4 souvenirs d’adolescente sexy

Adolescente sexy lycéenne

Souvenir numéro 1 : Ma rentrée au Lycée

J’avais seize ans. J’étais encore pucelle et tout juste réglée. Pendant les vacances d’été mes seins avaient pris énormément de volume. J’avais déjà embrassé quelques garçons sur la bouche mais avant mes années lycée j’avoue que j’étais encore une enfant et que le sexe ne faisait pas vraiment partie de mes préoccupations. Tout juste une curiosité coupable pour la chose. Je m’habillais normalement, enfin à peu près comme les autres filles de mon lycée bourgeois de centre ville. Ni trop sage ni trop sexy. Parfois une jupe pas trop mini, le plus souvent en Jean. Mais pas un Jean moulant. Je faisais beaucoup moins de sport que maintenant et j’avais, disons, des rondeurs. Je ne me considérais pas comme une adolescente sexy, je me croyais juste dans la moyenne. Peut être même légèrement en dessous. Aujourd’hui quand je vois les photos je me rend compte que je me trompais. Physiquement j’avais déjà tout le potentiel de la bonne petite coquine.

 

Souvenir numéro 2 d’adolescente sexy : la première main dans ma culotte…

C’était la fin du premier trimestre. Quelques professeurs absents, un emploi du temps tellement à trous qu’on aurait dit du gruyère.  L’arrivée au lycée avait changé pas mal de choses. Au collège j’étais parmi les grandes. Au lycée j’étais nouvelle et je voyais un tas de jeunes filles plus âgées et plus dégourdies que moi. Je n’étais même pas une débutante. Et je n’avais pas, mais alors pas du tout, conscience d’être une adolescente sexy qui pouvait enflammer de désir n’importe quel garçon. N’ayant pas l’autorisation de mes parents pour sortir en ville je passais mes heures de permission en étude surveillée. C’est ainsi qu’un vendredi en fin de matinée je me suis retrouvée avec moins d’une dizaine d’autre camarades de classe sous la surveillance de Philippe, un pion à peine plus âgé que les lycéens redoublants de terminale. Philippe était le fantasme de beaucoup de lycéennes coquines. J’en faisais partie. Pas des lycéennes coquines, mais des adolescentes qui se masturbaient le soir en pensant à Philippe. D’ailleurs, à cette époque, j’imagine comme toutes les jeunes filles en fleur, je me masturbais plusieurs fois par jour. Bref, rien que de le regarder je mouillais ma culotte. Sachant que j’aurais étude j’avais mis une jupe ce jour là. Avec le recul je m’aperçois que j’étais déjà coquine. Mais sur le moment c’était presque inconscient en réalité. J’étais au dernier rang. Je l’observais en imaginant ses mains sur moi. J’envisageais ses lèvre suçant les tétons de mes gros seins. Chose que jamais on ne m’avait encore fait bien sûr. J’étais moite dans ma culotte et j’avais très envie de me masturber. Mais, bien sûr, il n’en était pas question. Alors je croisais et décroisais les jambes. Ou je serrais mes cuisses l’une contre l’autre le plus fort possible. A chaque fois qu’il levait les yeux vers moi je baissais les miens en rougissant. Et plus l’heure d’étude avançait plus j’avais l’impression qu’il levait souvent les yeux vers moi. Je n’était pas l’adolescente sexy la plus jolie du lycée ni même de la petite troupe de jeunes filles ce jour là. Isabelle par exemple était blonde et avait déjà une réputation non usurpée de salope qui dit rarement non. Mais j’en étais persuadée c’était moi qu’il regardait le plus souvent. Quand la sonnerie a retenti toues et tous se sont levés et précipités vers la sortie. J’ai fait mine de prendre plus de temps pour ranger mes affaires et c’est tout naturellement que je me suis retrouvée dernière, seule dans la salle d’étude avec Philippe. Je ne m’étais pas trompée. Dès que je suis passée à côté de lui en le frôlant il a attrapé mon poignet. Je me suis maladroitement collée à lui pour ll’ embrasser sur la bouche. C’était stupide et maladroit. Pas du tout l’attitude mystérieuse d’adolescente sexy mais inaccessible que j’aurais voulu avoir. Mais il a répondu à mon baiser et j’ai senti sa main passer sous ma jupe. Je n’osais pas bouger, j’oubliais complètement de tourner ma langue dans sa bouche. Sa main qui passait sous ma culotte et son doigt qui rentrait dans ma chatte c’était mille fois mieux que toutes les branlettes que j’avais pu me faire en secret.

Je crois que j’aurais pu perdre ma virginité sur le bureau de la salle d’étude avec Philippe si cette conne d’Isabelle n’était pas revenue frapper à la porte sous un prétexte fallacieux. Il a retiré sa main instantanément et s’est écarté de moi. Fin de l’histoire avec Philippe. La semaine suivante qui était la dernière avant les vacances de Noël j’eu bien des heures d’étude mais jamais sous sa surveillance. En janvier il n’étais plus au lycée. Je ne l’ai jamais revu ni n’ai osé demander ce qu’il était devenu.

 

3ème souvenir d’adolescente sexy : onanisme et frustration

L’adolescence c’est, paraît-il, l’explosion des sens. L’éveil de la sexualité et la multiplication des expériences nouvelles. Pour moi j’avoue que ce fut différent. Après l’expérience malheureuse de la main au panier je faisais l’amère expérience d’une traversée du désert au niveau flirt. Les garçons de mon âge ne m’intéressaient pas et les plus grands avaient mieux à se mettre sous la dent. En plus j’étais timide et pas si bien dans ma peau. J’avais peut être des envie coquines mais j’étais loin d’être capable de les mettre en pratique. Alors ma vie sexuelle se limitais à la masturbation. Je ne me contentais plus de mes doigts et j’essayais les objets les plus improbables. La flûte des cours musique, une banane, un concombre, tout y passait dans le plus grand secret. Jusqu’au jour de ma rencontre avec Alexandre.

Souvenir numéro 4 : Dépucelage d’adolescente sexy

Alexandre c’était un vrai looser. Binoclard, plus petit que la plupart des filles, maigre comme un clou et élève tout juste moyen. Même pas le fayot geek dont on pourrait penser qu’il monterait un jour la startup qui le rendrait millionnaire. Mais il était disponible et sexuellement inexplicablement attirant. Surtout aucune autre fille ne semblait voir son potentiel. J’avais décidé que je perdrait ma virginité un lundi. Le premier lundi de février. Juste avant les 17 ans. Alexandre, une classe au dessus de moi (il était en première, moi en seconde) n’était pas majeur non plus. Ce fut un jeu d’enfant de le draguer. Comme aucune fille ne s’intéressait à lui il m’a juste suffit de me mettre à la même table que lui au self du lycée et à planter mes yeux dans le siens jusqu’à ce qu’il daigne me regarder. Quand il m’a regardé j’ai fermé les yeux. J’avait écrit « j’te kiff » sur mes paupières. J’avais déjà de gros seins et je savais que c’était un de mes meilleurs atouts. Ce jour là j’avais un col roulé hyper moulant. J’eu l’audace de lui faire du pied sous la table. Moins d’une heure après on se roulait des patins dans une salle de classe que je savais toujours ouverte et inoccupée car en fond du bâtiment le moins bien chauffé du lycée.

C’était une semaine ou j’étais chez mon père. Et je ne voulais pas perdre ma virginité debout sur un bureau en Formica. Je réfrénais donc les ardeurs d’Alexandre et lui proposais de venir dormir chez mon père qui, dort opportunément était en déplacement professionnel cette semaine là. J’avais l’appart pour moi toute seule et, bien sûr, pas question d’en parler à ma daronne…

On parle souvent de la déception de la première fois. Le coït adolescent aussi bref que bâclé. Pour moi il n’en fut rien. Alexandre était puceau et mon vierge. Mais nous avions tous deux visionné tellement de vidéos pornos… J’en avais autant envie que lui et surtout nous avions du temps. Les cours finissaient à 16h pour nous deux. A 16h30 nous étions sur le canapé du grand salon à nous embrasser. Sa main sous ma jupe et moi déboutonnant sa chemise. Il a commencé par embrasser mes seins. Aujourd’hui encore bien plus de dix ans après j’adore qu’on embrasse les gros seins de salope. Plus il suçais mes tétons plus j’avais chaud et mouillais. Le premier doigt qu’il a introduit fut une révélation. J’avais déjà mis tout un tas de choses dans mon sexe. Et bien plus volumineux qu’un majeur d’adolescent. Mais c’était pourtant incomparable. Ma chatte étroite d’adolescente était instantanément en feu. J’insultais du bassin sûrement maladroitement mais comme c’était aussi nouveau pour lui on s’en foutait. Il aurait pu me prendre dans le salon mais je voulais un lit pour ma première fois. Celui de mon Père. C’est sûrement choquant mais je n’y peu rien, c’était comme cela que je pensais à cette époque. Il n’a pas tenu longtemps. Quelques va être vient avant d’éjaculer en moi. Mais j’ai joui. Oui j’ai joui ! Et il n’étais pas 18 heure. On a refait cela mieux plusieurs fois jusqu’au matin. Il ne m’a pas enculée et je ne l’ai pas sucé. Mais on a testé un peu toutes les positions et à chaque fois il m’a fait jouir. Pendant toute l’année qui a suivi on a baisé des qu’on a pu. On ne l’a jamais dit a personne. Moi parce que je ne voulais pas que l’on sache qu’il était avec moi et lui parce qu’il voulait me garder et savait que si cela se savait que j’étais une bonne salope au lit alors un tas de rivaux apparaîtraient.

 

 

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

3 réflexions au sujet de « 4 souvenirs d’adolescente sexy »

  1. Les souvenirs.. toujours bien écrit. Pour moi le lycée c’était un cauchemar côté sexe. Toutes les filles étaient amoureuses de moi, mais je ne savais pas quoi faire..
    Bonnes Fêtes

  2. Ahh les souvenirs du lycée ou de la faculté on y pense avec nostalgie. Pas de prise de tête pas de choses compliqués juste sentir et ressentir. Ca fait du bien. On as tous eu des histoires qu’on de rappelle et en te lisant Lucie on replonge nous aussi dans des souvenirs. Passe un joyeux noël. Gros bisous.

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