Plan cul adultère et confinement

Bon bin voilà, télétravail et confinement jusqu’à nouvel ordre. Imaginez moi coincée à la maison avec un mari qui ne me fait pas plus d’effet qu’une chaise et notre fille, prunelle de mes yeux mais qui peut vite aussi me taper sur les nerfs.

 

Je ne me plain pas. On est en vie, en bonne santé et avec des réserves de bouffe. Je pense à ceux qui sont peut être dans des situations pires. Mais bon, en attendant n’hésitez pas à commenter avec vos récits les plus torrides. Dites moi ce que vous aimeriez me faire subir…Chauffez moi. Promis je répondrai de manière très « explicite » à chacun de vos commentaires (c’est pas comme si je n’avais pas le temps). Au plaisir de vous lire…Lubriquement votre,

Lucie qui vous écrit depuis la plus petite pièce de sa maison…👄🍆🍑

Et pour rompre mon isolement, n’hésitez pas à diffuser cet article autant que vous voulez ! Ma contribution à la morosité ambiante sera de répondre de manière personnalisée et très coquine à tous les commentaires sur le blog ! Lâchez vous, c’est gratuit et sans engagement, laissez un faux mail si vous voulez bien sûr. Bref c’est juste pour tromper l’ennui…et me donner quelques idées pour me toucher en pensant à vous…

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

60 réflexions au sujet de « Plan cul adultère et confinement »

  1. Ma chère et tendre salope Lucie,
    Que vas-tu nous proposer comme jeux coquin pour ce confinement ? On attend avec impatience 🤪🤪❤❤🍆

    Ton chéri qui pense à toi en ses temps difficile bloquée au prés de ton mari, et qui fera son possible pour te divertir 😘😘❤❤🍑🍆

  2. @PierreDeNantes
    Oui, ça va. Je me suis déchaînée sur mon mari en pensant à vous. Puis je me suis demandé s’il pensait à moi ou à une autre…Oh, et puis je m’en fou ! Ça faisait longtemps qu’on ne baisait plus ou mal. C’est pas encore l’extase mais je suis certaine qu’en y mettant un peu du miens je peux améliorer les choses. J’ai décidé de passer la journée en minijupe pour voir si ça l’inspire. Comment voudriez vous que je m’habille pour vous demain ?

    1. @Isabelle

      Bonjour Isabelle,
      Content d’avoir de vos nouvelles…
      J’aimerais vous voir dans un tailleur jupe, avec des escarpins. Sous ce tailleur, un ensemble coordonné de lingerie rétro composé d’un serre taille servant de porte jaretelles soutenant des bas.
      Vous avez ça dans votre placard…

      1. @Isabelle

        Bonjour Isabelle,
        Cela fait plusieurs jours que je matte à ta fenêtre et je ne te vois toujours pas en tailleur jupe !…

  3. J’ai vingt et un ans et un gros fantasme : Je suis seule allongée sur le ventre dans un sauna et un inconnu entre. Je fais semblant d’être endormie…quelqu’un ici pour me raconter la suite?

  4. Petit abricot rêve d’une belle aubergine. Petit abricot s’ennuie confinée seule. Petit abricot veut se toucher en lisant vos messages. Petit abricot n’écrit pas très bien mais fera un effort

    1. « toc toc toc »
      « Oui »
      « Je suis un voisin de l’immeuble, et j’ai une aubergine bien mûre, il est vraiment temps de la cuisiner mais il me manque des ingredients a la maison, pourriez vous m’aider? »

      1. Ho !? Ils ne me reste plus qu’un abricot juteux. Je peux voir votre aubergine ? J’ai très envie de la goûter. On fera un abricot chantilly en dessert. Ou vous préférez commencer par le dessert ? Il est juste là dans mon panier voyez ! Je relève ma jupe. Mon petit abricot juteux et tout serré dans mon slip de coton blanc. Que faites vous ?

        1. Hummm un abricot bien juteux tout emballé! J’y glisse mes doigts sur ta culotte en te frottant bien, j’ai envie que ta culotte soit trempé, j’appuie pour que ça te rentre dans la chatte et je frotte autour de ton clito. pendant ce temps là je déboutonne mon jean. Mon boxer baille…

  5. @pierredenantes

    Je m’agenouille et lèche donc la banane sur toute sa longueur. Lentement. Je le fais avec une main entre mes cuisses. Mais cachée par le peignoir pour ne pas t’en donner trop tout de suite. Voir ta queue m’excite. Je lèche en sortant bien ma langue. De profil je lisse mes cheveux derrière mon oreille pour que tu voies mieux mon visage. J’ai fait tomber le haut du peignoir. Ainsi tu vois mes seins qui pointent de profil. Ça te plaît ? Tu aimes ça mon que je fasse ma cochonne pour toi. Je pèles la banane. Elle n’est pas mûre et donc assez dure. Je change de main pour que tu puisses voir que mes doits sont humides. Je n’ai pas de préservatif à la maison mais on s’en fou. J’enfonce la banane le plus loin possible, doucement en levant légèrement la tête pour aller au fond de ma gorge. Mais je n’y arrive pas. Pas si facile pas assez d’expérience pour une gorge profonde. Il va falloir que je m’entraîne…mais il me manque un professeur.😉.
    Hélas la banane se casse. Quelle maladroite je fais. Mon téléphone m’indique un autre appel. C’est mon mari pour la liste des courses. Je lui parlerais bien en continuant à me masturber pour ton plaisir mais j’ai envie de faire ma perverse et de te laisser jusqu’à demain sur ta faim. C’est pas comme si le confinement finissait demain. Je t’envoies un dernier texto : « je te texte quand je sucerai mon mari en pensant à ta belle queue… En attendant écris moi si tu veux aussi qu’il me prenne en levrette vilain voyeur»
    Puis je ferme les rideaux.

    1. Pas tout de suite pour la levrette, ce sera l’étape d’après… Comme tu as si bien dit, le confinement ne se termine pas demain.
      En tout cas félicitations pour ton récit, ma belle queue de taille normale mais plutôt épaisse avec un gros gland est légèrement gonflée en ce moment.
      Bonne nuit et à demain.

      1. @Isabellesortezmoidelà

        15h36, je reçois un nouveau message « mettez-vous à votre fenêtre cher voisin, le spectacle va commencer ! »
        Ton mari est sur le canapé devant la télévision, tu as enfilé une robe légère d’été, et pris soin d’attacher tes cheveux avec une queue de cheval. Je te vois le rejoindre et te placer entre lui et la télé, il comprend vite tes intentions quand tu lui écartes les jambes avec tes pieds pour t’agenouiller après avoir remonté ta robe en haut de tes cuisses. Il t’aide à retirer rapidement son pantalon et son slip, et ne prend même pas le temps de retirer ses chaussettes. Tu prends son sexe encore mou dans la main pour le diriger tout entier dans ta bouche, et le faire gonfler rapidement. Il semble heureux et satisfait de ton initiative, enfin plutôt de la mienne !
        Tu commences à le pomper avec hardeur, il bande comme un taureau maintenant. Il a placé la main droite derrière ta tête pour guider tes vas et viens et te faire avaler sa queue un peu plus profond.
        Tu sors sa bite de ta bouche pour t’occuper de ses couilles, et en profites pour jeter un coup d’œil furtif à ma fenêtre et constater que je suis bien présent pour ton show. Tu le branles en même temps que tu gobes ses couilles, il est aux anges.
        Tu le regardes droit dans les yeux et je ne sais quels mots vous vous échangez. Tu t’enduies un doigt de ta salive et le place entre ses fesses, le coquin va avoir le droit à un petit toucher rectal !… Ton initiative me plaît beaucoup et j’ai l’impression que tu vas rapidement être récompensée de l’engagement que tu mets dans cette fellation.
        Un doigt dans son cul, la main droite sur sa queue, tu l’avales maintenant et l’engloutis au plus profond de ta gorge avec frénésie, et le rythme s’accélère de plus en plus. Il a mis ses 2 mains sur ta tête pour que tu ne puisses plus te retirer, il t’enfonces sa bite dans la bouche avec violence et je le vois pencher la tête en arrière et ouvrir la bouche, signe du déversement de sa jouissance dans ta bouche, quelques vas et viens secs te font fermer les yeux… Vous restez quelques secondes sans bouger, épuisés tout les deux, puis tu te retires délicatement pour ne pas en perdre une goutte, et je n’en perd pas une miette… Il semble surpris que tu ai avalé sa semence… c’est la première fois ?
        Tu lui laves la bite avec la langue, comme tu lécherais un bâtonnet de glace, puis tu te relèves et te diriges vers la salle de bain, en passant devant la fenêtre et me faisant face, sourire aux lèvres.
        Tu reçois un nouveau message « Merci et bravo pour ce show cher voisine, j’ai hâte de me retrouver entre vos lèvres !
        Pour le prochain acte, arrangez-vous pour que votre mari vous baise en face de ma fenêtre. Au bout d’un moment, vous lui ferez remarquer que je suis en train de vous matter, et devrez le convaincre que je vienne vous rejoindre…  »
        J’attends votre récit.

        1. @PierreDeNantes
          Pas trop de temps ni assez d’intimité ce soir. Mais promis je raconte demain. En attendant, sachez monsieur Pierre, que ce soir je vais sucer mon mari. Je le sucerai en pensant à vous. En me mettrai sur lui et guiderai sa queue en moi. A chaque mouvement je dirai « Pierre » dans ma tête. Et si je jouis j’imaginerai que c’est vous qui me faites jouir…

          1. @isabelle

            Merci pour votre message, votre intention me touche, j’espère que vous jouirez en pensant à moi ! Profitez-en pour faire l’amour à votre mari devant votre fenêtre volets ouverts, et peut être qu’un voisin vicieux et chanceux vous surprendra ! D’ailleurs, vous êtes vous surprise pour de vrai à épier un voisin dans l’immeuble d’en face ?
            Bonne nuit et bonne baise.
            Je vous embrasse.
            Pierre.

          2. Bonjour Isabelle,
            Plus de nouvelles de vous depuis plusieurs jours, j’espère que tout va bien pour vous.
            À bientôt.

  6. Je suis assise dans le petit jardin de mon pavillon de banlieue Nantaise. Robe à fleur et sans culotte. Pendant les courses de confinement j’ai acheté des 🍓 . Je me les mets dans la chatte en rêvant d’un amant à qui je les ferais manger ensuite. Je me masturbe allongée seule dans mon jardinet. Mon fils dors, il n’a qu’un an. Et mon mec est au boulo. Et je n’ai pas du tout hâte qu’il rentre. Il ne m’excite plus vraiment. Hélas personne ne surprend mon plaisir solitaire. Que feriez vous si vous étiez derrière la haie à m’épier ?

    1. Moi je t’interpellerai de la façon suivante : « Bonjour Anita, j’ai un tube de chantilly mais pas de fraises, j’ai bien envie de goûter aux tiennes, ça te dit de partager un goûter tout les deux ? »

      1. N’en pouvant plus du confinement et de la distanciation physique je m’approche de la barrière et te tends un fraise encore imprégnée de ma cyprine. Le Covid n’est pas sensé être sexuellement transmissible mais tu hésite quand même. Alors je t’encourage : « salut, je n’aime pas trop les peureux…mais pour un courageux j’échangerais bien un fraise contre un peu de chantilly… »
        Je baisse les yeux et tends la mains à travers le portail vers ton entrejambe.
        Tu oses mettre la fraise entre tes lèvres alors je m’agenouille et déboutonne ton pantalon pour extraire ton sexe. Je saisi tes fesses des deux mains et t’attire contre la barrière. Je commence par lécher par en dessous. Que fais tu ? Que dis tu ?

        1. J’ouvre le tube de chantilly et en asperge tout le long de mon sexe
          « Banane chantilly c’est bon également tu vas voir, prends ton goûter ! »

  7. De mon coté, j’ai testé moulte configurations pour tenter de faire dérapé « maman », elle délaisse les string fendus, plug anal, et déguisement de putes que je lui ai offert pour mon anniversaire il y à 2 semaines. Du coup je jardine dans l’espoir qu’une voisine me fasse des clins d’œil en passant (ça serait hyper stylé un clin d’anus, mais je sais pas s’il y a un mot pour ça), mais du coup trop focalisé sur ce que j’ai entrepris je n’ai pas tourné la tête au bon moment, au second passage, quand tu as ouvert ton chemisier de me faire entrevoir ton soutien gorge – gros nigaud typique que je suis. Mais il y aura d’autre occasions. La p’tite fiche en poche signé à la bonne date, prêt à me faire réprimander par une policière, je rentre des course en vélo avec ma carriole. Je roule hyper lentement en regardant les balcons, je passe dans la rue avec les cerisier en fleurs, et je fait des énorme détour pour faire durer le plaisir, explorer les quartiers à coté de chez moi que je ne connais pas bien. Ma carriole bute sur le coin du trottoir juste devant chez toi, renversant mes courses, et le concombre à roulé jusque devant ta porte…

    1. -« Monsieur, vous avez perdu une légumineuse ! »
      Je prends le concombre et le tends à travers les barreaux du portail. Lorsque que tu le prends je le retiens de l’autre côté et baisse les yeux pour indiquer la direction que j’aimerais prendre. Je me colle au portail et descends le concombre pour le glisser sous ma jupette. Bien sûr tu n’as pas lâché. J’entreprends de me caresser la culotte en me mordant la lèvre inférieure. Je ma main libre je déboutonne le haut de mon chemiser en te regardant effrontément. Hélas du fond du jardin un cri retentit : « Maman ! »
      Je fais une moue de regret pinçant les lèvres. Je rends le concombre et me retourne pour rejoindre ma progéniture just’ après avoir chuchoté : « demain même heure ? »

      1. Haaa, je repars avec un debut de tension dans le pentalon en me demandant comment la plus bonnasse des femme de la terre à pu atterrir ici. A la maison, je raconte a me femme qu’il y a des voisin hyper sympa qui m’ont donné un bon coup de main une fois que j’avais renversé mes courses, qu’il y a de l’entraide en ces temps incertain et que ça merite bien que je fasse un ptit gateau. Ca me fait mal au coeur en coupant le fameux concombre en rondelle car un moment j’aurais voulu le remplacer.
        « Ding, Deng Dong » me voilà a ta porte avec un gateau (un ptit 4 quart à coeur fondant parfait pour les enfants) pour te remercier de m’avoir aidé. Te voila qui vient a ma rencontre. « Tu arrives un peu tôt! » (je suis en chemise type bucheron avec un jean et des baskets montantes aux lacets fluo), je répond qu’avec la météo morose j’ai préféré de rester sec et je te tends le gâteau en te disant « merci pour hier » en te regardant très lentement de haut en bas. D’ailleurs il commence à pleuvoir. Tu acceptes le gâteau, et je te demande si jamais tu as besoin d’un ptit coup de main, si jamais on peut s’entraider… Tu a l’air sonjeuse et en attrapant ton soutiens gorge a travers ton chemisier, « j’ai un soucis avec un ptit truc au sous-sol, tu m’a l’air bricoleur, tu pourrais jeter un coup d’oeil ». Moi ravi de pouvoir aider, et que mon grand père m’a toujours dit « il faut toujours avoir sa bite et son couteau » et que pour le couteau, j’ai l’opinel type bricolage donc je me sens confiant, puis tu as l’air équipée. Tu me montre une table au pied branlant en me disant que ça fait plusieurs fois que tu essaies de la rafistoler et que ça tient jamais dur bien longtemps. Ne sachant trop dans quel traquenard je me suis engouffré, de me baisse pour jeter un oeil a comment c’est assemblé, c’est pas pratique je suis obligé de me mettre allongé sur le dos, je te demande de tenir la table pendant que je devisse. Et tu m’enjambe pour t’accroupir, ta jupe remonte toute seule lentement, et tu descend tu cul a 5 cm de mon visage, je vois ton ptit trou de part et d’autre de la ficelle de ton string et ça me donne un braquemard du tonnerre d’autant que je sens la chaleur de ta chatte qui se retrouve presque à porté de langue. « Je vois qu’il y a au moins un trou dans lequel il manque une vis » te dis-je parce que c’est la vérité pour ta table, mais que je remplirai bien également ton cul. Et du coup, te voila qui te cambre contre le mur en t’écartant les fesses. Je me releve, je sors ma bite hyper dur et je commence à la frotter le long de te string en appuyant bien fort. « Tu es vraiment une bonne pute ».
        Une porte s’ouvre en haut de l’escalier, tu me pousses contre le mur en retrait, tu t’agenouille et avale ma bite en une gogrée, nous nous tenons comme ça sans bouger, ça dure 4 secondes, la lumière s’allume dans le couloir, tu te retire et un filet de bave se répand dans ton décolté et sur ta jupe (je me dis que tu es télépathe). Tu te relèves et t’enfui dans le couloir. Avant de ressortir par la porte par laquelle tu m’a fait entrée, je te laisse un petit mot « viens prendre le café demain après manger ».

  8. Mais quelle bonne idée ce fil de commentaires ! Tout pareil pour moi ! Confinée avec un gros lourd en délire survivalistes et deux enfants. Pas de jardin pour moi. Appartement en centre-ville. Je vais peter un câble. Donc si un (ou plusieurs) mecs peuvent me chauffer en me disant comment ils s’occuperaient de moi je suis preneuse !
    1m70, 65kg, seins moyens, hanches larges. Blonde. Là je suis en pyjama jaune pas vraiment sexy mais je peux être ne peignoir avec ceinture si vous voulez…

    1. Bonsoir Isabelle,
      Je suis un voisin dans l’immeuble de l’autre côté de la rue, en face de ton appartement… et confiné comme tout le monde, je tourne en rond dans mon 40m carré. J’observe les appartements d’en face par curiosité, et je tombe sur toi, vêtue de ton peignoir un peu ouvert qui laisse entrevoir un sein. Je devine que tu t’ennuies comme moi. Ton regard croise le mien et tu vois que je te matte sans retenue, tu as le réflexe de refermer ton peignoir par pudeur, et je te fais comprendre ma déception par une moue sur mon visage. Je te vois sourire, et retirer la main de ton peignoir. Tu me scrutes du regard et je comprend un intérêt respectif : je suis un homme brun à la peau mate, la quarantaine, cheveux et barbe grisonnante. Je suis pieds nus, en jean et t-shirt blanc qui laisse deviner une musculature entretenue. Mon téléphone dans la main gauche, je te le montre du doigt puis dessine à ma fenêtre les 10 chiffres successifs de mon numéro de téléphone. Je te mime l’écriture d’un SMS sur mon téléphone pour te faire comprendre de m’envoyer un message… que fais-tu ?

      1. Je disparaît de ta vue. J’imagine ta déception…et ton soulagement quand je réapparaît une vingtaine de secondes plus tard. J’écris à l’envers au rouge a lèvres sur la vitre : Trop petit, suis un peu myope. Mon tél : 06 Xx xx XX 💋. (Avec les bon chiffres).
        C’est à toi de prendre le risque du premier texto.

        1. Ton téléphone vibre pour te signifier l’arrivée d’un nouveau message : « bonjour chère voisine, je m’ennuie seul dans mon appartement, aidez-moi à trouver une occupation, et je vous aiderai de votre ennui. Je vous trouve très jolie dans votre peignoir, et je pense que se doit être encore plus joli en dessous. Votre mari semble bien occupé derrière vous, oserez-vous m’ouvrir votre peignoir et me laisser admirer votre joli corps quelques secondes furtives… je vous prie ! « 

          1. Je ne sais pas trop comment faire. C’est une première pour moi. J’ai envie d’être excitante…et peur que tout montrer trop vite gâche le moment. Alors je dévoile juste un sein laiteux dont le téton pointe. Puis tu me vois me pencher sur mon iPhone : « trop risqué plus maintenant. Entre 16h et 18h mon mari par faire les courses… » je complète avec quelques emoticons : 👌🍆➡️⬅️➡️⬅️🔄🔄

          2. Réponse : « OK je me tiendrai devant ma fenêtre à 16h00, mais il va falloir oser plus pour la suite que je prévoyais … »

          3. Isabelle,
            Ton téléphone retentit « vous avez un nouveau message ! »
            « il est 16h00 chère voisine, il est temps que votre mari aille faire les courses, dites lui que vous avez envie de courgettes, qu’il en ramène des pas trop grosses ! Moi je suis prêt !

          4. Je réponds au sms : « Mari parti, pas de courgette mais regardez par votre fenêtre »
            J’ai une quelques bananes. J’en décroche une et commence à la glisser entre mes seins peignoir ouvert. Je presse mes deux seins des mains pour la faire rouler en entre mes seins. Je vous fixe les yeux dans les yeux en faisant cette cravate de notaire fruitée. Je prends mon temps, je lèche la banane pas encore épluchée. Puis la replace entre mes seins. Puis j’agite mon iPhone pour signaler que j’attends vos instructions.

          5. Vous avez un nouveau message :
            « J’espère que vous avez mis des bananes sur la liste de courses de votre mari ?! Merci pour le spectacle chère voisine. Continuez à lécher cette banane comme vous le feriez si c’était mon sexe à la place, et pour vous encourager je vais le sortir de mon boxer pour que vous puissiez constater le résultat que votre show me procure. Montrez-moi jusqu’où vous êtes capable de l’avaler. Ensuite allez chercher un préservatif, enfilez-le sur la banane et faites vous du bien avec, assise face à moi, jambes écartées. De mon côté je vais me masturber jusqu’à ce que vous vous fassiez jouir avec cette bite fruitée. Lorsque vous aurez terminé, épluchez la banane et mangez-la… Je n’aime pas gâcher la nourriture.
            Je vais vous faire part de ma prochaine envie : lorsque votre mari sera rentré des courses et que vous saurez que je suis à ma fenêtre, je vous demande de le sucer, dans mon champ de vision, jusqu’à ce qu’il éjacule. Vous avalerez tout et laverez sa bite avec votre bouche, avant de la ranger dans sa culotte. »
            Racontez-moi cette scène.

  9. @Lucie

    Depuis quelques temps je t’observe discrètement pour voir qu’elles sont tes habitudes. Je commence à connaitre ton emploi du temps. Je sais que tu fais tes courses le samedi. Ce samedi là, en tobservant à la fenetre qui donne sur ta chambre avec mes lunettes, je vois que tu te prépares à aller faire quelques courses. Je vois la lumière de la salle de bain qui s’allume et qui s’éteint régulièrement…je te vois coiffer tes beaux cheveux noirs, je distingue par les vitres de la fenetre que tu es en train de mettre ton soutien gorge mettant encore plus ta poitrine déjà vouluuptueuse en avant. Tu prends un petit chemisier blanc dans ta commode et tu le met. je vois que tu regardes la façon dont celui ci te moule les seins en les palpant doucement et en titilllant un peu les bouts pour qu’il pointent. Le bouton qui tiens ton chemisier est près à craquer tellement celui ci comprimme ta poitrine. Ensuite tu passe ton petit string fendu devant par dessus ton porte jarretelle laissant entrevoir tes fesses fermes ou se cache ta petite rondelle et ton abricot déjà bien juteux. tu attaches tes bas tu prend tes escarpins noir verni et tu passes par dessus ta mini jupe en cuir noire. Un léger boléro et tu te prépares a partir non sans avoir été te parfumé.

    C’est a ce moment là que je décides d’agir…Depuis que je t’observe je sens en moi la folle envie de te posseder entière et de te montrer ce que c’est que d’être baisé comme une chienne.

    J’ouvre discrètement ta voiture et je rentre par la porte arrière en me dissimulant. j’entends ta voix dirent a tes enfants et ton mari, je vais faire quelques courses on a plus rien a manger.

    Tu montes dans ta voiture, pose ton sac sur le siège avant et commence a démarrer. Des que tu sors de ton allée de garage je tire sauvagement le frein a main, et applique sur ton visage un baillon rempli de chloroforme. une fois que tu es endormi je te transfère sur le siège passager puis je prend le volant pour t’emmener vers une grange un endroit un peu paumé que j’avais repéré il y a quelque temps et d’ou je sais que personne ne vient jamais.

    je sais que la dose que je me suis servi ta endormi pour environ 20 min ce qui me laisse largement le temps d’arriver de t’attacher les mains et les chevilles et de te bailloner ainsi que de te bander les yeux.

    tu es déposé sur des bottes de foin à plat ventre et j’attends patiemment que tu te réveilles.

    Quand tu commences à sortir de ta léthargie et que tu retrouves tes esprits, tu sens les entraves ainsi que le baillon. L’adrénaline finit de réveiller tes sens et tu te rends compte que tu as été enlevé et le souffle chaud que tu sens sur ta nuque ainsi que les mains qui palpent ton corps te font dire que tu vas être surement violé. Des que tu commences a bouger un bandeau vient cacher tes yeux t’enfermant dans une bulle. tes oreilles entendent les bruits autour de toi serait-ce un coq ou un canard tu n’arerives pas a discerner. Tout à coup je te dis à l’oreille, ici personne ne t’entendra crier donc si tu es sage je t’enleverais ton bailon sinon je te violerais bailloné car tu sais que de toute façon tu va devoir subir des outrages. Tu fais signe de la tête tu as compris que tu étais sans défense car entravé et que tu comprenais la situation.

    Le bailon est enlevé tu reprends peu a peu tes esprits. les odeurs de ferme remonte à la surface te permettant plus ou moins te localiser.

    sur tes levres tu sens quelque chose de frais. Une coupe de champagne madame. J’ai quand meme du savoir vivre tu entrouvres tes lèvres et tu sens le liquide pétillant glisser dans ta bouche mais le flot est trop important et tu sens que le liquide continue a couler sur ton chemisier entre tes seins te faisant frissonner…..Pleins de choses tournent dans ta tête… Que va-til se passer maintenant…..( à suivre)

    Alors ma Lucie dois-je continuer ?

    1. Forcément, je panique un peu car je me doute qu’un tas d’obsédés lit mon blog et cherche à me localiser. Je suis prudente mais on ne sais jamais. Mais je n’ai pas d’autre choix que de jouer la docilité. J’essaie de me raisonner. Le type a prévu du champagne, et m’a bandé les yeux. Donc il ne veut pas que je le vois, donc si je ne le vois pas il n’a pas de raison de de faire plus que me violer. J’essaie de me rassurer mais ça ne fonctionne pas. La panique l’emporte. J’essaie de crier malgré le bâillon…

  10. Moi a la place de jojo, et en te trouvant dans cette position, je me serais probablement collé derrière toi pour que ton bras se replie et que tes seins touchent le carrelage froid de ta salle de bain .
    En aucun cas je ne t’aurais enlevé le doigt de ton cul , j’aurais plutôt commencé a t’embrasser dans le cou afin de te donner envie d’en mettre un deuxième, qu’aurait tu fais à ce moment là ?

    1. Tu es derrière moi. Une main plaquée entre les omoplates, l’autre tenant mon poignet pour que je garde mon doigt enfoncé dans l’anus. Je me cambre et mords ma lèvre inférieure pour ne pas faire de bruit.

      1. Je me rapproche jusqu’à être en contact avec toi, a ce moment tu peux déjà sentir mon sexe appuyer contre le dos de ta main.
        Je remonte ma main qui était sur tes omoplates jusqu’à atteindre tes cheveux.
        J’enroule ma main dedans et je tire un peu dessus.
        Ton cou se découvre un peu plus, ce qui me permet de le mordre doucement

        1. Les dents sur mon cou ça m’excite et m’effraie un peu. Je n’ai pas en or d’avoir à cacher une morsure ou un suçon dans le cou. J’enlève mon doigt du cul pour tâter ta queue. Elle est longue et dure. Je profite t’un peu d’inattention de ta part pour me retourner et te faire face : « j’ai trop envie de te sucer… » je me mets à genoux. En vrai c’est pour éviter le suçon mais c’est un demi mensonge car j’aime aussi sucer. Mais je ne te prends pas tout de suite dans ma bouche. Je préfère ré commencer par une branlette espagnole avec mes seins.

          1. Belle esquive 😉

            Je te regarde frotter ma queue entre tes seins , ils sont magnifiques.
            J’ai de plus en plus envie de te la coller au fond de la gorge.
            Tu arrive à lire dans mon regard et commence à me sucer.
            Là je t’appuie la tête contre le mur et commence des vas et viens dans ta bouche.
            Lorsque je la retire ta tête se décolle légèrement du mur et lorsque je l’enfonce a nouveau , elle vient heurter la faïence dans un petit bruit sourd.
            Plus je l’enfonce loin dans ta gorge et plus ta tête heurte fort contre le mur.
            Le bruit pourrait ce faire entendre.

          2. J’attrape une serviette sur le portant et la cale entre le mur et ma tête pour amortir un peu le bruit. J’ai baissé to. Pantalon et je peut tenir tes fesses entre mes mains. Je plante mes ongles french manucurés et je suces du mieux que je peux à la limite de l’étouffement. Quand je n’en peux plus je te repousse pour lécher tes couilles et avoir un peu de répit. J’ai envie d’un soixante neuf sur le carrelage et je t’attire vers le bas. Mais seras tu d’accord ou as tu d’autres projets…

          3. Je me laisse entrainer au sol.
            Tu te place sur les genoux au dessus de mon visage. De la tu as une vue plongeante sur ma bite bien raide.
            Je commence par de délicats bisous sur l’intérieur de tes cuisses. Que j’améliore rapidement en utilisant la langue pour parcourir tes cuisses.
            De là ,remonte lentement jusqu’à poser ma bouche sur tes lèvres.
            Tu te penche en avant et avale ma bite d’un coup sec.
            Je sors ma langue et la ballade délicatement sur ta chatte déjà humide
            Plus tu avale ma bite profondément et plus ma langue devient dure.
            J’arrête ma langue sur ton clito.
            Je pose mes deux mains sur tes fesses et du bout des doigts je commence à masser le bord de ton anus .
            Plus bas je m’occupe de ton clito , je le lèche , je l’aspire , je le suce .
            Mon doigt est maintenant posé sur l’entrée te ton anus . Que va tu faire ?

          4. Hummmm, j’ai envie de couiner malgré ma bouche pleine. Je suce ta queue jusqu’à la garde et écarte mes fesse avec mes mains pour que ton doigt rentre mieux. Salaud, tu me fais déjà jouir. Il faut que je sorte ta queue de ma bouche pour respirer un peu. Je me souviens tout juste que mon mari n’est pas loin et je me retiens de crier. Je chuchote : « oh putain ouiii, j’en peux plus prends moi en le…han levrette.

          5. Je passe derrière toi , ma bite est au plus raide !
            Je pose mon gland contre ta petite chatte trempée.
            Je pose mes mains sur tes épaules et tire doucement dessus, tu commence à reculer , mon gland se fait aspirer par ta chatte.
            Je tire sur tes épaules jusqu’à ce que ma bite soit enfoncée de toute sa longueur.
            A ce moment là j’aimerais te mettre un bonne claque sur les fesses, mais le bruit risquerait d’alerter ton mari.
            Je pose alors mes deux mains sur tes belles fesses et fermement je fais bouger ton cul d’avant en arrière.
            Je t’avance pour que ma bite ressorte presque et te recule pour te l’enfoncer de toute sa longueur.

          6. Je chuchote : « ouiii, j’adore quand ça va lentement sur toute la longueur…je suis ta bonne petite chienne. Attends que je jouisse pour m’enculer, j’essaierai de ne pas crier… »
            Faute de pouvoir me fesser tu presses mes fesses. Tu te penche en avant et passes un bras sous moi pour me malaxer les seins. Je me cambre à chaque fois que tu enfonces ta queue. Je sens un doigt, sûrement ton pouce contre mon petit trou du cul.
            -« attends, prends du shampoing, s’il se plaît. »
            Je tends la main vers le flacon de Dop au miel sur le sol de la douche italienne. Je te tend la fiole en plastique jaune.
            Je prie pour que tu n’essaies pas de m’enculer à sec car je sais que ça peut rater et tout gâcher. Mais c’est à toi de décider…

          7. Je retire le bras avec lequel m’occupais de tes seins pour attraper le flacon que tend.
            J’en verse une bonne dose directement sur ton petit trou , tu sens le liquide coulé , mon doigt se poser de nouveau et entrer doucement dans ton anus.
            Je me penche de nouveau sur toi et j’accélère la cadence.
            Ma bite te ramone de toute sa longueur , ma main droite te malaxe fermement les seins et mon puce gauche s’occupe de ton joli petit trou du cul.
            Je te chuchotte ä l’oreille <>

  11. Chère Lucie,
    Un petit texto de moi t’aurait prévenue que je suis dans ton jardin. En pleine nuit tu sors de la chambre conjugale pour m’ouvrir par la porte de la cuisine ou du garage, selon la configuration de ta maison…à toi d’écrire la suite…

    1. C’est le garage cher biglebow. Il fait encore un peu frais la nuit car je suis en altitude. Je suis en nuisette. J’entrouvre la porte de garage le plus discrètement possible. Dès que tu entres je referme et t’embrasse sur la bouche. Je tâte ton entrejambe : «hummmm, ça te dis qu’on aille dans la voiture de monsieur mon époux? »

  12. Marrant comme idée. Si un homme veut bien m’écrire sur les commentaires de ce blog je répondrai aussi. Ça fera une battle de style avec Lucie 😘

      1. L’essentiel est dans mon pseudo. Mais si tu as besoin d’un peu plus pour t’inspirer, soit.
        Cheveux châtains clairs, 1m58, 49kg en couple avec le même homme depuis 9 ans. Je l’aime. Je veux dire vraiment. Je ne l’ai jamais trompé et ne le tromperai peut être jamais. Mais cela ne m’empêche pas d’avoir des fantasmes…

    1. Alexandra, Peut être as tu la chance de pouvoir télétravailler alors que ton mari n’a pas cette possibilité. Les enfants, si tu en as sont à la maison mais pour éviter la folie tu as mis des règles très strictes : ils n’ont pas le droit d’entre dans ta chambre et doivent te laisser tranquille aux heures où ils seraient normalement à l’école. En échange tu leur laisses l’accès à la Xbox. Nous sommes voisins et cela fait longtemps qu’on se tourne autour. La fenêtre de ta chambre tu peux voir mon salon. Nous nous faisons des signes à distance. Tu écris au rouge à lèvres ton numéro de portable sur la vitre. Bien sûr j’appelle. Tu t’ennuies, pas la peine de trop en dire, la voix ne trompe pas. Je sais que tu as envie d’un peu plus que d’une discussion banale entre voisins. Alors je tente le coup : « Je peux voir tes seins ? » Tu enlève ton pull et le regarde, insolente, à travers la vitre…

      1. Oui, j’enlève mon pull. Je suis seins nus. Et je te regarde le téléphone à l’oreille : « reste chez toi mais guide moi. Je ferai tout ce que tu veux »

  13. En te lisant, je dois ressembler à un pervers qui bave en laissant des flaques plus grande qu’une marée noire.
    Si en plus tu veux bien te tenir debout les mains sur le mur et cambrée (cabrée?) à l’extrême, je crois que je suis bon pour la crise cardiaque!
    Mais seulement après (surtout pas avant) pour la crise cardiaque

    1. Oh oui…Au moment où je lis ce commentaire je me suis enfermée dans la salle de bains. Je fais comme tu me dis. Debout contre le mur une main plaquée sur le carrelage mural, l’autre pour me mettre un doigt dans l’anus. Tu me ferais quoi si tu étais dans la salle de bains avec moi ?

      1. Lucie je vais tout faire pourcte faire oublier ce régime sec. Je vais faire appel a toute mon imagination vicieuse pour tapporter du bien dans cette epreuve….

      2. Je saisi ta main et l’enlève de ton cul pour la replaquer contre le carrelage mural. Pour l’instant je me contente de profiter de spectacle de ta descente de rein bien cambrée. Du pied j’écarte un peu tes jambes. Je n’ai pas encore décidé ce que je vais faire de toi. Tout dépend de ton prochain mouvement. Soumise ou rebelle ?

        1. Je suis surprise. Je pensais être seule. La salle de bain a deux portes. Celle de ma chambre où est encore mon mari et celle de la chambre d’amis que je croyais vide. J’essaie de me retourner. Va tu me laisser te faire face ?

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