Comment Baiser les yeux bandés

Pierre de Nantes m’écrit ce scenario coquin dans lequel j’ai les yeux bandés. C’est terriblement excitant, beau et prometteur. Cela méritait un vrai article plutôt qu’un commentaire qui ne serait pas lu. Merci du fond du cul ! J’ai hâte de lire la suite. Si d’autres écrivains légèrement pervers se sentent en verve je suis preneuse ! J’ai lu ton texte plusieurs fois, la main dans ma culotte, tu t’en doutes ! Tout cela au bureau. Obligée d’aller aux toilettes me masturber quand je n’en pouvais plus.

Rien que pour vos yeux Je me touche au bureau
Je me touche au bureau

Mes autres articles méritent aussi un coup d’œil.

Voici donc ce que mes yeux ont eu le bonheur de lire :

Les yeux bandés

Bonsoir Lucie,
Je viens de découvrir ton nouvel article et j’ai bien envie de te faire mouiller avec mes mots, dans un premier temps… Voici mon récit :
Je frappe à la porte de ta chambre d’hôtel, 3 coups espacés de 2 secondes, c’est le code que nous avions convenu pour te signaler ma présence. J’ouvre la porte que tu as laissé déverrouillée et rentre dans la chambre de ce somptueux hôtel de Nantes (Le Mercure situé dans le centre ville) : elle est très jolie et spacieuse, le décor est sobre et soigné. C’est l’écrin parfait pour le scénario que j’ai concocté, et surtout pour la femme que je découvre à 4 pattes sur le lit, les yeux bandés, les jambes légèrement écartées, la tête penchée vers le bord du lit. Tu es vêtue comme convenu d’un body string seins nus (le modèle Belle de Jour de chez Maison Close) avec les bas assortis et des escarpins vernis. Tu es sublime, parfaite, comme dans mon imagination. Je m’approche à côté du lit, tu peux m’entendre malgré l’aspect feutré de la moquette, et tu peux aussi sentir mon parfum, aux notes sophistiquées et sensuelles.
Je pose d’abords une main sur l’un de tes mollets, tu sursautes à peine, je remonte doucement vers l’arrière de ta cuisse en frôlant mes doigts sur ce bas soyeux, je glisse ensuite un doigt sous une jarretelle qui me guide vers tes fesses que je caresse à pleines mains. Je continue ma remontée en plongeant mon majeur dans la raie de ton cul avant de poursuivre sur ta colonne vertébrale … tu sembles apprécier ! Je me mets ensuite face à toi et pose mon index sous ton menton pour relever ta tête et découvrir ton visage … souriant. Je pose mon pouce sur tes lèvres pour les caresser, une petite pression dessus et tu les écartes pour gober mon doigt dans ta bouche, l’enroulant de ta langue et l’enduisant de ta salive … tout ceci est prometteur.
Je retire mon doigt et m’écarte de toi pour préparer la suite de ta dégustation, tu peux seulement m’entendre préparer quelque chose, poser des accessoires à côté de toi, avec application. Je suis curieux de savoir ce que tu peux imaginer en ce moment …
Subitement, deux ronds de skaï froid se pose et comprime tes oreilles … c’est un casque audio qui vient de te retirer un deuxième sens, et qui ne tarde pas à te diffuser une première musique, un titre de Madonna, Justify my love. Tu ne peux maintenant sentir que mon odeur ou ressentir que mes caresses, et te concentrer sur les paroles sensuelles de la chanson. Tu ne peux pas savoir comment est l’homme en face de toi … d’ailleurs est-ce bien un homme ? … et n’y a-t-il pas d’autres personnes autour de toi ? … quel va bien pouvoir être le menu de ce soir ? … C’est justement cette sensation que je voulais te faire ressentir, la peur de l’inconnu mélangée à l’excitation de la surprise …
Une matière froide et dure se pose alors sur ta lèvre inférieure que j’intime à descendre pour ouvrir ta bouche et y verser le contenu liquide et pétillant que tu avales d’une gorgée … assurément du Champagne, le mmmh qui sors de ta bouche me fait comprendre que tu aimes ce nectar, et la langue que tu passes sur tes lèvres appelle à une deuxième gorgée.
C’est ensuite une autre matière lisse, ronde et moelleuse qui se pose entre tes lèvres, je l’enfonce entre tes dents, tu la croques sans hésiter et l’avales … un raisin, sucré et délicieux. Maintenant c’est la grappe entière qui caresse ton visage, tu relèves la tête et ouvre la bouche pour gober quelques autres grains.
C’est encore une autre matière lisse, dure et froide qui se pose sur tes lèvres, c’est un objet assez gros, lourd, pointu à son extrémité sans être tranchant, je le glisse dans ta bouche tout en le maintenant par l’autre extrémité, tu ne mets pas longtemps à reconnaitre cet objet qui va bientôt te remplir … un rosebud ! Je devine ta satisfaction par ton sourire, tu lèches goulument l’objet pour le lubrifier car tu as deviné mon intention : je le retire alors de ta bouche et m’écarte pour me mettre à côté de toi. Tu sens alors mes doigts dans la raie de tes fesses, écartant sur le côté la fine bande de tissu du body string que je constate déjà toute mouillée, et faisant découvrir ta vulve gonflée et humide, et ton petit trou plissé et imberbe qui se contracte légèrement quand j’y pose la pointe du bijou. J’appuie très lentement dessus pour que tu ressentes chaque millimètre s’enfoncer en toi. Tu n’as finalement aucun mal à engloutir cet objet qui est aspiré rapidement après avoir passé le diamètre le plus large, laissant échapper un « aaaah » de plaisir dans tes lèvres.
C’est maintenant Donna Summer, Love To Love You Baby, qui se diffuse dans tes oreilles.

Plusieurs secondes se passent pendant que rien ne se passe pour toi, tu attends toujours sagement à 4 pattes sans te fatiguer. Tu ne peux pas entendre où je suis, ce que je fais, ce que je prépares, si je suis toujours seul ou accompagné, si je suis toujours à côté de toi, … beaucoup de choses doivent te traverser l’esprit en ce moment, des pensées guidées par les paroles orgasmiques de Donna Summer.
Moi j’en profite pour te regarder et jouer avec ta patience, tu es vraiment superbe et tu n’as pas menti dans tes descriptions sur ton blog. Tu as un cul splendide, une croupe de rêve, tes seins ronds comme des pamplemousses tombent parfaitement, le body string a été taillé pour ton corps, je ne suis pas prêt de débander.
L’attente est longue mais prometteuse et délicieuse avec la chanson Ma Benz de Brigitte qui envoute tes oreilles. Deux mains se posent enfin sur chacune de tes fesses pour les caresser, les malaxer, les écarter, ouvrir ta fente et faire étinceler ton trou de diamant. Ta vulve brille, tes lèvres dégoulinent de plaisir, je passe ma main dessus pour enduire ta raie de ton jus poisseux. Tu bouges ton cul pour me faire comprendre de continuer cette caresse lubrifiante, je sens que tu pourrais ne pas mettre longtemps à jouir, mais ce n’est pas ce que j’ai prévu … pour le moment ! Tes fesses sont maintenant luisantes, je n’en ai pas perdu une goutte.
Je me déplace car je suis maintenant attiré par autre chose : en face de toi, je prends tes cheveux par la queue de cheval que tu as fais (comme convenu) et le tire la tête en arrière. Ma main droite se pose sur ta joue gauche que je caresse, je rentre mon pouce dans ta bouche pour te donner quelque chose à sucer. Doucement, je descends ma main dans ton cou puis vers ta poitrine pour prendre à pleine main ton sein gauche, laissé libre grâce au body seins nus que tu portes. Il est lourd, gros mais ferme, je taquine ton téton avec deux doigt et il ne met pas longtemps à durcir. Je relâche ta crinière de ma main gauche pour en faire de même avec ton sein droit, je tiens maintenant tes deux obus dans chaque main, je les caresse, les malaxe et joue avec la pointe. Toi tu as la tête contre mon ventre, dans ma chemise, tu humes mon odeur et essayes de descendre plus bas vers mon entrejambe … coquine ! Je m’écarte et pose un doigt sur ta bouche pour te faire signe d’être patiente.
Alors que Sexy Sushi te récites son Sex Appeal provocant dans les oreilles, c’est un gros goulot de bouteille frais qui se pose à l’entrée de ta bouche, tu comprends vite d’ouvrir tes lèvres pour recevoir une nouvelle gorgée de Champagne au fond du gosier. Il y en a tellement que tu ne peux tout avaler d’un coup, ta bouche se referme et le liquide doré ruisselle à chaque jonction de tes 2 lèvres, dégoulinant sur tes joues puis sur le lit. Un mot sort de ta bouche : « encore ! »

Pas le temps d’en écrire plus pour le moment, soit patiente !
Bises.

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

7 réflexions au sujet de « Comment Baiser les yeux bandés »

    1. Courage, un tas de mes textes n’ont aucun succès non plus ! Je profite du commentaire pour dire que je ne suis pas morte. Je publierai bientôt à nouveau le récit de mon dernier plan cul.

  1. OK je vais patienter dans ce cas, merci pour cette attention que tu me portes. Je suis quand même impatient de savoir dans quel état j’ai mis ta petite culotte … enfin si tu en portais une !
    Et sinon, as-tu ajouté des titres à ta playlist musicale ?
    A bientôt.

    1. Tu te trompes…c’est juste que je ne peux, hélas, être h24 sur le blog et écrire…je répondrai mais ça mérite que j’y mettes du temps sans traiter à la va vite par dessus la jambe…

  2. Voici la suite que tu devais attendre …

    J’accède à ta demande en te tendant le goulot de la bouteille dévêtu de sa robe de papier doré, tu le lèches et l’enroule avec ta langue comme tu le ferais avec le gland d’un sexe en érection … prometteur ! Je te retiens car tu as déjà envie d’engloutir le goulot tout entier dans ta bouche … impatiente ! D’abords un peu de Champagne sur ta langue que tu avales d’une lampée. Le spectacle est beau vu d’en haut, ta langue tendue qui cherche désespérément son breuvage, telle une chienne assoiffée. Tu as mérité d’en avoir plus : je te mets délicatement le goulot entre les lèvres pour que tu l’embrasses goulument, puis je te l’introduis entièrement dans la bouche pour te faire mimer une fellation. Tu l’avales d’abords timidement, avec application, puis progressivement et de plus en plus profond. Plus tu vas loin … plus le diamètre est gros … plus cela t’écarte la mâchoire … plus cela te fait gémir … plus cela m’excite !
    Je te retire le goulot pour te présenter autre chose : cette fois c’est une masse lourde, douce et raide qui se pose sur ta joue gauche, le long de ton nez … tu ne tardes pas à deviner qu’il s’agit d’un phallus en érection … le mien probablement. Il te semble assez long et plutôt épais. Je fais des mouvements de va-et-vient sur ton visage pour te faire apprécier l’étendue de mon excitation, et te présente mes couilles sur les lèvres pour que tu les gobent comme les raisins tout à l’heure, en espérant que tu ne les croquent pas de la même façon ! Elles sont lisses, imberbes et la peau qui les recouvre est toute tendue tellement je suis excité. Il y a longtemps que j’attendais ce moment, et toi aussi à l’évidence en voyant la gourmandise dont tu fais preuve pour les lécher et les aspirer dans ta bouche. J’agrippe ta crinière pour maîtriser tes mouvements et te faire comprendre que c’est moi qui dirige les manœuvres. Je t’insère maintenant mon gland gorgé de sang pour qu’il fasse ventouse avec tes lèvres … sensation délicieuse !
    C’est maintenant Odezenne avec leur titre « je veux te baiser » qui excite tes oreilles. Toujours avec ta queue de cheval qui me sert de laisse, je commence de petits va-et-vient de ma bite dans ta bouche, progressifs et de plus en plus profonds, jusqu’à toucher le fond de ta gorge et t’obstruer la respiration. Cela me permet de jauger la longueur que tu es capable d’engloutir aisément, il ne reste que quelques centimètres avant de l’avaler entièrement. Soudain, le gland sur ta langue, un liquide frais et pétillant coule le long de ma queue et rentre directement dans ta bouche … une pipe au Champagne ! Je comprends le délice que cela est pour toi au sourire que tu me fais.
    Je mets alors mes deux mains derrière ta tête et recommence mes va-et-vient dans ta bouche : tu voulais savoir comment on souhaitait que tu nous suces dans ton article « du plaisir de sucer une belle bite » ? Et bien je vais t’expliquer maintenant ! Tu vas pouvoir me prouver que tu es bien la salope nymphomane dévoreuse de bites que tu décris dans tes articles !
    Mes coups de reins se font maintenant de plus en plus longs, de plus en plus rapide, de plus en plus puissants. Ma bite vient maintenant cogner à chaque coup au fond de ta gorge, forçant et écartant progressivement le passage, te faisant gémir de plus en plus fort à chaque fois. Je me retire pour te laisser reprendre ta respiration, et avaler la salive qui s’était agglutinée dans ta bouche … « j’aime ce que tu me fais ! » sors de ta bouche … alors je reprends, de la même façon, toujours aussi profondément, toujours aussi violemment, toujours aussi délicieusement. Tu vas regretter de m’avoir conseillé de prendre une petite pilule magique endurante ! Tu pourrais repousser mes avances de tes mains libres mais tu ne bronches même pas ! Je me retire à nouveau pour que tu reprennes tes esprits, ma bite est recouverte de ta salive abondante et luisante, tu la lèches avec ta langue pour l’essuyer comme le ferai une chienne bien élevée … « j’aime ta queue ! » sors de ta bouche … et de nouveau je m’introduis en toi pour un nouveau limage de bite endiablé. A un moment, je m’enfonce tellement que ton nez vient toucher mon pubis rasé, je conserve la position quelques secondes avant qu’un haut le cœur ne te prenne … un moment de répit est le bienvenue … « continues ! » sors de ta bouche … alors j’obéis et je te baise maintenant la bouche comme je te baiserai sauvagement en levrette !
    Cela fait quelques minutes qu’Odezenne ne chante plus dans tes oreilles mais le casque te coupe des bruits autour de toi, tu ne peux pas entendre ni voir le plaisir que je prends en ce moment. Je te retourne pour te mettre sur le dos, le tête en arrière sur le rebord du lit : j’ai bien retenu le conseil n°7 de ton article de mai 2015 sur la gorge profonde. C’est la première fois pour moi dans cette position, et je suis content d’avoir lu cet article. Cette position permet à ma bite de rentrer encore plus profondément dans ta bouche, me donne un accès facile à tes seins, et mes couilles qui rebondissent sur ton nez offre une sensation originale. Quand je me retire pour te laisser respirer, je te présente mes boules sur les lèvres pour que tu les lèches, ainsi que mon anus qui est accessible, et que tu n’hésites pas à lécher … sensation extrême de domination ! Ce balai dure quelques minutes, je me retire à nouveau, tu respires comme une femme qui vient de faire un sprint, et tu tires à nouveau la langue comme pour réclamer une offrande … qui se fait attendre … et qui te surprend d’un coup … une énorme giclée s’écrase sur ta langue et finit sa course dans ton menton et ton cou. Tu peux maintenant m’entendre gémir férocement … et puis c’est une deuxième giclée qui s’éclate sur ton front et rebondit jusque sur ta joue … une troisième éclabousse tes lèvres … une quatrième coule sur ton nez … puis des gouttes tombent directement sur ta langue demandeuse de mon jus que tu avales avec délectation. De ma queue encore raide, je rabats le liquide gluant et abondant qui coule sur ton visage pour le mettre dans ta bouche, afin que tu n’en perdes pas une goutte, et je m’introduis une dernière fois dans ta bouche pour que tu la nettoie avec la langue. Formidable sensation de domination que de répandre ma semence chaude et visqueuse sur ton visage masqué … je suis vidé … jusqu’à la prochaine fois.
    Toi tu as été parfaite, docile, demandeuse et tu as reçues mes coups sans broncher … la reine des suceuses, tu n’exagérais pas dans tes récits, je pense avoir testé tes capacités à l’extrême. Cette pipe t’a épuisé, une douche serait la bienvenue … mais ce n’est pas pour tout de suite, tu devines mes nouvelles intentions quand une nouvelle musique résonne dans tes oreilles, un tube légendaire de Georges Michael : « I want your sex ».

    Alors dans quel état es-tu en ce moment ?

  3. Bonjour Lucie, j’ai été surpris, flatté et touché de lire ton nouvel article, et désolé pour tes collègues qui ont dû patienter plusieurs minutes devant la porte des toilettes !
    Tu as mérité de lire la suite :

    Plusieurs secondes se passent pendant que rien ne se passe pour toi, tu attends toujours sagement à 4 pattes sans te fatiguer. Tu ne peux pas entendre où je suis, ce que je fais, ce que je prépares, si je suis toujours seul ou accompagné, si je suis toujours à côté de toi, … beaucoup de choses doivent te traverser l’esprit en ce moment, des pensées guidées par les paroles orgasmiques de Donna Summer.
    Moi j’en profite pour te regarder et jouer avec ta patience, tu es vraiment superbe et tu n’as pas menti dans tes descriptions sur ton blog. Tu as un cul splendide, une croupe de rêve, tes seins ronds comme des pamplemousses tombent parfaitement, le body string a été taillé pour ton corps, je ne suis pas prêt de débander.
    L’attente est longue mais prometteuse et délicieuse avec la chanson Ma Benz de Brigitte qui envoute tes oreilles. Deux mains se posent enfin sur chacune de tes fesses pour les caresser, les malaxer, les écarter, ouvrir ta fente et faire étinceler ton trou de diamant. Ta vulve brille, tes lèvres dégoulinent de plaisir, je passe ma main dessus pour enduire ta raie de ton jus poisseux. Tu bouges ton cul pour me faire comprendre de continuer cette caresse lubrifiante, je sens que tu pourrais ne pas mettre longtemps à jouir, mais ce n’est pas ce que j’ai prévu … pour le moment ! Tes fesses sont maintenant luisantes, je n’en ai pas perdu une goutte.
    Je me déplace car je suis maintenant attiré par autre chose : en face de toi, je prends tes cheveux par la queue de cheval que tu as fais (comme convenu) et le tire la tête en arrière. Ma main droite se pose sur ta joue gauche que je caresse, je rentre mon pouce dans ta bouche pour te donner quelque chose à sucer. Doucement, je descends ma main dans ton cou puis vers ta poitrine pour prendre à pleine main ton sein gauche, laissé libre grâce au body seins nus que tu portes. Il est lourd, gros mais ferme, je taquine ton téton avec deux doigt et il ne met pas longtemps à durcir. Je relâche ta crinière de ma main gauche pour en faire de même avec ton sein droit, je tiens maintenant tes deux obus dans chaque main, je les caresse, les malaxe et joue avec la pointe. Toi tu as la tête contre mon ventre, dans ma chemise, tu humes mon odeur et essayes de descendre plus bas vers mon entrejambe … coquine ! Je m’écarte et pose un doigt sur ta bouche pour te faire signe d’être patiente.
    Alors que Sexy Sushi te récites son Sex Appeal provocant dans les oreilles, c’est un gros goulot de bouteille frais qui se pose à l’entrée de ta bouche, tu comprends vite d’ouvrir tes lèvres pour recevoir une nouvelle gorgée de Champagne au fond du gosier. Il y en a tellement que tu ne peux tout avaler d’un coup, ta bouche se referme et le liquide doré ruisselle à chaque jonction de tes 2 lèvres, dégoulinant sur tes joues puis sur le lit. Un mot sort de ta bouche : « encore ! »

    Pas le temps d’en écrire plus pour le moment, soit patiente !
    Bises.

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