Deux belles salopes pour un chanceux

Mon amie suédoise sexy

Mon amie Clarika est Suédoise,  genre Heidi Klum montée sur échasses. Je toise presqu’un mètre quatre vingt et je suis obligée de mettre des talons 👠 pour être à sa hauteur quand elle est en sandales. Ses seins sont laiteux et plus petits que les miens mais tout aussi fermes. J’aime ses jambes interminables et la pâle blondeur de ses poils pubiens qui la font presque paraître intégralement épilée. Elle est aussi blonde que moi brune. Encore plus mal mariée que moi Clarika est femme de diplomate et s’ennuie à mourir en banlieue strasbourgeoise. Contrairement à moi elle ne trompe pas son mari. Enfin presque pas. Seulement quand je viens par chez elle et uniquement si je n’ai pas le mauvais goût de débarquer à l’improviste. Clarika veut prévoir à l’avance, s’organiser un alibi, prévenir la baby-sitter qu’elle devra dormir à la maison.

Clarika a été ma première et unique expérience 100% lesbienne. Un jour peut être je vous raconterai notre rencontre et nos premiers plaisirs saphiques. Sachez juste que dans son système de valeurs si c’est avec une femme alors elle ne trompe pas son mari.

Plus tard il lui a été assez facile de se convaincre que si c’est à deux femmes avec un homme alors, techniquement, elle ne trompait qu’à 50% son mari. Ce qui restait acceptable. Chose qu’elle m’explique avec son délicieux accent suédois en sirotant un grand verre de vin blanc à la terrasse d’une belle Brasserie bourgeoise du centre ville de Colmar. Nous avons choisi Colmar suffisamment éloigné de Strasbourg tout en restant agréable et animé.

Pas un homme qui ne nous ait remarquées. C’est amusant de les voir nous jeter des regards en coin. Aucun n’ose nous aborder. Trop belles pour être libres. Mais nous ne sommes pas inquiètes. Le choix ne manque pas. Aucun homme ne semble pressé de partir depuis que nous avons investi notre table. Conciliabule. Je la laisse choisir. C’est sa soirée. La seule qu’elle s’offre depuis notre dernière fois en fin d’année dernière. Nous rions. Elle est comme moi, elle s’en fiche un peu pourvu qu’il assure puisque de toutes façons c’est pour passer du bon temps entre amies 👯. Elle demande si j’ai bien les accessoires et les pilules qui font bander. Je dis oui pour les accessoires, tout est au studio. Quand au pilules je lui rappelle que c’est pas magique non plus. Suivant le mec ça marche plus ou moins bien. Elle dit : « pas grave, si on l’use trop vite on ressort en chercher un autre! »

Un blond Tatoué légèrement beauf

L’homme sur lequel Clarika jette son dévolu est blond, vaguement musclé sous la graisse et tatoué sur l’épaule. Un motif tribal qu’il a dû se faire faire en vacances en Thaïlande. Pas du tout mon genre de type. J’aime pas les beaufs. Mais j’aime Clarika et si c’est lui qu’elle veut alors je ferai contre mauvaise fortune bon cul.  Au moins le type ne se fait pas prier. Contact visuel, sourire en coin et en moins de temps qu’il ne faut à un éjaculateur précoce pour jouir il est à notre table. Le scénario est simple et efficace : mon amie Clarika repart en Suède demain et elle n’a pas connu l’amour à la Française.

Le chanceux : « ah ? C’est ballot… dommage qu’on ne se soit pas rencontrés plus tôt…»

Clarika : « oui, dommage… »

Moi : « Allez les tourtereaux, soyez pas timides. C’est demain la fin des vacances, pas aujourd’hui ! »

Le chanceux et Clarika se sont très perceptiblement rapprochés. Les contacts physiques sont brefs mais nombreux. Elle ri dès qu’il dit un truc marrant. Enfin marrant n’est pas le mot. C’est plutôt du genre lourdingue. Genre : « non ! Je peux pas croire qu’une aussi jolie fille en vacances n’ai pas été draguée à chaque coin de rue ! »

Le chanceux : « Vous logez où ? »

Clarika : « C’est Lucie qui nous choisi les Airbnb. Elle a un talent fou pour dénicher les jolis studios en centre ville. »

Le chanceux tente enfin sa chance, il pose un bisou rapide sur la joue de Clarika : « voilà, comme ça tu auras connu un bisou à la Française »

Clarika fait un moue boudeuse : « oh, je suis déçue. J’avais une autre idée du french kiss »

Le chanceux décidément neuneu: « ah? Heu…c’est gênant… »

Moi : « Allez les tourtereaux, on dirait de adolescents. Vous gênez pas pour moi ! »

Le chanceux s’adressant à moi : « heu, j’ai rien contre. Mais t’es sûr que ta copine va pas me gifler ? »

Clarika approchant son visage : « Je suis tout sauf violente… »

Baiser de cinéma en terrasse. C’est l’été. Je ne suis que spectatrice mais c’est toujours excitant un premier baiser. Même quand c’est ma copine qui le décroche.

Clarika : « je sais pas vous mais moi d’un coup là j’ai envie de rentrer à l’appart…ça t’embête si ma copine tient la chandelle ? Enfin…ta chandelle… »

La question est de pure forme. Aucune chance qu’il émette une objection.

Nous partons bras dessus et surtout dessous vers le joli studio de Colmar. Le chanceux du jour est entre nous. Sa main gauche semble aussi baladeuse que la droite. Le type serait ambidextre que cela ne m’étonnerait pas. C’est pas mon type mais je sais que l’appétit vient en mangeant…et j’ai déjà faim…

L’appart est joli et impeccable. Airbnb de super hôte cher et bien noté. En guise de canapé il y a une immense banquette rétro en fer forgé avec un grand matelas et des dizaines de coussins en face d’un écran plat oled 65 pouces très design. Le gode, les deux paires de menottes et les écarteurs de jambes chromés sur la table basse laissent peu de doutes sur nos intentions s’il en était besoin. A peine entrés nous poussons en riant nos chanceux du jour sur la banquette au milieu des coussins. Il ne résiste pas. Nous le couvrons de baisers mouillés et le débarrassons de son pantalon. Perso je n’ai pas envie de l’user trop vite. Clarika est en phase avec moi sur le sujet. Alors nous le laissons un peu à l’écart à moitié nu (la moitié du bas) et commençons à nous embrasser entre filles. Je veux dire à vraiment nous embrasser. Langues et salive. Mains qui savent exactement où se faufiler. Du coin de l’oeil je vois qu’il bande déjà à mort. Si on ne fait rien il risque de ne pas pouvoir s’empêcher de se branler et on aura tout perdu. C’est le moment délicat de la soirée pour le plan que nous avons minutieusement imaginé avec Clarika. Je prends une paire de menottes et attache un des poignets de ma grande blonde. Puis je regarde notre chanceux de l’air le plus complice possible : « ça t’embête pas si je vous déclares liés par les liens du mariage pour la nuit? »

Je prends son poignet droit et ferme dessus l’autre côté des menottes. Il est un peu surpris mais se laisse faire. Il faut dire que Clarika s’est assise sur ses genoux et lui roule un patin dont je serais presque jalouse. Puis c’est au tour de Clarika de prendre ma main et de la lier avec la seconde paire de menottes : « c’est pas juste. Moi je suis pour la polygamie ! » elle m’attache à mon tour à l’autre main de notre époux d’un soir. Nous l’embrassons toutes deux et tâtons délicatement ses couilles de nos mains libres.

-« Maintenant ! »

C’est Clarika qui a donné le signal. Chacune a détaché sa menotte pour l’accrocher à un barreau de la banquette en fer forgé.

Notre chanceux inquiet : « oh bordel ! C’est quoi ça ? »

Je remarque qu’il a débandé hyper vite.

« T’inquiètes, t’es pas tombé dans un mauvais film d’horreur. On veut juste être sûres que tu ne vas pas t’exciter trop vite et être usé en un quart d’heure. Calme toi, promis on ne va te faire que du bien et après on te relâche comme une truite sous la maille à l’ouverture de la pèche. »

Ca ne le rassure pas vraiment. Il se débat. Je ne suis pas inquiète car ce sont de vraies menottes professionnelles, pas le modèle de sex-shop en plastique qui ne sert à rien. Et la banquette est du genre costaude. Il nous traite de salope et de folles. J’ai peur qu’il crie mais il dois se rendre compte du ridicule de sa situation et décide de se contenter de nous insulter sans ameuter tout le voisinage.

Le problème c’est qu’il a complètement débandé. Et ça c’est pas top du tout…

Il faut le calmer et le rassurer sur nos intentions très pacifiques. Et pour ça je ne connais pas de meilleur remède qu’une bonne fellation. Nous montons toutes les deux sur la banquette chacune d’un côté. Clarika avec son bel accent Suédois le rassure à l’oreille : « chhhhuttt, t’inquiètes on n’est pas méchantes. Ma copine va te sucer, laisse toi faire. »

Je me mets à l’ouvrage et l’ambiance devient instantanément plus chaleureuse. Notre chanceux rebande doucement mais sûrement. Il se détend. Quelques coups de langues et ma Clarika qui lui déboutonne la chemise suffisent à le rendre dur comme au début. Ma belle Clarika goûte la peau de notre amant menotté et comme j’ai peur qu’il peine à se contrôler j’arrête de le sucer pour me consacrer à la grande blonde en mode gouine. La petite fermeture de sa jupe ne me pose aucune difficulté (je suis une femme !). La jupe glisse le long de ses jambes interminables. Elle est en bas et porte jarretelles. Dieu sait que j’aime les hommes mais j’avoue que son cul, ses jambes et la blondeur des poils pubiens que je devine sous le string blanc me mettent en émoi. Clarika se défait de son chemisier et la voilà donc en sous vêtements. L’autre n’est pas prêt de débander. Quant à moi je me sens un peu idiote encore toute habillée. J’approche mon visage de celui de Clarika toujours occupée à lécher le torse de monsieur chanceux. Je mets aussi ma langue à l’ouvrage en repassant après elle là où le goût de sa salive est resté. Mon mouillomètre personnel monte de plusieurs crans…Nos bouches se rapprochent sur le corps de notre prisonnier. Nous savons qu’il aimerait qu’on le suce mais pour le moment ce sont nos désirs de filles qui nous importent et surtout on veut le garder opérationnel le plus longtemps possible. Alors nous mêlons langues et nos salives juste contre lui. Clarika prend ma main pour la mettre contre son pubis gonflé. Je glisse un doigt sous le string. C’est doux et mouillé. Elle fait glisser ma jupe avec autant de facilité que je l’ai débarrassée de la sienne. J’ai gardé mes talons hauts et me voici donc en bas, soutien-gorge et string en dentelle. Finalement pour l’instant le plus habillé de nous trois c’est monsieur chanceux. Vaguement inquiet car toujours attaché il est pathétique à nous demander : « Allez les filles, c’est pas marrant, détachez moi maintenant… »

C’est le moment de le débarrasser de tous ses vêtements. Nous y allons délicatement, fringue par fringue. J’enlève mon soutient gorge car il me vient une petite idée de chantage : « Bon, ok, monsieur rabat joie, si tu me bouffes correctement les seins je te détacherai peut être… »

Je me mets à califourchon sur monsieur chanceux et colle mes gros seins de salope contre son visage. Clarika se presse juste derrière moi, ses mains descendant sur mon ventre. Je sens ses petit tétons durs contre mon dos. Elle encourage de son bel accent suédois chantant : « Allez, mignon, tu bouffes bien les seins de ma copine »

L’autre hésite, puis finalement ose quelque baiser trop timides à mon goût. En fait c’est la poisse. Le type angoisse de la situation. Il a peur et ça le rend assez pathétique. Il bande tout mou. Grosse déception. On ne sait pas trop quoi faire. Si on le libère maintenant il va vouloir partir. Et on aura l’air bien connes. Mais bon, pas trop le choix. On n’est pas des psychopathes et on a trop envie de baiser. Donc on s’excuse et on lui demande si on peut tout recommencer à zéro en le libérant. Une fois détaché notre chanceux remet ses fringues et s’enfuie de l’appart en nous traitant de malades. On ne peut pas gagner à tous les coups. Ni Clarika ni moi ne sommes de vraies gouines. Alors on préfère en rire. Ce qui nous excite c’est de le faire devant un mec. Toutes seules cela perd  tout l’intérêt. C’est déjà un peu tard et il faut tout reprendre à zéro. Donc forcément on se rabat sur un site à plan cul. Mais faut pas croire ce qu’on lit sur internet. C’est pas en cinq minutes qu’on trouve un plan cul valable. Et puis l’excitation initiale est un peu retombée. Alors on décide de se finir à la vodka et de s’endormir dans les bras l’une de l’autre. Jambes emmêlées et chatte contre chatte. Rien de très sexuel, juste un peu de tendresse éthylique. Il y aura d’autres occasions de plan à trois. On le sait toutes les deux.

Comment faire une levrette à une femme 7 conseils

Définition de la levrette

Les anglais l’appellent doggy style. Moi qui suis un peu chienne dans l’âme j’aime autant les deux appellations de cette délicieuse position sexuelle. La levrette c’est quand le mec prend la fille par derrière mais sans l’enculer. La queue vient délicatement dans la chatte par dessus, l’amant est dans mon dos, ses mains sous mon ventre ou prenant mes seins son souffle contre ma nuque. Il peut tenir mes hanches et lentement aller et venir dans ma chatte toute de mouille trempée. Qu’elle soit suivie ou pas d’une sodomie la levrette me met toujours dans un état pas possible. Ma position de Salope préférée. Mon plaisir coupable de femme adultère dont le mari ne pratique plus qu’un bien triste missionnaire.

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Ah, au fait, pour ceux qui sont fidèles (à ce blog) et suivent un peu c’est Lucie qui écrit cet article. Ma nouvelle amie Sabine à les codes et écrira, je l’espère bientôt encore. C’est bien parfois un peu de fraîcheur et de nouveauté vous ne trouvez pas ?

Mais revenons à la levrette et à mes quelques conseil coquin pour la bien pratiquer.

Conseils pour les filles qui veulent être prises en levrette

Une bonne levrette cela se prépare bien en amont. Donner au mec l’envie de votre cul c’est la clef. Moi, quand je décide que je vais coucher avec un homme je m’arrange bien sûr pour l’allumer le plus possible avant. Cela va de quelques heures avant si c’est un plan cul rapide trouve sur internet à plusieurs jours de suite si c’est lors d’un de mes séjours en déplacement professionnel loin du domicile conjugal. Donc on met son cul de salope en valeur. Tailleur moulant si c’est un environnement professionnel, Jean très moulant en soirée ou, si vous parvenez à l’entraîner pour une séance de running un bon legging bien moulant c’est le succès garanti !

Je le souviens d’une fois. Le type savait qu’il me plaisait et qu’après on baiserait. Mais j’ai tenu à ce qu’on fasse ensemble tout un parcours sportif. Avec des étapes d’exercices où je pouvais me pencher et lui laisser mater mon cul moulé dans mon legging sous toutes les coutures. Quand on s’est retrouvé enfin dans mon Airbnb il n’en pouvait plus. Je me suis mise à quatre pattes sur le tapis moelleux du salon et il m’a déchiré mon legging pour me prendre en levrette. J’ai un peu craint l’ejaculation précoce (c’est parfois hélas le cas) mais il a sus se retenir et m’a ramonée assez longtemps pour me faire gémir de plaisir et supplier pour qu’il jouisse enfin. Il y a eu d’autre position lors de cette longue nuit mais c’est cette première levrette avec lui que je retiens.

Mesdames, mesdemoiselles, si vous rêvez d’une bonne levrette souvenez vous que c’est en l’allumant avec votre cul et en entretenant un peu de frustration que vous obtiendrez le meilleur de votre amant et une très belle performance doggy style.

La levrette c’est toujours mieux quand ça dure longtemps…

On ne va pas se le cacher, la levrette c’est gâché si ça dure 30 secondes…Une bonne levrette va quand même de pair avec de bons av et vient qui durent longtemps. C’est vraiment dément quand on ne sait pas quand ça va s’arrêter et qu’on jouit à répétition. Et pour ça il faut bien l’avouer les pilules magiques ça aide beaucoup !

 









 

Levrette et taille du sexe

Beaucoup d’hommes hésitent à pratiquer la levrette car ils ont peur de ne pas avoir le sexe assez long pour pénétrer le vagin de leur partenaire par derrière. Arrêtez de psychoter les cocos ! Si ça ne rentre pas c’est bien plus parce que la fille ne sait pas se cambrer qu’à cause de la longueur prétendument courte de votre queue ! Pour une bonne levrette la donzelle doit en avoir envie et savoir tendre son petit cul et se cambrer en creusant bien les reins. Alors vous pourrez adroitement guider votre queue bien raide dans sa chatte accueillante. La levrette est aussi la femelle du lièvre. Sa chatte est douce, lisse et soyeuse comme des poils de lapine. En tous cas c’est mon second conseil pour le coquines qui veulent se faire prendre en levrette (comme vous avez raison les copines !). Pour être bien prise en levrette rien de tel qu’une chatte épilée de près à cire toute douce !

Conseil levrette : Glissez des mots doux à l’oreille de votre partenaire

Pendant la levrette vous êtes derrière, juste idéalement placé pour chuchoter à son oreille. Moi j’aime les mots cochons, j’aime que mon amant susurre à mon oreille que je suis une bonne chienne, sa bonne petite chienne.  J’aime qu’il me complimente sur ma petite chatte épilée de salope. C’est aussi l’occasion de dire qu’après vous allez nous enculer.  Moi j’aime et je ne dis jamais non à une sodomie. Mais c’est toujours plus poli de demander. Alors pendant la levrette c’est exactement le bon moment.

Bien sûr pas obligé d’être ordurier. Les mots que j’aime ne sont pas forcément ceux qui conviendront à votre partenaire. Vous pouvez juste lui dire qu’elle est bonne et que vous l’aimez. Ça marche aussi très bien !

Conseil de pro pour une bonne levrette : on met les doigts !

Passez la main par devant sous mon ventre gardez votre bite bien au chaud dans mon con et caressez mon clitoris en même temps. Vous devriez vite me faire couiner de plaisir !

Conseil vestimentaire pour les débutantes en levrette

Optez pour les bas. Moi je préfère les collants. J’aime quand il me caresse a travers avant de les déchirer. Mais si vous débutez, si vous n’êtes pas trop sûr que monsieur saura s’y prendre, alors les bas c’est mieux ! Bien mieux !

Levrette et plan sado maso

Pour celles et ceux qui n’ont pas trop de tabou je conseille vivement la levrette menottée. Ou même mieux, attachée avec une corde de bondage tout le long des bras. C’est, pour moi, un des souvenirs les plus excitant de levrette de l’année passée. C’est rare de trouver un mec qui maîtrise mais cela vaut vraiment le coup !

 

Combien pour une levrette ?

En general on est deux. Mais à trois ça marche aussi. La levrette avec deux mec ça peut être la première étape pour une double pénétration…

Dans un plan à trois avec mon amie Marie j’aime que son mec me prenne en levrette pendant que je lui bouffe la chatte. Si c’est elle qui est prise en levrette je peux aussi simplement embrasser le mec sur la bouche ou lécher ses couilles par dessous en même temps que je mets mes doigts dans le sexe si doux de Marie. Marie est devenue plus qu’une amie. C’est une amante, une complice et une confidente. On aime toutes les deux la levrette plus que toutes les autres positions.

 

Et vous, est-ce que cet article vous a plu ? Est-ce que vous voudriez me prendre en levrette ? Est-ce que j’oublie des choses ? Dites moi en commentaire !

La voisine coquine

La voisine sexy du 4 rue d’Enghien à Moulin c’est fini. Je fais ma valise. C’était un meublé, je laisse donc presque tout. L’ensemble de mes possessions tient dans deux grosses valises. Je n’emporte finalement que des souvenirs. Parmi ceux ci nombre d’amants. Plans cul quicky, copains de sexe plus au long cours, cinq à sept adultérins et petits matins câlins. J’ai sucé en mode grosse salope, j’ai joué la jeune fille timide qui n’ose pas écarter les cuisses. J’ai pas couché avec tout les voisins, loin de là. Mais douze c’est déjà trop pour une petite ville de province. Ma réputation est faite et entre les amoureux éconduits et les femmes jalouses j’étouffe.
Alors la voisine sexy, ses 49kg pour 1m57, son petit cul toujours en string à dentelle, sa collection de menottes à fourrure et d’accessoires en cuir déménage pour l’Est de la France. Tremblez femmes de Colmar car je viens en rivale et je suis sans vergogne !

Serveuse sexy allumeuse passe à table

La serveuse sexy allumeuse c’est moi : Sabine. Merci à Lucie de me prêter son blog pour quelques articles différents j’espère 🤞. Mon kiff : la drague. La vraie. Pas celle sur internet ou des salopes. Mon surkiff : la baise qui conclue une drague réussie. Suis pas mariée ni maquée. 28 ans et libre comme l’air. Ni sur facebook ni sur Instagram. Ni sur LinkedIn, quelle horreur ! Je pourrais me définir comme une anarcho-libertine. Enfin s’il faut une définition. Mon job : Serveuse. Bars ou restaurants. Jamais plus de quelques mois dans la même ville. J’aime pas avoir d’attaches. Enfin mis à part les attaches genre SM de temps en temps 👯‍♀️.

En ce moment j’habite Moulin. Mais plus pour longtemps…
Hier j’avais, comme d’hab, une minijupe et une grosse envie de me faire sauter. Depuis le jour de l’an je sais que mon patron bave 🤤 en reluquant mon petit cul. Mais j’ai jamais rien fait pour le laisser croire qu’il y aurait moyen. Hier pourtant sa petite serveuse sexy a passé la soirée à lui lancer des regards. Pas mal de mecs célib (ou pas) m’ont draguée plus ou moins ouvertement. Je pouvais me faire au moins quatre plans culs facile. Ce samedi soir je voulais être la serveuse sexy qui se fait sauter par son patron. Fantasme simple mais efficace.

Mon boss : la quarantaine. Bel homme, marié bien sûr 🙄. Mais n’allez pas le blâmer. Qui résisterait au joli cul de la petite serveuse sexy allumeuse un samedi à l’heure de la fermeture ?

Serveuse sexy pour le dessert

Une fois le restaurant fermé il ne reste que nous deux. Je tire les gros rideaux de velour et nous voilà coupés du monde. Pas besoin de mots. Ils seraient superflus. Il me suffit de m’approcher de lui pour savoir qu’il en a autant envie que moi et qu’il est prêt à tromper sa femme. Je pense même qu’il a oublié qu’il a une femme. Je mets les bras autour de son cou. Ma bouche 👄 tout contre son oreille : « tu veux du dessert ? »

Je suis petite (1m57) et toute légère pour lui. Il me porte jusqu’au bord d’une table à nape blanche et m’assoie juste entre deux assiettes. Je mets mes main dans ses cheveux bouclés, il est déjà sous ma mini jupe entre mes cuisses. Mon string à dentelle est habilement écarté sur le côté. Petits coups de langue répétés qui ouvrent progressivement mon minou. Il sait s’y prendre. Un délice. Je mouille en enfonçant mes doigts dans sa tignasse. Mon boss est un expert en cunnilingus. Sa lange va profond sans brusquer. Ses lèvres son suceuses mais délicates. je jouis déjà mais je me retiens de le montrer. Ce ne sont que les préliminaires…

Petite serveuse sexy en minijupe et bas résille qui gémit comme une chienne sous la langue experte de son boss. Je me tortille pour en avoir encore. Ses doigts sont aussi juste toujours là où il faut, il caresse les replis de mon sexe juste au bon rythme. Sans hâte, parfois il enlève ses doigts, et n’embrasse que mes cuisses, ma laissant toute frustrée pleine de désir. Je pousse sa tête pour en avoir encore mais il résiste. C’est lui qui décide et la torture est délicieuse. J’en suis déjà à plusieurs orgasmes quand il daigne enfin enfoncer sa grosse queue dans ma chatte trempée. Mes jambes sur ses épaules, limite écartelée. Le cunnilingus était doux, là je le fais défoncer en règle. Je cri à chaque coup de butoir. Soulagement quand il éjacule sur mon ventre.

Il faut qu’il rentre chez lui. Malédiction de l’homme marié ! Je lui dit que c’est pas grave, que demain ou après demain je compte bien qu’il encule sa petite serveuse sexy. Après je changerai de région…et de mec…