Salope virtuelle en confinement

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Bon bin voilà fin de la bamboche pour mon petit cul de salope adultère. Fin des cinq à sept pour une durée indéterminée. Je vais donc vous mettre à contribution pour le blog une fois de plus. Mais je saurai me montrer reconnaissante avec les meilleur.e.s contributeurs.trices

J’ai donc imaginé le jeu de la salope virtuelle en confinement.

Tout commence comme dans un jeu vidéo X par une pièce entièrement vide. Dites en commentaire comment vous la voulez meublée, un lit? Pas de lit? Des accessoires SM médiévaux ? Lâchez vous. Je m’occupe du reste. Dites aussi comment vous me voulez habillée juste pour vous ? Suis seule ou avec une amie ? Une inconnue ? Une femme que vous connaissez ? Je choisirai les propositions qui m’inspirent le plus.

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

13 réflexions au sujet de « Salope virtuelle en confinement »

  1. Bonjour Lucie,
    Je vais répondre exactement à ta demande, car je suis quelqu’un de rigoureux.
    La pièce : le bureau d’un de tes clients, un bureau de directeur, assez grand, avec un fauteuil très confortable très confortable, mais aussi une banquette et une table basse pour accueillir des personnes de façon plus intime.
    Toi : vêtue d’une jupe crayon, d’un joli chemisier offrant un joli décolleté. En dessous, un ensemble de lingerie coordonné avec des bas maintenus par un porte jarretelles, un string et un soutien gorge. Au pied, des jolis escarpins.
    Partenaire : une jeune stagiaire de 20 ans en école de commerce, un corps athlétique. Vêtue d’un pantalon noire taille slim, un chemisier, des escarpins. En dessous, une culotte serre taille et un soutien gorge assorti.
    Scénario : je suis un client, pervers, et prêt à vous acheter tout ce que vous souhaitez si vous vous montrez convaincantes.

    J’espère que cela t’inspirera…
    Pierre.

  2. Je meublerais la pièce d’une croix de st André, d’un pilori, d’une cage et de tout les accessoires nécessaires. Vous seriez au début au pilori, vous porteriez une robe courte, bustier avec les seins à l’air, des bas autoportant et des hauts talons. Dans un coin, il y a un fauteuil dans lequel j’ai pris place. la salle est éclairée par des bougies un peu partout… Pour cette soirée j’ai invité une amie qui a l’autorisation de s’occuper de vous sans aucune limites, car vos ordres sont simple : Vous lui obéirez comme si c’était moi, ne me décevez pas surtout

  3. Lucie B avance dans ce couloir, au fur et à mesure qu’elle s’approche, la peur laisse place à l’excitation. Déjà 3 semaines qu’elle est confinée avec mari, enfants et insipide vie de bourgeoise de province. Trois semaines que son désir d’être à nouveau la putain d’un homme de passage la brule de l’intérieur. Bonnes intentions ou non, cette voix d’homme l’excite, les scénarii les plus pervers lui passe par la tête : Tantôt attachée les mains dans le dos et baisée exclusivement par l’anus, puis forcée à sucer la queue souillée, tantôt utilisée comme bouche à queue et gorge profonde, à la limite de l’étouffement, jusqu’à être recouverte de foutre épais et abondant. Lucie est humide, sa chatte est en feu de n’avoir été honorée comme il se doit depuis si longtemps.
    Elle arrive à la porte et entre dans la pièce. La lumière vacillante est celle d’un feu de cheminée qui éclaire partiellement cette grande pièce. Au centre, un grand canapé est placé devant l’âtre et en face dans la pénombre l’homme dont elle a entendu la voix est assis dans un fauteuil. Dans chaque coin de la pièce une porte dont on ne sait où elle mène.
    « J’avais promis de vous rendre votre liberté, c’est chose faite. Maintenant c’est à votre tour d’honorer votre part du marché. Je vais désormais te tutoyer mais toi tu ne diras rien. »
    Lucie B ne dit mot mais elle ne peut se retenir de se mordre la lèvre d’excitation.
    « Mets-toi sur tes genoux, à la place de la chienne ». Dit-il d’un ton calme et assuré.
    Lucie s’exécute, elle aime être traitée de la sorte, elle sent qu’elle va être baisée sans ménagement, peut-être même salement, voir même…douloureusement, cette idée d’être à nouveau une catin au service de l’instinct animal masculin fait instantanément mouiller son sexe abondamment.
    L’homme se lève et passe derrière elle pour lui bander les yeux.
    « Tu n’as pas à voir, ce n’est pas nécessaire qu’une putain voit, tu es là pour être utilisée, tes yeux ne te servent à rien. «
    L’homme retourne s’assoir en la laissant là et ne dis plus rien. Lucie, sur ses genoux qui commencent à lui faire mal d’être à même le sol, trépigne. La douleur s’intensifie mais Lucie est trop en chaleur pour que cela lui pose problème. La vraie douleur c’est cette attente, trop longue, Lucie veut du sexe et chaque minute qui passe la rend d’autant plus folle d’excitation.
    Lucie étant à la base sur le point d’aller se coucher n’avait pas pris le temps de s’habiller, elle portait une nuisette courte qui laissait entrevoir la naissance de ses fesses. Bien que dans son rôle de Lucie E, elle ne pouvait totalement renier la salope en elle et ne portait à se titre, pas de culotte. A chaque mouvement de Lucie visant à soulager ses genoux, la nuisette remonte d’autant laissant entrevoir un peu plus sa chatte lisse et moite.
    Elle s’était désormais habituée à son bandeau, être privée de la vue avait éveillé ses autres sens. Son sexe était désormais tellement humide qu’elle pouvait sentir le moindre filet d’air entre ses jambes la caresser. L’homme finit par rompre le silence
    « Elle est à point, c’est l’heure»
    Lucie entendait alors les portes s’ouvrir une, deux puis trois. Chacune laissant deviner que quelqu’un venait d’entrer…

  4. peut-être même salement, voir même…douloureusement, cette idée d’être à nouveau une catin au service de l’instinct animal masculin fait instantanément mouiller son sexe abondamment.
    L’homme se lève et passe derrière elle pour lui bander les yeux.
    « Tu n’as pas à voir, ce n’est pas nécessaire qu’une putain voit, tu es là pour être utilisée, tes yeux ne te servent à rien. «
    L’homme retourne s’assoir en la laissant là et ne dis plus rien. Lucie, sur ses genoux qui commencent à lui faire mal d’être à même le sol, trépigne. La douleur s’intensifie mais Lucie est trop en chaleur pour que cela lui pose problème. La vraie douleur c’est cette attente, trop longue, Lucie veut du sexe et chaque minute qui passe la rend d’autant plus folle d’excitation.
    Lucie étant à la base sur le point d’aller se coucher n’avait pas pris le temps de s’habiller, elle portait une nuisette courte qui laissait entrevoir la naissance de ses fesses. Bien que dans son rôle de Lucie E, elle ne pouvait totalement renier la salope en elle et ne portait à se titre, pas de culotte. A chaque mouvement de Lucie visant à soulager ses genoux, la nuisette remonte d’autant laissant entrevoir un peu plus sa chatte lisse et moite.
    Elle s’était désormais habituée à son bandeau, être privée de la vue avait éveillé ses autres sens. Son sexe était désormais tellement humide qu’elle pouvait sentir le moindre filet d’air entre ses jambes la caresser. L’homme finit par rompre le silence
    « Elle est à point, c’est l’heure»
    Lucie entendait alors les portes s’ouvrir une, deux puis trois. Chacune laissant deviner que quelqu’un venait d’entrer…

  5. Novembre 2020, la France se reconfine et avec elle la liberté de jouissance de Lucie B. Lucie E, son alter ego, l’épouse, la mère de famille bcbg, pour tenir, n’a d’autre choix que de museler temporairement la catin. Elle passe néanmoins son temps à imaginer ce que sera sa vie quand elle sortira à nouveau, fantasme ses escapades et crée ses multiples scenarii dans ce futur incertain.
    Lucie B se connecte le soir sur son blog, s’injecte sa dose quotidienne, avant de se résoudre à redevenir Lucie E, la prisonnière frustrée, et d’aller se coucher dans cette vie dont elle ne peut plus s’échapper comme avant.
    Comme à l’accoutumée, Lucie B après s’être enivrée de fantasmes, s’apprête à redevenir E en se déconnectant, mais un commentaire énigmatique, anodin en apparence, attire son attention. L’auteur, anonyme, lui propose de lui rendre sa liberté en contrepartie qu’elle lui offre sa totale soumission en retour. Amusée mais néanmoins intriguée, elle lui répond d’une pirouette dont elle a l’habitude d’user auprès de ces mâles vendeurs de rêves, prêts à tout pour se frayer un chemin entre ses jambes.
    « Mais peut-on libérer la liberté ? 😉 Vous avez 4 heures ! Bonne nuit petit coquin ». Elle reçoit une réponse immédiate : « La vôtre sera libérée si vous poussez l’armoire au sous-sol, à côté de la cheminée victorienne »
    Un frisson la glace instantanément. Il y a effectivement dans le sous-sol de cette grande bâtisse une armoire laissée par les anciens propriétaires au milieu d’autres babioles dont Lucie E n’a pas encore eu le temps, ni l’envie de se débarrasser. Comment peut-il savoir ? Un autre message arrive « J’ai votre attention ? Descendez, maintenant. »
    La peur et l’excitation se mélangent subtilement, la femme respectable et la catin en manque s’écharpent intérieurement, que faire ?
    Lucie n’a pas le choix, elle se sait découverte, elle doit descendre, elle se rend dans le sous-sol et va inspecter l’armoire. Ce grand meuble massif est vide et refuse de bouger d’un millimètre.
    Lucie inspecte le fond de l’armoire et en tâtonnant actionne un mécanisme qui ouvre le fond et laisse place à un tunnel. Au fond de ce tunnel une lueur vacillante qui semble provenir d’une pièce dérobée. Une voix d’homme affirmée s’élève « fermez la porte et rejoignez-moi »
    Lucie B aurait le choix de rebrousser chemin et de refermer cette porte ou de s’enfoncer dans ce couloir pour découvrir cette pièce, cet homme et ce qui l’attend…

  6. Tu es dans un cabinet médical. Tu as choisi un grand ponte parisien car tu souffres d’une grave affection et après plusieurs consultations en province aucun des médecins que tu as consultés n’a réussi à te guérir.
    Le cabinet est situé dans un immeuble Haussmannien, haut plafond, moulures, l’odeur de parquet ciré et de cuir emplie tes narines.
    La salle d’attente meublée avec des fauteuils empire contraste avec le cabinet dans lequel tu viens d’entrer.
    À l’exception d’un bureau droit empire lui aussi, le mobilier est moderne. 2 fauteuils Starck transparents devant le bureau, un canapé le long du mur, une table d’auscultation et un tabouret à roulette complètent le mobilier.
    Un éclairage très médical digne d’une salle d’opération baigne la pièce.
    Le médecin, la cinquantaine, cheveux légèrement grisonnants en blouse blanche t’accueille.
    -Bonjour Madame Bayeul,
    -Bonjour docteur
    -Que puis je faire pour vous ?
    -Voilà docteur, mon mari et moi voudrions pratiquer la sodomie, mais lorsqu’il s’approche pour m’enculer, j’ai de très fortes contractions anales qui l’empêchent de me pénétrer.
    -Je vois, ne vous inquiétez pas, cela se guérit très bien.

    Il t’invite alors à t’allonger  sur le canapé pour que tu lui racontes tes premières expériences sexuelles : la première fois que tu t’es masturbée, la première fois que tu as sucé une queue, ton orgasme le plus intense…
    et enfin ta première tentative de te faire enculer.
    Tu lui racontes avec moultes détails et tu vois qu’il commence à bander.
    -Madame Bayeul, j’ai besoin de vous examiner. Déshabillez vous.
    Tu quittes ta robe, et tu t’allonges sur la table d’auscultation.
    Il sort son stéthoscope et le pose sur tes seins descend sur ton ventre et sur ta chatte. Le contact froid t’excite.
    Il te demande alors de te masturber.
    Tu t’exécutes, tu commences à mouiller. Pour une fois ce n’est pas toi qui décides du scénario.
    -C’est bien, mettez vous à 4 pattes. J’appelle mon assistante. Veronika s’il vous plaît !

    Une blonde en blouse blanche ras du minou avec un large décolleté entre dans la pièce.
    Elle tient à la main un long gode souple à double tête.

    L’assistante vient se placer derrière toi. Tu lui présentes ton arrière train offert, ta chatte bien humide. Tu sens qu’elle introduit ses doigts dans ta chatte et qu’elle te verse du gel sur le cul.
    -Docteur cela fait il partie de la thérapie ?
    -Oui
    Et tu sens qu’elle t’introduit brusquement le gode dans le cul. Même si tu l’avais un peu anticipé tu pousses un cri.

    Il s’approche de toi et défait son pantalon.
    -Montrez moi comment vous sucez

    Tu commences à te dire que tu as bien fait de venir consulter un spécialiste. Tu le fais bander dur avec une pipe dont tu as le secret, en prenant bien soin de ne pas le faire gicler.

    Pendant ce temps Veronika est montée sur la table et s’est empalée de l’autre côté du gode. Tu sens ses fesses qui viennent taper contre les tiennes et le gode qui s’enfonce loin dans ton cul.  C’est bon, même si ça ne vaut pas une bonne bite bien dure.

    -Vous voyez Madame Bayeul, on y presque. ..

    Il te fait descendre de la table et te ramène sur le canapé, te renverse sur l’accoudoir et te prend par derrière. Il a gardé sa blouse blanche, il est plutôt bien membré et te ramone agréablement la chatte tout en jouant avec le gode toujours dans ton cul.
    -Madame Bayeul je crois que nous sommes sur la bonne voie, venez vous asseoir sur le tabouret.

    Tu t’assieds avec les fesses légèrement dans le vide. Tu es penchée en avant, les mains appuyées sur la table d’auscultation. Le docteur t’enlève le gode et le remplace par sa queue bien dure. Elle rentre évidemment comme dans du beurre. Il a les mains sur tes seins et t’encule profondément. Les mouvements du tabouret à roulettes accentuent ses coups de rein.

    Véronika est allongée sur la table. Elle te plaque la tête pour que tu lui bouffes le minou.

    Le docteur accélère le rythme, tu cries de plaisir. Il lâche tout dans ton cul, pendant que son assistante gémit une main entre les cuisses, l’autre se carressant les seins.

    -Madame Bayeul, je crois que vous êtes guérie !

  7. Salut Lucie, merci pour ces articles excitant
    Si il y a une fille qui lit et qui a envie de se faire dominer par un BG en region parisienne… J ai une gaule de confiné !

  8. Puisque c’est virtuel alors autant faire dans l’invraisemblable. Tu as tout juste 18ans. C’est l’année du bac pour toi. Tu n’es plus vierge mais quand même très inexpérimentée. Tu dois passer l’oral de rattrapage en histoire géographie et il te faut au moins 15 sur 20 pour rattraper les points qui te manquent. Je. Suis le professeur, j’ai pris pas mal de retard avec les autres candidats et tu es la dernière. Le lycée s’est vidé petit a petit. Je ferme à clef la porte de la salle de classe…

  9. Déjà, merci pour ce blog qui m’excite tant que j’ai du mal à me retenir : je veux me branler à chaque ligne ! Vous réussissez votre pari, et je ne peux imaginer comment vous devez être, une fois… enfourchée !

    Pour répondre à vos interrogations, voici comment j’imagine la scène. Vous, seule, en collants, jupe au look professionnel où l’on devine les contours saillants d’un cul bien rebondi.

    La chambre est extrêmement dépouillée et simple : lit à deux places, commode et dressing dans le fond. Pas d’accessoires : vous êtes assise, les jambes croisées, le regard brûlant de désir et un simple regard de votre part suffit à donner une incroyable érection. Quant à vos lèvres, elles n’appellent qu’à une fellation immédiate.

    Lorsqu’on s’avance vers vous, toujours assise, le parquet craque légèrement. On imagine aisément votre chatte qui mouille et pulse en attendant de vous faire prendre par la personne face à vous. Vous entrouvez légèrement les jambes pour laisser paraître une culotte en dentelles.

    Je ne vous en dis pas plus ; la suite, pour plus tard 😜

  10. Salut je suis Mickey bzh de Quimper je viens vers toi pour en savoir plus sur le sex libre j’ai une compagne depuis bientôt 18 ans et c vraiment plus le pieds au lit. Sinon moi j’ai 35ans et voilà je ne sais pas quoi tu dire de plus, recontacte moi stp bonne continuation amuse toi bien

  11. Pour ma part, je te verrai bien dans un donjon SM, avec croix de St André, bâillon, sangle, collier de chienne et laisse, tu est avec une policière en uniforme, une belle brune à gros seins typé latina qui vas te corriger et se service de toi comme sextoy, tu seras condamné à la faire jouir.
    Et si elle as aimé, tu auras le droit de jouir.

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