Je suis nue juste en collants fins
Il faut les caresser longtemps
Tu peux me pousser dans un coin
Je suis à toi, prends tout ton temps
Mon con sous le nylon luisant
Bel abricot lisse et bombé
Ouvert sous tes doigts caressants
De mouille va tout imbiber
Poses la langue et puis les lèvres
Bientôt tu vas le déchirer.
Pour me prendre comme une chèvre.
Tu vas aimer me faire Bêler
Ma chatte offerte et dégoulinante
T’appelle, avide et frémissante.
Tu tires fort sur mes collants,
Les dents serrées, le souffle lent.
Je t’encourage, la voix rauque,
J’écarte mes cuisses sans honte.
T’enfonces deux doigts d’un coup brutal,
Ma bouche gémit, mon corps s’emballe.
Ton sexe dur, déjà dressé,
Frappe contre mes fesses cambrées.
Je te supplie de m’empaler,
De m’enfoncer sans me parler.
Ma peau colle au mur, dégrafée,
Je t’offre mon cul, vas-y, baise.
Fais-moi sentir que je suis rien,
Qu’une salope entre tes mains.
Et quand tu viendras, plein de haine,
C’est sur mon ventre que je t’entraîne.
Je veux ton foutre comme un collier,
Un bijou blanc à exposer.
Et quand tu pars, sans un regard,
Je souris nue dans le miroir.
Le con battant, encore sali,
Rêvant déjà de la prochaine nuit.
C’est très sale et poétique… comme un haïku sur le mur des toilettes publiques ou comme une culotte en dentelle qui traîne en fin de journée sur le carrelage froid de la salle de bain !
Merci ! J’aime être sale…et poétique.