Prostitution étudiante, j’ai essayé…et aimé

Comment j’en suis venu à la prostitution étudiante

« Prostitution étudiante, un phénomène en plein essor ». C’est en lisant un article sur la prostitution étudiante que ce curieux fantasme est né en moi. Cet article assez sérieux sur le phénomène de la prostitution étudiante était pourtant sensé montrer les aspects peu reluisants de cette pratique de prostitution étudiante et aurait plutôt du me révolter. Mais ce fut l’inverse qui se produisit. Comme l’âme est étrange. Au lieu de cela je me suis imaginée en prostituée occasionnelle donnant du plaisir à des hommes inconnus qui me paieraient. Mais surtout, je pense que ce n’est pas l’argent qui m’excitait mais plutôt le fait de me faire passer pour une étudiante dans le besoin auprès d’un homme plus mûr, sûr du pouvoir que lui donnerait l’argent impliqué dans notre relation. Les hommes sûrs de leur pouvoir sont souvent meilleurs au lit, j’ai pu le remarquer. Jusqu’à présent j’avais fondé mes rencontres sur un jeu de séduction où, bien sûr je plaisait à l’homme qui allait me faire jouir, mais où aussi il était assuré que j’avais aussi envie de lui. En lisant cet article sur la prostitution étudiante j’ai soudain eu envie de ressentir ce que cela pouvait faire d’être une toute jeune fille placée sous le joug d’un homme qui paie pour me posséder dans tous les sens du terme. Je ne pense pas que beaucoup d’hommes peuvent comprendre cela. Mais je suis sûre que certaines femmes, aux fond d’elles mêmes, voient très bien ce que je veux dire. Cette excitation et cette étrange fascination pour le fait d’être dominée, considérée presque comme un objet de plaisir à qui l’on peut tout demander parce qu’on a payé. La part féministe et raisonnée de moi même le déplore mais au fond de moi je sais que le pouvoir et l’argent sont de puissants lubrifiants. Cela additionné au plaisir de me faire passer pour plus jeune que ce que je ne suis en réalité a fait qu’une fois cette idée en tête je n’ai pas trop hésité à me faire passer pour une prostituée occasionnelle et étudiante sur un site de rencontre à plan cul où ce type de profil existe sans doute (même si ce n’est jamais dit explicitement).

prostitution étudiante sur copine de sexe ?
prostitution étudiante ou plan cul gratuit ?

Fanny, étudiante infirmière et escort girl

C’est ainsi qu’est né le personnage de Fanny, étudiante infirmière s’adonnant à la prostitution étudiante pour boucler ses fins de mois. Fanny devait être très sexy (c’est mon cas) bien sûr coquine (ça je sais faire) mais aussi un peu timide et réservée, jeune et un peu inexpérimentée (les hommes aiment bien ça chez les étudiantes, cela fait partie de leur fantasme à eux !). Ce qui est pratique avec le profil d’étudiante infirmière sexy c’est que c’est un profil assez passe partout qui est vraisemblable dans à peu près toutes les grandes villes de France. Des CHU ou des formation d’infirmières il y en a un peu partout. Et des étudiantes qui s’inscrivent sur des sites de rencontre coquins, que ce soit pour se prostituer ou juste pour faire des rencontres sans lendemains, ce n’est pas vraiment exceptionnel. Bien sûr le danger c’est qu’il y ait un peu de concurrence. Mais j’ai la faiblesse de croire que bien qu’ayant déjà trente ans je sais en paraître cinq de moins et surtout je fais tout pour rester très svelte et sexy. Bien sûr il m’a fallu ruser un peu. Pas question de mettre « prostitution étudiante » sur mon profil. Ni même d’ailleurs toute phrase trop explicite suggérant une recherche de relations tarifées dans le cadre de prostitution étudiante ou de toute autre échange de services sexuels contre rémunération. D’abord parce que c’est illégal. Et ensuite parce que, même s’ils ne sont pas très scrupuleux, les modérateurs des sites de rencontres ne laissent pas passer ce genre de profils. La prostitution étudiante, ou occasionnelle ou, à fortiori organisée n’est pas bienvenue sur les sites de rencontre francophones qui ne souhaitent pas se voir interdits d’exercer.

Bon, enfin bref, mon profil donnait quelque chose comme ça : « Salut à tous les hommes sérieux de ce site ! Je suis Fanny (avec deux « n » si je veux !), étudiante infirmière en dernière année, je voudrais passer des moments agréables (très agréables) avec des hommes gentils et aussi généreux qui ma poitrine. »

Forcément j’ai eu instantanément une bonne centaine de réponses de mecs affamés pour un pan cul classique. Moins de la moitié semblait avoir compris l’allusion à la générosité du partenaire. Mais cela laissait déjà pas mal de choix. Je choisissais un quadra qui ne se cachait pas d’être marié et qui semblait avoir compris qu’il s’agissait de prostitution étudiante. Bien sûr, comme ma démarche était mue par le fantasme de me prostituer je n’avais aucune idée du prix d’une prostituée étudiante. Ni même d’ailleurs d’une prostituée tout court. Y-a-t-il un marché codifié de la prostitution étudiante ? Est-ce que cela dépend de l’âge, forcément jeune, de la jeune étudiante ? Est-ce qu’une lycéenne majeure ne serait pas plus recherchée ? De toutes façons du haut de mes vingt neuf ans je ne ferais pas crédible en Lycéenne… Aussi quand mon contact coquin m’a demandé en chat privé quels étaient mes tarifs et si j’acceptais l’anal j’ai du improviser. Lorsque l’on ment c’est bien de rester le plus proche possible de la vérité.

-« Vous savez, je ne suis pas une habituée (vrai), pour moi c’est très occasionnel (vrai aussi). »

-« Ah  ? ok, mais tu es majeure au moins hein ? »

-« Oui oui, ça pas de problème (toujours vrai), j’ai vingt quatre ans (premier mensonge, mais pas un gros). et je demande 450€. »

-« Avec l’anal ? »

-« Heu…pour l’anal je ne sais pas trop (second mensonge, j’adore en vrai et je compte bien que tu m’encules si on se voit). Je l’ai déjà fait (là c’est vrai) avec mon copain (et pas que…) mais il était plutôt doux et patient (ni vrai ni faux, c’est une question d’appréciation…). »

 -« Bon, ok, écoute, tu me plait vraiment alors je te propose qu’on laisse un peu de place à l’improvisation. Tu veux qu’on se retrouve où et quand ? »

Cette question je l’avais préparée. Et je disposais d’un très joli appartement pour deux jours et deux nuits au centre de Colmar, rue tanneurs. Je donnais l’adresse de mon nid douillet ainsi qu’une heure en fin de soirée car je voulais profiter un peu de cette ville que je ne connaissais pas. J’aime déambuler dans les rue de villes où je suis une inconnue sexy. J’aime sentir les regards des hommes sur moi, souvent trop timides pour m’aborder. Je m’excite toute seule à croiser et décroiser mes longues jambes assise à la terrasse d’un café en vue. C’est mon long préliminaire rien qu’à moi avant toute rencontre coquine dégotée sur un site à plan cul. Surtout que cette fois, s’agissant d’un type qui pense avoir à faire à de la prostitution étudiante, je doutais qu’il ne prenne le temps de badiner des heurs avant de cueillir ma fleur. En fait je l’imaginais plutôt arracher ma culotte violemment que cueillir délicatement ma fleur. J’en étais toute émue (et humide) mais je n’oubliais pas la phrase d’usage en lui donnant rendez vous : »N’oubliez pas vos préservatifs ! » Pas très glamour mais je m’efforçais de le dire sur un ton mutin.

-« T’inquiète ma jolie, je sors toujours couvert. Je sens qu’on va très bien s’entendre…si tu vois ce que je veux dire… »

Si tu vois ce que je veux dire. Quelle phrase ringarde, non non, je ne vois pas du tout ce que tu veux dire. Je répondais néanmoins : »Oui, moi aussi je suis très excitée à l’idée de notre plan cul. Cela ne vous embête pas si je parle de plan cul plutôt que de passe ? Pour tout die j’ai un peu honte (gros bobard !), vous comprenez j’espère ? »

-« Oui oui, promis je ne te parlerai pas de prostitution étudiante on pourra faire comme si on se connaissait si cela te mets plus à l’aise. Mais tu m’as l’air un peu débutante, j’espère que tu ne me fera pas un fau placn au moins.

-« Ne vous inquiétez pas, je ne changerai pas d’avis, j’en ai trop besoin, heu envie, heu enfin je pense que vous voyez ce que je veux dire. En tous cas je vous promets de tout faire pour ne pas vous décevoir. »

-« Ok, je te fais confiance, à demain 23h alors. J’espère que tu suces bien… »

Je suis sûre qu’il a ajouté cette dernière phase pour s’assurer que j’irai jusqu’au bout. Je ne lui en voulais pas et le rassurais : »Oui, pas de souci, j’adore sucer, j’aime profondément sucer (Dieu sait que c’est vrai !). »

Prostitution étudiante, au pied du mur

Voilà, jour J, heure H moins dix petites minutes pour la réalisation de mon fantasme prostitution étudiante. J’ai scotché une enveloppe sur la porte de l’appart entrouverte avec dessus le pseudo de mon plan cul « prostitution étudiante » sur copinedesexe. J’ai tapé et imprimé le texte suivant dessus :

« Cher client plan cul,

Entre et pose mon petit cadeau sur l’étagère à droite de la porte. Il y a un whisky pour toi sur la table basse, mets toi à l’aise sur le canapé en cuir, j’arrive de suite m’occuper de ton cas. »

J’attendais cachée en nuisette sexy dans la petite salle de bain du studio. Je m’étais fait deux couettes (les couettes ça rajeunit toujours un peu !).

J’attendais qu’il s’installe. Je savourais d’avance ma victoire, monsieur s’attendait à un plan prostitution étudiante classique. J’étais bien décidée à lui sortir le grand jeu. Et ce grand jeu commençait par une approche à quatre pattes soumise et sexy à souhait. La porte de la salle de bain donnant sur le côté du salon de ce joli studio je devais contourner le canapé pour être devant lui et il pouvait m’admirer rouler du cul comme un poney. La lumière était tamisée et je me savais suffisamment bien foutue pour ne pas être ridicule dans cette situation. D’ailleurs, une fois que je me trouvais juste la tête entre ses genoux il semblait trouver fort naturel de siroter son Johny Walker en me laissant déboutonner son pantalon de toile. De la main qui ne tenait pas le verre il me caressait la tête comme il l’aurait fait à un animal de compagnie. C’est le genre de situation qui m’excite à mort, je dois bien l’avouer.

-« Putain, c’est pas de la prostitution étudiante, ça ! Tu es carrément une pute de luxe ma jolie ! J’adore cette entrée en matière, continue comme ça et il y aura un beau pourboire ! »

J’avais la bouche pleine, aussi je ne répondais pas, me contentant de sucer lentement comme j’imagine que toute bonne pute étudiante ou expérimentée doit le faire. J’aime cette sensation d’un chibre bien épais entre mes lèvres. J’aime la pression de plus en plus ferme de sa main derrière ma tête. Je suce, attentive à la pression de sa main sur ma nuque, à l’affut du moindre indice m’indiquant qu’il faut ralentir ou arrêter ma fellation si je veux le garder vivant pour la suite des événements. C’est un job d’experte dans lequel je commence à exceller (sans me jeter de fleur). C’est maintenant ! Il faut que j’arrête de sucer. Je monte sur le canapé et m’installe toute fraiche et guillerette à côté de lui.

-« Je peux avoir un verre moi aussi ? »

-« Heu, oui, je t’en pries. »

J’aime les changement brutaux de rythme et d’ambiance. C’est, je pense, la clef si l’on veut faire durer un plan cul au delà d’une heure. Je prend la bouteille mais au lieu de me servir un verre j’approche le culot de son cou pour y verser quelque goutes que je lape aussitôt.

-« ça vous embête si je vous enlève votre chemise ? »

-« Pas du tout ma belle, fais toi plaisir ! »

Je déboutonne…lentement. Je susurre à son oreille : »Vous aimez que je fasse ma pute comme ça pour vous ? »

-« Oui, j’avoue que ce n’est pas mal du tout. Bien au delà du plan prostitution étudiante auquel je m’attendais. Tu es vraiment une débutante ? »

-« Dites donc, vous doutez de ma sincérité ? ce n’est pas très gentil ça. »

Je suis à genoux sur le canapé à côté de lui. S’il tendait la main il pourrait caresser mes fesses. D’ailleurs il vient de s’en apercevoir et je sens la caresse légère du dos de sa main sur le bas de mon dos. Je me cambre imperceptiblement pas réflexe. Je fais couler une goute de whisky dans son nombril, un doigt caresse la raie de mon cul, là où il y a encore un peu de dentelle du string qui ne protège plus grand chose. Je lape une goute d’alcool à même sa peau et le regarde par en dessous : »Vous voulez que je vous suce encore ? »

-« Non, embrasse moi juste le ventre, j’ai envie de caresser un peu ton cul de pute. Et continue, à me vouvoyer, j’aime bien ça grosse coquine. »

-« Je ne suis pas grosse ! »

-« Chut maintenant, embrasse et ferme la un peu. »

Je me tortille un peu pour être plus accessible et ses doigts sont maintenant sur le bout de tissu qui couvre ma chatte gonflée de désir. Il presse délicatement. J’en gémi tant de vrai plaisir que pour l’encourager. J’embrasse son ventre et il caresse mes cheveux, guidant ma tête vers le haut si je fais mine de m’intéresser à sa bite. Ses doigts sont maintenant entre le tissus et ma chatte qui s’ouvre bien humide. Il caresse sans précipitation mais sans timidité non plus. Dieux que c’est bon ! Il n’est plus question de prostitution étudiante ni de relation tarifée pour moi à cet instant, je suis toute à mon plaisir et je prie en secret pour que cet instant dure le plus longtemps possible. Bien sûr que j’aime me faire troncher comme une grosse salope. Je ne vous cache pas que je mouille sous la main d’un fesseur un brin sadique et que m’entendre dire que je suis une bonne pute qui aime se faire encule alors que mon anus en prend plein la gueule est un de mes grands kiff dans la vie. Mais je sais aussi apprécier un amant qui prend son temps, qui fouille délicatement chaque replis de ma chatte mouillée de ses doigts experts. Le con va me faire jouir juste avec ses doigts si je ne reprends pas la situation en main. Je tente de le sucer mais cette fois c’est une petite tape sur mes fesses qui me rappelle à l’ordre. Je ne peux m’empêcher de demander : »Oh, oui, encore, ça j’aime, s’il vous plait. »

-« Ah, alors la soit disant adepte de la prostitution étudiante aime la fessée ? »

-« Oui, s’il vous plait, punissez moi un peu. »

Il frappe du plat de la main, ça claque juste comme il faut. Ni trop doux ni trop brutal. Je laisse échapper un cris à la limite entre la douleur et le gémissement de plaisir. Nouvelle tape. Cette fois ce sont deux doigts qui fouettent mes fesses par le côté. Je sais qu’il y aura des traces mais cela fait bien longtemps que mon mari ne fait plus attention à mes fesses. Et je sais que le fond de teint ce n’est pas que pour le visage !

J’ai baissé son pantalon, délassé ses chaussures, le tout sous ses coups répétés, pas trop fréquents, ni trop forts. Juste ce qu’il faut pour me tenir alerte mais assez doux pour que cela puisse durer encore longtemps.

Je m’installe un peu mieux, le ventre sur ses cuisses. Mes ongles plantés dans ses mollets. En bonne salope qui aime la fessée j’en redemande. Une dizaine de tapes du plat de la main qui claquent et font sans doute rougir mes fesses et le haut de mes cuisses qui n’est pas épargné.

Et soudain je hurle, ça brule ! Je me tortille mais il me tient fermement contre ses cuisses. Le salaud vient de verser une rasade de whisky sur mes fesses ! La brulure est intense mais de courte durée. Il embrasse, ou plutôt il lèche mes fesses. Cela fait toujours mal mais j’aime assez. Il se glisse sous moi pour me bouffer la chatte, une chatte trempée de mouille et d’alcool. Je suce en soixante neuf. Je ne me retiens plus de jouir et il éjacule abondement dans ma bouche. J’avale et garde sa queue qui se ramolli dans ma bouche le plus longtemps possible.

Comme je le sens pensif, je le rassure : »T’inquiète mon joli, je te garde jusqu’à demain matin, tu n’en a pas fini avec moi ! ».

Il semble rassuré. Il n’a même pas remarqué que je le tutoyais. Mon fantasme prostitution étudiante était finalement une bonne idée, même si, toute à mon improvisation j’ai finalement davantage joué la carte plan cul gratuit que prostitution étudiante tarifée. Pour ceux qui se demandent ce que j’ai fait des 450€ j’aimerais dire que j’ai rendu les sous à mon amant ou que j’ai donné à une association de lutte contre la prostitution étudiante. Mais ce serait mentir. Grace à ce plan cul prostitution étudiante J’ai acheté un sac à main qui me faisait bien envie ! Vive la prostitution étudiante ! Même si il ne faut pas le dire trop fort car, rappelons le, le sexe cela doit rester entre adultes consentants, très consentants…

Témoignage d’une femme adultère

Je copie ici, en corrigeant quelques fautes d’orthographe et de style ce très joli témoignage que m’envoie Florence dont l’histoire m’a ému. Merci Florence, saches que je garde le texte plus coquin que tu m’as écrit pour plus tard mais que je compte bien le publier aussi, avec ta permission…

Mon père avait dix sept ans le jour de ces quarante.

Qui sommes nous, ma mère, pour lui jeter la pierre ?

C’est une histoire d’adultère, de parjure, de trahison,

C’est pas toute ta vie qui est par terre, il te reste la voiture et la maison.

Ainsi commençait le poème que j’écrivais à Maman du haut de mes quinze ans. J’en ai aujourd’hui trente. Père n’est jamais revenu avec le mie d’amour comme nous l’avait pourtant assuré Monsieur Koubila, problèmes d’argent, impuissance, réussite aux examens, même médicaux, résultats garantis même pour les cas désespérés.

Il faut croire que notre cas était au delà du désespoir. Maman lui a pardonné. Au Marabou, pas à mon Père. Il faut dire qu’elle est persuadée que grâce à lui nous sommes Français et à l’abris du besoin. J’ai bien tenté de lui expliquer que mon grand Frère défenseur dans un club de D1 y était sans doute pour bien plus cela n’a pas entamé sa foi. « Et comment tu crois qu’il gagne des Match ton Frère hein ? quatre saisons ans blessure, tu crois qu’on en serait là sans Koubila ma fille ? »

J’ai renoncé à la convaincre. Mon mari Médecin et Caucasien, ma maison et même notre enfant si jolie de toutes façons c’est grâce à la magie puissante de son Vaudou. Mon bac avec mention, l’école de commerce et l’embauche directe dans une grande banque d’affaires ? Elle l’avait déjà vu dans les entrailles d’un poulet ! Mais elle était quand même contente et chacun de mes succès a toujours donné lieu à une fête bruyante et colorée. Ainsi qu’à un SMS de mon Père : « BRAVO » ou « FELICITATIONS ». Jamais plus d’un mot, comme s’il croyait que nous sommes toujours à l’époque où l’on paie les textos au nombre de mots. Jamais « Voyons nous » ou « Je suis fier de toi ma fille ». Mais je me serais damnée pour chacune de ces preuves de son existence. De ma Mère je tiens une poitrine généreuse, un cul à la Beyonce et 1 mètre 80 d’une silhouette élancée d’athlète Jamaïcaine. De mon Père l’irrépressible envie de plaire ainsi qu’un goût maladif pour les aventures extraconjugales !

Lubrifiant anal et autres aides à la sodomie

Lubrifiant anal, comment choisir ? Que recommandes-tu comme lubrifiant pour faire aimer la sodomie à ma femme ? Aurais tu d’autres conseils très pratiques pour m’aider à sodomiser ma petite copine ? etc…

Pour faire suite aux très nombreuses questions que je reçois en commentaire de mon article sur la sodomie ainsi qu’aux messages privés que vous m’envoyez j’ai décidé de m’arrêter quelques instants sur les accessoires et produits qui peuvent aider à la sodomie. Vous le savez je suis une curieuse autant qu’une grosse cochonne. Donc j’ai (presque) tout essayé et je propose ici, non pas un comparatifs des lubrifiants anal (ou anaux ?) et autres gadgets sexuels mais plutôt une florilège de ce que j’ai pu tester en matière de lubrifiant anal et autres sextoys pour une meilleure pratique de la sodomie. Dans cet article vous trouverez de nombreux liens vers la boutique de vente par correspondance que j’utilise. Je l’utilise car les colis sont très anonymes et discrets et parce qu’il ne figure pas de mot compromettant sur les relevés CB avec ce fournisseur. Mais bien sûr je suis certaines que les mêmes gels lubrifiants ou produits aphrodisiaques sont aussi disponibles ailleurs à des tarifs similaires.

Lubrifiant anal : un « must have » pour un dépucelage du cul !

On connaît toutes et on adore toutes cette sensation d’une bonne bite bien dure qui pénètre notre chatte mouillée. Cet instant magique où ça rentre comme dans du beure. Moi ça me fait toujours miauler, ou gémir ou crier en fonction de mon humeur du moment. Pour la sodomie, c’est pareil, j’aime quand ça rentre tout seul même si je suis en réalité assez étroite par devant comme par derrière. Alors, oui, un lubrifiant c’est quand même ce qu’il y a de mieux, surtout au début quand on ne contrôle pas bien son niveau de détente. Et même après, j’aime toujours autant ces instants plus ou moins prolongés où un mec me lubrifie les fesses puis l’anus. Et j’aime, après avoir sucé, enduire la queue de mon amant avec ce qu’il faut pour me prendre ensuite par le cul. J’aime lui dire qu’avec ce lubrifiant anal  il va bien m’enculer, ou qu’il va défoncé mon petit cul qui n’attend que ça ou qu’il va pouvoir me la mettre bien profond dans mon gros cul de cochonne. Même si mon cul est plutôt petit et bombé, dire mon gros cul de grosse cochonne m’excite ! Donc, si vous voulez pratiquer la sodomie alors pas d’hésitation, prenez un lubrifiant anal. Pour être sûre de votre (bon) coup choisissez en un du marché fait pour. Après, une fois plus en confiance vous pourrez expérimenter, par exemple en vous lançant dans des délire enduite d’huile d’olive ou de tournesol !

 Lubrifiant anal retardant, le top !

Si, comme moi, vous n’avez pas peur d’en prendre longtemps plein le cul alors je vous donne une petite astuce. Choisissez un lubrifiant anal à effet retardant. Avec ça un éjaculateur précoce ne devient pas Rocco Siffredi mais il sauve les meubles ! Par contre le lubrifiant anal à effet retardant peut, si vous êtes chanceuse, transformer un amant moyen en véritable bête de sexe ! J’ai même connu un jeunot complètement fou qui combinait programme d’extension de pénis et lubrifiant retardant ! Je me suis faite déchirer mais j’ai aimé. Par contre il était tellement limité intellectuellement que ça m’a gavé, on ne peut pas avoir le beure et l’anal au beure !