Bruxelles ou à Strasbourg. Et je peux vous dire que je suis loin d’être la seule femme dans mon cas ! Bisous mouillés !
PS: cherchez pas, mon vrai prénom n’est pas Noémie 🥹
Noémie, ne le prenez pas mal, mais être une salope, c’est un vrai compliment.
On ne peut pas dire à une femme qu être une salope est un compliment..
Surtout que comme le dis noemie ,c est un choix de leur part elles aiment juste le sexe et profiter de la vie avec des mecs différents et tester pleins de choses différentes. Aimer se comporter ainsi ne veut pas dire que le terme salope est glorieux.effectivement lorsqu on nous dit que nous sommes des salauds ce n est pas comme ça qu on se designerait.