Les collants fins

Je suis nue juste en collants fins

Il faut les caresser longtemps

Tu peux me pousser dans un coin

Je suis à toi, prends tout ton temps

Mon con sous le nylon luisant

Bel abricot lisse et bombé

Ouvert sous tes doigts caressants

De mouille va tout imbiber

Poses la langue et puis les lèvres

Bientôt tu vas le déchirer.

Pour me prendre comme une chèvre.

Tu vas aimer me faire Bêler

Ma chatte offerte et dégoulinante

T’appelle, avide et frémissante.

Tu tires fort sur mes collants,

Les dents serrées, le souffle lent.

Je t’encourage, la voix rauque,

J’écarte mes cuisses sans honte.

T’enfonces deux doigts d’un coup brutal,

Ma bouche gémit, mon corps s’emballe.

Ton sexe dur, déjà dressé,

Frappe contre mes fesses cambrées.

Je te supplie de m’empaler,

De m’enfoncer sans me parler.

Ma peau colle au mur, dégrafée,

Je t’offre mon cul, vas-y, baise.

Fais-moi sentir que je suis rien,

Qu’une salope entre tes mains.

Et quand tu viendras, plein de haine,

C’est sur mon ventre que je t’entraîne.

Je veux ton foutre comme un collier,

Un bijou blanc à exposer.

Et quand tu pars, sans un regard,

Je souris nue dans le miroir.

Le con battant, encore sali,

Rêvant déjà de la prochaine nuit.

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

2 réflexions au sujet de « Les collants fins »

  1. C’est très sale et poétique… comme un haïku sur le mur des toilettes publiques ou comme une culotte en dentelle qui traîne en fin de journée sur le carrelage froid de la salle de bain !

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