Le club des salopes qui trompent leur mari

Tenir ce blog a été libérateur pour moi. Avant de devenir une bonne petite salope qui trompe son mari j’ai été cocue. Je reçois beaucoup de témoignages de femmes qui sont dans mon cas et agissent comme moi. Alors forcément cela me rassure et m’encourage à continuer. Encore qu’en vrai c’est tellement bon que je n’ai pas besoin d’encouragements. Mais parfois je sais que mes histoires peuvent lasser. Alors j’ai décidé d’ouvrir ce blog aux témoignages d’autres filles dans mon cas.

Je laisse donc la place à Florence, 29 ans, Finistérienne.

Salut Lucie, je m’appelle Florence et j’habite dans le Finistère. J’aime ton blog car il résonne avec mon histoire et voici donc le témoignage que j’aimerais que tu publies, si tu veux bien.

Je suis blonde, mon histoire est commune. C’est celle d’une jeune fille mariée sur un coup de tête, trop tôt qui a eu deux enfants en 3 ans et s’est retrouvée cocue à 28 ans. En plus d’être cocue j’ai pris un bon 15 kg de trop depuis mon mariage. Ceci explique peut être cela. Quoiqu’il en soit le laissé aller et les rondeurs ont détourné mon mari de moi et ce connard m’a trompé avec ma meilleure amie. Je n’ai pasta volonté. Je ne me suis pas mise au régime et au sport. J’ai juste posté une photo de moi avec tous mes kilos en trop sur un site de rencontre et attendu le réponses. Résultat, 147 demandes le premier soir !!! Mais 147 gros pervers qui ne me faisaient pas du tout envie ! J’étais juste désespérée. C’est finalement sur copains d’avant que j’ai retrouvé un ami de CM2 avec qui j’avais échangé un bisou sur la bouche très furtif…Il était Célib et toujours en Bretagne. On s’est retrouvés dans un bar à Brest et ça a été magique. Comme si on ne s’était jamais quitté mais avec vingt ans de plus. C’est moi qui ai proposé qu’on prenne une chambre à l’hôtel d’à côté. Il n’a pas dit non. Mes 80kg pour mon petit 1m65 n’ont pas du tout semblé le gêner. A peine étions nous dans la chambre que je me suis jetée sur lui pour le sucer. On s’est retrouvés nus comme des verres en moins de deux et c’est parti en 69. J’avais honte de mon gros cul de blonde et de mes rondeurs. Mais lui semblait m’apprécier comme cela. Rien qu’avec sa langue il m’a fait jouir et j’ai avalé son sperme sans trouver ça dégueu. On a passé la journée ensemble à baiser et rebaiser. Mais quand on s’est quitté en se promettant de nous recontacter je me suis dit que j’avais surtout envie de rencontrer d’autres hommes. Voilà. C’était la semaine dernière et depuis je n’ai pas renouvelé l’experience. Mais je voulais t’en parler car tu es devenue un modèle pour moi.

Florence.

Plan cul Montpellier

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Mon plan cul, je l’ai choisi marié, ingénieur tout juste quarante ans. Un bel homme, pas très original mais qui m’a semblé idéal pour un cinq à sept d’hôtel Mercure sur le chemin de retour vers mon domicile conjugal. La veille nous nous étions chauffés en live chat. Il avait pu vérifier que j’étais bien la jolie petite salope sexy à petit cul que je prétendais être et de mon côté j’avais calculé qu’il pouvait bander longtemps au moins séparés par la webcam. Je sais qu’en vrai c’est parfois une autre histoire mais c’était déjà un bon début.

Il m’avait avoué n’avoir jamais pratiqué la sodomie et j’étais très excitée à l’idée de lui offrir mon cul pour ce dépucelage anal. Enfin je ne suis pas certaine que dans ce sens on puisse techniquement parler de dépucelage anal.

Nous avions tiré à pile ou face qui attendrait l’autre dans la chambre 412 de l’hôtel Mercure Antigone de Montpellier. La pièce était tombée sur pile et c’est donc moi qui devait arriver à l’hôtel la première. J’avais pris la chambre vers 16h30. Il devait arriver un peu après. Je décidais de l’accueillir en dessous sexy. Ensemble Guêpière et bas noir Aubade, nuisette assortie. Pas très original mais efficace.

17h pile, il frappe à la porte de la chambre. J’ouvre, il est en costume et cravate. Je le tire par l à cravate pour le faire entrer et l’attirer à moi. Je pousse la porte derrière lui et l’embrasse sur la bouche directement. Pas besoin de discours ni de préliminaires. J’ai trop envie de faire ma salope.  Ces mains sont tout de suite sur mon cul écartant mes fesses. Je presse mon pubis contre sa cuisse et cherche à tâtons sa braguette. Nos langues s’entremêlent. Je tire sa chemise pour toucher sa peau. Lui n’a pas besoin de me déshabiller, je suis déjà en tenue de baise.

-« Tu vas me baiser comme une petite salope hein? J’ai trop envie . Je suis sure que tu va bien m’enculer. »

-« Hum dis donc t’es une vraie coquine toi. »

-« ouai ! Une bonne coquine bien salope qui mouille déjà trop pour attendre »

Je l’attire vers le grand lit pour que nous tombions dessus ensemble. Il défait son pantalon et je m’empresse de lui enlever tout le bas. Caleçon, chaussettes et souliers. J’ai des préservatifs à portée de main et je lui habille habillement la queue sans même le sucer avant car j’ai p envie de l’avoir dans ma chatte. Mais je me rassure : « T’inquiètes, t’aura droit à un deuxième round et je te sucerai comme une bonne grosse cochonne… »

Je l’attire sur moi un écartant mon string. Sa queue rentre d’un coup, à fond. C’est tellement bon que j’en couine. Je ferme mes jambe pour le retenir et je serre très fort pour l’empêcher d’aller et venir tout de suite. Je me colle à lui, baiser mouillé tout en langue.

-« Bouffe moi les seins pendant que tu me baise…s’il te plaît… »

Je défais mon soutien gorge et il fait exactement ce que j’attends de lui. Il prend mes gros seins à pleine bouche tout en me baissant lentement mais bien à fond. J’ai envie de jouir et d’oublier ma promesse de lui offrir mon cul. Mais lui n’a pas oublié et il se dégage. Je sais ce qu’il veut et comme il bande bien sûr je me dis que c’est mieux de le laisser me prendre par le cul maintenant plutôt que d’attendre en second round toujours incertain même avec les pilules magiques.

Alors je me dégage et me retourne pour lui offrir une belle vue sur ma chute de reins et mon cul de salope. J’ai prévu un lubrifiant spécial sur la table de nuit. Je le lui tends. Et j’enlève mon string.

-« Prends ton temps mon beau. Mon petit cul ne va pas s’échapper… »

Et comme je suis un bonne grosse salope je vais arrêter ce récit ici, juste au moment où le gel lubrifiant anal coule dans ma raie du cul… Sachez juste que j’ai joui, qu’il n’est plus puceau de la sodomie et qu’il y a eu un second round tout en fellation et branlette espagnole…Bref un vendredi après midi comme j’aimerais en vivre plus souvent…

Un plan cul simplement

Plan cul au bureau

Jeudi soir. 18h pile. Il baisse les stores de l’agence et se retourne vers moi. Jeune collaboratrice intimidée je sais que ce n’est pas par hasard qu’il n’y a plus que nous deux au bureau. C’est un plan cul adultère improvisé. Il vient de téléphoner à sa femme qu’il doit finir un dossier et rentrera tard. Je suis le dossier. Son alibi n’est pas original mais c’est simple et efficace. Pour ma part pas de souci. Je suis en déplacement pro à 600 km de la maison et ne suis sensée rentrer au domicile conjugal que demain. Nième aventure adultère pour moi. Je ne m’en lasserai, je crois, jamais 😀.

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Petite agence Maaf assurance de province. Il en est le directeur et c’est pour préserver son anonymat que je ne vous dis pas le nom de la ville. Nous avons convenu en Chat que je dois jouer le rôle de la nouvelle collaboratrice toujours en période d’essais. J’ai mis un tailleur strict mais relativement moulant, des escarpins noirs à talons, mes plus beaux dessous sexy et, une fois n’est pas coutume, bas et porte-jarretelles.

-« Mademoiselle, que lisez vous ici ? »

Il a le doit pointé sur le bas de la page d’un contrat d’assurance habitation qu’il a ouvert sur son bureau.

Je dois me pencher en avant pour lire. C’est écrit en tous petits caractères.

-« C’est écrit vraiment petit monsieur… »

-« Idiote, je ne vous demande pas de me lire les conditions particulières ! Je vous demande ce qui est écrit là ! »

Il me montre la signature et la mention manuscrite.

je me penche pour déchiffrer. Je suis consciente qu’ainsi mon tailleur moule mon petit cul bombé. Il mate sans gêne.

Je lis : « Bon pour accord, F. Et une signature indéchiffrable, Monsieur »

-« et la date ? »

-« Il n’y a pas de date monsieur. »

-« Exactement idiote! Tu as oublié de préciser à la cliente qu’il faut écrire la date à la main sur le contrat !!! »

Écrire qu’à se moment la claque qu’il m’assène sur les fesses est une surprise serait un mensonge.  Je me doutais bien que j’aurais droit au classique secrétaire fessée.

Dans mon rôle je n’en suis pas moins pétrifiée et n’ose pas bouger. Je me contente de rester penchée sur le bureau en attendant la seconde claque qui ne tarde pas à venir.

-« Allez, montre moi tes fesses. Petite incompétente ! »

je relève ma jupe de tailleur mais elle est moulante et je dois la retrousser pour lui offrir mon cul. L’ensemble bas et porte jarretelle fait alors son effet.

-« hummm, alors comme ça on met des dessous de salope pour venir travailler ? »

Je ne réponds pas. Il prends mes fesses à pleines mains pour les écarter. Je reçois encore quelques claques sur les fesses mais entre chaque il caresse aussi mes cuisses et vient frôler ma chatte. Je me cambre à la rencontre de sa main à chaque passage. Il se penche sur moi pour me murmurer à l’oreille : « tu es une coquine. Hein, tu sais qu’avec un cul comme ça tu m’enlève l’envie de te punir. » Sa main remonte entre les cuisses. Il écarte mon string. Je mouille déjà comme une chienne en chaleur. Son doigt rentre tout seul. Je me raidi pour lui faire sentir que j’aime ça. Il m’embrasse dans le cou et me prend par les cheveux pour m’emmener vers les petit canapés de la salle d’attente clients. J’ai juste le temps de rebaisser mon tailleur en chemin avant qu’il me balance sur le canapé. Pour qu’il me viole il faudrait que je résiste. Ou au moins fasse semblant. Mais j’ai trop envie et mon regarde trahi sur ce point. Je décide donc d’assumer mon côté salope et de l’attirer vers moi. Il reste debout, comme par hasard juste bien placé pour que je puisse caresser la bosse sous son pantalon. Je déboutonne et sort l’engin. Belle queue longue et bien raide. J’émets un « hummm » appreciateur, le prends en bouche 👄 sans attendre. Je suce lentement, sa main dans mes cheveux donne le rythme.

-« tu viens pas tout de suite hein? J’ai envie que tu m’encules après. »

-« T’inquiète cochonne 🐷, avec moi tu pourras en avoir par tous les trous. »

Alors je fais confiance et reprends ma fellation. En général je sais quand mon amant est proche de la fin. Et là tout m’indique que ça ne fait que commencer. D’ailleurs il se laisse aller et ne semble pas pressé. J’enlève ma veste sans le laisser échapper de mes lèvres. Il fait de même et le laisse baisser son pantalon. J’ai droit à quelques compliments. Je suis une bonne suceuse, si je reste bien salope il renouvellera mon CDD, j’ai bien choisi les sous vêtements sexy, je dois toujours m’habiller comme ça et rester faire la fermeture avec lui. J’acquiesce la bouche pleine. Il me pousse pour me retourner sur le petit canapé. Il trouve tout de suite la petite fermeture éclair de la jupe tailleur et m’en débarrasse délicatement. Ses baisers sur les fesses sont humides à la limite du suçon. Il est juste à la limite entre caresses et massage. J’ai droit à tous les compliments du monde. Mon cul de salope est juste parfait. Il aime mes jambes et je dois toujours être en talons. Je réponds oui, dis que c’est bon, que j’aime trop ce qu’il me fait. Quand il se décide à me prendre en levrette je suis déjà bien chaude et prête à jouir. L’orgasme vient immédiatement et je couine comme une chienne en chaleur. Il me lime sans faiblir et je multiplie les orgasmes, toute haletante sur le ridicule petit canapé de l’agence. La sodomie vient par surprise. Je n’étais pas préparée et là jouissante fait place une douleur qui m’arrache un cri de surprise. Il s’en fout. C’est son moment et il me défonce sans ménagement. Passée la surprise du début et même si la douleur est intense la situation m’excite et j’ai honte de m’entendre supplier : « oui, encore » alors que la raison voudrait que je demande une trêve. Je sais que demain je vais le regretter et que j’aurai du mal à cacher ma douleur à mon mari pendant quelques jours. Mais qu’importe, j’improviserai, comme toujours depuis presque quatre ans…