Collants chair et tailleur beige

Fin de séminaire professionnel. Hôtel Mercure de province, légèrement défraîchi, aux couloirs tapissés d’une langueur beige. La salle de conférence est vide, désertée par l’agitation stérile de la journée. Une machine à mauvais café ronronne dans un coin, abandonnée, et les viennoiseries desséchées traînent comme les restes d’un festin sans âme. Je traîne moi aussi, désœuvrée, dans ma jupe tailleur beige, mes jambes effleurées par des collants couleur chair si fins qu’ils pourraient presque disparaître. Mon chignon est impeccable, mes talons mesurés. Tout en moi respire la retenue, le contrôle. Du moins, en apparence.

Trop tard pour enfiler un legging et simuler une envie de jogging. Trop tôt pour me perdre dans l’ivresse d’un verre au bar ou pour chercher le regard d’un inconnu. Et pourtant… quelque chose bouillonne en moi. Une tension, un feu lent et obstiné qui me consume. Mon corps réclame, brutalement, viscéralement. Je peux presque sentir cette chaleur sous ma peau, sourde et lancinante, qui monte depuis la fin de la dernière présentation PowerPoint.

La semaine a été un supplice déguisé. Des heures de notes, de discours vides, de jargon pompeux. Et ces collègues… Pathétiques, sans éclat. Ils tentent parfois de masquer leur médiocrité par des compliments feints. Mais leurs regards ne mentent pas : ils me déshabillent à chaque pause-café. Leur désir m’indiffère. Pire, il m’amuse. Une aventure avec l’un d’eux ? Jamais. Ce serait trop risqué, trop prévisible, et bien trop banal. J’aime qu’ils me perçoivent comme un rêve inaccessible, un mystère glacial qu’ils ne parviendront jamais à résoudre.

Heureusement, tout l’hôtel n’est pas envahi par cette mascarade. Quelques étrangers à ce cirque subsistent, des voyageurs solitaires, des visages neufs, peut-être un commercial en transit ou un consultant de passage. Ce soir, il suffira de croiser le bon regard. Je le sais déjà, comme une certitude ancrée au creux de mon ventre.

Et puis, il y a toi.

Tu entres dans la salle, presque timidement. Un homme en costume passe-partout, à la fois anonyme et intrigant. Je t’observe sans bouger, mes doigts jouant machinalement avec le bouton de ma veste.

— Oh, pardon, je pensais que la salle était vide. Vous en avez encore besoin ?
— Bonne ou mauvaise surprise ?

Tu marques un temps d’arrêt, surpris. Je souris, juste assez pour te troubler.

— Vous pensiez qu’il n’y avait personne. Alors, bonne ou mauvaise surprise que je sois là ?

Le rouge te monte légèrement aux joues, ton hésitation te trahit. Suis-je en train de te séduire ? Ou est-ce juste une plaisanterie sans conséquence ?

Je décide de ne pas te faciliter la tâche.

— Oubliez ça, je file et vous laisse la place.

Je quitte la pièce, mais pas sans te laisser un souvenir : le mouvement calculé de mes hanches, ma jupe beige qui effleure mes cuisses, et cette seconde où tu ne peux t’empêcher de regarder. Je ferme la porte derrière moi et compte jusqu’à dix. Lentement. Puis je reviens.

— Pardon, je crois que j’ai oublié mon portable.

Ma voix est douce, presque innocente. Mais mon regard, lui, ne l’est pas. Je le maintiens, un peu plus longtemps qu’il ne faudrait, juste assez pour te désarmer. La porte se referme doucement derrière moi. Mes lèvres s’entrouvrent, et je les mordille, un geste involontaire, ou peut-être pas.

La tension est là, dans l’air, palpable.

Je retourne à ma place, me penche sur la table, ostensiblement, pour chercher ce téléphone imaginaire. Je sais que tu regardes. Mon corps se cambre légèrement, mes escarpins pointant vers le sol, mes collants étirés sur mes jambes. La sensation du tissu contre ma peau exacerbe mon propre désir, presque malgré moi.

Je me redresse lentement, te surprenant en flagrant délit de contemplation. Tu détournes les yeux, mais c’est trop tard. Je souris, amusée.

— Vous pourriez essayer de m’appeler ? 07 xx xx xx 27.

Ta main tremble légèrement alors que tu saisis ton téléphone. Je le remarque. Mon Nokia vibre dans mon sac. Je fouille, m’assieds cette fois sur la table, adoptant une posture plus sage.

— Oh, je suis idiote. Il était là tout ce temps !

Je décroche, feignant un air naturel :
— Oui… allô. Parfait, comme ça, vous avez mon numéro. Si vous ne savez pas quoi faire dans un quart d’heure, envoyez-moi un texto. Avec un peu de chance, vous aurez aussi mon numéro de chambre.

Je te laisse là, seul, avec cette invitation suspendue.

Je sais déjà que tu n’y résisteras pas. Tu n’auras même pas besoin des quinze minutes promises. Dix, tout au plus. Et, comme prévu, ton texto arrive. Un simple point d’interrogation. Sobre. J’apprécie.

— 214.

Tu réponds aussitôt :
— 20h ?

— Non. Maintenant. Pas de questions.

La porte de ma chambre, laissée entrouverte, s’ouvre presque dans un souffle. Je t’attends, un verre à la main. Un whisky ambré, pris dans le mini bar, servi dans un verre de la salle de bains. Comme il n’y avait pas de glaçons, j’ai improvisé : un petit plug anal en cristal Swarovski repose délicatement dans le fond du verre, lui donnant une touche d’éclat facétieuse et suggestive.

Je te tends le verre avec un sourire, mes doigts frôlant les tiens. Puis, d’un geste naturel, je te guide vers le canapé moelleux de la chambre. La lumière tamisée enveloppe chaque geste d’une douceur complice.

— Mets-toi à l’aise, dis-je, ma voix à peine plus qu’un murmure.

Je m’installe à tes pieds, à genoux sur la moquette moelleuse, le regard relevé vers toi, capturant l’étonnement mêlé d’envie dans tes yeux. Mes mains remontent doucement le long de tes mollets, savourant la texture de la matière contre ta peau, chaque geste mesuré, précis.

Le silence de la chambre amplifie le moindre mouvement, chaque froissement de tissu, chaque souffle. Mes doigts glissent vers tes genoux, s’arrêtant un instant pour tracer des cercles lents, comme si je voulais imprimer sur ta peau cette attente délicieuse qui palpite entre nous.

Je m’approche un peu plus, mes gestes plus confiants, mais toujours empreints d’une certaine lenteur calculée. Je veux te faire sentir chaque seconde, chaque frisson, chaque battement.

— « Tu n’as pas à dire un mot, laisse-toi juste faire et, surtout, profite. » Je murmure, ma voix à peine plus forte qu’un souffle, alors que mes mains continuent leur exploration, remontant le long de tes cuisses.

Je m’arrête un instant, me redressant légèrement, mon visage à hauteur de ton sexe encore emprisonné dans ton pantalon. Mes lèvres s’entrouvrent, comme prêtes à un premier baiser sur la bosse que fait ta queue tendant l’étoffe de ton falzer, mais je m’attarde, mon souffle effleurant le tissu, créant une tension presque insupportable.

L’attente devient une arme, un jeu que je contrôle avec une précision exquise. Mon regard ancré dans le tien, mes mains reprennent leur progression, lentes, calculées, alors que la chaleur dans la pièce semble soudain monter d’un cran.

Je me redresse lentement, toujours à genoux devant toi, mes mains quittant la chaleur de tes cuisses pour revenir à moi. Mon regard ne quitte pas le tien. Je veux que tu sois témoin de chaque geste, de chaque mouvement pensé pour éveiller ton désir.

D’un geste lent, mes doigts glissent vers les premiers boutons de mon chemisier, l’étoffe blanche tendue sur mon buste se libérant au fur et à mesure. Le bruit à peine audible du tissu qui cède, bouton après bouton, emplit la pièce d’une tension presque palpable.

Je prends mon temps. Mes doigts caressent le bord de la soie comme une invitation, révélant peu à peu la naissance de ma peau nue. Mon souffle se fait plus court, mais je reste dans le contrôle, jouant ce rôle que je savoure autant que toi.

La lumière tamisée de la chambre caresse la courbe de mon cou, puis glisse sur la ligne de ma clavicule, avant de dévoiler les contours délicats de ma lingerie. Une dentelle ivoire, fine et subtile, à peine un écran entre ma peau et ton regard.

Je laisse tomber le chemisier de mes épaules avec un geste fluide, comme si c’était naturel, une seconde peau que je m’offre le luxe de retirer. L’étoffe glisse le long de mes bras et finit par s’effondrer sur le sol dans un soupir de tissu.

Je ne bouge pas immédiatement. Je reste là, dans cette demi-nudité calculée, à genoux devant toi, ma respiration légèrement plus rapide soulevant ma poitrine. Mes seins sont gros et pigeonnants, impossible pour toi de ne pas imaginer la cravate de notaire qui t’attend.

Je penche légèrement la tête, un sourire à peine esquissé sur mes lèvres, et murmure d’une voix qui vibre d’assurance et de désir :
— « Alors, est-ce que tu te sens toujours à l’aise ? »

La question, de pure forme, n’appelle pas de réponse. Je déboucle ta ceinture. Pas de fermeture éclair à ton pantalon, ce sont de gros boutons que je défais un à un lentement. J’effleure ton sexe qui tend l’étoffe de ton caleçon. Toujours très lentement, sans te quitter des yeux je baisse le tout sur tes chevilles, caleçon et pantalon. Ta queue est belle est droite, j’ai d’un coup très envie de la prendre en bouche et je dois me retenir car je sens que l’attente et le désir peuvent encore monter d’un cran. Je passe les mains derrière mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge et libérer mes gros lolos. Puis je m’approche tout contre toi pour emprisonner habillement y’a colonne de chair entre mes beau seins tièdes. Je masse ainsi ta queue entre mes roploplos j’embrasse tes abdominaux au passsage. Goulûment, avec la langue, en pressant bien mes seins. La sensation douce et chaude de ton sexe fait tambouriner mon cœur plus fort et vite. Je me demande si tu en ressents les battements.

-« Je peux te demander une faveur ? »

-« Au point où nous en sommes, j’imagine que oui… »

-« Tu peux t’occuper de mon petit trou avec le jouet que j’ai mis dans ton verre ? »

Je libère à peine une seconde ta queue de son nid douillet pour monter sur le canapé. Je m’agenouille blottie pour que tu puisses avoir accès à mon fessier pendant que je te prends en bouche. La jupe de mon tailleur beige est ajustée, tu essaies de la remonter mais tu es un peu gauche et ne t’y prends pas très bien. Ce n’est pas grave, je prends ta main et la guide vers la toute petite fermeture éclair sur le côté. Au passage de ta main sur les hanches mes fesses se contractent par réflexe, j’avance imperceptiblement la tête pour avaler plus profond ta queue bien raide. Je me tortille un peu pour faire glisser la jupe que tu accompagnes d’une longue caresse sur ma croupe, puis le long de mes cuisses et de mes mollets pour m’en débarrasser. Me voilà en collants et escarpins. Mes collants chair si fins sont comme chargés d’électricité statique sous le bout de tes doigts qui remontent l’intérieur de mes cuisses. Même la bouche bien pleine et occupée à te sucer j’arrive à gémir un « hummmm » de plaisir accentuant un peu davantage ma cambrure.

Je sens contre mon abricot le contact dur et lisse du plug de cristal. Massage appuyé sur mes grandes lèvres à travers le nylon qui s’imbibe lentement de ma moiteur. Tu presses le plug qui tend sans le rompre le fin collant. Enfin c’est ce qu’il me semble car j’avoue ne plus trop savoir où j’en suis, je suce maintenant goulûment avec application mais les sensations entre mes jambes perturbent mes sens. J’ai quand même un petit moment de lucidité quand je perçois contre mon anus la pointe arrondie et dure. Le bruit caractéristique du nylon qui cède et se déchire me fait un petit pincement au cœur, je les aimais bien moi ces collants chair. Mais j’aime encore plus la sensation à peine douloureuse de mon petit trou du cul qui s’ouvre et se referme une fois le plus anal enfoncé. Le whisky pique et brule un peu mais j’aime ça ainsi que le son de la déchirure du collant que tu élargis pour pouvoir accéder à ma Chatte et continuer à me caresser. Pour t’encourager je suce le plus amplement possible, presqu’à m’en étouffer. J’adore tes doigts qui tournent et fouillent ma chatte, tu as su facilement trouver mon clito et ce que tu lui fait est exactement le genre de caresse qui me fait perdre la tête. Je n’en peu plus, avoir ta queue dans ma bouche m’a fait tellement m’aimer que je la veux maintenant à la place de tes doigts.
-« J’veux être sur toi… »

Je rampe littéralement sur toi pour empoigner ta queue et la glisser dans mon abricot bien juteux. Ma langue nerveuse est dans ta bouche et tes ongles finissent de ravager mes collants pour lacérer mes fesses. J’aime baiser avec un plug anal. Même en t’embrassant je gémis mon plaisir. Tu me fais jouir mais j’en veux encore plus.

-« S’il te plaît, jouis pas tout de suite, je veux être enculée. Promets moi que tu vas m’enculer ! »

J’ai chuchoté ma demande, légèrement suppliante.

-« T’inquiètes ma jolie, c’est promis »

Je m’applique à ralentir un peu le rythme de mes mouvements de hanches pour que tu aies un meilleur contrôle et que tu puisses te retirer à temps pour me retourner et m’enculer quand le moment sera venu. J’ai un peu peur que tu te laisse aller et oublies ta promesse. Mais en même temps ta queue dans ma Chatte me semble tellement dure et longue que j’en jouis à répétition. Quand tu te retires d’un coup et me retourne sur le canapé je suis à peine consciente et déjà en sueur. Tu retire le plug et ta queue rentre toute seule. Un cri m’échappe. Je suis à nouveau à genoux sur la moquette, le ventre sur le canapé. J’attrape ton bras pour le mordre en même temps que tu vas et viens de plus en plus fort à grands coups de hanche. Tu as récupéré le plug anal pour cette fois l’enfoncer dans ma Chatte. Le canapé tape contre le mur, j’ai l’impression que tout l’étage peut l’entendre. Je mords ton avant bras presqu’au sang quand tu jouis en tirant mes cheuveux. Tu te laisse tomber sur moi. Ton corps est lourd mais je n’ai pas envie de me dégager.

-« hummmm, reste sur moi autant que tu veux. S’il te plaît ne pars pas, j’ai pas envie de dormir seule. Et encore moins de me réveiller seule…»

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Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

17 réflexions au sujet de « Collants chair et tailleur beige »

  1. Votre livre est vraiment bien. Mais il reste pas mal de fautes de frappe qui nuisent un peu à l’ensemble je trouve. En tous cas bravo d’être allée au bout. Je l’ai lu en pdf. Mais j’en ai aussi commandé une version papier pour l’offrir.

    1. Merci, tu n’es pas le premier à me faire la remarque. Il faudrait que je prenne plus le temps de relire et éventuellement retravailler certains passages. Mais je voulais finir avant Noël

  2. Salut, je ne sais pas si c’est le bon endroit pour jeter cette bouteille à la mer. Je suis une lectrice de ce blog et je jalouse en secret Lucie d’échapper si bien à la routine de son mariage. Je rêve (et je recherche) d’un inconnu qui m’attacherais. Il ferait à mon corps ces choses que Lucie décrit si bien.

    1. Chère Célia,
      Je viens de récupérer votre bouteille à la mer…les inconnus prêts à vous changer la routine du quotidien ne manqueront pas à l’appel j’en suis sûr…encore faut il trouver le bon…pour ne plus jalouser Lucie en secret…je me porte candidat pour toutes ces choses comme vous dites avec pudeur et une certaine timidité ou crainte peut être de découvrir que vous pourriez aimer être une vraie salope avec un inconnu…alors prête à relever le défi?

  3. Bonjour,
    J’ai adoré ce récit ! Il me rappel mes propres séminaires ennuyeux. Je découvre avec lui votre blog. Y a t il une des pages du blog dédié à votre présentation / bio?

  4. Chère Lucie,
    Et bien…lire ce dernier récit m’a rendu le sexe bien dur…j’attends (tjs) avec impatience votre livre dans ma boîte aux lettres…au plaisir de vous lire à nouveau…ici ou ailleurs…

    1. Vous me direz combien de temps à pris la livraison. Oui, ce moment de séminaire a été une belle parenthèse du dernier trimestre. Peu de son égale pour moi celui du nylon qui se déchire…

      1. Un bien heureux chanceux pour cette rencontre lors de votre séminaire…livre commandé le 18/12 en fabrication depuis le 19/12…les seules infos dispo…c’est un peu long je trouve peut être est ce lié la période de Noël…
        Question : avez vous aimé ma suite du scénario partagé aux mêmes dates par email?

      2. Chère Lucie,
        Je viens de recevoir le livre ce jour…format parfait pour la discrétion …quel plaisir de l’avoir entre les mains…à défaut de vous…et cette photo…je m’en mords les lèvres…d’imaginer tellement de choses…
        Je vais pouvoir vous dévorer dans la semaine…bien sûr je ne manquerai pas de faire un commentaire s’il m’a plu…et de vous envoyer un message…j’y ai le droit maintenant n’est ce pas?

      1. Quelle idée ! À coup sûr vu la qualité du récit que je viens de lire ici, y allier le plaisir de la voix ne peut qu’augmenter la qualité de l’expérience.

      2. Nouveau projet donc…c’est une bonne idée! Perso je suis pas fan des abonnements ne croyez pas pour autant que je sois avare bien au contraire…c’est plus une question d’être libre…

          1. Auriez vous besoin de tester le contenu ? Savoir si la voix associée au texte fait son effet…la narration vivante mieux que la lecture etc…en tant que bon fan je peux vous proposer d’être testeur pour vous donner un avis avant de se lancer…si besoin. Faites moi signe

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