Couverture

Prise en leggings

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Si vous aimez ce blog vous adorerez forcément mon roman : Promotion canapé

 

 

Mais comme cela faisait longtemps que je ne vous avez pas raconté un plan cul récent voici un petit texte.

Il fait encore un peu froid ce jeudi de mi mars. Je viens de courir une douzaine de kilomètres à un rythme soutenu avant de rejoindre la garçonnière d’André. Je fréquente André depuis déjà 3 ans. Il pourrait facilement être mon père mais il n’est que mon amant. Un amant occasionnel, de ceux que j’aime retrouver une ou deux fois par an, lorsque je suis en déplacement vers Rodez. André sait ce que j’aime et il s’y prend a merveille pour me le donner. Pour lui j’ai moulé mes jolies fesses dans un legging fushia et compressé mes seins sous une brassière en éponge. J’arrive chez lui en nage, moite d’un désir encore inassouvi. Je suis un peu anxieuse de savoir comment il va m’accueillir après plus de six mois sans lui avoir donné de mes nouvelles.

J’expire un bon coup et frappe trois petits coups secs sur la porte. Pas de réponse. J’attends quelques secondes, mon cœur battant encore sous l’effet de la course, ou peut-être de l’adrénaline. Puis j’entends le verrou tourner, et la porte s’ouvre sur André.

Il me toise, bras croisés sur son pull en laine fine, le regard lourd d’un reproche silencieux. Il n’a pas changé : toujours cette élégance sobre, cette manière de m’observer comme s’il pouvait deviner tout ce que j’ai fait ces six derniers mois.

— Tu prends ton temps, dis-moi.

Sa voix est basse, sans colère, mais je sens le reproche dans la tension de sa mâchoire. Il s’efface pour me laisser entrer. L’appartement est toujours aussi rangé, presque austère, avec ses meubles sombres et ses rideaux tirés. Une odeur de bois ciré flotte dans l’air.

Je passe devant lui, et avant même d’avoir atteint le salon, je sens sa main refermée sur mon poignet. Un geste ferme, maîtrisé.

— Six mois sans un mot. Tu crois que je vais te pardonner comme ça ?

Je me tourne vers lui. Son regard me transperce, mélange de frustration et d’attente. Il veut que je me fasse pardonner. Il veut que je le mérite.

Je mordille ma lèvre et plante mes yeux dans les siens.

— Dis-moi comment.

Un silence. Puis un sourire fugace, presque carnassier, étire le coin de sa bouche.

—Mets toi à quatre pattes !

Je frissonne, non pas à cause du froid de mars, mais parce qu’il n’y a rien que je désire plus à cet instant.

Je me mets lentement à genoux, puis à quatre pattes, le parquet glacé sous mes paumes et mes genoux déclenche un frisson qui court le long de ma colonne vertébrale. Mon corps est encore chaud, moite de l’effort de ma course, et la sueur perle le long de ma nuque, glisse entre mes omoplates. André recule d’un pas, me contemple comme une œuvre qu’il s’apprête à sculpter de son regard et de ses exigences. Je sais qu’il aime prendre son temps, faire durer, me regarder me soumettre sans un mot.

— Avance.

Je rampe, avançant de quelques centimètres, le regard baissé. Mes cuisses effleurent mes mollets à chaque mouvement, mon ventre se contracte sous la tension grandissante. Il tourne autour de moi, ses pas feutrés à peine perceptibles sur le sol. Je devine son sourire, cette satisfaction de me voir docile. Puis sa main se pose sur mes hanches, ferme, possessive, avant de s’éloigner à nouveau.

— Redresse-toi sur les genoux.

Je m’exécute, la poitrine soulevée par ma respiration encore rapide. La brassière en éponge colle à ma peau humide, entrave ma liberté, accentue le galbe de mes seins. André s’attarde, observe chaque détail de mon corps offert sous la lumière tamisée de la pièce.

— Ôte-la.

Ses mots claquent doucement dans l’air. J’obéis, glissant mes doigts sous l’élastique de la brassière pour la faire rouler sur ma peau. La fraîcheur de la pièce me fait frissonner lorsque le tissu quitte ma poitrine, libérant mes seins lourds, encore marqués par la compression. Mes tétons, durcis par le contraste entre la chaleur de mon corps et l’air ambiant, pointent vers lui. Il ne dit rien, mais je sens son regard les caresser, les posséder avant même qu’il ne les touche.

— Regarde-moi.

Je lève les yeux vers lui. Son regard me sonde, mesure mon abandon, jauge mon impatience. Son index trace une ligne imaginaire sur ma mâchoire, puis il prend mon menton entre ses doigts.

— Tu es belle comme ça, Lucie. Si tu savais à quel point.

Sa voix est plus douce, presque contemplative, et cela ne fait qu’attiser mon désir. Il s’éloigne, va s’asseoir dans son fauteuil en cuir, me laisse là, offerte, à genoux devant lui.

— Tourne-toi. Montre-moi ce que j’ai manqué pendant ces six mois.

Je pivote lentement, cambrant légèrement les reins, consciente de chaque mouvement. Mon dos se creuse naturellement, mettant en valeur la rondeur de mes fesses encore gainées dans mon legging fuchsia. Derrière moi, il exhale un souffle rauque, approbateur.

— Avance encore, viens jusqu’à moi.

Je m’exécute, sentant mon corps vibrer sous sa domination tranquille. André me fait poser, observer, attendre. Il alimente mon impatience, sait exactement jusqu’où me pousser avant de m’accorder ce que je désire.

 

— C’est bien que tu aies mis ce legging. Et que tu aies couru.

Sa voix est calme, presque songeuse, mais je perçois l’appréciation derrière ses mots. Son regard glisse sur mes jambes fuselées, s’attarde sur la tension du tissu qui épouse la moindre courbe, souligne la fermeté de mes cuisses, la cambrure de mes reins.

Il tend la main, du bout des doigts suit la ligne de mon mollet, remonte lentement sur l’arrière de ma cuisse. Un effleurement à peine perceptible, mais suffisant pour déclencher un frisson qui irradie jusqu’à mon ventre.

— Cela te va bien, murmure-t-il. La sueur sur ta peau, la chaleur de l’effort encore en toi… J’aime ça.

Ses doigts poursuivent leur ascension, s’arrêtent juste en haut de ma hanche. Il presse légèrement, teste ma souplesse, jauge ma réactivité. Puis, sans prévenir, il pose ses lèvres contre ma peau nue, juste sous la naissance de mon dos. Un baiser long et mouillé, la sensation de ses lèvres et de sa langue goutant ma peau me fait vaciller sur mes appuis.

Je retiens un soupir, le souffle court.

— Tiens-toi bien, Lucie. Une pouliche ne doit pas trembler sous la main de son cavalier.

Je ferme les yeux une fraction de seconde je me cambre pour appeler plus de caresses. Il joue avec moi, avec ma patience, avec ce feu qui couve sous ma peau. Il veut m’apprivoiser, me dresser à son rythme.

 Mes gros seins pendent sous moi. Sans cesser d’embrasser mes reins il a passée une main sous mon vendre et remonte vers ma poitrine.

— hum, jolies mamelles. Mais encore un peu sèches à mon goût. Je suis sur qu’avec quelques pompes ça peut s’arranger. Tu veux bien me faire quelques pompes hein ma petite pouliche ?

Je me mets en position, les jambes tendues, à peine écartées. André place sa main entre mes fesses deux doigts juste contre mon abricot déjà moite.

— ça c’est pour te motiver. Tant que tu ne poses pas les genoux je m’occupe de ta chatte comme tu aimes.

Après une première pompe il masse du doigt mon con qui ne demande que ça. Je dois me mordre les lèvres pour ne pas gémir de plaisir. Je tend me fesse pour en avoir encore mais il retire sa main.

— Tss Tss. Pour avoir du plaisir il faut faire des efforts. Fais moi trois belle pompes de suite.

Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

5 réflexions au sujet de « Prise en leggings »

  1. Bravo pour ton second roman !!! Surprenant ! Vraiment surprenant ! Mais toujours aussi bandant ! J’adore le concept des filles que tu baises que si tu prends les bonnes décision. Et quelles baises !

    1. Merci ! Et, au passage merci aux anonymes qui font le démarrage en fanfare de ce second roman. Je songe à trouver un moyen sexy et original de vous remercier. Peut être une dédicace avec signature (à domicile ?) pour le meilleur commentaire laissé sur le site de the book édition. Ou pour la meilleure critique postée sur ce blog.

  2. Tiens, je croyais que votre règle était de ne pas voir le même amant plus d’une fois ?
    Laissez-moi deviner : vous préférez revenir à une valeur sûre plutôt que de vous taper des tocards deux fois sur trois ?
    Vivement la suite.

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