Râteaux et regrets

Un peu après avoir eu mon baccalauréat j’étais très attirée par un homme plus âgé que moi. Il était marié et je suis à peu près certaine aujourd’hui que je ne le laissais pas indifférent. Je rêvais de lui, je me caressais longuement le soir en pensant à lui. C’était un collègue et un ami de mon Père. Mais il était plus jeune que mon Père, a peu près à mi chemin entre nos deux âges. Il était souvent chez mes parents avec sa femme. Je le dévorais des yeux et je me dis aujourd’hui que je n’étais vraiment pas discrète. Mais il ne m’ignorai pas, il m’intégrait souvent dans les discussions et même nous faisions parfois du tennis ensemble le samedi matin. Je rêvais qu’il me rejoignai dans les vestiaires. Mais il ne s’est jamais rien passé entre nous et je le regrette amèrement aujourd’hui. Quand j’ai essayé de le recontacter j’ai appris qu’il était mort d’un cancer quelques mois plus tôt.

Je suis curieuse de savoir vos râteaux ou vos regrets. Ou que vous me décriviez celle ou celui qui vous fait fantasmer dans votre entourage. Son prénom, son âge, sa situation maritale, sa profession, bref le plus de détail possible. En échange j’écris un petit texte le ou la mettant en scène juste pour votre plaisir de lire cela. OK ?

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

9 réflexions au sujet de « Râteaux et regrets »

  1. Mon plus gros regret, c’était à mon ancien boulot. A l’époque, je ne baisais déjà plus ma femme, mais je restais fidèle et frustré avec cette idée que les femmes ne sont pas portées sur le sexe.
    Il y avait donc cette fille au marketing qui me faisait envie, Ludivine. Elle était beaucoup plus jeune que moi, 30 ans environ.
    Elle avait des formes, mais pas grosse, et toujours le sourire.
    Elle était mariée avec un mec de la boîte, assez triste et avait un bébé. Elle avait donc pour moi tous les signes de la femme pas disponible.

    On a fait beaucoup de pots ensemble, à rigoler et discuter, et je voyais bien son regard coquin, mais c’était impensable pour moi.

    Et puis j’ai quitté cette boîte et quelques temps après j’ai croisé un ex collègue. On a parlé du bon vieux temps.
    Et on en est venu à parler des histoires de cul au boulot et là j’ai appris que la fameuse Ludivine n’était pas farouche du tout et qu’elle s’était envoyée un grand nombre de mecs du service. Et puis qu’elle avait fini par divorcer pour se mettre avec un autre de mes ex collègues.

    En écrivant ça, je regarde ses photos sur Linkedin et twitter, et maintenant je le vois clairement, elle a vraiment l’air d’une bonne salope comme on les aime.

    1. Dommage en effet ! Pas moyen de rattraper le coup ? J’ai trop peur de me faire découvrir si je me tape des collègues. Et c’est du coup une belle frustration. Je m’imagine trop les cravates de notaires que je ferais à certains. Je suis sure que ta Ludivine a du bien s’en prendre plein le cul et profiter de son rôle de bonne salope du bureau.

        1. Je tiens les collègues à distance. Trop compliqué et nid à emmerdes. Mais oui, forcément, j’ai des avances plus ou moins fines.
          Les séminaires, surtout dans l’industrie pharmaceutique, sont les plus dangereux ! Mais il suffit de ne pas jouer, de ne pas laisser d’ouverture pour être tranquille. Alors je passe pour la nana jolie mais coincée et rangée des mobylettes. Le plus difficile est de s’échapper sans attirer l’attention et de ne pas se faire remarquer par hasard par un collègue ou une connaissance alors que je suis en date tinder ou 5a7.

          1. C’est sur il pourrait te faire chanter et te proposer « d’acheter » ton silence Note à moi même : prêter plus attention aux filles coincées différemment en séminaire maintenant.

  2. C’était en 2012, j’étais en fin de vingtaine et je venais d’emménager avec mon ex copine à Aix en Provence dans une belle résidence avec piscine et cours de tennis. Elle avait invité deux amis à elles pour un week end prolongé, dont Clara une très jolie blonde aux yeux verts, milieu de vingtaine, sportive, souriante, avec un humour un peu pince sans rire que j’adore et ce petit brin de malice dans le regard qui me fait tilter immédiatement. Le courant est tout de suite passé avec elle, on s’est charié et un peu cherché tout le week end, on a enchaîné apéro, baignade discussions rigolades. Tu connais ce genre de feeling qu’on a immédiatement avec quelqu’un qui nous plaît, ou tout est facile, fluide avec en prime l’insouciance de la vingtaine ou on n’a pas encore de famille, d’enfant de responsabilités. Ce genre de feeling avec quelqu’un, tu sais que c’est réciproque mais que ce n’est pas possible et tu ne veux pas que les autres le voit, ce qui rend la chose encore plus excitante, d’autant qu’elle avait un mec elle aussi mais qui n’était pas avec nous ce week-end là. Évidemment lors des baignades j’ai pu la regarder sous toutes les coutures, des petits seins fermes ses tetons que je devinais sous son bikini, un petit cul à réveiller les morts. On a pu profiter de chamaillerie dans l’eau pour se toucher innocemment. Elle ne jouait pas trop de son physique de bombe, je pense qu’elle savait qu’elle n’en avait pas besoin. À la fin du week-end elle est repartie il ne s’est rien passé d’autre que des petites taquineries et quelques bonnes excuses de pour se toucher le bras ou l’épaule. On s’est séparé avec mon ex et j’ai su que Clara était venue s’installer à Marseille. 5 ans plus tard je la croise par hasard à Marseille dans les pires conditions, je suis avec ma femme et une partie de ma famille, c’est elle qui me reconnaît, attablée à une terrasse de bar et qui m’appelle. Elle est légèrement emmechee et semble ravie de me croiser, elle me parle sans prêter attention à ma femme et je suis trop content pour m’inquiéter de ce que ma femme va penser. Elle m’ajoute sur Facebook et on commence à discuter. On échange beaucoup et je lui reparle de ce week-end, elle me dit qu’elle avait eu le même feeling le même picotement, on se chauffe, elle part en vacances au Brésil on continue d’échanger, elle m’envoie une photo d’elle en bikini de dos. On finit par aller boire un verre dans un bar, et au moment où je tente de l’embrasser elle tourne la tête et me sors qu’elle ne peut pas faire ça à son amie (mon ex). Le bar est plein pour moi je me prend le râteau du siècle. Elle a voulu qu’on devienne amis, j’ai évidemment décliné, faut pas déconner non plus.

    1. Waou ! Comme j’aime ce commentaire et cet extrait de vie ! Il m’est arrivé presque pareil.
      J’avais 19ans. Mon petit ami du moment était un copain avec qui je sortais parce que je ne voulais pas être seule mais il ne me plaisait pas plus que ça et en plus je ne me sentais pas d’affinités intellectuelles.
      Un jour nous sommes allé faire de la luge avec quelques amis dont son meilleur ami. On montait en haut d’une petite station et on redescendait en luge au milieu des skieurs. Son meilleur ami était hyper mignon et le courant passait vraiment bien entre nous. A tel point qu’on a fait plusieurs descentes ensemble sur la même luge. Mon copain « officiel » m’a un peu fait la gueule après mais je m’en fichais. Par contre il ne s’est rien passé avec son meilleur ami. J’ai vite rompu avec mon copain mais je n’ai jamais revu ni mon copain ni son meilleur ami. Plus de 10 ans après j’y pense encore parfois !

  3. Alors moi, il y avait une prof de mon lycée qui me faisait fantasmer, j’avais 17ans, je rêvais de m’envoyer en l’air avec elle.
    Une prof de dessin, blonde, cheveux aux épaules, environ 1.65m, silhouette fine, seins fermes, environ 90c, joli petit cul, en couple mais pas mariée. La trentaine, prénom Céline, un jour de juin elle est venue faire cours avec une robe semi-transparente, un string noir et des chaussures à talons, autant te dire que j’étais chaud comme un volcan, malheureusement il ne s’est jamais rien passé, trop timide à l’époque.

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