Sondage coquin

Salut ! Grosse flemme d’écrire aujourd’hui et pas trop d’inspiration. J’ai hâte de reprendre le travail et les déplacements professionnels qui me permettent mes escapades es adultères. En attendant j’ai besoin d’inspiration. Alors je me suis dit qu’un petit sondage pourrait nous changer les idées.
Le thème c’est SM. Quels sont vos accessoires SM préférés ? Pourquoi ? Pouvez vous raconter une petite anecdote autour de tel ou tel accessoire ou pratique SM ? J’attends vos commentaires avec impatience. Je répondrai à chaque commentaire et sachez que je vous prépare une surprise avec tirage au sort pas du tout impartial. Plus de chance pour mes lecteurs et lectrices actifs sur ce blog…bisous.

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Laika, chienne et esclave sexuelle, épisode 1

La première session avec Laika fut un peu décevante. Pas à cause de Laika, qui, la pauvre, faisait de son mieux pour plaire à son amant mais plutôt justement à cause de Patrick, son amant, qui manquait cruellement d’imagination. J’étais un peu fautive aussi. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu de plan à trois et, après le déjeuner à la brasserie j’ai laissé Patrick nous emmener chez lui pour le dessert. Son étudiante s’est montrée assez maladroite, suçant docilement mais sans sensualité. Elle embrassait et caressait son amant avec passion mais sans vraiment être attentive à ses désirs et sans trop savoir quoi faire avec moi, l’autre fille de ce trio. De son côté Patrick avait autant envie de moi que de la fille et ne semblait pas trop savoir où donner de la queue. Ce n’était pas nul parce que, heureusement, Patrick sait se contrôler. J’ai pu montrer à Laika comment lécher doucement les couilles d’un mec avant de le sucer et j’ai presque réussi à obtenir qu’elle gémisse et pousse de petits aboiement de chienne quand il l’a prenait en levrette. Mais, il faut avouer que c’était assez classique et que je restais sur ma faim après notre première session qui était plus un bon plan cul qu’une vraie séance de dressage.

Aussi, la semaine suivante je décidais qu’il fallait s’y prendre autrement. S’il voulait que je lui façonne une parfaite esclave sexuelle Patrick ne pouvait pas juste nous baiser a chaque fois que nous étions tous les trois. Patrick acceptais donc de me laisser seule avec Laika pour notre second rendez vous. Je louais un appartement sur Airbnb est achetais les quelques accessoires. Avant d’aller chercher Laika à la même Brasserie que la semaine précédente.

-« Bonjour Laika. »

-« Patrick n’est pas là ? »

-« Ne pose pas de question. Viens,  on va enfin commencer ta formation. »

Je l’emmène à l’appartement. C’est un petit studio sans âme, meublé Ikea pour des AirBnB sans grande imagination. Mais c’est très bien pour ce que j’ai en tête.

-« Déshabille toi ! »

-« Toute nue ? »

-« Oui idiote. A partir de maintenant tu t’habilles en esclave sexuelle pour nos séances. Mais d’abord, à poil ! »

Laika se déshabille docilement. Elle sait que Patrick m’a donné toute autorité pour la former et elle me fait confiance.

L’étudiante est nue. Ce n’est pas un canon mais correctement préparée je suis sure qu’elle peut être très excitante.

-« D’abord ton collier de chienne soumise. Tu devras toujours le porter. Le reste pourra changer mais tu auras toujours ce collier. »

J’ajuste à son cou le collier de cuir acheté en animalerie. Un vrai collier de chienne, pas un jouet de sex-shop. Juste comme cela, nue avec le collier la fille est  déjà nettement plus sexy. Mais pour cette session j’ai prévu un peu mieux.

-« Tiens, Laika, mets ça ! »

Je lui tends une cagoule en laine noire.

-« Pourquoi ? »

-« Patrick t’a promis que ça resterait secret. Tu ne veux quand même pas qu’on puisse te reconnaître…Aller, mets toi à genoux ! »

Je lui enfile la cagoule noire. Deux trous pour les yeux, un pour la bouche. C’est important la bouche. D’ailleurs j’ai prévu un joli rois a lèvres. Les hommes aiment une jolie bouche maquillée pour se faire sucer.

Bien sûr en plus du collier et de la cagoule j’ai prévu pour Laika un joli harnachement en cuir avec boucles et poignées un peu partout. J’ajuste le tout bien serré. Et je me mets, moi aussi en tenue. Un tailleur assez sexy genre hôtesse d’accueil. Je suis prête quand l’heureux gagnant frappe à la porte. C’est rare que je rappelle un ancien plan cul mais là c’est pour la bonne cause. Il me faut un bon gros pervers dont je sois certaine qu’il ne reculera pas devant le plan cul un peu bizarre.

-« Salut Martin, heureuse que tu aies pu te libérer ! »

Martin est physiquement l’opposé de Patrick. Il n’est pas grand, je dirais 1m70 avec un peu d’embonpoint et un début de calvitie. Mais c’est un jovial, un bon vivant plein d’humour. C’est un gros pervers mais pas violent, ni méchant et toujours souriant. Moi je lui trouve beaucoup de charme et surtout il manie sa queue comme peu d’hommes.

Pourtant quand Laika le voit et qu’elle comprend ce que j’attends d’elle c’est un « Non » catégorique. Elle n’est pas d’accord et exige de parler à Patrick. Je suis déçue, je m’attendais à plus de soumission. Mais, il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur. Si ma petite stagiaire était parfaite je ne servirais pas à grand chose. J’appelle donc Patrick. Après tout, c’est lui le propriétaire.

-« Allo Patrick, on a un différent avec ton esclave sexuelle. Enfin, plutôt potentielle esclave. Car là elle n’est pas très obéissante. »

-« Ah ? Faut que je vienne plus tôt ? »

-« Non non, comme on a dit c’est bien. Tu me la laisses quelques heures et je te la prépare. tu viens plus tard dans la nuit ou au petit matin. Mais le mieux c’est que je te la passe je pense. »

-« Allo Laika ? Explique moi. On était d’accord pour que Lucie te dresse non ? »

-« Heu, oui. Mais c’est TON esclave que je suis d’accord pour être. C’est toi que je veux satisfaire. Pas un inconnu ! En plus il est pas vraiment beau. Et j’aurais l’impression de te tromper. »

Malgré moi je suis impressionnée par le calme de Laika. Elle ne pleurniche pas. Elle explique juste quelles sont ses limites.

-« Bon, je comprends, tu sais je n’ai jamais dit que ça serait facile. Mais c’est vrai que j’apprécie ta fidélité. Et je n’ai pas trop envie non plus de prêter comme ça le petit cul de ma chienne préférée a un inconnu. Passes moi Lucie, on va trouver…disons…un compromis… »

-« Allo Lucie? C’est une bonne idée de sortir Laika de sa zone de confort. Mais c’est peut être un peu trop pour une première session, tu ne trouves pas ? »

-« D’abord c’est la deuxième session si on compte le fiasco de la semaine dernière. Et ensuite je fais quoi maintenant avec le gentil Martin ? »

-« Bin, trouve une idée. Je sais pas un truc éducatif pour Laika mais qui ne lui donne pas l’idée de me tromper. »

-« Bon ok, mais il faut qu’elle y mette du sien. Et quand tu viendras il faudra qu’on lui fasse comprendre un peu mieux le concept d’esclave sexuelle. »

-« Ok, tu proposes quoi ? »

Martin est amusé par la situation . Patient il attend. Je lui int’dique de se servir il un verre le temps que j’arrange les choses et je me penche à l’oreille de cette brave Laika toujours à genoux.

-« Bon, écoute, je comprends, Patrick et moi sommes d’accord, tu ne dois pas tromper ton maître avec un autre homme. En tous cas pas dans les premières séances…Mais sucer n’est pas trompé. Donc tu vas gentiment sucer mon ami. Et s’il te plaît tu vas t’appliquer un peu mieux que la semaine dernière. Considère ça comme un entraînement pour ton maître. D’ailleurs, parce que je suis gentille et que je sais que tu veux bien servir ton maître je vais mettre en FaceTime pour qu’il puisse voir comme tu t’appliques. »

Elle hésite.

-« Et si je refuse ? Je suis punie ? »

-« Allo? Patrick, tu as entendu ? C’est quoi la punition si elle refuse ? »

-« Dis lui juste que si elle refuse c’est fini, elle rentre chez elle et on arrête tout. »

Patrick a vu juste. Quand Laika comprend qu’il n’y aura pas de punition si elle ne se soumet pas, que c’est juste le clap de fin, elle accepte son sort et s’approche à genoux du canapé où mon gentil Martin s’est installé.

-« Ca ne te dérange pas Martin si je m’installe à côté de toi ? Je possède juste mon iPhone là pour que le maître de Laika ait une bonne vue ok ? »

-« Aller, viens ma petit Laika, viens doucement à quatre pattes entre les jambes de mon ami… »

Laika avance, doucement, elle est assez douée. Elle comprends qu’il ne faut pas avancer trop vite. Elle a toujours sa cagoule en laine noire mais ses yeux humides et sa bouche maquillée sont très sexy. Le harnais de cuir ajusté serré est du plus bel effet.

J’embrasse Martin sur la bouche et c’est moi qui défait son pantalon pour libérer sa queue. Martin a une grosse queue. Pas une longue tige mince comme certains jeunes. Lui c’est plutot le genre saussice de morteau. Grosse, bien gonflée. Il bande bien, c’est pas mou, mais pas non plus archi raide. Du coup j’ai très envie de le sucer. Mais il faut garder un peu de sérieux. C’est pas mon job. Mon job ce soir c’est le dressage.

-« Vas-y jolie Laika, pense à ce que je t’ai dis la semaine dernière. Commence par bien lécher. Dégage lui les couilles. Je veux que tu y mettes tout ton cœur. Pense que Patrick te regarde. »

Martin baisse son pantalon et son caleçon. Il s’en débarrasse totalement.

-« Dis Lucie, tu penses qu’elle peut enlever mes chaussettes et s’occuper un peu de mes orteils ta heu, comment dirais je, ta stagiaire ? »

-« Tu as entendu Laika ? C’est dans tes cordes ca j’espère ? Enlever des chaussettes? »

Laika, enfin docile, s’exécute. Elle est chanceuse. Martin est propre, il sent bon, met des chaussettes en fil d’Ecosse et fréquente le podologue. Après avoir enlevé les chaussettes elle reste quand même un peu indécise.

-« Oh ! C’est quel mot que tu n’as pas compris dans s’occuper des orteils ? C’est s’occuper ou orteils ?! »

Les larmes lui montent aux yeux mais elle prends le pied de mon ami et le porte à sa bouche. Elle commence timidement par les orteils du millieu. Martin, bon camarade, l’encourage.

-« C’est très bien petite. Vas-y, lèche, suces, t’inquiètes pas, tu t’y prends très bien. Écoute pas Lucie, tu t’en sors très bien. »

La méthode est bonne, Encouragée Laika s’applique et lèche et suce consciencieusement. Martin est aux anges. Je l’embrasse dans le cou et m’occupe de ses lobes d’oreilles. J’ai tellement envie de le sucer ! Quel gâchis de devoir laisser cette belle saucisse à une chienne débutante. Mais c’est bon de faire durer comme ça. Martin n’est pas pressé que l’on s’occupe de sa queue. Il aime prendre son temps. Et moi je me délecte de voir notre esclave débutante sucer et lécher les pieds de mon ami. Elle doit se demander combien de temps cela va durer. Mais comme elle sait qu’après les orteils elle doit sucer les testicules poilus et qu’elle devra prendre en bouche la grosse saucisse j’imagine qu’elle n’est pas si pressée que ça de délaisser les pieds. Peut être que cette sote s’imagine qu’il va jouir sans qu’elle ait besoin de le sucer.

Mais avec Martin aucune chance ! C’est pas un débutant. Puis je lui chuchote à l’oreille de me faire signe quand il voudra qu’elle s’occupe des knaki balls et de la saucisse.

-« T’inquiète pas, on a le temps. Je pense qu’elle va me lécher les pieds encore un peu. Genre une vingt minutes…Après tu lui diras de prendre bien son temps sur mes couilles. »

-« Ok, mais tu peux la guider aussi, elle comprend plein de mots… »

Tout ça on se le chuchote sur le canapé à l’oreille pendant qu’à genoux par terre la petite chienne lèche consciencieusement entre les orteils.

Quand je sens mon Martin bien mûr (et que je me lasse un peu de lui lécher les oreilles) je glisse par terre pour pincer un peu le cul de Laika. Petite tape sur mes fesses en passant. Et je m’approche de pour lui indiquer la suite du programme. Je pose ma bouche contre la laine de sa cagoule, juste au niveau de l’oreille.

-« C’est bien, je pense que les pieds ça suffit. Maintenant tu vas lui lécher les couilles et faire exactement comme il dit. N’oublies pas que Patrick te regarde. Si tu veux qu’il soit gentil avec toi quand il va venir il faut t’appliquer.»

Je la pousse un peu pour qu’elle remonte le long des cuisses de mon ami. Il pose sa main sur sa nuque. Juste sur le collier en cuir.
-« Hum, c’est très bien, n’écoute pas trop Lucie, tu es douée. Lèche tout doucement. Prend la peau de es couilles entre tes lèvres. Oui…bien délicatement. Tu lèches, tu prends ton temps. Bref tu t’appliques. »

-« Regarde le dans les yeux aussi ! Les hommes aiment bien qu’on les regarde quand on les suce. »

Tiens je te passes aussi Patrick qui va t’encourager.
Je mets mon iPhone toujours en Face Time a portée de vue de Laika. La voix de Patrick est rendue un peu nasillarde par l’iPhone.

-« C’est bien. J’ai l’impression que tu fais des progrès. J’espère que tu me suceras comme ça maintenant. Continues, je suis fier de toi. »

J’ai mis Martin torse nu et je l’embrasse partout au dessus de la ceinture. Je sais que le jeu est de faire durer le plus possible. Laika doit lécher et sucer à n’en plus avoir de salive. Je retarde le moment où elle devra prendre la grosse queue bien à fond dans sa gorge car en bonne esclave sexuelle elle doit savoir passer le plus de temps possible à satisfaire son maître ou tout autre personne choisie par son maître. Mais le problème c’est que tout ça me donne furieusement envie de baiser moi aussi. Martin, lui il n’est pas pressé. Il a bien compris qu’il n’était qu’une sorte de mannequin d’entrainement. Une fois qu’il aura déchargé on le mettra à la porte. Alors comme il est bien en notre compagnie il fait durer.

C’est Patrick, toujours en FaceTime qui donne le signal : « C’est bon Laika, fini le. Je veux que tu suces bien à fond sa queue et que tu avales bien tout quand il déchargera. Après vous le mettez dehors et je viens pour m’occuper de ton petit cul de chienne. »

J’aurais du prévoir une laisse pour qu’il puisse la tenir en se faisant sucer. Mais, conne que je suis, j’ai oublié. Tempi, la prochaine fois. En attendant je sens Martin qui se raidi. Il lutte pour se retenir. Dommage, elle vient à peine de faire quelques pompes de sa queue. Je trouve qu’elle pourrait serrer plus fort. C’est un peu bâclé cette pipe sur la fin. Il décharge et j’ai juste le temps de plaquer ma main derrière la tête de Laika pour l’empêcher de recracher la grosse saucisse et la sauce. Laika ouvre des grand yeux et semble au bord de l’étouffement. A mon avis il y a une quantité de sperme respectable. Je ne m’inquiète pas. On ne peut pas étouffer si le nez n’est pas bouché. Mais je pousse fermement la tête de Laika contre le bas ventre de Martin. Je veux qu’elle le garde en bouche jusqu’à ce qu’il ait complètement débandé. Elle devra ensuite le lécher pour qu’il soit tout bien propre.

On sonne à la porte. C’est Patrick qui décidément ne devait pas être bien loin.

Je demande à Martin de se rhabiller fissa et je vais ouvrir.

-« Hey ! Patrick ! tu as vu. Elle fait des progrès ta petite chienne ! ».

-« Oui, j’ai bien fait de te la confier. C’est quoi le programme maintenant ? »

-« Écoutes, je te la laisse. Je pense qu’elle a bien mérité un peu de temps seule avec toi. Moi tout ça m’a donné envie de raccompagner  Martin à l’Hôtel… »

 

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Esclave sexuelle

Une jeune esclave sexuelle

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Patrice est professeur de droit à l’université de Montpellier. Il est mince, grand, dans le millieu de sa quarantaine. Patrice aime dominer. 2018, cette année là une jeune étudiante de première année tombe sous son emprise. Peut-être être était-elle en difficulté dans ses études. Ou simplement fascinée comme un lapin dans la lumière des phares. Moi, je ne sais pas tout de leur histoire car j’entre en scène alors que la jeune étudiante a déjà débuté son « apprentissage ». Fin du premier trimestre dernière semaine avant les vacances de Noël. Difficile de résister à sa proposition de Patrick : Participer au dressage de sa toute jeune esclave sexuelle. Mieux même, il me propose carrément de superviser la formation de son esclave sexuelle.  Je dispose de la fin de l’année universitaire pour faire de sa jeune amante une soumise parfaite. A moi de le surprendre, de façonner son jouet. Seules règles qu’il a du négocier avec la fille : son esclavage doit rester secret et je dispose de 24 heures par semaine du mercredi au jeudi midi. En éducation la régularité à son importance. Bien sûr mon status de femme mariée, mère de famille ne me permet pas de participer à toutes les séances mais Patrick, propriétaire de cette jolie femelle, accepte de suivre à la lettre mes instructions pour les sessions auxquelles je ne participe pas.

 

 

Premiers contacts, adopte une chienne…

Les présentations ont lieu à l’heure du déjeuner dans une brasserie à côté de la gare, à deux pas de la maison de ville de Patrick.

L’étudiante a un physique assez banal. Taille moyenne, ni grosse ni mince, un visage rond plutôt joli et des cheveux blonds mi longs. Quand j’entre dans la brasserie ils sont assis côte à côte, Patrick à la main posée sur sa cuisse, assez haut. Elle est en jean les jambes serrées. Je remarque qu’il fait pression pour qu’elle soit forcée d’écarter un peu les jambes. Elle baisse les yeux, rougit mais ne résiste pas.

-« Salut Lucie. » Il se lève sans ôter sa main de la cuisse de son étudiante pour me faire la bise par dessus la table.
-« Salut Patrick, tu me présentes ton amie ? »

-«Lucie, je te présente…heu enfin, pardon, j’ai promis de ne pas dévoiler son nom ni son prénom. Et puis, elle est au courant de notre arrangement. Si tu veux tu peux choisir comment tu veux m’appeler »

-« Au courant, au courant ? »

-« Bon, disons dans les grandes lignes…Justement on va préciser un peu les choses… »

-« Ah ? Pourquoi pas, donc à moi de trouver un prénom pour cette jeune fille donc ? »

-« C’est ça. »

La fille ne semble pas triste ni effrayée. Un peu intimidée. Je décide quand même de la tester un peu. Je n’ai pas envie de faire quelque chose de déloyal ou de trop malsain.

-« Pardon d’être crue directe mais c’est assez important. Tu es bien d’accord pour que je t’éduque sexuellement ? C’est bien ce que tu veux ? »

-« oui. »

-« C’est un peu timide comme réponse, j’ai besoin d’être sûre. Tu peux comprendre. »

-« oui, c’est sûr. Je veux plaire à Patrick, et il m’a expliqué que vous sauriez vraiment me rendre parfaite pour lui. »

La main de Patrick est remontée sur la cuisse de la jeune fille. Il la caresse sans gêne. Je dois avouer que la situation m’excite.

-« Ok, puisqu’on est tous d’accord, je veux bien m’occuper de toi. Et comme il te faut un nom qui te convienne à partir de ce maintenant tu t’appelles…Laika. »

-« Lucie ! Tu es parfaite ! Je n’aurais pas trouvé mieux ! Un vrai nom de chienne ! Tu es géniale ! Laika ! Ça lui va tellement bien ! Faudra quand même que je fasse attention à ce que ça ne m’échappe pas en cours ! »

La fille rougit mais elle souri timidement. Elle ne semble pas traumatisée.

-« Ok, Laika ça me va. »

Patrick fait signe à la serveuse. Qui en l’occurrence est un serveur. Il ne s’embarrasse pas à demander à la fille ce qu’elle veut.

-« Deux steaks tartares. Lucie, tu prends quoi ? »

-« Sèche à la plancha s’il vous plaît. »

-« En dessert ? »

Là c’est moi qui prends les devants.

-« Non, pas de dessert, on est un peu pressés. Nous avons pas mal de choses à faire… »

Le serveur, qui a naturellement remarqué la main baladeuse de Patrick n’a pas besoin de mon clin d’œil appuyé pour comprendre que notre après midi risque d’être fort sexy.

Entre décembre 2018 et juin 2019 j’ai supervisé exactement 18 séances de dressage de Laika. Je suis très fière du résultat. si vous êtes sages et si vous commentez cet article je vous raconterai de temps en temps comment j’ai rempli ma mission et façonnée une parfaite esclave sexuelle pour mon ami Patrick.

 

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Vanessa femme adultère

Merci à Lucie de me laisser un peu de place dans son blog si excitant !

J’ai 39 ans et j’ai découvert le bonheur extra conjugal depuis trois ans maintenant. Du sexe et de la complicité mais toujours sans attache, pour l’équivalent d’un CDD. Pour moi l’idéal c’est trois mois renouvelable une fois. Toujours sur internet et sous une fausse identité. Pas loin de chez moi mais pas trop près non plus. Entre 30 minutes et 1heure de voiture. Autour de Rouen ça nous laisse une belle aire de jeux…

Je n’aime pas les coups d’un soir car j’aime construire, prendre le temps d’explorer, d’apprendre l’autre et d’aller à chaque fois plus loin. Les mots cochons ne viennent pas forcément bien la première fois. Pareil pour la sodomie, il me faut du temps pour l’accepter d’un homme et c’est toujours un grand moment.

Alors si sur cinqasept vous croisez VanessaCDD vous saurez que c’est moi. Vous saurez que j’aime autant les dentelles que les sous vêtements en cuir avec boucles chromées et poignées opportunément positionnées pour un chevauchée sauvage. Vous saurez que j’ai le crescendo,  les jeux coquins et les costumes. Vous saurez que je suis Normande, timide au début puis de moins en moins. Et si vous êtes disponible pour un CDD vous déposerez votre pédigrée.

Et si vous laissez ici un commentaire je le lirai peut être

Baisée en collants

Collants à pois ou bas résilles ?

Les collant respectable. Les bas résille ça fait pute. Voilà un préjugé que j’adore contredire. Même si je n’ai rien contre le fait de faire la pute en lingerie sexy, je sais que parfois il suffit juste d’être la fille normale habillée sans chichis pour devenir finalement très excitante a consommer. Alors pour un premier rendez-vous je peux choisir une paire de collants noirs à gros pois sur une robe d’été pas trop courte. Souliers vernis à petits talons.

Sainte-Affrique, bourgade paisible et provinciale. Un homme simple et sans signe particulier dont je risque de me souvenir. Probable que si je le recroiser dans six moi je ne le reconnaîtrai pas. Il ne sais pas encore que je vais me donner à lui ce soir puisque j’ai choisi un site de rencontre assez neutre plutôt branché recherche de l’amour sincère. C’est aussi une prise de risque pour moi car il peut jouer les gentleman jusqu’au bout. Mais je croise les doigts (et mes jambes en collants) pour que ce ne soit pas le cas. En m’y prenant habilement ça ne devrait pas être trop difficile de l’attirer dans mon AirBnB juste  après le restaurant. Pour un dernier verre, et plus si affinités..

Le repas est encourageant. Mon rendez vous à des difficultés à ne pas attarder ses regards sur ma grosse poitrine gonflant ma robe d’été. Mais il s’efforce de regarder les yeux autant que le reste quand nous parlons. La conversation ne s’enlise pas et nous réussissons assez bien à éviter les longs silences gênants. Je joue le rôle que je me suis préparé. Celui d’une jeune femme fraîchement divorcée et déçue par les hommes mais n’ayant pas perdu tout espoir. Pour l’apéritif je commande un spritz puis un deuxième et pendant le repas je le laisse remplir mon verre de vin plusieurs fois. Je remarque qu’il boit bien moins que moi. C’est bon signe, je suis presque certaine qu’il essaie de m’alcooliser pour mieux me faire céder plus tard à ses avances. Il ne sait pas que c’est gagné d’avance et qu’il va évidement pouvoir baiser la jeune fille en collants. C’est parfait ainsi. Tout ce que j’aime et qui m’excite… Je ri à ses blagues, baisse les yeux gênée quand les questions se font un peu intimes ou qu’une allusion est un peu trop grivoise au goût de mon personnage. Mais je laisse me faire maladroitement du pied sous la table. J’hésite à déchausser mes talons pour caresser son mollet du bout de mes orteils couvert du fin nylon de mes collants. Mais je n’ai pas trop envie de lui envoyer des signaux trop évidents. Je veux qu’il subsiste un doute sur l’issue de notre rendez vous jusqu’au dernier moment.

J’accepte de dire qu’il me plaît. Que quelque chose serait possible. Mais j’ajoute aussitôt que je ne suis pas de celles qui couchent le premier soir. Sa déception est presque palpable même s’il essaie de n’en laisser rien paraître. Au troisième verre de blanc (j’ai choisi le Sandre) je lâche que je devrais ralentir sur la boisson car sinon j’ai peur de ne pas être aussi sage que je devrais. Mais je le laisse commander une seconde bouteille. Après le dessert et quelques verres encore plus le digestif offert par le patron je n’ai pas besoin de faire semblant d’être pompette. Je pose ma main sur la sienne et lui demande, candide : « Je crois que j’ai  un peu trop bu. Il va falloir que tu m’aides à rentrer chez moi. Mais te fais pas d’idées, on va pas coucher ! »

Marcher dans la rue en collants et robe légère

Gentleman, il paie, je lui fais un petit bisou sur le coin de la lèvre pour le remercier et nous quittons le restaurant bras dessus, bras dessous mais je remonte sa main quand il essaie de la poser sur mes fesses. Pourtant le contact sur mon petit cul à travers le fin tissu de ma robe et le nylon de mes collants m’électrise. Mais il faut savoir se refuser, laisser monter le désir et la frustration. Peut être remarque-t-il que j’ai les seins qui pointent. Ça va être difficile de ne pas me jeter sur lui une fois chez moi. Mais je suis bien décidée à jouer les prudes le plus longtemps possible et de miser sur le fait que plus il sera frustré mieux il me démontera l’arrière train quand je lui céderai.

Par deux fois sa main redescend vers mes fesses, par deux fois je la replace sur ma hanche. En plus il a une grosse montre à bracelet en métal et j’ai peur qu’elle s’accroche et file mes collants s’il lui vient l’idée de passer sous ma robe légère. Aucune envie que le spectacle de mon beau petit cul dans les collants à poids soit gâche tout à l’heure par un fil de nylon mal tiré. Je peux être assez maniaque du détail en matière de plan cul !

-« Bon, bin voilà, on est à mon immeuble. Merci… »

-« Heu…de rien… »

Je me délecte de sa mine déconfite quelques longues seconde.

-« Écoute, le prends pas mal mais je couche jamais le premier soir…Bon, si tu promets d’être sage je veux bien te payer un dernier verre… »

Bien sûr il promets. Alors je lui refais un petit bisou, sur la bouche cette fois. Avec juste le bout de ma langue brièvement sortie. Nous entrons et je passes devant dans l’escalier pour lui laisser mater mes jambes et essayer de deviner si je porte des bas ou des collants.

Arrivés à ma porte je cherche les clefs dans mon petit sac à main. Je tourne la clef dans la serrure et je fais semblant d’avoir du mal à ouvrir la porte. C’est une technique pour qu’il se rapproche de moi et m’aide à pousser. Quand il est contre moi son odeur m’excite, je ne peux pas m’empêche de poser mes lèvres sur son cou.

-« Heu, ça va être dur d’être sage si tu continues à l’embrasses sans prévenir. Tu serais pas un peu allumeuse ? »

-« Oh, pardon. J’ai dis que je ne couchais pas le premier soir. Mais j’ai pas menti, tu me plaît. Les bisous c’est pas pareil. Et puis rappelle toi, tu as promis…même si je sais que les promesses ne concernent que ceux qui les entendent… »

La porte cède et nous entrons.

Le studio est petit avec un canapé sur lequel je lui propose de s’installer et une malle rectangulaire en vieux bois clouté qui sert de table basse et de meuble de rangement pour une collection de whisky et de vieux rhum. La malle aux trésors est une idée du proprio du Airbnb. On peut consommer mais il faut réapprovisionner.

Je lui demande s’il est amateur de Rhum ou s’il préfère un doigt de whisky. Je suis certaine que l’allusion au juste un doigt de la citée de la peur ne lui a pas échappé. Mais il s’abstient de toute blague graveleuse.

Je lui tourne le dos et me baisse pour prendre la bouteille dans la malle en bois cloutée. Je prends soin de garder les jambes tendues et de me baisser légèrement cambrée. Je sais qu’il a une vue parfaite sur mon joli cul moulé dans mes collants et ma robe. Mais il a finalement décidé de ne pas se contenter uniquement de la vue à en croire les mains que je sens sur mes hanches. Je fais mine d’être surprise mais je reste penchée et ne me dégage pas.

-« Hummm, nooon, tu avais promis. S’il te plaît… »

Ma bouche dit non mais clairement pas mon corps.

-« Dis donc, tu ne serais pas une petite allumeuse par hasard ? »

-« Non…s’il te plaît, sois gentil…mes collants… »

-« Mais je suis gentil ! C’est plutôt toi qui est vilaine !»

Ses mains enserrent assez fermement ma taille fine et il appuis avec les pouces juste dans le creu de mes reins pour m’indiquer qu’il souhaite que je reste penchée en avant sur la malle de bois. Je me cambre légèrement, je résiste un peu mais sans me relever. Mon cœur ainsi que ma respiration s’accélèrent. Je le laisse relever ma Jupe tout en protestant un non timide qui veut dire oui tellement il est gémissant.

Tu peux imaginer mon joli cul de salope allumeuse, mes collants à pois et ma jupe relevée. Sous les collants je n’ai pas de culotte, juste mon petit abricot ferme et juteux. Qu’aurais tu fait à sa place ? Lui il mets une main sur ma nuque pour me tenir ainsi penchée et il fait un truc qui me rend  folle rien que d’y repenser. Il tapote mon abricot du bout des doigts, lentement, doucement. Je m’attendais à des caresses, ou une bonne fessée bien méritée. Mais il se contente de tapoter doucement et régulièrement mon con à travers le nylon de mes collants. Imagine toi à sa place, la paume de ta main sur mon cul et deux doigts qui battent une mesure très lente sur mon cameltoe gonflé à travers le nylon de mes collants. A charge battement tes doigts se posent et pressent délicatement. A chaque battement je me cambre pour essayer de venir à la rencontre de tes doigts que j’aimerais fureteurs alors qu’ils sont juste posés là pour me rendre folle. Un petit gémissement m’échappe à chaque fois. Tu fais durer, j’ai très chaud et la mouille doit commencer à transpirer à travers le nylon de mes collants. A ce stade ça me serait bien égal que tu les déchires pour aller plus loin. Mais tu continues, imperturbable à battre la mesure. Quand enfin j’entends le cliquetis caractéristique d’une boucle de ceinture qui se défait je gémis un : « oh oui…hummmm » pensant que tu vas enfin déchirer mes collants et me prendre en levrette. Mais à la place tu remplaces juste tes doigts par ta queue qui vient au même rythme tapoter mes collants mouillés.

-« Bin alors, tu dis plus non ? T’as plutôt l’air d’en avoir envie maintenant. »

-« Hummmm, oui, c’est bon, fais moi ce que tu veux. Tempi pour mes collants… »

Mais, tout en contrôle, tu continues à marteler doucement mon con avec ta bite bien dure.

Je n’en peux plus, tempi pour mes collants, je mets mes mains sur mes fesses et c’est moi qui déchire mes collants j’ai trop envie de me faire prendre en levrette.
Je pousse un long gémissement quand ta queue glisse dans ma Chatte tout lisse et épilée. La suite dure longtemps, tes va-et-vient amples et profonds me font haleter et couiner comme une chienne en chaleur. J’ai déjà jouis trois fois quand tu décides de changer de trou. D’abord avec ton pouce pour préparer mon anus puis très lentement ta grande queue bien sûre qui me fait pousser des petits couinement à chaque centimètres d’enculage supplémentaire. Je suis épuisée mais heureuse quand tu enlèves ton préservatif pour éjaculer sur le bas de mon dos.

Je suis une salope comblée, dis moi dans quelle ville tu aimerais que l’on se retrouve prochainement.

 

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