jeune salope pour plan cul à 3

Mon fantasme d’initiation d’une jeune salope

Jeune salope, je dois l’honnêteté d’écrire qu’à plus de trente ans je ne peux plus me qualifier ainsi. Je suis jolie, ferme de partout et très coquine, ça oui. Mais comparée aux jeunes salopes dévergondées que l’on peut trouver sur le net ou dans la vraie vie j’ai conscience que je ne réponds pas exactement au même fantasme. Pourtant, avec une jupe à carreaux d’écolière de grosse lunettes et deux couettes je sais que je fais très bien illusion ! Pour en discuter en chat ou au lit avec mes amours (je préfère ce terme à amants) de passage, je sais que baiser une jeunette à peine entrée dans l’âge adulte est un fantasme récurent chez nombre d’hommes de tous âges. En évoquant le sujet je me suis vite rendu compte que j’avais ce même fantasme. Non pas de coucher avec un jeune puceau (très peu pour moi) mais plutôt initier une jeune salope aux joies d’une sexualité débridée et sans tabous. J’avais déjà eu des plans à trois mais toujours avec un homme et une autre fille déjà bien expérimentés question gaudriole.  Je voulais trouver une jeunette, non pas vierge, mais au moins débutante pour avoir le plaisir de l’offrir en cadeau coquin à mon amoureux de quelques jours pour un plan à 3 inoubliable.

Jeune salope débutante débusquée sur internet

Je suis toujours surprise de constater la diversité des profils que l’on trouve sur les sites de rencontres. C’est à s’y perdre, des sites sérieux comme e_darling hébergent des filles et des mecs qui n’ont pas froid aux yeux ni aux fesses alors que des sites plutôt orientés plan cul comme copine de sexe ont (entre les nombreux faux profils) des midinettes à la recherche d’un amour durable et sincère (sic) ! Je me voyais mal trouver parmi ces jeunettes presqu’innocentes la jeune salope en devenir que je rêvais de prendre sous mon aile pour une éducation sentimentale plus charnelle qu’intellectuelle. Comme toujours ma recherche se heurtait d’abord à des dizaines de faux profils et de dingues plus ou moins prostituées. Jusqu’à cet après midi crapuleux où nous surfions le net avec Jean Patrick nus sur le grand Lit de ma chambre d’hôtel. C’est par la boite mail que naquis l’espoir. Et l’espoir s’appelait Capucine, une lectrice encore lycéenne de mon blog ! Voici, sans les nombreuses fautes d’orthographe, le mail que m’envoyait cette délicieuse bachelière :

Bonjour Lucie,
Je suis une grande fan de ton blog. Je viens d'avoir mon bac ainsi que mes dix huit ans. Je ne suis, tu t'en doutes, pas très expérimentée mais pas vierge non plus ! Je voudrais te demander comment tu fait pour vivre de telles aventures. Moi mes "copain" ne m'ont jamais fait vivre le dixième de ce que tu décris. Et les rencontres sur internet m'ont toujours déçues. Si tu passes par Laragne Montéglin  un jour n'hésite pas à me faire signe...Au moins pour un café et une discussion entre filles !

C’était un mercredi, nous étions à Arles et j’avais annoncé à mon mari que je devais rentrer dans le Pyrénées le lendemain. Mais c’était aussi une semaine de canicule et je pouvais bien retarder mon retour d’un jour en prétextant un problème de boulo à mon mari tout en posant une RTT en douce auprès de mon boss. Pas très prudent mais jouable. Je poussais Jean Patrick du coude : »ça te dis un petit voyage dans les hautes Alpes, histoire de voir si on arrive à transformer une oie blanche en jeune salope dévergondée ? »

Une jeune salope en perspective

Chère Capucine,
Merci d'être fan de mon blog. Pour les aventures sexuelles hors du commun je ne saurais trop quoi te répondre. Sinon que tout n'est pas toujours aussi réussi que dans mon blog et que, surtout, je passe un temps fou à chatter, échanger par mail et trier les demandes sur les sites de rencontre avant de jeter mon dévolu sur un profil. Et même avec toutes les précautions que je prends pour un super plan cul réussi il y a au moins deux déceptions dont je ne parle pas ! Mais ne tournons pas autour du pot, si tu m'écris c'est que tu es ouverte au moins d'esprit. Je suis avec un "ami" de passage pas loin de ta région. Si tu veux on peut se voir demain. Mais je te préviens, après le café je compte bien que nous t'emmenions à l'hôtel !

L’approche était directe mais je n’avais pas envie de faire 300km pour me prendre un but une fois sur place. Sa réponse fut instantanée et aussi succincte que direct :

"Chiche !"

Je tenais ma jeune salope à initier. Jean Patrick, qui lisait en même temps que moi, bandait comme un âne. Je fermais le mac book et me jetais sur lui : »Ca te dis une jolie femme mariée avant de te faire la jeune salope que je t’offrirai demain ? » Sa queue qui s’enfonçait dans ma chatte me répondait que oui, ça lui disait. Ca lui disait même beaucoup.

Jeune salope à la terrasse d’un café

Le lendemain, après un trajet en voiture qui nous permis de nous exciter mutuellement en racontant par le menu tout ce que nous projetions de faire avec notre Lycéenne d’amour, nous arrivions sur la place de Laragne  sur les coups de 3 heures de l’après midi. En chemin j’avais réservé une Chambre dans un hôtel en précisant que nous arriverions dans l’après midi. Bien sûr j’avais choisi l’hôtel pas trop près pour préserver un peu de discrétion vis à vis de Capucine. Il y aurait encore une grosse heure de voiture mais je ne voyais pas trop comment faire mieux pour préserver la réputation de notre jeune salope. Jeune salope qui nous attendait à la terrasse d’un café de Laragne. Elle était telle que sur les photos envoyée mais avec un je ne sais quoi de plus qu’une simple image sexy ne peut transmettre. Simple et nature, pas de maquillage ou très peu. Jean moulant, Converses et Vrai Polo Lacoste rose bonbon. Ca c’est pour l’emballage, dessous on devine un corps juvénile avec de belles formes. Ecrire qu’elle a le corps d’un jeune mannequin serait mentir. Capucine n’est ni grande ni petite, 1m70 environ, peut être moins, châtain clair . La décrire comme une jeune salope du net ultra sexy serait aussi exagéré. Non, c’est juste une fille normale. Normale mais avec ce petit plus que seules les très jeunes femmes ont souvent : l’attrait magique de la chair fraiche, très fraiche. La peau de ses bras semble incroyablement douce, les seins sont menus mais bien formés et ils pointent très légèrement sous le polo rose. Je devine un peu de ventre mais à peine. Les cuisses ne sont pas longilignes comme les miennes mais elle n’est pas grosse non plus. Jean Patrick presse ma main me faisant ainsi savoir secrètement qu’il la trouve très à son goût. Après tout c’est important puisque je considère Capucine comme un cadeau autant pour moi que pour mon amant.

Capucine est avec quelques amis. Elle nous présente comme ses oncle et tante de passage dans la région. C’est crédible et ça lui permet de fausser rapidement compagnie à ses camarades de lycée ainsi que de nous embrasser chaleureusement sur les joues.  Elle sent bon, sa bise est appuyée et tout aussi généreuse que ses lèvres pulpeuses. Nous partons d’un pas tranquille vers l’Audi blanche de Jean Patrick. Il me tend les clefs : »Tu conduits mon amour, je vais monter derrière pour laisser la place de devant à Capucine. Les femmes et les enfants d’abord ! »

Sur la route avec une jeune salope

Certains seront peut être choqués que j’appelle la jeune, jolie et presque innocente Capucine jeune salope à longueur d’article. Je le fais pour deux raisons : la première raison est que jeune salope est l’expression que j’ai choisi comme mot clef pour cet article. Les googlebots sont un peu cons et il faut leur marteler les mots clefs pour qu’il consentent à me mettre ne premier dans les moteurs de recherche ! La seconde raison est que j’aime m’exciter toute seule à appeler cette jeune salope que j’initie ainsi. Et, croyez le ou non, c’est, sous ma plume et dans ma bouche plutôt un sobriquet affectueux !

Nous voici donc dans la très belle Audi A7 de Jean Patrick. Je suis au volant avec une jolie vue sur les seins et les cuisses de la miss qui est assise à la place du mort. Quand à Jean Patrick il n’est pas mort, je suis sûre qu’il bande encore, seul sur la banquette arrière.

Moi : »Ca va, tu n’as pas peur de partir seule en voiture avec tantine et tonton pervers ? »

Capucine jeune salope : »Ca va, je suis un peu intimidée mais curieuse en même temps. Ca va vraiment se passer comme dans les articles de ton blog ? »

Moi : »ça dépends, tu pense à quel article ? »

Ma jeune salope : »Heu, celui du plan à 3 par exemple… »

Moi : »Bin ça va dépendre surtout de toi. Et tu sais, il ne faut pas trop te poser de question, chaque fois c’est différent, l’important est qu’on s’amuse tous. Et j’ai le sentiment qu’on va bien s’amuser ! »

Je joins le geste à la parole en posant une main légère sur sa cuisse.

Elle se mord la lèvre inférieure. Je sais que c’est bon signe, je caresse très légèrement, du bout des doigts. Même si j’ai déjà envie de remonter vers son con je reste sage et me contente de l’extérieur de la cuisse. Son jean rend forcément cette caresse plus chaste que ce que j’aimerais. Mais nous avons tout notre temps. Mon ami actionne le bouton électrique sur le côté du siège de notre passagère pour incliner le dossier au maximum. Capucine est presque allongée. Nous n’allons pas vite et la boite automatique de l’A7 me laisse pas mal de liberté. Mais je dois quand même faire attention à la route. J’envie la position de mon ami qui, derrière Capucine peut lui masser les épaules et lui chuchoter des choses à l’oreille. Il parle si doucement que je n’entends pas. Mais Capucine elle continue à se mordiller la lèvre. Elle a mis sa main sur la mienne et la dirige très légèrement un peu plus vers l’intérieur de sa cuisse. Le geste n’a pas échappé à mon ami. Ses main migrent des épaules vers les seins de notre jeune salope. Cette fois j’entends clairement qu’il lui demande de déboutonner son Jean. Elle s’exécute. Mais déjà nous arrivons au rond point juste avant l’hôtel. Pour ceux qui connaissent un peu les environs de Laragne c’est le rond point avec des moutons juste avant l’autoroute et à côté d’un hotel ibis où une chambre nous attend. Il est un peu plus de 15h, le parking est désert et la chaleur à l’extérieur sans doute étouffante. Je gare l’A7 mais laisse le contact et la clim en marche. Rien ne presse pour la chambre, j’ai envie d’un peu mieux connaître l’anatomie de notre jeune salope avant de passer à des choses plus sérieuses. Je me penche vers elle pour l’embrasser sur la bouche. Elle semble un peu surprise, ne répond pas à mon baiser mais elle ne me repousse pas non plus. Ses lèvres sont juste timidement ouverte. J’y pose les miennes sans aventurer ma langue pour le moment. Ma main est remontée vers la culote en dentelle. Elle n’a défait que les deux premiers boutons de son Jean, je m’attaque habilement au troisième. Mon ami passe ses mains sous le polo rose pour caresser le ventre légèrement rebondi et tout blanc de la jouvencelle. Il la complimente à l’oreille : »Tu as la peau douce, j’imagine que tu es bien douce de partout. »

J’aventure un peu ma langue dans sa bouche. Elle vient au contact de la sienne mais je sens qu’elle a mis sa langue autant pour le baiser que pour faire barrage à l’avancée de la mienne. Mais elle ferme les yeux, ça va juste un peu vite pour elle mais le mouvement de bassin qu’elle fait pour aller au devant de ma main baladeuse ne trompe pas, la situation lui plait.

Mon ami à son oreille : »Baisse un peu ce jean ma belle… »

Elle lève les fesses pour obéir et comme je presse un peu plus ma main je sens nettement le petit abricot de son con à travers la dentelle de sa culotte. Je l’imagine déjà moite. D’ailleurs moi aussi je sens que je commence à mouiller. Lui en a profiter pour glisser la main sous les fesses de la donzelle. On pourrait continuer ainsi longtemps mais j’ai soudain envie de plus de liberté que ce que permet l’habitacle de la voiture.

Moi : « Bon, on va la voir cette chambre ? Il fait chaud et j’ai bien envie d’une douche. »

Mon ami : »Tu as raison, allez mignonette, rhabille toi et allons voir si la rose est éclose. »

Notre jeune salope renfile son Jean et relève le dossier du siège à l’aide du bouton idoine. Pour moi la situation est étrange. Je me sens un peu coupable d’entrainer cette très jeune fille dans un plan cul à trois. Elle semble avoir l’innocence de la jeunesse, quelque chose d’un peu maladroit et timide tant dans le regard que dans sa façon de bouger. Et en même temps elle est sacrément gonflée et coquine d’être là avec nous. Objectivement elle se comporte comme une vraie jeune salope lubrique. Mais pas mal d’indices dans sa gestuelle disent son inexpérience et sa naïveté. Elle est majeure et ce n’est pas une oie blanche. Pourtant j’ai envie de la protéger, de lui épargner la brutalité qui accompagne parfois ma sexualité débridée avec certains hommes. Je m’aperçois aussi que je suis presque un peu jalouse de mon ami. Finalement j’aurais peut être aimé l’avoir un peu pour moi toute seule cette jeune salope presqu’innocente.

Allez, comme je suis aussi coquine que taquine et que j’ai envie de savoir si ce blog est toujours lu je n’écrirai la suite de ce récit que lorsqu’il y aura dix commentaires à cet article. A vos claviers si vous voulez la suite, qui est, ma foi, assez gouleyante !

 

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

14 réflexions au sujet de « jeune salope pour plan cul à 3 »

    1. Oui !!! Merci du fond de la chatte pour les commentaires. Vos commentaires, surtout s’ils sont longs et explicites, contribuent à rendre mon blog vivant. Il ne faut pas hésiter à en laisser, je ne les censure quasiment jamais (sauf les trucs illégaux genre appel à la haine, pédophilie ou prostitution).

  1. Tu n’es vraiment qu’une chienne lubrique, une salope de première, une pute 2.0, une chiennasse bourgeoise…..de nous faire languir pour la suite.

    Et ça cela compte comme message ??

    1. Evidemment que ça compte ! Et plutôt deux fois qu’une ! Difficile d’exprimer (et même de comprendre) ce que ça me fait quand on me parle comme ça. J’aime particulièrement entendre ces mots quand j’ai la bouche pleine et que je ne peux répondre. Mais j’aime aussi parfois quand c’est dit sur le ton banal de la conversation au resto par exemple juste pour le plaisir de voir la gêne que cela provoque sur les tables alentour… Après pour la suite il va falloir vous armer d’un peu de patience. Capucine a commencé à écrire de son point de vue. Je remets en forme au fur et à mesure. Mais le mois d’aout est, pour moi, un terrible mois. Vacances en famille riment avec monsieur mon mari toujours dans les parages. Ce qui n’est ni l’idéal pour les escapades lubriques et adultères ni pour les moment d’isolement et d’écriture. Alors je profite de mon autre vie, celle d’épouse et de mère modèle. Faut pas croire, j’excelle aussi dans ce rôle. J’y prends plaisir un peu comme dans ce roman de Douglas Kennedy : »Le charme discret de la vie conjugale ». Roman que je n’ai même pas encore lu mais dont j’adore le titre !

      1. C’est la rançon de la gloire ma chère Lucie. Bientôt tu seras Si célèbre que tout le monde se retournera dans la rue à ton passage. Tu pourras entendre les murmures…ohhhh tu as vu c’est la suceuse itinérante, la garce de Pau !!! Elle est vraiment baisable mais je l’imaginais plus vulgaire. Ça doit être son jour de mēre et en plus elle ne peut pas être pute tous les jours, son pauvre cul doit se reposer….

        En attendant moi aussi je suis en vacances au mois d’août avec toute la famille. J’adore lire et je comptais bien profiter de ta prose pendant mes oisivetés galiciennes.

        Je suis très déçu donc dorénavant vous prendrez le mois de juillet. Tu as voulu la célébrité mais cela a un prix !!!
        Bonnes vacances ma salope

  2. Salut, je suis Mylène, étudiante en langues orientales. Un peu coquine, un peu seulement, beaucoup jolie, enfin c’est ce qu’on me dit, totalement hétéro, d’où ma question : Tu as l’air complètement hétéro aussi, du coup je ne comprends pas trop ce que tu aime dans un plan à 3 deux fille + un mec. ?
    Je pose la question par curiosité, pour ne pas mourir idiote.

  3. La suite ! La suite ! Capucine, si tu veux connaître un beau métis sans tabous mais respectueux fais moi signe, je suis de Digne les Bains. Et je ne me permettrait pas de t’appeler jeune salope. Pour moi tu es juste une super jeune fille qui aime la vie.

  4. Bien hate de lire la suite aussi. J’ai 42 ans, divorcé depuis presque dix je fréquente pas mal les sites de rencontre orientés cul. C’est vrai que j’ai pu remarquer que les filles y sont de plus en plus jeunes et surtout de plus en plus « no limit ». Vive le célibat !

  5. Bonjour chère Lucie et chère Capucine,

    Ce récit me semble être une bel histoire ou les protagonistes se sont avant tout éclatés.

    J’aime lire de si belle choss en étant conscient que vous l’avez tous vécus.

    Hâte d elire la deuxième partie et de savoir comment Capucine a gérer.

    Bisous de mon île :-*

  6. Bien le bonjour mademoiselle,

    Enfin une rencontre dans les Hautes-Alpes et pas des moindre en plus, une belle rencontre à 3. J’ai vraiment hâte de lire la suite Lucie, et de savoir comment Capucine à terminer.

    Moi même des hautes-alpes et très ouvert d’esprit, je me rencontre que je ne suis pas le seul dans ce département.. et j’ai même envie de faire connaissances avec cette belle Capucine.

    à bientôt, et à très vite pour de nouvelles lectures ! :)

    Tendres baisers !

  7. Salut, étant personnellement concernée par ce récit j’ai très très hate de lire la suite. Pour l’instant je suis impressionnée, tu as su changer pas mal de détail sans pour autant trop travestir la réalité. C’est troublant de lire ce récit sachant que l’on en a été l’une dé protagonistes. Merci en tous cas de réussir à me faire revivre ce moment en masquant tous les indices qui pourrait permettre de me reconnaître. Je suis enchantée d’avoir fait votre connaissance à tous les deux !

    1. Capucine, si tu l’écrivais le récit de la suite ? Cela serait marrant non ? Pas de souci si tu manques de pratique en écriture, envoi moi juste ta version et j’y mettrai ma patte.

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