Notre rencontre a lieu dans un lieu public. La terrasse d’un café-restaurant du centre ville d’une bourgade de province où je suis de passage un jour de semaine. C’est l’heure du déjeuner, pour notre rencontre j’ai mon après midi de libre et ma chambre d’hôtel est à deux pas. Je t’ai donné cet endroit comme lieu de première rencontre car j’adore chauffer mon plan cul au vu et au su des inconnus qui nous entourent. Si tu veux mon cul alors il faut m’accorder ce plaisir exhibitionniste du regard concupiscant des hommes autour de nous. Leur désir évident m’excite presque autant que la gène des femmes qui les accompagnent et qui n’ont plus, mais alors plus du tout, leur attention. Tu m’as attendue longtemps car je suis toujours très en retard. Tu as même cru à un faux plan jusqu’au moment où tu m’as vu traverser la rue pour me diriger ta table. Premier constat, tu n’es pas déçu. Je suis encore plus sexy en vrai que sur ma photo de profil sur cinq à sept. Et mon visage que tu découvres te semble charmant. Ma bouche est pulpeuse et mes yeux de biche derrière mes lunettes en écaille me donnent un air de working girl qui peut s’avérer coquine à souhait. Ma jupe tailleur droite me contraint à des petits pas sec et sonores. Mes talons haut claquent sur le pavé du trottoir. En me voyant m’assoir à côté du toi je suis certaine qu’ils sont tous déjà très jaloux de toi. La table ronde est minuscule et nos deux chaises collées l’une contre l’autre. La bise unique sur ta joue et le « Bonjour, je suis Lucie ! » sont autant destinés à te saluer qu’à faire comprendre à ceux qui nous entourent que nous nous voyons pour la toute première fois. C’est notre toute première rencontre et je veux que cela se sache ! Tu me demandes ce que je veux manger et, sur le ton naturel de la conversation je réponds : »Ta queue bien sûr ! Mais prenons quand même quelques forces avant le dessert. » Je choisi la salade Océane et toi une entrecôte frittes. J’ai décidé pour cette fois de mener la conversation sur un ton enjoué sans messes basses ni fausse pudeur. Nos voisins de tablée peuvent nous entendre comme si nous parlions de commérages de bureau ou d’autres sujets anodins. Pourtant nos mots sont tout autres :
-« Bon, j’espère que mon physique ne te déçois pas. En tous cas toi tu me plais encore plus que sur ta photo de profil. »
-« Non, non, je ne suis pas déçu non plus ! Tu es vraiment sexy j’ai hâte d’en voir plus à l’hôtel ! »
-« T’inquiète, non seulement tu va en voir plus mais tu pourras toucher, malaxer et même frapper si ça te chante. La vache, j’ai hâte de voir ta queue, j’espère qu’elle est grande et bien dure. »
Tout cela est dit calmement, sur le ton d’une conversation banale. Tu rentres dans mon jeu et cela m’excite à un point que tu ne peux imaginer.
-« Je pense que tu ne seras pas déçue, je vais de la mettre bien profond. J’ai très envie de te bouffer la chatte. »
Nous prenons notre temps à cette terrasse de café et le sujet semble inépuisable. Nos voisins de table savent maintenant tout de mon goût immodéré pour le sexe anal et les séances de fessée quand elles sont bien menées. Tu te dévoiles aussi un peu, beaucoup même et ce que j’entends me plait terriblement comme en atteste ma culotte que je sens un peu humide. J’ai très hâte de me retrouvée sur tes genoux dans le rôle de la jeune fille soumise et un peu timide que tu voudrais me voir adopter.
Lorsque nous nous levons de table et partons ensemble main dans la main je crois que tous les hommes alentour sont morts de jalousie. Bien fait pour eux ! Il n’avaient qu’à me trouver avant toi s’il voulaient faire une vraie rencontre coquine!