La première fois que j’ai fauté

Si vous aimez me lire dites le moi en commentaire. Sur cinqasept je suis @LucieBovary parfois, ou @PrincesseDeC, ou encore @DispoCeSoirPerdueDemain.

Cette histoire je ne l’ai jamais racontée. A vrai dire je l’avais presqu’oubliée. Ou plutôt je m’en suis toujours souvenue. Mais comme elle ne donnait pas une bonne image de moi j’avais choisi de ne pas m’en rappeler. A cette époque j’ai 21 ans, je suis en couple depuis un peu plus d’un an. Je suis très différente d’aujourd’hui. Un peu prude. Issue d’un milieu plutôt bourgeois je pense que la fidélité est importante et défini même le couple. Pour moi être fidèle est une règle naturelle. Une question de principe. J’aime mon petit ami, sans parler de mariage, encore moins d’enfants nous avons des projets ensemble. Une virée entre copains va pourtant un peu changer la donne. Nous visitons le désert de Bardenas, en Espagne. Encore étudiants, aidés par les parents mais quand même pas trop nous dormons à sept dans un petit appartement sans climatisation. Le salon est occupé par deux couples tandis que mon copain et moi partageons une petite chambre avec le meilleur ami de mon mec. Nous dormons dans le lit deux places et le troisième, seul célibataire de la bande, occupe, à côté, un matelas a même le sol. Le premier soir, après avoir marché toute la journée sous le soleil hiberique et bu quelques sangria dans l’appart, nous somme vannés et nous couchons vers minuit. Assez tôt donc compte tenu de notre jeune âge ! Vers deux heures du matin un léger bruit répétitif me réveille. Je me souviens de l’heure car il y avait un gros réveil à affichage digital rouge sur la table de nuit. Je ne mets pas longtemps à comprendre d’où vient le bruit. L’ami de mon mec se branle. Comme il doit faire facile trente degrés il n’a même pas le drap sur lui, il est en caleçon et a juste sortie sa queue qu’il astique lentement. La nuit est claire et nous avons laissé les volets ouverts pour avoir un peu d’air. Fascinée je n’ose pas bouger mais je ne veux pas non plus refermer les yeux. Je suis complètement excitée. Il n’a pas remarqué que je le mate. Le plus lentement possible, à demi consciente de ce que je fais, ma main glisse sous le drap vers ma culotte. Au moment où j’atteins le bord du slip en dentelle le mouvement attire son attention et il me voit. Et là, au lieu d’être gêné, il plante ses yeux dans les miens et continue à se masturber encore plus lentement. Je suis hyper troublée et je m’aperçois que je mouille vraiment beaucoup. C’est au moment où mon mec bouge que je me rend compte du bruit de succion que je produisais en me caressant. Je m’arrête instantanément, le majeur profondément enfoncé dans mon petit con tout mouillé. Et là mon mec se met à ronfler. Je dois être pivoine. Le copain sur le matelas par terre ne m’a pas quittée des yeux. Il hausse les sourcils et reprend sa branlette très lentement. Impossible de m’empêcher de me masturber en même temps que lui. Comme mon mec ronfle bruyamment j’ai moins peur de le réveille et j’y vais sans retenue. Je jouis en ouvrant la bouche, un cri muet. Il éjacule sur son ventre. Il m’attrape le poignet et tire vers lui. Je touche son sperme c’est tiède et visqueux mais très excitant. J’ai une envie irrésistible de goûter. Je ne sais pas à cette époque quel goût a le sperme. J’avoue que je ne me souviens plus très bien de la sensation gustative. Mais je sais que j’ai aimé et que j’ai tendu la main pour en reprendre. Il s’est essuyé ensuite avec son caleçon qu’il avait fini par enlever et il a remonté le drap sur lui. On s’est regardé longtemps sans rien dire. Puis on a fini par dormir. Le lendemain toute la journée on n’arrête pas de se jeter des regards. Je suis très troublée. Mon petit copain me semble plus tactile que d’habitude. Ou c’est peut être juste que je suis tellement obnubilée par ce qui s’est passé dans la nuit que je le remarque plus. Mais comme le copain me regarde je me force à répondre aux avances de mon petit ami pour voir la réaction de son pote. J’ai les tétons qui pointent sous mon débardeur toute la journée et ma bande de pote n’arrête pas de me charrier sur le sujet. Je rougi comme une tomate. Mon visage est assorti aux coups de soleil que j’ai sur les épaules. On passe une partie de l’après midi au bord d’une rivière. J’ai très we vie de m’échapper et de m’isoler pour que le copain de mon petit ami me rejoigne. Mais pas moyen de faire ça sans risquer de se faire remarquer. J’attrape un gros coup de soleil sur les fesses et mon petit copain décide qu’il doit me passer de la crème protection 60 pour m’appairer. Je dois le laisser me masser les fesses. C’est gênant. Mais pendant qu’il le fait je croise le regard de son copain et je lui fais : « Désolée » en silence. Je mime juste les mots et il me répond  « pas grave » de la même manière. J’ai les boules parce que je sais que mon copain va vouloir baiser ce soir vu comme il est tactile toute la journée. Heureusement notre groupe décide de sortir dans une bodega le soir. Mon copain boit beaucoup et dès que son verre de sangria est vide son pote ne manque pas de le lui te remplir. Sangria, tapas, puis Rhum arrangé. Je remarque que le copain de mon mec ne bois ressue pas. Je décide de faire comme lui. Je passe vite à l’eau gazeuse sans que ça ne se remarque trop. Les autres ont passé le stade où l’on arrête de compter les verres. Quand nous rentrons à l’appart nous ne sommes plus que deux à marcher droit. Mon petit copain me pelote sans se soucier des autres et une fois dans la chambre il semble avoir complètement oublié qu’on n’est pas que tous les deux. Il se met à poil et cherche à me m’embrasser les seins. Je le repousse gentiment  : « Dodo, t’es trop bourré ! »

-« Ouai, t’as raison mais couche toi avec moi. »

Il me prends avec lui pour que je me couche contre son dos il tient mes mains contre sa poitrine et se couche sur le côté. Je reste contre lui en me disant qu’il va vite s’endormir. A ce moment je n’ai pas du tout l’intention de le tromper. J’imagine juste qu’on va gentiment se masturber à distance comme la nuit d’avant. Mais je sens le copain de mon petit ami qui se glisse dans mon dos contre moi. Je suis prise en sandwich. Mon mec n’est même pas encore complètement endormi. Il tient mes mains comme si j’étais son doudou. L’autre derrière moi à un opinel et il entreprends de couper les bretelles de mon débardeur. Il m’embrasse dans le cou. Je ne sais pas à quel point mon petit ami est bourré et j’ai peur que la plaisanterie ne tourne mal. En même temps je suis très excitée. Le copain me débarrasse de mon string et se met en cuillère derrière moi. Sa queue rentre comme pas magie dans ma chatte bien lubrifiée et je ne peux m’empêcher d’onduler lentement en rythme avec lui. J’ai l’impression que ça fait un bruit  de succion qui pourrait s’entendre dans la pièce à côté. Mon mec se met à bouger : « Humm, tu fais quoi ? »

-« Rien, heu…j’essaie de dormir… »

Pas d’autre choix que de le serrer dans mes bras et de me coller contre son dos. Il grogne un truc, genre bonne nuit, mon poussin. Heureusement l’autre a arrêté de bouger. Sa grande queue est bien au chaud dans ma chatte. Je n’ose plus bouger. La respiration de mon petit copain se fait plus ample et régulière. Moi je retiens mon souffle. Le copain passe sa main sur mon ventre, j’essaie de m’écarter un peu de mon mec mais il tient toujours mes bras dans son sommeil. Je me mord les lèvres et serre les cuisses. J’ai à nouveau envie de sentir le va et vient de la belle queue et je bouge prudemment le bassin. Je pense que mon mec s’est endormi mais je n’en suis pas certaine à cent pour-cent. Ça m’excite encore plus. Le copain de mon mec me fait un suçon dans le cou. J’essaie de me dégager car je ne me vois pas trop expliquer ça demain à mon petit ami. Mais il me chuchote à l’oreille : « T’auras qu’à lui dire que c’est lui qui te l’a fait. Il est rond de toutes façons. Bouge pas, faudrait pas qu’il se réveille… »

Il soulève ma cuisse et place un gros coussin entre mes jambes. J’ouvre la bouche pour dire : « Non » mais il plaque sa  main sur ma bouche : « Chuttt, tu vas me réveiller ! » Il tasse les coussins en haut de mes cuisses et je sens comme un gel froid couler sur mes fesses. A l’époque je suis débutante et je n’ai jamais utilisé de lubrificateur anal. Mais je devine instantanément que c’est ça. Je fais non de tête. J’ai peur et je suis malgré tout excitée. Il masse en petits ronds concentriques autour de mon anus tout en murmurant : »chhhhuuut ». Comme si j’allais faire du bruit pour réveiller mon mec ! D’autant que je suis de moins en moins sûre de ne pas en avoir envie. Il a ajouté un second coussin. Allongée sur le côté j’ai la jambe bien relevée et je sens sa queue raide contre mon anus tandis qu’il empoigne ma cuisse. Les mains toujours tenues par mon mec qui dort je fais de mon mieux pour relever la jambe le plus possible et écarter les fesses. Quand il pousse je me cambre pour transmettre le moins de mouvement possible à mon mec qui a comencé à ronfler. Ça rentre d’un coup et il met sa main sur ma bouche juste à temps pour m’empêcher de crier. Mon mec doit envie une sacrée cuite pour continuer à ronfler alors que l’autre m’encule en faisant de moins en moins attention. C’est douloureux mais j’enchaîne en même temps les orgasmes. J’ai envie de bouger pour qu’il accélère la cadence je veux le sentir ejaculer dans mon cul. Mais je n’ose pas faire plus que des mouvements retenus et je suis obnubilée par les ronflements de m’on mec que je surveille comme le lait sur le feu de peur qu’ils ne s’arrêtent. Quand il jouit en moi il agrippe mon gros sein et presse à le faire rougir. Je mords sa main toujours dur ma bouche. On s’arrête de bouger. C’est à se moment que mon mec arrête de ronfler et émerge. Heureusement il ne se retourne pas. Il sert mes bras contre lui : « Hummm, arrête de te masturber. Tu vas réveiller Paul. Promis demain je bois pas. À Barcelone on aura une chambre rien qu’à nous. »

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Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

18 réflexions au sujet de « La première fois que j’ai fauté »

  1. Très beau récit ! Comme je te comprends. Moi un truc qui m’excite à mort c’est de me faire baiser par un mec qui est en couple et de risquer que sa nana nous surprenne. J’adore aussi sucer dans les cabines d’essayage des boutiques de fringues

    1. Quel programme séduisant auquel j’adhère à 100% ! Et comme je suis de Caen, on peut envisager de passer à l’action ensemble pour ces pratiques et bien d’autres tout aussi excitantes…

      Je vous laisse me contacter si celz vous intéresse !

      1. Pourriez vous vous décrire un peu, MonsieurDomi ?
        J’ai, pour ma part, 36 ans. 1m65, 58kg, beau cul beaux seins. Enfin à ce que l’on dit. Rousse et sans tabous mais plus timide dans la vie que sur les blogs et les forums. Même si cela n’a pas d’importance j’écris tout ça pour vous inciter à vous décrire un peu. Si je suis tentée il y aura peut être rendez vous…😘🥰

        1. De mon côté, 44 ans, 1,82m et 72 kg, je suis brun aux yeux noisettes (et un peu verts en toute mauvaise foi). Derrière une apparence somme toute classique se cache un caractère dominant, joueur et imaginatif, que j’assume pleinement, avec peu de limites hormis le scato et la violence…
          Si vous voulez aller plus loin, n’hésitez à franchir le pas et à me joindre : monsieur-bcbg@hotmail.fr

        2. J’ai l’impression que mon premier message n’est pas passé, sinon désolé pour le doublon.

          J’ai 44 ans, je mesure 1,82m pour 72kg et suis brun avec les yeux noisettes (et un peu verts si j’écoute ma mauvaise foi).

          Pour le reste, j’ai peu de limites, à part la violence et le scato.

          D’un naturel dominant, joueur et imaginatif, je suis enthousiaste à l’idée de partager ces moments avec vous, si vous osez…

  2. Très beau récit, et j’ajouterais même beaucoup d’imagination. Car le bémol pour moi est que ça n’est pas très crédible.

    La situation est certes très excitante mais : tromperie + dans le même lit (!) + sodomie (!!) = je n’y crois pas. Ou, plus exactement, je suis certain qu’une partie au moins est romancée. Ou que vous avez mélangé plusieurs épisodes en un seul. Bref, ça a un peu atténué mon plaisir de lecteur.
    D’autant que, dans l’un des premiers récits de ce site, vous prétendiez avoir été initiée à la sodomie pendant vos rencontres adultères de femme mariée.

    Autre élément qui me gêne : le type se met en position, vous dites non, le type le fait quand même, et là pour vous c’est génial. Pas très « mee too compatible » le mec ! Je peux comprendre qu’on trouve ça dommage de prévenir, de demander le consentement dans l’intimité à chaque fois qu’on bouge le petit doigt (et on peut en faire des choses avec son petit doigt), mais quand la femme (ou l’homme d’ailleurs) dit non, eh bien c’est non ! c’est la base quand même. Bon, heureusement que vous eûtes la bonne idée d’interdire ce site à des mineurs qui ne prendraient pas le récit avec la distance qui convient (mais je suis certain qu’il y en a quand même, et perso à 18 ans je n’avais pas la maturité nécessaire).

    J’espère que vous ne prendrez pas mal ces commentaires. Dans l’attente de vous lire à nouveau.

      1. Je n’ai aucun mérite à vous lire attentivement : l’attention, vous savez la provoquer, et pas seulement avec votre plume si j’en crois le récit de vos aventures.
        Pour le reste : ni aveu, ni déni, ni explication, ne saurai-je donc pas si le pêché originel ici rapporté est un fantasme ou issus de faits réels ?

  3. Entre deux histoires folles tu ne nous donnes plus de nouvelles ! Tu n’as pas quelques aventures Aveyronaises croustillantes à partager !? J’ai hâte…

  4. Cela me rappelle une copine qui m’appelait pour que je la baise chez elle dès que son mec partait en déplacement. Ça arrivait qu’il l’appele le soir. Lors d’un de ces appels jai commencé par caresser l’intérieur des cuisses de la belle, j’ai continué en embrassant ses jambes et en remontant vers son sexe. Apres l’avoir embrassé à travers le tissus j’ai retiré sa culotte je l’avais rarement vue aussi mouillée! A vous lire je comprends mieux ! C’est hyper excitant de vous voir aussi salopes!

  5. Coucou Lucie.
    Ça faisait longtemps que je ne t avais pas lu,mais ça ne met pas longtemps à me faire bander..
    Comme toujours j aimerais être celui qui te fais jouir et être la source d un de tes récits.
    😁😉

  6. Super excitant comme toujours ! Merci pour ce récit. Je trouve d’ailleurs qu’ils sont de mieux
    en mieux. Maintenant j’ai tres envie de baiser ma copine… pendant qu’elle appelle son ex!

    1. Je ne peux que vous inciter à faire cela. Elle va adorer ! Depuis que je me suis rappelé ce moment que j’avais refoulé je comprends mieux pourquoi baiser en appelant mon ari au téléphone m’exitd autant !

  7. Témoignage duper excitant même pour une fille. Un truc que j’adore c’est téléphoner à un ex quand mon mec du moment s’occupe de moi. C’est juste hyper excitant !

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