J’ai mis, pour notre rendez vous, une robe Vichy à petits carreaux rouges et blancs. Jambes nues, socquettes blanches, souliers vernis à talons plats. String en dentelle et push-up qui fait pigeonner mes gros seins au décolleté de la robe. Rouge à lèvres brillant soigneusement appliqué. Teinte Chanel Coco flash hors de prix plus rouge qu’une Ferrari. En plus de sa couleur, ce que j’aime avec ce rouge à lèvres c’est qu’il déteint juste comme il faut à chaque baiser. J’aime savoir qu’en regardant ta queue et ton bas ventre tu apprécieras les traces de rouge à lèvre que j’y aurai laissé. Si c’est ta femme qui voit ça je doute que tu trouves une bonne explication à temps !
Rendez vous au Lumière Terreaux, cinéma d’art et d’essais de Lyon. Un lieu public, donc rassurant pour commencer, mais parfait pour nos préliminaires. La salle est clairsemée, nous sommes seuls au dernier rang. J’ai volontairement joué la timide réservée jusqu’au début du film. Bises sur les joues pour dire bonjour, jambes serrées droite sur mon fauteuil et mains sur les cuisses. C’est à peine si j’ai accepté que nos épaules se touchent légèrement.
Dans nos échanges aussi sur internet je suis volontairement restée évasive, ne cachant pas que j’étais mariée et en plein questionnement mais laissant croire que je n’étais pas non plus totalement sûre de vouloir basculer dans l’adultère. Mes photos de profil, bien que sobres laissaient deviner un corps très désirable. C’est cela qui t’a convaincu que malgré le discours prise de tête et hésitant ça valait le coup d’insister. Tu m’as servi le discours habituel, tu n’attendais rien de moi, tu me comprenais et étais juste content de me rencontrer sans que rien ne soit obligé ou convenu d’avance. En me voyant devant le cinéma, joli bonbon bien emballé, tu as commencé à deviner ta chance.
Dès que la lumière s’est éteinte j’ai pressée un peu plus mon épaule contre la tienne et je n’ai pas repoussée ta main sur ma cuisse. J’ai même tourné la tête pour un premier baiser sur la bouche. J’adore les premiers baisers. Les lèvres tièdes, découvrir le goût d’un nouvel amant. Faire comprendre rien qu’en l’embrassant que je suis une excellente suceuse.
Ton baiser est comme je les aime. Sans timidité, accompagné d’une main baladeuse qui remonte sous ma jupe en Vichy. J’écarte imperceptiblement les jambes pour que ta main puisse juste passer entre mes cuisses. Mon string est vite écarté. Tu n’imagines pas l’effet que me fait le doigt qui perce mon petit abricot juteux. C’est juste indescriptible. J’ai peur de gémir et de faire se retourner le rang de devant. Alors je repousse, à contre cœur, ta main. Une furieuse envie de sucer me fait glisser de mon fauteuil sur la moquette épaisse. Je suis un peu à l’étroit mais, heureusement, il n’y a personne assis sur le fauteuil devant le tien. Tu me laisses défaire les boutons de ton jean. Je commence par embrasser la bosse qui tend ton caleçon. J’aime comme tu caresses mes cheveux. Je tire sur ton jean pour dégager tes cuisses. Tu es bien foutu, musclé, pas trop velus. Je lèche un peu pour le plaisir du goût de ta peau. Ce n’est pas très pratique mais je parviens à baisser ton caleçon et à libérer la colonne de chair objet de ma convoitise. Je lèche en te regardant droit dans les yeux par en dessous. J’embrasse partout. L’intérieur de tes cuisses, tes couilles, ton gland sur lequel je laisse un peu de rouge à lèvres. Puis je fini par sucer. Lentement, bien à fond. Presqu’à m’en étouffer. Je suce jusqu’à ce que tu n’en puisses plus et que tu éjacules dans ma bouche. J’avale. J’adore avaler, j’aime le goût de ton sperme. Celles qui me lisent et qui en ont fait l’expérience peuvent me comprendre. Sachez messieurs que votre sperme n’a pas le même goût que celui de votre voisin. Le foutre est comme le vin. Quand on sait l’apprécier on sait que chaque amant produit un nectar différent, unique. J’avale et je garde ton sexe turgescent qui débande lentement entre mes lèvres. J’essuie ta queue et tes cuisses avec le bas de ma robe avant de remonter ton caleçon et ton pantalon. Puis je me rassois, sage à nouveau, à côté de toi. Je me penche et te demande à l’oreille : « Tu sais où on peut trouver un hôtel pas loin ? »
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La jupe rétro un peu courte, rien de tel pour faire tourner les têtes et lever les queues ! En plus peu de choses valent le moment où le mec relève la jupe en caressant, plus ou moins adroitement les cuisses. Ou quand il s’agenouille et que la jupe retombe sur sa tête. Rien que d’y penser je rougis !
Salut Lucie,
Nous sommes cinq femmes adultères. Cinq copines que la vie et quelques déceptions de la vie de couple ont réunies en un club de jouisseuses délurées. Trois d’entre nous habitent Strasbourg et les deux autres sont à Nancy. Nous aimons parler de nos plans culs, nous servir d’alibi les unes aux autres quand nous faisons nos écarts conjugaux. Parfois un plan à plusieurs aussi. La plus jeune d’entre nous à 26 ans, la plus âgée deux décennies de plus. Voudrais tu faire partie de notre club ? Tu as notre email.
Je suis dans le Haut-Rhin mais une virée à Strasbourg pour rencontrer l’une de vous (ou plusieurs d’ailleurs…) c’est vite fait…
A bonnes entendeuses!
Salut Nathan,
Je préfère mettre un h à ton prénom.
Je veux bien être la première de nous cinq à te rencontrer…Dans l’attente de ta réponse je me preparer avec un tout petit plug anal…
Salut Marina,
Une légère dyslexie dans ton pseudo ou un lapsus plus ou moins volontaire?
Avec plaisir pour une rencontre, Lucie peut-elle me transmettre ton mail?
Bonne préparation…
Oh p****n ! Non pas de dyslexie. Mais vrai lapsus !!!
Pas besoin d’être Freud pour en tirer des conclusions… Si tu es partante, demande mon mail à Lucie
Alors Marina, tu fais une crise de timidité?
On échange par mail, pour voir si le feeling passe?
Une aubergine??…tu connais mon métier 😂😂
Policier ? Vous êtes dans quelle région ? Je suis pas loin de Clermont. Libre en journée sauf l’es samedi dimanches et mercredi après midi…🫦
Camille, dans votre région avec beaucoup de temps libre. Auto entrepreneur entreprenant. Je serais ravi de faire votre connaissance si Lucie accepte de vous donner mon mail. Chaleureusement votre,
G.
C’est fait !
Mail envoyé, hâte d’en savoir plus et, peut être, d’aller plus loin. 🫦
Déjà rien qu’en lisant, je suis dit comme un roc, à ça tu ajoutes me commentaires d’Olga je suis définitivement en feu.
😅😅😘😘
Bonjour
Dire que tu étais pas loin de moi et que j’aurais pu être a sa place…en espérant une prochaine fois
Bises
👄🫦🍆💦😋😋
Merci pour ce nouveau récit!
J’adore l’incipit. “Plus rouge que une Ferrari” est une phrase fétiche!
Bravo.
J’adore ce récit, très excitant, un de mes fantasmes! J’ai l’impression que peu de femmes aiment avaler le sperme… du coup merci Olga pour ton commentaire! Si des volontaires veulent essayer le mien dans le Haut-Rhin…
Dans le haut Rhin avec une vus sur le bas de mes reins…
Quand tu veux tu viens!
Moi aussi au début ça me dégoûtait rien que d’y penser. Même sucer j’y allait à contre cœur. Jusqu’au jour où j’ai surpris une conversation entre mecs qui parlaient des filles qui aiment sucer. C’était gracieux et insultant. Du genre cette salope elle a une bouche à pipe. Elle doit bien avaler. Mais j’ai senti la frustration et l’hypocrisie dans la ce qu’ils disaient. Et j’ai eu un mec qui a eu la patience de m’apprendre à me comporter comme une salope. J’avais jamais goûté de sperme. Comme je le disais ça me dégoûtait rien que d’y penser. Mais avec lui c’était différent. Je savais que c’est ce qu’il attendait de moi. J’ai été surprise par le goût. Rien de sale ni de désagréable. Et en avalant j’avais l’impression d’être encore un meilleur coup.
Je confirme, c’est pas qu’une impression, un bien meilleur coup! The cherry on the cake
J’aime bien ton blog Lucie. J’aime encore plus lire les commentaires des mecs qui te lisent. C’est incroyable comme les hommes nous connaissent si mal ! Évidement, bien sur que si il y a des femmes qui aiment le sperme ! Nous aimons autant sucer que vous faire un cuni. C’est juste une question d’amant. Si le mec nous plait et nous excite on est prêtes à tout. Et plus c’est sale meilleur c’est !
Coriandre, quand tu veux je te fais du sale…
Je laisse Lucie vous donner mon mail. Échanger par mail ne m’engage à rien mais je suis curieuse de savoir ce que tu entends pas me faire du sâle.
Je confirme ! Messieurs, vous n’avez pas tous le même goût ! Heureusement d’ailleurs !