Tu commandes un Spritz avec l’espoir qu’avoir la même boisson qu’à la table d’à côté va favoriser une connivence. Les filles discutent. Tu écoutes discrètement en faisant mine de consulter ton Instagram. La brune essaie de remonter le moral de la blonde : « Un mari de perdu, c’est dix copines qui reviennent ! » la blonde souri, c’est fou comme un sourire la rend tout de suite plus jolie. Elle a quelques formes mais tu la devines pulpeuse. La brune explique à la blonde qu’elle est un peu jalouse de la liberté toute nouvelle de son amie. Elle lui avoue qu’elle est obligée de se cacher pour tromper son mari et qu’elle donnerait cher pour plus de liberté. La blonde écoute, acquiesce et se laisse convaincre. C’est vrai que ça fait des années qu’elle n’a pas baissé. Enfin vraiment baisé avec un mec qui m’excite et prend le temps de la désirer et de la faire jouir. Elle avoue qu’elle ne se souvient plus de la dernière fois qu’elle a joui.
-« Ah ! Voilà, ça c’est la Judith que j’aime ! Tiens, les deux ritals à la table là bas. Ils n’arrêtent pas de nous matter. Ça te dit qu’on s’invite à leur table ? »
Elles montrent leur verres vides aux Italiens qui leur font signe qu’ils paient leur tournée. Ta seule consolation est de voir les culs que tu rates s’éloigner vers l’autre table. La brune a un petit cul genre brésilienne bien rebondi qui roule agréablement sous la jupe moulante. Ses talons font de petits claquements secs à chaque pas. La blonde que tu trouvais moins belle assise révèle un fessier délicieusement rond bien moulé dans le jean de la salopette. Tout est dans le doux balancement naturel des hanches. Il y a des femmes qui semblent fades au premier regard mais qu’un sourire ou une démarche transfigurent. Des femmes qui dans l’intimité d’un lit ou d’une chambre d’hôtel révèlent un potentiel insoupçonné. Cette blonde en fait peut être partie…mais tu ne le saura jamais… Tu n’as plus qu’à rentrer chez toi et te consoler ici…